Archive pour le Tag 'Belge'

Histoire belge: Poutou se présente aux élections européennes sur une liste en Belgique

Histoire belge:  Poutou se présente aux élections européennes sur une liste en Belgique

C’est une histoire belge mais celle-ci est vraie à savoir l’intention de Poutou de se présenter sur une liste politique européenne en Belgique. On peut penser que comme en France il fera peut-être 2 à 3 % ! Une idée en tout cas : celle de transférer des responsables politiques français malheureux dans d’autres pays ! comme au foot !

 

Le NPA a fait le choix de ne pas présenter de candidat en France pour ces européennes et a échoué à faire alliance avec LFI. «Il décidera de son appel au vote précis avant la fin du mois d’avril», précise-t-il.

Le conseiller municipal de Bordeaux, ouvrier de l’automobile licencié, promet de se battre «pour une Europe anticapitaliste qui s’oppose à l’Europe capitaliste et libérale; pour une Europe écologique, féministe, antiraciste, anticoloniale, anti-impérialiste; Bref anti tout !

Carte d’identité belge : suppression du genre !

Carte d’identité belge : suppression du genre !

 

On ne saura  plus si Ginette Dupont est un homme ou une femme à la lecture des cartes d’identité belges. La Belgique a en effet considéré comme anticonstitutionnel le fait d’indiquer sur des cartes d’identité s’il s’agit d’un homme ou d’une femme.

 

Du coup, lors des contrôles éventuel reposant sur la carte d’identité on se demande comment les pouvoirs publics pourront contrôler le genre des individus ( si ce contrôle s’avère nécessaire).

 

La culture woke pénètre donc aussi la Belgique qui pourra être à la pointe de l’éco féminisme pourrait bien être amenée un jour à considérer la frite comme masculine ou  non genrée.!

 

Le gouvernement réfléchit à l’enregistrement du genre de façon« inclusive», relève De Staandard. Cela pourrait se faire par le biais d’un «troisième sexe» ou d’un «non binaire», ou d’une autre façon, précise le média belge. Pour celà le gouvernement promet un large débat social avec des experts, tels que l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes (IGVM), à travers des auditions au Parlement.

Reste à savoir si les frites seront interrogées !

 

Européennes : un Belge tête de liste au PS … et un Russe au Front National ?

Européennes : un Belge tête de liste au PS … et un Russe au Front National ?

Une bien curieuse cuisine se prépare pour les européennes car cette élection constitue un piège pour la plupart des formations politiques. Premier élément, on s’attend comme d’habitude à une abstention record, du coup les résultats dépendent en partie de la participation. Second élément, ces élections ne semblent pas constituer un enjeu majeur pour les électeurs, du coup ils en profitent assez souvent pour exprimer des mécontentements qui n’ont pas toujours à voir avec les européennes. Même le parti majoritaire en marche pourrait être sanctionné. Mais ce pourrait aussi être le cas pour des parties fragilisés comme le parti socialiste, les Républicains ou le Front National. Dans ces trois derniers partis, aucun grand leader ne veut d’ailleurs prendre le risque d’être en tête de liste. Mais le parti socialiste a trouvé la combine, un belge pourrait être liste du Parti socialiste aux prochaines élections européennes de mai 2019. Cette piste étudiée par Olivier Faure, et révélée mardi par Le Figaro, a été confirmée mercredi par Paul Magnette, le bourgmestre de Charleroi. «Oui, j’ai bien reçu une proposition du PS français, avec un certain étonnement je l’avoue, car ils me proposent la première place sur leur liste européenne, pas moins», a-t-il déclaré à nos confrères du journal Le Soir. Les citoyens européens peuvent candidater à ce scrutin dans un autre pays que le leur. Comme Marine Le Pen ne souhaite pas essuyer une nouvelle défaite politique, elle aussi refuse pour l’instant d’être en tête de liste du Front National. Pourquoi dès lors ne pas envisager un candidat russe, à défaut un candidat hongrois ou polonais puisque la Russie ne fait pas parti de l’union européenne. Pour les républicains on pourrait suggérer la candidature d’un proche de Trump ayant la double nationalité américaine et française, ce qui serait cohérent avec les positions antieuropéennes de Laurent Vauquiez ! !

Attentat déjoué en France : encore un belge inculpé

Attentat  déjoué en France : encore un belge inculpé

Les connexions entre les terroristes provenant soit de France soit de Belgique se confirment  pour les attentats de novembre à Paris mais aussi pour le projet d’attentat du Français Réda Kriket. Un troisième individu impliqué dans ce projet vient en effet d’être arrêté en Belgique. Notons qu’ils ont tous en commun d’avoir des origines maghrébines, des passés de gangsters d’avoir muté de l’intégrisme au terrorisme.   Inculpé samedi pour « participation aux activités d’un groupe terroriste » dans le cadre de l’enquête sur un attentat déjoué en France, a annoncé le parquet fédéral belge. L’homme, âgé de 33 ans et désigné par les initiales Y. A., a été arrêté jeudi soir et présenté vendredi à un juge. Il s’agit du troisième suspect inculpé en Belgique dans l’enquête liée à l’arrestation, le 24 mars, du Français Réda Kriket, qui, selon le procureur de Paris François Molins, préparait une action « imminente » et d’une « extrême violence ». Les deux autres, que le parquet a désignés par leur prénom et l’initiale de leur nom, sont Rabah N. et Abderrahmane A. Pour le second, il s’agit d’Abderrahmane Ameroud, un Algérien condamné en mai 2005 par le tribunal correctionnel de Paris à sept ans de prison et à une interdiction définitive du territoire français pour avoir recruté des volontaires pour l’Afghanistan et apporté un soutien logistique aux assassins du commandant Ahmed Shah Massoud, tué en 2001.

