Archive pour le Tag 'demi'

COVID-19: l’hypothèse d’un demi confinement

COVID-19: l’hypothèse d’un demi confinement

 

La sémantique aura un rôle essentiel pour habiller les mesures que doit prendre enfin macron pour tenter de maîtriser une pandémie qui évolue de manière exponentielle. Ainsi par exemple le ministre de la santé a évoqué un nouveau concept de primo injections pour habiller le scandale du manque de vaccins. De la même manière dans les jours qui viennent, le président de la république devra solliciter l’ingénierie sémantique pour trouver la bonne formule qui ne rappellera pas le fâcheux confinement qui tue liberté et économie mais ne sera pas bien entendu la levée des mesures restrictives déjà prises

 

. Il y aura du en même temps. Peut-être même pas le terme confinement ou alors un demi confinement. Un auto confinement, un confinement à la carte, un confinement partagé etc.

Les chiffres de l’épidémie dérapent sérieusement, il y a donc urgence à agir. Pourtant jusque-là Macron refuse de s’exprimer, il va pourtant le faire pas forcément de bon cœur. En effet, il craint les réactions suite à de nouvelles atteintes aux libertés et à la mobilité.

 

D’après BFM et selon un proche d’Emmanuel Macron, « les enseignements des deux premiers confinements ont été tirés. Il faut aller vers une formule hybride, sans changer notre doctrine ». Le problème c’est que la doctrine a surtout ressemblé à une sorte de Salom. Faut-il rappeler les discours sur l’inutilité du masque au départ, les critiques même sur l’intérêt des tests, maintenant la stratégie d’escargot de la vaccination.

Pour éviter une révolte, Emmanuel Macron souhaite un reconfinement moins dur pour les jeunes, car « le président est plus inquiet que jamais des impacts psychologiques d’un troisième confinement », confie un conseiller ce jeudi.

Routiers: une reforme en demi teinte

Routiers: une reforme  en demi teinte

Trois opérations de cabotage autorisées en sept jours, le principe même est toujours maintenu même si on fait théoriquement obligation d’accorder des repos et de payer les frais de retour des chauffeurs. La vérité c’est que la plupart du temps  cette mesure est incontrôlable dans la mesure où un camion peut porter des envois à multi destinations ,certaines internationales, certaines européennes, certaine locales. Le résultat est que les anciens pavillons des pays d’Europe orientale feront sans doute davantage de transport international pendant les quatre jours théoriques d’immobilisation du cabotage et reprendront comme avant leur activité de cabotage

La réforme des conditions de travail des chauffeurs routiers à l’international, dossier marqué par une opposition entre l’est et l’ouest de l’Europe, a été approuvée lundi par la commission Transports du Parlement européen, et donnera lieu à un vote des eurodéputés en juillet. La commission Transports a adopté les trois textes portant sur le détachement des conducteurs, leur temps de repos, le cabotage (le fait pour un transporteur d’effectuer plusieurs chargements et déchargements dans un pays où il est arrivé dans le cadre d’une livraison internationale).

Proposée par la Commission européenne en mai 2017, la réforme a donné lieu à une âpre bataille entre deux camps, les pays de l’Ouest (France, Allemagne, Benelux) accusant ceux d’Europe orientale (Roumanie, Bulgarie, Hongrie, Pologne, Lettonie et Lituanie) de dumping social, ces derniers leur reprochant de faire du protectionnisme déguisé. Un compromis a finalement été trouvé en décembre dernier entre les négociateurs du Parlement européen et des Etats membres. Le Conseil a adopté la réforme le 7 avril. La commission Transports a approuvé le compromis, et le Parlement européen devra encore l’adopter par un vote lors de sa session de juillet.

