Archive pour le Tag 'record'

Climat : record de chaleur aussi en octobre dans le monde

Climat : record de chaleur aussi en octobre dans le monde

Le mois d’octobre 2023 a été le plus chaud jamais enregistré sur Terre et l’année 2023 aura également battu des records. Avec 15,3°C en moyenne, il a fait 0,85°C de plus que lors d’un mois d’octobre normal (calculé sur la moyenne des températures d’octobre de 1991 à 2020). C’est, de loin, la plus importante anomalie positive mesurée pour un mois d’octobre (un bond de +0,4°C par rapport à la détentrice du record en octobre 2019) et la deuxième anomalie la plus importante jamais mesurée tous mois confondus, après septembre 2023 (+0,9°C).

C’est surtout le cinquième mois d’affilée à battre le record de chaleur pour sa saison. Le mois de juillet 2023 avait même battu le record absolu du mois le plus chaud sur Terre. Depuis, la température moyenne sur la planète est quasiment chaque jour au-dessus du record pour la date. Octobre 2023 était même 1,7°C plus chaud qu’un mois d’octobre à l’ère préindustrielle (1850-1900), avant que les émissions de gaz à effets de serre produits par l’activité humaine et responsables du réchauffement climatique ne s’emballent.

La température moyenne de la surface de la mer n’a, elle aussi, jamais été aussi élevée qu’en ce mois d’octobre, avec 20,79°C. Quant à la banquise de l’Antarctique, elle est 11% moins étendue que la normale à cette période de l’année ; -12% pour l’Arctique.

Immigration : record en 2022

Immigration : record en 2022

Des flux migratoires inédits «depuis au moins 15 ans». C’est le cas de la France qui a vu arriver 301.000 personnes sur cette même année. En cause la misère sociale et le manque de démocratie dans les pays d’origine, aussi le besoin de main-d’œuvre.

Travailleurs, étudiants étrangers, demandeurs d’asile… quels que soient les indicateurs, partout des records. L’immigration permanente a atteint l’an dernier un niveau historique vers les pays de l’OCDE où six millions de personnes sont entrées pour combler en partie les «pénuries de main-d’œuvre».

«l’immigration dans les pays de l’OCDE atteint des niveaux sans précédent» en 2022, selon un rapport de l’Organisation de coopération et de développement économiques publié ce lundi.

L’immigration de travail a représenté 54.000 personnes en 2022, «un niveau jamais vu depuis les années 1960».

L’an dernier, plus d’un pays sur trois a enregistré des flux «inédits depuis au moins 15 ans», dont la France (301.000 personnes), l’Espagne (471.000) ou la Belgique (122.000), tandis que plusieurs autres comme le Royaume-Uni (521.000) et le Canada (437.000) ont battu des records absolus, selon les données compilées dans le document.

Dans le détail, la demande d’asile a explosé, selon l’OCDE, où deux millions de nouvelles demandes ont été déposées en 2022, «soit le nombre le plus élevé jamais enregistré à ce jour». C’est deux fois plus que l’année précédente et largement supérieur aux années 2015-2016, lorsque le conflit en Syrie avait généré une vague d’exil vers l’Europe.

Une part d’autant plus prépondérante que la progression de l’immigration familiale, qui reste la principale catégorie avec quatre entrées sur dix, est surtout «due aux familles accompagnant les travailleurs immigrés», observe l’OCDE. L’an dernier, selon les données de l’organisation, près de 80% des immigrés étaient «actifs», dont 70% en emploi et moins de 8% au chômage.

Sur l’ensemble des indicateurs, anticipe l’OCDE, les données préliminaires pour 2023 laissent déjà entrevoir «une nouvelle hausse».

Emprunt record de la France à 285 milliards

Emprunt record de la France à 285 milliards

Un nouveau record d’emprunt pour le budget français du faîte de son déséquilibre. En dépit d’un taux de prélèvement également record la France est condamnée à emprunter pour couvrir ses besoins de financement. Une opération qui n’est pas gratuite car cela entraîne une charge budgétaire de plus de 50 milliards d’euros en 2024 soit presque le premier poste budgétaire.

