Archive pour le Tag 'ordinateurs'

Affaire Lactalis : Les ordinateurs de l’enquête volés dans les locaux de la répression des fraudes.

Affaire Lactalis : Les ordinateurs de l’enquête volés dans les locaux de la répression des fraudes.

Un vrai mauvais polard, ce vol des ordinateurs qui contenaient les enquêtes relatives au lait infantile  Lactalis infectée. L’enjeu économique est considérable car il porte atteinte à la crédibilité d’une marque internationale. Pour l’avocat des familles victimes il n’y a pas de doute  ce vol est le faite de barbouzes. Pourtant,  la police qui n’en sait pourtant rien affirme le contraire avec une mauvaise foi évidente. « L’hypothèse d’un vol ciblé n’est pas établie à ce stade des investigations » affirme le commissariat du XIIIe arrondissement, « notamment parce que d’autres effets ont été volées dans différents étages et bureaux », a indiqué une source proche du dossier. « Le lieu du vol, le contenu des ordinateurs volés et le mode opératoire permettent de penser que ce cambriolage a été commis par des barbouzes » pour dissimuler des preuves, a estimé pour sa part Me Yassine Bouzrou, l’avocat du couple. À la suite de ce vol, les parents d’un enfant ayant consommé du lait infantile Lactalis contaminé aux salmonelles ont porté plainte le 29 août pour « dissimulation de preuves ». L’un des ordinateurs volés contenait toutefois des informations « relatives à la gestion administrative du retrait » des produits Lactalis. « [...] ils étaient parfaitement informés, ils savaient où aller chercher ces ordinateurs, c’est un vol sans effraction et ce qui est très frustrant pour les victimes et notamment pour celles qui ont porté plainte, c’est que nous ne retrouverons certainement jamais les éléments de l’enquête… », a déclaré l’avocat des familles.  Me Yassine Bouzou a estimé que le parquet de Paris « privilégie naïvement la thèse du hasard » en ne reliant pas les deux enquêtes.  »La position du parquet renforce l’hypothèse que le groupe Lactalis est protégé, d’autant plus que l’usine incriminée a pu réouvrir«  en juin, à Craon (Mayenne), a-t-il dénoncé. Mi-janvier, 37 bébés atteints de salmonellose après avoir consommé un produit d’alimentation infantile Lactalis avaient été recensés en France, ainsi que deux en Espagne et un autre probable en Grèce. Plusieurs centaine de plaintes ont été déposées. L’enquête préliminaire, qui dure depuis neuf mois, était toujours en cours fin août, selon une source judiciaire.

 

« Non aux d’ordinateurs en maternelle »(Boris Cyrulnik)

« Non aux  d’ordinateurs en maternelle »(Boris Cyrulnik)

 

