Archive pour le Tag 'accord'

Protection de la haute mer: Accord à l’ONU

Protection de la haute mer: Accord à l’ONU

C’est la première fois que le grand large, plus précisément les zones situées au-delà de 200 milles nautiques (370 kilomètres) des côtes, sera réglementé. A l’extérieur des zones économiques exclusives (ZEE), la haute mer, qui représente 60 % des océans, n’était jusque-là soumise à aucune juridiction.

Entamées de façon informelle en 2004 et devenues formelles en 2008, les négociations ont été exceptionnellement longues. « C’est une prouesse d’être parvenu à s’entendre sur les règles de gestion d’un espace partagé par la communauté internationale, dans le contexte géopolitique actuel », souligne Julien Rochette, spécialiste de l’océan à l’Iddri.

Selon Romain Troublé, directeur général de la Fondation Tara Océan, le texte final a échappé de justesse à un vote, qui aurait rendu son application bien plus compliquée. « La mouture finale du texte est jugée acceptable par presque tous les pays, à l’exception de la Russie, la Turquie et le Nicaragua, qui ont émis des réserves », dit-il.

L’océan est essentiel à la vie sur Terre : il abrite une biodiversité cruciale, fournit la moitié de l’oxygène que nous respirons, et limite le réchauffement climatique en absorbant du CO2. Pourtant, à peine 1 % de la haute mer est aujourd’hui protégée, et l’océan, victime de pollutions, d’acidification ou de surpêche, est en grave danger . En décembre dernier, la COP 15 sur la biodiversité s’est fixé pour objectif de protéger 30 % des terres et des mers d’ici à 2030.

Accord salarial chez Schneider Electric

Accord salarial chez Schneider Electric

4% d’augmentation générale pour tous les non-cadres, avec un plancher de 100 euros», assortie d’augmentations individuelles de 1% en moyenne, a indiqué à l’AFP Emmanuel Da Cruz, coordinateur national FO pour le géant français des équipements électriques et automatismes industriels. Les cadres ont également obtenu 5% d’augmentation en moyenne, mais répartis autrement, avec «un plancher d’augmentation générale de 2,3%» et des mesures individuelles équivalentes à 2,7%, selon Emmanuel Da Cruz.

La direction a confirmé à l’AFP «la signature d’un accord» avec trois organisations syndicales représentatives (FO, CFTC, CFDT), «permettant de mobiliser un budget global de 5% assorti de dispositions exceptionnelles, dont une augmentation plancher de 100 euros» pour les ouvriers, agents techniques et agents de maîtrise et «une augmentation collective pour les ingénieurs et cadres, ainsi que des mesures complémentaires». Le groupe a souligné avoir mis en œuvre dès septembre dernier des «mesures exceptionnelles» (2% d’augmentations générales pour tous et une prime de 600 euros) pour contrebalancer les effets de l’inflation.
À noter que comme de nombreuses multinationales, Schneider Electric a enregistré des résultats records pour 2021, porté par la reprise post-Covid et par l’expansion des marchés de l’électrification et de l’efficacité énergétique, avec un bénéfice net annuel de 3,2 milliards d’euros en 2021, en hausse de 51% par rapport à 2020 et de 33% par rapport à 2019. Schneider Electric emploie quelque 15.000 salariés en France, dont 10.000 pour la maison mère et 5000 dans les 16 filiales du groupe

Energie: Un accord provisoire arraché à l’Allemagne

Energie: Un accord provisoire arraché à l’Allemagne


Un accord provisoire a été arraché à l’Allemagne concernant la politique de maîtrise des prix de l’énergie dans l’union européenne. La France et d’autre pays souhaitaient une sorte de bouclier tarifaire pour limiter les conséquences de la hausse de l’énergie sur l’économie et les ménages. L’Allemagne jusque-là s’était opposée à cette proposition considérant qu’au final c’est l’État qui paierait la facture entre les prix tarifés et les prix du marché.O n connaît l’orthodoxie financière de l’Allemagne qui ne souhaitait pas mettre en place une sorte de bouclier tarifaire finalement financé par l’emprunt et ultérieurement par le contribuable.