En fait ton empreinte pour deux motifs le premier comme déjà indiqué pour boucher le trou du budget et le second pour rembourser les emprunts antérieurs. Et en dépit de cela l’endettement ne cesse de gonfler pour atteindre aujourd’hui plus de 3000 milliards

La dette publique française a atteint 3 013,4 milliards d’euros le 31 mars 2023 selon l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Cette dette s’élève ainsi à 112,5% du PIB, près d’un point de pourcentage de plus qu’à la fin 2022

L’Etat devra en outre amortir un montant de dette arrivant à échéance plus élevé en 2024 (160,2 milliards contre 149,6 en 2023). La charge budgétaire de la dette en 2024 est prévue en augmentation à 52,2 milliards d’euros en 2024, a indiqué l’AFT, alors que le gouvernement est confronté à une remontée des taux d’intérêt sur les marchés.

Environnement-Température mondiale : de record en record

Environnement-Température mondiale : de record en record

Presque chaque jour des records sont battus En France comme dans le monde entier; Ce dimanche, les températures ont été caniculaires en Île-de-France et dans le Centre-Val-de-Loire, autour de 35-36 degrés, dans 14 départements au total . Il est probable que 2023 sera l’année la plus chaude (…) que l’humanité ait connue », a souligné à l’AFP Samantha Burgess, cheffe adjointe du service changement climatique (C3S) de Copernicus.

L’été a connu les températures mondiales moyennes les plus élevées jamais mesurées, annonce Copernicus, ce mercredi 6 septembre. « La saison juin-juillet-août 2023 », qui correspond à l’été dans l’hémisphère Nord, où vit la grande majorité de la population mondiale, « a été de loin la plus chaude jamais enregistrée dans le monde, avec une température moyenne mondiale de 16,77°C ».

La base de données de Copernicus remonte jusqu’en 1940. Elle peut toutefois être comparée aux climats des millénaires passés, établis grâce aux cernes des arbres ou aux carottes de glaces et synthétisés dans le dernier rapport du groupe d’experts climat de l’ONU (Giec).

Sur cette base, « les trois mois que nous venons de vivre sont les plus chauds depuis environ 120.000 ans, c’est-à-dire depuis le début de l’histoire de l’humanité », affirme la cheffe adjointe du service changement climatique. Malgré trois années successives de La Niña, phénomène inverse d’El Niño qui a en partie masqué le réchauffement, les années 2015-2022 ont déjà été les plus chaudes jamais mesurées.

La surchauffe des mers du globe, qui continuent d’absorber 90% de la chaleur en excès provoquée par l’activité humaine depuis l’ère industrielle, joue un rôle majeur dans le phénomène. Depuis avril, leur température moyenne de surface évolue à des niveaux de chaleur inédits.

« L’effondrement climatique a commencé », a déploré le secrétaire général de l’ONU António Guterres, dans un communiqué paru ce mercredi.

« Notre climat implose plus vite que nous ne pouvons y faire face, avec des phénomènes météorologiques extrêmes qui frappent tous les coins de la planète », a-t-il appuyé, rappelant comment « les scientifiques ont depuis longtemps mis en garde contre les conséquences de notre dépendance aux combustibles fossiles ».

Environnement-Température mondiale : de record en record

Environnement-Température mondiale : de record en record

Presque chaque jour des records sont battus et il est probable que 2023 sera l’année la plus chaude (…) que l’humanité ait connue », a souligné à l’AFP Samantha Burgess, cheffe adjointe du service changement climatique (C3S) de Copernicus.

L’été a connu les températures mondiales moyennes les plus élevées jamais mesurées, annonce Copernicus, ce mercredi 6 septembre. « La saison juin-juillet-août 2023 », qui correspond à l’été dans l’hémisphère Nord, où vit la grande majorité de la population mondiale, « a été de loin la plus chaude jamais enregistrée dans le monde, avec une température moyenne mondiale de 16,77°C ».

La base de données de Copernicus remonte jusqu’en 1940. Elle peut toutefois être comparée aux climats des millénaires passés, établis grâce aux cernes des arbres ou aux carottes de glaces et synthétisés dans le dernier rapport du groupe d’experts climat de l’ONU (Giec).

Sur cette base, « les trois mois que nous venons de vivre sont les plus chauds depuis environ 120.000 ans, c’est-à-dire depuis le début de l’histoire de l’humanité », affirme la cheffe adjointe du service changement climatique. Malgré trois années successives de La Niña, phénomène inverse d’El Niño qui a en partie masqué le réchauffement, les années 2015-2022 ont déjà été les plus chaudes jamais mesurées.

La surchauffe des mers du globe, qui continuent d’absorber 90% de la chaleur en excès provoquée par l’activité humaine depuis l’ère industrielle, joue un rôle majeur dans le phénomène. Depuis avril, leur température moyenne de surface évolue à des niveaux de chaleur inédits.