Progressivement mais avec retard la France prend conscience que l’utilisation de l’ordinateur à l’école est plutôt néfaste pour la connaissance et le développement. Il y a encore peu de temps Hollande  qui sans doute entretenait  des liens approximatifs avec les outils informatiques et télématiques voulait mettre des ordinateurs partout. Or en France Le chercheur Boris Cyrulnik qui s’est vu confier par le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, la préparation des assises de la maternelle qui s’ouvrent cette semaine considère que la présence d’ordinateurs est néfaste en maternelle. Or aux Etats Unis dans nombre décolles que fréquentent les enfants des cadres des GAFA, il y a longtemps que les écrans sont interdits.   l’école interdit tout simplement les écrans dans ses classes. De tous types : ordinateurs, iPad ou télévision.   160 écoles aux Etats-Unis ayant adopté la méthode Steiner-Waldorf, du nom du philosophe autrichien Rudolf Steiner, né au XIXe siècle, et selon lequel l’éducation doit se faire notamment à travers les activités artistiques et manuelles. «Nous considérons que les enfants ont besoin de cuisiner ou de jouer avec des matériaux plutôt que d’être placés devant des ordinateurs pendant des heures, poursuit Lucy Valentine Wurtz. Nous privilégions aussi l’interaction avec le professeur, afin de développer le dialogue et les facultés de réaction. A ce que je sache, il n’y a encore aucun élément tangible qui montre qu’on reçoit une meilleure éducation avec des dizaines d’ordinateurs ou d’iPad dans les classes.» Pour discuter notamment de cette question,  le ministère de l’Education organise, mardi et mercredi, les Assises de la maternelle. Objectif : faire de celle-ci « l’école de l’épanouissement et du langage ». Pendant deux jours, scientifiques, enseignants, personnel de service et parents sont invités à réfléchir sur l’acquisition du langage, la mémoire chez l’enfant, le sommeil, la formation des enseignants, les pratiques musicales… Le neuropsychiatre Boris Cyrulnik, chargé de diriger la réflexion, nous décrypte les enjeux. « La maternelle avait – et a toujours – une excellente réputation, mais elle doit s’adapter », dit-il. « Les enfants qui entrent à l’école ne sont plus les mêmes qu’il y a dix ou quinze ans. » Dans l’interview qu’il a accordée au JDD, il explique comment redonner « le plaisir d’apprendre » en introduisant parfois « de l’affect » et se base sur des exemples pédagogiques venus de l’étranger. Notamment d’Europe du Nord où les politiques éducatives « sécurisent les élèves, notent très tard – vers 10-11 ans –, et caracolent en tête des classements internationaux Pisa. » Il préconise également de « dédoubler les classes de maternelle » : « Réformer l’accueil de la petite enfance implique forcément des dépenses, mais les pays qui l’ont fait ont constaté un excellent ‘retour sur investissement’.  Et pour cela en particulier interdire les écrans : « Si les enfants ont l’air sages face à un écran, c’est parce qu’ils sont médusés, hypnotisés. Mais cette fascination implique une perte des relations. Non seulement ils n’apprennent rien, mais cela entraîne une altération de l’empathie et des troubles du développement. »

 

Pas de taxe sur les ordinateurs… pour l’instant

Pas de taxe sur les ordinateurs… pour l’instant

 

 

Finalement le gouvernement a renoncé à créer une taxe sur les ordinateurs les tablettes et autres smartphones. Il se « contentera » d’augmenter la taxe audiovisuelle d’ un euro. La nouvelle fiscalité pèsera sur les fournisseurs d’accès à Internet. (Par augmentation de la taxe télécoms créé en 2009). « J’ai proposé que la redevance (136 euros actuellement, ndlr) reste limitée à l’inflation (…). La hausse sera donc contenue à 1 euro seulement en 2016. C’est la plus faible augmentation depuis 2008″, a indiqué la ministre. « En complément, nous augmenterons à la marge la taxe que paient les opérateurs d’accès à Internet » — comme Bouygues, SFR, Orange et Free, ndlr — « qui passera de 0,9 % de leur chiffre d’affaires à 1,2%. Cette fraction des recettes sera affectée de façon pérenne à l’audiovisuel public », a ajouté Fleur Pellerin., la « taxe télécoms » de 0,9%, dite « taxe Copé », avait été instaurée en 2009 par le gouvernement Sarkozy pour financer France Télévisions, en compensation de la suppression de la publicité après 20 heures. Mais ses recettes — de l’ordre de 200 à 300 millions d’euros par an –n’étaient pas affectées directement au secteur et se perdaient dans le budget de l’Etat. Porter cette taxe à 1,2%, et affecter ces 0,3 point supplémentaires à l’audiovisuel public rapportera plusieurs dizaines de millions à France Télévisions ou Radio France, déficitaires cette année de respectivement 10 et 21 millions d’euros. Et selon Fleur Pellerin, les fournisseurs ne répercuteront pas cette hausse sur les consommateurs car « la concurrence sur les prix est forte dans ce secteur et les Français changent facilement d’opérateur ». La ministre de la Culture a aussi annoncé que le retour de la publicité sur France Télévisions après 20 heures n’est plus à l’ordre du jour. « C’était une possibilité. Mais j’ai à cœur de ne pas déstabiliser les autres médias ». « Les chaînes privées doivent avoir les moyens de contribuer au pluralisme de l’information et à la création, notamment au financement du cinéma », a-t-elle expliqué.

