Archive pour le Tag 'mois'

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Gaza, comme en Ukraine, une guerre pour durer des mois et des années

Gaza, comme en Ukraine, une guerre pour durer des mois et des années


Comme en Ukraine, on pourrait assister à un étalement dans le temps de la guerre à Gaza; en cause évidemment; les positions très conflictuelles entre des populations locales mais aussi et peut-être surtout le jeu géostratégique de grandes puissances qui ne veulent pas s’affronter directement mais qui délocalisent en quelque sorte leur stratégie de guerre. C’est bien sûr le cas en Ukraine; le pays ne tient militairement qu’avec le soutien de l’Occident surtout des États-Unis, aussi évidemment avec le grand courage des ukrainiens eux-mêmes. Mais c’est le cas aussi à Gaza où là c’est surtout la lutte entre les États-Unis et l’Iran qui s’exprime dans un pays tiers
.

S’ajoute à cela l’action de du dictateur Poutine qui jette partout de l’huile sur le feu pour nourrir le chaos partout où il peut. De quoi entretenir le nationalisme russe et oublier la catastrophe économique et sociale de son pays. (Le salaire moyen est de 500 €, le salaire moyen sous les 200 € mais la plupart des richesses très nombreuses sont détournés par les oligarques et par Poutine).Même chose pour l’Iran qui connaît une catastrophe économique et sociale masquée par un nationalisme manipulé.

La guerre contre le Hamas palestinien dans la bande de Gaza durera probablement de nombreux mois en raison des objectifs élevés qu’Israël entend atteindre, a déclaré mardi le chef d’état-major de l’armée israélienne.

La guerre durera de nombreux mois et nous emploierons différentes méthodes pour que nos réalisations s'inscrivent dans la durée a dit Herzi Halevi, dans une déclaration télévisée, à la frontière entre Israël et la bande de Gaza.

Gaza, comme en Ukraine, une guerre pour durer des mois et des années

Gaza, comme en Ukraine, une guerre pour durer des mois et des années


Comme en Ukraine, on pourrait assister à un étalement dans le temps de la guerre à Gaza; en cause évidemment; les positions très conflictuelles entre des populations locales mais aussi et peut-être surtout le jeu géostratégique de grandes puissances qui ne veulent pas s’affronter directement mais qui délocalisent en quelque sorte leur stratégie de guerre. C’est bien sûr le cas en Ukraine; le pays ne tient militairement qu’avec le soutien de l’Occident surtout des États-Unis, aussi évidemment avec le grand courage des ukrainiens eux-mêmes. Mais c’est le cas aussi à Gaza où là c’est surtout la lutte entre les États-Unis et l’Iran qui s’exprime dans un pays tiers
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S’ajoute à cela l’action de du dictateur Poutine qui ajoute partout de l’huile sur le feu pour nourrir le chaos partout où il peut. De quoi entretenir le nationalisme russe est oublier la catastrophe économique et sociale de son pays.

La guerre contre le Hamas palestinien dans la bande de Gaza durera probablement de nombreux mois en raison des objectifs élevés qu’Israël entend atteindre, a déclaré mardi le chef d’état-major de l’armée israélienne.

« La guerre durera de nombreux mois et nous emploierons différentes méthodes pour que nos réalisations s’inscrivent dans la durée », a dit Herzi Halevi, dans une déclaration télévisée, à la frontière entre Israël et la bande de Gaza.

« Il n’y a pas de solution magique, il n’y a pas de raccourci pour démanteler une organisation terroriste, seulement un combat résolu et tenace », a-t-il ajouté. « Nous allons aussi atteindre la direction du Hamas, que cela prenne une semaine ou que cela prenne des mois. »

« Nous avons dit dès les premiers instants que ce serait une guerre longue parce qu’il était juste de fixer des objectifs ambitieux et nous nous montrerons à la hauteur de ces ambitions, c’est pourquoi cela durera longtemps », a dit Herzi Halevi.