« L’effondrement climatique a commencé », a déploré le secrétaire général de l’ONU António Guterres, dans un communiqué paru ce mercredi.

« Notre climat implose plus vite que nous ne pouvons y faire face, avec des phénomènes météorologiques extrêmes qui frappent tous les coins de la planète », a-t-il appuyé, rappelant comment « les scientifiques ont depuis longtemps mis en garde contre les conséquences de notre dépendance aux combustibles fossiles ».

Environnement -Température mondiale : record historique d’après l’ONU

Environnement -Température mondiale : record historique d’après l’ONU

Presque chaque jour des records sont battus et il est probable que 2023 sera l’année la plus chaude (…) que l’humanité ait connue », a souligné à l’AFP Samantha Burgess, cheffe adjointe du service changement climatique (C3S) de Copernicus.

L’été a connu les températures mondiales moyennes les plus élevées jamais mesurées, annonce Copernicus, ce mercredi 6 septembre. « La saison juin-juillet-août 2023 », qui correspond à l’été dans l’hémisphère Nord, où vit la grande majorité de la population mondiale, « a été de loin la plus chaude jamais enregistrée dans le monde, avec une température moyenne mondiale de 16,77°C ».

La base de données de Copernicus remonte jusqu’en 1940. Elle peut toutefois être comparée aux climats des millénaires passés, établis grâce aux cernes des arbres ou aux carottes de glaces et synthétisés dans le dernier rapport du groupe d’experts climat de l’ONU (Giec).

Lire aussi
Face au changement climatique, « il faut développer la culture du risque » (Jean-Philippe Dogneton, Macif)

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La surchauffe des mers du globe, qui continuent d’absorber 90% de la chaleur en excès provoquée par l’activité humaine depuis l’ère industrielle, joue un rôle majeur dans le phénomène. Depuis avril, leur température moyenne de surface évolue à des niveaux de chaleur inédits.

« L’effondrement climatique a commencé », a déploré le secrétaire général de l’ONU António Guterres, dans un communiqué paru ce mercredi.

« Notre climat implose plus vite que nous ne pouvons y faire face, avec des phénomènes météorologiques extrêmes qui frappent tous les coins de la planète », a-t-il appuyé, rappelant comment « les scientifiques ont depuis longtemps mis en garde contre les conséquences de notre dépendance aux combustibles fossiles ».

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Sur cette base, « les trois mois que nous venons de vivre sont les plus chauds depuis environ 120.000 ans, c’est-à-dire depuis le début de l’histoire de l’humanité », affirme la cheffe adjointe du service changement climatique. Malgré trois années successives de La Niña, phénomène inverse d’El Niño qui a en partie masqué le réchauffement, les années 2015-2022 ont déjà été les plus chaudes jamais mesurées.

La surchauffe des mers du globe, qui continuent d’absorber 90% de la chaleur en excès provoquée par l’activité humaine depuis l’ère industrielle, joue un rôle majeur dans le phénomène. Depuis avril, leur température moyenne de surface évolue à des niveaux de chaleur inédits.

« L’effondrement climatique a commencé », a déploré le secrétaire général de l’ONU António Guterres, dans un communiqué paru ce mercredi.

« Notre climat implose plus vite que nous ne pouvons y faire face, avec des phénomènes météorologiques extrêmes qui frappent tous les coins de la planète », a-t-il appuyé, rappelant comment « les scientifiques ont depuis longtemps mis en garde contre les conséquences de notre dépendance aux combustibles fossiles ».

Climat-Température mondiale : record historique d’après l’ONU

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La surchauffe des mers du globe, qui continuent d’absorber 90% de la chaleur en excès provoquée par l’activité humaine depuis l’ère industrielle, joue un rôle majeur dans le phénomène. Depuis avril, leur température moyenne de surface évolue à des niveaux de chaleur inédits.

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Epargne livrets A : record en juillet

Epargne livrets A : record en juillet


Signe de l’attentisme des ménages qui peuvent épargner, le livret A et le livret de développement durable progressent encore en dépit du blocage à 3 % du taux de rémunération( Quand l’inflation officielle est autour de 5 %).

