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Retraite : 60 % des Français toujours pour l’abrogation de la réforme (sondage)

Retraite : 60 % des Français toujours pour l’abrogation de la réforme (sondage)

Le gouvernement voudrait bien tourner la page des retraites mais pas les Français dont 71 % souhaitent est un vote à l’Assemblée nationale. Il y a encore 60 % des Français qui veulent l’abrogation de la réforme.

Et pour empêcher ce vote à l’Assemblée nationale le gouvernement utilise toutes les arguties juridiques possibles jusqu’au ridicule par exemple en autorisant le vote de la proposition du groupe Liot met en en vidant le contenu ! Bref pas vraiment de quoi grandir la crédibilité du gouvernement sur ce sujet.

Selon une enquête menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 71% des Français souhaitent que la proposition de loi du groupe Liot visant à abroger la réforme des retraites soit débattue et mise au vote à l’Assemblée nationale. 61% des Français souhaitent aussi qu’elle soit adoptée.

L’opposition à la réforme des retraites reste élevée, malgré la promulgation de la loi il y a près de deux mois. Alors que le sujet est revenu à l’Assemblée nationale, par le biais d’une proposition de loi visant à abroger la retraite à 64 ans, BFMTV dévoile ce mercredi les résultats d’un sondage Elabe montrant que cette initiative est soutenue par une majorité de la population.

Le groupe indépendant Liot (Libertés, indépendants, Outre-mer et territoires) a déposé un texte visant à abroger la loi portant la réforme des retraites. Le camp présidentiel a toutefois réussi à faire supprimer mercredi en commission l’article clé de ce texte, qu’il juge irrecevable d’un point de vue constitutionnel.

La suppression de l’article 1er de la proposition de loi a été votée de justesse (38 voix pour, 34 contre) grâce notamment aux voix du groupe Les Républicains (LR) qui se sont additionnées à celles de la majorité. Le groupe Liot peut redéposer l’amendement lors de l’examen en séance publique, mais la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, pourra le rejeter au titre de l’article 40.

Selon lenotre sondage Elabe, 71% des Français souhaitent malgré cela que la proposition de loi du groupe Liot soit débattue et mise au vote à l’Assemblée nationale. 6 personnes sur 10 souhaitent aussi qu’elle soit adoptée par les députés (61%, contre 38% qui ne le souhaitent pas).

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Les seuls électorats pour lesquels cette opinion n’est pas majoritaire sont ceux d’Emmanuel Macron et de Valérie Pécresse au premier tour de la présidentielle de 2022: 55% des électeurs du chef de l’État et 53% de ceux de la candidate LR souhaitent que la proposition de loi ne soit pas débattue.

Retraite : 60 % des Français toujours pour l’abrogation de la réforme

Retraite : 60 % des Français toujours pour l’abrogation de la réforme (sondage)

Le gouvernement voudrait bien tourner la page des retraites mais pas les Français dont 71 % souhaitent est un vote à l’Assemblée nationale. Il y a encore 60 % des Français qui veulent l’abrogation de la réforme.

Et pour empêcher ce vote à l’Assemblée nationale le gouvernement utilise toutes les arguties juridiques possibles jusqu’au ridicule par exemple en autorisant le vote de la proposition du groupe Liot met en en vidant le contenu ! Bref pas vraiment de quoi grandir la crédibilité du gouvernement sur ce sujet.

Selon une enquête menée par l’institut Elabe pour BFMTV, 71% des Français souhaitent que la proposition de loi du groupe Liot visant à abroger la réforme des retraites soit débattue et mise au vote à l’Assemblée nationale. 61% des Français souhaitent aussi qu’elle soit adoptée.

L’opposition à la réforme des retraites reste élevée, malgré la promulgation de la loi il y a près de deux mois. Alors que le sujet est revenu à l’Assemblée nationale, par le biais d’une proposition de loi visant à abroger la retraite à 64 ans, BFMTV dévoile ce mercredi les résultats d’un sondage Elabe montrant que cette initiative est soutenue par une majorité de la population.

Le groupe indépendant Liot (Libertés, indépendants, Outre-mer et territoires) a déposé un texte visant à abroger la loi portant la réforme des retraites. Le camp présidentiel a toutefois réussi à faire supprimer mercredi en commission l’article clé de ce texte, qu’il juge irrecevable d’un point de vue constitutionnel.

La suppression de l’article 1er de la proposition de loi a été votée de justesse (38 voix pour, 34 contre) grâce notamment aux voix du groupe Les Républicains (LR) qui se sont additionnées à celles de la majorité. Le groupe Liot peut redéposer l’amendement lors de l’examen en séance publique, mais la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, pourra le rejeter au titre de l’article 40.

Selon lenotre sondage Elabe, 71% des Français souhaitent malgré cela que la proposition de loi du groupe Liot soit débattue et mise au vote à l’Assemblée nationale. 6 personnes sur 10 souhaitent aussi qu’elle soit adoptée par les députés (61%, contre 38% qui ne le souhaitent pas).

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Les seuls électorats pour lesquels cette opinion n’est pas majoritaire sont ceux d’Emmanuel Macron et de Valérie Pécresse au premier tour de la présidentielle de 2022: 55% des électeurs du chef de l’État et 53% de ceux de la candidate LR souhaitent que la proposition de loi ne soit pas débattue.

Retraite : Macron toujours aussi vindicatif insulte syndicats et opposition

Retraite : Macron toujours aussi vindicatif insulte syndicats et opposition


La période de contrition du chef de l’État aura peut durer. Il revient en effet dans une interview fleuve sur nombre de sujets et en particulier sur la réforme des retraites. Il en profite pour insulter les syndicats et l’opposition qui serait responsable du rejet de l’opinion. Et de polémiquer de plus belle avec la plus grande mauvaise foi. Macron fustige ceux qui « ont prétendu que l’on pouvait éviter la réforme, sans dire ce qu’ils proposaient à la place », alors que la proposition de loi du groupe Liot pour abroger la réforme doit être discutée à l’Assemblée le 8 juin prochain.

