Archive pour le Tag 'Tesla :'

Tesla: Baisse des ventes de 44 % en France

Tesla: Baisse des ventes de 44 % en France

Le constructeur américain de voitures électriques a vu ses immatriculations baisser de 44 % en France depuis le début de 2025, avec 7 556 véhicules écoulés. Le marché des voitures neuves a accusé un repli de 5,64 %, moins important que le mois précédent (-14,5 %) avec 139 000 voitures immatriculées, selon les chiffres publiés mardi par la Plateforme automobile (PFA).

Elon Musk: Bientôt viré de Tesla ?

Elon Musk: Bientôt viré de Tesla ?

Les membres du conseil d’administration de Tesla, échaudés par les frasques d’Elon Musk et les mauvais résultats du constructeur automobile, sont à la recherche d’un nouveau directeur général.

De nombreux actionnaires de Tesla ont fait part de leur mécontentement après l’arrivée d’Elon Musk dans l’équipe Trump, estimant qu’il délaissait son entreprise, dont le titre a perdu près de 35% depuis l’investiture.

Les fantaisies provocatrices du patron de tesla pourrait lui coûter cher d’une part avec la mise à l’écart de l’équipe de Trump faute de résultats très significatifs sur la réduction des dépenses du budget fédéral et la mise à l’écart aussi de la direction de Tesla dont les ventes s’écroulent

Tesla: Plus de 900 milliards de dollars perdus en trois mois

Tesla: Plus de 900 milliards de dollars perdus en trois mois

Le cours du constructeur a chuté de plus de 15% à la Bourse de New York ce lundi, à 241,30 dollars. L’entreprise dirigée par Elon Musk a vu sa capitalisation boursière divisée par deux depuis la fin d’année dernière.

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La chute se poursuit pour le constructeur automobile pionnier des véhicules électriques. Le cours de l’entreprise a dégringolé de 15,43% à 241,30 dollars à la clôture de Wall Street, sa pire séance en Bourse depuis 2020, et a effacé 130 milliards de dollars de capitalisation boursière.. Sur le plus long terme, la dégringolade est vertigineuse : Tesla a vu sa capitalisation boursière être divisée par deux depuis décembre. C’est plus de 900 milliards de dollars de capitalisation boursière qui sont partis en fumée.

Le plongeon du titre s’inscrit dans une tendance plus large de baisse des cours à Wall Street, notamment des valeurs technologiques, face aux craintes sur l’état de l’économie américaine.

Les ventes de Tesla de Musk s’écroulent

Les ventes de Tesla de Musk s’écroulent

 

En janvier 2025, les ventes de l’entreprise d’Elon Musk ont chuté de près de 50 % en Europe par rapport à l’année précédente.

 
L’action du pionnier des véhicules électriques chutait de plus de 8% ce mardi à New York, plombée par l’annonce de ventes divisées par deux en Europe. Avec seulement 7517 véhicules immatriculés en janvier 2025 contre plus de 15.000 en janvier dernier, le constructeur affiche une baisse de 45,2% de ses ventes. Le désamour est particulièrement visible en Allemagne (-59,5%), en France (-63,4%) et en Espagne (-75,4%).  En cause des prix exorbitants et des problèmes de fiabilité. Musk pourra toujours se rattraper sur les nombreuses autres activités qui dirigent puisqu’il a environ 300 contrats avec l’État fédéral !

Elon Musk et Tesla en difficulté

Elon Musk et Tesla  en difficulté

Elon Musk, le milliardaire fou qui veut changer le monde entier et même coloniser Mars devrait s’occuper un peu plus de sa marque  Tesla fabricant d’automobiles électriques en difficulté. La firme d’Elon Musk a écoulé moins de voitures électriques l’an passé et sa marge opérationnelle a fondu au dernier trimestre. Mais Wall Street lui conserve sa confiance, et parie sur ses robots-taxis.

