Archive pour le Tag 'reportée'

Tarifs Électricité : l’augmentation reportée

Tarifs Électricité :  l’augmentation reportée 

En renonçant à appliquer l’évolution tarifaire décidée par la CRE, le gouvernement évite donc une seconde hausse, après celle de février de presque 10% dans le cadre de la sortie du coûteux bouclier tarifaire sur l’énergie. 

Bruno Le Maire a depuis annoncé une baisse à venir des factures d’électricité de 10 à 15% en février 2025, sous l’effet de la forte baisse des prix sur les marchés de gros. Une raison supplémentaire pour Bercy de ne pas augmenter les prix de l’électricité début août, souhaitant ainsi éviter les « à-coups » sur la facture du consommateur. L’augmentation n’est pas « conforme aux objectifs de protection des consommateurs et d’apaisement autour des sujets de prix de l’énergie », complète Bercy.

 

 

L’interdiction des voitures thermiques reportée après 2035 ?

L’interdiction des voitures thermiques reportée après 2035 ?

Le journal la tribune s’interroge sur l’éventualité d’un report de l’interdiction des voitures thermiques après 2035. L’organe d’information estime toutefois que les investissements dans la voiture électrique sont trop importants pour envisager cette hypothèse. Un curieux raisonnement. Cela d’autant plus que l’électrification du parc profite pour l’instant essentiellement aux Chinois alliés ou non au constructeur l’Europe.

 

Par ailleurs on n’a pas encore résolu la question de la capacité d’achat des automobilistes dont beaucoup n’ont pas les moyens financiers pour accéder à la voiture électrique. Conséquence, les voitures thermiques continueront d’exister sans doute après 2035 d’une part parce qu’elles seront toujours fabriquées, d’autre part que les véhicules vont sans doute circuler jusqu’en 2070 ou plus. Enfin il existe des interrogations sur la motorisation future par exemple à l’hydrogène et sur la mobilité en général ( concept du véhicule et rapports entre transports privés et transports publics par exemple)

Au 1er janvier 2035 en théorie ,plus aucune voiture à essence, diesel ou hybride ne sera commercialisée en Europe. Une décision adoptée depuis 2022 par le Parlement et les Etats membres.  Mais beaucoup dans le monde politique s’interroge sur la pertinence de cette date ; une interrogation partagée aussi par certains constructeurs automobiles.

Economie-BCE: Baisse des taux encore reportée

Economie-BCE:  Baisse des taux encore reportée
La  banque centrale européenne a maintenu sa politique restrictive et n’a donc pas procédé à une révision en baisse des taux. Une baisse qui serait reportée peut-être en juin de réserve d’évolution de la situation économique et géopolitique. Rappelons que la Fed a décidé quant à elle de reporter à plus tard la baisse de ses taux et peut-être même à la fin de l’année. Un élément dont  forcément devra tenir compte la banque centrale européenne.

.Pour rappel, après les avoir fait grimper à un niveau record – le principal d’entre eux, sur les dépôts, a atteint son plus haut historique, à 4% -, elle a opté pour le statu quo depuis octobre dernier. Ainsi, le taux de dépôt reste à 4% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal se situent respectivement à 4,50% et 4,75%. Une stratégie de durcissement des conditions monétaires ayant pour but de faire repasser l’inflation en zone euro sous les 2%, après les chiffres record, à plus de 10%, atteints à l’automne 2022.

La présidente de la BCE, Christine Lagarde a donc réaffirmé, ce jeudi « que les taux directeurs de la BCE se situent à des niveaux qui contribuent de manière substantielle au processus de désinflation en cours ». L’institution gardienne de l’euro ne souhaite donc pas, à ce stade, précipiter une détente de ses taux. De fait, si l’inflation a diminué à 2,4% en mars dans la zone euro, elle reste loin de l’objectif de la BCE.

Elle a même évoqué le mois de juin, expliquant « que nous aurons plus d’informations », à ce moment là, confirmant le pari de nombreux analystes sur une première baisse en juin. Et pour cause, « l’inflation a continué de baisser, tirée par la baisse des prix des produits alimentaires et des biens », a notamment reconnu l’institution dans son communiqué.