Politique-Gaza, comme en Ukraine une guerre pour durer des mois et des années

Politique-Gaza, comme en Ukraine une guerre pour durer des mois et des années


Comme en Ukraine, on pourrait assister à un étalement dans le temps de la guerre à Gaza; en cause évidemment; les positions très conflictuelles entre des populations locales mais aussi et peut-être surtout le jeu géostratégique de grandes puissances qui ne veulent pas s’affronter directement mais qui délocalisent en quelque sorte leur stratégie de guerre. C’est bien sûr le cas en Ukraine; le pays ne tient militairement qu’avec le soutien de l’Occident surtout des États-Unis, aussi évidemment avec le grand courage des ukrainiens eux-mêmes. Mais c’est le cas aussi à Gaza où là c’est surtout la lutte entre les États-Unis et l’Iran qui s’exprime dans un pays tiers
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S’ajoute à cela l’action de du dictateur Poutine qui ajoute partout de l’huile sur le feu pour nourrir le chaos partout où il peut. De quoi entretenir le nationalisme russe est oublier la catastrophe économique et sociale de son pays.

La guerre contre le Hamas palestinien dans la bande de Gaza durera probablement de nombreux mois en raison des objectifs élevés qu’Israël entend atteindre, a déclaré mardi le chef d’état-major de l’armée israélienne.

« La guerre durera de nombreux mois et nous emploierons différentes méthodes pour que nos réalisations s’inscrivent dans la durée », a dit Herzi Halevi, dans une déclaration télévisée, à la frontière entre Israël et la bande de Gaza.

« Il n’y a pas de solution magique, il n’y a pas de raccourci pour démanteler une organisation terroriste, seulement un combat résolu et tenace », a-t-il ajouté. « Nous allons aussi atteindre la direction du Hamas, que cela prenne une semaine ou que cela prenne des mois. »

« Nous avons dit dès les premiers instants que ce serait une guerre longue parce qu’il était juste de fixer des objectifs ambitieux et nous nous montrerons à la hauteur de ces ambitions, c’est pourquoi cela durera longtemps », a dit Herzi Halevi.

Gaza, comme en Ukraine une guerre pour durer des mois et des années

Gaza, comme en Ukraine une guerre pour durer des mois et des années


Comme en Ukraine, on pourrait assister à un étalement dans le temps de la guerre à Gaza; en cause évidemment; les positions très conflictuelles entre des populations locales mais aussi et peut-être surtout le jeu géostratégique de grandes puissances qui ne veulent pas s’affronter directement mais qui délocalisent en quelque sorte leur stratégie de guerre. C’est bien sûr le cas en Ukraine; le pays ne tient militairement qu’avec le soutien de l’Occident surtout des États-Unis, aussi évidemment avec le grand courage des ukrainiens eux-mêmes. Mais c’est le cas aussi à Gaza où là c’est surtout la lutte entre les États-Unis et l’Iran qui s’exprime dans un pays tiers
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S’ajoute à cela l’action de du dictateur Poutine qui ajoute partout de l’huile sur le feu pour nourrir le chaos partout où il peut. De quoi entretenir le nationalisme russe est oublier la catastrophe économique et sociale de son pays.

La guerre contre le Hamas palestinien dans la bande de Gaza durera probablement de nombreux mois en raison des objectifs élevés qu’Israël entend atteindre, a déclaré mardi le chef d’état-major de l’armée israélienne.

« La guerre durera de nombreux mois et nous emploierons différentes méthodes pour que nos réalisations s’inscrivent dans la durée », a dit Herzi Halevi, dans une déclaration télévisée, à la frontière entre Israël et la bande de Gaza.

« Il n’y a pas de solution magique, il n’y a pas de raccourci pour démanteler une organisation terroriste, seulement un combat résolu et tenace », a-t-il ajouté. « Nous allons aussi atteindre la direction du Hamas, que cela prenne une semaine ou que cela prenne des mois. »

« Nous avons dit dès les premiers instants que ce serait une guerre longue parce qu’il était juste de fixer des objectifs ambitieux et nous nous montrerons à la hauteur de ces ambitions, c’est pourquoi cela durera longtemps », a dit Herzi Halevi.

Le SMIC va enregistrer une augmentation de 15 € par mois, c’est trop !