Le chiffre d’affaires de 77 milliards de dollars tiré de son activité automobile a reculé de 6 % en 2024 par rapport à 2023. Et c’est grâce à sa branche dédiée à la production au stockage d’énergie et aux services que le groupe Tesla affiche une croissance de 1 % de ses ventes, à 97,69 milliards de dollars. La production de voitures électriques dans les giga-usines installées aux États-Unis, en Chine et en Allemagne a reculé de 4 %. Et pour la première fois, les livraisons annuelles ont baissé passant de 1,808 million à 1,789 million d’unités en 2024. La firme avait prévu une hausse des volumes…

 

 

 

 

Tesla : baisse des ventes

Tesla : baisse des ventes

Comme beaucoup d’autres marques, les automobiles Tesla d’Elon Musk enregistre une baisse des ventes. En cause le climat général par rapport à des véhicules électriques qui sont loin d’atteindre leur objectif de croissance. Aussi le prix un peu démentiel des Tesla et des défaillances techniques. 

 

Il faut aussi sans doute souligner le facteur le plus négatif à savoir un prix qui évolue entre 60 et 100 000 dollars. De quoi décourager les plus enthousiastes partisans de l’électrique. Les livraisons de véhicules Tesla ont fléchi (-1%) en 2024 par rapport à l’année précédente, selon des chiffres publiés jeudi par le constructeur, une première dans l’histoire du constructeur. Le groupe texan a ainsi manqué sa cible, lui qui prévoyait, en octobre, une «légère augmentation» des livraisons sur l’ensemble de l’exercice. Tesla a partiellement compensé ce repli par une accélération au quatrième trimestre, marqué par une progression de 2,3% sur un an. Les livraisons des trois derniers mois de 2024 sont néanmoins inférieures aux attentes des analystes.

Résultat, le titre de l’entreprise recule fortement en Bourse. A Wall Street, l’action Tesla chutait de 5,9% à 379,88 dollars dans les premiers échanges contre un gain de 0,49% pour le Standard & Poor’s 500.

Automobile Tesla : baisse des ventes

Automobile Tesla : baisse des ventes

Comme beaucoup d’autres marques, les automobiles Tesla d’Elon Musk enregistre une baisse des ventes. En cause le climat général par rapport à des véhicules électriques qui sont loin d’atteindre leur objectif de croissance. Aussi le prix un peu démentiel des Tesla et des défaillances techniques. 

 

Il faut aussi sans doute souligner le facteur le plus négatif à savoir un prix qui évolue entre 60 et 100 000 dollars. De quoi décourager les plus enthousiastes partisans de l’électrique. Les livraisons de véhicules Tesla ont fléchi (-1%) en 2024 par rapport à l’année précédente, selon des chiffres publiés jeudi par le constructeur, une première dans l’histoire du constructeur. Le groupe texan a ainsi manqué sa cible, lui qui prévoyait, en octobre, une «légère augmentation» des livraisons sur l’ensemble de l’exercice. Tesla a partiellement compensé ce repli par une accélération au quatrième trimestre, marqué par une progression de 2,3% sur un an. Les livraisons des trois derniers mois de 2024 sont néanmoins inférieures aux attentes des analystes.

Résultat, le titre de l’entreprise recule fortement en Bourse. A Wall Street, l’action Tesla chutait de 5,9% à 379,88 dollars dans les premiers échanges contre un gain de 0,49% pour le Standard & Poor’s 500.

Société–boycotter X et Tesla ?

Société–boycotter X et Tesla ?

Le boycott du réseau X (ex Twitter) et des automobiles Tesla du milliardaire Elon Musk pourrait bien se développer compte tenu de l’extrême proximité et de la complicité entre Trump et Musk. Cela d’autant plus qu’il y a une très grande contradiction entre les convictions libertariennes de Musk et les soutiens y compris financiers qu’il reçoit de l’État fédéral notamment. En outremusk a largement contribué financièrement au succès de Trump. Or il n’est jamais bon de mélanger politique et business surtout quand ce mélange se révèle et se révélera de plus en plus sulfureux. Il est clair que le réseau X devient de plus en plus une poubelle à intox.

