Archive pour le Tag 'scandaleuse'

Prix de l’énergie : La scandaleuse décision du Conseil d’Etat

Prix de l’énergie : La scandaleuse décision du Conseil d’Etat

On sait que le gouvernement français est largement responsable de la crise de l’énergie actuelle pour avoir organisé la pagaille de la distribution et délaissé pendant des années la filière nucléaire. Pire, pour accroître encore la pagaille, EDF a été contraint de consentir à prix réduit la vente d’électricité nucléaire à de pseudos énergéticiens qui se sont gavés. Et pour en rajouter encore le 11 mars 2022 une quinzaine de jours après le déclenchement de la guerre en Ukraine, le gouvernement décidait, par décret et via plusieurs arrêtés, d’augmenter le volume d’électricité devant être cédé en 2022 par EDF à prix réduit.

Ces pseudos énergéticiens sont de véritables parasites car ils ne produisent rien, ne transportent rien et utilisent les infrastructures d’EDF comme les compteurs. Bref, ils n’ont pas aucune valeur ajoutée. Ce qui n’a pas empêché le gouvernement d’autoriser et de renforcer encore le pillage d’EDF par ces parasites.

Un choix politique que l’énergéticien et des organisations de salariés et d’actionnaires minoritaires ont demandé au Conseil d’Etat d’annuler. Après s’être prononcé en urgence en mai 2022 via un référé, le juge administratif suprême vient de communiquer sur la conformité au droit national et au droit de l’Union européenne. Aussi le Conseil d’Etat juge-t-il la décision gouvernementale de «
Et pourtant le conseil d’État a osé prétendre que cette vente supplémentaire d’électricité nucléaire à bas prix à ces parasites ne constitue pas une « aide d’Etat » Et a donc donné tort à EDF.

Dans une déclaration transmise à la presse ce 5 février, EDF déclare « prendre acte de la décision du Conseil d’État ».

« La procédure indemnitaire engagée par EDF devant le Tribunal administratif de Paris pour obtenir la réparation intégrale par l’Etat des préjudices subis par EDF du fait du dispositif se poursuit », conclut l’énergéticien.

SNCF: Une grève scandaleuse mais aussi suicidaire pour le service public

SNCF: Une grève  scandaleuse mais aussi suicidaire pour le service public

Une grève doublement condamnable d’une part par son caractère scandaleux puisqu’elle empêche les Français de se déplacer pendant une période de pandémie particulièrement contraignante. Une grève également suicidaire car elle sera comme d’habitude suivie de façon très inégale mais va porter un nouveau coup fatal à l’image d’une entreprise déjà dans un état pitoyable.Certes piteusement les syndicats gauchistes ont retiré leur avis de grève mais le mal est fait. En effet la SNCF ne peut plus modifier son plan de transport est il manquera des trains sur la région Sud-Est, la liaison la plus fréquentée en cette période de fin d’année. Un vrai gâchis économique, social et sociétal

Lors d’une conférence improvisée le 15 décembre à la Gare de Lyon, Christophe Fanichet, PDG de SNCF Voyageurs, et Alain Krakovitch, directeur de Voyages SNCF, ont donc annoncé un  chiffre d’un TGV sur deux sur l’axe Sud-Est vendredi. Cela devrait concerner un peu moins de 100 000 passagers le vendredi sur les 300 000 attendus sur trois jours sur cet axe. Sur l’ensemble du réseau grandes lignes (TGV Inoui, Ouigo et Intercités), la SNCF prévoit un trafic d’un million de voyageurs pour ce premier week-end de grands départs.

Christophe Fanichet n’a pas hésité à qualifier ce mouvement de « véritablement scandaleux.

La lutte syndicale n’est pas seulement sur le plan social mais aussi politique car il s’agit pour le syndicat gauchiste » sud »de prendre le leadership de la gestion des conflits à la SNCF. Du coup les syndicats se marquent à la culotte et jouent la surenchère en matière de radicalité. Bilan, une nouvelle attaque destructrice pour l’avenir de l’entreprise et pour l’avenir des cheminots eux-mêmes. De quoi évidemment encourager les pouvoirs publics à liquider ce réservoir de corporatistes pseudo révolutionnaires  insensibles à toute réalité économique et a tout intérêt général.

Une Grève SNCF scandaleuse mais aussi suicidaire

Une Grève SNCF scandaleuse mais aussi suicidaire

une grève doublement condamnable d’une part par son caractère scandaleux puisqu’elle empêche les Français de se déplacer pendant une période de pandémie particulièrement contraignante. Une grève également suicidaire car elle sera comme d’habitude suivie de façon très inégale mais va porter un nouveau coup fatal à l’image d’une entreprise déjà dans un état pitoyable.

Lors d’une conférence improvisée le 15 décembre à la Gare de Lyon, Christophe Fanichet, PDG de SNCF Voyageurs, et Alain Krakovitch, directeur de Voyages SNCF, ont donc annoncé un  chiffre d’un TGV sur deux sur l’axe Sud-Est vendredi. Cela devrait concerner un peu moins de 100 000 passagers le vendredi sur les 300 000 attendus sur trois jours sur cet axe. Sur l’ensemble du réseau grandes lignes (TGV Inoui, Ouigo et Intercités), la SNCF prévoit un trafic d’un million de voyageurs pour ce premier week-end de grands départs.

Christophe Fanichet n’a pas hésité à qualifier ce mouvement de « véritablement scandaleux.