Cet interview fleuve et lardée de contrevérités et de contradictions au point que le chef de l’État se permet aussi de faire la leçon à l’agence de notation Fitch qui a dégradé la France. Le problème c’est que les autres agences de notation vont certainement en faire autant et il sera difficile à macron de considérer mais qu’il a raison face aux institutions internationales. Les faits et les chiffres sont là. Le déficit budgétaire atteint presque 6 % du PIB, la dette dépasse les 3000 milliards, la charge de la dette annuelle représente 50 milliards et macro ne dispose pas de majorité à l’assemblée. Conclusion pour les agences de notation :Les capacités de transformation en France se trouve très contraintes

Pour Macron sur la retraite « Il devra d’abord y avoir un débat où chacun devra prendre ses responsabilités et expliquer comment on finance ! On ne peut s’affranchir du débat quand on est une force politique républicaine, quand on est un syndicat dans le champ républicain, quand on est une force patronale… Voilà la vérité qu’on doit aux Français », balaie le chef de l’État.

Et Emmanuel Macron de poursuivre : « Tout le monde n’est pas d’accord pour ne pas travailler plus longtemps ? D’accord. Mais que l’on m’explique alors comment, sans réforme, financer une proposition de loi à 15 milliards d’euros. Par le déficit, avec les intérêts à venir ? En réduisant d’autres politiques publiques ? En baissant les pensions? En augmentant les cotisations? Certains disent « les gros salaires doivent payer ». Ne nous mentons pas: les classes moyennes aussi devront payer ».

Le président, qui assure croire « à l’émancipation par le travail », explique ne pas partager « l’opinion de ceux qui prétendent que 64 ans, c’est deux ans de vie sacrifiée ». « Non, le travail, même si je ne sous-estime pas qu’il n’est pas toujours facile, c’est ce qui permet de construire un avenir, pour soi, pour ses enfants. Je veux dire aux belles âmes qui proposent d’avoir un modèle social toujours plus généreux en travaillant moins, à ces gens qui construisent le désastre : qu’est-ce qu’ils proposent, à part plus de dette et moins de souveraineté pour le financer ? ». Le problème c’est que le désastre est déjà là et qu’on ne serait le l’imputer au déficit d’une dizaine de milliards du système des retraites

Macron toujours aussi méprisant : Il suffit de faire 1 m pour trouver du travail !

Macron toujours aussi méprisant : Il suffit de faire 1 m pour trouver du travail !

Le petit technocrate Macron est toujours aussi suffisant et même méprisant et cela explique en grande partie la quasi haine que lui portent près de 80 % de la population.

On se souvient qu’il avait beaucoup été critiqué quand il avait conseillé un jeune de traverser la rue pour trouver du travail. Comme si on pouvait passer par exemple d’une qualification de jardinier à celui de cuisinier !

Cependant Macon toujours aussi velléitaire et méprisant reprend la formule en l’amplifiant lors de son déplacement à Dunkerque il déclare qu’ « Il suffit de faire 1 m pour trouver du travail ».

Certes globalement la situation de l’emploi s’améliore moins en raison de la progression de la croissance qu’en raison du développement de l’emploi dans les services et de l’orientation des scolaires dans la filière apprentissage. Pour autant dans beaucoup de filières, la situation reste difficile parce que les emplois sont mal considérés, mal rémunérés et surtout avec des conditions de travail difficiles. Par exemple dans la restauration en région parisienne à la fin du service , les employés ne trouvent plus de transports collectifs pour faire les 30 km qui les séparent de leur domicile. Sans parler de la très longue coupure entre le service de midi et du soir

« Il y a quelques années ça m’avait valu beaucoup d’ennuis, je disais qu’il suffisait de traverser la rue, là il faut faire un mètre », a ironisé Emmanuel Macron, en plein déplacement à Dunkerque . Le président de la République a été interpellé ce vendredi par un jeune homme lui expliquant qu’il ne trouvait pas de travail malgré un BTS électro-technique en poche.

En 2018, le chef de l’État avait lancé à un jeune horticulteur qui cherchait du travail qu’il suffisait de « traverser la rue » pour trouver un emploi. Une petite phrase qui avait fait polémique.

Même s’il est vrai que le rapport au travail a beaucoup changé dans la société et pas forcément dans le bon sens, le schématisme condescendant affiché par le chef de l’État demeure scandaleux et révèle une absence totale de connaissance des conditions sociales réelles.

*

Inflation : toujours à 6 %

Inflation : toujours à 6 %


Contrairement aux prévisions du gouvernement et de nombre d’experts l’inflation ne se réduit pas, elle se maintient nettement en France. L’Insee a confirmé ce vendredi sa première estimation de l’inflation en France au mois d’avril, à +5,9% sur un an, après +5,7% en mars. Elle se situe ainsi pour le onzième mois consécutif sur un plateau autour de 6%.

«Cette hausse de l’inflation est notamment due à l’accélération des prix de l’énergie (+6,8 % après +4,9 %), des services (+3,2 % après +2,9 %) et du tabac (+9,4 % après +7,8 %)», note l’institut national de la statistique. Côté énergie, les prix des produits pétroliers sont en baisse en avril, mais la diminution est «moins marquée que celle du mois précédent (-1,3 % après -7,4 %), du fait notamment d’un “effet de base” (ils avaient fortement baissé en avril 2022 avec l’entrée en vigueur de la remise à la pompe)», explique l’Insee. Les prix de l’électricité accélèrent (+11,2 % après +11,0 %), quand ceux du gaz ralentissent nettement (+22,9 % après +35,6 %), «du fait notamment d’un “effet de base”».

Les prix des produits manufacturés (+4,6 % après +4,8 %) et de l’alimentation (+15,0 % après +15,9 %), eux, ont ralenti en avril. Dans le détail de l’inflation alimentaire, les produits frais ont vu leur prix nettement ralentir en avril (+10,6 % après +17,1 %), notamment ceux des légumes frais (+12,1 % après +29,3 %) et des fruits frais (+9,5 % après +10,1 %).

«Le léger tassement de l’inflation d’ensemble prévu pour la mi-2023 ne présume pas de son évolution au cours de la seconde moitié de l’année», avertit l’institut de la statistique. Du côté du gouvernement comme de la Banque de France, on se veut plus optimiste, anticipant une décrue à partir du milieu d’année. Si l’inflation «commence déjà à décélérer», selon Bruno Le Maire, «l’été prochain nous devrions voir l’inflation ralentir plus significativement», a-t-il déclaré sur CNews ce vendredi matin.