L’ensemble des médias européens qui quittent X précisent qu’ils continueront à utiliser le réseau comme outil de veille, voire à insérer des tweets dans leurs articles.
Le Guardian au Royaume-Uni. La Vanguardia en Espagne. Le Dagens Nyheter en Suède. Ouest-France et Sud-Ouest en France. En l’espace d’une semaine, ces cinq quotidiens européens ont pris la décision de cesser d’utiliser le réseau social X. « Plateforme toxique », « climat dur et extrême », prolifération de « violence, fake news , manipulations politiques, théories complotistes qui prennent le pas sur le contenu classique » ou « empoisonnement du débat public » sont les éléments mis en avant par ces médias pour expliquer leur décision.

 

« Cet outil (X) qui aurait pu être fabuleux pour la démocratie est devenu une zone où le droit n’est pas appliqué », avait argué auprès du Figaro François-Xavier Lefranc, président du directoire de Ouest-France. Dagens Nyheter et La Vanguardia y ajoutent la proximité entre le président élu Donald Trump et le propriétaire de X, Elon Musk. Ce dernier s’est engagé comme rarement dans la campagne…

Quant aux voitures Tesla, leur développement n’est pas assuré compte tenu du prix prohibitif qui tourne entre 70 000 et 100 000 €.

Boycotter X et Tesla ?

Boycotter X et Tesla ?
Le boycott du réseau X (ex Twitter) et des automobiles Tesla du milliardaire Elon Musk pourrait bien se développer compte tenu de l’extrême proximité et de la complicité entre Trump et Musk. Cela d’autant plus qu’il y a une très grande contradiction entre les convictions libertariennes de Musk et les soutiens y compris financiers qu’il reçoit de l’État fédéral notamment. En outremusk a largement contribué financièrement au succès de Trump. Or il n’est jamais bon de mélanger politique et business surtout quand ce mélange se révèle et se révélera de plus en plus sulfureux. Il est clair que le réseau X devient de plus en plus une poubelle à intox.

L’ensemble des médias européens qui quittent X précisent qu’ils continueront à utiliser le réseau comme outil de veille, voire à insérer des tweets dans leurs articles.
Le Guardian au Royaume-Uni. La Vanguardia en Espagne. Le Dagens Nyheter en Suède. Ouest-France et Sud-Ouest en France. En l’espace d’une semaine, ces cinq quotidiens européens ont pris la décision de cesser d’utiliser le réseau social X. « Plateforme toxique », « climat dur et extrême », prolifération de « violence, fake news , manipulations politiques, théories complotistes qui prennent le pas sur le contenu classique » ou « empoisonnement du débat public » sont les éléments mis en avant par ces médias pour expliquer leur décision.

 

« Cet outil (X) qui aurait pu être fabuleux pour la démocratie est devenu une zone où le droit n’est pas appliqué », avait argué auprès du Figaro François-Xavier Lefranc, président du directoire de Ouest-France. Dagens Nyheter et La Vanguardia y ajoutent la proximité entre le président élu Donald Trump et le propriétaire de X, Elon Musk. Ce dernier s’est engagé comme rarement dans la campagne…

Quant aux voitures Tesla, leur développement n’est pas assuré compte tenu du prix prohibitif qui tourne entre 70 000 et 100 000 €.

Tesla : plus de 14.000 salariés licenciés

Tesla  : plus de 14.000 salariés licenciés

Le constructeur américain de voitures électriques va tailler dans ses effectifs et va se séparer de plus de 10% de salariés au niveau mondial. Soit plus de 14.000 personnes dans la mesure où Tesla comptait 140.473 employés dans le monde en décembre 2023.

C’est ce qu’a indiqué ce lundi Elon Musk dans une note interne dévoilée par la publication spécialisée Electrek dans laquelle le directeur général du groupe automobile explique qu’au moment où l’entreprise se prépare à sa « prochaine phase de croissance », il est « extrêmement important d’examiner tous les aspects du groupe pour réduire les coûts et augmenter la productivité. »

« Il n’y a rien que je déteste davantage » que de procéder à des licenciements, « mais il faut en passer par là », écrit Elon Musk. « Cela va nous amincir, nous rendre plus innovants et mobilisés pour notre prochain cycle de croissance ».