La lutte syndicale n’est pas seulement sur le plan social mais aussi politique car il s’agit pour le syndicat gauchiste » sud »de prendre le leadership de la gestion des conflits à la SNCF. Du coup les syndicats se marquent à la culotte et jouent la surenchère en matière de radicalité. Bilan, une nouvelle attaque destructrice pour l’avenir de l’entreprise et pour l’avenir des cheminots eux-mêmes. De quoi évidemment encourager les pouvoirs publics à liquider ce réservoir de corporatistes pseudo révolutionnaires  insensibles à toute réalité économique et a tout intérêt général.

Droits Télé foot : une offre d’Amazon « intéressante » mais scandaleuse

Droits Télé foot : une offre d’Amazon « intéressante » mais scandaleuse

Il faut vraiment que le football français soit tombé bien bas comme ses dirigeants pour trouver que l’offre d’Amazon est intéressante pour la reprise de diffusion des droits télés. On se demande bien ce que vient faire Amazon dans ce secteur d’activité sinon pour le dévorer comme il a fait d’autres secteurs. Et comme d’habitude Aulas le polémique président de l’OL trouve des vertus à l’appropriation du foot par les Américains.

« Je n’ai pas le droit de parler, mais la situation est intéressante, a estimé le président de l’OL Jean-Michel Aulas à sa sortie du siège de la LFP à Paris. Ça veut dire positive. (Des diffuseurs pourraient répondre à votre attente ?) Bien sûr. »

« On se donne 48h pour trouver la meilleure stratégie, explique un participant à la procédure à la LFP. L’offre d’Amazon est vraiment intéressante via leur plateforme Prime Vidéo. C’est la bonne surprise de la soirée. »

« Les offres étaient inférieures au prix de réserve donc fin de match », a pour sa part lâché le coprésident de l’UNFP Philippe Piat. Un nouvel appel d’offres n’aura pas lieu. « Ça va être probablement du gré à gré », a indiqué Philippe Piat. La suite à donner à ce dossier sera connue d’ici mercredi. « Il y a toujours de l’espoir », a conclu Jean-Pierre Caillot, président du Collège de Ligue 1 à la LFP.

La scandaleuse exploitation des données

La scandaleuse exploitation des données

Professeure émérite à la Harvard Business School, l’Américaine a théorisé le concept et les dérives du «capitalisme de surveillance», pratiqué par Google, Facebook et depuis peu Amazon, dans un ouvrage qui paraît ce jeudi en France.

. - L’Âge du capitalisme de surveillance est sorti aux États-Unis en janvier 2019. Pensez-vous que votre message d’alerte a été entendu?

Shoshana ZUBOFF. - Lorsque mon ouvrage est sorti aux États-Unis, mon éditeur avait prévu une tournée promotionnelle de trois semaines. Au final, j’ai voyagé quatorze mois. L’intérêt pour le livre n’a pas baissé avec le temps, bien au contraire. Fin 2019, je remplissais des salles de mille personnes, plusieurs fois par semaine. À chaque rencontre, je demandais au public de noter en un mot pourquoi ils étaient venus. Les réponses ont toujours été les mêmes: anxiété, confusion, colère, méfiance, résistance, prise de conscience, peur, liberté, démocratie. Ce sont des mots de mobilisation d’une avant-garde de citoyens. Certains pensaient que le mouvement critique envers la tech s’éteindrait avec la pandémie, au vu des services que Facebook, Zoom, Amazon ou Google nous ont apportés. Je pense tout le contraire. Le confinement a mis crûment en lumière

Une urgence : développer des GAFA européens

Trois spécialistes du numérique plaident pour une stricte mise sous contrôle de ces plateformes et pour le développement de concurrents européens.

Jean-Marie Cavada est Président de l’institute for Digital Fundamental Rights.

Léonidas Kalogeropoulos est Délégué Général de l’Open Internet Project (OIP).

Benjamin Jayet est Président de GibMedia et membre de l’OIP, association européenne créée en 2014 pour combattre les abus de position dominante sur le marché numérique européen.


Depuis le début de la crise sanitaire, les pouvoirs publics ont perçu l’ampleur de notre vulnérabilité au regard des enjeux de souveraineté numérique. Confronté à la nécessité d’utiliser des plateformes collaboratives numériques pour les échanges confidentiels, le gouvernement a pris conscience des risques liés à l’utilisation des outils les plus populaires appartenant aux GAFA, dont les services sont pour la plupart hébergés aux États-Unis. Des solutions alternatives souveraines ont ainsi été choisies en urgence, et la prudence a conduit le gouvernement à décliner l’offre de Google et Apple pour le choix de l’application «StopCovid», préférant développer une solution souveraine.

Ce sursaut de patriotisme économique, rapide et salutaire, témoigne de la prise de conscience de notre dépendance technologique en utilisant des services développés par les GAFA, qui nous tracent et stockent nos données dans des serveurs soumis au Patriot Act. Cette dépendance ouvre surtout la voie à des abus de position dominante fragilisant des pans entiers de notre économie. Devenues des plateformes structurantes pour de très nombreux marchés, les GAFA sont en mesure de contourner les règles qui permettent d’assurer une concurrence loyale non seulement en France, en Europe, et partout dans le monde, y compris outre-Atlantique, où la Justice américaine a annoncé l’ouverture d’un procès contre Google pour ses pratiques anticoncurrentielles dans la publicité.

Google a additionné 1,5 milliard d’euros d’amende pour pratique abusive en matière de publicité en ligne.