Le SMIC va enregistrer une augmentation de 15 € par mois, c’est trop !

Environ 1 % d’augmentation par mois à partir du 1er janvier pour les smicards. C’est évidemment beaucoup trop ! c’est en tout cas ce qu’ont considéré les experts du groupe ad hoc qui donnent leur avis au gouvernement. Le risque serait de fragiliser l’emploi des personnes fragiles. Le SMIC bénéficie quelque sorte d’une d’une sorte d’indexation sur l’inflation avec système d’évolution au début de chaque année. Des revalorisations qui peuvent aussi intervenir en cours d’année si inflation dépasse les 2 %.Notons que pour ces personnes l’inflation en 2024 tournera autour de 5 %.

Depuis la flambée des prix de début 21 l’augmentation du SMIC aura été d’un peu plus de 13%. Il faut toutefois noter que les bénéficiaires du SMIC ont souvent des revenus très préemptés par les charges de contrainte type loyer, chauffage, abonnement, assurances, énergie etc.
Du coup, il ne reste en moyenne que 20 % de dépenses ajustables qui sont le plus souvent les dépenses alimentaires.

Pour un temps plein, le Smic net sera de 1.398,69 euros, contre 1.383,08 euros actuellement.
Environ 15 euros nets de plus par mois: c’est le montant attendu de la revalorisation automatique du Smic au 1er janvier, qui prend en compte l’inflation, dont les derniers chiffres ont été publiés vendredi.

Selon un calcul de l’AFP, confirmé par le ministère du Travail, le Smic sera revalorisé de 1,13% au 1er janvier, portant le salaire minimum brut horaire à 11,65 euros, contre 11,52 euros actuellement. Ces chiffres se fondent sur l’inflation en novembre, qui a atteint 3,5% sur un an, selon l’Insee.

Pour un temps plein, le Smic mensuel brut sera ainsi porté à 1766,92 euros, soit une hausse de 19,72 euros par mois. En net, le Smic passera de 1.383,08 euros à 1.398,69 euros, soit une augmentation de 15,61 euros nets par mois.

Santé- Rendez-vous ophtalmos : 48 jours en moyenne….mais jusqu’à huit ou neuf mois

Santé- Rendez-vous ophtalmos : 48 jours en moyenne….mais jusqu’à huit ou neuf mois


Encore une moyenne qui ne signifie pas grand-chose tellement les écarts sont importants. En effet, d’après le Syndicat national des ophtalmologistes (Snof), le délai moyen pour obtenir un rendez-vous de contrôle de la vue chez un ophtalmo était 48 jours, contre 52 jours en 2022 et 68 jours en 2019.Des délais qui se raccourcissent en moyenne mais qui s’allongent dans les déserts médicaux puisqu’il faut attendre assez souvent entre huit et neuf mois. On retrouve des délais aussi invraisemblables chez les cardiologues.

Le délai médian était de son côté de 24 jours, contre 30 en 2022 ou 43 en 2019. Pour obtenir un rendez-vous plus urgent, lié à l’apparition de symptômes (points noirs, filaments, etc…), le délai moyen a pour sa part légèrement réaugmenté à 8 jours, contre 7 jours en 2022 mais 27 en 2019, selon les chiffres du Snof. Le délai médian était de 4 jours, contre 5 jours en 2022 et 10 jours en 2019, première année de cette étude.

La poursuite en 2023 de la réduction du délai de prise de rendez-vous s’explique notamment par le développement du «travail aidé» chez les ophtalmos, de plus en plus nombreux (78% en 2023) à exercer avec des assistants médicaux, orthoptistes ou autres professionnels, selon le Snof. Par ailleurs, le nombre de médecins ophtalmologistes est en cours de stabilisation, après les reculs de ces dernières années. «Les effectifs globaux devraient commencer à augmenter en 2024», selon le Snof.