Les livraisons ont en effet chuté de 8,5% dans le monde entre janvier et mars, par rapport aux mêmes mois un an plus tôt, avec 386.810 véhicules écoulés. Comparé au quatrième trimestre 2023, c’est même une chute d’environ 20%. Des résultats par ailleurs bien en dessous des prévisions des analystes, qui s’attendaient à des livraisons d’environ 457.000 pour la période, selon une moyenne de 11 estimations compilées par FactSet. C’est en outre la première baisse que la firme américaine a enregistré en près de quatre ans.

 

 

Tesla : baisse mondiale

Tesla : baisse

Tesla,  spécialiste des véhicules électriques,  a livré 386.810 véhicules au total, contre les 457.000 attendus par le consensus des analystes. Sa production a également reculé, à 433.371 (-8,5%). «La baisse des volumes est due en partie aux phases initiales de production de la nouvelle version de la Model 3 dans notre usine de Fremont», en Californie, a expliqué le groupe dans un communiqué.

D’après le groupe, elle découle aussi des problèmes d’acheminement liés au conflit en Mer rouge, avec des tirs de missiles par les Houthis sur les navires, et d’un sabotage dans son usine en Allemagne.

Tesla est aussi victime des marques proprement chinoises

Véhicule autonome Tesla : une autonomie bidon

Véhicule autonome Tesla : une autonomie bidon

 

Il est de plus en plus clair que le concept d’autonomie des véhicules est une illusion sur une infrastructure banalisée utilisée par d’autres usages. Le concept d’autonomie vise surtout à soutenir le cours de la valorisation boursière de Tesla complètement surestimé. Le concept de véhicules autonomes ne peut trouver d’application réelle que sur une infrastructure dédiée ( cas de certaines navettes, circuits complètement fermés à d’autres usages et surtout évidemment du transport ferroviaire urbain ou interurbain) . 

 

Ces véhicules dits autonomes, en effet, ont été impliqués dans 273 accidents aux États-Unis, selon un rapport publié en juin par l’Agence américaine de la sécurité routière (NHTSA), qui enquête sur le système d’assistance à la conduite du constructeur américain. Son rapport porte sur les véhicules équipés d’un logiciel dit de niveau 2, c’est-à-dire qui peut faire accélérer ou décélérer la voiture et tourner le volant si nécessaire, mais nécessite un conducteur attentif, prêt à reprendre le contrôle à tout moment. Au total, les modèles Tesla ont fait l’objet de près de 70% des signalements sur les 392 accidents répertoriés dans cette catégorie, pour la presque totalité entre juillet 2021 et mi-mai 2022, selon la NHTSA.

L’agence en charge des véhicules à moteur en Californie (DMV) a déposé plusieurs plaintes l’accusant de mentir aux consommateurs sur le système de conduite autonome, selon le Los Angeles Times. Une victoire de l’autorité californienne pourrait avoir des conséquences sévères, allant jusqu’à la révocation des licences autorisant Tesla à fabriquer ou vendre ses voitures en Californie.

 

 

 

 

 

 

Le DMV reproche à Tesla un langage publicitaire qui donne aux systèmes de conduite autonome des performance plus larges qu’ils n’en ont réellement. (Crédits : Tyrone Siu)

C’est un coup dur pour Tesla. Le constructeur de voiture électrique pourrait bien devoir revoir son discours publicitaire ventant les mérites d’une conduite autonome à bord de ses véhicules. L’agence en charge des véhicules à moteur en Californie (DMV) l’accuse de mentir aux consommateurs sur cette technologie, et a déposé des plaintes auprès d’un tribunal administratif de l’Etat, selon des informations de presse publiées ce vendredi. Conséquence de cette action en justice, l’action de Tesla était en fort recul à la clôture de la Bourse de New York vendredi, cédant 6,63%, à 864,51 dollars.

