Archive pour le Tag 'Après'

France : après la crise politique…. la crise sociale ?

France : après la crise politique…. la crise sociale ?

 

Il n’est pas nécessaire d’insister sur l’extrême fragilité de l’environnement politique en France avec un gouvernement qui ne dispose strictement d’aucune majorité et qui voit même ses supposés soutiens voter contre le pouvoir. En dépit de sa bonne volonté, Barnier le premier ministre est complètement isolé et paralysé. Il ne pourra sans doute pas dépassé le printemps 2025. S’ajoute désormais à cette difficulté un mouvement de repli de l’activité économique et des vagues de licenciements dans l’industrie et les services.

 

Jusque-là la France avait pu faire illusion avec une petite croissance de 1 % mais avec les perspectives de budget et le recul des investissements publics et privés, mécaniquement l’activité économique va se tasser au mieux demeurer à son niveau actuel. Le manque cruel de compétitivité dans un environnement mondial qui se tend caractérise le pays qui ne travaille pas assez mais veut quand même maintenir son modèle social financé aujourd’hui par la dette.

Dans un sondage près de 60 % des Français refusent de faire un effort pour sauver ce modèle social . Rien d’étonnant à cela la plupart des Français, citoyen de base ou responsables nationaux n’entendent rien à l’économie. Même l’ancien ministre des finances Bruno Lemaire ne sait même pas expliquer comment on a perdu 50 milliards de recettes fiscales sur un an ( un « problème d’élasticité des modèles » dit-il pour camoufler son incompétence).

En attendant les entreprises sont bien contraintes de s’adapter à la nouvelle donne de compétitivité mondiale   marquée par des replis protectionnistes, des ajustements des moyens de production et une guerre économique encore plus intense . Mécaniquement il faut s’attendre à 100 à 200 000 suppressions d’emplois qui risquent de faire sauter le couvercle de la marmite sociale. Et cela d’autant plus quand le gouvernement sans aucune légitimité et sans aucune cohérence économique et environnementale liquide la branche fret de la SNCF. Le risque évidemment est d’enflammer totalement l’environnement social voir sociétal.

D’une certaine manière ce nouveau gouvernement -comme les précédents de Macron- se caractérise par une grande incompétence, un manque de dynamisme et de volonté. Dernière preuve en date cette conférence commune du ministre de l’intérieur et du ministre de la justice dont les orientations sont complètement inadaptées à l’enjeu du narcotrafic .

Dans tous les domaines, politique bien sûr mais aussi économiques, sociaux et même sociétaux, le pouvoir fait un pas en avant et deux pas en arrière et en plus est torpillé par les forces qui devraient le soutenir. Quant aux forces d’opposition elles ne veulent surtout pas tremper dans cette soupe explosive et se tiennent à l’écart avec le seul objectif des élections présidentielles qui devront par ailleurs sans doute être avancées car le pays ne pourra tenir dans cet état de crise très longtemps.

France : après la crise politique, la crise économique et la crise sociale

France : après la crise politique, la crise économique et la crise sociale

 

Il n’est pas nécessaire d’insister sur l’extrême fragilité de l’environnement politique en France avec un gouvernement qui ne dispose strictement d’aucune majorité et qui voit même ses supposés soutiens voter contre le pouvoir. En dépit de sa bonne volonté, Barnier le premier ministre est complètement isolé et paralysé. Il ne pourra sans doute pas dépassé le printemps 2025. S’ajoute désormais à cette difficulté un mouvement de repli de l’activité économique et des vagues de licenciements dans l’industrie et les services.

 

Jusque-là la France avait pu faire illusion avec une petite croissance de 1 % mais avec les perspectives de budget et le recul des investissements publics et privés, mécaniquement l’activité économique va se tasser au mieux demeurer à son niveau actuel. Le manque cruel de compétitivité dans un environnement mondial qui se tend caractérise le pays qui ne travaille pas assez mais veut quand même maintenir son modèle social financé aujourd’hui par la dette.