Début mars, l’institution de Francfort a annoncé tabler sur une hausse des prix de 2,3% en 2024, contre 2,7% anticipé auparavant, puis de 2,0% en 2025. La croissance du PIB (produit intérieur brut), elle, devrait, selon la banque centrale, atteindre 0,6% en 2024, contre 0,8% prévu en décembre. A titre de comparaison, la croissance américaine devrait se maintenir à 2,1% en 2024 selon la Réserve fédérale américaine. « L’économie demeure fragile », a notamment noté Christine Lagarde, ce jeudi.

À noter cependant que tous les experts européens ne sont pas forcément d’accord pour un desserrement en juin de la politique restrictive de la BCE.

 

BCE: Baisse des taux encore reportée

BCE:  Baisse des taux encore reportée
La  banque centrale européenne a maintenu sa politique restrictive et n’a donc pas procédé à une révision en baisse des taux. Une baisse qui serait reportée peut-être en juin de réserve d’évolution de la situation économique et géopolitique. Rappelons que la Fed a décidé quant à elle de reporter à plus tard la baisse de ses taux et peut-être même à la fin de l’année. Un élément dont  forcément devra tenir compte la banque centrale européenne.

.Pour rappel, après les avoir fait grimper à un niveau record – le principal d’entre eux, sur les dépôts, a atteint son plus haut historique, à 4% -, elle a opté pour le statu quo depuis octobre dernier. Ainsi, le taux de dépôt reste à 4% tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal se situent respectivement à 4,50% et 4,75%. Une stratégie de durcissement des conditions monétaires ayant pour but de faire repasser l’inflation en zone euro sous les 2%, après les chiffres record, à plus de 10%, atteints à l’automne 2022.

La présidente de la BCE, Christine Lagarde a donc réaffirmé, ce jeudi « que les taux directeurs de la BCE se situent à des niveaux qui contribuent de manière substantielle au processus de désinflation en cours ». L’institution gardienne de l’euro ne souhaite donc pas, à ce stade, précipiter une détente de ses taux. De fait, si l’inflation a diminué à 2,4% en mars dans la zone euro, elle reste loin de l’objectif de la BCE.

Elle a même évoqué le mois de juin, expliquant « que nous aurons plus d’informations », à ce moment là, confirmant le pari de nombreux analystes sur une première baisse en juin. Et pour cause, « l’inflation a continué de baisser, tirée par la baisse des prix des produits alimentaires et des biens », a notamment reconnu l’institution dans son communiqué.

Début mars, l’institution de Francfort a annoncé tabler sur une hausse des prix de 2,3% en 2024, contre 2,7% anticipé auparavant, puis de 2,0% en 2025. La croissance du PIB (produit intérieur brut), elle, devrait, selon la banque centrale, atteindre 0,6% en 2024, contre 0,8% prévu en décembre. A titre de comparaison, la croissance américaine devrait se maintenir à 2,1% en 2024 selon la Réserve fédérale américaine. « L’économie demeure fragile », a notamment noté Christine Lagarde, ce jeudi.

À noter cependant que tous les experts européens ne sont pas forcément d’accord pour un desserrement en juin de la politique restrictive de la BCE.

 

La trouble affaire du rachat des turbines Arabelle par EDF est reportée

La trouble affaire du rachat des turbines Arabelle par EDF est reportée

La trouble affaire du rachat des turbines électrique continue de faire des remous à tel point que la signature du rachat par EDF a été reportée. Arabelle Solutions devait voir le jour le 1er décembre. Il n’en sera finalement rien. La grande cérémonie devait réunir des ministres, le patron d’EDF, le représentant de GE pour sceller la vente des turbines Arabelle, héritées d’Alstom, à EDF.

Le report de la signature de la vente des turbines Arabelle par EDF témoigne évidemment de ce dossier économique et politique très trouble. Ces turbines ont été soldées sur pression de Macron à l’américain General électric qui ensuite du fait d’une mauvaise gestion globale de son activité a souhaité les faire reprendre. Et Macron a imposé à EDF de les racheter.
Or la fabrication de turbines n’est pas la spécialité d’EDF dont le métier est de les faire tourner et non de les créer. En outre l’imposition politique crée des problèmes financiers supplémentaires à EDF qui n’a pas besoin de cette charge.

Dans la famille du nucléaire français, le rôle du sauveteur échoit toujours à EDF. Après avoir repris en 2017 l’activité industrielle d’Areva – aujourd’hui baptisé Framatome – l’électricien doit racheter cette semaine l’activité turbine de l’américain GE, basée à Belfort. Après moins de sept ans sous pavillon américain, «Arabelle», du nom de la turbine vapeur géante utilisée dans les centrales nucléaires, revient sous contrôle français. Le conseil d’administration d’EDF devrait valider l’opération lundi en fin de journée.

