Archive pour le Tag 'Belgique'

Wokisme : la Belgique propose des cartes d’identité… sans mention de sexe

Wokisme : la Belgique propose des cartes d’identité… sans mention de sexe

La Belgique a décidé de permettre aux personnes se définissant comme « non-binaires » de faire disparaître la mention de leur sexe sur leur carte d’identité !

, devenant ainsi le premier pays à proposer deux sortes de document officiel. Mais cette mesure ne satisfait toujours pas les associations LGBT.

il va donc être possible de faire disparaître la mention du sexe sur les cartes d’identité des Belges qui le demandent. Le ministre précise qu’il faudra formuler une « demande expresse et formelle » pour ne pas le voir apparaître sur sa carte d’identité.

La Belgique devient ainsi le premier pays du monde à mettre en place une telle mesure !

Rattacher les États-Unis à la Belgique ?

Rattacher les États-Unis à la Belgique ?

À première vue, cette question paraît assez saugrenue. Il n’y a en effet aucune raison, aucune légitimité pour que la Belgique réclame l’annexion des États-Unis à son pays. Mais le questionnement n’est pas plus tordu que celui de Trump qui ne cesse de clamer sa volonté d’ajouter le Groenland ou encore le Canada comme nouveaux Etats américains.

Un vent de folie semble souffler actuellement dans le monde notamment du fait des libertés que prennent des dictateurs de plus en plus nombreux avec le droit international . Précisément parce qu’il n’y a aucune raison objective, un pays comme la Belgique pourrait réclamer l’annexion des États-Unis. Historiquement on pourrait toujours justifier que les Américains doivent leur indépendance aux francophones notamment de France contre les Britanniques.

Trump, Poutine, le président chinois est encore une bonne vingtaine d’autocrates à moitié fous n’ont d’autres perspectives que de vouloir agrandir encore leur territoire et leur influence.

Évidemment les annexions impérialistes de Trump n’ont aucune chance d’aboutir surtout concernant le Canada mais elles vont créer une pagaille diplomatique et politique qui va fortement affecter l’activité économique et aussi mettre en danger la géopolitique mondiale.

En attendant une éventuelle perspective de rattachement des États-Unis à la Belgique ou à Andorre, on pourrait encore accentuer la vague actuelle de boycott des produits américains. À cet égard, il serait urgent aussi que l’Europe notamment vienne concurrencer le domaine de la tech américaine par exemple en mettant en place rapidement une plate-forme type Google mais à l’échelle au moins de l’Europe voire au-delà. Orange par exemple bien implantée dans l’Europe et ailleurs pourrait avoir une carte à jouer dans ce domaine stratégique et juteux.

Politique fiction :Faut-il rattacher les États-Unis à la Belgique ?

Politique fiction :Faut-il rattacher les États-Unis à la Belgique ?

À première vue, cette question paraît assez saugrenue. Il n’y a en effet aucune raison, aucune légitimité pour que la Belgique réclame l’annexion des États-Unis à son pays. Mais le questionnement n’est pas plus tordu que celui de Trump qui ne cesse de clamer sa volonté d’ajouter le Groenland ou encore le Canada comme nouveaux Etats américains.

Un vent de folie semble souffler actuellement dans le monde notamment du fait des libertés que prennent des dictateurs de plus en plus nombreux avec le droit international . Précisément parce qu’il n’y a aucune raison objective, un pays comme la Belgique pourrait réclamer l’annexion des États-Unis. Historiquement on pourrait toujours justifier que les Américains doivent leur indépendance aux francophones notamment de France contre les Britanniques.

Trump, Poutine, le président chinois est encore une bonne vingtaine d’autocrates à moitié fous n’ont d’autres perspectives que de vouloir agrandir encore leur territoire et leur influence.

Évidemment les annexions impérialistes de Trump n’ont aucune chance d’aboutir surtout concernant le Canada mais elles vont créer une pagaille diplomatique et politique qui va fortement affecter l’activité économique et aussi mettre en danger la géopolitique mondiale.

En attendant une éventuelle perspective de rattachement des États-Unis à la Belgique ou à Andorre, on pourrait encore accentuer la vague actuelle de boycott des produits américains. À cet égard, il serait urgent aussi que l’Europe notamment vienne concurrencer le domaine de la tech américaine par exemple en mettant en place rapidement une plate-forme type Google mais à l’échelle au moins de l’Europe voire au-delà. Orange par exemple bien implantée dans l’Europe et ailleurs pourrait avoir une carte à jouer dans ce domaine stratégique et juteux.

