Archive pour le Tag 'présent'

Histoire belge: Poutou se présente aux élections européennes sur une liste en Belgique

Histoire belge:  Poutou se présente aux élections européennes sur une liste en Belgique

C’est une histoire belge mais celle-ci est vraie à savoir l’intention de Poutou de se présenter sur une liste politique européenne en Belgique. On peut penser que comme en France il fera peut-être 2 à 3 % ! Une idée en tout cas : celle de transférer des responsables politiques français malheureux dans d’autres pays ! comme au foot !

 

Le NPA a fait le choix de ne pas présenter de candidat en France pour ces européennes et a échoué à faire alliance avec LFI. «Il décidera de son appel au vote précis avant la fin du mois d’avril», précise-t-il.

Le conseiller municipal de Bordeaux, ouvrier de l’automobile licencié, promet de se battre «pour une Europe anticapitaliste qui s’oppose à l’Europe capitaliste et libérale; pour une Europe écologique, féministe, antiraciste, anticoloniale, anti-impérialiste; Bref anti tout !

États-Unis : Trump toujours très présent !

États-Unis : Trump toujours très présent !

 

Le sursaut politique créé par les auditions de la commission parlementaire sur les émeutes au Capitole du 6 janvier 2021 est menacé par un risque d’affaiblissement des démocrates aux élections de mi-mandat et par la révolution conservatrice de la Cour suprême, expliqueAlain Salles,  du « Monde ».

 

 

La mise en scène par le Congrès américain des auditions sur la tragédie du 6 janvier 2021, quand des émeutiers, chauffés à blanc par l’encore président Donald Trump, ont pris d’assaut le Capitole, est à la fois spectaculaire et surannée. Derrière ce rite solennel, on assiste à une survivance d’une espèce menacée : l’espace démocratique, où la raison essaie de saisir ce moment de folie qui a saisi l’Amérique, pour l’acmé des années Trump.

La Commission refait défiler ces moments et de ces images, cent fois montrées, mais en leur apportant un éclairage cru pour établir la responsabilité du milliardaire et l’impuissance (et l’aveuglement) de son entourage. La commission a enquêté pendant plus d’un an, prenant le temps de convaincre les témoins de parler, pour essayer d’établir une chronologie minutieuse de l’engrenage politique et meurtrier du 6 janvier. L’état d’esprit est très différent des deux procédures d’impeachment lancées sans succès contre l’ancien président, où les élus étaient pressés par le temps et davantage soucieux de l’affichage politique que du résultat.

Le premier procès en 2019 – éclairé d’une étrange lumière rétrospective depuis l’invasion de la Russie par l’Ukraine – concernait les pressions présumées de Donald Trump sur le tout nouveau président Volodymyr Zelensky pour mettre en cause le fils de Joe Biden, Hunter, qui avait fait des affaires dans la région. Mais la proximité des primaires démocrates, puis des élections de novembre, et la résistance des républicains empêchaient la sérénité des débats.

 

Ce fut encore plus flagrant avec la seconde procédure pour incitation à la rébellion, une semaine après le 6 janvier 2021, dont l’objectif était d’agir avant la fin officielle du mandat du président battu, pour l’empêcher de se représenter. La justice, même parlementaire, ne se rend pas dans l’immédiateté.

Ce qui apparaît aujourd’hui au Congrès, c’est précisément le lent travail de fourmi de la commission qui a pu interroger à l’abri des regards publics une grande partie des protagonistes. La grande force de la restitution des deux premiers jours, les 9 et 13 juin, tient à la variété de ces personnalités qui ont soutenu Donald Trump et accepté de témoigner.

Pendant quatre ans, ils ont avalé sans broncher de nombreuses couleuvres, mais ont calé devant celle qui faisait vaciller la démocratie américaine : la mise en cause du résultat des élections et l’organisation de ce qui est qualifié de « sédition », avec de fortes présomptions pour penser qu’elle était l’œuvre de celui qui avait juré, en 2017, de respecter la Constitution.

“Ecoles du futur. ».. ou du présent ?

“Ecoles du futur. ».. ou du présent ? 