Dans un sondage près de 60 % des Français refusent de faire un effort pour sauver ce modèle social . Rien d’étonnant à cela la plupart des Français, citoyen de base ou responsables nationaux n’entendent rien à l’économie. Même l’ancien ministre des finances Bruno Lemaire ne sait même pas expliquer comment on a perdu 50 milliards de recettes fiscales sur un an ( un « problème d’élasticité des modèles » dit-il pour camoufler son incompétence).

En attendant les entreprises sont bien contraintes de s’adapter à la nouvelle donne de compétitivité mondiale   marquée par des replis protectionnistes, des ajustements des moyens de production et une guerre économique encore plus intense . Mécaniquement il faut s’attendre à 100 à 200 000 suppressions d’emplois qui risquent de faire sauter le couvercle de la marmite sociale. Et cela d’autant plus quand le gouvernement sans aucune légitimité et sans aucune cohérence économique et environnementale liquide la branche fret de la SNCF. Le risque évidemment est d’enflammer totalement l’environnement social voir sociétal.

D’une certaine manière ce nouveau gouvernement -comme les précédents de Macron- se caractérise par une grande incompétence, un manque de dynamisme et de volonté. Dernière preuve en date cette conférence commune du ministre de l’intérieur et du ministre de la justice dont les orientations sont complètement inadaptées à l’enjeu du narcotrafic .

Dans tous les domaines, politique bien sûr mais aussi économiques, sociaux et même sociétaux, le pouvoir fait un pas en avant et deux pas en arrière et en plus est torpillé par les forces qui devraient le soutenir. Quant aux forces d’opposition elles ne veulent surtout pas tremper dans cette soupe explosive et se tiennent à l’écart avec le seul objectif des élections présidentielles qui devront par ailleurs sans doute être avancées car le pays ne pourra tenir dans cet état de crise très longtemps.

France : après la crise politique et économique , l’explosion sociale ?

 

Il n’est pas nécessaire d’insister sur l’extrême fragilité de l’environnement politique en France avec un gouvernement qui ne dispose strictement d’aucune majorité et qui voit même ses supposés soutiens voter contre le pouvoir. En dépit de sa bonne volonté, Barnier le premier ministre est complètement isolé et paralysé. Il ne pourra sans doute pas dépassé le printemps 2025. S’ajoute désormais à cette difficulté un mouvement de repli de l’activité économique et des vagues de licenciements dans l’industrie et les services.

 

Jusque-là la France avait pu faire illusion avec une petite croissance de 1 % mais avec les perspectives de budget et le recul des investissements publics et privés, mécaniquement l’activité économique va se tasser au mieux demeurer à son niveau actuel. Le manque cruel de compétitivité dans un environnement mondial qui se tend caractérise le pays qui ne travaille pas assez mais veut quand même maintenir son modèle social financé aujourd’hui par la dette.

Dans un sondage près de 60 % des Français refusent de faire un effort pour sauver ce modèle social . Rien d’étonnant à cela la plupart des Français, citoyen de base ou responsables nationaux n’entendent rien à l’économie. Même l’ancien ministre des finances Bruno Lemaire ne sait même pas expliquer comment on a perdu 50 milliards de recettes fiscales sur un an ( un « problème d’élasticité des modèles » dit-il pour camoufler son incompétence).

En attendant les entreprises sont bien contraintes de s’adapter à la nouvelle donne de compétitivité mondiale   marquée par des replis protectionnistes, des ajustements des moyens de production et une guerre économique encore plus intense . Mécaniquement il faut s’attendre à 100 à 200 000 suppressions d’emplois qui risquent de faire sauter le couvercle de la marmite sociale. Et cela d’autant plus quand le gouvernement sans aucune légitimité et sans aucune cohérence économique et environnementale liquide la branche fret de la SNCF. Le risque évidemment est d’enflammer totalement l’environnement social voir sociétal.