Sapin et la « naïveté » belge face au communautarisme : une condescendance scandaleuse

Sapin et la   »naïveté » belge face au communautarisme : une condescendance scandaleuse

 

Plus gonflé que Sapin tu meurs !  Michel Sapin qui n’a pas hésité à accuser la Belgique de naïveté face aux dangers du communautarisme. Pire, il a défini la politique à suivre pour remédier à ce phénomène. Comme si la France avait réussi quoi que ce soit dans la lutte contre l’intégrisme. Or dans la plupart des villes françaises des banlieues entières se sont communautarisées. Un Communautarisme véritable terreau du radicalisme. Des zones de non-droit abandonnées autant par l’État que par les collectivités locales. Des quartiers où la paix sociale a été achetée contre l’autorisation tacite de mettre en place des économies parallèles reposant sur des trafics en tout genre en particulier sur le trafic de drogue. La Belgique a sans doute des responsabilités mais la France tout autant sinon davantage. Pratiquement aucune grande ville en France n’échappe à ce phénomène de concentration des communautés autorisées, suscitées  et même soutenues  financièrement. Pour Michel sapin exemple type de l’oligarchie  incompétent et  irresponsable, plus c’est gros plus ça passe. Comme la version du chômage qu’il n’a cessé de pronostiquer pendant des années. Il y a sans doute longtemps que Michel sapin n’a pas mis les pieds dans une banlieue sensible. C’est tout le drame de petits bourgeois du parti socialiste coupés depuis longtemps de toutes les réalités économiques, sociales et sociétales. De tels propos scandaleux font évidemment le lit du front national qui se nourrit surtout du déni de réalisme du gouvernement et surfe sur la vague du populisme. Du TS Le ministre français des Finances Michel Sapin a en effet estimé mardi que la classe politique belge avait péché par « naïveté » en laissant se développer un bastion islamiste à Molenbeek, la commune où étaient basés plusieurs membres du commando responsable des attentats de novembre à Paris. « Quand un quartier est en danger de se communautariser, on doit agir », a-t-il dit sur LCI, après que la Belgique a été frappée à son tour par des attentats islamistes qui ont fait au moins 30 morts. Prié de dire si la Belgique n’avait pas été trop tolérante face au développement du communautarisme à Molenbeek, Michel Sapin a répondu : « Je ne sais pas s’il faut dire la Belgique en tant que telle mais je pense qu’il y a eu une volonté ou une absence de volonté de la part de certains responsables politiques, peut-être par envie de bien faire, peut-être par sentiment que, pour permettre une meilleure intégration, il faut laisser des communautés se développer, peut-être aussi une forme de naïveté. » « Mais nous savons, et la France le sait peut-être plus encore que d’autres (…), que ce n’est pas la bonne solution et que lorsqu’un quartier hier, aujourd’hui, est en danger de se communautariser, on doit agir », a-t-il ajouté. Pour le ministre, « on doit agir par une politique de la ville, par une politique d’intégration, par l’école, par la langue, tout ce qui fait qu’on appartient, quelle que soit son origine, quelle que soit sa religion, à la communauté française. » Des propos qui confirment qu’il y a bien longtemps que Michel Sapin n’a pas mis les pieds dans les quartiers sensibles qui concernent la plupart des grandes villes française

Migrants-Turquie : non à un mauvais accord (Premier ministre belge)

Migrants-Turquie : non à un mauvais accord (Premier ministre belge)

