Archive pour le Tag '5%'

Colis chinois : environ 5 milliards par an en Europe

Colis chinois : environ 5 milliards par an en Europe

En Europe, quelque 4,6 milliards d’envois d’une valeur inférieure à 150 euros sont entrés sur le marché en 2024. Cela représente environ 12 millions de colis par jour et plus de 145 chaque seconde. « Ce chiffre a doublé par rapport à 2023 et triplé par rapport à 2022 », indique la Commission européenne sur son site. Sur ce total, 91 % provenaient de Chine.

Pour la France seule, 800 millions de colis de moins de 150 euros ont été livrés l’an dernier (sur un total de 1,5 milliard de colis). Les plateformes Temu et Shein représentent 22 % des colis gérés par La Poste, avait déclaré fin octobre dernier le PDG de la Poste, Philippe Wahl, alors qu’ils pesaient « moins de 5 % il y a cinq ans ». La direction de l’entreprise avait précisé que la part des colis gérés pour le compte des deux plateformes était beaucoup plus significative en France qu’en Europe.

Les États-Unis sont évidemment aussi de grands destinataires des colis chinois ils viennent d’ailleurs de décider de taxe forfaitaire sur chaque colis.

Coût des Droits de douane américains : 0,5% de PIB » à la France ?

Coût des Droits de douane américains : 0,5% de PIB » à la France ?

Dans un entretien au « Parisien », Bayrou estime que l’augmentation considérable des droits de douane américain devrait coûter au moins 0,5 % de PIB à la France. Une évaluation sans doute tout à fait approximative , personne n’est en effet en capacité de décrire avec précision les conséquences économiques de la formidable augmentation des taxes douanières de Trump sur l’économie mondiale.

L’hypothèse d’une récession internationale à commencer par les aux États-Unis est possible. Du coup la France qui tutoie déjà la stagnation verrait son activité plonger aussi dans le rouge. La décision du président américain est d’une telle ampleur que bien peu d’experts seraient en capacité d’apprécier les conséquences à court terme mais aussi à moyen terme car on pourrait assister à une transformation profonde de la nature et de l’ampleur des échanges. Pour les meilleurs on peut seulement prévoir une envolée de l’inflation aux États-Unis d’abord et qui va affecter le pouvoir d’achat et la croissance

Le Premier ministre François Bayrou estime que les hausses de droits de douane décidées par Donald Trump peuvent coûter « plus de 0,5% du PIB » à la France, dans un entretien au Parisien dimanche(Nouvelle fenêtre) mis en ligne samedi 5 avril. « Le risque de pertes d’emplois est absolument majeur, comme celui d’un ralentissement économique, d’un arrêt des investissements », juge le chef du gouvernement. « La déstabilisation qu’il a fait naître fragilisera pour longtemps l’économie mondiale », ajoute François Bayrou, dont la volonté est « de tenir l’objectif du retour aux 3% [de déficit public] en 2029. Mais la crise peut tout changer », admet-il.

Vente de voitures en janvier : baisse de 6,5 %

Vente de voitures en janvier : baisse de 6,5 %

La tendance baissière des ventes de voitures se confirme encore avec des immatriculations de voitures neuves en baisse de 6,23% en janvier-(PFA)

 

Il s’est immatriculé 114.665 véhicules particuliers dans l’Hexagone le mois dernier, a rapporté le PFA. Janvier a compté 22 jours ouvrables en 2025, comme l’année précédente.

Les immatriculations de voitures neuves du groupe Stellantis, qui regroupe notamment les marques Peugeot, Citroën, DS et Opel, ont diminué le mois dernier de 12,13% par rapport à un an plus tôt.

Le groupe Renault (marques Renault, Dacia et Alpine) a vu quant à lui ses immatriculations en France reculer de 2,96% en rythme annuel en janvier.