Rendez-vous ophtalmos : 48 jours en moyenne….mais jusqu’à huit ou neuf mois

Rendez-vous ophtalmos : 48 jours en moyenne….mais jusqu’à huit ou neuf mois


Encore une moyenne qui ne signifie pas grand-chose tellement les écarts sont importants. En effet d’après le Syndicat national des ophtalmologistes (Snof), le délai moyen pour obtenir un rendez-vous de contrôle de la vue chez un ophtalmo était 48 jours, contre 52 jours en 2022 et 68 jours en 2019.Des délais qui se raccourcisse en moyenne mais qui s’allonge dans les déserts médicaux puisqu’il faut attendre assez souvent entre huit et neuf mois.

Le délai médian était de son côté de 24 jours, contre 30 en 2022 ou 43 en 2019. Pour obtenir un rendez-vous plus urgent, lié à l’apparition de symptômes (points noirs, filaments, etc…), le délai moyen a pour sa part légèrement réaugmenté à 8 jours, contre 7 jours en 2022 mais 27 en 2019, selon les chiffres du Snof. Le délai médian était de 4 jours, contre 5 jours en 2022 et 10 jours en 2019, première année de cette étude.

La poursuite en 2023 de la réduction du délai de prise de rendez-vous s’explique notamment par le développement du «travail aidé» chez les ophtalmos, de plus en plus nombreux (78% en 2023) à exercer avec des assistants médicaux, orthoptistes ou autres professionnels, selon le Snof. Par ailleurs, le nombre de médecins ophtalmologistes est en cours de stabilisation, après les reculs de ces dernières années. «Les effectifs globaux devraient commencer à augmenter en 2024», selon le Snof.

Inflation: un surcoût de 120 euros par mois

Inflation: un surcoût de 120 euros par mois

Une enquête qui contredit totalement les affirmations du gouvernement, de certains experts et de Bercy sur l’augmentation des salaires qui seraient supérieurs à l’inflation. Il se confirme en effet que les Français ont perdu de l’ordre de 10 % du pouvoir d’achat en deux ans.

D’après le baromètre annuel du comparateur de banques en ligne Panorabanques, près de 6 consommateurs sur 10 auraient perdu en capacité financière depuis le début de l’année 2023. L’étude s’appuie sur un sondage réalisé par Poll&Roll auprès d’un échantillon de 1000 personnes représentatives de la population française. Et les résultats sont sans appel : pour 96% des sondés, la hausse des prix actuelle a un impact négatif sur le pouvoir d’achat.

Selon Panorabanques, la perte financière mensuelle due à l’inflation a encore augmenté cette année. De 7% supérieure à la précédente, elle atteint 120 euros en moyenne (contre 112€ en 2022). Et pour 16% des sondés, elle dépasse même les 200 euros. Une proportion qui grimpe à 20% chez ceux qui gagnent moins de 1500 euros par mois, alors qu’elle n’était que 10% l’année dernière. Trois postes de dépenses pèsent particulièrement lourd dans la perte de pouvoir d’achat. D’abord la hausse des prix de l’alimentation, avec 85% des Français impactés. Suivie de près par la hausse des prix de l’énergie (70%, contre 63% en 2022) et enfin le prix des carburants (64%).

Dans le détail, 57% des Français ont vu leur pouvoir d’achat fondre quand 40% estiment qu’il est resté relativement stable. Seuls 4% jugent avoir des capacités financières en hausse. . Les catégories les plus durement frappées sont les 50-65, les parents célibataires et les travailleurs touchant moins de 1500€ par mois. D’autant que 43% de ces derniers déclarent être énormément impactés par l’inflation, alors qu’ils étaient 39% en 2022.

Aide carburant: un chèque charité de 8 euros par mois

Aide carburant: un chèque charité de 8 euros par mois


Adieu la vente à perte. À la place macron promet un petit chèque charité de 100 € par voiture et par an aux plus modestes.

Le projet de loi du ministre de l’économie et de la première ministre concernant l’éventualité d’une vente à perte et donc que enterré. Il sera remplacé par un petit chèque de 100 € pour la moitié de la population.

Et à la place de la vente à perte on va impulser la vente à prix coûtant. Un slogan aussi vide que le précédent car peu de personnes sont en capacité de calculer le coût réel du carburant.

Ce qui évidemment exclut ceux qui ne sont pas salariés, les retraités par exemple auxquelles sans doute va conseiller le déplacement en vélo !