Cette affaire a une dimension politique et même politicienne du fait des liens particuliers entre l’entourage de Macron et des responsables de GE soupçonnée d’avoir contribué au financement de la campagne du président. Un dossier toujours enfoui dans les tiroirs de la justice.

Baisse des prix alimentaires reportée à l’automne… plus tard…ou jamais !

Baisse des prix alimentaires reportée à l’automne… Ou plus tard !

Le Gouvernement avait promis une baisse de l’alimentaire dans les prix ont Augmenté jusqu’à 20 %. En fait, l’été approche et les prix continuent de s’envoler. Du coup, le gouvernement prévoit maintenant un report éventuel de cette baisse à la rentrée. Toutefois Édouard Leclerc contredit le gouvernement en indiquant que les prix ne pourront plus baisser; Au mieux dans l’avenir, ils cesseront d’augmenter. «Les fruits de ces négociations vont porter à l’été, et je peux, avec une certaine certitude, vous assurer qu’à la rentrée nous aurons une baisse visible des prix dans les rayons » alimentaires, a pourtant dit Olivia Grégoire dans l’émission « Questions politiques » diffusée sur France Inter, Franceinfo et Le Monde.

La vérité, c’est que le gouvernement n’en sait strictement rien car une partie de l’inflation est de nature structurelle. En outre, le gouvernement ne maîtrise pas évidemment la météo pas davantage que les éléments géostratégiques qui peuvent peser sur les matières premières par exemple .

Un peu naïvement, la ministre du Commerce a déclaré : « Avec Bruno Le Maire, nous avons dit aux industriels agroalimentaires, qui ont reconstitué leurs marges, (…) que c’est à leur tour de faire des efforts », a prévenu la ministre déléguée, faisant la comparaison avec les énergéticiens dont les profits ont été taxés après la flambée des prix du gaz et de l’électricité.
« Si les industriels ne jouent pas le jeu, on (le gouvernement, NDLR) prendra nos responsabilités », assure-t-elle, évoquant l’hypothèse d’une « taxation sur les industriels agroalimentaires » !!!

On voit mal comment le gouvernement pourrait taxer les produits alimentaires et fixer des prix pour les légumes ou la viande.
Les prix au détail de l’alimentation ont augmenté en mars de 15,9% sur un an officiellement mais la hausse réelle est plus proche de 20 du pouls les consommateurs tirent les conclusions de ces hausses en changeant le volume et la nature de la consommation.

Inflation-La baisse des prix alimentaires reportée à l’automne !

Inflation-La baisse des prix alimentaires reportée à l’automne !

Au début de l’année et jusqu’à maintenant, le gouvernement avait promis des baisses des produits alimentaires dont l’augmentation a atteint jusqu’à 20 %. En fait, l’été approche et les prix continuent de s’envoler. Du coup, le gouvernement prévoit maintenant un report éventuel de cette baisse à la rentrée. «Les fruits de ces négociations vont porter à l’été, et je peux, avec une certaine certitude, vous assurer qu’à la rentrée nous aurons une baisse visible des prix dans les rayons » alimentaires, a dit Olivia Grégoire dans l’émission « Questions politiques » diffusée sur France Inter, Franceinfo et Le Monde.

La vérité, c’est que le gouvernement n’en sait strictement rien car une partie de l’inflation est de nature structurelle. En outre, le gouvernement ne maîtrise pas évidemment la météo pas davantage que les éléments géostratégiques qui peuvent peser sur les matières premières par exemple .

Un peu naïvement, la ministre du Commerce a déclaré : « Avec Bruno Le Maire, nous avons dit aux industriels agroalimentaires, qui ont reconstitué leurs marges, (…) que c’est à leur tour de faire des efforts », a prévenu la ministre déléguée, faisant la comparaison avec les énergéticiens dont les profits ont été taxés après la flambée des prix du gaz et de l’électricité.
« Si les industriels ne jouent pas le jeu, on (le gouvernement, NDLR) prendra nos responsabilités », assure-t-elle, évoquant l’hypothèse d’une « taxation sur les industriels agroalimentaires » !!!

