Archive pour le Tag 'pétrole'

Pétrole : en recul

Pétrole : en recul

 

Des mouvements de yo-yo pour le pétrole dans les prix sont actuellement en baisse mais la tendance devrait se maintenir autour de 80 $. Les cours du pétrole ont reculé mercredi, affaiblis par un rebond des stocks américains de brut et par les nouvelles évolutions autour de l’instauration de droits de douane aux États-Unis. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, a baissé de 1,17% à 76,58 dollars. Le cours de son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, a perdu 1,56% à 72,62 dollars.

Début janvier, les prix du Brent et du WTI ont dépassé 80 dollars le baril. Les opérateurs attendent désormais la réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) lundi prochain, à l’occasion d’un comité ministériel conjoint de suivi (JMMC). La semaine dernière, M. Trump a demandé au cartel, en visant notamment l’Arabie saoudite, de faire baisser les prix du pétrole en augmentant sa production.

Facteur supplémentaire de baisse des prix: selon certains analystes, l’alliance Opep+ pourrait être plus encline à ne pas repousser de nouveau la réintroduction des 2,2 millions de barils de réductions de production consenties par huit des pays membres (dont l’Arabie saoudite et la Russie).

 

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Les sanctions américaines contre la Russie font monter le cours du pétrole

Les sanctions américaines contre la Russie font monter le cours du pétrole

 

Les  États-Unis s’apprêteraient à prendre des mesres contre la «flotte fantôme» russe ( (Navires qui circulent déjà avec de faux pavillons pour éviter les sanctions déjà prises), ce qui pourrait avoir un impact sur les exportations pétrolières du Kremlin. Vers 14H20 GMT (15H20 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, monte de 4,50% à 80,38 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en février, augmente de 4,80% à 77,47 dollars. «Les États-Unis devraient annoncer prochainement de nouvelles sanctions contre la Russie», affirment les analystes de DNB, «y compris sur de nombreux pétroliers, ce qui perturbera davantage les exportations de brut russe».

 

Pétrole : les prix reculent devant les incertitudes chinoises

Pétrole : les prix reculent devant les incertitudes chinoises

Premier importateur mondial de pétrole, la Chine «ne parvient pas à stimuler son économie depuis plusieurs mois», a rappelé John Kilduff, analyste d’Again Capital. Dernier indicateur en date: la croissance des ventes de détail en Chine a ralenti en novembre, selon des chiffres officiels publiés lundi, signe d’une consommation toujours atone malgré un semblant de reprise le mois précédent. Les ventes de détail ont progressé de seulement 3% sur un an en novembre, a annoncé le Bureau national des statistiques (BNS), un ralentissement significatif par rapport aux 4,8% enregistrés en octobre. Ce chiffre est nettement inférieur aux prévisions des analystes sondés par l’agence Bloomberg (5%).

Cours Pétrole : Légère baisse en raison d’un tassement de la croissance

Cours Pétrole : Légère baisse en raison d’un tassement de la croissance

Le tassement mondial de la croissance sortirent sur la demande de pétrole. En effet, les cours du pétrole ont terminé en légère baisse jeudi. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a abandonné 0,15% à 73,41 dollars.

Les prévisions sur le marché du pétrole ne sont pas optimistes, le rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publié jeudi, indique «un excédent d’offre de 950.000 barils par jour en 2025», et même de «1,4 million de barils par jour» si l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) réintroduit, comme prévu actuellement, une partie de ses barils sur le marché à partir d’avril. . L’Opep a revu à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2024 et 2025, invoquant des difficultés persistantes dont  celles découlant de la situation en Syrie.

Pétrole: Hausse après les changements en Syrie

Pétrole : Hausse après les changements en Syrie

 

Pas vraiment de grosses modifications mais quelques évolutions à la hausse du fait des conséquences possibles de la situation en Syrie sur des pays producteurs comme l’Iran ou encore la Russie fragilisées par le départ d’Assad .