(Rédigé par Camille Raynaud)

Croissance Chine: un taux de 5 % qui déçoit encore

Croissance Chine: un taux de 5 % qui déçoit encore

 

La crise en Chine se traduit par la faiblesse de son taux de croissance. En cause une crise financière, un modèle politique de plus en plus centralisé -et discuté- aussi des mesures protectionnistes des pays importateurs de produits chinois ( voitures électriques par exemple). Sans parler du caractère atone de la consommation intérieure. À noter aussi que le centralisme de plus en plus lourd sur les entreprises constitue un motif de découragement voire de fuite des capitaux

 

La Chine a enregistré en 2024 une croissance économique de 5%, le rythme le plus faible depuis trois décennies hors période de Covid. Pékin s’était fixé l’objectif d’une croissance «d’environ 5%» de son Produit intérieur brut (PIB), après une progression de 5,2% en 2023, sur fond de crise persistante du secteur immobilier, de consommation intérieure toujours atone et de tensions commerciales avec les États-Unis et l’Union européenne. En 2024, le PIB chinois a atteint 134.908 milliards de yuans (17.867 milliards d’euros), selon des estimations officielles du Bureau national des statistiques (BNS) publiées vendredi.

La Chine peine à se relever d’une grave crise de l’immobilier qui pèse sur le moral des consommateurs et sur les finances des collectivités locales. Rare embellie dans ce sombre tableau, en 2024, les exportations du géant asiatique ont atteint le niveau record d’environ 3.400 milliards d’euros, en hausse de 7,1% sur un an, selon des données officielles publiées lundi. L’augmentation des importations s’est par ailleurs traduite par une accélération de la production industrielle, qui a gonflé de 5,8% l’an dernier, contre 4,6% en 2023.
À l’inverse, les ventes de détail ont enregistré un net essoufflement, progressant de 3,5% l’an dernier contre une augmentation de plus de 7% en 2023: un ralentissement drastique signalant une consommation toujours sous pression à l’heure où les ménages inquiets préfèrent reporter leurs achats.

Déficit public : 5,4 % au lieu de 5 % ?

Déficit public  : 5,4 % au lieu de 5 % ?

 

Officiellement le gouvernement de bureau pourrait retenir l’objectif d’un déficit de 5,4 %. De toute façon un déficit très théorique d’une part parce que la croissance risque d’être plus faible que prévu, d’autre part parce que les dépenses elles seraient supérieures à l’objectif. Il s’agirait davantage d’un budget d’affichage que d’un budget réel. Le nouveau gouvernement devrait donc renoncer à l’objectif de 5% de déficit fixé par Michel Barnier. Selon des informations publiées par le journal Le Monde et confirmées ensuite par Les Echos, le gouvernement viserait désormais un déficit public à 5,4 % du produit intérieur brut (PIB) en 2025.

Néanmoins, contacté par La Tribune, Bercy ne confirme pas pour l’instant ces chiffres « qui font l’objet de travaux et de discussions dans le cadre de l’élaboration du budget 2025 ». « Les prévisions de déficits (ou de croissance) seront précisées lors de la présentation du budget », indique-t-on dans l’entourage du ministre de l’Economie.

dit « confiant »

 

Éric Lombard avait prévenu que la réduction du déficit impliquerait d’éventuelles hausses d’impôt « très limitées » mais surtout « des économies supplémentaires ». Mais pour Le Monde, plusieurs mesures devraient être abandonnées, à commencer par la taxe sur les profits des grandes entreprises, censée rapporter 8 milliards d’euros. De leurs côtés, Les Echos estiment que cette surtaxe serait conservée, mais elle ne concernerait que les bénéfices 2025.

Par ailleurs, la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus, qui devait générer 2 milliards d’euros, « ne peut pas être conservée en l’état », a déclaré le ministre de l’Economie et des Finances au Monde. « Peut-être pourrons-nous trouver une autre mesure de solidarité qui aboutirait à peu près au même effet. »

Autre mesure que pourrait décider Eric Lombard selon Les Echos : augmenter le prélèvement forfaitaire unique, aussi appelé « flat tax », demandé par le Modem. Le Sénat a même voté en novembre en faveur du relèvement du plafond de la ponction des revenus du capital de 30% à 33%, avec un gain espéré de 800 millions d’euros.