Selon les plaintes déposées le 28 juillet par le DMV, Tesla « a fait ou diffusé des déclarations fausses ou trompeuses, et non fondées sur des faits », rapporte, selon le Los Angeles Times. Les voitures Tesla n’ont jamais pu, « et ne peuvent aujourd’hui pas, fonctionner comme des véhicules autonomes », selon le document cité par le journal californien. Le DMV reproche à Tesla un langage publicitaire qui donne à ces systèmes des performance plus larges qu’ils n’en ont réellement. Contacté par l’AFP, le DMV n’avait pas répondu dans l’immédiat.

Lire aussiPassée du rêve à la déception, la voiture autonome se réinvente un avenir

En juin, le patron de Tesla, Elon Musk, avait, d’ailleurs, souligné l’importance de la conduite entièrement autonome pour l’entreprise, ajoutant que sans cela, la valeur de son entreprise serait « proche de zéro ».

Une victoire de l’autorité californienne face au constructeur de véhicules électriques pourrait avoir des conséquences sévères, allant jusqu’à la révocation des licences autorisant Tesla à fabriquer ou vendre ses voitures en Californie, indique encore le LA Times. Le journal précise que les mesures envisagées concernent plutôt la précision des informations que le fabricant devra fournir à ses clients.

273 accidents aux Etats-Unis

Ce n’est pas la première fois que les véhicules équipés du logiciel de conduite autonome sont pointés du doigt. Ils ont, en effet, été impliqués dans 273 accidents aux États-Unis, selon un rapport publié en juin par l’Agence américaine de la sécurité routière (NHTSA), qui enquête sur le système d’assistance à la conduite du constructeur américain. Son rapport porte sur les véhicules équipés d’un logiciel dit de niveau 2, c’est-à-dire qui peut faire accélérer ou décélérer la voiture et tourner le volant si nécessaire, mais nécessite un conducteur attentif, prêt à reprendre le contrôle à tout moment. Au total, les modèles Tesla ont fait l’objet de près de 70% des signalements sur les 392 accidents répertoriés dans cette catégorie, pour la presque totalité entre juillet 2021 et mi-mai 2022, selon la NHTSA.

Rattrapé par les difficultés d’approvisionnement qui plombe le secteur automobile, ajouté à la crise sanitaire, Tesla a affiché une moins bonne performance au second trimestre qu’au précédent. Avec 254.695 voitures livrées entre avril et juin, les livraisons du constructeur étaient en baisse de 18%. Si cela reste mieux que sur la même période un an auparavant (+27%), selon les résultats publiés début juillet, les analystes tablaient eux sur 264.000 livraisons.

Tesla-Elon Musk, respopnsable de la perte de 70% de la valeur de son groupe

Tesla-Elon Musk, respopnsable de la perte de 70% de la valeur de son groupe

En voulant s’investir de manière totalement irresponsable sur le terrain politique, le patron de Tesla a fait perdre environ 70 % de la valeur de son groupe depuis le début de l’année.
D’abord, il s’est engagé de manière tout à fait inconsidéré dans l’achat de Tweeter pour la somme folle de 44 milliards alors que Twitter n’a jamais réalisé le moindre bénéfice. Musk pensait pouvoir ainsi influencer encore davantage la politique américaine voire mondiale.

Mais ces fondements idéologiques sont particulièrement farfelus et contradictoires. Il se prétend libertarienrien mais n’hésite pas à s’attaquer de front aux libertés dans son entreprise décidant du jour au lendemain de liquider jusqu’à 50 % des effectifs. Ne parlons pas de son rapport aux syndicats et de son soutien à Trump. En réalité Musk est devenu le pire ennemi de son groupe. Et les actionnaires pourraient bien un jour l’éjecter de son trône.

Musk fait ainsi la démonstration une nouvelle fois que le mélange politique et business est particulièrement nocif car on peut être performant pour servir des intérêts personnels mais pas forcément utile à l’intérêt général.