C’est en particulier sur l’inflation alimentaire que se concentrent les efforts de l’exécutif. Bruno Le Maire le martèle : il veut «casser la spirale de l’inflation des prix alimentaires d’ici l’automne prochain». Notons que le ministre de l’économie avait prévu la baisse de l’inflation dans l’alimentaire pour l’été ; la voilà reportée en automne !

Politique-Afrique Zimbabwe : toujours ce scandale de détournement des fonds en Afrique

Politique-Afrique Zimbabwe : toujours ce scandale de détournement des fonds en Afrique

Malheureusement l’Afrique cultive toujours de cette maladies généralisée de la corruption entretenue par nombre de dirigeants politiques. Le dernier exemple est celui du Zimbabwe ou la famille de l’ancien dictateur héritière de son père possède des actifs de l(ordre millions de dollars alors que le pays est dans une pauvreté lamentable. Pour l’ensemble de l’Afrique, on considère en général que les dirigeants et anciens dirigeants africains possèdent une richesse égale au moins à la moitié de la totalité de la dette du continent.

Le divorce engagé par la fille de l’ex-président zimbabwéen Robert Mugabe, mort en 2019, a levé le voile sur l’extrême richesse amassée par la famille de l’ancien dirigeant, des documents judiciaires répertoriant des biens d’une valeur de près de 80 millions de dollars. Bona Mugabe, 33 ans, a engagé une procédure de divorce d’avec Simbarashe Mutsahuni Chikore, un ancien pilote de ligne, après neuf ans de mariage.

La diversité et la valeur des actifs répertoriés dans le cadre de sa requête risquent de susciter la colère de nombreux Zimbabwéens, au moment où le pays lutte contre la pauvreté, des coupures d’électricité récurrentes et une sévère inflation. Parmi les actifs, figurent 21 fermes et plus de 25 propriétés dans les quartiers chics de la capitale Harare, dont l’une évaluée à 40 millions de dollars, et un hôtel particulier à Dubaï.

Simbarashe Mutsahuni Chikore recense aussi de nombreuses voitures, dont une Rolls Royce d’une valeur de 800.000 dollars et trois Range Rovers. Bona Mugabe détient en outre «une somme substantielle d’argent liquide en devises étrangères, dont le montant exact devrait être divulgué au tribunal», et a retiré «des espèces d’une somme de 760.000 dollars dans un sac» de la résidence du couple, selon les documents.

Robert Mugabe, qui a dirigé le pays de son indépendance de l’empire britannique en 1980 jusqu’en 2017, chassé par un coup d’État, est mort à Singapour en 2019 à l’âge de 95 ans.

Quelques autres exemples de la richesse de dirigeants africains. Notons que le salaire moyen est d’environ 150 $ mensuels en Afrique avec beaucoup de dispersion autour de cette moyenne.

Le Top des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

1. Paul Biya (620 976 $)

Paul Biya (620 976 dollars par an)
Dans son dernier classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021, Business Insider Africa a révélé que le Président camerounais était en tête avec 620 976 dollars de salaire annuel. Paul Biya gagne donc un salaire mensuel d’environ 29.000.000 francs CFA, selon le site Business Insider Africa. Un salaire qui lui permet de se hisser à la tête du classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

Paul Biya est le deuxième Chef de l’État du Cameroun. Il a accédé au pouvoir le 06 novembre 1982, après la démission du Président Ahmadou AHIDJO, intervenue le 04 novembre. Le roi Mohammed 488 604 $

2. Le roi Mohamed IV (488 604 $)

Le roi Mohamed IV (488 604 dollars par an)
Le roi du Maroc vient en deuxième position de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021. Il est payé à plus de 400 000 dollars par an. Mohamed IV est le vingt-troisième monarque de la dynastie alaouite et le troisième à porter le titre de roi du Maroc, depuis le 23 juillet 1999.

3. Cyril Ramaphosa (223 500 $)

Cyril Ramaphosa (223 500 dollars par an)
Matamela Cyril Ramaphosa est un homme d’État sud-africain, président de la république d’Afrique du Sud depuis le 14 février 2018. Syndicaliste et homme d’affaires, il est classé troisième dans ce Top 10 des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021 avec un salaire de plus de 223 500 dollars par an.

4. Uhuru Kenyatta (223 500 $)
Uhuru Kenyatta (223 500 dollars par an)
Uhuru Kenyatta (223 500 dollars par an)
Quatrième de ce classement avec 192 200 dollars par an, Uhuru Kenyatta, né le 26 octobre 1961 à Nairobi, est un homme d’État kényan, président de la République depuis le 9 avril 2013.

5. Yoweri Museveni (183 216 $)

Yoweri Museveni (183 216 dollars par an)
Yoweri Museveni est un homme d’État ougandais, président de la République depuis 1986. Il est actuellement l’un des plus anciens dirigeants au pouvoir en Afrique et dans le monde. Yoweri Museveni occupe la 5e place de ce Top 15 des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021. Son salaire s’élève à 183 216 dollars par an.

6. Abdelmadjid Tebboune (168 000 $)

Abdelmadjid Tebboune (168 000 dollars par an)
Président de la République algérienne démocratique et populaire depuis le 19 décembre 2019, Abdelmadjid Tebboune est un homme d’État algérien. Avec 168 000 dollars comme salaire par an, il est classé 6e des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

7. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (152 680 $)

Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (152 680 dollars par an)
On retrouve à la 7e place de ce classement Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Président de la République de Guinée équatoriale depuis 1979, il est actuellement le plus ancien président en exercice au monde et gagne 152 680 dollars par an.

8. Emmerson Mnangagwa (146 590 $)

Emmerson Mnangagwa (146 590 dollars par an)
Emmerson Mnangagwa est un homme d’État zimbabwéen, né le 15 septembre 1942 à Shabani. Il est le président de la République du Zimbabwe depuis le 24 novembre 2017. Emmerson Mnangagwa touche 146 590 dollars par an et est au 8e rang de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

9. Denis Sassou-Nguesso (108 400 $)

Denis Sassou-Nguesso (108 400 dollars par an)
Le N°09 de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021 est Denis Sassou-Nguesso. Militaire et homme d’État, le Président de la République du Congo depuis 1997 touche 108 400 dollars par an.