Les pays de l’union européenne avec la Turquie sur la gestion des flux migratoires. Un accord imposé par Merkel qui suscite cependant scepticisme et même opposition de nombre de pays de l’union européenne par exemple l’opposition de la Belgique. Il semble bien en effet que cet accord comporte encore un certain nombre d’ambiguïtés et même d ‘opposition témoin la position du premier ministre belge Je le dis clairement : je préfère pas d’accord du tout qu’un mauvais accord  », a indiqué le Premier ministre Charles Michel. Les contours de l’accord sur lequel se pencheront les dirigeants européens ont été dessinés lors d’un sommet UE-Turquie la semaine dernière. Le Premier ministre turc s’est engagé, au nom de son pays, à reprendre les réfugiés arrivés de manière irrégulière sur les îles grecques, en échange de plusieurs contreparties, dont une libéralisation des visas et l’ouverture de nouveaux chapitres dans le processus d’adhésion de la Turquie à l’UE. «  Il n’est pas question de brader nos valeurs  », a déclaré Charles Michel. Il ne pourra y avoir un «  accord stratégique que si tout le monde respecte ses engagements  ». «  La Turquie demande beaucoup, et je n’accepte pas une négociation qui ressemble parfois à une forme de chantage  », a-t-il poursuivi. «  Nous allons être très fermes, très déterminés à défendre les intérêts européens. » La Belgique est prête à faire plus, mais pas avant d’avoir vu des résultats concrets, notamment dans la lutte contre les trafiquants, a souligné le Premier ministre, appelant les dirigeants européens à «  défendre une position commune  ».  Le Premier ministre se dit «  préoccupé par la proposition de libéraliser les visas  », ce qui permettrait aux citoyens turcs de voyager en Europe sans avoir besoin de visa, et aux citoyens européens d’aller en Turquie sans visa aussi. «  Il ne doit pas y avoir de libéralisation des visas sans certitudes que toutes les conditions sont remplies  », a-t-il martelé. Sa préoccupation était notamment partagée par le Premier ministre luxembourgeois, Xavier Bettel, et le président français, François Hollande, qui ont également évoqué ce sujet à leur arrivée. La Turquie doit remplir une septantaine de critères pour pouvoir obtenir cette libéralisation, mais elle n’en rencontre actuellement même pas la moitié. L’une des conditions nécessaires est qu’elle reconnaisse Chypre, ce qu’elle se refuse à faire depuis qu’elle a envahi le nord de l’île en 1974. Le président chypriote, Nicos Anastasiades, a indiqué à son arrivée qu’il pourrait y avoir un accord «  si la Turquie remplit ses obligations dans le cadre du protocole d’Ankara  », signé en 2005 et qui prévoit notamment la reconnaissance de Chypre. « Mais sans ça, nous pourrions n’avoir rien du tout. » Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, a pour sa part estimé qu’il était crucial qu’un accord soit obtenu à l’issue de ce sommet. «  Il n’y a pas d’alternatives  », a-t-il insisté. La présidente lituanienne Dalia Grybauskaite a reconnu qu’elle comprenait et qu’elle soutenait même certaines critiques énoncées à l’encontre de l’accord de principe dégagé lors du sommet du 7 mars. «  La solution proposée sera très difficile à implémenter et elle se situe de surcroît à la limite du droit international  », a affirmé la cheffe d’Etat. De son côté, le Premier ministre grec Alexis Tsipras a dit espérer un accord «  pour réduire ou interrompre les flux de réfugiés illégaux, mais aussi pour permettre la création d’une route robuste et légale  ». Il a également plaidé pour «  l’accélération des relocalisations  ». Le Premier ministre britannique, David Cameron, a quant à lui affirmé qu’il était favorable à l’idée de renvoyer les migrants des îles grecques vers la Turquie afin de casser le «  business model  » des passeurs. Il a ensuite rappelé que son pays menait sa propre politique migratoire et qu’il ne changerait pas son approche dans ce domaine.

 Terrorisme Mali: attentats contre un Français et un Belge et 5 morts

 

Nouvel « exploit » d’u terroriste qui a lâchement abattu 5 personnes dans un restaurant au Mali. Un attentat  de plus qui prouve la lâcheté des assassins  et qui démontre que le cancer du radicalisme islamiste est en train de gagner une grande partie de l’Afrique ( et que rien n’est définitivement réglé au Mali). Face à cela la réplique internationale tarde à venir. Comment se peut-il qu’uen coalition  ne puisse exterminer une bande de 40 000 hommes (dont la moitié étrangers)) certes armée  mais très hétéroclite. En plus une bande de voyous pour la plupart , anciens délinquants, anciens marginaux qui légitiment maintenant leur violence, leurs crimes avec le secours d’un détournement de la religion.  –; » la communauté infranationale » de ce point de vue est uen illusion et l’ONU demeure un machin comme disait De Gaulle. En attendant des dizaines de milliers d’enfant, de femmes, hommes sont massacrés par ces abrutis, ces  ratés du monde entier  qui peuvent donner libre cours à leurs instincts les plus bestiaux. Rappel des faits :   Il est un peu plus de minuit heure locale lorsqu’un homme commence à lancer des grenades dans une rue du centre de la capitale malienne. La rue Princesse, comme elle est surnommée à Bamako, abrite de nombreux bars et restaurants, elle est très fréquentée, notamment par les Occidentaux. Surtout un vendredi soir. Après avoir lancé plusieurs grenades, dont certaines n’ont pas explosé, l’homme s’engouffre dans l’établissement appelé la Terrasse. Il monte à l’étage et commence à mitrailler avant de prendre la fuite à bord d’un véhicule conduit par un complice. Les deux hommes portent des cagoules. Peu après avoir quitté les lieux de l’attaque, ils croisent une voiture de police et tirent à nouveau. De sources diplomatique, policière et hospitalière, trois occidentaux figurent parmi les victimes, dont un Français et un Belge. Deux Maliens, un policier et un gardien, ont également été tués. Une dizaine de blessés, certains dans un état grave, ont été transportés dans un hôpital du centre ville. Le bilan pourrait donc s’alourdir. Deux suspects auraient été arrêtés.

 




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