Archive pour le Tag 'Bourses'

Les bourses mondiales dans le rouge ?

Les bourses mondiales dans le rouge ?


La guerre déclarée entre le président américain et le président de la Fed contribue évidemment à alimenter les incertitudes. Des incertitudes qui se traduisent par un grand pessimisme sur les investissements et la croissance. En clair on craint de plus en plus une perspective de récession pour les États-Unis avec des conséquences mondiales. Du coup les bourses accusent le coup et la semaine devrait être assez agitée avec de forts mouvements e yo-yo à la baisse.

Au tableau des valeurs aux États-Unis, les « Sept Magnifiques », le surnom donné aux grands noms du secteur technologique, évoluent tous dans le rouge, à l’image d’Alphabet (-3,23 %), Amazon (-3,66 %), Meta (-4,03 %), Apple (-3,46 %) ou Microsoft (-2,63 %).

Le constructeur de voiture électrique Tesla, dont les résultats sont attendus mardi, plongeait de 6,80 % lundi, les investisseurs anticipant des performances en deçà des attentes. Le secteur des semi-conducteurs continuait de pâtir de la guerre commerciale lancée par Trump. Nvidia (-5,44%), AMD (-3,59%), Broadcom (-4,49%) ou encore TSMC (-3,30%) évoluaient tous dans le rouge.

Bourses: Toujours le yo-yo sur tendance baissière

Bourses: Toujours le yo-yo sur tendance baissière

Un jour à la hausse, le lendemain la baisse cependant sur une tendance globale baissière. C’est le résultat des incertitudes qui planent sur l’économie suite aux ahurissants droits de douane de Trump qui en outre change de stratégie presque chaque jour.

Les marchés boursiers européens ont ainsi majoritairement terminé en recul ce jeudi, freinés par l’incertitude provoquée par les tensions commerciales mondiales. Et ce, malgré une nouvelle baisse des taux annoncée par la Banque centrale européenne. Paris a cédé 0,60 %, Milan 0,24 % et Francfort 0,49 %. Londres a terminé à l’équilibre (+0,00 %).

Marchés et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Marchés et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de 10 à 145 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change, des marchés obligataires et des taux d’intérêt.

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de 10 à 145 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change, des marchés obligataires et des taux d’intérêt.

Droits de douane et Bourses : Trump accusé de manipulation

Droits de douane et Bourses : Trump accusé de manipulation

En raison du changement brutal de stratégie du président américain, la bourse a subi des mouvements dont certains pensent qu’ils résultent d’une manipulation de Trump. Ainsi la décision de suspendre pendant trois mois la hausse des droits de douane a permis un bond de 10 % en une seule séance à la bourse de New York.

«Tout va bien se passer, C’est le moment d’acheter avait tweeté le président américain afin d’annoncer la suspension des droits de douane pour la Chine.

La question est de savoir si dans son entourage prévenu de ce revirement on a ou non bénéficier du redressement des cours de la bourse. Peut-être même si le président lui-même a profité de sa propre annonce pour encaisser des bénéfices boursiers.

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de 10 à 145 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change.

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de 10 à 145 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change.

Bourses : Trump accusé de manipulation

Bourses : Trump accusé de manipulation

En raison du changement brutal de stratégie du président américain, la bourse a subi des mouvements dont certains pensent qu’ils résultent d’une manipulation de Trump. Ainsi la décision de suspendre pendant trois mois la hausse des droits de douane a permis un bond de 10 % en une seule séance à la bourse de New York.

«Tout va bien se passer, C’est le moment d’acheter avait tweeté le président américain afin d’annoncer la suspension des droits de douane pour la Chine.

La question est de savoir si dans son entourage prévenu de ce revirement on a ou non bénéficier du redressement des cours de la bourse. Peut-être même si le président lui-même a profité de sa propre annonce pour encaisser des bénéfices boursiers.

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de zéro à 100 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change.

Bourses: Le yo-yo à la baisse va continuer

Le yo-yo à la baisse va continuer

La guerre des droits de douane va continuer en étant caractérisée sans doute pendant des jours et des semaines par un yo-yo à la baisse. Ainsi après le petit rebond de mardi c’est de nouveau la chute. Ansila Bourse de Tokyo rechute de plus de 3% mercredi à l’ouverture, dans le sillage des fortes baisses à Wall Street, sur des marchés paniqués par l’escalade de la guerre commerciale engagée par le président américain Donald Trump.

Vers 00h15 GMT, l’indice vedette Nikkei s’enfonce de 3,4% à 31.903,43 points, tandis que l’indice élargi Topix lâche 3,02% à 2.358 points. À la Bourse de Séoul, l’indice Kospi recule de 0,8%. La Bourse de Sydney baisse de 1,91%.