Les dirigeants de l’UE et des États membres se sont mis aussi d’accord pour favoriser les achats en commun de gaz à l’échelle de l’UE, avec l’idée qu’ils restent « volontaires » mais couvrent au moins un niveau-cible « obligatoire » de 15 % des objectifs de remplissage des stocks de l’UE pour L’accord est provisoire Il reste encore à affiner. Notamment sur les conditions d’encadrement des prix du gaz nécessaire pour produire de l’électricité.

Ils ont également appelé à accélérer ses « négociations » avec des pays producteurs pour éviter la concurrence inutile entre pays de l’union européenne

Outre une mesure d’encadrement du prix de gros dans les transactions de gaz naturel, les dirigeants demandent par ailleurs un projet précis de mécanisme « temporaire » pour plafonner les prix du gaz utilisé pour produire de l’électricité – un dispositif déjà mis en place en Espagne et au Portugal – et dont la France réclamait l’extension à l’ensemble de l’UE.

Mais, dans une concession faite à l’Allemagne, ce mécanisme devra être assorti de garde-fous pour « éviter toute consommation accrue de gaz ». Il devra aussi éviter que l’UE ne subventionne de l’électricité qui serait in fine exportée vers des pays voisins (Norvège, Royaume-Uni, Suisse…).

Conflits à Edf : un accord salarial avec les syndicats

Conflits à Edf : un accord salarial avec les syndicats

Alors qu’environ la moitié des centrales nucléaires sont à l’arrêt du fait d’opérations d’entretien retardées, des mouvements de grève affectaient notamment les centrales arrêtées et menaçaient évidemment la production électrique de la France qui déjà est contrainte d’importer de l’électricité.

Commencé le 13 septembre, le mouvement de grève s’est étendu au fil des semaines, jusqu’à toucher ce vendredi matin 12 centrales sur les 18 que compte le parc nucléaire français.
À l’occasion de négociations, direction d’EDF a proposé 5 % d’augmentation pour les bas salaires jusqu’aux agents de maîtrise . L’encadrement s’est vu proposer 2,5 % d’augmentation accompagnés de primes dont le montant reste à finaliser. Les quatre syndicats représentatifs (CGT, FO, CFDT et CFE-CGC) ont jusqu’au jeudi 27 octobre pour valider cet accord. Ce qui correspond à une deuxième étape, après un accord de branche sur des augmentations dans les industries électriques et gazières, signé lundi par la CGT, la CFDT et FO, mais non par la CFE-CGC.

Les syndicats ont sans doute bien fait de donner un accord de principe à cette proposition de la direction. En effet le risque de coupures de l’électricité aurait pu certainement retourner l’opinion contre des salariés qui ne sont pas les plus désavantagés. Et par ailleurs compte tenu de la situation financière catastrophique d’EDF, ces augmentations seront payées par l’usager et où le contribuable.

Prix de l’énergie: Un accord provisoire arraché à l’Allemagne


Un accord provisoire arraché à l’Allemagne

Un accord provisoire a été arraché à l’Allemagne concernant la politique de maîtrise des prix de l’énergie dans l’union européenne. La France et d’autre pays souhaitaient une sorte de bouclier tarifaire pour limiter les conséquences de la hausse de l’énergie sur l’économie et les ménages. L’Allemagne jusque-là s’était opposée à cette proposition considérant qu’au final c’est l’État qui paierait la facture entre les prix tarifés et les prix du marché.On connaît l’orthodoxie financière de l’Allemagne qui ne souhaitait pas mettre en place une sorte de bouclier tarifaire finalement financé par l’emprunt et ultérieurement par le contribuable.

Les dirigeants de l’UE et des États membres se sont mis aussi d’accord pour favoriser les achats en commun de gaz à l’échelle de l’UE, avec l’idée qu’ils restent « volontaires » mais couvrent au moins un niveau-cible « obligatoire » de 15 % des objectifs de remplissage des stocks de l’UE pour L’accord est provisoire Il reste encore à affiner. Notamment sur les conditions d’encadrement des prix du gaz nécessaire pour produire de l’électricité.

Ils ont également appelé à accélérer ses « négociations » avec des pays producteurs pour éviter la concurrence inutile entre pays de l’union européenne

Outre une mesure d’encadrement du prix de gros dans les transactions de gaz naturel, les dirigeants demandent par ailleurs un projet précis de mécanisme « temporaire » pour plafonner les prix du gaz utilisé pour produire de l’électricité – un dispositif déjà mis en place en Espagne et au Portugal – et dont la France réclamait l’extension à l’ensemble de l’UE.