Pourtant, à l’évidence, les enquêtes et les sanctions des autorités concurrentielles nationales ou européennes sont devenues un simple paramètre dans le business model de ces géants du numérique. Le cas de Google est édifiant. Il additionne 2,3 milliards d’euros d’amende dans le dossier «Shopping» infligé par la Commission européenne, 4,3 milliards d’euros dans le dossier Android, ou encore 1,5 milliard d’euros pour pratiques abusives en matière de publicité en ligne. En France, il faut rajouter 50 millions d’euros d’amende prononcée par la CNIL pour manquement aux règles des cookies, 150 millions d’euros infligés par l’Autorité de la concurrence dans le dossier GibMedia et, tout récemment, la décision de prononcer des mesures conservatoires pour forcer Google à négocier avec les éditeurs et agences de presse la rémunération qui leur est due au titre du respect des droits voisins, parce que Google refusait d’appliquer la loi! Généralement renvoyées en appel, ces décisions ne permettent pas encore, dans de nombreux cas, de réparer les dommages subis par les entreprises victimes, et par l’économie en général. Par exemple, 10 ans après l’ouverture par la Commission du dossier «Shopping» sur les comparateurs de prix en ligne, le marché reste toujours soumis aux abus de position dominante de Google.

Cet acteur, «délinquant» au regard du droit économique de la concurrence, est un multirécidiviste. Ses turpitudes ne s’arrêtent jamais, comme le démontre l’initiative prise par Google de rendre son serveur publicitaire gratuit durant la crise du Covid-19, véritable opération de dumping à grande échelle qui va lui permettre d’étendre encore son emprise sur les médias. Qu’importe les poursuites… Google a intégré dans son modèle économique l’opportunité de s’exposer à des procédures judiciaires interminables et à des amendes vertigineuses, parce que leur l’impact est marginal au regard du chiffre d’affaires réalisé et des positions économiques avantageuses conquises par ces pratiques déloyales.

Face au géant Google, tous les autres acteurs sont démunis et redoutent de se voir refuser l’utilisation de ses services s’ils ne se plient pas à ses règles.

Par ses agissements, Google est devenue une menace pour la libre-concurrence et pour la capacité à faire émerger un écosystème numérique souverain. Des appels au démantèlement se multiplient outre-Atlantique, afin de transformer Google en une plate-forme d’utilité publique qui n’aurait pas le droit de détenir des participations dans les sociétés utilisant ses services. Alors que le géant américain a racheté plus de 200 start-ups et concurrents depuis 2010, le débat se porte également sur la création d’organismes anti-trust dédiés pour surveiller toutes ces fusions.

En France, nous ne saurions attendre les décisions venues d’outre-Atlantique pour protéger les acteurs de la French Tech qui souffrent de ces abus à répétition. Face à ce géant, tous les autres acteurs semblent démunis et redoutent de se voir refuser l’utilisation de ses services s’ils ne se plient pas à ses règles.

La crise sanitaire conduit à une prise de conscience: dans le monde numérique, nous sommes totalement dépendants ; nous serons vassalisés, colonisés, par des groupes ultra-puissants qui se dressent face aux États et qui prendront possession des données, des contenus, des innovations, de pans entiers de notre économie, si nous restons désunis, désarmés, et que nous ne structurons pas notre propre industrie numérique.

Les plate-forme opérant sur notre territoire ne doivent plus être autorisées à racheter nos entreprises.

Pour y parvenir, il est indispensable que ces plate-forme structurantes et géantes trouvent en face d’elles des autorités de régulation aux pouvoirs spécifiques et adaptés à ces défis.

Pour la France, sans attendre, il est urgent de mettre sur pied une autorité publique indépendante (API), dotée d’une personnalité juridique et administrative propre, capable d’ester directement en justice. Les plate-forme opérant sur notre territoire ne doivent plus être autorisées à racheter nos entreprises, à modifier unilatéralement leurs conditions générales d’utilisation, leurs algorithmes ou leurs pratiques commerciales sans accord et donc le contrôle préalable de cette agence de régulation numérique.

La France peut avoir un rôle précurseur avant qu’une telle agence indépendante se mette en place au plus vite à l’échelle européenne.

L’Union doit bâtir d’urgence sa «troisième voie européenne», dont le but est au moins triple: développer des industries numériques continentales, faire cesser la loi du plus fort au profit d’une saine concurrence, et protéger contenus et investissements au profit de l’Europe d’abord.

Vivendi : augmentation scandaleuse de 20% des dividendes

Vivendi :  augmentation scandaleuse de  20% des dividendes

 

Comme d’habitude Bolloré et Vivendi adoptent une attitude particulièrement irresponsable et peu respectueuse des intérêts nationaux. On sait que le gouvernement a recommandé aux grandes entreprises de ne pas distribuer de dividendes cette année afin de ne pas choquer l’opinion publique en prise aujourd’hui avec une grave crise sanitaire et demain une terrible crise économique. Mais Bolloré préfère satisfaire les intérêts de ses actionnaires en les gavant de retours financiers en décalage aussi bien avec l’activité qu’avec le résultat. Bref la fuite en avant habituel du capitalisme français qui distribue les plus forts dividendes au monde pour mieux dissimuler sans doute sa fragilité structurelle. Vivendi n’est pas à l’abri d’un vent mauvais qui va affecter la bourse surtout dans un secteur aussi superficiel que les médias ( medias, musique, vidéos  etc.). . Une écrasante majorité des actionnaires de Vivendi a évidemment approuvé lundi l’augmentation de 20% du montant du dividende pour l’année 2019, en dépit des appels à la modération lancés par le gouvernement français en pleine crise du COVID-19.

Les grandes entreprises françaises cotées ont majoritairement décidé de supprimer ou de réduire leurs dividendes, ou encore d’entamer une réflexion sur le sujet dans le contexte actuel qui a conduit le gouvernement à élaborer des plans de soutien pour éviter des licenciements trop massifs. Parmi les groupes du CAC 40, Carrefour, LVMH et Orange ont ainsi décidé de réduire leurs dividendes, tandis que Safran ou Airbus l’ont purement et simplement supprimé.