 

Comme toujours avec Macron pour masquer les échecs du présent on pratique la fuite en avant vers le futur. Si récemment le président de république a mis en valeur cette « école du futur » lors d’une visite à Marseille. Le problème c’est qu’on ferait sans doute mieux de se préoccuper de l’école actuelle, celle du présent.

 

« À l’école, quand on apprend les temps, on commence par le présent, et pas le futur. Ce dont on voudrait parler, nous directeurs ou organisations syndicales, c’est bien de l’école du présent et de toutes les problématiques actuelles », a réagi  sur franceinfo Olivier Flipo, directeur d’école primaire à Cergy et délégué du SE-Unsa du Val-d’Oise, alors qu’Emmanuel Macron a annoncé jeudi à Marseille vouloir généraliser à tout le territoire « l’école du futur », expérimentation pédagogique menée dans la cité phocéenne depuis septembre 2021.

Pour Olivier Flipo, l’urgence dans les écoles est le remplacement des professeurs absents et donc le recrutement. Dans le Val-d’Oise actuellement, « la situation est très compliquée », explique le représentant du SE-Unsa. « Récemment sur une journée, il y avait 200 classes sans enseignants, parce qu’actuellement il n’y a pas de remplaçants », les enseignants remplaçants habituels étant « déjà utilisés ». Olivier Flipo dénonce le manque  »d’anticipation sur le recrutement ». Il pointe « une situation de catastrophe qui fait que tout à coup on organise un job dating pour recruter des gens. On est en train de créer l’école du futur avec ces contractuels ». Le souci des directeurs d’écoles est « de gérer la pénurie », souligne l’enseignant.

Ces appels à candidature organisés dans certaines académies pour trouver « des futurs contractuels pour occuper ces postes, c’est bien car on ne peut pas être contre cet aspect d’avoir du personnel supplémentaire », nuance Olivier Flipo. Mais il juge que  »là où le bât blesse, c’est la formation » de ces volontaires « et combien de gens vont réellement se présenter ». Certains sont « très intéressants pour certains », mais souvent « il y a des gens qui sont complètement à côté de la plaque et n’ont aucune imagination de ce que cela peut représenter ».

Revenant sur l’expérimentation de « l’école du futur » menée à Marseille, le délégué du SE-Unsa du Val-d’Oise rappelle que ce sont « 59 écoles volontaires qui avaient déjà un projet ». Selon lui, le gouvernement n’a « rien fait de nouveau ou inventé ». Cette expérimentation ne pose donc « pas de difficultés particulières ». Il précise que les commissions de recrutement qui sont en place sont composées « de deux inspecteurs, du directeur de l’école et d’un adjoint ». Cette commission émet ensuite « un avis favorable ou défavorable » sur les candidats. Selon lui, « dans les faits, sur les 59 écoles, tous les avis ont été favorables ». Olivier Flipo attend maintenant surtout qu’il y ait une évaluation su système : « On en fait un bilan et on ne généralise pas dès que l’expérimentation a à peine commencé. »

Les enquêtes Pisa menées depuis une vingtaine d’années sur des collégiens de 15 ans montrent en effet une baisse régulière des résultats de nos élèves, surtout ceux issus de milieux défavorisés, ce qui fait de notre système scolaire l’un des moins efficaces et des plus inégalitaires des pays de l’OCDE. Surtout : 20% des élèves entrent au collège sans maîtriser la lecture, l’écriture et le calcul, et 60 % des étudiants ne parviendront pas à obtenir leur licence en trois ans. Ce sombre tableau doit alarmer : notre école fabrique une jeunesse privée de chances, et la mobilité sociale est sérieusement enrayée.

 

 

Le variant « Mu » peu présent en France…. pour l’instant

Le variant Mu peu présent en France…. pour l’instant

 

 

 

Les autorités se félicitent du peu de présence du variant Mu particulièrement dangereux parce qu’il échapperait à la couverture des vaccins actuels.  Ce variant fait l’objet d’un suivi particulier en France. Depuis, il est «sous surveillance rapprochée», mais semble pour le moment «très peu présent en France», a indiqué vendredi Sibylle Bernard-Stoecklin de la direction maladies infectieuses de Santé publique France (SPF) lors d’un point presse hebdomadaire. Et sa présence «ne semble pas avoir augmenté récemment» dans le pays, de même qu’ailleurs en Europe, a-t-elle souligné. En France, elle semble même «diminuer au mois d’août» alors qu’elle avait «légèrement augmenté» en juin/juillet. Ceci étant, on avait dit à peu près la même chose au début du variant delta. En effet malheureusement les variant ne connaissent pas de frontières et se pose la question du niveau de vaccination mondiale.

