Archive pour le Tag 'mois'

Marchés et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Marchés et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de 10 à 145 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change, des marchés obligataires et des taux d’intérêt.

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de 10 à 145 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change, des marchés obligataires et des taux d’intérêt.

Semi-conducteurs, smartphones, ordinateurs: des droits de douane « dans un mois ou deux » ?

Semi-conducteurs, smartphones, ordinateurs: des droits de douane « dans un mois ou deux » ?

Alerté par les géants de l’attaque, le président américain a dû sérieusement reculer à propos de la supère taxation des importations de Chine concernant le secteur.

Et pour cause la plupart de tout ou partie de l’industrie Tech est fabriquée en Asie et subirait de plein fouet les droits de douane américain. Désormais c’est la certitude qui règne quant à la décision finale des nouvelles taxes douanières. Pour tenter de rassurer, le secrétaire américain au Commerce, Howard Lutnick, a déclaré ce dimanche 13 avril que les smartphones et les ordinateurs qui ont été exemptés des droits de douane imposés par les États-Unis à la Chine feraient, finalement, l’objet de droits de douane distincts qui seront mis en place dans environ un mois.
Des droits de douane seront appliqués dans « un mois ou deux » sur les semi-conducteurs, un secteur pour l’instant épargné par la surtaxe de 10% contre la plupart des partenaires commerciaux des États-Unis, a déclaré le secrétaire au Commerce américain ce dimanche 13 avril. Les smartphones et les ordinateurs seront également compris dans ces nouvelles mesures commerciales agressives. Mais il n’y a aucune certitude dans ce domaine tout dépendra de l’évolution de la balance commerciale des États-Unis vis-à-vis de l’Asie

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de 10 à 145 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change.

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de 10 à 145 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change.

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de zéro à 100 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change.

Bourses: Le yo-yo pendant des mois

Bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de zéro à 100 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change.

Iran: Ultimatum de Trump de deux mois sur le nucléaire

Iran: Ultimatum de Trump de deux mois sur le nucléaire

«Le président Trump a clairement indiqué à l’ayatollah Khamenei qu’il souhaitait résoudre le différend concernant le programme nucléaire iranien par la voie diplomatique – et très rapidement – ​​et que si cela n’était pas possible, il y aurait d’autres moyens de le résoudre», a déclaré Brian Hughes, porte-parole du Conseil de sécurité nationale, dans un communiqué à CNN.

Tesla: Plus de 900 milliards de dollars perdus en trois mois

Tesla: Plus de 900 milliards de dollars perdus en trois mois

Le cours du constructeur a chuté de plus de 15% à la Bourse de New York ce lundi, à 241,30 dollars. L’entreprise dirigée par Elon Musk a vu sa capitalisation boursière divisée par deux depuis la fin d’année dernière.

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La chute se poursuit pour le constructeur automobile pionnier des véhicules électriques. Le cours de l’entreprise a dégringolé de 15,43% à 241,30 dollars à la clôture de Wall Street, sa pire séance en Bourse depuis 2020, et a effacé 130 milliards de dollars de capitalisation boursière.. Sur le plus long terme, la dégringolade est vertigineuse : Tesla a vu sa capitalisation boursière être divisée par deux depuis décembre. C’est plus de 900 milliards de dollars de capitalisation boursière qui sont partis en fumée.

Le plongeon du titre s’inscrit dans une tendance plus large de baisse des cours à Wall Street, notamment des valeurs technologiques, face aux craintes sur l’état de l’économie américaine.

Belgique: un gouvernement enfin après sept mois et demi

Belgique: un  gouvernement enfin après sept mois et demi

Il aura fallu sept mois et demi pour que la Belgique trouve un accord avec les principaux partis afin de former enfin un gouvernement.

Un accord autour des conservateurs flamands et de leur leader Bart De Wever, à qui devrait devenir le poste de premier ministre. Bart De Wever, pilote de cette négociation ardue depuis l’été dernier, avait lui-même fixé l’échéance du 31 janvier pour aboutir à un accord, prévenant qu’il risquait de renoncer définitivement à sa mission en cas d’échec. In extremis, il a été reçu peu après 22h00 (21h00 GMT) par le roi Philippe, à qui il a fait part de l’accord intervenu entre les cinq partenaires, selon le Palais royal.