 

Par ailleurs, la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus, qui devait générer 2 milliards d’euros, « ne peut pas être conservée en l’état », a déclaré le ministre de l’Economie et des Finances au Monde. « Peut-être pourrons-nous trouver une autre mesure de solidarité qui aboutirait à peu près au même effet. »

 

La TVA sur l’eau en bouteille passe de 5,5 à 20 %

La TVA sur l’eau en bouteille passe de 5,5 à 20 %

 

Conséquence inattendue des interrogations sur la qualité des eaux, le Sénat a voté une augmentation de la TVA qui passerait ainsi de 5,5 % à 20 %. L’idée est aussi de favoriser un plus grand usage de l’eau du robinet.

Des millions de bouteilles en plastique pour une eau pas toujours très «naturelle»… Le Sénat a voté dans la nuit du mercredi 27 au jeudi 28 novembre une augmentation de la TVA sur l’eau en bouteille, une mesure censée inciter les consommateurs à privilégier l’eau du robinet sur fond de scandale sur les pratiques des industriels de l’eau minérale. La chambre haute a voté à main levée ce dispositif dans le projet de budget pour 2025, contre l’avis du gouvernement. Le ministre des Comptes publics Laurent Saint-Martin s’y est opposé, arguant que la TVA n’était «pas un outil fiscal incitatif».

 

Social: Grève aussi des fonctionnaires le 5 décembre

Social: Grève aussi des fonctionnaires le 5 décembre
Les annonces d’actions revendicatives et de grèves d’ici la fin d’année s’accumulent dans les différents secteurs économiques et sociaux. Les plus spectaculaires devraient concerner le secteur agricole et les cheminots. Le mécontentement social monde partout en raison de la dégradation de la conjoncture, d’évolutions structurelles et de problèmes spécifiques. Reste à savoir s’il ira ou non convergence des luttes d’ici la fin de l’année…. ou après.

 

Plusieurs syndicats ont appelé ce jeudi à une journée nationale « d’action » et de « grève » dans la fonction publique le 5 décembre. Objectif affiché : dénoncer des coupes budgétaires dans l’administration à hauteur de 1,2 milliard d’euros, selon un communiqué signé par sept des huit organisations.

Seul le syndicat Force ouvrière ne s’est pas joint à cette déclaration et a maintenu un appel à la grève de trois jours reconductible « au même moment que la grève des cheminots, à partir du 10 ou du 11 décembre », a précisé à l’AFP le secrétaire général de l’UIAFP-FO, Christian Grolier.

Livret d’épargne A : baisse du taux de rémunération à 2,5 %

Livret d’épargne A : baisse du taux de rémunération à 2,5 %

 
Le taux de rémunération du livret A est fixé à 3% depuis le 1er février 2023 devrait passer à« un taux autour de 2,5 % », a indiqué jeudi, sur Radio Classique, le directeur général de la Caisse des dépôts (CDC). La formule de calcul du taux du livret A, aussi valable pour le livret de développement durable et solidaire (LDDS), est basée pour une moitié sur les taux interbancaires, et pour l’autre sur l’évolution des prix des six derniers mois.

Or l’inflation a fortement chuté depuis le printemps. En pratique, dès que les chiffres définitifs de l’inflation pour décembre seront connus, le gouverneur de la Banque de France proposera au ministre de l’Économie et des Finances, Antoine Armand, un nouveau taux, en se calant sur le résultat de la formule de calcul ou en y dérogeant. Le taux de rémunération du livret A est fixé à 3 % depuis le 1er février 2023, un pic depuis 2009.

Armée russe : des effectifs portés à 1,5 millions

Armée russe : des effectifs portés à 1,5 millions 

Les effectifs de l’armée russe sont portés  à 1,5 millions. Les effectifs d’active avaient été augmentés de 137.000 soldats, puis de 170.000 en 2022 et 2023. L’armée russe comprendra 2,38 millions de militaires avec les réservistes.

Poutine justifie ces augmentations par la  menace de l’Occident.