Installation Biden : Pence sera présent !

Installation Biden  : Pence sera présent !

Encore une claque pour Trump dont le vice-président a décidé d’assister à la cérémonie d’installation de Biden.  un haut responsable de l’administration.

Vendredi, le président Donald Trump, lui,  a déclaré qu’il n’assisterait pas à l’inauguration de son successeur le 20 janvier.

Grand débat : Macron est trop présent d’après les garants

Grand débat : Macron est trop présent d’après les garants

 

Il était temps que les garants du grand débat s’en perçoivent : Macron est beaucoup trop présent partout. Pas étonnant il aura participé au moins à une douzaine de séances en plus souvent entièrement retransmises à la télévision. Cela à la cadence de deux meetings par semaine. Du jamais vu sans doute quant à la présence d’un chef de l’État dans les grands médias. Même observation par rapport à l’implication des membres du gouvernement. C’est dans un langage très diplomatique que les garants se permettent cette observation évidente et choquante d’un point de vue démocratique : Les garants se félicitent cependant du succès de cette opération. Un succès qu’on devrait pourtant relativiser car si effectivement certaines séances ont pris des allures de débat dans beaucoup d’autres cas il s’agissait davantage de conférences ou de meetings. Reste aussi à savoir comment sera restitué la les discussions qui ont embrassé beaucoup de sujets souvent de manière assez schématique dans le cadre d’une problématique très sommaire comme le document d’introduction du gouvernement lui-même Que l’exécutif se tienne « en retrait » « Nous ne sommes pas face à un sondage à l’échelle nationale », a par ailleurs souligné Isabelle Falque-Pierrotin, en prévenant que l’on ne pourra pas tirer du débat « quelque chose comme le top 10 des sujets clés retenus par les Français ». Après la fin des réunions locales, 18 Conférences citoyennes régionales doivent encore être organisées dans les semaines qui viennent, avec la participation de Français tirés au sort. Une jolie pagaille en perspective envoie mal en effet comment organiser un débat avec 50 à 70 personnes en plus pour la plupart sans doute ignorants de la cohérence des enjeux économiques sociaux et financiers. Encore plus que dans d’autres réunions, on risque la caricature. Notons d’ailleurs qu’on parle de conférences et non de débat. Ce qui suppose des animateurs qui auront la main sur le fond et la forme des discussions. Pascal Perrineau a souligné à ce propos « des difficultés pour rassembler ces échantillons de citoyens » dans certaines régions. La participation moyenne pourrait, selon lui, se situer « plutôt aux alentours de 50 à 70 citoyens par conférence » au lieu d’une centaine prévue au départ.

 

Grand débat : Macron trop présent pour 55% des Français

Grand débat : Macron trop présent pour 55% des Français

Ce n’est pas encore l’overdose  mais déjà une certain ras le bol des Français vis-à-vis de l’omniprésence de Macron dans les médias. Les deux tiers des Français (66%) estiment qu’Emmanuel Macron profite du grand débat pour faire campagne indûment pour les élections européennes, d’après un sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour franceinfo et le Figaro. D’après ce sondage, 55% des Français interrogés pensent par ailleurs qu’Emmanuel Macron « en fait trop » et qu’il « est trop présent dans les médias «dans le cadre du grand débat national, même s’ils le trouvent plutôt « bon sur la forme » pour 53% d’entre eux. Mais une large majorité (78%) pense que le chef de l’État « ne parviendra pas à retrouver la confiance des Français », car ils estiment pour 68% des personnes interrogées qu’il n’a pas été « convaincant sur le fond sur la plupart des sujets ».

