Archive pour le Tag 'classique'

Mode du wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Mode du wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait.

Wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait.

Wokisme: dérive gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Wokisme: dérive gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Etudiants et Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Etudiants et Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Attal pour l’expulsion du système scolaire classique des élèves radicalisés

Attal pour l’expulsion du système scolaire classique des élèves radicalisés

Quand les personnels de l’Éducation « signalent des élèves qui constituent selon eux, potentiellement une menace (…) en raison de propos qu’ils ont tenus ou d’actes qu’ils ont commis, le principe de protection que je veux appliquer à l’ensemble de nos élèves et de nos personnels fait qu’on doit trouver une autre solution que de les scolariser », a-t-il déclaré.

« On doit penser à des structures spécialisées qui peuvent les accueillir » et « je prendrai toutes les mesures conservatoires d’exclusion » nécessaires, a ajouté le ministre.

Gabriel Attal a dit « croire profondément au rôle de l’éducation pour faire reculer la radicalisation », mais « dans certaines situations, le niveau d’embrigadement dans la famille, et parfois d’associations qui gravitent autour, est tel qu’on ne se bat pas à armes égales ».

« Il y a autour d’un millier de mineurs qui sont suivis » mais certains le sont car un membre de leur famille est particulièrement surveillé, a précisé Gabriel Attal. « On est en train d’évaluer » le nombre de mineurs potentiellement radicalisés, a ajouté le ministre, évaluant ce nombre à « plusieurs dizaines probablement ».

L’avenir de la télévision classique menacé

L’avenir de la télévision classique menacé

Le modèle économique de la télé classique est menacé depuis longtemps mais maintenant il pourrait même être marginalisé par les autres moyens notamment transitant sur Internet. Ainsi les ressources de publicité qui financent les télés privées et une partie des télés publiques sont fléchées aujourd’hui majoritairement vers Internet.

Causes et conséquences : la baisse de fréquentation des chaînes de télévision au bénéfice du Net. Difficile de distinguer les conséquences des causes qui en quelque sorte interagissent. D’une manière générale, l’économie des chaînes classiques contraint à des baisses de qualité qui elle-même génère moins de fréquentation et moins de recettes de publicité. Une sorte de système très pervers qui fait privilégier les longues séquences de bavardage d’experts plus ou moins qualifiés mais qui ont l’avantage de ne pas coûter très cher ( politique en recherche de popularité, militaire en retraite, expert proclamé, représentant d’organisations plus ou moins fantôme, ancienne gloire etc.). Et pendant des heures on rabâche les mêmes informations et sur les chaînes généralistes, on répète assez bêtement les dépêches des agences de presse et les communiqués officiels des institutions et des grandes organisations. Dans tous les domaines, les tables rondes sur tous les sujets ou presque remplacent le travail d’investigation. Et les séries américaines rabâchées comblent les vides.

Bref le vrai travail d’investigation et d’analyse est sacrifiée car il demande talent, tant est moyen.

Les télévisions classiques en général sont devenues un peu comme les McDo. C’est de l’info courante pas chère est finalement assez indigeste en tout cas sans véritablement de qualité.

Même les jeux sont bâtis sur le même modèle, les télés réalité et les interviews aussi. Les téléspectateurs un peu exigeant veulent évidemment des informations un peu plus pertinente, un peu plus pointues.

On vit une sorte de révolution indique Roch-Olivier Maistre, le président de l’Arcom, lors de son audition par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.

En premier lieu, la sacro-sainte durée d’écoute de la télévision (DEI) est « en diminution structurelle », a-t-il rappelé. Celle-ci reste « encore très élevée » dans l’Hexagone (environ 3 heures 30 par jour), mais a dégringolé de près de 20% depuis 2020. En parallèle, ceux qui regardent la télévision sont de plus en plus vieux. L’âge moyen du téléspectateur est désormais de 57 ans. « Il a augmenté de 10 ans en 10 ans ! », résume Roch-Olivier Maistre. Les jeunes désertent progressivement les chaînes traditionnelles au profit des services de vidéo à la demande (Amazon, Disney ou Netflix) comme des réseaux sociaux (Tiktok, Snapchat et Instagram).

L’essor des grandes plateformes vient bousculer les chaînes. « Elles constituent pour nos groupes nationaux une concurrence croissante sur l’acquisition, les coûts et la diffusion de programmes inédits, en audiovisuel comme en cinéma, et sur l’accès aux talents », poursuit le président de l’Arcom. Surtout, elles se taillent une part gigantesque du marché de la publicité, qui est le carburant des chaînes privées classiques.