Les cours du pétrole ont progressé lundi, poussés par l’instabilité au Proche-Orient au lendemain de la chute de Bachar el-Assad en Syrie, et soutenus par le maintien des coupes de l’Opep+ jeudi dernier. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour liaison en février, a gagné 1,43% à 72,14 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en janvier, s’est octroyé 1,74% à 68,37 dollars.

. La chute d’Assad «soulève des questions sur les facteurs de risque géopolitiques», a observé dans une note Phil Flynn, de Price Futures Group. «Il n’y a pas de conséquences immédiates pour le pétrole, si ce n’est que la position de l’Iran et de la Russie dans la région est considérablement affaiblie», précise Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB.

 

Pétrole : Légère hausse

Pétrole : Légère hausse

Une légère hausse en raison des incertitudes géo politiques et de son influence sur la demande. Les cours du pétrole se sont cabrés mardi après que plusieurs médias ont fait état d’un possible nouveau report de l’augmentation de production de l’alliance Opep+ pour tenir compte d’un risque de déséquilibre du marché en 2025. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a gagné 2,52%, pour clôturer à 73,62 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en janvier a pris 2,70%, à 69,94 dollars.

Selon l’agence Bloomberg, les pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs alliés de l’accord Opep+ s’orientent vers un nouveau décalage du calendrier d’accélération de leur production. Après avoir déjà reporté le début de la hausse d’octobre à décembre, puis à janvier, le cartel s’apprêterait à le repousser à début avril. «Il semble qu’on va avoir un accord qui va nous emmener jusqu’à la fin du trimestre», le premier de 2025, a commenté Phil Flynn, de Price Futures Group, «et cela a clairement soutenu le marché.»

 

Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), «même si les coupes de production de l’Opep+ étaient maintenues, l’offre mondiale dépasserait la demande de plus d’un million de barils par jour l’an prochain», a indiqué l’organisation dans son dernier rapport mensuel. Pour Phil Flynn, les prix de l’or noir ont aussi été stimulés par ce qui apparaît comme des entorses au cessez-le-feu au Liban, à savoir des frappes aériennes israéliennes et des tirs de mortier du mouvement pro-iranien Hezbollah. Après être passé au-dessus du seuil symbolique de 70 dollars le baril, le WTI s’est néanmoins replié légèrement en-dessous avant la clôture. «Il y a eu un petit peu de scepticisme et quelques prises de bénéfices», selon Phil Flynn. Les opérateurs «veulent voir les chiffres de stocks américains» de pétrole, dont l’état sera publié mercredi, «avant de se lancer à l’achat. Mais si on parvient à clôturer au-delà de 70 dollars, on va pouvoir commencer à remonter.»

Pétrole : maintien des restrictions de production

Pétrole : maintien des restrictions de production

Dimanche, huit membres de l’Opep+ -Arabie Saoudite, Russie, Irak, Emirats Arabes Unis, Koweït, Kazakhstan, Algérie et Oman- ont annoncé dimanche une extension de leurs coupes de production de pétrole jusqu’à fin décembre, reportant ainsi la réouverture des vannes.

Les huit pays « ont convenu de prolonger d’un mois leurs réductions volontaires supplémentaires de production de 2,2 millions de barils par jour », a indiqué l’alliance dans un communiqué.

Cette décision vise à soutenir les prix, le WTI américain et le Brent se situant autour de 70 dollars face à une demande incertaine et une offre qui accélère.

Les cours sont minés depuis plusieurs mois par les incertitudes économiques, notamment en Chine, deuxième consommateur mondial et principal moteur de la croissance de la demande mondiale de pétrole, et aux Etats-Unis, suspendus aux résultats de l’élection américaine prévue le 5 novembre.