L’armée russe est déployée dans plusieurs pays de l’ancienne URSS : l’Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, et le Tadjikistan. Elle occupe également une partie de la Moldavie, de la Géorgie et de l’Ukraine. Enfin, elle sert d’appui militaire à Bachar al-Assad en Syrie. Plusieurs bases à l’étranger sont étudiées : au Soudan, au Mozambique, et en Égypte.

Les soldats du Kremlin font face à des pertes liées à la guerre d’Ukraine – 315.000 tués et blessés depuis le début du conflit selon le renseignement américain.

Trafic Internet France: 5 Gafam dominent

 Trafic Internet France:  5 Gafam dominent

En 2023, plus de la moitié du trafic internet français provenait des cinq géant du numérique : Netflix, Akamai, Facebook, Google et Amazon.

C’est le constat que dresse l’Autorité de régulation des télécoms (Arcep) dans un rapport publié ce jeudi. Ils ont ainsi représenté 53% d’un trafic, poussé par la consommation de films et séries en streaming, la télévision en rattrapage et les réseaux sociaux. Et parmi ces Gafam, Netflix – qui comptait près de 12 millions de français abonnés l’an passé selon Digital TV Research – est à l’origine de 15% de ce trafic à lui seul. Une part néanmoins en recul par rapport à fin 2022, année durant laquelle elle avoisinait les 20% .

Japon : Croissance en recul de 0,5%

Japon  : Croissance en recul de 0,5% 

Le PIB de l’archipel a reculé de 0,5% au premier trimestre comparé au précédent, selon une nouvelle estimation publiée lundi 10 juin. Les exportations ont chuté au premier trimestre de 5,1% (-5% lors de la première estimation), tandis que ses importations ont reculé de 3,3% (contre -3,4% précédemment), selon les chiffres du gouvernement. La consommation privée a, quant à elle, baissé de 0,7%.
(chiffre inchangé).

 

La consommation des ménages a, quant à elle, reculé de 0,8% (contre -0,7% lors de la première estimation) sur l’ensemble du premier trimestre. Cet indicateur a diminué sans discontinuer entre mars 2023 et mars 2024, alors que l’inflation continue à progresser plus vite que les salaires dans le pays, et que la faiblesse du yen, accentuée par la politique monétaire accommodante de la Banque du Japon (BoJ), fragilise aussi leur pouvoir d’achat.

L’archipel « évite de justesse la ‘récession technique’ définie par deux baisses consécutives » du PIB, avait déjà souligné mi-mai, lors d’une première estimation, Stefan Angrick dans une note de Moody’s Analytics. Mais « la nouvelle chute au premier trimestre 2024 montre que le Japon n’est pas non plus très loin de la récession, l’économie japonaise est en mauvaise forme ».

 

La consommation a cependant augmenté de 0,5% en avril sur un an en termes réels (corrigés de l’inflation), marquant la première hausse de cet indicateur économique clé depuis février 2023, selon des données officielles publiées vendredi 7 juin.

(Avec AFP)

Emission gaz à effet de serre, chute de 5,8%

Emission  gaz à effet de serre, chute de 5,8%

Le  Premier ministre a annoncé, mercredi 22 mai, en personne, les chiffres en baisse  fournis par le Citepa, l’organisme qui établit chaque année un inventaire national des émissions de gaz à effet de serre et polluants atmosphériques. 

« Nous avons eu (…) les chiffres définitifs des émissions de CO2 en 2023. Elles ont en réalité baissé en France de 5,8% », s’est félicité le Premier ministre. Ce recul survient après un repli de 2,7% sur l’ensemble de l’année 2022. Le Citepa avait évalué en mars la baisse en 2023 à 4,8% sur la base de données préliminaires. « Nous n’avons de leçons à recevoir de personne en matière d’efficacité écologique et environnementale », a ajouté Gabriel Attal, alors que la liste de la majorité est talonnée par celle du Parti socialiste menée par Raphaël Glucksmann.

Cette baisse reste en deçà des objectifs fixés par Paris. La France ambitionne de réduire ses émissions de 50% (-55% en net) d’ici à 2030 pour se conformer aux engagements du plan climat de l’Union européenne et d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050.