« Les acteurs numériques absorbent à eux-seuls plus de la moitié des ressources publicitaires consacrées au médias, détaille Roch-Olivier Maistre. En 2022, nos médias traditionnels tiraient seulement 12% de leurs recettes publicitaires totales de leurs offres numériques. La même année, 66% des recettes de la publicité numérique en France était captée par trois acteurs extra-européens : Google, Meta et Amazon. »

. La distribution directe via Internet (OTT) vient bousculer le modèle historique de la box. » La télévision se mue « en véritable magasin d’applications, à l’image de nos smartphones », renchérit le président de l’Arcom. Elle est, en résumé, de moins en moins la chasse gardée des chaînes.

L’avenir du modèle économique de la télé classique menacé

L’avenir du modèle économique de la télé classique menacé

Le modèle économique de la télé classique est menacé depuis longtemps mais maintenant il pourrait même être marginalisé par les autres moyens notamment transitant sur Internet. Ainsi les ressources de publicité qui financent les télés privées et une partie des télés publiques sont fléchées aujourd’hui majoritairement vers Internet.

Causes et conséquences : la baisse de fréquentation des chaînes de télévision au bénéfice du Net. Difficile de distinguer les conséquences des causes qui en quelque sorte interagissent. D’une manière générale, l’économie des chaînes classiques contraint à des baisses de qualité qui elle-même génère moins de fréquentation et moins de recettes de publicité. Une sorte de système très pervers qui fait privilégier les longues séquences de bavardage d’experts plus ou moins qualifiés mais qui ont l’avantage de ne pas coûter très cher ( politique en recherche de popularité, militaire en retraite, expert proclamé, représentant d’organisations plus ou moins fantôme, ancienne gloire etc.). Et pendant des heures on rabâche les mêmes informations et sur les chaînes généralistes, on répète assez bêtement les dépêches des agences de presse et les communiqués officiels des institutions et des grandes organisations.

Bref le vrai travail d’investigation et d’analyse est sacrifiée car il demande talent, tant est moyen.

Les télévisions classiques en général sont devenues un peu comme les McDo. C’est de l’info courante pas chère est finalement assez indigeste en tout cas sans véritablement de qualité.

Même les jeux sont bâtis sur le même modèle, les télés réalité et les interviews aussi. Les téléspectateurs un peu exigeant veulent évidemment des informations un peu plus pertinente, un peu plus pointues.

On vit une sorte de révolution indique Roch-Olivier Maistre, le président de l’Arcom, lors de son audition par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.

En premier lieu, la sacro-sainte durée d’écoute de la télévision (DEI) est « en diminution structurelle », a-t-il rappelé. Celle-ci reste « encore très élevée » dans l’Hexagone (environ 3 heures 30 par jour), mais a dégringolé de près de 20% depuis 2020. En parallèle, ceux qui regardent la télévision sont de plus en plus vieux. L’âge moyen du téléspectateur est désormais de 57 ans. « Il a augmenté de 10 ans en 10 ans ! », résume Roch-Olivier Maistre. Les jeunes désertent progressivement les chaînes traditionnelles au profit des services de vidéo à la demande (Amazon, Disney ou Netflix) comme des réseaux sociaux (Tiktok, Snapchat et Instagram).

L’essor des grandes plateformes vient bousculer les chaînes. « Elles constituent pour nos groupes nationaux une concurrence croissante sur l’acquisition, les coûts et la diffusion de programmes inédits, en audiovisuel comme en cinéma, et sur l’accès aux talents », poursuit le président de l’Arcom. Surtout, elles se taillent une part gigantesque du marché de la publicité, qui est le carburant des chaînes privées classiques.

« Les acteurs numériques absorbent à eux-seuls plus de la moitié des ressources publicitaires consacrées au médias, détaille Roch-Olivier Maistre. En 2022, nos médias traditionnels tiraient seulement 12% de leurs recettes publicitaires totales de leurs offres numériques. La même année, 66% des recettes de la publicité numérique en France était captée par trois acteurs extra-européens : Google, Meta et Amazon. »

. La distribution directe via Internet (OTT) vient bousculer le modèle historique de la box. » La télévision se mue « en véritable magasin d’applications, à l’image de nos smartphones », renchérit le président de l’Arcom. Elle est, en résumé, de moins en moins la chasse gardée des chaînes.

Le modèle économique de la télé classique menacé

Le modèle économique de la télé classique menacé

Le modèle économique de la télé classique est menacé depuis longtemps mais maintenant il pourrait même être marginalisé par les autres moyens notamment transitant sur Internet. Ainsi les ressources de publicité qui financent les télés privées et une partie des télés publiques sont fléchées aujourd’hui majoritairement vers Internet.