Afrique Zimbabwe : toujours ce scandale de détournement des fonds en Afrique

Afrique Zimbabwe : toujours ce scandale de détournement des fonds en Afrique

Malheureusement l’Afrique cultive toujours de cette maladies généralisée de la corruption entretenue par nombre de dirigeants politiques. Le dernier exemple est celui du Zimbabwe ou la famille de l’ancien dictateur héritière de son père possède des actifs de l(ordre millions de dollars alors que le pays est dans une pauvreté lamentable. Pour l’ensemble de l’Afrique, on considère en général que les dirigeants et anciens dirigeants africains possèdent une richesse égale au moins à la moitié de la totalité de la dette du continent.

Le divorce engagé par la fille de l’ex-président zimbabwéen Robert Mugabe, mort en 2019, a levé le voile sur l’extrême richesse amassée par la famille de l’ancien dirigeant, des documents judiciaires répertoriant des biens d’une valeur de près de 80 millions de dollars. Bona Mugabe, 33 ans, a engagé une procédure de divorce d’avec Simbarashe Mutsahuni Chikore, un ancien pilote de ligne, après neuf ans de mariage.

La diversité et la valeur des actifs répertoriés dans le cadre de sa requête risquent de susciter la colère de nombreux Zimbabwéens, au moment où le pays lutte contre la pauvreté, des coupures d’électricité récurrentes et une sévère inflation. Parmi les actifs, figurent 21 fermes et plus de 25 propriétés dans les quartiers chics de la capitale Harare, dont l’une évaluée à 40 millions de dollars, et un hôtel particulier à Dubaï.

Simbarashe Mutsahuni Chikore recense aussi de nombreuses voitures, dont une Rolls Royce d’une valeur de 800.000 dollars et trois Range Rovers. Bona Mugabe détient en outre «une somme substantielle d’argent liquide en devises étrangères, dont le montant exact devrait être divulgué au tribunal», et a retiré «des espèces d’une somme de 760.000 dollars dans un sac» de la résidence du couple, selon les documents.

Robert Mugabe, qui a dirigé le pays de son indépendance de l’empire britannique en 1980 jusqu’en 2017, chassé par un coup d’État, est mort à Singapour en 2019 à l’âge de 95 ans.

Quelques autres exemples de la richesse de dirigeants africains. Notons que le salaire moyen est d’environ 150 $ mensuels en Afrique avec beaucoup de dispersion autour de cette moyenne.

Le Top des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

1. Paul Biya (620 976 $)

Paul Biya (620 976 dollars par an)
Dans son dernier classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021, Business Insider Africa a révélé que le Président camerounais était en tête avec 620 976 dollars de salaire annuel. Paul Biya gagne donc un salaire mensuel d’environ 29.000.000 francs CFA, selon le site Business Insider Africa. Un salaire qui lui permet de se hisser à la tête du classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

Paul Biya est le deuxième Chef de l’État du Cameroun. Il a accédé au pouvoir le 06 novembre 1982, après la démission du Président Ahmadou AHIDJO, intervenue le 04 novembre. Le roi Mohammed 488 604 $

2. Le roi Mohamed IV (488 604 $)

Le roi Mohamed IV (488 604 dollars par an)
Le roi du Maroc vient en deuxième position de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021. Il est payé à plus de 400 000 dollars par an. Mohamed IV est le vingt-troisième monarque de la dynastie alaouite et le troisième à porter le titre de roi du Maroc, depuis le 23 juillet 1999.

3. Cyril Ramaphosa (223 500 $)

Cyril Ramaphosa (223 500 dollars par an)
Matamela Cyril Ramaphosa est un homme d’État sud-africain, président de la république d’Afrique du Sud depuis le 14 février 2018. Syndicaliste et homme d’affaires, il est classé troisième dans ce Top 10 des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021 avec un salaire de plus de 223 500 dollars par an.

4. Uhuru Kenyatta (223 500 $)
Uhuru Kenyatta (223 500 dollars par an)
Uhuru Kenyatta (223 500 dollars par an)
Quatrième de ce classement avec 192 200 dollars par an, Uhuru Kenyatta, né le 26 octobre 1961 à Nairobi, est un homme d’État kényan, président de la République depuis le 9 avril 2013.

5. Yoweri Museveni (183 216 $)

Yoweri Museveni (183 216 dollars par an)
Yoweri Museveni est un homme d’État ougandais, président de la République depuis 1986. Il est actuellement l’un des plus anciens dirigeants au pouvoir en Afrique et dans le monde. Yoweri Museveni occupe la 5e place de ce Top 15 des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021. Son salaire s’élève à 183 216 dollars par an.

6. Abdelmadjid Tebboune (168 000 $)

Abdelmadjid Tebboune (168 000 dollars par an)
Président de la République algérienne démocratique et populaire depuis le 19 décembre 2019, Abdelmadjid Tebboune est un homme d’État algérien. Avec 168 000 dollars comme salaire par an, il est classé 6e des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

7. Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (152 680 $)

Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (152 680 dollars par an)
On retrouve à la 7e place de ce classement Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Président de la République de Guinée équatoriale depuis 1979, il est actuellement le plus ancien président en exercice au monde et gagne 152 680 dollars par an.

8. Emmerson Mnangagwa (146 590 $)

Emmerson Mnangagwa (146 590 dollars par an)
Emmerson Mnangagwa est un homme d’État zimbabwéen, né le 15 septembre 1942 à Shabani. Il est le président de la République du Zimbabwe depuis le 24 novembre 2017. Emmerson Mnangagwa touche 146 590 dollars par an et est au 8e rang de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021.

9. Denis Sassou-Nguesso (108 400 $)

Denis Sassou-Nguesso (108 400 dollars par an)
Le N°09 de ce classement des Présidents les plus riches d’Afrique en 2021 est Denis Sassou-Nguesso. Militaire et homme d’État, le Président de la République du Congo depuis 1997 touche 108 400 dollars par an.

Inflation : Toujours en hausse en zone euro

Inflation : Toujours en hausse en zone euro

Non seulement l’inflation ne se passe pas comme promis mais elle se maintient et même repart légèrement à la hausse en atteignant 7 % sur un an en avril. en zone euro est repartie à la hausse en avril.Un chiffre qui devrait inciter la banque centrale européenne a procédé un nouveau relèvement des taux d’intérêt pour refroidir encore la croissance pourtant très près de la stagnation

La principale contribution à la hausse des prix est venue de l’alimentation (y compris alcool et tabac), qui ont encore flambé de 13,6% en avril dans la zone euro, enregistrant tout de même un ralentissement par rapport à mars (15,5%). Bien qu’également en ralentissement de 0,4 point par rapport à mars, les tarifs des biens industriels sont restés en nette hausse de 6,2% en avril.