Le groupe dirigé par Vincent Bolloré a annoncé lundi matin que son chiffre d’affaires avait augmenté de 4,4% à 3,87 milliards d’euros. Son titre a fini en hausse de 4,02% à la Bourse de Paris.

Rapport métiers grand âge: la situation scandaleuse des auxiliaires de vie

Rapport métiers grand âge: la situation scandaleuse des auxiliaires de vie

 

Le rapport El Khomri remis à la ministre de la santé ce focalise surtout sur la mesure phare des aide-soignants. Le rapport propose d’ailleurs la suppression du concours d’aides-soignants pour l’intégrer dans parcours-sup ou des acquisitions par VAE. La plupart des grands médias ont repris cette information. Une mesure toutefois partielle car ce dont souffre surtout le secteur c’est la situation sociale scandaleuse des assistantes de vie notamment qui interviennent  à domicile. Ces ‘auxiliaires pour beaucoup rémunérés en dessous du SMIC, pire qui  n’effectue souvent que les temps partiels. En outre , leur temps d’attente et leur temps de transport sont rarement pris en considération. 17% des intervenants à domicile vivent aujourd’hui en dessous du seuil de pauvreté, contre 6% pour la population française en général. D’après le rapport, 220 millions d’euros seraient nécessaire pour hisser l’ensemble des aide-soignants au niveau du Smic. Dans les établissements aussi on manque d’auxiliaires de vie (ADVF ou équivalent), d’aide-soignants et d’infirmières. Dans 70 % des cas le travail d’infirmière est aussi effectué par des aides-soignants ( ce qui est interdit). La crise aidant, on a raccourci le temps consacré d’intervention des auxiliaires aussi bien dans des établissements qu’à domicile. En plus d’être mal rémunérés, les assistantes de vie connaissent des conditions de travail de plus en plus insupportables chez des personnes de plus en plus dépendantes . Pas étonnant qu’on rencontre des difficultés pour recruter des personnels surtout pour l’assistance à domicile . Pour toute réponse la ministre de la santé a proposé pour l’instant

l’idée d’organiser une conférence rassemblant tous les partenaires sociaux et toutes les fédérations ou associations gestionnaires, tous secteurs confondus.

 

extraits du rapports El Khomri

 

Principaux constats

 

 De forts besoins en recrutement dans les métiers du grand âge • Les personnes en perte d’autonomie (au sens des bénéficiaires de l’APA) passeront de 1,387 million en 2020 à 1,479 million en 2025. • Pour répondre au vieillissement démographique et améliorer les conditions de prise en charge de ces personnes, près de 93 000 postes supplémentaires devront être créés dans les 5 prochaines années (2020-2024). • Pour pourvoir les postes vacants, 260 000 professionnels devront être formés sur la même période • Les métiers du grand âge sont des métiers d’avenir, porteurs de sens, pour lesquels des perspectives d’évolution doivent être renforcées dans les EHPAD et créées pour le domicile. Des métiers du grand âge peu attractif et à revaloriser • Or, les professions d’aide-soignant et accompagnant éducatif et social qui sont les deux grands métiers du grand âge sont des métiers dont l’attractivité est aujourd’hui très dégradée. La baisse de 25% en six ans des candidatures aux concours d’accès à ces deux métiers est très révélatrice à cet égard. • En effet, ces métiers peuvent être mal rémunérés, en particulier au domicile, avec un démarrage au SMIC, voire en-dessous, des progressions salariales et de façon générale des perspectives d’évolution qui sont très faibles. En conséquence, un taux de pauvreté élevé parmi ces métiers, par exemple 17,5% de ménages pauvres parmi les intervenants à domicile contre 6,5% en moyenne pour l’ensemble des salariés. • De plus, les conditions d’exercice de ces métiers sont très difficiles notamment par manque d’effectif. Les postures, les rythmes de travail sont marqués par une forte pénibilité et se traduisent par un nombre d’accidents du travail et de maladies professionnelles (« sinistralité ») trois fois supérieur à la moyenne nationale. • Enfin, ces métiers sont mal connus et peu considérés, en particulier parmi les jeunes générations. Du reste, cette dévalorisation est le reflet du regard contemporain porté sur nos aînés et, de manière générale, sur les plus fragiles dans notre société. Des efforts indéniables des autorités publiques pour restaurer l’attractivité de ces métiers mais aux effets insuffisants • Les pouvoirs publics (Etat, conseils départementaux et régionaux) ont déployé d’indéniables efforts pour tenter de restaurer l’attractivité des métiers du grand âge, en agissant sur deux composantes majeurs que sont les formations et la qualité de vie au travail, grâce à la mise en place de réformes, à la mobilisation de financements et à un soutien résolu aux démarches d’innovations technologiques et organisationnelles. • Toutefois, ces efforts ont eu des effets limités, en raison de leur caractère dispersé et de l’incomplétude de certaines mesures. Ainsi la réforme générale de l’apprentissage, destinée à libérer l’offre, n’a-t-elle eu qu’un effet limité sur les formations d’aides-soignants et 12 d’accompagnants éducatifs spécialisés qui sont par ailleurs soumises à des formes de quotas (limitations de capacité imposées dans les agréments et autorisations des structures de formation). • Par ailleurs, les organisations professionnelles des métiers du grand âge restent extrêmement cloisonnées et foisonnantes (conventions collectives, opérateurs de compétences). Dans le secteur privé, les métiers du grand âge relèvent par exemple toujours de 7 conventions collectives à l’heure actuelle.