Economie-TotalEnergies : 5,7 milliards de dollars …et menace de départ à New York

 

Total a enregistré un bénéfice net de 5,7 milliards de dollars au premier trimestre 2024, améliorant encore ses résultats de 3% par rapport aux trois premiers mois de l’année 2023. En raison peut-être des menaces sur les profits des entreprises localisées en France, Total réfléchit à une cotation principale à New York. Une sorte de délocalisation glissante du siège ?

 

Depuis 2012, la part de l’actionnariat institutionnel nord américain est passée de 33% à 48% (dont 47% pour les Etats-Unis) en 2023 tandis que celle de l’Europe (hors Royaume-Uni) est passée de 45% à 34% sur la même période. L’actionnariat institutionnel représente 78% de l’actionnariat total de l’entreprise. « L’emplacement du siège social n’est pas remis en question, dit-il : il restera à Paris », Déclare cependant le patron de l’entreprise. La question est pour combien de temps ?

« En Europe, au lieu de soutenir les entreprises européennes qui veulent faire cette transition, même si c’est difficile, ils nous regardent et nous disent : regardez, vous continuez à produire du pétrole et du gaz », a-t-il déclaré.

Une sorte d’avertissement pour le gouvernement français notamment ?

 

TotalEnergies : 5,7 milliards de dollars …et cotation principale à la bourse de New York ?

TotalEnergies : 5,7 milliards de dollars …et cotation principale à la bourse de New York ? 

Total a enregistré un bénéfice net de 5,7 milliards de dollars au premier trimestre 2024, améliorant encore ses résultats de 3% par rapport aux trois premiers mois de l’année 2023.

En raison peut-être des menaces sur les profits des entreprises localisées en France, Total réfléchit à une cotation principale à New York. Une sorte de délocalisation glissante du siège ?

 

Depuis 2012, la part de l’actionnariat institutionnel nord américain est passée de 33% à 48% (dont 47% pour les Etats-Unis) en 2023 tandis que celle de l’Europe (hors Royaume-Uni) est passée de 45% à 34% sur la même période. L’actionnariat institutionnel représente 78% de l’actionnariat total de l’entreprise. « L’emplacement du siège social n’est pas remis en question, dit-il : il restera à Paris », Déclare cependant le patron de l’entreprise. La question est pour combien de temps ?

« En Europe, au lieu de soutenir les entreprises européennes qui veulent faire cette transition, même si c’est difficile, ils nous regardent et nous disent : regardez, vous continuez à produire du pétrole et du gaz », a-t-il déclaré.

Une sorte d’avertissement pour le gouvernement français notamment ?

 

Salaire: Hausse de près de 5 % chez Amazon

Salaires: Hausse de près de 5 % chez Amazon

 

Accord une augmentation salariale de 4,8% en moyenne, a annoncé jeudi la direction. 

Chez Amazon,  accord prévoyant une augmentation salariale de 4,8% en moyenne pour les salariés des centres de distribution. Pour les agences de tri et de livraison (29 sites), un accord avait été trouvé en début de semaine. Pour rappel, Amazon France emploie plus de 20.000 salariés en CDI, dont une partie travaille pour Amazon France Logistique, qui gère les entrepôts de grande taille dont huit centres de distribution.

Dans les faits, l’accord majoritaire a été signé pour les centres de distribution par la CFDT (19,5%), l’Unsa (16%) et la CAT (19%), a indiqué Amazon auprès de l’AFP. De leur côté, la CGT (20,5%), Sud Solidaires (18%) et la CFE-CGC (7%) ont refusé de signer l’accord.

L’accord signé prévoit les mêmes évolutions que celui des agences de livraison et de tri à l’exception du congé pour enfant malade, qui existait déjà pour les personnels des centres de distribution, a expliqué à l’AFP le directeur des ressources humaines. « Cet accord représente bien nos préoccupations (…) du bien-être des salariés », s’est-il réjoui.

Au-delà de la hausse du salaire de base de 4,8% en moyenne (hors cadres), il prévoit une prime de partage de la valeur de 1.000 euros pour les agents logistiques ayant au moins un an d’ancienneté.
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