Parmi les 20 pays partageant la monnaie unique, le Luxembourg (2,7%) et la Belgique (3,3%) connaissent le taux d’inflation le plus faible. L’inflation a rebondi de 0,2 point en France, à 6,9% en avril. Elle fait mieux que l’Allemagne (7,6%) et l’Italie (8,8%), mais moins bien que l’Espagne (3,8%). Les taux les plus élevés ont encore été enregistrés dans les pays baltes : Estonie (13,2%), Lituanie (13,3%) et Lettonie (15%).

L’inflation avait atteint un record en octobre, à 10,6%, après un an et demi de hausse ininterrompue, accélérée par la guerre en Ukraine. Profitant d’un reflux des prix de l’énergie, elle avait, ensuite, reculé de novembre à mars, tout en restant nettement au-dessus de l’objectif de 2% fixé par la BCE.

La BCE a relevé ses taux de 3,50 points de pourcentage depuis juillet de l’année dernière dans le cadre d’une campagne sans précédent de resserrement monétaire visant à maîtriser la flambée des prix à la consommation.

(Avec AFP)

Inflation: toujours plus haut

Inflation: toujours plus haut

L’inflation continue de progresser à des niveaux inconnus depuis presque 25 ans. L’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), utilisé pour des comparaisons à l’échelle européenne, s’est lui établi à 6,7% sur un an en mars, contre 7,3% le mois dernier. Tandis que l’INSEE seulement une hausse à 5,7% sur un an en mars.

Sans surprise, l’inflation est essentiellement tirée par l’envolée des prix des produits alimentaires, son principal moteur. La hausse des prix à la consommation a toutefois marqué le pas par rapport à février (6,3%).

Sur un an, les prix de l’alimentation ont continué d’accélérer, grimpant de 15,9% en mars , après 14,8% en février. Tant les produits frais, comme les fruits et légumes, que les produits non frais tels que le pain, les céréales, la viande, le fromage, le chocolat ou les boissons, sont concernés par cette tendance. Tirés par l’habillement et les chaussures, les prix des produits manufacturés (4,8%) ont également enregistré une légère hausse en mars.

À l’inverse, la hausse des prix de l’énergie a fortement ralenti (4,9% en mars après 14,1% en février) du fait d’un net repli des produits pétroliers et d’une décélération plus modeste du gaz, qui ont compensé une accélération des prix de l’électricité. De même, les prix des services ont également légèrement ralenti en mars (2,9% après 3% en février). L’inflation sous-jacente, qui exclut les éléments les plus volatils comme l’énergie et certains produits alimentaires, et permet ainsi de dégager une tendance de fond de l’évolution des prix, s’est élevée à 6,2% sur un an en mars, après 6,1% en février.

Politique-sondage Macron: toujours en nette baisse

Politique-sondage Macron: toujours en forte baisse


La proportion de Français qui ne lui font pas confiance est passée de 57 à 70 %. Mais le pire est l’accroissement de ceux qui ne lui « font pas du tout confiance ». Ils sont désormais 50 % (+ 9 points en un mois).

Élisabeth Borne, la première ministre, s’effondre de 6 points après l’utilisation du 49-3 à l’Assemblée nationale.

D’après le dernier sondage Odoxa Backbone-consulting, une majorité de la population se prépare à ce que la contestation se radicalise.

Le soutien à la mobilisation contre la réforme des retraites demeure élevé (66%), mais que le mouvement est attendu pour durer, voire se radicaliser.

Dans ce contexte, les Français attendent du président un geste. Celui du changement, notamment de sa première ministre, voire du Parlement tout entier. Un remaniement sans changement de chef de gouvernement est ainsi peu plébiscité (22%), tandis qu’un remplacement d’Élisabeth Borne est davantage encouragé (61%).

Plus radicale encore, une dissolution de l’Assemblée nationale apparaît comme une bonne idée pour 58% des sondés. Notamment les plus opposés à la réforme se trouvant du côté de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (72%). Soit les deux partis rivalisant depuis des semaines pour occuper le rôle de premier opposant à Emmanuel Macron, et ainsi tirer profit de l’impasse dans laquelle se trouve l’exécutif.

Sondage Macron: Toujours plus bas à 26%

Sondage macron: Toujours plus bas à 26%

La proportion de Français qui ne lui font pas confiance est passée de 57 à 70 %. Mais le pire est l’accroissement de ceux qui ne lui « font pas du tout confiance ». Ils sont désormais 50 % (+ 9 points en un mois).

Élisabeth Borne, la première ministre, s’effondre de 6 points après l’utilisation du 49-3 à l’Assemblée nationale.

D’après le dernier sondage Odoxa Backbone-consulting, une majorité de la population se prépare à ce que la contestation se radicalise.

Le soutien à la mobilisation contre la réforme des retraites demeure élevé (66%), mais que le mouvement est attendu pour durer, voire se radicaliser.

Dans ce contexte, les Français attendent du président un geste. Celui du changement, notamment de sa première ministre, voire du Parlement tout entier. Un remaniement sans changement de chef de gouvernement est ainsi peu plébiscité (22%), tandis qu’un remplacement d’Élisabeth Borne est davantage encouragé (61%).

Plus radicale encore, une dissolution de l’Assemblée nationale apparaît comme une bonne idée pour 58% des sondés. Notamment les plus opposés à la réforme se trouvant du côté de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (72%). Soit les deux partis rivalisant depuis des semaines pour occuper le rôle de premier opposant à Emmanuel Macron, et ainsi tirer profit de l’impasse dans laquelle se trouve l’exécutif.

Le nucléaire divise toujours l’Europe

Le nucléaire divise toujours l’Europe

D’un côté une alliance contre le nucléaire menée par l’Autriche s’oppose toujours fermement au développement du nucléaire. Dans le même temps des études d’opinion montrent clairement que le nucléaire retrouve un net soutien dans la plupart des pays.

Depuis la crise énergétique , les opinions publiques sont nettement plus favorables au nucléaire pour produire de l’électricité. C’est ce que montre un rapport de la Fondation Robert-Schuman qui s’appuie sur des données Obs’COP et Dynamique de l’opinion publique.