Faut-il rattacher les États-Unis à la Belgique ?

Politique fiction :Faut-il rattacher les États-Unis à la Belgique ?

À première vue, cette question paraît assez saugrenue. Il n’y a en effet aucune raison, aucune légitimité pour que la Belgique réclame l’annexion des États-Unis à son pays. Mais le questionnement n’est pas plus tordu que celui de Trump qui ne cesse de clamer sa volonté d’ajouter le Groenland ou encore le Canada comme nouveaux Etats américains.

Un vent de folie semble souffler actuellement dans le monde notamment du fait des libertés que prennent des dictateurs de plus en plus nombreux avec le droit international . Précisément parce qu’il n’y a aucune raison objective, un pays comme la Belgique pourrait réclamer l’annexion des États-Unis. Historiquement on pourrait toujours justifier que les Américains doivent leur indépendance aux francophones notamment de France contre les Britanniques.

Trump, Poutine, le président chinois est encore une bonne vingtaine d’autocrates à moitié fous n’ont d’autres perspectives que de vouloir agrandir encore leur territoire et leur influence.

Évidemment les annexions impérialistes de Trump n’ont aucune chance d’aboutir surtout concernant le Canada mais elles vont créer une pagaille diplomatique et politique qui va fortement affecter l’activité économique et aussi mettre en danger la géopolitique mondiale.

En attendant une éventuelle perspective de rattachement des États-Unis à la Belgique ou à Andorre, on pourrait encore accentuer la vague actuelle de boycott des produits américains. À cet égard, il serait urgent aussi que l’Europe notamment vienne concurrencer le domaine de la tech américaine par exemple en mettant en place rapidement une plate-forme type Google mais à l’échelle au moins de l’Europe voire au-delà. Orange par exemple bien implantée dans l’Europe et ailleurs pourrait avoir une carte à jouer dans ce domaine stratégique et juteux.

Faut-il rattacher les États-Unis à la Belgique ?

Faut-il rattacher les États-Unis à la Belgique ?

À première vue, cette question paraît assez saugrenue. Il n’y a en effet aucune raison, aucune légitimité pour que la Belgique réclame l’annexion des États-Unis à son pays. Mais le questionnement n’est pas plus tordu que celui de Trump qui ne cesse de clamer sa volonté d’ajouter le Groenland ou encore le Canada comme nouveaux Etats américains.

Un vent de folie semble souffler actuellement dans le monde notamment du fait des libertés que prennent des dictateurs de plus en plus nombreux avec le droit international . Précisément parce qu’il n’y a aucune raison objective, un pays comme la Belgique pourrait réclamer l’annexion des États-Unis. Historiquement on pourrait toujours justifier que les Américains doivent leur indépendance aux francophones notamment de France contre les Britanniques.

Trump, Poutine, le président chinois est encore une bonne vingtaine d’autocrates à moitié fous n’ont d’autres perspectives que de vouloir agrandir encore leur territoire et leur influence.

Évidemment les annexions impérialistes de Trump n’ont aucune chance d’aboutir surtout concernant le Canada mais elles vont créer une pagaille diplomatique et politique qui va fortement affecter l’activité économique et aussi mettre en danger la géopolitique mondiale.

En attendant une éventuelle perspective de rattachement des États-Unis à la Belgique ou à Andorre, on pourrait encore accentuer la vague actuelle de boycott des produits américains. À cet égard, il serait urgent aussi que l’Europe notamment vienne concurrencer le domaine de la tech américaine par exemple en mettant en place rapidement une plate-forme type Google mais à l’échelle au moins de l’Europe voire au-delà. Orange par exemple bien implantée dans l’Europe et ailleurs pourrait avoir une carte à jouer dans ce domaine stratégique et juteux.

Conflit république démocratique du Congo : rupture entre le Rwanda et la Belgique

Conflit république démocratique du Congo : rupture entre le Rwanda et la Belgique

Encore un conflit un Afrique qui risque de s’éterniser entre d’une part la république démocratique du Congo, d’autre part le Rwanda. Le Rwanda qui s’était nettement redressé après le terrible génocide et qui porte un sérieux coup à son slogan « visit Rwanda » affiché en Europe notamment dans nombre de terrains de football. Un conflit moins médiatisé que celui de l’Ukraine mais pourtant dramatique.