 

Pas de taxe sur les boxs internet et les ordinateurs

Pas de taxe sur les boxs internet et les ordinateurs

 

Emmanuel Macron a pris position, il n’y aura pas de taxe sur les boxs Internet. De toute manière cette éventuelle taxe sur les boxs aurait été d’un faible rapport fiscal puisque la plupart des détenteurs de boxs paient déjà la taxe audiovisuelle. Seuls ceux qui n’ont  pas accès à la télévision par les voies classiques auraient donc été concernés (ceux qui regardent exclusivement la télé sur ordinateurs). Mais l’enjeu est plus large il concerne l’éventuelle élargissement de l’assiette fiscale de la redevance. Si cette redevance devait être appliquée aux ordinateurs, tablettes et Smartphones le rendement serait autrement important. À défaut de cet élargissement il faut sans doute s’attendre à une augmentation de l’actuelle taxe de redevance audiovisuelle compte tenu  d’une part du désengagement de l’État, d’autre part des immenses gaspillages financiers tant de France Télévisions que de Radio France. Il faudra toutefois que le relèvement de la taxe audiovisuelle soit faible et discrète pour ne pas venir en contradiction avec la décision deux Hollande de ne pas augmenter les impôts. &Fleur Pellerin a indiqué que c’était une « option » envisagée. Mais Emmanuel Macron n’est pas d’accord : il ne veut pas d’une redevance audiovisuelle élargie aux box Internet. Emmanuel Macron n’est pas d’accord avec Fleur Pellerin : il ne veut pas d’une redevance audiovisuelle élargie aux box Internet. En tout cas pas dans l’immédiat. Il estime qu’il faut une réflexion sur une refonte plus globale de la redevance mais que cela prendra du temps. Il y a quelques jours sur France Info, la ministre de la Culture avait indiqué qu’une extension de la redevance audiovisuelle aux box Internet était « une option » envisagée. Ce serait un « moyen de moderniser l’assiette de la redevance » audiovisuelle. En revanche, « pas question de taxer les smartphones et les tablettes », avait ajouté Fleur Pellerin.  Les arbitrages « seront pris dans les prochains jours » par le président de la République et le Premier ministre, avait-elle fait savoir. Emmanuel Macron a fait connaître sa position.

 