Causes et conséquences : la baisse de fréquentation des chaînes de télévision au bénéfice du Net. Difficile de distinguer les conséquences des causes qui en quelque sorte interagissent. D’une manière générale, l’économie des chaînes classiques contraint à des baisses de qualité qui elle-même génère moins de fréquentation et moins de recettes de publicité. Une sorte de système très pervers qui fait privilégier les longues séquences de bavardage d’experts plus ou moins qualifiés mais qui ont l’avantage de ne pas coûter très cher ( politique en recherche de popularité, militaire en retraite, expert proclamé, représentant d’organisations plus ou moins fantôme, ancienne gloire etc.). Et pendant des heures on rabâche les mêmes informations et sur les chaînes généralistes, on répète assez bêtement les dépêches des agences de presse et les communiqués officiels des institutions et des grandes organisations.

Bref le vrai travail d’investigation et d’analyse est sacrifiée car il demande talent, tant est moyen.

Les télévisions classiques en général sont devenues un peu comme les McDo. C’est de l’info courante pas chère est finalement assez indigeste en tout cas sans véritablement de qualité.

Même les jeux sont bâtis sur le même modèle, les télés réalité et les interviews aussi. Les téléspectateurs un peu exigeant veulent évidemment des informations un peu plus pertinente, un peu plus pointues.

On vit une sorte de révolution indique Roch-Olivier Maistre, le président de l’Arcom, lors de son audition par la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.

En premier lieu, la sacro-sainte durée d’écoute de la télévision (DEI) est « en diminution structurelle », a-t-il rappelé. Celle-ci reste « encore très élevée » dans l’Hexagone (environ 3 heures 30 par jour), mais a dégringolé de près de 20% depuis 2020. En parallèle, ceux qui regardent la télévision sont de plus en plus vieux. L’âge moyen du téléspectateur est désormais de 57 ans. « Il a augmenté de 10 ans en 10 ans ! », résume Roch-Olivier Maistre. Les jeunes désertent progressivement les chaînes traditionnelles au profit des services de vidéo à la demande (Amazon, Disney ou Netflix) comme des réseaux sociaux (Tiktok, Snapchat et Instagram).

L’essor des grandes plateformes vient bousculer les chaînes. « Elles constituent pour nos groupes nationaux une concurrence croissante sur l’acquisition, les coûts et la diffusion de programmes inédits, en audiovisuel comme en cinéma, et sur l’accès aux talents », poursuit le président de l’Arcom. Surtout, elles se taillent une part gigantesque du marché de la publicité, qui est le carburant des chaînes privées classiques.

« Les acteurs numériques absorbent à eux-seuls plus de la moitié des ressources publicitaires consacrées au médias, détaille Roch-Olivier Maistre. En 2022, nos médias traditionnels tiraient seulement 12% de leurs recettes publicitaires totales de leurs offres numériques. La même année, 66% des recettes de la publicité numérique en France était captée par trois acteurs extra-européens : Google, Meta et Amazon. »

. La distribution directe via Internet (OTT) vient bousculer le modèle historique de la box. » La télévision se mue « en véritable magasin d’applications, à l’image de nos smartphones », renchérit le président de l’Arcom. Elle est, en résumé, de moins en moins la chasse gardée des chaînes.

Réforme des retraites: Le matraquage pro gouvernemental des « élites » sur Radio classique

Réforme des retraites: Le matraquage pro gouvernemental des « élites » sur Radio classique

 

Dans deux nombreux grands médias à un matraquage pro gouvernemental à propos de la réforme des retraites. Beaucoup d’ailleurs n’ont strictement aucune compétence en la matière mais ils reprennent tout simplement le discours à la mode dans les salons parisiens. Finalement des prises de position assez proche du café du commerce mais du café mondain. Certes le système des retraites doit être revu mais de façon équitable et efficace. Mais les élites proclamées  font l’économie de l’analyse d’une part d’un texte, d’autre part des réalités sociales. Rien d’étonnant à cela puisque la plupart des médias . de cette caricature de débat dans un article de « Marianne » qui rend compte d’un débat sur Radio classique soit au gouvernement sociaux grands financiers .

 

 

Pour parler de la réforme des retraites ce jeudi matin au micro de Radio Classique, Guillaume Durand a invité pas moins de trois personnalités. Des personnalités si différentes qu’elles étaient toutes d’accord entre elles. Comme l’animateur lui-même, d’ailleurs.

À 8 h 15, dans « Les stars de l’info », c’est Raymond Soubie, ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy qu’a décidé d’inviter l’animateur. Que va bien pouvoir penser de la situation celui qui a conseillé le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin sur la réforme des retraites puis qui a organisé celle de 2010 sous Sarkozy et Fillon ? Le suspense est total. Autant que si l’on avait invité Jean-Paul Delevoye il y a 3 ans pour lui demander s’il était pour ou contre la réforme.