Le Rwanda a annoncé ce lundi la rupture de ses relations diplomatiques avec la Belgique, accusant l’ex-puissance coloniale d’avoir «pris parti» pour Kinshasa «bien avant et pendant le conflit en cours en République démocratique du Congo (RDC). «Le gouvernement du Rwanda a notifié aujourd’hui le gouvernement de Belgique de sa décision de rompre les relations diplomatiques, avec effet immédiat», a déclaré le ministère des Affaires étrangères rwandais dans un communiqué.

L’UE a adopté lundi des sanctions contre des personnalités rwandaises en raison du soutien de Kigali à l’offensive du groupe rebelle M23 en République démocratique du Congo (RDC). Kigali accuse la Belgique d’avoir «pris partie» pour Kinshasa. La Belgique, ancienne puissance coloniale à la fois de la RDC (ex-Zaïre) et du Rwanda, a été l’un des pays les plus critiques de Kigali depuis que la rébellion du M23, soutenue par Kigali, a lancé en décembre une offensive dans l’est de la RDC, qui l’a vu notamment s’emparer de Goma, la capitale du Nord-Kivu, et de Bukavu, capitale du Sud-Kivu.

Belgique: un gouvernement enfin après sept mois et demi

Belgique: un  gouvernement enfin après sept mois et demi

Il aura fallu sept mois et demi pour que la Belgique trouve un accord avec les principaux partis afin de former enfin un gouvernement.

Un accord autour des conservateurs flamands et de leur leader Bart De Wever, à qui devrait devenir le poste de premier ministre. Bart De Wever, pilote de cette négociation ardue depuis l’été dernier, avait lui-même fixé l’échéance du 31 janvier pour aboutir à un accord, prévenant qu’il risquait de renoncer définitivement à sa mission en cas d’échec. In extremis, il a été reçu peu après 22h00 (21h00 GMT) par le roi Philippe, à qui il a fait part de l’accord intervenu entre les cinq partenaires, selon le Palais royal.

 

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Nouveau gouvernement : la Belgique attend aussi depuis deux mois

Nouveau gouvernement : la Belgique attend aussi depuis deux mois

Il y a déjà deux mois que se sont déroulées les législatives en Belgique qui attend toujours la formation d’un gouvernement. La première tentative du leader du parti conservateur chargé par le roi de former ce gouvernement a échoué. En cause, comme en France un problème de fiscalité et la menace d’un accroissement du déficit public. La Belgique est d’ailleurs comme la France sous le coup d’une procédure d’infraction aux principes européens dans ce domaine.

 

Un nouveau négociateur devrait être désigné par le roi Philippe.. Celles-ci pourraient durer encore plusieurs semaines, comma c’est généralement le cas dans ce royaume. Réputée ingouvernable, la Belgique avait vécu 541 jours sans gouvernement de plein exercice en 2010-2011.

Un record dont le pays n’était pas si loin quand la coalition de sept partis dirigée par l’actuel premier ministre Alexander De Croo avait enfin vu le jour à l’automne 2020, 493 jours après les élections de 2019. Le vote du 9 juin -concomitant aux élections européennes – a été marqué par une victoire de la droite et du centre-droit, avec un alignement inédit de la Wallonie (sud francophone) sur la Flandre (nord néerlandophone) où la droite est traditionnellement majoritaire.
Le premier ministre sortant a été chargé de gérer les affaires courantes jusqu’à la désignation de son successeur.

 

Histoire belge: Poutou se présente aux élections européennes sur une liste en Belgique

Histoire belge:  Poutou se présente aux élections européennes sur une liste en Belgique

C’est une histoire belge mais celle-ci est vraie à savoir l’intention de Poutou de se présenter sur une liste politique européenne en Belgique. On peut penser que comme en France il fera peut-être 2 à 3 % ! Une idée en tout cas : celle de transférer des responsables politiques français malheureux dans d’autres pays ! comme au foot !

 

Le NPA a fait le choix de ne pas présenter de candidat en France pour ces européennes et a échoué à faire alliance avec LFI. «Il décidera de son appel au vote précis avant la fin du mois d’avril», précise-t-il.

Le conseiller municipal de Bordeaux, ouvrier de l’automobile licencié, promet de se battre «pour une Europe anticapitaliste qui s’oppose à l’Europe capitaliste et libérale; pour une Europe écologique, féministe, antiraciste, anticoloniale, anti-impérialiste; Bref anti tout !