« L’énergie nucléaire semble offrir une alternative de nouveau crédible », observent Mathieu Brugidou et Jérémy Bouillet, les auteurs de l’étude. Elle est poussée, d’une part, par sa reconnaissance au niveau européen dans le cadre de la taxonomie et, d’autre part, par la guerre « qui replace l’impératif de sécurité énergétique au coeur des débats sur l’énergie », selon eux. La même tendance est à l’oeuvre partout, quelles que soient les stratégies énergétiques des pays.

Mais parallèlement opposés s’organisent. L’Autriche, la Belgique, l’Estonie, le Danemark, l’Allemagne, l’Irlande, la Lettonie, le Luxembourg, les Pays-Bas, le Portugal et l’Espagne ont ainsi participé à une réunion afin d’élaborer une stratégie en vue des prochaines négociations.

L’impasse survient un jour avant que les pays de l’Union ne s’accordent sur des objectifs plus stricts en matière de développement des énergies renouvelables d’ici à 2030, un élément clé des plans du bloc visant à réduire les émissions de CO2 et à se sevrer du gaz russe. La France mène une campagne visant à faire reconnaître la contribution de « l’hydrogène à faible teneur en carbone », c’est-à-dire l’hydrogène produit à partir de l’énergie nucléaire. Les pays pro-nucléaires ont fait des demandes similaires concernant une loi régulant le marché du gaz, dont les ministres discuteront mardi.

La ministre autrichienne de l’Energie, Leonore Gewessler, a déclaré que les onze pays avaient rejeté la tentative de lier ces deux dossiers. « Le groupe demande des objectifs ambitieux pour la loi sur les énergies renouvelables afin d’avoir un mandat clair pour les investisseurs et les clients », a-t-elle précisé dans un communiqué. « Cela devrait permettre d’atteindre les objectifs stratégiques européens visant à devenir moins dépendant des importations d’énergie et à développer massivement les énergies locales et renouvelables », a indiqué la ministre.

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Pour résumer, le bla-bla habituel. D’abord une petite leçon juridique (inutile) sur le processus d’élaboration de la loi. Ensuite une explication très vaseuse à propos de la foule populace qu’il compare aux factieux du Capitole aux États-Unis. La rengaine de l’équilibre démographique (on fait quoi pour encourager la natalité ?). Quand même un tout petit mot pour les entreprises qui font trop de profits et qui rachètent leurs actions (ses amis). L’argument de l’opposition dont le conglomérat signifierait déficit. La fausse affirmation que des syndicats n’ont pas proposé de compromis. La reconnaissance de la colère et l’engagement de travaux sur le sens du travail, la reconversion et l’avancement. Bref les éboueurs pourront peut-être à partir de 55 ans pour passer le concours de l’ENA !. L’engagement gratuit vis-à-vis des branches dont les minima conventionnels sont en dessous du SMIC (la patate chaude renvoyée au Medef).

Pas de changement au gouvernement, Borne reste en place et va engager des travaux beaucoup plus réduits il y aura moins de lois, des textes plus courts et pour cause il a du mal à trouver une majorité. Autre affirmation fallacieuse » on a tout dépensé avant » comme si Macron en 6 ans n’avait pas fait sauter le plafond de la dette. « Bref oui il y a des problèmes mais tout va bien et les problèmes viennent surtout du covid, de la guerre et de l’inflation. Une manière de renvoyer en touche sa responsabilité.

Encore une intervention pour rien pour rabâcher toujours les mêmes fallacieux arguments concernant les risques financiers, les risques d’insurrection, les risques populistes. Le cri » le roi nu » résume le mieux l’imposture permanente de Macon, le cri qui dégonfle la baudruche, fait tomber le masque d’un président élu après avoir infiltré la gauche pour mieux se mettre au service des plus riches qui ont financé ses campagne

À la mauvaise foi, s’ajoute aussi pour Macron l’incompétence crasse. Certes il aura réussi à octroyer de nombreux cadeaux aux plus riches mais il aura sans doute plongé le pays dans une crise dont les conséquences se feront sentir pendant des dizaines d’années. Il a largement contribué à brader l’économie et en particulier l’industrie mais aussi l’agriculture.
Il va laisser les finances de la France dans un état lamentable puisque la dette aura augmenté d’environ 25 % durant son mandat (3000 milliards de dettes un record et 50 milliards de charges financières par an).

Le déficit de la balance du commerce, témoigne du déclin économique.(Un déficit supérieur à 150 milliards en 2022). La situation est dramatique dans nombre de champs régaliens ou le rôle de l’État est en jeu comme la santé, l’école, la sécurité, la justice. Jamais la drogue ne s’est répandue à une telle vitesse dans le pays du fait du laxisme de l’État et de l’abandon de nombre de banlieues véritables comptoirs ouverts aux stupéfiants.

Macron a aussi complètement échoué en politique internationale. Il se voyait déjà président de l’Europe et même du monde. En réalité, il est aussi rejeté par nombre de pays. Parmi ces erreurs fondamentales, il faut par exemple citer ses relations douteuses avec Poutine, puis sa tentative de ce rabibocher avec l’Ukraine. Résultat la France est mal vue dans les deux pays ! Même incompétence et même lâcheté en Afrique où la France a dû opérer des reculs honteux notamment au Mali au Burkina faso.
Un président, chef des armées qui n’a même pas fait son service militaire au motif qu’il poursuivaient des étude ce qui en dit long sur ses convictions.

Sur le plan démocratique, Macron se comporte comme un monarque dédaigneux ignorant volontairement les institutions et organisations représentatives y compris le Parlement.

L’histoire retiendra que ce président a plongé le pays de façon durable dans un déclin affectant les champs démocratiques, économiques, sociaux et même sociétaux.

Un président qui n’a plus de légitimité politique , de plus en plus seul comme dans un bunker à l’Élysée qui n’entend rien, n’écoute rien. Un autocrate incompétent et méprisant, dont la France devra se débarrasser rapidement pour ne pas tomber encore plus bas.

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Pour résumer, le bla-bla habituel. D’abord une petite leçon juridique (inutile) sur le processus d’élaboration de la loi. Ensuite une explication très vaseuse à propos de la foule populace qu’il compare aux factieux du Capitole aux États-Unis. La rengaine de l’équilibre démographique (on fait quoi pour encourager la natalité ?). Quand même un tout petit mot pour les entreprises qui font trop de profits et qui rachètent leurs actions (ses amis). L’argument de l’opposition dont le conglomérat signifierait déficit. La fausse affirmation que des syndicats n’ont pas proposé de compromis. La reconnaissance de la colère et l’engagement de travaux sur le sens du travail, la reconversion et l’avancement. Bref les éboueurs pourront peut-être à partir de 55 ans pour passer le concours de l’ENA !. L’engagement gratuit vis-à-vis des branches dont les minima conventionnels sont en dessous du SMIC (la patate chaude renvoyée au Medef).