Le Livret A et le Livret de développement durable et solidaire (LDDS) ont poursuivi au mois de juillet leur dynamique record de cette année. Le solde entre les dépôts et les retraits (collecte nette) s’est élevée à +3,13 milliards d’euros, un record pour un mois de juillet, pour atteindre un encours total de 547,4 milliards d’euros, du jamais vu là aussi. C’est cette fois-ci le LDDS qui a tiré la collecte nette vers le haut, en enregistrant un mois de juillet record (+0,97 milliard d’euros).

La bonne tenue du Livret A (+2,16 milliards d’euros) permet au montant cumulé d’atteindre un record à la fois sur le mois de juillet mais aussi au total depuis janvier. Les Livrets A et LDDS ont enflé de 37,67 milliards d’euros (+7,4%) depuis le début d’année, du jamais vu. À ce rythme de collecte, ils pourraient dépasser l’année record de 2012, dopée à l’époque par le relèvement des plafonds.

cependant le gel du taux reste loin d’être neutre pour les détenteurs de livrets, surtout en période de forte inflation : il pourrait représenter un manque à gagner d’environ 3 milliards d’euros sur la période d’août 2023 à janvier 2024, auxquels s’ajoutent près de 800 millions d’euros amputés entre février à juillet 2023, avec le précédent arrondi du taux à la baisse, de 3,3% à 3%.

Température en Espagne : 47° record

Température en Espagne : 47° record


47°C à Valence (Espagne), jeudi 10 août, selon les données provisoires de l’agence météorologique nationale. Il s’agit d’un record pour cette ville du sud-est de l’Espagne. L’aéroport a atteint 46,8°, « ce qui suppose 3,4°C de plus que le précédent record, enregistré en 1986″, détaille l’Aemet sur Twitter.

Six stations situées autour de Valence et de la ville voisine de Castellón ont enregistré jeudi des températures supérieures à 44°C. La veille, deux zones à proximité de Séville et de Grenade, en Andalousie, avaient dépassé ce seuil. L’épisode de canicule en cours devrait se terminer après la journée de vendredi. Ces chaleurs, ainsi que la sécheresse, favorisent le déclenchement d’incendies et la quasi-totalité du pays est en alerte rouge sur ce front. Les experts considèrent la multiplication de ces périodes caniculaires, ainsi que leur durée et leur intensité croissantes, comme des conséquences du changement climatique.

Sondage russe: réélection de Poutine avec entre 90 et 150% ! record du monde

Sondage russe: réélection de Poutine avec entre 90 et 150% ! record du monde

Dans une interview, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a estimé que « M. Poutine sera réélu l’année prochaine avec plus de 90% des voix », a ainsi estimé Dmitri Peskov, un score jamais atteint au cours de quatre élections gagnées par le président russe. Rien d’étonnant à cela puisque tous les opposants sont en prison, en exil ou ont été empoisonnés. D’ailleurs le porte-parole du Kremlin estime que cette formalité démocratique est inutile ! Effectivement comme toute dans toutes les dictatures on fixe le résultat d’abord et ensuite on dépouille les votes pour les ajuster aux chiffres décidés d’avance.

« Les élections, bien qu’elles soient une exigence de la démocratie et que Poutine lui-même ait décidé de les organiser, théoriquement, elles ne devraient même pas avoir lieu. Car il est déjà évident que Poutine sera élu » et ce « compte tenu du niveau de consolidation de la société autour de [lui]« , a développé le porte-parole, faisant part selon lui d’un « avis tout à fait personnel ».

Le Figaro note que selon le cabinet d’étude d’opinion russe Levada, considéré comme indépendant par les Occidentaux et comme un « agent de l’étranger » par Moscou, la cote de popularité du chef du Kremlin auprès des électeurs russes était de 82% en juillet, selon une étude réalisée en porte-à-porte.

Poutine peut reste au pouvoir jusqu’en 2036
Vladimir Poutine a été élu pour la première fois président en 2000 avant d’être renouvelé en 2004. Pour contourner l’interdiction d’être réélu plus d’une fois d’affilée, il s’est offert le poste de Premier ministre du président Dmitri Medvedev de 2008 à 2012, avant de reprendre la tête du Kremlin, cette fois-ci pour deux mandats de six ans dont le dernier cours donc jusqu’en 2024.

Pour s’éviter un retour par la case ministérielle, le président russe a fait amender la constitution russe en 2020 pour y remettre son compteur de mandats à zéro, ce qui lui permet depuis de rester au pouvoir jusqu’en 2036. Une décision qui « apportera plus de stabilité », avait alors commenté Viatcheslav Volodine, le président de la Douma.