La taxe sur les ordinateurs refait surface

La taxe sur les ordinateurs refait surface

La taxe sur les ordinateurs refait surface au ministère des finances. Il pourrait s’agir d’une taxe sur les boxs. Tout cela parce que la redevance audiovisuelle ne parvient pas à boucher les trous de l’audiovisuel public. Tout cela parce qu’il faut entretenir les véritables cathédrales administratives du service public qui emploie environ 10 000 personnes à France télé et 4000 à radio France. Le  service public est un véritable gouffre financier avec gaspillages et avantages exorbitants dénoncés par la cour des comptes. On n envisage même de créer une taxe sur ordinateurs. C’est un serpent de mer qui revient une fois de plus à la surface. Le gouvernement pourrait inclure les smartphones et les tablettes dans l’assiette de la contribution à l’audiovisuel public, selon Les Echos  août.  L’exécutif hésiterait ainsi entre cette option et une augmentation pure et simple de la contribution. Nous évoquions cette dernière possibilité dans un précédent article.  Le ministère de la Culture serait néanmoins favorable à un élargissement de l’assiette, selon le quotidien économique, alors que Bercy de son côté plaiderait davantage pour une hausse.  Rien ne serait toutefois tranché, le débat devant avoir lieu en vue du projet de loi de finances pour 2016, texte qui arrivera à la fin du mois de septembre au Conseil des ministres. L’idée est loin d’être nouvelle et revient même souvent dans le débat public à l’occasion des textes budgétaires. En octobre 2014, le président de la République François Hollande avait d’ailleurs déjà prôné lors d’un colloque devant le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) « une assiette plus large », notant alors que « l’on peut regarder les chaînes du service public sur d’autres instruments que la télévision ». Depuis « les experts ont fait leur travail », indique une source gouvernementale aux Echos.  Reste que le sujet n’en est pas moins délicat à l’heure où l’exécutif promet de ne pas augmenter la pression fiscale sur les ménages. Selon Les Echos,  le but de la mesure ne serait pas tant d’augmenter le rendement de la contribution que de « compenser la baisse naturelle du nombre de ménages s’équipant d’un téléviseur et de faire preuve d’équité ». Néanmoins plusieurs difficultés se posent à un élargissement de l’assiette, notamment le fait que « les propriétaires de Smartphones ou d’ordinateurs subissent déjà la fiscalité du numérique », pointe le député socialiste Patrick Bloche, président de la commission culturelle à l’Assemblée, cité par les Echos. Ce qui fait dire au quotidien économique que la hausse de la contribution est la piste qui tient la corde à l’heure actuelle. Une nouvelle entorse en tout cas à la promesse de Hollande de ne pas augmenter les impôts.

Non à la taxe sur les ordinateurs et pour la suppression de la taxe audiovisuelle

Non à la taxe sur les ordinateurs et pour la suppression de la taxe audiovisuelle

 

La taxe audiovisuelle est déjà un véritable scandale. Tout cela parce qu’il faut entretenir les véritables cathédrales administratives du service public qui emploie environ 10 000 personnes à France télé et 4000 à radio France . devant la multiplication des médias ce service public n’est nullement justifié. À tout le moins il devrait s’autofinancer. Au lieu de cela le service public est un véritable gouffre financier avec gaspillages et avantages exorbitants dénoncés par la cour des comptes . Pire maintenant on envisage même de créer une taxe sur les Smartphones, tablettes et ordinateurs. Certes la taxe concernant le service public n’est pas la plus importante en matière de fiscalité mais c’est un exemple de l’ingénierie fiscale française. C’est un serpent de mer qui revient une fois de plus à la surface. Le gouvernement pourrait inclure les Smartphones et les ordinateurs dans l’assiette de la contribution à l’audiovisuel public, selon Les Echos de ce mardi 25 août.  L’exécutif hésiterait ainsi entre cette option et une augmentation pure et simple de la contribution. Nous évoquions cette dernière possibilité dans un précédent article.  Le ministère de la Culture serait néanmoins favorable à un élargissement de l’assiette, selon le quotidien économique, alors que Bercy de son côté plaiderait davantage pour une hausse.  Rien ne serait toutefois tranché, le débat devant avoir lieu en vue du projet de loi de finances pour 2016, texte qui arrivera à la fin du mois de septembre au Conseil des ministres. L’idée est loin d’être nouvelle et revient même souvent dans le débat public à l’occasion des textes budgétaires. En octobre 2014, le président de la République François Hollande avait d’ailleurs déjà prôné lors d’un colloque devant le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) « une assiette plus large », notant alors que « l’on peut regarder les chaînes du service public sur d’autres instruments que la télévision ». Depuis « les experts ont fait leur travail », indique une source gouvernementale aux Echos.  Reste que le sujet n’en est pas moins délicat à l’heure où l’exécutif promet de ne pas augmenter la pression fiscale sur les ménages. Dans une tribune publiée ce mardi, le Premier ministre Manuel Valls promet encore de « baisser la fiscalité ». C’est probablement pourquoi l’exécutif assure, selon Les Echos, que le but de la mesure ne serait pas tant d’augmenter le rendement de la contribution que de « compenser la baisse naturelle du nombre de ménages s’équipant d’un téléviseur et de faire preuve d’équité ». Néanmoins plusieurs difficultés se posent à un élargissement de l’assiette, notamment le fait que « les propriétaires de Smartphones ou d’ordinateurs subissent déjà la fiscalité du numérique », pointe le député socialiste Patrick Bloche, président de la commission culturelle à l’Assemblée, cité par les Echos. Ce qui fait dire au quotidien économique que la hausse de la contribution est la piste qui tient la corde à l’heure actuelle. Une nouvelle entorse en tout cas à la promesse de Hollande de ne pas augmenter les impôts.