D’une certaine manière ce nouveau gouvernement comme les précédents de Macron se caractérisent par une grande incompétence, un manque de dynamisme et de volonté. Dernière preuve en date cette conférence commune du ministre de l’intérieur et du ministre de la justice dont les orientations sont complètement inadaptées à l’enjeu du narcotrafic .

Dans tous les domaines, politique bien sûr mais aussi économiques, sociaux et même sociétaux, le pouvoir fait un pas en avant et deux pas en arrière et en plus est torpillé par les forces qui devraient le soutenir. Quant aux forces d’opposition elles ne veulent surtout pas tremper dans cette soupe explosive et se tiennent à l’écart avec le seul objectif des élections présidentielles qui devront par ailleurs sans doute être avancées car le pays ne pourra tenir dans cet état de crise très longtemps.

Après la mort du chef du Hezbollah, Des réactions très contrastées

Après la  mort du chef du Hezbollah, Des réactions très contrastées

 D’une façon générale, les pays proches du Liban et le monde musulman condamnent avec la plus grande fermeté  la mort du chef du Hezbollah. Parmi ceux qui se réjouissent il y a évidemment Israël mais aussi les États-Unis. Une troisième catégorie de pays dont la France se montre très mesurés en regrettant les violences et en souhaitant mollement un accord de paix mais sans trop prendre parti. L’avenir est en effet incertain mais on peut faire l’hypothèse d’une poursuite d’une guerre larvée entre Israël et ses voisins avec des accalmies mais aussi des montées en puissance. 
 

En Iran, le guide suprême Ali Khamenei a décrété cinq jours de deuil national. « La ligne glorieuse du chef de la résistance, Hassan Nasrallah, se poursuivra et son objectif sacré sera réalisé avec la libération de Qods [Jérusalem]« , a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani, dans un message publié sur X (Nouvelle fenêtre). Financé et armé par l’Iran, le Hezbollah a été créé en 1982 à l’initiative des Gardiens de la Révolution. Le mouvement islamiste chiite fait d’ailleurs partie de ce que l’Iran appelle l’ »axe de la résistance » contre Israël. Le premier vice-président iranien, Mohammad Reza Aref, a également estimé que cette « effusion de sang injuste » entraînerait la « destruction » d’Israël.

Le mouvement islamiste palestinien Hamas a dénoncé un « acte terroriste lâche » d’Israël. « Nous condamnons dans les termes les plus forts cette agression barbare sioniste et la prise pour cible de bâtiments résidentiels », a détaillé dans un communiqué le Hamas, soutenu comme le Hezbollah par l’Iran. Les rebelles houthis du Yémen ont pour leur part affirmé que la mort d’Hassan Nasrallah aboutirait à  »la victoire et à la disparition de l’ennemi israélien ». Samedi après-midi, l’armée israélienne a annoncé avoir intercepté un missile tiré depuis le Yémen.

 

Le Premier ministre irakien a, lui aussi, réagi à l’assassinat du chef du mouvement islamiste. La frappe israélienne est une « attaque honteuse » et « un crime qui montre que l’entité sioniste a franchi toutes les lignes rouges », a déclaré Mohamed Chia al-Soudani. La présidence de l’Autorité palestinienne a également « présenté ses sincères condoléances au gouvernement libanais et au peuple frère libanais ». Le président turc Recep Tayyip Erdogan n’a pas directement commenté la mort du chef du Hezbollah, mais il a accusé samedi Israël de préparer un  »génocide » au Liban, dénonçant des « attaques brutales » visant le Hezbollah.