 

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Retraites: la réforme rediscutée dans un délai de six mois mais sans suspension

Retraites: la réforme rediscutée dans un délai de six mois mais sans suspension

La discussion sur les retraites sera bien reprise et elle sera cadrée dans un délai de six mois. Par contre elle ne sera pas suspendue ne pas donner des éléments d’incertitude supplémentaire aux institutions financières susceptibles de punir encore davantage la France à travers les taux d’intérêt par exemple.

François Bayrou a dit lundi refuser de suspendre ou de geler la réforme des retraites de 2023, comme le demande la gauche, après avoir proposé jeudi aux forces politiques de rouvrir une discussion sur cette réforme pendant neuf mois.

«Non, je ne ferai pas ça. Dans quel monde vivent-ils ? Est-ce qu’ils savent que la France est observée, scrutée parce qu’on appelle les agences» de notation, «et si (leurs) notes ne sont pas bonnes, alors les taux d’intérêts explosent ?», a justifié le Premier ministre sur BFMTV. «Il y a tous les compromis possibles. S’il existe, je suis prêt», a ajouté M. Bayrou, qui s’est aussi dit «prêt» à ramener le délai de discussion de neuf «à six mois».

A 69-Décision reportée dans plusieurs mois

Autoroute A69 : Décision reportée dans plusieurs mois

On ne saura pas avant plusieurs mois s’il existe une « raison impérative d’intérêt public majeur (RIIPM) », justifiant la construction de l’autoroute A69 Toulouse-Castres. Alors opposants et partisans se sont affrontés le 25 novembre dernier devant le tribunal administratif de Toulouse, à coups de chiffres économiques pour évaluer l’impact de cette future liaison sur le développement du bassin castrais, la justice a annoncé ce lundi rouvrir l’instruction du dossier.

 

Le tribunal administratif tiendra « dans les prochains mois, une nouvelle audience en vue de se prononcer sur la légalité de ces autorisations environnementales ».

La décision ouvre la voie à une poursuite du chantier entamé il y a plus d’un an. Le concessionnaire chargé de mener le chantier, Atosca, a indiqué fin novembre que l’ensemble des terrassements ont débuté et que 45% des volumes ont été réalisés. Par ailleurs, 70% des ouvrages d’art ont été réalisés et 60% du budget a déjà été engagé. Le porteur du projet espère une mise en service du tronçon routier de 53 kilomètres d’ici fin 2025.

 

Fonctionnaires locaux : jusqu’à un mois de jours de maladie dans les villes de plus de 100 000 habitants

Fonctionnaires locaux  : jusqu’à un mois de jours de maladie dans les villes de plus de 100 000 habitants

 

Le nombre d’arrêts maladie des fonctionnaires locaux est proportionnelle à la taille de l’institution locale. Ainsi dans les villes de plus de 100 000 habitants, on  peut compter jusqu’à 30jours  de maladie pour les fonctionnaires sur une année. Un chiffre qui par ailleurs difficilement compréhensible puisqu’il dépasse de loin les absences hors congés du privé.

Selon les chiffres de l’Insee figurant dans le rapport de l’inspection générale des finances, en 2022, le nombre moyen de jours d’absence hors congés était effectivement plus élevé dans la fonction publique que dans le privé: 19,2 contre 16,1, soit trois jours de plus.

Depuis le Covid, dans le privé, on est passé de 8,4 à 11,7 jours, soit une augmentation de 39%. Dans la fonction publique, l’ampleur de cette envolée est loin d’être uniforme. Chez les enseignants, le nombre de jours d’arrêts pour raison de santé était en 2022 identique à celui des salariés du privé (11,7) alors qu’en 2019, l’Education nationale gérait plus facilement les absences, avec une moyenne de 5,5 jours.

Les données de l’Insee montrent également une très forte augmentation du nombre de jours d’absence pour raison de santé dans les hôpitaux publics (+74% avec 18,1 jours en moyenne) et dans les collectivités territoriales (+53%, 17,1 jours), ce qui représente 6 à 7 jours de plus d’arrêts par rapport à 2019. Pour la fonction publique hospitalière, cela peut se comprendre, mais pour les fonctionnaires territoriaux, cela pose davantage question.

Augmentation des retraités: reportée de six mois

Augmentation des retraités: reportée de six mois

Dans le projet de budget présenté au conseil des ministres, il a bien été confirmé que la revalorisation des retraites sera reportée de six mois pour économiser 3,6 milliards d’euros. Une orientation qui risque de faire du bruit. 