Pas de changement au gouvernement, Borne reste en place et va engager des travaux beaucoup plus réduits il y aura moins de lois, des textes plus courts et pour cause il a du mal à trouver une majorité. Autre affirmation fallacieuse » on a tout dépensé avant » comme si Macron en 6 ans n’avait pas fait sauter le plafond de la dette. « Bref oui il y a des problèmes mais tout va bien et les problèmes viennent surtout du covid, de la guerre et de l’inflation. Une manière de renvoyer en touche sa responsabilité.

Encore une intervention pour rien pour rabâcher toujours les mêmes fallacieux arguments concernant les risques financiers, les risques d’insurrection, les risques populistes. Le cri » le roi nu » résume le mieux l’imposture permanente de Macon, le cri qui dégonfle la baudruche, fait tomber le masque d’un président élu après avoir infiltré la gauche pour mieux se mettre au service des plus riches qui ont financé ses campagne

À la mauvaise foi, s’ajoute aussi pour Macron l’incompétence crasse. Certes il aura réussi à octroyer de nombreux cadeaux aux plus riches mais il aura sans doute plongé le pays dans une crise dont les conséquences se feront sentir pendant des dizaines d’années. Il a largement contribué à brader l’économie et en particulier l’industrie mais aussi l’agriculture.
Il va laisser les finances de la France dans un état lamentable puisque la dette aura augmenté d’environ 25 % durant son mandat (3000 milliards de dettes un record et 50 milliards de charges financières par an).

Le déficit de la balance du commerce, témoigne du déclin économique.(Un déficit supérieur à 150 milliards en 2022). La situation est dramatique dans nombre de champs régaliens ou le rôle de l’État est en jeu comme la santé, l’école, la sécurité, la justice. Jamais la drogue ne s’est répandue à une telle vitesse dans le pays du fait du laxisme de l’État et de l’abandon de nombre de banlieues véritables comptoirs ouverts aux stupéfiants.

Macron a aussi complètement échoué en politique internationale. Il se voyait déjà président de l’Europe et même du monde. En réalité, il est aussi rejeté par nombre de pays. Parmi ces erreurs fondamentales, il faut par exemple citer ses relations douteuses avec Poutine, puis sa tentative de ce rabibocher avec l’Ukraine. Résultat la France est mal vue dans les deux pays ! Même incompétence et même lâcheté en Afrique où la France a dû opérer des reculs honteux notamment au Mali au Burkina faso.
Un président, chef des armées qui n’a même pas fait son service militaire au motif qu’il poursuivaient des étude ce qui en dit long sur ses convictions.

Sur le plan démocratique, Macron se comporte comme un monarque dédaigneux ignorant volontairement les institutions et organisations représentatives y compris le Parlement.

L’histoire retiendra que ce président a plongé le pays de façon durable dans un déclin affectant les champs démocratiques, économiques, sociaux et même sociétaux.

Un président qui n’a plus de légitimité politique , de plus en plus seul comme dans un bunker à l’Élysée qui n’entend rien, n’écoute rien. Un autocrate incompétent et méprisant, dont la France devra se débarrasser rapidement pour ne pas tomber encore plus bas.

Image des Syndicats : toujours positive auprès des salariés malgré le déclin

Image des Syndicats : toujours positive auprès des salariés malgré le déclin

Par Tristan Haute, Maître de conférences, Université de Lille dans the conversation


Le mouvement social contre la réforme des retraites a suscité un certain étonnement quant à la place qu’y occupent les organisations syndicales. Celles-ci sont parvenues à s’unir dans la durée et à mobiliser plusieurs millions de personnes dans les rues depuis le 19 janvier 2023. Non seulement le mouvement social qu’elles portent s’avère particulièrement populaire, mais c’est aussi le cas des modes d’action privilégiés et en particulier de l’appel à « bloquer le pays » du 7 mars 2023. En outre, selon plusieurs enquêtes d’opinion, les organisations syndicales sont celles qui incarnent le mieux l’opposition au gouvernement et au Président de la République. Enfin, la centralité des syndicats et de leurs « directions » ne semble pas, pour l’heure, être remise en cause que ce soit par d’autres organisations, notamment politiques, ou par des bases parfois mythifiées comme plus combatives.

Ces éléments n’ont toutefois rien de surprenant. En effet, un examen minutieux du rapport des salariés aux syndicats ces dernières années révèle que, si les salariés sont peu syndiqués, ils ont toutefois une bonne image des syndicats.

Nombreux seraient, depuis déjà plusieurs décennies, les indices d’un déclin du fait syndical en France. La syndicalisation, déjà très faible depuis plusieurs décennies, a enregistré un léger recul ces dernières années. En 2019, 10,3 % des salariés étaient syndiqués contre 11,2 % en 2013. Il en est de même de la participation des salariés aux grèves et aux élections professionnelles qui déclinent depuis le milieu des années 2000. Enfin, la « confiance » des salariés dans les syndicats est minoritaire (45,1 % dans l’édition 2022 du baromètre de la confiance politique du CEVIPOF).

Plusieurs événements ont d’ailleurs pu récemment illustrer ce déclin syndical, comme le mouvement des « gilets jaunes » qui s’est construit à l’hiver 2018-2019 en dehors des organisations syndicales ou encore la crise sanitaire qui, avec le recours massif à un télétravail quasi permanent, a pu éloigner les salariés des syndicats.

Cependant, un examen plus attentif des rapports des salariés aux organisations syndicales vient nuancer un tel discours décliniste. Ainsi, les exemples de mobilisations impulsées par les organisations syndicales ayant connu un certain succès en termes de participation des salariés et de popularité ne manquent pas ces dernières années, à commencer par le mouvement contre le projet de réforme des retraites de l’hiver 2019-2020.