Pétrole: Stable pour le moment

Pétrole:  Stable pour le moment

 

Le cours du pétrole  est assez stable pour le moment en raison de l’éloignement du scénario d’embrasement général au Moyen-Orient. Il semble bien en effet que l’Iran ait pris conscience du rapport des forces défavorables face à Israël. On évoque même des hypothèses de négociation entre les parties pour mettre fin à la guerre notamment avec le Liban et à Gaza. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en décembre, a lâché 0,42%, à 71,12 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, a abandonné 0,25%, à 67,21 dollars.

 

Pétrole: Crainte d’une attaque d’Israël

Pétrole: Crainte d’une attaque d’Israël

Les cours du pétrole ont fini en nette hausse mardi, stimulés par un indicateur de demande favorable en Chine ainsi que par la perspective d’une possible attaque imminente d’Israël sur l’Iran. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre a pris 2,35%, pour clôturer à 76,04 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en novembre, dont c’était le dernier jour de cotation, s’est lui apprécié de 2,17%, à 72,09 dollars.

 De manière générale, selon Daniel Ghali, de TD Securities, les opérateurs se montrent plus optimistes, ces deniers jours, sur la santé de la demande globale, une dynamique qui se traduit aussi sur les cours des métaux comme le cuivre ou l’argent.

 

Pétrole : Au-dessus des 80 dollars

Pétrole : Au-dessus des 80 dollars

En raison des inquiétudes géopolitiques au Moyen-Orient notamment ( En plus des menaces d’un ouragan dans le Golfe du Mexique), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en décembre, a pris 3,69% à 80,93 dollars, au plus haut depuis fin août.

 

Depuis l’attaque iranienne aux missiles sur Israël, mardi dernier, le monde attend la riposte promise par l’Etat hébreu.

Pour les analystes d’Eurasia Group, «les autorités iraniennes semblent se préparer» à ce qu’Israël s’en prenne à des sites pétroliers.

Si le marché était privé de tout ou partie de la production iranienne de brut, le Brent pourrait monter jusqu’à 90 dollars le baril, estiment les analystes de Goldman Sachs.

 

Déclin du pétrole : Pas avant 2050 pour l’OPEP

Déclin du pétrole : Pas avant 2050 pour l’OPEP
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole prévoit que la demande en or noir continuera de progresser au moins jusqu’en 2050. Ces prévisions contredisent  celles de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) et les intentions manifestées dans la Cop 28.
L’OPEP prévoit que la demande en or noir continuera de progresser au moins jusqu’en 2050, un cap symbolique de la lutte contre le changement climatique.

« Ces prévisions soulignent que le fantasme de la sortie progressive du pétrole et du gaz n’est pas conforme à la réalité », a donc déclaré donc l’organisation emmenée par l’Arabie saoudite, et très critique sur le rythme de la transition énergétique.

Afin de satisfaire cette demande grandissante de brut, l’Opep estime par ailleurs à plus de 17.000 milliards de dollars (environ 15,2 milliards d’euros) le montant des investissements cumulés nécessaires pour le secteur, soit quelque 640 milliards de dollars par an en moyenne d’ici 2050, majoritairement dans l’exploration et la production d’or noir.

L’Opep, pour sa part, ne voit pas de recul autre que celui de la demande de charbon, tablant, outre le pétrole, sur une forte progression de l’appétit mondial pour le gaz, derrière toutefois l’éolien et le solaire réunis, qu’elle voit quintupler sur la période 2023-2050.

L’évolution de la demande pétrolière est toutefois très hétérogène, sa croissance étant portée par les pays hors OCDE, au premier rang desquels l’Inde, alors qu’elle baissera à compter de 2030 chez les pays de l’OCDE (principalement des pays développés). A elle seule, l’Inde verrait sa demande croître de 8 mb/j sur 2023-2050.

Ces prévisions de l’Opep vont à rebours des efforts requis pour limiter le réchauffement planétaire. Elles sont également en fort décalage avec les prévisions de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), qui anticipe un pic de la demande pour toutes les énergies fossiles – pétrole, gaz et charbon – « dans les prochaines années » de la décennie en cours, grâce au bond des énergies plus propres .