 

 

 

Affaire Tapie : l’ancien directeur du trésor dénonce la décision scandaleuse de Lagarde

Affaire Tapie : l’ancien directeur du trésor dénonce la décision scandaleuse de  Lagarde

 

 

Plus le procès avance Christine Lagarde s’enfonce. L’ancien directeur du trésor, Bruno Bézard, a clairement mis en cause la responsabilité directe de Christine Lagarde. Christine complice de la volonté de l’Élysée, de Matignon et du gouvernement de faire un cadeau à Tapie pour le  soutien qu’il avait apporté à Sarkozy. Pour sa défense, Christine Lagarde renvoie la responsabilité à son directeur de cabinet, Stéphane Richard,  qui lui aurait dissimulé les éléments du dossier. Stéphane Richard, aujourd’hui PDG d’Orange, et qui a refusé  de témoigner au  procès. ! Une affaire qui souligne  les liens entre le milieu politique et le milieu financier. Si la responsabilité de Christine Lagarde est indiscutable c’est en raison aussi de son incompétence.  Faut-il rappeler qu’elle a été nommée  par hasard par Sarkozy de ministre des finances pour remplacer Juppé  qui a démissionné. Avocate d’affaires, elle  n’a aucune compétence  .  La seule qualité de cette avocate d’affaires qui ne connait rien à l’économie et n’a pas la moindre formation  c’est celle de parler parfaitement l’anglais. De quoi éblouir la classe  politique qui pratique la langue de Shakespeare comme jadis Yasser Arafat.  .  L’ex-directeur de l’Agence des participations de l’Etat (APE), dont l’hostilité à l’arbitrage Tapie est au coeur des accusations qui pèsent contre Christine Lagarde, s’est dit « choqué » mercredi de la rapidité avec laquelle la décision de ne pas engager de recours contre la sentence a été prise. L’ancien haut fonctionnaire, désormais associé dans un fonds d’investissement après avoir été directeur du Trésor, n’a pas mâché ses mots contre un arbitrage jugé « extrêmement dangereux », et pour lequel ses services ont « essayé de limiter les dégâts ». Il était cité comme témoin au procès pour négligences de la directrice générale du Fonds monétaire international. Celle qui était ministre des Finances à l’époque des faits est accusée d’avoir pris une décision « malvenue » allant à l’encontre « de l’avis répété » de l’APE et d’avoir renoncé de manière « précipitée » à exercer un recours contre la sentence. A l’APE, « nous étions absolument convaincus (…) que cet arbitrage était fondamentalement contraire aux intérêts de l’Etat », a déclaré Bruno Bézard à la barre. « Ne pas engager de recours était une erreur », a-t-il ajouté, se disant « plus choqué par la rapidité de renonciation au recours que par la rapidité de décision » d’entrer en arbitrage. « Devant une décision aussi scandaleuse (elle a accordé 403 millions d’euros à l’homme d’affaires avec les intérêts, NDLR), même si nous avions une chance sur 1.000 de gagner, il n’y avait que des avantages, et aucun inconvénient » à tenter le recours. Christine Lagarde dit s’être reposée sur son directeur de cabinet, Stéphane Richard, pour la décision d’entrer en arbitrage, mais avoir personnellement étudié de près la question du recours. Quand, le 28 juillet 2008, elle décide de ne pas s’y opposer, c’est pour faire « cesser l’hémorragie des honoraires » et « mettre un terme » à un contentieux vieux de 15 ans entre Bernard Tapie et le Crédit Lyonnais sur la revente d’Adidas, a-t-elle assuré mardi. Les frais d’avocats s’élevaient, pour la seule année 2005, à 32 millions d’euros pour le Consortium de réalisation (CDR), organisme chargé de liquider les actifs de l’ancienne banque publique, a-t-elle précisé. Mais cet argument a été mis à mal mercredi par Bruno Bézard. Le dossier Tapie n’était pas le seul, ni le plus onéreux, à générer des frais d’avocats pour le CDR, a-t-il souligné, estimant entre 1,2 et 2,3 millions d’euros les frais annuels pour ce seul dossier. Interrogé sur la raison pour laquelle il n’a pas, face à une décision lui semblant si contraire aux intérêts de l’Etat, essayé d’obtenir un rendez-vous auprès de la ministre des Finances, il a répondu : « je pense que ça n’aurait servi à rien puisque la décision d’aller à l’arbitrage était prise ou allait être prise. » « Une bonne partie de l’appareil d’Etat allait dans ce sens », a-t-il ajouté, évoquant « les membres de gouvernement, Matignon et la présidence de la République ». Nicolas Sarkozy était alors président, et François Fillon, son Premier ministre. La directrice générale du FMI, qui dit avoir toujours « travaillé en confiance avec ses équipes » et n’avoir reçu « aucune instruction », n’exclut pas d’avoir été « abusée ». Son ex-directeur de cabinet, désormais PDG d’Orange, soupçonné de lui avoir « dissimulé » des éléments « essentiels » du dossier, a refusé de venir témoigner mercredi à son procès. Tout en assurant ne pas vouloir se « dérober », il a mis en avant, par la voix de son avocat, la « contradiction » entre son statut de témoin devant la CJR et celui de mis en examen dans l’enquête toujours en cours sur l’arbitrage controversé. Mais pour l’avocat de Christine Lagarde, qui a fait remarquer qu’il se prononçait sur le fond du dossier dans une lettre refusée par la Cour mais diffusée dans la presse, son absence signe sa volonté « d’éviter de répondre » aux questions de la CJR. Deux autres personnes mises en examen comme lui pour escroquerie en bande organisée, ont témoigné mercredi. Le rôle de Stéphane Richard dans la gestion de l’arbitrage a été au coeur des débats mercredi, malgré son absence. « La façon dont le directeur de cabinet présentait le dossier semblait indiquer une volonté d’aboutir quoi qu’il arrive à un arbitrage dans le cadre d’une compréhension assez poussée des intérêts de Monsieur Tapie », a ainsi déclaré Bruno Bézard, disant avoir perçu des « promiscuités curieuses » dans cette affaire, dès 2007. « J’ai le souvenir que mes collaborateurs ont pu rencontrer Monsieur Tapie dans les couloirs du ministère, ce qui était un peu inattendu », a-t-il ajouté. Christine Lagarde a déclaré à plusieurs reprises ne pas avoir eu connaissance de toutes les notes de ses services (notamment de l’APE), ni avoir été au courant de toutes les réunions à ce sujet, y compris à l’Elysée. Son directeur de cabinet, chargé de ce dossier, jouait un rôle de « filtre », a-t-elle confirmé, indiquant qu’il gérait tous les dossiers « micro » quand elle s’occupait des questions « macro ». Un rôle inhabituel, à en croire l’un de ses prédécesseurs aux Finances, Thierry Breton. De son temps, « il n’y avait certainement pas de filtre », a-t-il témoigné à la barre. « Le directeur de cabinet était un chef d’orchestre », a-t-il ajouté, qualifiant le ministre de « patron de l’administration ».