Bourses: Le yo-yo pendant des mois

Bourses: Le yo-yo pendant des mois


Pire que les droits de douane ce sont surtout les incertitudes sur les échanges internationaux qui vont surtout affecter le comportement des acteurs économiques. Avec des droits de douane qui selon les déclarations récentes du président américain pourrait aller de zéro à 100 % on voit mal comment les décideurs seraient en capacité de définir des stratégies définitives.

Les acheteurs comme les exportateurs vont diversifier leurs sources et tenter quand c’est possible d’amortir des frais de douane qui affecte leur compétitivité. La période qui vient sera sans doute marquée par un certain attentisme des acteurs économiques.

Pendant plusieurs semaines et plusieurs mois ils vont attendre que se stabilise la conjoncture relative au commerce international. Les investissements qui engagent forcément les entreprises pour le long terme risquent d’être en partie gelés. En outre la hausse des tarifs douaniers va générer une hausse de l’inflation qui risque de modifier durablement le comportement des consommateurs. Les stratégies marketing devront s’y adapter. En attendant de voir plus clair, les acteurs économiques vont choisir la prudence et l’attentisme surtout pour les investisseurs.

Les conséquences de cette situation se traduiront en termes d’une inflation qui va peser sur la demande et conduire l’économie mondiale vers une certaine stagnation voire une récession. Mesures et contre-mesures vont caractériser l’environnement des échanges internationaux entraînant aussi les bourses dans une forme de yo-yo tendanciellement à la baisse. Il faudra sans doute attendre début 2026 pour voir un peu clair dans la nouvelle donne de la régulation mondiale des échanges. En outre, à l’instabilité économique pourrait succéder une instabilité monétaire notamment des taux de change.

Bourses: nouvelle chutes

Bourses: nouvelle chutes

Les bourses devraient enregistrer ce lundi de nouvelles chutes. C’est déjà le cas ouverture à Tokyo et à Séoul. Ce sera leur aussi sans doute le cas à Wall Street et en France pour le CAC 40.

Les futures sur indices new-yorkais ont ouvert en nette baisse dimanche soir, suggérant que se poursuivrait lundi la lourde chute des principaux indices de Wall Street survenue en fin de semaine dernière à la suite des droits de douane annoncés par l’administration du président américain Donald Trump.

Les investisseurs anticipent une semaine de volatilité, alors que les partenaires commerciaux des Etats-Unis à travers le monde réagissent aux taxes dits « réciproques » décidées par Donald Trump, qui a intensifié la guerre commerciale lancée dans la foulée de son retour à la Maison blanche en janvier.

A leur ouverture dimanche, les futures sur indices indiquaient des reculs d’environ 4% pour le S&P-500, 3,8% pour le Dow Jones et 4,6% pour le Nasdaq.

Dans le sillage de l’allocution de Donald Trump après la clôture à Wall Street mercredi, le S&P-500 a plongé de 10,5% en deux séances – du jamais-vu sur deux journées consécutives depuis mars 2020 -, perdant environ 5.000 milliards de dollars de valeur de marché.

Le S&P-500 a reculé ainsi à plus de 17% de son pic historique du 19 février et se rapproche du territoire de marché baissier (« bear market ») – une correction de l’indice de plus de 20% par rapport à son record de clôture le plus récent.

Bourses et finances: Vers un krach ?

Bourses et finances: Vers un krach ?

L’année 2025 débute sur une correction notable des marchés, avec un recul de 8,9 % du S&P 500 par rapport à son sommet précédent. Ce déclin survient dans un contexte d’inflation persistante, de tensions commerciales et d’incertitudes monétaires. La situation actuelle évoque des similitudes avec 2018, mais les dynamiques de marché ont-elles changé depuis ? Par Anne-Laure Frischlander-Jacobson, fondatrice d’Evvest dans La Tribune

Le début d’année 2025 s’est ouvert sur une correction notable des marchés. Ce repli s’inscrit dans un contexte où inflation persistante, tensions commerciales et incertitudes monétaires pèsent sur les investisseurs. La situation actuelle rappelle en de nombreux points celle de 2018, une année marquée par des turbulences économiques similaires.

Pourtant, 2019 avait surpris par un rebond spectaculaire de 28,9 %. Faut-il s’attendre à un scénario comparable en 2025, ou bien les dynamiques de marché ont-elles changé ?

Un marché sous tension, entre inflation et incertitude

Trois forces macroéconomiques pèsent sur le S&P 500 et brouillent les perspectives.

L’économie américaine ralentit sous l’effet de taux d’intérêt élevés. La consommation fléchit, le crédit se renchérit et l’immobilier marque le pas, signe que la politique restrictive de la Fed produit ses effets.

L’inflation reste au-dessus de 2 %, contraignant la banque centrale à un arbitrage délicat : assouplir trop tôt risquerait de relancer la hausse des prix, mais maintenir des taux élevés prolongerait le freinage économique.