Mais, dans une concession faite à l’Allemagne, ce mécanisme devra être assorti de garde-fous pour « éviter toute consommation accrue de gaz ». Il devra aussi éviter que l’UE ne subventionne de l’électricité qui serait in fine exportée vers des pays voisins (Norvège, Royaume-Uni, Suisse…).

Edf- Nucléaire : un accord salarial avec les syndicats

Edf- Nucléaire : un accord salarial avec les syndicats

Alors qu’environ la moitié des centrales nucléaires sont à l’arrêt du fait d’opérations d’entretien retardées, des mouvements de grève affectaient notamment les centrales arrêtées et menaçaient évidemment la production électrique de la France qui déjà est contrainte d’importer de l’électricité.

Commencé le 13 septembre, le mouvement de grève s’est étendu au fil des semaines, jusqu’à toucher ce vendredi matin 12 centrales sur les 18 que compte le parc nucléaire français.
À l’occasion de négociations, direction d’EDF a proposé 5 % d’augmentation pour les bas salaires jusqu’aux agents de maîtrise . L’encadrement s’est vu proposer 2,5 % d’augmentation accompagnés de primes dont le montant reste à finaliser. Les quatre syndicats représentatifs (CGT, FO, CFDT et CFE-CGC) ont jusqu’au jeudi 27 octobre pour valider cet accord. Ce qui correspond à une deuxième étape, après un accord de branche sur des augmentations dans les industries électriques et gazières, signé lundi par la CGT, la CFDT et FO, mais non par la CFE-CGC.

Les syndicats ont sans doute bien fait de donner un accord de principe à cette proposition de la direction. En effet le risque de coupures de l’électricité aurait pu certainement retourner l’opinion contre des salariés qui ne sont pas les plus désavantagés. Et par ailleurs compte tenu de la situation financière catastrophique d’EDF, ces augmentations seront payées par l’usager et où le contribuable.

TOTAL: Un accord avec la CFDT mais refusé par LA CGT

TOTAL: Un accord avec la CFDT mais refusé par LA CGT

Le représentant du syndicat CFDT aux négociations pour les salaires chez TotalEnergies a annoncé vendredi qu’un compromis avait été trouvé dans la nuit avec la direction pour une augmentation des salaires de 7%, mais sans la CGT.

« L’équipe de négociation CFDT donne un avis favorable aux mesures qui sont sur la table », a déclaré Geoffrey Caillon, coordinateur CFDT dans le groupe pétrolier, peu après 3h30 du matin.

La CFDT va soumettre la proposition, qui inclut aussi une prime allant de 3000 à 6000 euros, à ses adhérents, et doit être signée avant midi vendredi. Le syndicat CFE-CGC va également consulter ses adhérents mais semblait encline à signer.

« Notre délégation a émis une position plutôt favorable à la signature », a déclaré Dominique Convert, coordinateur CFE-CGC TotalEnergies. « Ca peut pas continuer comme ça », a-t-il dit.
« Une mesure pour les bas salaires »

Les deux syndicats représentent plus de 56% parmi les quatre syndicats représentatifs Plus tôt dans la nuit, la CGT avait quitté les négociations, insatisfaite des propositions d’augmentation formulées par la direction.

Nucléaire iranien : L’impossible accord ?

Nucléaire iranien : L’impossible accord ?

 

Une relance de l’accord de 2015 semble impossible alors que le régime iranien se radicalise et accélère son programme nucléaire, estiment, dans une tribune au « Monde », l’eurodéputée Nicola Beer et l’universitaire Peter Neumann, spécialiste des questions de sécurité.

Alors que la guerre en Ukraine continue à faire la « une », un autre conflit a atteint un point critique. Après dix mois de négociations, la tentative de réactiver l’accord de Vienne sur le nucléaire iranien – aussi connu sous le nom de Plan d’action global commun – est au point mort. Il pourrait bien se solder par un échec retentissant. Même l’envoyé spécial du président Biden, Robert Malley, a décrit la dernière tentative de négociation au Qatar comme une « perte de temps ».