Macron promet faussement et naïvement qu’il va aller chez les raffineurs pour rechercher leurs marges. On se demande bien par quel dispositif législatif puisque rien n’est prévu. On se contente simplement de menacer…. un jour.

Du coup la seule promesse est celle de Total qui déclare maintenir le prix du litre à 1,99 pour un moment.

Concernant les hausses dans l’alimentaire, Macron se contente de reprendre les propos du ministre de l’économie en indiquant qu’une réunion aura lieu entre les industriels du secteur et les distributeurs. Et Macron d’affirmer qu’il veillera personnellement à une baisse des prix.

On peut donc imaginer que le chef de l’État et son épouse se rendront dans les supermarchés pour faire un relevé régulier des étiquettes !

Et pour finir ce cri du cœur ou du porte-monnaie : » personne ne doit profiter de la crise ». Même pas à Versailles ?

Hausse du Prix du Carburant : un chèque charité de 8 euros par mois

Hausse du Prix du Carburant : un chèque charité de 8 euros par mois


Adieu la vente à perte. À la place Macron promet un petit chèque charité de 100 € par voiture et par an aux plus modestes soit environ 8 euros pr an. Une mesure qui de toute façon ne coûtera pas trop cher puisque 40 % des ayants droits ne réclament même pas.

Le projet de loi du ministre de l’économie et de la première ministre concernant l’éventualité d’une vente à perte et donc que enterré. Il sera remplacé par un petit chèque de 100 € pour la moitié de la population.

Et à la place de la vente à perte on va impulser la vente à prix coûtant. Un slogan aussi vide que le précédent car peu de personnes sont en capacité de calculer le coût réel du carburant.

Ce qui évidemment exclut ceux qui ne sont pas salariés, les retraités par exemple auxquelles sans doute va conseiller le déplacement en vélo !

Macron promet faussement et naïvement qu’il va aller chez les raffineurs pour rechercher leurs marges. On se demande bien par quel dispositif législatif puisque rien n’est prévu. On se contente simplement de menacer…. un jour.

Du coup la seule promesse est celle de Total qui déclare maintenir le prix du litre à 1,99 pour un moment.

Concernant les hausses dans l’alimentaire, Macron se contente de reprendre les propos du ministre de l’économie en indiquant qu’une réunion aura lieu entre les industriels du secteur et les distributeurs. Et Macron d’affirmer qu’il veillera personnellement à une baisse des prix.

On peut donc imaginer que le chef de l’État et son épouse se rendront dans les supermarchés pour faire un relevé régulier des étiquettes !

Et pour finir ce cri du cœur ou du porte-monnaie : » personne ne doit profiter de la crise ». Même pas à Versailles ?

Logement en zone parisienne. Un loyer en moyenne de 1000 € par mois pour 50m2 !

Logement en zone parisienne. Un loyer en moyenne de 1000 € par mois pour 50m2 !


Une double crise du logement en France. Celle qui concerne les loyers des grandes villes notamment en région parisienne où il faut compter 1000 € pour 50 m² ! Et celle des candidats à l’accession dont le nombre ne cesse de se réduire en raison du coût d’achat et des taux d’intérêt.

Près de 1.000 euros. Tel était le loyer moyen en Île-de-France en 2022. Plus précisément, il se situait à 998 euros pour un logement non meublé dans le parc privé, hors charges, selon les calculs définitifs publiés ce vendredi 15 septembre par l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne (Olap).

L’Olap précise que la surface moyenne des logements évalués était de 53 mètres carrés, et augmente à mesure que l’on s’éloigne de Paris…tout comme les prix.

Sans surprise, c’est, en effet, à Paris intra-muros que le loyer moyen est le plus élevé : à 1.230 euros, hors charges, pour une surface moyenne de 50 mètres carrés. Une somme qui descend à 937 euros, pour 52 mètres carrés en moyenne, dans les départements de petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne). En grande couronne (Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne, Val-d’Oise), les communes situées dans l’agglomération parisienne ont affiché un loyer moyen de 855 euros, la surface moyenne s’établissant à 57 mètres carrés. Enfin, les plus rurales ou éloignées de la capitale, étudiées avec moins de finesse par l’Olap, affichaient elles un loyer de 783 euros pour des biens de 64 mètres carrés en moyenne.