Enfin, la montée du protectionnisme, avec de nouveaux tarifs douaniers américains, alimente l’incertitude et fragilise les chaînes d’approvisionnement. Les investisseurs scrutent la politique monétaire et les tensions commerciales, déterminants majeurs de la trajectoire des marchés en 2025.

Trois trajectoires possibles pour 2025

L’année pourrait suivre trois grands scénarios, en fonction de l’évolution des politiques monétaires et des dynamiques macroéconomiques.

Le scénario central, jugé le plus probable, est celui d’une correction modérée suivie d’une stabilisation progressive. Le S&P 500 pourrait reculer entre 5 100 et 5 400 points, soit une baisse de 10 à 15 % par rapport à son niveau actuel, avant d’amorcer un rebond porté par une détente monétaire. Si la Fed parvient à réduire ses taux sans raviver l’inflation, les investisseurs retrouveront progressivement confiance, favorisant une reprise ordonnée des marchés.

Dans une hypothèse plus optimiste, un rebond express pourrait se produire. Une accalmie sur le front des tensions commerciales et un assouplissement plus rapide de la politique monétaire américaine pourraient propulser le S&P 500 au-delà de 6 500 points, soit une hausse de 15 % ou plus. L’essor des valeurs technologiques, toujours moteur des indices américains, jouerait un rôle clé dans cette dynamique haussière.

À l’inverse, un scénario pessimiste, bien que moins probable, ne peut être écarté. Si l’économie mondiale bascule dans la récession tout en maintenant une inflation persistante, le marché pourrait connaître une chute brutale, ramenant le S&P 500 entre 4 000 et 4 500 points, soit une correction de 20 à 30 %. Un tel contexte, combinant contraction économique et politique monétaire rigide, rappellerait les épisodes de stress financier les plus marquants de la dernière décennie.

Comme en 2018, les incertitudes macroéconomiques pèsent sur le marché, et les investisseurs avancent avec prudence. Pourtant, l’histoire récente a prouvé que les marchés sont capables de résilience. Après une année 2018 difficile, 2019 avait enregistré un spectaculaire rebond. La clé de la reprise tiendra à la capacité des autorités monétaires à ajuster leur politique sans créer de déséquilibre majeur.

Dans un marché où l’incertitude règne, les investisseurs avisés privilégieront une approche diversifiée, en se tournant vers des valeurs défensives et des secteurs capables de résister aux cycles économiques. 2025 pourrait bien être une année charnière, où l’agilité et la prudence feront la différence.

Bourses : deuxième jour noir Wall Street

Bourses : deuxième jour noir Wall Street

La Bourse de New York a chuté vendredi de près de 6%, pour la deuxième séance consécutive, les investisseurs laissant éclater leurs craintes quant à l’état de l’économie américaine en raison de la vaste offensive commerciale lancée par le président américain Donald Trump.

Le Dow Jones a perdu 5,50%, l’indice Nasdaq a fondu de 5,82% et l’indice élargi S&P 500 a lâché 5,97%, sa pire séance en Bourse depuis la crise du Covid-19 en 2020.

Sur les autres places boursières internationales la chute est également importante. La question est maintenant de savoir si le mouvement baissier va s’inscrire dans un processus structurel qui pourrait alors conduire ensuite à une crise économique caractérisée notamment par une chute de la croissance.

Le pire danger pour l’activité économique mondiale c’est bien entendu l’annonce des taxes douanières par le président américain mais c’est tout autant le climat d’incertitude ainsi créé qui ne permet pas de percevoir la stabilisation des droits de douane américain et les répliques réciproques des autres pays.

Médias-Canal boudé par les bourses

Médias-Canal boudé par les bourses

 

Canal+ héritier de l’ex Vivendi divisé en quatre pour être   cotés à l’international ne rencontre pas le succès escompté. Question sans doute de seuils stratégiques, d’orientation claire aussi entre les perspectives de développement, les arrière-pensées politiques de Bolloré et les préoccupations d’allégement fiscal. Même le pur morceau Canal+ rencontre des difficultés. Il faut dire que que la chaîne ne sait plus trop quel est son potentiel de développement. Elle a abandonné pratiquement le sport français et ne diffuse que le plus souvent que du  sport étranger  et impose en outre nombre d’abonnements supplémentaires pour des spectacles artistiques ou sportifs.

Le bouillon le plus sévère a été pris par Canal+. À la Bourse de Londres, le titre a chuté lourdement, de près de 26 % en une semaine. Et de 29 % lors de sa première journée de cotation !

Canal n’a pas la taille stratégique pour se mesurer au plan international. Canal ne compte environ 30 millions d’abonnés dans le monde quand d’autres diffuseurs en compte des centaines de millions. En outre sa programmation hésite entre la diffusion franchouillarde la dimension internationale. La fragilité de Canal+ est aussi le fait que 80 % de ses revenus viennent d’abonnements finalement très chers pour les services rendus.

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