Les nouvelles règles prévoient notamment que les entreprises de transport doivent s’organiser pour permettre aux chauffeurs de rentrer chez eux à intervalles réguliers (toutes les trois ou quatre semaines). Si le chauffeur est loin de chez lui lors de sa période de repos hebdomadaire obligatoire, l’entreprise doit payer ses frais d’hébergement. Les limites au cabotage restent les mêmes: trois opérations autorisées en sept jours. Pour prévenir le «cabotage systématique», une période de carence de quatre jours sera introduite avant que d’autres opérations de cabotage puissent être effectuées dans le même pays avec le même véhicule. Les nouvelles règles introduisent aussi l’enregistrement des passages de frontières par tachygraphe pour lutter contre la fraude.

Pour lutter contre les sociétés boîtes aux lettres, ces entreprises de transport devront avoir des activités conséquentes dans l’Etat membre où elles sont enregistrées. Les camions devront aussi retourner au centre opérationnel de l’entreprise toutes les huit semaines. Les règles en matière de détachement des chauffeurs (prévoyant une rémunération selon les règles du pays où ils travaillent: salaire minimum, mais aussi les primes) s’appliqueront au cabotage et aux opérations de transport international, avec certaines exceptions, notamment pour le transit. Mais tout est dans l’exception !

Smartphones : recul des ventes

un recul des ventes de l’ordre de 20 % liés évidemment à la situation sanitaire mais pas seulement. Il y a certes des interrogations sur les nouvelles technologies mais aussi le fait que le marché est maintenant largement saturé et qu’il s’agit surtout d’un marché de renouvellement . La dépendance se semble aussi avoir atteint certaines limites

. Le taux d’équipement de la population dans les pays riches dépasse les 85 %. Il s’agit désormais d’un marché de renouvellement. Ces mêmes consommateurs conservent plus longtemps leurs terminaux.

Un demi milliard d’euros défiscalisé pour Vuitton

 

 

 Un demi milliard d’euros défiscalisé pour Vuitton

C’est la grande mode aujourd’hui pour les grandes sociétés internationales : se lancer dans le mécénat à vocation culturelle voir social. Cela avec un double objectif d’une part redorer leur image alors que souvent elle exploite la main-d’œuvre, les matières premières de pays tiers et les petits producteurs sous-traitants. Accessoirement aussi elles déduisent les sommes consacrées au mécénat de leurs impôts. Ainsi par exemple Les entreprises du groupe LVMH ont réduit leurs impôts de 518,1 millions d’euros entre 2007 et 2017 au titre de sommes versées à la Fondation Louis Vuitton, a relevé mercredi la Cour des comptes dans un rapport sur le mécénat. Cette somme « représenterait environ 8,1% de la dépense fiscale totale pour l’État au titre du mécénat des entreprises sur la période », selon la Cour qui relève aussi que de 2007 à 2014, la construction d’un bâtiment dans le bois de Boulogne à Paris « a constitué la principale activité de la Fondation ». »Les ressources de la Fondation Louis Vuitton sont d’un montant exceptionnel par rapport à celles couramment observées dans le secteur des fondations », relève la Cour. La France s’est dotée en 2003 d’un dispositif fiscal en faveur du mécénat des entreprises « parmi les plus généreux sur le plan international », selon un communiqué de la Cour, qui appelle à « mieux encadrer » ce dispositif. L’utilisation de cet avantage fiscal, qui permet de déduire directement 60% des dons de l’impôt sur les sociétés, est très concentrée puisque 24 entreprises ont représenté 44% de la dépense fiscale en 2016. Outre la Fondation Louis Vuitton, la Cour des comptes a également contrôlé la Fondation du patrimoine et la Fondation agir contre l’exclusion, créée en 1993 par 13 grands groupes français.

Sortie de l’euro : un an et demi !!!!! (Le Pen)…… pourquoi pas 48 heures !

Sortie de l’euro : un an et demi !!!!! (Le Pen)…… pourquoi pas 48 heures !