L’incroyable décision de la Belgique de ne pas expulser en France Hassan Iquioussen

L’incroyable décision de la Belgique de ne pas expulser en France Hassan Iquioussen


Au motif que l’infraction reprochée en France n’existerait pas en Belgique non seulement on a sorti l’extrémisme islamiste de prison mais la justice belge refuse aussi de le transférer en France.

Certes, on reconnaît le caractère particulièrement dangereux de l’individu mais les arcanes juridiques ont pris le pas sur la sécurité. Pourtant la Belgique est largement contaminée par le terrorisme potentiel mais témoigne d’une naïveté surprenante.

En cause, sans doute des problèmes existentiels pour le pays qui ne veut pas s’aligner sur la position de la France, un voisin un peu trop influent.

L’activiste est donc libre en Belgique seulement assignée à résidence surveillance électronique. Un précédent qui pourrait entraîner d’autres situations dangereuses pour la France comme pour la Belgique

L’arrêt rendu mardi par la cour d’appel de Mons est cepen,dant susceptible d’être contesté devant la Cour de cassation.

La justice belge a confirmé, en appel, mardi 15 novembre, son refus d’extrader l’imam marocain réclamé par la justice française pour s’être soustrait à un arrêté d’expulsion, a annoncé le parquet général de Mons. Cette décision est désormais susceptible d’être contestée devant la Cour de cassation.
« C’est une victoire pour le droit », ont réagi les avocats d’Hassan Iquioussen. Selon la défense de l’imam, l’infraction reprochée en France (« soustraction à l’exécution d’une mesure d’éloignement ») « n’existe pas dans le droit belge », ce qui est censé être le cas pour qu’un mandat d’arrêt européen puisse être exécuté.

Hassan Iquioussen, arrêté le 30 septembre, est actuellement assigné à résidence sous surveillance électronique. Son expulsion de France avait été annoncée, fin juillet, par Paris, qui lui reprochait « un discours prosélyte émaillé de propos incitant à la haine et à la discrimination ». Il avait quitté le territoire avant la validation de son arrêté d’expulsion par le Conseil d’Etat.

L’imam Iquioussen remis en liberté par la Belgique !

L’imam Iquioussen remis en liberté par la Belgique !

Comme parfois, la Belgique se signale par ses postures assez iconoclastes. Ainsi vient-elle de prendre une décision pour le moins surprenante en remettant en liberté l’imam Iquioussen.

Incarcéré en Belgique depuis son arrestation le 30 septembre, l’imam Iquioussen vient d’obtenir d’une juge belge d’être libéré et placé sous surveillance électronique.

Pour la juge d’instruction, le régime de la surveillance électronique suffit à prévenir le risque de fuite.Il n’y a sans doute qu’un juge belge pour penser une telle idiotie ( Ce qui ne dédouane nullement les autorités françaises y compris judiciaires de leur laxisme)

L’imam de 58 ans a donc quitté la prison de Tournai dans la journée et devrait, ¬selon BFMTV, séjourner chez un ami, un résident belge.

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, avait décidé l’expulsion de ce prédicateur du Nord, fiché S (pour sûreté de l’État) par les services de renseignement « depuis 18 mois ». L’arrêté reproche à cet intime des Frères musulmans « un discours prosélyte, émaillé de propos incitant à la haine et à la discrimination, et porteur d’une vision de l’islam contraire aux valeurs de la République », qu’il partage notamment auprès de ses 183.000 abonnés sur YouTube.

Mais lorsque la police veut l’informer de son expulsion vers le Maroc, en juillet, l’imam est introuvable. La cavale n’aura pas duré. Il est arrêté dans la région de Mons, au sud de la Belgique, le 30 septembre.

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Politique énergétique: La Belgique revoit le rôle du nucléaire !

Politique énergétique: La Belgique revoit le rôle du nucléaire !

 

Face à la menace russe, la Belgique réévalue sa sortie du nucléaire.

Le Premier ministre Alexander De Croo a admis que la Belgique était en train de « réévaluer » sa stratégie. Pour Catherine MacGregor, la directrice générale d’Engie ( Qui par parenthèse se mêle de ce qui ne la regarde pas), revenir sur la fermeture des deux réacteurs belges exploités par le groupe « ne serait guère réaliste ».

Comme en Allemagne, La Belgique remet en cause de la sortie du nucléaire .