Une mesure qui va évidemment susciter des débats enflammés à l’assemblée compte tenu notamment de ce que représente sociologiquement et politiquement les retraités.

Sur le fond, c’est une mesure de gribouille qui ne traite pas la vraie question de l’évolution structurelle du coût des retraites dans la richesse nationale, son mode de financement et son équilibre. Pour tout  dire c’est du bidouillage qui découle tout simplement notamment du fait que l’impôt sur les plus fortunés, lui, annoncé à grand renfort de trompettes pour faire passer la pilule ,  ne rapportera pas grand-chose.

Comme l’avait indiqué le gouvernement la semaine dernière, le projet de loi de finances (PLF) prévoit bien le report du 1er janvier au 1er juillet 2025 de l’indexation des retraites sur l’inflation. Les pensions seront donc gelées pendant six mois. Une mesure qui doit permettre, selon les projections de l’exécutif, de récupérer 3,6 milliards d’euros. Théoriquement, chaque 1er janvier, comme le Code de la Sécurité sociale le précise, les pensions de vieillesse servies par le régime général et les régimes alignés sur lui sont revalorisées «sur la base d’un coefficient égal à l’évolution de la moyenne annuelle des prix à la consommation, hors tabac, calculée sur les douze derniers indices mensuels de ces prix publiés par l’Insee».

De nombreux économistes recommandaient, dans le contexte budgétaire contraint, un an de gel des pensions, au motif que le niveau de vie des retraités serait aujourd’hui supérieur à celui des actifs – une thèse réfutée par les données officielles. Emmanuel Macron les avait contredits lors de sa conférence de presse de juin dernier, assurant que les retraites seraient «bien indexées sur l’inflation». Les Républicains (LR) faisaient aussi de toute minoration des pensions une ligne rouge. En optant pour un simple décalage de six mois, le gouvernement Barnier joue sur un entre-deux qui devrait, espère-t-il, éviter les blocages à l’Assemblée et les contestations trop brûlantes.

«Le principe de l’indexation des retraites sur l’inflation n’est pas remis en cause, mais la date de revalorisation sera simplement décalée pour tenir compte du contexte exceptionnel des finances publiques et du ralentissement de l’inflation», indique le projet de loi de finances de la Sécurité sociale (PLFSS). Le gouvernement défend un lissage par rapport à l’importante revalorisation des retraites de base intervenue au 1er janvier 2024. Elle avait atteint 5,3%, pour un coût global de 14 milliards d’euros pour les finances publiques. «L’augmentation de l’indexation des retraites (avait) été plus importante que l’inflation, et bien plus importante que l’augmentation moyenne des actifs», avait relevé le ministre du Budget et des Comptes publics Laurent Saint-Martin sur France 2 la semaine dernière. Le problème c’est qu’on ne sait pas si cette augmentation avait ou non pour objet de solder en partie le retard accumulé. En effet dans le même temps le montant des retraites a toujours été en retard sur l’inflation d’au moins 50 % ( selon les modalités de calcul)

 

En euros constants, l’augmentation des retraites est plus faible, de l’ordre de 12 % entre 2004 et 2020, soit une augmentation annuelle moyenne de 0,69 % (Figures 3.c et 3.d). Le montant moyen des pensions augmente davantage pour les femmes sur la période (+ 23 % entre 2004 et 2020, en euros constants) avec un rythme annuel moyen de 1,32 % contre 0,40 % pour les hommes. Si l’écart de pension des femmes par rapport aux hommes se resserre au fil des années, en lien avec l’amélioration des carrières des femmes, il reste cependant significatif, la pension des femmes représentant 63 % de la pension des hommes en 2020 contre 54 % en 2004

 

Un mois de pluies attendues en un jour notamment dans les pays de Loire

Un mois de pluies attendues en un jour dans les pays de Loire

Un mois de pluie en un jour sur certaines régions du centre. On attend encore de fortes pluies entre le Centre-Val de Loire et le Grand-est, alors que ça s’améliore en Pays de la Loire. De fortes pluies concernent aussi le piémont Pyrénéen et des averses orageuses gagnent le sud-est. La météo du mercredi 9 octobre : 27 départements en alerte orange pluies et vent, avec l’arrivée de la dépression Kirk

 

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