Au cours de ces derniers mois, le programme nucléaire iranien a accéléré. Selon l’Agence internationale de l’énergie atomique, l’Iran aurait accumulé 43 kg d’uranium hautement enrichi. C’est plus que suffisant pour produire au moins une bombe nucléaire. En juin, le pays des mollahs a éteint plusieurs caméras de sites nucléaires. Et il y a seulement quelques jours, l’Iran a commencé à enrichir de l’uranium dans l’usine souterraine de Fordo, alors qu’il avait promis qu’elle ne serait utilisée qu’à des fins civiles.

Il semblait naturel d’essayer de relancer l’accord que le président Trump avait unilatéralement et imprudemment déchiré. Sans succès, l’Europe doit maintenant envisager des alternatives. Si l’on s’accroche par dogmatisme à l’idée que poursuivre des négociations conduira d’une manière ou d’une autre au succès, nous courons droit vers une situation faisant écho à celle de la Russie, dans laquelle une puissance profite du temps diplomatique pour préparer ou intensifier ses agressions.

En effet, il ne fait aucun doute que, sous la nouvelle présidence de l’ultraconservateur Ebrahim Raïssi, l’Iran s’est radicalisé. Sur place, des milliers de personnes ont été emprisonnées et torturées pour opposition au régime, pendant qu’une centaine de personnes se trouve dans le couloir de la mort pour des crimes tels qu’« insulte au Prophète ». Selon Amnesty International, les femmes continuent d’être confrontées à une « discrimination enracinée » dans la loi et en pratique. Des minorités religieuses, telles que les Bahais, sont brutalement réprimées.

Depuis que Raïssi est au pouvoir, le rapporteur spécial du Conseil des droits de l’homme des Nations unies sur l’Iran s’est vu refuser l’entrée dans le pays. Et alors que des proches du pouvoir utilisent librement Twitter, le gouvernement a fait de l’accès aux réseaux sociaux occidentaux un crime pour les Iraniens.

L’Iran reste une source majeure d’instabilité au Moyen-Orient. En essayant d’étendre sa zone d’influence, le gouvernement a parrainé des milices comme le Hezbollah libanais et les houthis au Yémen, qui ont conduit ces dernières années des opérations « hors zone » ciblant des civils en Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis.

« Accord EELV – insoumis: une escroquerie »

 « Accord EELV – insoumis: une escroquerie »

Les trois anciens députés européens élus sous la bannière Europe Ecologie en 2009 Jean-Paul Besset,  José Bové, Daniel Cohn-Bendit dénoncent, dans une tribune au « Monde », un pacte qu’ils accusent de trahir les valeurs fondatrices du parti Europe Ecologie-Les Verts et de sacrifier le principe démocratique au nom « d’obscures tractations électorales ».

 

N’avez-vous pas honte, camarades d’Europe Ecologie-Les Verts ? Passer un pacte avec les souverainistes de La France insoumise, ouvrant la voie du renoncement à d’autres mouvements de pensée qui ont construit le progrès humain à travers les âges, revient, à nos yeux, à sacrifier l’essentiel : le principe démocratique ; son universalité et son intangibilité. Cette violence politiquement majeure que vous commettez contre le joyau du patrimoine humain conduit à abandonner le meilleur de ce qui nous fait et, malgré les différences, nous tient ensemble, écologistes, sociaux-démocrates, démocrates-chrétiens, libéraux et républicains. Cruelle nuit de 1er mai 2022 qui restera dans les annales, tête-à-queue tragique, où vous avez consacré une infamie sans nom, à rebours du seul horizon viable et désirable de l’humanité : la liberté.

« Historique », dites-vous. Effectivement ! Sous couvert d’un pseudo-« non-alignement », renvoyant dos à dos agresseur et agressés dans le conflit ukrainien, vous avez signé un « accord » avec ceux qui cultivent à dessein l’ambiguïté à l’égard des valeurs démocratiques. Vous vous asseyez à la droite du père Ubu du Kremlin et de ses complices. Vous le faites au moment où le pire se déroule sous vos yeux, étalage cynique de sang, de morts, de massacres, de viols, de destructions, de souffrances.

En évitant soigneusement d’évoquer l’Ukraine, devenue aujourd’hui la patrie des libertés et la dépositaire meurtrie de notre avenir à tous, en mettant volontairement sous le tapis un principe de base de la civilisation, vous consentez un silence assourdissant aux adversaires de la démocratie et de la liberté, autrement dit vous cédez aux ennemis des peuples et du bien commun. C’est une escroquerie.