Le parti Ecolo-Groen, fervent défenseur de ce scénario au sein de la coalition, a pour la première fois admis publiquement que les deux paramètres essentiels (sécurité garantie et prix maîtrisés) étaient fragilisés par le conflit russo-ukrainien et l’éventualité de sanctions occidentales frappant le secteur russe de l’énergie.La Belgique parle de favoriser les petites centrales nucléaires type SMR mais qui ne sont pas prêtes d’être mises en service

Energie: La Belgique revoit le rôle du nucléaire

Energie: La Belgique revoit le rôle du nucléaire

 

Face à la menace russe, la Belgique réévalue sa sortie du nucléaire.

Le Premier ministre Alexander De Croo a admis que la Belgique était en train de « réévaluer » sa stratégie. Pour Catherine MacGregor, la directrice générale d’Engie ( Qui par parenthèse se mêle de ce qui ne la regarde pas), revenir sur la fermeture des deux réacteurs belges exploités par le groupe « ne serait guère réaliste ».

Comme en Allemagne, La Belgique remet en cause de la sortie du nucléaire .

Le parti Ecolo-Groen, fervent défenseur de ce scénario au sein de la coalition, a pour la première fois admis publiquement que les deux paramètres essentiels (sécurité garantie et prix maîtrisés) étaient fragilisés par le conflit russo-ukrainien et l’éventualité de sanctions occidentales frappant le secteur russe de l’énergie.La Belgique parle de favoriser les petites centrales nucléaires type SMR mais qui ne sont pas prêtes d’être mises en service

Stratégie énergétique Belgique : des bougies pour remplacer le nucléaire ?

Stratégie énergétique Belgique  : des bougies pour remplacer le nucléaire   ?

 

La récente décision de la coalition politique au pouvoir en Belgique laisse songeur concernant la stratégie énergétique. En effet d’un cou,p les pouvoirs publics annoncent l’arrêt dans 4 ans des sept réacteurs nucléaires qui fournissent 40 % de l’électricité. À la place, les autorités belges développeront des petits réacteurs nucléaires de nouvelle génération  ( SMR de 1 à 300 MW) qui en réalité ne seront pas vraiment avant 10 ou 15 ans. Or l’arrêt des centrales Belges est prévu en 2025.

La vérité c’est qu’il s’agit d’une annonce purement politicienne et que les réacteurs nucléaires seront maintenus pour assurer la fourniture d’électricité en Belgique. L’accord validé hier par les libéraux, les écologistes et les socialistes assure un financement de 100 millions d’euros pour développer les petits réacteurs nucléaires de nouvelle génération, les fameux SMR – pour small modular reactor. A titre de comparaison, la France va injecter 1 milliard d’euros d’ici 2030.

« C’est avec un regard ouvert vers l’innovation et les nouvelles technologies que nous envisageons le futur énergétique », a plaidé M. De Croo, rappelant l’objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050 auquel doivent aussi contribuer les renouvelables (solaire, éolien). Un beau discours qui évidemment sera contredit par les réalités qu’ignorent souvent les alliances politiciennes. À défaut on pourrait suggérer à la Belgique d’envisager le retour de la bougie !

Belgique : des bougies pour remplacer le nucléaire ?

Belgique  : des bougies pour remplacer le nucléaire   ?

 

La récente décision de la coalition politique au pouvoir en Belgique laisse songeur concernant la stratégie énergétique. En effet d’un cou,p les pouvoirs publics annoncent l’arrêt dans 4 ans des sept réacteurs nucléaires qui fournissent 40 % de l’électricité. À la place, les autorités belges développeront des petits réacteurs nucléaires de nouvelle génération  ( SMR de 1 à 300 MW) qui en réalité ne seront pas vraiment avant 10 ou 15 ans. Or l’arrêt des centrales Belges est prévu en 2025.

La vérité c’est qu’il s’agit d’une annonce purement politicienne et que les réacteurs nucléaires seront maintenus pour assurer la fourniture d’électricité en Belgique. L’accord validé hier par les libéraux, les écologistes et les socialistes assure un financement de 100 millions d’euros pour développer les petits réacteurs nucléaires de nouvelle génération, les fameux SMR – pour small modular reactor. A titre de comparaison, la France va injecter 1 milliard d’euros d’ici 2030.

« C’est avec un regard ouvert vers l’innovation et les nouvelles technologies que nous envisageons le futur énergétique », a plaidé M. De Croo, rappelant l’objectif de neutralité carbone à l’horizon 2050 auquel doivent aussi contribuer les renouvelables (solaire, éolien). Un beau discours qui évidemment sera contredit par les réalités qu’ignorent souvent les alliances politiciennes. À défaut on pourrait suggérer à la Belgique d’envisager le retour de la bougie !

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