On voit mal comment le gouvernement pourrait taxer les produits alimentaires et fixer des prix pour les légumes ou la viande.
Les prix au détail de l’alimentation ont augmenté en mars de 15,9% sur un an officiellement mais la hausse réelle est plus proche de 20 du pouls les consommateurs tirent les conclusions de ces hausses en changeant le volume et la nature de la consommation.

Inflation-La baisse des prix notamment alimentaires reportée en 2024 !

Inflation-La baisse des prix notamment alimentaires reportée en 2024 !

Au début de l’année et jusqu’à maintenant, le gouvernement avait promis des baisses des produits alimentaires dont l’augmentation a atteint jusqu’à 20 %. En fait, l’été approche et les prix continuent de s’envoler.Globalement l’inflation 2023 devrait être du même ordre qu’en 2022 autour de 6 % quant au prix de l’alimentaire, ils vont demeurer un très haut niveau . Cependant, le gouvernement prévoit maintenant un report éventuel de cette baisse à la rentrée. «Les fruits de ces négociations vont porter à l’été, et je peux, avec une certaine certitude, vous assurer qu’à la rentrée nous aurons une baisse visible des prix dans les rayons » alimentaires, a dit Olivia Grégoire dans l’émission « Questions politiques » diffusée sur France Inter, Franceinfo et Le Monde.

La vérité, c’est que le gouvernement n’en sait strictement rien car une partie de l’inflation est de nature structurelle. En outre, le gouvernement ne maîtrise pas évidemment la météo pas davantage que les éléments géostratégiques qui peuvent peser sur les matières premières par exemple .

Un peu naïvement, la ministre du Commerce a déclaré : « Avec Bruno Le Maire, nous avons dit aux industriels agroalimentaires, qui ont reconstitué leurs marges, (…) que c’est à leur tour de faire des efforts », a prévenu la ministre déléguée, faisant la comparaison avec les énergéticiens dont les profits ont été taxés après la flambée des prix du gaz et de l’électricité.
« Si les industriels ne jouent pas le jeu, on (le gouvernement, NDLR) prendra nos responsabilités », assure-t-elle, évoquant l’hypothèse d’une « taxation sur les industriels agroalimentaires » !!!

On voit mal comment le gouvernement pourrait taxer les produits alimentaires et fixer des prix pour les légumes ou la viande.
Les prix au détail de l’alimentation ont augmenté en mars de 15,9% sur un an officiellement mais la hausse réelle est plus proche de 20 du pouls les consommateurs tirent les conclusions de ces hausses en changeant le volume et la nature de la consommation.

La baisse des prix notamment alimentaires reportée en 2024 !

La baisse des prix notamment alimentaires reportée en 2024 !

Au début de l’année et jusqu’à maintenant, le gouvernement avait promis des baisses des produits alimentaires dont l’augmentation a atteint jusqu’à 20 %. En fait, l’été approche et les prix continuent de s’envoler.Globalement l’inflation 2023 devrait être du même ordre qu’en 2022 autour de 6 % quant au prix de l’alimentaire, ils vont demeurer un très haut niveau . Cependant, le gouvernement prévoit maintenant un report éventuel de cette baisse à la rentrée. «Les fruits de ces négociations vont porter à l’été, et je peux, avec une certaine certitude, vous assurer qu’à la rentrée nous aurons une baisse visible des prix dans les rayons » alimentaires, a dit Olivia Grégoire dans l’émission « Questions politiques » diffusée sur France Inter, Franceinfo et Le Monde.

La vérité, c’est que le gouvernement n’en sait strictement rien car une partie de l’inflation est de nature structurelle. En outre, le gouvernement ne maîtrise pas évidemment la météo pas davantage que les éléments géostratégiques qui peuvent peser sur les matières premières par exemple .

Un peu naïvement, la ministre du Commerce a déclaré : « Avec Bruno Le Maire, nous avons dit aux industriels agroalimentaires, qui ont reconstitué leurs marges, (…) que c’est à leur tour de faire des efforts », a prévenu la ministre déléguée, faisant la comparaison avec les énergéticiens dont les profits ont été taxés après la flambée des prix du gaz et de l’électricité.
« Si les industriels ne jouent pas le jeu, on (le gouvernement, NDLR) prendra nos responsabilités », assure-t-elle, évoquant l’hypothèse d’une « taxation sur les industriels agroalimentaires » !!!