Savez-vous que c’est une histoire collective que vous immolez ainsi, en même temps qu’une espérance ? Qui vous a donné le droit de disposer de nos consciences, au nom d’obscures tractations électorales ?

L’Europe est la victime collatérale de votre accord avec La France insoumise. Pour justifier votre posture de néoconvertis à l’insoumission, vous accumulez contrevérités et mensonges sur l’Union européenne. On connaissait les pudeurs de gazelle de La France insoumise envers la construction d’une meilleure intégration européenne, on savait sa défiance systémique et son plan B caché de sortir de l’espace commun. Mais, en appelant à la « désobéissance » vis-à-vis des traités, de la mutualisation et de la solidarité, vous engagez la guérilla contre l’Europe au nom du nationalisme. Il est vrai que l’Union européenne est une aventure de paix et de coopération, à l’opposé de la mystique destructrice de Poutine dont vous vous faites, factuellement, le complice.

Accord entre les négociateurs russes et ukrainiens

Accord entre les négociateurs russes et ukrainiens

 

La guerre continue en Ukraine puisque les négociateurs ukrainiens considèrent que les Russes sont d’accord sur leurs propositions. En réalité toutes les revendications de départ de Poutine seraient acceptées maintenant par l’Ukraine. Le seul problème–c’est de savoir ce qu’il y a réellement dans la tête de Poutine. En fait,  les propositions de départ pourraient bien cacher une volonté d’annexer purement et simplement des territoires et si cela avait été possible d’annexer la totalité de l’Ukraine. La guerre continue aussi pour satisfaire la folie d’un dictateur blessé dans son amour-propre pour avoir raté son opération ukrainienne. Il croyait être accueilli par des cris de joie à Kiev, il est contraint aujourd’hui de partir avec un coup de pied au cul en se repliant à l’est et au sud.

Le négociateur en chef ukrainien dans les pourparlers de paix avec la Russie, David Arakhamia, a confirmé samedi que Moscou avait accepté «oralement» les principales propositions ukrainiennes, ajoutant que Kiev attendait désormais une confirmation écrite.

S’exprimant dans une émission télévisée, David Arakhamia a laissé entendre que les discussions visant à mettre fin aux hostilités avaient considérablement avancé. «La Fédération de Russie a donné une réponse officielle à toutes les positions (ukrainiennes), à savoir qu’elle les accepte, sauf en ce qui concerne la question de la Crimée», annexée par Moscou en 2014, a assuré David Arakhamia.

Le négociateur a également déclaré que si une rencontre entre les présidents ukrainien Volodymyr Zelensky et russe Vladimir Poutine devait finalement avoir lieu, celle-ci se déroulerait «très probablement» en Turquie.

 

Covid: Accord sur les brevets ( OMC)

Covid: Accord sur les brevets ( OMC)

 

Le compromis sur la table à l’OMC permettra aux pays en développement d’avoir accès à tous les brevets couvrant les vaccins anti-Covid sans forcément avoir l’accord des laboratoires détenteurs de ces brevets. Et ce pour une durée temporaire, entre trois et cinq ans. Ce point n’est pas encore tranché. Il reste aussi à finaliser les conditions de rémunération des entreprises pharmaceutiques. Les pays en développement représentent plus de 10 % des exportations de vaccins Covid. C’est le cas en particulier de l’Inde, qui a obtenu une licence pour produire le vaccin d’AstraZeneca.

Aussitôt rendu public, le compromis a suscité une levée de boucliers des grands laboratoires via la Fédération européenne des industries pharmaceutiques (Efpia).

Moscou s’oppose à un accord sur le nucléaire iranien

Moscou s’oppose à un accord sur le nucléaire iranien

Alors qu’un accord se dessinait enfin sur le nucléaire iranien, la Russie bloque le processus. Car elle exige désormais une garantie très spéciale, loin des conditions premières : l’obtention de larges exemptions sur les représailles imposées par les Occidentaux à son égard, afin que ces mesures de rétorsion n’affectent pas sa coopération économique avec l’Iran.

 Des revendications jugées « hors sujet » par le chef de la diplomatie américaine, Anthony Blinken, et considérées comme « inacceptables » par les négociateurs européens (France, Allemagne, Royaume-Uni, dits E3), qui ont stoppé net les discussions.

Poutine, qui compte bien perturber le processus notamment pour éviter que l’Iran reprenne ses exportations de pétrole.