Le constructeur automobile a perdu 69% de sa valeur boursière depuis le début de l’année, et 44% en décembre seulement.
Elon Musk est un habitué des coups d’éclat sur Twitter. Alors que le cours de son entreprise Tesla connaît une forte chute depuis quelques mois, un message posté par le milliardaire ce mardi sur le réseau social a accéléré cette tendance. L’entrepreneur américain a cru bon de répondre à une série de tweets publiée par l’ancien président russe Dmitri Medvedev, prévoyant une liste d’évènements hallucinants pour 2023. Ce dernier anticipait notamment l’émergence d’un quatrième Reich en Europe ou encore une guerre civile aux États-Unis dont Elon Musk lui-même serait le président. À la suite de ces prévisions, le propriétaire de Twitter a répliqué, en qualifiant ces messages d’«épiques». Un écart qui a fait plonger l’action de Tesla de 11,41% à 109,10 dollars mardi.

Tesla: Résultats décevants

Tesla: Résultats décevants

En ce moment, le milliardaire Elon Musk accumule les déboires. Il y a d’abord cette de tumultueuse affaire de Tweet acheté de manière un peu irresponsable pour la somme exorbitante de 44 milliards. Un réseau social de plus en plus sujet à polémiques d’autant que le milliardaire à réintégré son ami Trump dans le réseau. S’ajoutent à cela des résultats financiers décevants concernant l’activité d’automobiles électriques. De quoi encore s’interroger sur la valorisation invraisemblable de Tesla.

Le groupe d’Elon Musk a dégagé un bénéfice net de 3,3 milliards de dollars, tout près de son record, pour un chiffre d’affaires de 21,4 milliards de dollars quand les analystes attendaient près de 22 milliards.

Tesla a par ailleurs maintenu son objectif de long terme de croissance de ses livraisons à hauteur de 50% en moyenne par an, un objectif qui semble pourtant compliqué à atteindre en 2022. Il faudrait que le groupe livre près d’un demi-million de véhicules électriques au quatrième trimestre pour y parvenir, contre 344.000 au troisième trimestre.
Tesla affirme augmenter sa production « aussi rapidement que possible ». Mais « la volatilité de la logistique et des goulets d’étranglement dans la chaîne d’approvisionnement restent des défis immédiats, même s’ils s’améliorent », souligne le groupe.
L’entreprise d’Elon Musk assure, par ailleurs, que si elle a produit quelque 20.000 véhicules de plus qu’elle n’en a livré au troisième trimestre, c’est à mettre sur le compte des difficultés d’acheminement aux clients. Une explication qui n’a pas franchement rassuré les observateurs, certains se demandant si ce n’était pas plutôt le signe d’un ralentissement de la demande. Elon Musk a jusqu’à présent assuré qu’il ne se faisait aucune inquiétude de ce côté, les listes d’attente restant longues.

Mais les taux d’emprunt grimpent à toute allure, l’économie ralentit et la Tesla la moins chère coûte 48.490 dollars. Aussi les observateurs se demandent si les clients vont continuer à vouloir des voitures à des prix aussi élevés.

Voitures électriques : net tassement des productions de Tesla

Voitures électriques : net tassement des productions de Tesla

Tesla affiche assez nettement en dessous des prévisions pour la production au troisième trimestre par rapport au second. Une situation qui pèse sur la valorisation du titre et qui hypothèquent un peu plus l’éventuel rachat de Twitter par Edmond Musk. ( Un coup de rachat de presque 50 milliards !).

L’annonce a immédiatement été sanctionnée en après-Bourse, le titre de la société dirigée par Elon Musk cédant jusqu’à 7% dans les transactions électroniques. »

« La hausse du prix des matières premières a pénalisé notre rentabilité », a commenté Tesla dans un communiqué.

Le groupe y dit également avoir souffert des effets négatifs des taux de change, ce qui lui a coûté 250 millions de dollars.

Si le nombre de véhicules livrés s’est avéré plus élevé que jamais, en raison notamment du dynamisme du marché chinois, le total des livraisons est ressorti en-deça des attentes.
Au troisième trimestre, Tesla a engrangé 21,45 milliards de dollars de chiffre d’affaires, moins que les 21,96 milliards anticipés par les analystes, selon les données IBES de Refinitiv.
La marge brute a quant à elle baissé de 2,5 points, passant de 30,5% au troisième trimestre 2021 à 27,9% au T3 2022.

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