(avec reuters)

Affaire Tapie : CJR, justice d’exception scandaleuse pour les politiques

Affaire Tapie : CJR, justice d’exception scandaleuse pour les politiques

Une justice d’exception spécialement créée est composée pour l’essentiel de politiques pour juger ces mêmes politiques. Une cour de justice de la république que François Hollande avait dénoncée et qu’il avait promis de supprimer,  le droit commun devant s’appliquer aux politiques comme aux autres. Une promesse encore non tenue. La CJR est une instance plus politique que judiciaire ou demeurant très complaisante à l’égard de ce qu’elle juge. Christine Lagarde peut se rassurer au pire elle écopera d’une petite peine avec sursis. Au vu de sa longévité, presque 24 ans, peu de décisions ont été rendues par la CJR, une dizaine. La première affaire dont la CJR a été saisie est celle du sang contaminée, dans laquelle plusieurs ministres étaient impliqués. L’ancien premier ministre Laurent Fabius et les anciens ministres Georgina Dufoix et Edmond Hervé étaient inquiétés pour homicides involontaires et atteintes involontaires à l’intégrité physique. Les deux derniers étaient respectivement ministre des Affaires sociales et secrétaire d’État en charge de la Santé. Seul Edmond Hervé a été reconnu coupable mais bénéficiera d’une dispense de peine en 1999. Plus récemment, en 2010, la Cour avait condamné Charles Pasqua, pour des faits de recel d’abus de biens sociaux remontant à son passage place Beauvau. Il avait écopé d’un an d’emprisonnement avec sursis.

Sapin et la « naïveté » belge face au communautarisme : une condescendance scandaleuse

Sapin et la   »naïveté » belge face au communautarisme : une condescendance scandaleuse

 

Plus gonflé que Sapin tu meurs !  Michel Sapin qui n’a pas hésité à accuser la Belgique de naïveté face aux dangers du communautarisme. Pire, il a défini la politique à suivre pour remédier à ce phénomène. Comme si la France avait réussi quoi que ce soit dans la lutte contre l’intégrisme. Or dans la plupart des villes françaises des banlieues entières se sont communautarisées. Un Communautarisme véritable terreau du radicalisme. Des zones de non-droit abandonnées autant par l’État que par les collectivités locales. Des quartiers où la paix sociale a été achetée contre l’autorisation tacite de mettre en place des économies parallèles reposant sur des trafics en tout genre en particulier sur le trafic de drogue. La Belgique a sans doute des responsabilités mais la France tout autant sinon davantage. Pratiquement aucune grande ville en France n’échappe à ce phénomène de concentration des communautés autorisées, suscitées  et même soutenues  financièrement. Pour Michel sapin exemple type de l’oligarchie  incompétent et  irresponsable, plus c’est gros plus ça passe. Comme la version du chômage qu’il n’a cessé de pronostiquer pendant des années. Il y a sans doute longtemps que Michel sapin n’a pas mis les pieds dans une banlieue sensible. C’est tout le drame de petits bourgeois du parti socialiste coupés depuis longtemps de toutes les réalités économiques, sociales et sociétales. De tels propos scandaleux font évidemment le lit du front national qui se nourrit surtout du déni de réalisme du gouvernement et surfe sur la vague du populisme. Du TS Le ministre français des Finances Michel Sapin a en effet estimé mardi que la classe politique belge avait péché par « naïveté » en laissant se développer un bastion islamiste à Molenbeek, la commune où étaient basés plusieurs membres du commando responsable des attentats de novembre à Paris. « Quand un quartier est en danger de se communautariser, on doit agir », a-t-il dit sur LCI, après que la Belgique a été frappée à son tour par des attentats islamistes qui ont fait au moins 30 morts. Prié de dire si la Belgique n’avait pas été trop tolérante face au développement du communautarisme à Molenbeek, Michel Sapin a répondu : « Je ne sais pas s’il faut dire la Belgique en tant que telle mais je pense qu’il y a eu une volonté ou une absence de volonté de la part de certains responsables politiques, peut-être par envie de bien faire, peut-être par sentiment que, pour permettre une meilleure intégration, il faut laisser des communautés se développer, peut-être aussi une forme de naïveté. » « Mais nous savons, et la France le sait peut-être plus encore que d’autres (…), que ce n’est pas la bonne solution et que lorsqu’un quartier hier, aujourd’hui, est en danger de se communautariser, on doit agir », a-t-il ajouté. Pour le ministre, « on doit agir par une politique de la ville, par une politique d’intégration, par l’école, par la langue, tout ce qui fait qu’on appartient, quelle que soit son origine, quelle que soit sa religion, à la communauté française. » Des propos qui confirment qu’il y a bien longtemps que Michel Sapin n’a pas mis les pieds dans les quartiers sensibles qui concernent la plupart des grandes villes française

Macron approuve la scandaleuse Retraite-chapeau de Varin !