La Russie, alliée de l’Iran, a à son tour condamné  »fermement » l’assassinat par Israël du chef du mouvement pro-iranien du Hezbollah. Le ministère russe des Affaires étrangères a dénoncé dans un communiqué « un nouvel assassinat politique commis par Israël ». La diplomatie russe affirme qu’Israël porte  »l’entière responsabilité » des conséquences « dramatiques » que l’événement pourrait entraîner dans la région. « Nous demandons instamment à Israël de cesser immédiatement les hostilités » pour « mettre fin à l’effusion de sang », a ajouté Moscou.

De son côté, assumant son opération, Israël estime que Hassan Nasrallah « méritait d’être tué » et que c’est « une bonne chose qu’il l’ait été »« L’élimination de l’archi-terroriste Nasrallah est l’une des mesures antiterroristes les plus justifiées jamais prises par Israël », écrit le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, sur son compte X(Nouvelle fenêtre). Le porte-parole de l’armée israélienne, le contre-amiral Daniel Hagari, a également estimé que « l’élimination » du chef du Hezbollah rendait le monde « plus sûr », et insisté sur le fait que son pays continuerait à tuer d’autres commandants du mouvement islamiste armé.

L’assassinat de Hassan Nasrallah est « une mesure de justice pour ses nombreuses victimes, dont des milliers de civils américains, israéliens et libanais », a estimé pour sa part le président américain Joe Biden. « Les Etats-Unis soutiennent pleinement le droit d’Israël à se défendre », a-t-il ajouté.

La communauté internationale appelle mollement , de son côté, à cesser les combats.  » On notera aussi des réactions de pure forme de certains Etats notamment arabes .

Liban: Après l’Égypte, la France demande une réunion du conseil de sécurité

Liban: Après l’Égypte, la France demande une réunion du conseil de sécurité

Après l’Égypte la France a demandé une réunion urgente du conseil de sécurité concernant la guerre qui se développe entre Israël et le Liban. Le risque est en effet d’étendre le champ géographique du conflit à une grande partie du Moyen-Orient.

 

«La France appelle les parties et ceux qui les soutiennent à la désescalade et à éviter un embrasement régional qui serait dévastateur pour tous, à commencer par les populations civiles. C’est pourquoi j’ai demandé que se tienne une réunion d’urgence du Conseil de sécurité sur le Liban cette semaine», a ajouté le nouveau chef de la diplomatie française qui a pris ses fonctions lundi. «Au Liban comme ailleurs, la France restera pleinement mobilisée pour résoudre les crises majeures qui fracturent l’ordre international. Elle prendra des initiatives», a-t-il assuré.

Le seul problème c’est que politiquement la France pèse de moins en moins non seulement en raison de ses problèmes politiques internes mais surtout en raison de l’affaiblissement général du pays sur le plan économique

 

Liban : des morts et de nombreux blessés après l’explosion de bipeurs et autres talkies-walkies

Liban : des morts et de nombreux blessés après l’explosion de bipeurs et autres talkies-walkies

 

Une action inédite sans doute d’Israël au Liban  visant essentiellement des membres du Hezbollah. Au moins 12 personnes sont mortes et près de 2.800 ont été blessées ce mardi 17 septembre dans l’explosion simultanée de bipeurs au Liban et en Syrie. Les victimes: surtout des membres du Hezbollah. Israël et ses services de renseignement sont suspectés d’être à l’origine de cette guerre inédite. Des services de renseignement qui seraient intervenus pour placer des explosifs dans les appareils en cause après leur fabrication.

Les bipeurs de membres du Hezbollah qui ont explosé par centaines mardi au Liban étaient piégés et préprogrammés pour exploser, a indiqué mercredi à l’AFP un responsable libanais de la sécurité.

Les résultats préliminaires d’une enquête menée par les autorités libanaises ont montré que «les appareils étaient préprogrammés pour exploser et contenaient des matériaux explosifs placés à côté de la batterie», a précisé ce responsable qui a requis l’anonymat en raison du caractère sensible de l’affaire.