 

Redevance audiovisuelle : étendue aux Smartphones, tablettes et ordinateurs

Redevance audiovisuelle : étendue aux Smartphones, tablettes et ordinateurs

Il fallait s’y attendre la redevance audiovisuelle envisagée renait  de ses cendres. En cause le gâchis financier incroyable de la radio et de la télévision publique. Un projet qui contredit les propos de Hollande concernant la baisse des impôts. Fleur Pellerin ministre de la culture qui n’a pas lu un livre depuis des années par contre se souvient de sa formation d’énarque pour apporter sa contribution à l’ingénierie fiscale française. Cette taxe sur l’audiovisuel est d’autant plus scandaleuse que le nombre de radios ou de chaînes de télé à considérablement augmenté au point que l’audience des organismes publics devient accessoire voire dérisoire. En clair le service dit public devient inutile et ce n’est pas l’argutie de la qualité peut justifier son maintien. La redevance audiovisuelle va-t-elle augmenter ? La réponse se trouvera dans les débats du projet de loi de finances qui sera présenté fin septembre. Deux pistes sont à l’étude : l’élargissement aux propriétaires de tablettes et Smartphones ou une hausse de la valeur nominale de cette taxe, actuellement de 136 euros. Sur RTL, mardi 25 août, Fleur Pellerin a confirmé que la réflexion était en cours.  « Le président de la République m’avait demandé dès l’année dernière de travailler sur une modernisation de la redevance et, de façon plus générale, sur une modernisation du financement de la création, que ce soit pour le cinéma ou l’audiovisuel, ce que j’ai fait », a expliqué la ministre de la Culture et de la Communication. Fleur Pellerin verrait d’un bon œil l’élargissement de la redevance aux détenteurs d’appareils mobiles : « Quelques propositions sont sur la table. Une des pistes est effectivement de tenir compte des nouveaux modes d’accès à la télévision. De plus en plus de concitoyens regardent les services de télévision par internet et non plus par antenne râteau. Il est légitime de tenir compte de cette évolution des usages pour la collecte de la redevance« . Cette extension serait ainsi un moyen d’augmenter les recettes tout en évitant l’alourdissement de la facture de nombreux ménages, d’autant que François Hollande s’est engagé à baisser les impôts en 2016. « La préoccupation du président de la République c’est que ce soit une modernisation et non pas une mesure qui vise à augmenter le rendement de la redevance. L’idée, c’est d’avoir une pression fiscale constante, pas augmentée, et de ne pas léser les jeunes foyers qui ont de faibles ressources », a-t-elle conclu.

 

Une nouvelle prise qui va contraindre à changer tous les ordinateurs !

Une  nouvelle prise qui va contraindre à changer tous les ordinateurs !