Surtout, le rapport des salariés aux syndicats, s’il s’est distendu, n’est pas rompu. Ainsi si, en 2016, seuls 11 % des salariés étaient syndiqués et si seuls 6,9 % avaient fait grève cette même année (alors qu’avait eu lieu un mouvement social interprofessionnel contre la Loi Travail), 43 % avaient voté aux dernières élections professionnelles selon l’enquête SRCV, un chiffre qui n’est pas négligeable d’autant plus que nombre de salariés ne peuvent voter à ces élections faute de scrutin sur leur lieu de travail.

De plus, la « confiance » des salariés dans les syndicats n’a que très peu évolué depuis la fin des années 1970 : en 1978, 50,1 % des salariés faisaient confiance aux syndicats selon l’enquête post-électorale du CEVIPOF contre 45,1 % en 2022 alors même que, sur la même période, le taux de syndicalisation en France a fortement décliné. Ce paradoxe se retrouve à l’échelle européenne. Enfin, dépasser cette notion de « confiance » permet de faire état d’une image plus positive des syndicats.

L’indicateur retenu pour apprécier l’image qu’ont les salariés des syndicats est souvent la confiance qu’ils placent en eux. Or, cette notion de confiance apparaît problématique. En effet, le degré de confiance peut s’exprimer de manière générale (sentiment de confiance) ou pour un objectif particulier (défendre l’emploi, les salaires, les conditions de travail… au niveau local, au niveau sectoriel ou au niveau national) et, dans ce dernier cas, la capacité d’action des syndicats ne dépend pas uniquement d’eux-mêmes, mais aussi du contexte politique, économique et social.

Plusieurs analyses mettent d’ailleurs au jour les attitudes ambivalentes des salariés vis-à-vis des syndicats. Ainsi, en Belgique, où plus de la moitié des salariés sont syndiqués (57,2 %), la faible « confiance » dans les syndicats (23,8 %) s’articule avec une large approbation de leur nécessité pour protéger les droits sociaux et avec un sentiment majoritaire que les syndicats défendent les intérêts des salariés et des chômeurs.

59,1 % des salariés estiment que « les travailleurs ont besoin de syndicats forts pour protéger leurs intérêts ». Shutterstock
En France, diversifier les indicateurs mesurant l’image qu’ont les salariés des syndicats fait apparaître une forte demande de syndicats, à l’image de ce qui est observé au niveau européen, et une certaine appréciation de leurs actions.

Dans une enquête ISSP parue en 2015, 59,1 % des salariés répondants estiment que « les travailleurs ont besoin de syndicats forts pour protéger leurs intérêts » et seuls 23,4 % estiment que « des syndicats forts sont mauvais pour l’économie de la France ». De même, dans l’enquête post-électorale People2022 que nous avons réalisée à l’issue du second tour de l’élection présidentielle de 2022, 64,5 % des salariés répondants sont d’accord avec le fait que les syndicats rendent des services aux salariés et seuls 23,9 % sont en désaccord avec cette affirmation.

Les attitudes des salariés à l’égard des syndicats varient toutefois fortement selon leurs caractéristiques sociales et selon leur positionnement politique. Les jeunes n’ont ainsi, contrairement à une idée reçue, pas une plus mauvaise perception des syndicats que leurs aînés alors que les femmes salariées ont le plus souvent une perception positive des syndicats. De même, le fait de côtoyer l’action syndicale est fortement corrélé à l’expression d’opinions très positives à l’égard des syndicats.

Sur le plan socioprofessionnel, la perception des syndicats est moins positive dans les petits établissements et surtout dans les couches supérieures du salariat du secteur privé, et en particulier des cadres et professions intermédiaires administratives et commerciales, des salariés les plus autonomes et des salariés travaillant au forfait (trois groupes qui se recoupent fortement).

À l’opposé, les salariés du public, qu’ils soient cadres ou, dans une moindre mesure, employés, ainsi que certaines fractions des couches inférieures du salariat du secteur privé ont une perception bien plus positive des syndicats, y compris les salariés en contrat précaire ou qui craignent perdre leur emploi. Les syndicats, s’ils ne parviennent pas à faire adhérer une partie significative des classes populaires salariées, notamment dans les fractions les plus précarisées, bénéficient donc encore, parmi ces salariés, d’une image quasiment aussi positive que dans le secteur public et bien plus positive que parmi les fractions supérieures et stabilisées du salariat du secteur privé.

Au-delà des caractéristiques socioprofessionnelles, on constate également que les attitudes des salariés à l’égard des syndicats varient fortement selon leur positionnement politique sur un axe gauche-droite. Plus les salariés se situent à gauche, plus ils ont une perception positive des syndicats (voir tableau), à l’image de ce qui a déjà été observé au niveau européen. À l’inverse, les salariés se positionnant très à droite, s’ils peuvent manifester une certaine défiance à l’égard du gouvernement, se montrent significativement plus hostiles aux syndicats. Ce résultat révèle ainsi que si, lors du mouvement social actuel, l’opposition au gouvernement peut être aussi intense à l’extrême droite qu’à gauche, le fait d’approuver l’action des syndicats et, plus encore, de participer à la mobilisation reste bien plus répandu parmi les salariés qui se positionnent à gauche.

À ce titre, rappelons que les syndiqués non seulement votent davantage pour la gauche, mais qu’ils ont également des attitudes davantage pro-environnementales, favorables aux droits des immigrés ou encore favorables aux droits des personnes LGBTQI+.

Pour terminer, l’analyse que nous avons mené des enquêtes REPONSE (Relations professionnelles et négociations d’entreprise) réalisées en 2011 et en 2017 par le Ministère du travail montre un tassement des attitudes favorables aux syndicats des salariés du secteur privé, non pas au profit d’attitudes défavorables (elles aussi en recul), mais d’attitudes indifférentes.

Les attitudes indifférentes sont plus répandues parmi les femmes salariées, parmi les salariés les moins diplômés, parmi les salariés les plus jeunes ainsi que parmi les salariés précaires et, plus généralement, parmi les salariés qui ne sont pas confrontés, sur leur lieu de travail, à l’action syndicale. Cette indifférence qui progresse représente un second défi pour les organisations syndicales qui doivent sans cesse repenser leurs modalités de contact avec les salariés dans un contexte de déstabilisation des collectifs de travail (recours accru à la sous-traitance, aux contrats précaires ou encore au télétravail).

Le premier défi des organisations syndicales, a fortiori dans le cadre du mouvement social actuel, est dès lors de transformer cette perception plutôt positive des syndicats en participation effective à la mobilisation, ce qui n’a rien d’évident tant la

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