Macron approuve la scandaleuse Retraite-chapeau de Varin !

Macron prend le contrepied des ceux qui ont légitimement critiqué cette retraite scandaleuse de Varin l’ancien patron de PSA ; Un patron récompensé pour sa mauvaise gestion et qui n’avait même pas les 5 ans exigés pour cette retraite de  300 000 euros par an. Le gouvernement «maintient sa confiance dans Philippe Varin», l’ancien patron de PSA Peugeot Citroën, aujourd’hui patron d’Areva,  critiqué pour sa retraite chapeau, a fait savoir tard dans la nuit à l’AFP le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron. ( un communiqué discret la vielle d’un jour de fête !) .«La retraite aujourd’hui touchée par Philippe Varin est bien conforme aux engagements pris par celui-ci en 2014 et aux dispositions votées par l’assemblée générale de PSA la même année», affirme Emmanuel Macron dans une déclaration écrite transmise à l’AFP. L’ancien patron du groupe automobile français avait renoncé fin 2013 à une retraite chapeau de 21 millions d’euros «à laquelle il avait droit avant de bénéficier de ce nouveau régime inférieur de moitié», qui a été «revu et réduit sous l’action du gouvernement», poursuit le ministre de l’Economie. Emmanuel Macron rappelle que, depuis 2012, «les revenus des dirigeants ont été plafonnés» dans les entreprises où l’Etat est majoritaire au capital, et réduits «de l’ordre de 30%» là où il est minoritaire. Le projet de loi pour la croissance et l’activité, porté par le ministre de l’Economie, «met fin aux dérives des retraites chapeaux en conditionnant effectivement l’octroi des retraites à la performance de l’entreprise et en limitant le rythme d’accumulation des droits à 3% par an», ajoute-t-il.

Euros par an.

Scandaleuse révolte des riches et perte des valeurs : le déclin de la France

Scandaleuse révolte des riches et  perte des valeurs ou pourquoi le déclin  de la France  

 

L’exil des riches est révélateur de l’effondrement des valeurs notamment républicaines. L’individualisme et l’égoïsme ont pris le pas sur les valeurs de solidarité et d’attachement au pays ; la valeur désormais se mesure au patrimoine financier ; il n’ya pas de honte chez les exilés fiscaux ;  au contraire, du mépris pour le pays qui leur a permis d’acquérir leur fortune. Ce comportement témoigne de la dérive d’un pays qui a perdu ce qui fait l’essence d’une nation ; c’est le chacun pour soi, l’individualisme, l’égoïsme surtout de la part d’une génération qui n’a pas connu la guerre mais a su récolté les fruits des efforts de redressement à partir des années 50.  Certes la fiscalité française est excessive (57% du PIB de prélèvement obligatoire), insupportable pour l’économie, source de notre perte de compétitivité, de l’écroulement de la croissance et du chômage. La faute à ces politiques qui pour l’essentiel sont des fonctionnaires qui n’ont qu’un rapport approximatif avec les réalités économiques, sociales et même sociétales ; un seul slogan de la plus petite collectivité locale jusqu’au sommet de l’Etat, des impôts, encore des impôts. Ceci étant qui subit le plus dramatiquement cette situation ? Les riches ou les smicards ? Curieuse inversion de la victimisation.  Des smicards qui précisément, outre la fiscalité, subissent la veulerie des grands responsables économiques qui se sont gavés de dividendes. Le smicard paye la fiscalité plein pot, avec la fiscalité locale, avec la TVA au supermarché, avec l’énergie, avec l’alimentation. La totalité de son revenu est soumise à l’impôt et il ne lui reste rien. Une différence de taille avec les riches qui eux se révoltent pour protéger des fortunes indécentes. Quand les élites  (financièrement, ce qui limite le qualificatif) se comportent ainsi et sans vergogne, cela démontre que le pays est en mauvaise santé morale. Aux valeurs traditionnelles qui fondent une nation se sont substitués la seule valeur de l’argent et cela dans des limites inqualifiables. Le pire, c’est qu’on hésite à légiférer pour arrêter cette pantomime de l’exil fiscal alors qu’on ne cesse de produire des lois par milliers aussi inutiles que couteuses.  L a crise est certes économique mais ne n’est que la conséquence d’une crise plus profonde de nature sociétale qui pourrit le pays, ses élites.et  contamine même une partie de la population.

 

Parisot : « scandaleuse » la menace de nationaliser Florange mais pas les licenciements !

Parisot : « scandaleuse » la menace de nationaliser Florange mais pas les licenciements !

Le Medef montre son rai visage par la vois de Parisot qui considère qu’il est scandaleux de nationaliser Florange. D’autant que cette éventuelle nationalisation ne serait que temporaire. La vérité c’est que le Medef prend peur ; le Medef  n’est évidemment pas le représentant du patronat mais des intérêts financiers de groupes internationaux y compris Mittal. En clair puisque que pour l’instant, il ne peut y avoir de repreneur du fat de l’opposition de Mittal, le MEDEF approuve les licenciements de Florange qui eux ne sont pas scandaleux.  La menace brandie par le gouvernement de nationaliser le site sidérurgique d’ArcelorMittal à Florange (Moselle) « est tout simplement et purement scandaleuse », a estimé jeudi la présidente du Medef, Laurence Parisot, sur RTL. « Il faut raison garder », a affirmé Mme Parisot qui a ajouté: « je ne doute pas que le président de la République soit beaucoup plus raisonnable que le ministre (Arnaud) Montebourg » qui a proposé cette nationalisation pour sauver les hauts-fourneaux de Florange dont le géant de l’acier veut se débarrasser.