Venezuela : Après les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine l’UE ne reconnaît pas Maduro

Venezuela : Après les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine l’UE ne reconnaît pas Maduro

 

L’Union  Européenne ne reconnaît pas le caractère démocratique de l’élection présidentielle de Maduro au Venezuela.

L’Union européenne ne reconnaît pas de «légitimité démocratique» au président vénézuélien Nicolas Maduro après sa réélection en juillet, a annoncé jeudi le chef de la diplomatie européenne Josep Borrell.

Maduro «continuera à être président, oui, de facto. Mais nous ne reconnaissons pas de légitimité démocratique basée sur des résultats (électoraux) qui ne peuvent pas être vérifiés», a déclaré M. Borrell, à l’issue d’une réunion informelle des ministres des Affaires étrangères de l’UE à Bruxelles.

Maduro continue d’ignorer les manifestations nombreuses et massives de l’opposition qui considère avoir emporté l’élection avec plus de 60 % des voix.

Notons qu’en France, Mélenchon soutient inconditionnel de Maduro n’a pas osé s’exprimer sur cette élection truquée du bolivarisme.

Santé -Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Santé :-Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Le premier ministre français déclare une vigilance urgente vis-à-vis de la variole du singe (mpox) surtout après le cas constaté en Suède. Le ministre français de la santé n’exclut pas des cas en France. 

La Suède a   déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse. L’Europe craint aussi une contagion plus large.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Le premier ministre français déclare une vigilance urgente vis-à-vis de la variole du singe (mpox) surtout après le cas constaté en Suède. La Suède a en effet  déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse. L’Europe craint aussi une contagion plus large.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

La Suède a déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

 

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

 

Donald Trump reconnu coupable de 34 délits de falsifications de documents comptables, destinées à cacher, juste avant sa victoire à la présidentielle de 2016, un paiement  une actrice de films X Veut repousser la sentence de son brossé après la présidentielle !

 

Donald Trump, premier ex-président des États-Unis à avoir été condamné au pénal, fin mai à New York, voudrait que le prononcé de sa peine soit repoussé de mi-septembre à l’après l’élection présidentielle du 5 novembre, selon une requête de son avocat. Le candidat républicain, qui rêve de retourner à la Maison Blanche, ne cesse depuis des mois d’user d’arguties pour retarder ses procès et surtout faire annuler ce verdict.

 

 

Politique: après la dissolution, la procrastination ?

Politique: après  la dissolution, la procrastination ? 

 

Dans une tribune au « Monde », le sénateur Les Républicains  Philippe Bas juge qu’Emmanuel Macron doit nommer sans tarder une personnalité indépendante et expérimentée à Matignon. La France réclame un premier ministre qui ne soit plus le subordonné du président, mais le chef d’un gouvernement autonome sachant écouter le Parlement.

 

Un poison toxique parasite notre démocratie depuis les législatives, celui d’une triple mystification. Il est temps d’administrer l’antidote de vérité.Première mystification : le président de la République doit attendre que les partis politiques s’entendent pour nommer le premier ministre. C’est la théorie d’Emmanuel Macron. Elle est contraire à l’esprit de la Constitution. Dans la Constitution, le chef de l’Etat nomme un premier ministre (article 8) ; l’Assemblée nationale lui accorde sa confiance ou le censure (articles 49 et suivants). Autrement dit : le président propose ; l’Assemblée dispose. Rien ne saurait dispenser le chef de l’Etat de remplir cette mission ; rien ne l’autorise à la renvoyer à d’autres. Cela revêt une grande importance dans la confusion actuelle.

Chacun sait qu’il n’y a plus de majorité à l’Assemblée pour soutenir un gouvernement. La seule chose que l’on puisse espérer, c’est qu’il n’y en ait pas non plus pour le renverser, du moins dans un premier temps. Alors, à quoi bon attendre ? Les échéances constitutionnelles pour le budget de la France approchent à grands pas. Retarder la formation d’un gouvernement n’augmente pas les chances de trouver une majorité. Le président ne doit pas ajouter la procrastination à la dissolution.