On voit mal comment le gouvernement pourrait taxer les produits alimentaires et fixer des prix pour les légumes ou la viande.
Les prix au détail de l’alimentation ont augmenté en mars de 15,9% sur un an officiellement mais la hausse réelle est plus proche de 20 du pouls les consommateurs tirent les conclusions de ces hausses en changeant le volume et la nature de la consommation.

La baisse des prix alimentaires reportée à l’automne !

La baisse des prix alimentaires reportée à l’automne !

Au début de l’année et jusqu’à maintenant, le gouvernement avait promis des baisses des produits alimentaires dont l’augmentation a atteint jusqu’à 20 %. En fait, l’été approche et les prix continuent de s’envoler. Du coup, le gouvernement prévoit maintenant un report éventuel de cette baisse à la rentrée. «Les fruits de ces négociations vont porter à l’été, et je peux, avec une certaine certitude, vous assurer qu’à la rentrée nous aurons une baisse visible des prix dans les rayons » alimentaires, a dit Olivia Grégoire dans l’émission « Questions politiques » diffusée sur France Inter, Franceinfo et Le Monde.

La vérité, c’est que le gouvernement n’en sait strictement rien car une partie de l’inflation est de nature structurelle. En outre, le gouvernement ne maîtrise pas évidemment la météo pas davantage que les éléments géostratégiques qui peuvent peser sur les matières premières par exemple .

Un peu naïvement, la ministre du Commerce a déclaré : « Avec Bruno Le Maire, nous avons dit aux industriels agroalimentaires, qui ont reconstitué leurs marges, (…) que c’est à leur tour de faire des efforts », a prévenu la ministre déléguée, faisant la comparaison avec les énergéticiens dont les profits ont été taxés après la flambée des prix du gaz et de l’électricité.
« Si les industriels ne jouent pas le jeu, on (le gouvernement, NDLR) prendra nos responsabilités », assure-t-elle, évoquant l’hypothèse d’une « taxation sur les industriels agroalimentaires » !!!

On voit mal comment le gouvernement pourrait taxer les produits alimentaires et fixer des prix pour les légumes ou la viande.
Les prix au détail de l’alimentation ont augmenté en mars de 15,9% sur un an officiellement mais la hausse réelle est plus proche de 20 du pouls les consommateurs tirent les conclusions de ces hausses en changeant le volume et la nature de la consommation.

Automobiles- Moteurs thermiques: l’interdiction de 2035 reportée !

Automobiles- Moteurs thermiques: l’interdiction de 2035 reportée ! !

Officiellement, c’est pour des raisons écolos que l’Allemagne a fait capoter le texte européenqui devant prévoir la fin des voitures thermiques en 2035. L’Allemagne souhaite en effet que soien t autorisés les moteurs thermiques mais avec des carburants de synthèse moins polluants . La vérité, c’est que l’industrie allemande se rebelle contre la brutalité de la mesure d’interdiction du thermique en 2035 et n’est pas non plus d’accord avec son gouvernement. Du coup politiquement, l’Allemagne a fait capoter le texte.

Prévu mardi, le vote des Etats membres devait entériner l’interdiction de la vente de voitures à moteur thermique en 2035. Berlin souhaite que la Commission propose une législation supplémentaire pour encourager les carburants de synthèse qui pourraient être utilisés dans les moteurs à combustion après cette échéance.

En raison de l’abstention annoncée de l’Allemagne, les Etats membres ne voteront pas mardi l’interdiction de la vente des voitures à moteur thermique en 2035.

« Nous avons toujours dit clairement que la Commission européenne devait présenter une proposition sur la manière dont les carburants synthétiques pourraient être utilisés dans les moteurs à combustion après 2035 (…). Ce qui manque maintenant, c’est la réalisation de cet engagement », a rappelé vendredi le ministre allemand des Transports, Volker Wissing (FDP, libéraux).

A la demande de Rome et Berlin, les Vingt-Sept avaient intégré au texte un possible feu vert à l’avenir pour des technologies alternatives, comme les carburants synthétiques (e-carburants), si celles-ci permettent d’atteindre l’objectif de supprimer totalement les émissions de gaz à effet de serre des véhicules.