 

 Pour preuve que Marine Le Pen est complètement illuminée, cette déclaration dans le journal Sud Ouest où elle affirme qu’il suffira d’un an et demi pour organiser le transfert de l’euro vers le franc Si l’on se fie aux brexit, les négociations nécessiteront un minimum de deux à cinq ans voir bien davantage tellement sont complexe les relations internationales (il faudra notamment renégocier tous les accords commerciaux avec tous les pays du monde, régler le passif financier avec l’union européenne et définir un nouveau statut  entre le Royaume-Uni et l’Europe). Le propos de Marine Le Pen est bien entendu irresponsable, il révèle une incompétence totale, ce qui d’ailleurs n’a guère de conséquence sur son électorat composé pour l’essentiel d’électeurs complètement incultes en matière d’économie. Les   négociations aboutissant à un abandon de l’euro et à un retour à une devise française pourraient prendre un an ou un an et demi, déclare Marine Le Pen dans une interview parue samedi dans le journal Sud Ouest. La fin de la monnaie unique, au coeur du programme de la candidate du Front national à l’élection présidentielle, est loin de faire consensus dans l’opinion, selon des sondages régulièrement réalisés. « Si tout le monde est d’accord, on peut mettre un an, un an et demi pour organiser un retour concerté à la monnaie nationale », juge la présidente en congé du parti d’extrême droite dans l’entretien à Sud Ouest. « Je veux être pragmatique. Je ne veux pas le chaos. Notre pays est assez brutalisé pour ne pas créer une perturbation supplémentaire (…). Mais le fait est qu’en l’état, l’euro participe largement à la situation de dépréciation de notre économie », ajoute-t-elle. La sortie de l’euro figure dans son programme en 144 points mais n’apparaît pas explicitement dans la profession de foi publiée en vue du second tour, qui l’opposera le 7 mai à Emmanuel Macron.

La France va demander l’arrêt des conflits pendant un an et demi son seul porte-avions est en réparation !

La France va demander l’arrêt des conflits pendant un an et demi son seul porte-avions est en réparation !

 

 

Sans doute la France va-t-elle demander à l’ONU de se prononcer sur une motion pour l’arrêt des conflits pendant un an et demi. C’est-à-dire le temps nécessaire pour réparer son seul porte-avions  le d Charles-de-Gaulle. La situation est évidemment ubuesque. Ou bien la France renonce à tout porte-avion ou décide  d’en disposer d’ au moins deux. Une problématique posée un peu naïvement le ministre de la défense. «  Peut-être qu’il serait souhaitable d’avoir un deuxième porte-avions », soulignait en novembre le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian. « Peut-être que la question se posera quand on élaborera la loi de programmation militaire qui commencera en 2020. » Loin d’être nouvelle, l’idée d’un second porte-avions a émergé dès le début des années 2000. Face aux contraintes budgétaires, la France propose à la Grande-Bretagne de coopérer sur un projet qui prévoit la construction de trois porte-avions, dont un pour la Marine française. Un accord est signé en 2006 mais le programme est suspendu en 2008 avant d’être définitivement abandonné en 2013. Dans un rapport publié en 2014, la Cour des comptes épinglera un projet dans lequel « des sommes importantes » ont été engagées « alors que l’impasse de la coopération était très largement prévisible ». Depuis, le chantier est au point mort. Lors d’une conférence de presse consacrée aux questions de défense le 6 janvier, Benoît Hamon a estimé que la mise à l’arrêt du Charles-de-Gaulle posait la question. « S’il n’y a pas deux porte-avions, il n’y a pas de permanence à la mer », a dit le candidat socialiste. « La question qui nous sera posée c’est : est-ce qu’on fait deux porte-avions, l’un pour succéder au Charles-de-Gaulle et un autre à côté, ou est-ce qu’on en fait un seul mais avec le même problème qui se posera plus tard ? », a-t-il demandé. « Mais il est incontestable que vu le prix d’un deuxième PA, cette question doit être appréciée au regard des efforts que nous pouvons consentir sur le plan budgétaire. Je ne l’écarte pas mais je ne la retiens pas non plus ». François Fillon, candidat de la droite et du centre, s’est lui montré plus catégorique. « Le porte-avions, accompagné du groupe aéronaval, est un instrument de projection de forces et de puissance », soulignait l’ancien Premier ministre dans un entretien à Valeurs Actuelles en novembre dernier. « Cependant, il faut être lucide : nous n’avons pas les moyens d’en construire un deuxième », ajoutait-il. « Il nous faudra en revanche lancer dès le début des années 2020 les études pour construire le successeur du Charles-de-Gaulle, qui devra le remplacer à partir des années 2035. » La France ne peut toutefois pas faire pendant 18 mois sans porte-avions comme si elle en avait un, a souligné le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, devant le Sénat, le 16 novembre dernier. « Aujourd’hui, on voit bien que les choses changent : les Chinois veulent construire quatre porte-avions, les Indiens veulent en construire trois, les Anglais sont en train d’en construire deux », a souligné l’amiral Prazuck. « Il existe donc un intérêt largement partagé pour cet outil ».