 

Commission Jospin : une réflexion de vieux fonctionnaires et une composition scandaleuse

Commission Jospin : une  réflexion de  vieux fonctionnaires et une composition scandaleuse

Il fallait s’en douter, la commission Jospin accouche d’une souris au regard des premières propositions ; pas de révolution, non un coup de badigeon plutôt car Jospin, l’énarque psycho rigide n’aime pas se remettre  en cause. Et avec sa bande de vieux fonctionnaires, il n’y a pas grand-chose à attendre. Un petit truc sur le cumul des mandats, un autre sur les conflits d’intérêt, une autre bricole sur les parrainages ou le statut juridique du chef de l’Etat. Sûrement pas une refondation de la démocratie pour remettre eu centre l’acteur économique ou  le citoyen ; l’économie ?  Inconnue pour ces vieux fonctionnaires alors que c’est le problème central de la période, l’économie, l’emploi, les finances, le logement, la dignité humaine. Hors sujet, juste des petits arrangements pour les élus.  Surréaliste cette composition de la commission Jospin, pas un acteur économique, pas un jeune, pas de responsable d’association, de syndicaliste (patron ou salarié), pas un agriculteur, pas un employé, pas un philosophe, pas un psychologue, pas un économiste, pas un maire de petite commune. Des vielles barbes, payées par l’Etat et qui réfléchissent  justement sur la gestion de cet Etat par les élus en majorité fonctionnaires. . La concertation telle que la conçoit le PS entre fonctionnaires. La composition en dit long sur la composition sociologique du pays vue par le PS et Hollande. La composition de la commission Jospin :

- Olivier Schrameck, président de section au conseil d’Etat, ancien ambassadeur et ancien directeur du cabinet de M. Jospin à Matignon (1997-2002)
- Chantal Arens, présidente du tribunal de grande instance de Paris
- Roselyne Bachelot-Narquin, ancienne ministre (UMP) sous les présidences de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy
- Julie Benetti, professeure à l’université de Reims
- Jean-Claude Casanova, membre de l’Institut, président de la Fondation nationale des sciences politiques, ancien conseiller de plusieurs cabinets ministériels centristes
- Jean-Pierre Duport, préfet de région honoraire et ancien directeur du cabinet de Jean-Pierre Chevènement au ministère de l’Intérieur (1997-1998)
- Jean-Louis Gallet, conseiller à la Cour de cassation, vice-président du tribunal des conflits
- Marie-Christine Lepetit, chef du service de l’inspection générale des finances
- Wanda Mastor, professeure à l’université de Toulouse I
- Ferdinand Melin-Soucramanien, professeur à l’université de Bordeaux IV
- Agnès Roblot-Troizier, professeure à l’université d’Evry
- Dominique Rousseau, professeur à l’université Paris I
- Hélène Ruiz-Fabri, professeure à l’université Paris I

 

Commission Jospin : une réflexion de vieux fonctionnaires et une composition scandaleuse

Commission Jospin : une  réflexion de  vieux fonctionnaires et une composition scandaleuse

Il fallait s’en douter, la commission Jospin accouche d’une souris au regard des premières propositions ; pas de révolution, non un coup de badigeon plutôt car Jospin, l’énarque psycho rigide n’aime pas se remettre  en cause. Et avec sa bande de vieux fonctionnaires, il n’y a pas grand-chose à attendre. Un petit truc sur le cumul des mandats, un autre sur les conflits d’intérêt, une autre bricole sur les parrainages ou le statut juridique du chef de l’Etat. Sûrement pas une refondation de la démocratie pour remettre eu centre l’acteur économique ou  le citoyen ; l’économie ?  Inconnue pour ces vieux fonctionnaires alors que c’est le problème central de la période, l’économie, l’emploi, les finances, le logement, la dignité humaine. Hors sujet, juste des petits arrangements pour les élus.  Surréaliste cette composition de la commission Jospin, pas un acteur économique, pas un jeune, pas de responsable d’association, de syndicaliste (patron ou salarié), pas un agriculteur, pas un employé, pas un philosophe, pas un psychologue, pas un économiste, pas un maire de petite commune. Des vielles barbes, payées par l’Etat et qui réfléchissent  justement sur la gestion de cet Etat par les élus en majorité fonctionnaires. . La concertation telle que la conçoit le PS entre fonctionnaires. La composition en dit long sur la composition sociologique du pays vue par le PS et Hollande. La composition de la commission Jospin :

- Olivier Schrameck, président de section au conseil d’Etat, ancien ambassadeur et ancien directeur du cabinet de M. Jospin à Matignon (1997-2002)
- Chantal Arens, présidente du tribunal de grande instance de Paris
- Roselyne Bachelot-Narquin, ancienne ministre (UMP) sous les présidences de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy
- Julie Benetti, professeure à l’université de Reims
- Jean-Claude Casanova, membre de l’Institut, président de la Fondation nationale des sciences politiques, ancien conseiller de plusieurs cabinets ministériels centristes
- Jean-Pierre Duport, préfet de région honoraire et ancien directeur du cabinet de Jean-Pierre Chevènement au ministère de l’Intérieur (1997-1998)
- Jean-Louis Gallet, conseiller à la Cour de cassation, vice-président du tribunal des conflits
- Marie-Christine Lepetit, chef du service de l’inspection générale des finances
- Wanda Mastor, professeure à l’université de Toulouse I
- Ferdinand Melin-Soucramanien, professeur à l’université de Bordeaux IV
- Agnès Roblot-Troizier, professeure à l’université d’Evry
- Dominique Rousseau, professeur à l’université Paris I
- Hélène Ruiz-Fabri, professeure à l’université Paris I

 




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