La technologie des carburants de synthèse, actuellement en cours de développement, consiste à produire du fuel à partir de CO2 issu notamment des activités industrielles en utilisant de l’électricité bas-carbone. Pour la filière automobile, elle permettrait de prolonger l’utilisation des moteurs thermiques menacés par l’irruption des véhicules 100% électriques. L’usage de cette technologie dans l’automobile est contesté car elle est très énergivore….Et finalement pas très écolo

Berlin souhaite que la Commission propose une législation supplémentaire pour encourager ces carburants de synthèse dans le transport routier tandis qu’un autre texte sur les « infrastructures pour carburants alternatifs » est en cours de négociation.

Voiture thermique : l’interdiction de 2035 reportée



Voiture thermique : l’interdiction de 2035 reportée
!

Officiellement, c’est pour des raisons écolos que l’Allemagne a fait capoter le texte européen qui devait prévoir la fin des voitures thermiques en 2035. L’Allemagne souhaite en effet que soient autorisés les moteurs thermiques mais avec des carburants de synthèse moins polluants . La vérité, c’est que l’industrie allemande se rebelle contre la brutalité de la mesure d’interdiction du thermique en 2035 et n’est pas non plus d’accord avec son gouvernement. Du coup politiquement, l’Allemagne a fait capoter le texte.

Prévu mardi, le vote des Etats membres devait entériner l’interdiction de la vente de voitures à moteur thermique en 2035. Berlin souhaite que la Commission propose une législation supplémentaire pour encourager les carburants de synthèse qui pourraient être utilisés dans les moteurs à combustion après cette échéance.

En raison de l’abstention annoncée de l’Allemagne, les Etats membres ne voteront pas mardi l’interdiction de la vente des voitures à moteur thermique en 2035.

« Nous avons toujours dit clairement que la Commission européenne devait présenter une proposition sur la manière dont les carburants synthétiques pourraient être utilisés dans les moteurs à combustion après 2035 (…). Ce qui manque maintenant, c’est la réalisation de cet engagement », a rappelé vendredi le ministre allemand des Transports, Volker Wissing (FDP, libéraux).

A la demande de Rome et Berlin, les Vingt-Sept avaient intégré au texte un possible feu vert à l’avenir pour des technologies alternatives, comme les carburants synthétiques (e-carburants), si celles-ci permettent d’atteindre l’objectif de supprimer totalement les émissions de gaz à effet de serre des véhicules.

La technologie des carburants de synthèse, actuellement en cours de développement, consiste à produire du fuel à partir de CO2 issu notamment des activités industrielles en utilisant de l’électricité bas-carbone. Pour la filière automobile, elle permettrait de prolonger l’utilisation des moteurs thermiques menacés par l’irruption des véhicules 100% électriques. L’usage de cette technologie dans l’automobile est contesté car elle est très énergivore….Et finalement pas très écolo

Berlin souhaite que la Commission propose une législation supplémentaire pour encourager ces carburants de synthèse dans le transport routier tandis qu’un autre texte sur les « infrastructures pour carburants alternatifs » est en cours de négociation.

Croissance reportée par Macron en 2024

Croissance reportée par Macron en 2024 !


Alors que le gouvernement avait promis que l’économie sortirait de ses difficultés en 2023, Macron annonce le report en 2024.

Bref, la dialectique habituelle quand une situation est mauvaise et qui consiste à annoncer le printemps pour plus tard. Bien évidemment Macron n’en sait strictement rien. Par avance, il s’excuse des mauvais résultats. En matière notamment d’inflation qui va peser sérieusement sur la consommation des ménages dont le pouvoir d’achat est durement entamé.Et la responsabilité est reportée par Macron sur la conjoncture internationale afin de dédouaner le gouvernement.

Peut-être c’est que cette tendance récessionniste qui s’installe effectivement au plan mondial pourrait durer plus longtemps que ne le dit Macron. En effet si on peut prévoir le début d’un tassement économique, il est plus beaucoup plus difficile d’en prévoir la fin qui dépendra de l’inflation et du comportement des ménages face à la baisse de leur pouvoir d’achat. Sans parler de l’imprévisible évolution de la situation géopolitique.

Pour dégager sa responsabilité, Emmanuel Macron a donc prévenu que l’année 2023 serait « un moment un peu difficile de notre histoire » à cause du « ralentissement de l’économie mondiale », mais a espéré une « reprise qui devrait arriver en 2024, ce samedi sur TF1. « Je sais que les jours sont durs, que le coût de la vie pèse sur votre quotidien », a-t-il déclaré dans cet entretien donné à l’issue de sa visite d’Etat aux Etats-Unis.