Procès Bettencourt: seulement un an et demi de prison pour 400 millions , ça vaut le coup !

Procès Bettencourt: seulement un an et demi  de prison pour 400 millions  , ça vaut le coup !

 

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Finalement la peine sera  bien douce pour nombre d’accusés ( certains étant même mis hors de cause pour insuffisances de preuves). Seulement 3 ans de prison pour  François-Marie Banier, poursuivi pour avoir obtenu de la milliardaire 400 millions d’euros. Un vrai encouragement pour tous les voleurs, d’autant qu’il n’en fera sans doute que la moitié. Un an et demi de prion pour 400 millions qu’on ne reverra sans doute jamais , c’est le jackpot. Il faut dire qu’on se trouve là dans le cadre d’un procès mondain et la justice a adapté ses peines en fonction de la notoriété des accusés. Drôle de justice en vérité qui va condamner sévèrement un braquage ( condamnable évidemment)  avec une  arme fictive pour 5000 euros alors qu’elle passe presque l’éponge sur 400 millions d’euros. Banier s‘est quand même fait gronder !  Un « menteur » et « flagorneur », qui tenait sous son « emprise totale » une Liliane Bettencourt « vulnérable » pour lui soutirer donations, faramineux contrats d’assurance-vie, tableaux de maîtres, etc… Usant de « toute la panoplie d’un gourou », il identifie les « failles de sa cible », la séduit et la flatte. « Dès lors qu’elle est dans ses filets, il ne l’a plus lâchée, elle est devenue sa chose », a insisté le procureur. Des peines de trois ans de prison, dont 18 mois avec sursis, et 375.000 euros d’amende, ont été requises à l’encontre du compagnon du photographe, Martin d’Orgeval, « l’ombre de Banier« , qui « n’a rien perdu du festin », et de l’ex-gestionnaire de la fortune de l’héritière du groupe de cosmétiques L’Oréal, Patrice de Maistre. D’après le procureur, l’homme de confiance, qui « devait être le protecteur et a trahi pour rejoindre la meute », ne « pouvait ignorer que Liliane Bettencourt était en situation de vulnérabilité ». « C’est donc en toute connaissance de cause que vous l’avez conduite à des actes préjudiciables à sa situation financière et sa réputation », a lancé Gérard Aldigé au financier, poursuivi pour « abus de faiblesse » (12 millions) et « blanchiment ». Le procureur a en revanche estimé qu’il « n’existait aucune charge et preuve suffisante de la culpabilité » d’Eric Woerth, poursuivi pour « recel » d’une somme — au moins 50.000 euros — que lui aurait remise en 2007 Patrice de Maistre, alors que le ministre était trésorier de campagne du futur président Nicolas Sarkozy, lui-même initialement poursuivi dans cette affaire hors normes avant d’être mis hors de cause. « Les coïncidences sont effectivement troublantes, mais il faudrait apporter la preuve que ces remises d’argent ont bien été faites », a-t-il rappelé, en référence à quatre millions d’euros transférés par Patrice de Maistre depuis des comptes en Suisse de Liliane Bettencourt, non-déclarés. De  toute façon la justice ne pouvait gratter trop loin à propos de ces très troubles transferts d’argent qui ont sans doute bénéficié à beaucoup.

 




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