Par ailleurs, pour les locataires qui voudraient devenir propriétaires, leur part ne cesse de chuter, passant de 27% en 2022 à 23% aujourd’hui, selon un sondage Ifop pour les Notaires du Grand Paris en partenariat avec La Tribune et dévoilé le 14 septembre.

En cause, un contexte de plus en plus difficile d’accès au crédit immobilier en raison de la flambée des taux d’intérêt, désormais proches des 5%. En effet, 78% des Franciliens jugent que les conditions d’accès aux crédits sont devenues plus difficiles. 82% estiment qu’il est beaucoup difficile de devenir propriétaire qu’il y a 20 ans en Île-de-France et que l’accession à la propriété est devenue quasiment impossible pour les jeunes générations.

Loyer en zone parisienne. Une moyenne de 1000 € par mois

Loyer en zone parisienne. Une moyenne de 1000 € par mois pour 50m2 !


Une double crise du logement en France. Celle qui concerne les loyers des grandes villes notamment en région parisienne où il faut compter 1000 € pour 50 m² ! Et celle des candidats à l’accession dont le nombre ne cesse de se réduire en raison du coût d’achat et des taux d’intérêt.

Près de 1.000 euros. Tel était le loyer moyen en Île-de-France en 2022. Plus précisément, il se situait à 998 euros pour un logement non meublé dans le parc privé, hors charges, selon les calculs définitifs publiés ce vendredi 15 septembre par l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne (Olap).

L’Olap précise que la surface moyenne des logements évalués était de 53 mètres carrés, et augmente à mesure que l’on s’éloigne de Paris…tout comme les prix.

Sans surprise, c’est, en effet, à Paris intra-muros que le loyer moyen est le plus élevé : à 1.230 euros, hors charges, pour une surface moyenne de 50 mètres carrés. Une somme qui descend à 937 euros, pour 52 mètres carrés en moyenne, dans les départements de petite couronne (Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne). En grande couronne (Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne, Val-d’Oise), les communes situées dans l’agglomération parisienne ont affiché un loyer moyen de 855 euros, la surface moyenne s’établissant à 57 mètres carrés. Enfin, les plus rurales ou éloignées de la capitale, étudiées avec moins de finesse par l’Olap, affichaient elles un loyer de 783 euros pour des biens de 64 mètres carrés en moyenne.

Par ailleurs, pour les locataires qui voudraient devenir propriétaires, leur part ne cesse de chuter, passant de 27% en 2022 à 23% aujourd’hui, selon un sondage Ifop pour les Notaires du Grand Paris en partenariat avec La Tribune et dévoilé le 14 septembre.

En cause, un contexte de plus en plus difficile d’accès au crédit immobilier en raison de la flambée des taux d’intérêt, désormais proches des 5%. En effet, 78% des Franciliens jugent que les conditions d’accès aux crédits sont devenues plus difficiles. 82% estiment qu’il est beaucoup difficile de devenir propriétaire qu’il y a 20 ans en Île-de-France et que l’accession à la propriété est devenue quasiment impossible pour les jeunes générations.

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(Avec AFP)

Marseille et drogue : déjà 32 morts en huit mois

Marseille et drogue : déjà 32 morts en huit mois


Marseille sans doute l’une des plus belles villes de France demeure malheureusement aussi la ville où on enregistre des crimes à répétition en raison en particulier du trafic de drogue. Chaque jour ou presque des bandes rivales règlent leurs comptes.

Pour les Bouches-du-Rhône, c’est « l’usage de stupéfiant » qui avait déjà le plus augmenté en 2022. Il a connu une hausse de 36,6 % contre 13 % sur l’ensemble du territoire.

Pas moins de 22 598 infractions ont été relevées dans le département pour cette catégorie dont environ 18 600 à Marseille. Cela ne veut pour autant pas dire que la violence liée au trafic a diminué.