 

Ceci est une révolution d’Apple ! Il faut évidemment encourager le remplacement des ordinateurs ( le plus souvent avec des système d’exploitation moins rapides et plus complexes). Appel vient d’inventer uen nouvelle prise qui pourrait remplacer toutes les  autres. Mais qui pourraiat contraindre à renouveler aussi le matériel à terme. Une  idée qui sera sans doute reprise rapidement pas les autres constructeurs.  Dans les mois et les années à venir, tous les ordinateurs devraient être équipés de ce nouveau connecteur : l’USB type C. Pour l’instant cette nouvelle prise n’est que sur le nouveau MacBook d’Apple. Le futur Chromebook Pixel sera aussi équipé.  Aujourd’hui sur nos ordinateurs, il y a une prise pour recharger l’appareil, une autre pour par exemple le connecter à un écran de télé – une prise HDMI souvent – et puis des ports USB classiques qui permettent différents branchements. L’USB Type C est capable à elle toute seule de remplacer toutes ses prises. Elle sert pour tous les branchements. Impossible donc, sauf si l’appareil est équipé de plusieurs prises USB-C (ce qui n’est pas le cas du nouveau MacBook) de mettre à charger son ordinateur tout en branchant dessus par exemple un disque dur externe ou tout en le reliant à la télé. C’est une petite gymnastique à laquelle il va falloir s’habituer. On peut aussi imaginer que vont fleurir sur le marché des prises multiples pour USB C.  Ce nouveau connecteur USB a un design tout à fait différent des autres ports USB que nous connaissons. Il est plus petit et sa particularité est qu’il n’y a pas de sens pour le brancher : la partie mâle s’insère dans la partie femelle quelle que soit la façon dont vous la présentez, il n’y a pas de « à l’endroit à l’envers », ce qui est plutôt pratique. Cela signifie qu’on ne pourra pas brancher sur ce connecteur USB C tous les accessoires, tous les câbles qu’on peut déjà avoir et qui ont une prise USB classique. Il faudra donc soit les changer soit s’équiper d’adaptateurs.

Redevance télé étendue aux ordinateurs, tablettes et smartphones.

Redevance télé étendue aux   ordinateurs, tablettes et smartphones.

 

Hollande s’est déclaré favorable à «une assiette plus large et plus juste» pour la redevance audiovisuelle qui participe au financement de l’audiovisuel public. Pointant que l’«on peut regarder les chaînes du service public sur d’autres instruments que le téléviseur», le chef de l’État a estimé que la redevance pourrait à l’avenir s’appliquer aux ordinateurs, smartphones et tablettes. Une solution défendue unanimement par tous les patrons du secteur de l’audiovisuel public, à commencer par Rémy Pflimlin, le président de France Télévisions. Sur cette question, les pouvoirs publics ont effectué un virage à 180 degrés. Voilà quelques jours au micro de France Inter, Fleur Pellerin, la ministre de la Culture et de la Communication, avait en effet balayé une telle éventualité. En revanche, elle avait évoqué l’option d’un possible retour de la publicité après 20 heures sur France Télévisions. L’Élysée a tranché. Mais s’agissant de la mise en œuvre de cette mesure, François Hollande n’a toutefois pas fixé de calendrier. La question devrait être plutôt repoussée à la discusison sur le budget 2016. Autre annonce phare du président, celle d’un possible rapprochement entre les régulateurs de l’audiovisuel (Conseil supérieur de l’audiovisuel) et des télécoms (Arcep). Un vieux serpent de mer, longtemps évoqué et souvent repoussé. C’est néanmoins la première fois qu’un président de la République s’exprime ouvertement sur la nécessité de «mieux articuler les règles applicables entre les télécoms et l’audiovisuel» et sur celle d’une plus grande intégration des deux régulateurs. L’occasion pourrait se présenter rapidement avec la fin du mandat de Jean-Ludovic Silicani, le président de l’Arcep, le 3 janvier 2015. Le chef de l’État a chargé Fleur Pellerin, la ministre de la Communication, et Emmanuel Macron, ministre de l’économie, de faire des propositions en ce sens. François Hollande a par ailleurs annoncé que l’Arcep devra impérativement lancer, dès 2015, la mise aux enchères des fréquences de la bande 700 MHz, actuellement réservée aux télévisions. D’ailleurs, le produit de cette future vente a déjà été affecté au budget de l’armée.




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