Au cours des différents scrutins présidentiels, dont il est difficile de jauger le niveau de manipulation, Vladimir Poutine a obtenu son plus bas score lors de son retour au poste présidentiel, en 2012, avec 64% des suffrages au premier tour.

Depuis plusieurs années, le pouvoir a intensifié sa lutte contre les oppositions politiques, qui a atteint son paroxysme depuis le début de la guerre en Ukraine. Le principal opposant Alexeï Navalny a été empoisonné en août 2020 puis emprisonné. Vendredi, il a été condamné à dix-neuf ans de prison en plus de ses peines précédentes à l’issue d’un procès pour « extrémisme ».

Record de chaleur aussi dans l’Atlantique

Record de chaleur aussi dans l’Atlantique

Record probable des températures dans l’Atlantique en juillet selon les prévisions de l’observatoire européen Copernicus et celles de Mercator Océan international, obtenues vendredi 28 juillet par l’AFP. Selon des données préliminaires communiquées le même jour par l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique (NOAA), qui utilise un autre système de mesure, ce record a même déjà été battu. »Selon notre analyse, le record (…) est de 24,9°C, et a été observé le 26 juillet », a déclaré à l’AFP Xungang Yin, scientifique aux Centres nationaux pour l’information environnementale (NCEI) de l’agence américaine.

L’Atlantique Nord est devenu un point d’observation emblématique de la surchauffe des océans, sous l’effet de hausse des températures mondiales causées par les activités humaines. Selon Xungang Yin, la température de surface de l’Atlantique Nord « doit continuer à augmenter au cours du mois d’août », a-t-il prévenu, et il est donc attendu que le record annoncé vendredi par la NOAA soit de nouveau battu. La température de 24,9°C est « plus d’un degré plus chaud » que la normale pour cette période de l’année, une moyenne calculée sur 30 ans (entre 1982 et 2011), a-t-il souligné. Au niveau planétaire, la température moyenne des océans bat des records de saisons constamment depuis début avril, sous l’effet du réchauffement climatique.

La hausse de la température de l’eau, même de quelques degrés seulement, peut perturber l’équilibre délicat des écosystèmes marins et avoir des effets en cascade sur la biodiversité.

Température juillet 2023: nouveau record mondial

Température juillet 2023: nouveau record mondial


Les phénomènes actuels risquent de faire de 2023 l’année la plus chaude jamais enregistrée, avec une probabilité de « 50-50 » selon les calculs de Gavin Schmidt, climatologue en chef de la NASA.

Ce mois de juillet 2023 sera probablement le plus chaud depuis plusieurs « centaines, si ce n’est milliers d’années » dans le monde. Tel est le constat fait par le climatologue en chef de la NASA. Les tendances à la hausse des températures sont frappantes et seront probablement reflétées, a insisté Gavin Schmidt, le climatologue en chef de l’agence lors d’un point avec des journalistes.

« Nous observons des changements sans précédent à travers le monde », a déclaré Gavin Schmidt. « Les vagues de chaleur aux Etats-Unis, en Europe, et en Chine explosent des records », a-t-il ajouté, estimant que ces épisodes ne peuvent pas être attribuées uniquement au phénomène El Niño, « qui vient seulement d’arriver ». Phénomène climatique cyclique qui prend sa source dans l’océan Pacifique et entraîne une augmentation des températures mondiales, El Niño provoque des sécheresses dans certaines parties du monde et de fortes pluies dans d’autres.

Juillet 2023 : record du monde des températures ?

Juillet 2023 : record du monde des températures ?


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Ce mois de juillet 2023 sera probablement le plus chaud depuis plusieurs « centaines, si ce n’est milliers d’années » dans le monde. Tel est le constat fait par le climatologue en chef de la NASA. Les tendances à la hausse des températures sont frappantes et seront probablement reflétées, a insisté Gavin Schmidt, le climatologue en chef de l’agence lors d’un point avec des journalistes.

« Nous observons des changements sans précédent à travers le monde », a déclaré Gavin Schmidt. « Les vagues de chaleur aux Etats-Unis, en Europe, et en Chine explosent des records », a-t-il ajouté, estimant que ces épisodes ne peuvent pas être attribuées uniquement au phénomène El Niño, « qui vient seulement d’arriver ». Phénomène climatique cyclique qui prend sa source dans l’océan Pacifique et entraîne une augmentation des températures mondiales, El Niño provoque des sécheresses dans certaines parties du monde et de fortes pluies dans d’autres.

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