Si l’année 2021 avait déjà été entachée de 49 tentatives d’homicide liées aux stupéfiants à Marseille, 2022 en a comptabilisé 65, pour la mort de 33 individus. Un record. Mais ce record sera encore largement dépassé en 2023.

Le résultat aussi d’un manque de légitimité et d’autorité de la part de l’État dont d’ailleurs beaucoup de services ont déserté des quartiers entiers. De ce point de vue, on comprend mal la mollesse du pouvoir politique y compris du gouvernement et du ministre de l’intérieur, lui aussi plus prolixe en paroles qu’en actions.

Foot et business: salaires de 11500 000 à 6 millions par mois

Foot et business: salaires de 11500 000 à 6 millions par mois

Le business conduit à des salaires démentiels dans le foot pro. Ainsi en ligue un les salaires peuvent varier de 100 000 € par mois à 6 millions. Pas étonnant non plus si le prix des places devient inaccessible pour beaucoup.Pas étonnant non plus si les finances des clubs français sont particulièrement fragiles surtout en tenant compte de leurs résultats décevants au plan international.( Éliminer le plus souvent très prématurément, les clubs français perdent d’énormes recettes)

Le Top 10 est composé cette année encore à 100% par les footballeurs du PSG comme ce fut le cas en 2022. Le podium est toutefois bouleversé par l’arrivée spectaculaire de Kylian Mbappé en première position. Il a triplé son salaire par rapport à l’an dernier pour atteindre 6 millions d’euros bruts mensuels, sans prendre en compte les primes et les revenus liés aux contrats publicitaires. L’attaquant devient le joueur le mieux payé de l’histoire de la Ligue 1.

Le nouveau capitaine de l’équipe de France devance largement Neymar, qui pointe à plus de 3,6 millions d’euros, un salaire légèrement en baisse. Troisième sur le podium, Lionel Messi qui reste stable avec plus de 3,3 millions d’euros.

Le premier non-Parisien est 11e. Wissam Ben Yedder, attaquant de Monaco, affiche un salaire de 650 000 euros mensuels. A la 13e position, Jordan Veretout est le plus gros salaire de l’Olympique de Marseille avec 550 000 euros par mois.

En 2023, la hiérarchie s’est inversée entre Kylian Mbappé, Neymar et Lionel Messi. En 2022, Neymar était en tête, depuis le kid de Bondy l’a largement dépassé. Le Top 15 des salaires des joueurs de Ligue 1 se compose ainsi (estimations correspondant au salaire brut mensuel, n’intégrant pas les primes).

Chez les femmes, La joueuse la mieux payée du championnat français est Marie-Antoinette Katoto avec un salaire mensuel estimé à 50 000 euros, bien loin du salaire de Kylian Mbappé.

Marseille Chicago : déjà 32 morts en huit mois

Marseille Chicago : déjà 32 morts en huit mois


Marseille sans doute l’une des plus belles villes de France demeure malheureusement aussi la ville où on enregistre des crimes à répétition en raison en particulier du trafic de drogue. Chaque jour ou presque des bandes rivales règlent leurs comptes.

Pour les Bouches-du-Rhône, c’est « l’usage de stupéfiant » qui Avait déjà le plus augmenté en 2022. Il a connu une hausse de 36,6 % contre 13 % sur l’ensemble du territoire.

Pas moins de 22 598 infractions ont été relevées dans le département pour cette catégorie dont environ 18 600 à Marseille. Cela ne veut pour autant pas dire que la violence liée au trafic a diminué.

Si l’année 2021 avait déjà été entachée de 49 tentatives d’homicide liées aux stupéfiants à Marseille, 2022 en a comptabilisé 65, pour la mort de 33 individus. Un record. Mais ce record sera encore largement dépassé en 2023.

Le résultat aussi d’un manque de légitimité et d’autorité de la part de l’État dont d’ailleurs beaucoup de services ont déserté des quartiers entiers. De ce point de vue, on comprend mal la mollesse du pouvoir politique y compris du gouvernement et du ministre de l’intérieur, lui aussi plus prolixe en paroles qu’en actions.

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