A la COP28 à Dubaï en 2023, le monde s’est accordé pour abandonner progressivement les énergies fossiles et, d’ici 2030, tripler la capacité des renouvelables, afin d’atteindre la neutralité carbone en 2050, conformément aux recommandations des experts du climat.

Dans son rapport, l’Opep salue à ce sujet le « jalon important » qu’a constitué la COP 28, organisée chez un de ses membres à Dubaï, qui avait acté « le début de la fin » des énergies fossiles. Elle s’attend néanmoins à une « pression », tant des décideurs politiques que des populations sur des ambitions « trop élevées » en matière de déploiement des énergies renouvelables ou des véhicules électriques.

 

Pétrole: Rebond du Brent à 75 $

Pétrole: Rebond du Brent à 75 $

 

 Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a clôturé en hausse de 1,72%, à 75,17 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain de même échéance a lui glané 1,69%, à 71,56 dollars. En cause surtout les intentions de reprise en Chine avec notamment la baisse d’un de ses taux directeurs. Toutefois la diffusion dans l’économie réelle demandera plusieurs mois surtout avec les mesures protectionnistes prises contre la Chine un peu partout. En outre les scénarios économiques ne permettent pas d’envisager une très nette reprise de l’activité économique mondiale en 2025 surtout avec les risques géopolitiques

 

Rebond du pétrole ?

Rebond du pétrole ?

 

Le pétrole a enregistré un léger rebond de nature technique. En fait il s’agit d’un réajustement. Le baril de Brent de la mer du Nord se situe encore sous les 80 $ à 77 $ le 22 août 2024 ;  ( 79 $ au 24 août 2024). Les opérateurs avaient sans doute trop hypothéquer la baisse du pétrole. Certes la tendance économique est à la baisse de la demande du fait du tassement de la croissance notamment en Chine mais d’un autre côté il y a les mesures de restriction de production des pays producteurs et les menaces géo politiques. Tout laisse à penser que le pétrole devrait retrouver un niveau moyen de 80 $ environ.

 

Un rebond du pétrole ?

Un rebond du pétrole ?

 

Le pétrole a enregistré un léger rebond de nature technique. En fait il s’agit d’un réajustement. Le baril de Brent de la mer du Nord se situe encore sous les 80 $ à 77 $ hier 22 août 2024. Les opérateurs avaient sans doute trop hypothéquer la baisse du pétrole. Certes la tendance économique est à la baisse de la demande du fait du tassement de la croissance notamment en Chine mais d’un autre côté il y a les mesures de restriction de production des pays producteurs et les menaces géo politiques. Tout laisse à penser que le pétrole devrait retrouver un niveau moyen de 80 $ environ.

 

Pétrole : léger repli

Pétrole : léger repli

Finalement c’est surtout grâce aux incertitudes concernant la croissance chinoise que l’on doit la baisse légère du pétrole. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre s’est en effet  contracté de 0,27%, pour clôturer à 82,40 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en août, dont c’était le dernier jour de cotation, a lui cédé 0,43%, à 79,78 dollars. C’est la première fois depuis mi-juin que le WTI finit sous le seuil de 80 dollars.

«L’opinion qui se répand de plus en plus», ajoute l’analyste Bart Melek , «c’est que faute de vraie relance en Chine et avec un ralentissement marqué de l’économie américaine, il y a un risque que nous ayons plus de pétrole que nécessaire.» «Donc beaucoup de ceux qui jouaient à la hausse se retirent», selon Bart Melek.

Les analystes de TD Securites voient le prix du WTI glisser encore jusqu’autour de 78 dollars le baril. Lundi, l’écart entre le contrat rapproché du WTI, celui d’août, et le suivant, avec livraison en septembre, a atteint son plus haut niveau depuis plus de neuf mois.

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