Les Français pronostiquent donc que l’hyperprésence d’Emmanuel Macron ne lui servira pas. Et pourtant dans la même enquête, les Français déjouent leur propre pronostic. Emmanuel Macron a connu un spectaculaire rebond, depuis un mois et demi, dans le crible d’image de l’institut de sondage Odoxa. Ainsi, ils sont désormais 65% à le juger « dynamique » (+ 10 points depuis le mois de décembre). 37% le jugent sympathique (+12 points) et 21% proche des gens (+9 points). En revanche, ils sont toujours 76% à estimer que le qualificatif « président des riches » s’applique bien à Emmanuel Macron (-1 point).

Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1002 Français interrogés par internet les 13 et 14 février 2019, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

« Fillon pas présent au second tour» (de Villiers)

« Fillon pas présent au second tour» (de Villiers)

 

Visiblement la droitisation et la radicalité de Fillon n’ont pas séduit l’ancien ministre Philippe de Villiers qui s’est mis aujourd’hui à l’écart de la politique. Il estime notamment que François Fillon est en train de manquer sa campagne. Du coup, il voit Emmanuel Macron et Marine Le Pen au second tour de 2017. Il faut bien admettre que la mayonnaise électorale de Fillon à du mal à prendre ; son recul dans les sondages montre qu’il est maintenant très menacé par Macron. Pourtant il avait réalisé un sans-faute lors de la primaire- de la droite. Malheureusement si son programme très droitier a séduit une grande partie de l’électorat relativement âgé et aisé à la primaire de la droite, il peine à trouver un public plus large. L’entourage de François Fillon et François Fillon lui-même passent  leur temps désormais à rétropédaler sur nombre de propositions (remboursement des maladies, nombre et durée du travail des fonctionnaires, fiscalité). Dernier dérapage, un peu anecdotique celui-là, celui d’Internet dont Fillon serait le promoteur. Un sujet anecdotique mais qui témoigne de l’affolement de Fillon et de sa volonté d’être le détenteur de la modernité face à un Macron  qui ne cesse de progresser. Une maladresse sans doute mais qui s’ajoute aussi à celle qui résultait de la déclaration où Fillon se déclarait «  gaulliste et chrétien » pour expliquer ses positions sur la sécu. Philippe de Villiers a considéré qu’il s’agissait là d’un coup de com. malheureux, indiquant que François Fillon n’a pas trouvé tout seul l’idée de cette phrase polémique. «Il s’en remet à Anne Méaux (présidente de la société de communication Image 7 et conseillère de Fillon) pour lui souffler des idées de marketing, comme elle le fait pour les grands chefs d’entreprises» critique-t-il, avant de juger un tel procédé «grotesque». Philippe de Villiers ajoute que le vainqueur de la primaire de la droite est «un piètre candidat en campagne» et qu’il «ne sera pas présent» au deuxième tour de la présidentielle. Selon son pronostic, lors du second round du scrutin, il faudrait plutôt s’attendre à un duel entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. «Une campagne est une dynamique et j’observe une dynamique Macron, comme s’il était une sorte de Lecanuet de centre-gauche. Donc, il montera haut, Fillon continuera sa descente et la primaire de la gauche sera un échec.»

Assemblée nationale: aucun député présent à la dernière séance!

Assemblée nationale: aucun député présent à  la dernière séance!

 

577 députés élus et pourtant aucun présent lors de la dernière séance ; 577 c’est pourtant 2 ou 3 fois de trop (sans parler de l’inutile sénat aux 348 membres quand les Etats-Unis n’en comptent que 100 !). Aucun député n’était présent jeudi 25 juillet, à l’ouverture de la dernière séance de la session extraordinaire de l’Assemblée nationale. Seuls le président de séance, l’écologiste Denis Baupin et le ministre délégué au Budget, Bernard Cazeneuve étaient présents sur les bancs à 9h30, selon Le Canard Enchaîné. Après les efforts des fonctionnaires de l’Assemblée, deux députées se sont ensuite jointes aux travaux, pour une affluence record de quatre personnes dans l’Hémicycle. Le menu des discussions ? L’hommage aux victimes de la catastrophe de Saint-Jacques de Compostelle, le règlement du budget 2012, le sujet des « soins sans consentement en psychiatrie » et diverses conventions internationales. « Plutôt gênant », commente l’hebdomadaire satirique.

 




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