Nucléaire Iran: Proche d’un accord ?

Nucléaire  Iran: Proche d’un accord ?

Rafael Grossi de l’ AIEA doit s’entretenir samedi avec les responsables iraniens pour sauver l’accord de 2015. 

Les prochains jours sont perçus par les Occidentaux comme décisifs car ceux-ci estiment qu’au rythme auquel l’Iran engrange les avancées nucléaires, l’accord sera bientôt caduc. La France a estimé «urgent» de «conclure cette semaine». Des observateurs pensent que les Occidentaux pourraient quitter la table des négociations si un compromis n’est pas conclu ce week-end.

Parallèlement aux négociations à Vienne, l’Iran a continué à accumuler des stocks d’uranium enrichi. Selon un rapport de l’AIEA consulté jeudi par l’AFP, ils dépassent désormais de plus de 15 fois la limite autorisée par l’accord de 2015. L’Iran a dépassé début 2021 le taux d’enrichissement de 3,67% fixé par l’accord, montant d’abord à 20%. Puis il a franchi le seuil inédit de 60%, se rapprochant des 90% nécessaires à la confection d’une bombe. Ce rapport sera examiné lors du Conseil des gouverneurs de l’AIEA la semaine prochaine.

Un accord international contre les pandémies ?

Un accord international contre les pandémies ?

L’union européenne propose un traité international pour aborder de manière efficace et égalitaire les pandémies. 

Des négociateurs internationaux se réuniront mercredi 9 février pour la premières fois afin d’entamer les discussions sur un éventuel traité Le but de ces négociations est de trouver un accord préliminaire d’ici le mois d’août.

. Bruxelles a toutefois eu du mal à obtenir tous les soutiens nécessaires à un nouveau traité auprès des Etats-Unis et d’autres grandes puissances, certains pays désirant que cet accord soit non contraignant. Un porte-parole de Charles Michel, le président du Conseil européen, qui a proposé en novembre 2020 un nouveau traité relatif aux pandémies, a déclaré qu’il n’avait pas de nouveau commentaire à faire sur la question.

Malgré l’absence de consensus sur la manière dont le virus a émergé, l’hypothèse la plus largement répandue concernant les origines de la Covid-19 est que le virus a infecté l’homme naturellement, probablement par le biais du commerce d’animaux sauvages. Ainsi, l’une des mesures que l’UE souhaite instaurer concerne la fermeture progressive des marchés où le commerce d’animaux sauvages est pratiqué, a indiqué le responsable européen.

La nécessité de prévoir des mesures incitant les pays à signaler les nouveaux virus, afin de faciliter leur détection et de limiter les dissimulations, est également jugée comme cruciale. Plusieurs pays d’Afrique australe ont vu leurs liaisons aériennes avec plusieurs pays à travers le monde suspendues après la découverte du variant Omicron, ce qui fait craindre que certaines nations ne signalent pas les nouvelles épidémies rapidement si les mesures incitatives ne sont pas assez attrayantes.

 

Vaccination des enfants : il faut un accord des deux parents !

Vaccination des enfants : il faut un accord des deux parents !

 

Nouvelle conséquence du wokisme ou incohérence totale puisqu’il faut désormais l’accord des deux parents permette la vaccination des enfants de cinq à 11 ans contre le covid. Mais de 12 à 15 ans, la signature d’un seul parent suffira et même rien du tout a 16 ans et plus. Pourquoi pas aussi la signature des grands-parents ? Des couples pacsés ou du conseil de famille. Tout cela sans doute pour donner l’impression que les mesures ne sont pas liberticides alors que la problématique dépasse les intérêts et avis individuels des parents et des intéressés.

L’accord des deux parents, et non plus d’un seul, va désormais être nécessaire pour vacciner les enfants de 5 à 11 ans contre le Covid-19, a indiqué jeudi le ministère de la Santé. «Désormais (…) il faut l’accord des deux parents pour vacciner les enfants», a indiqué un représentant du ministère lors d’un point avec la presse. Le ministère a par la suite précisé à l’AFP que seuls les enfants de 5 à 11 ans étaient concernés. Pour les enfants de 12 à 15 ans, l’accord d’un seul parent continue à suffire. Enfin, les adolescents de 16 ans et plus peuvent se faire vacciner sans accord parental.

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