La situation est certes inédite sous la Ve République. Mais elle était courante avant, sous les IIIe et IVe Républiques. Le rôle du président fut toujours de faire émerger une combinaison gouvernementale pour qu’un budget et des réformes soient votés. Ce rôle n’a pas disparu. Il a été accru par notre Constitution. Elle a doté le président (et le gouvernement) de puissants moyens d’action pour faire face aux divisions des Français.

Violences en Grande-Bretagne après l’attaque au couteau

Violences en Grande-Bretagne après l’attaque au couteau

 

De violents affrontements ont éclaté à Southport (Royaume-Uni), mardi 30 juillet, au lendemain de l’attaque au couteau qui a coûté la vie à trois fillettes et a blessé huit autres enfants. Ces violences ont éclaté peu après une veillée en hommage aux victimes, dans le centre de la ville britannique. 

 
Mardi soir, une centaine de manifestants ont allumé des feux et affronté les forces de l’ordre, selon un journaliste de l’AFP présent sur les lieux.

L’attaque au couteau, dont les motivations restent inconnues, s’est produite lundi dans un club de danse organisant une activité pour enfants autour de la musique de Taylor Swift. Deux fillettes de 6 et 7 ans sont mortes le jour même, et une troisième, âgée de 9 ans, a succombé à ses blessures mardi. Selon le dernier bilan, huit autres enfants ont été blessés, dont cinq étaient toujours mardi dans un état critique. Deux adultes ont également été grièvement blessés, probablement en tentant de « protéger » les enfants, selon la police.

Trump accuse Harris de vouloir des avortements « après la naissance » !

Trump  accuse Harris de vouloir des avortements « après la naissance » !

Sans doute désarçonné par l’abandon de Biden et surtout la candidature de Kamala Harris, l’ancien président américain lors d’un meeting en Caroline du nord a fait preuve d’une rare violence à l’égard de sa concurrente l’accusant de vouloir même des avortements après la naissance ! Des propos qui à l’évidence montrent l’extrême fébrilité du candidat républicain désormais en difficulté dans les sondages face à une adversaire particulièrement pugnace, crédible et en plus compétente notamment vis-à-vis des gamelles juridiques de Trump.

 

Donald Trump a lancé mercredi des attaques d’une rare violence à l’égard de sa nouvelle rivale démocrate, Kamala Harris, jusqu’à accuser, sans la moindre preuve, la vice-présidente américaine de vouloir favoriser l’«exécution de bébés». «Elle veut des avortements au huitième et au neuvième mois de grossesse, jusqu’à la naissance et même après la naissance, l’exécution de bébés», a lancé le candidat républicain lors d’un meeting de campagne en Caroline du Nord, son premier depuis que Joe Biden a jeté l’éponge.

 

Gouvernement: On verra après les jeux ! (Macron)

Gouvernement:  On verra après les jeux  ! (Macron)

 

Macron a quelque sorte mise entre parenthèses les joutes politiques pendant le déroulement des JO. D’une certaine manière,  on met ainsi un voile pudique sur la situation de crise politique en France pour mieux mettre en lumière le spectacle des jeux olympiques.

Interrogé sur France 2 et Radio France, le président de la République a donné rendez-vous dans un peu moins d’un mois pour la désignation d’un nouveau premier ministre. Pas question de changer le gouvernement pendant les JO, car «cela créerait un désordre», a-t-il estimé. «Jusqu’à la mi-août, on doit être concentrés sur les Jeux. Et puis à partir de là, à partir de l’avancée des discussions, ce sera ma responsabilité de nommer un premier ministre», a-t-il projeté, en réitérant son appel aux forces politiques à «faire des compromis». C’est «quelque chose que toutes les démocraties européennes font» et «que nos compatriotes attendent», a-t-il insisté, même si ce «n’est pas dans notre tradition».

 

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