Néanmoins la France figure « parmi ceux qui s’en sortent le mieux », a assuré le président de la République. « On va continuer de tenir, on va absorber ce choc, et il faut maintenant relancer les choses, par les réformes -sur le travail, l’éducation, la santé, les retraites- pour être plus forts », a-t-il ajouté..

Bref la dialectique habituelle quand une situation est mauvaise et qui consiste à annoncer le printemps pour plus tard. Bien évidemment ma condensée strictement rien. Par avance il s’excuse des mauvais résultats. En matière notamment d’inflation qui va peser sérieusement sur la consommation des ménages dont le pouvoir d’achat est durement entamé.

. « Il nous faut continuer le travail et nous préparer à une reprise qui je pense devrait arriver dans l’année 2024″, a estimé le chef de l’Etat.
« Nous avons tout pour sortir plus forts, plus grands de ce moment un peu difficile de notre histoire, et nous avons peut-être plus que beaucoup de nos voisins ( !!!), donc nous allons y arriver », a-t-il voulu rassurer.

Retraites : la réforme reportée en janvier… Peut-être !

Retraites : la réforme reportée en janvier… Peut-être !

 

Il est clair que Macron  hésite depuis un bon moment entre autoritarisme et laxisme vis à vis de la réforme des retraites. Une hésitation nourrie par les interrogations mêmes dans la majorité dont certains souhaiteraient davantage de concertation surtout face à l’opposition unanime des syndicats.
Du coup une troisième voie pourrait être envisagée avec une loi rectificative financement de la sécurité sociale seulement début de l’année 2023.

Le problème est de savoir si le contexte socio-politique sera plus favorable début 2023 . Rien n’est sûr car on aura alors la confirmation de la nette dégradation de la croissance, du pouvoir d’achat de la consommation et même de l’emploi

 Une difficulté technique se pose aussi: il est difficilement possible d’intégrer la suppression des régimes spéciaux dans un texte budgétaire. Or sans modification des régimes spéciaux, la réforme perd beaucoup de sa légitimité. Rappelons-nous qu’au départ il s’agissait de mettre en place un régime universel !

Compte tenu de toutes les contradictions y compris au sein même de la majorité on pourra donc se rabattre sur une troisième voie début 2023 avec un objectif limité seulement au report de l’âge vers 64 ans. Finalement une réforme assez ratatinée quand on sait que l’âge moyen réel  de départ à la retraite est actuellement de 63 ans et demi. Finalement,  si le climat social se montre assez délétère début 2023 on pourrait même s’orienter vers une quatrième voie à savoir l’abandon pur et simple de la réforme !

 

0 Réponses à “Réforme des retraites :

Réforme des retraites : reportée en janvier… Peut-être !

Réforme des retraites : reportée en janvier… Peut-être !

 

Il est clair que Macron  hésite depuis un bon moment entre autoritarisme et laxisme vis à vis de la réforme des retraites. Une hésitation nourrie par les interrogations mêmes dans la majorité dont certains souhaiteraient davantage de concertation surtout face à l’opposition unanime des syndicats.
Du coup une troisième voie pourrait être envisagée avec une loi rectificative financement de la sécurité sociale seulement début de l’année 2023.

Le problème est de savoir si le contexte socio-politique sera plus favorable début 2023 . Rien n’est sûr car on aura alors la confirmation de la nette dégradation de la croissance, du pouvoir d’achat de la consommation et même de l’emploi

 

Une difficulté technique se pose aussi: il est difficilement possible d’intégrer la suppression des régimes spéciaux dans un texte budgétaire. Or sans modification des régimes spéciaux, la réforme perd beaucoup de sa légitimité. Rappelons-nous qu’au départ il s’agissait de mettre en place un régime universel !

Compte tenu de toutes les contradictions y compris au sein même de la majorité on pourra donc se rabattre sur une troisième voie début 2023 avec un objectif limité seulement au report de l’âge vers 64 ans. Finalement une réforme assez ratatinée quand on sait que l’âge moyen réel  de départ à la retraite est actuellement de 63 ans et demi. Finalement,  si le climat social se montre assez délétère début 2023 on pourrait même s’orienter vers une quatrième voie à savoir l’abandon pur et simple de la réforme !

 

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