La première question de l’animateur donne le ton : « Mettons-nous tous les deux ce matin à la place du gouvernement, bien que nous ne soyons pas le gouvernement (la précision est utile) : est-ce que tout a été mis sur la table ? » Réponse de l’invité : « Presque tout a déjà été mis sur la table. » Si tout est accompli, les choses, devraient donc bien se passer ? Pas si sûr, selon l’invité, qui nous remémore la première tentative du président : « Je rappelle que les retraites, c’est un sujet douloureux pour Emmanuel Macron. » Hélas, les Français sont incapables d’empathie pour le chef de l’État, qui, d’après Monsieur Soubie, « garde un souvenir terrible de la crise des Gilets jaunes qui est partie sur le pouvoir d’achat mais qui s’est assez vite transformée en détestation politique y compris violente vis-à-vis du pouvoir. » Les factieux ont heureusement été mis hors d’état de nuire, même si, comme le déplore Guillaume Durand, on essaye encore de monter les riches contre les pauvres – alors que c’est tellement plus simple pour tout le monde de faire payer les pauvres.

L’ancien conseiller social en est tout cas convaincu : cette réforme, Macron « ne peut plus la reculer ni abandonner, il perdrait absolument toute crédibilité à l’intérieur du pays. » Et Dieu sait qu’elle est immense. Puis ce dernier d’exprimer un regret : que le président « ne l’ait pas fait passer avec le 1er 49.3 » C’est vrai que le gouvernement semble totalement ignorer ce recours.

 

Tout à coup, les trois hommes sont traversés par une fulgurance. Si cette réforme est l’évidence même, pourquoi n’emporte-t-elle pas l’adhésion de tous les Français ? La réponse jaillit, limpide, dans la bouche de Franz : c’est à cause des fake news. Puis d’égrener des déclarations de Sandrine Rousseau ou de Clémentine Autain dont on se demande quel rapport elles ont avec les retraites. Mais pas Guillaume Durand, qui demande, naïf : « On est dans l’idéologie ? » Tout le contraire de Radio Classique. L’animateur-ministre du Travail renchérit : « Y a des mensonges qui sont répétés, des mensonges d’ailleurs dénoncés par Macron ». Si c’est pas la preuve que c’en est, qu’est-ce que c’est ?

L’animateur-Haut-commissaire à la réforme pose ensuite une question ouverte qui fera date : « Quels sont d’après vous les deux ou trois gros mensonges qui sont racontés aux Français sur cette affaire-là ? » David Doukhan prend la question très au sérieux : « Les fake news, c’est un problème pour Emmanuel Macron parce qu’il sait pertinemment qu’il est lancé maintenant dans une bataille de l’opinion. » Avant cette désinformation, en effet, tout le monde était favorable à la réforme. Il ajoute : « Le problème de ces fake news, c’est qu’elles visent à déclencher l’embrasement. » Nous ne « fact-checkerons » pas cette affirmation car elle émane d’un complotisme autorisé, celui des élites. Le journaliste d’alerter : « La difficulté, c’est qu’en face, le gouvernement a des arguments, allez, on va dire très raisonnables et parfois un peu technocratiques. » Or tout le monde sait que c’est un gros problème quand on a, en face, affaire à des citoyens bas-de-plafond. Puis de conclure : « Attention à ce que cette bataille ne soit pas emportée par ceux qui manient le mensonge. » On ne comprend plus très bien : souhaite-t-il maintenant que le gouvernement échoue ?

Un peu plus tôt, à 8h12, l’éditorialiste Guillaume Tabard avait trouvé une autre raison au blocage de cette réforme si juste : le fait qu’il faille, comme Macron l’a préconisé à ses ministres : « expliquer, expliquer, et encore expliquer la réforme. » Si les Français sont contre, c’est naturellement parce que le gouvernement n’a pas suffisamment fait preuve de « pédagogie ». Et l’éditorialiste de se demander si « les Français vont supporter longtemps d’être les otages d’un mouvement social qui deviendrait radical » avant d’évoquer la « course à la radicalité et à la démagogie », la « radicalisation du mouvement » et « l’hystérisation du débat ». Il ne manquait plus que le « populisme » pour faire un « strike ».

La politique monétaire classique risque de provoquer une crise de la dette

La politique monétaire classique risque de provoquer une crise de la dette 

 

L’économiste Laurence Scialom appelle, dans une tribune au « Monde », à un aggiornamento de la doctrine anti-inflation des banques centrales pour faire face aux investissements nécessaires à la « reconstruction » d’une économie décarbonée.

 

Le grand retour de l’inflation renoue avec le narratif des années 1970 : choc énergétique, stagflation, boucle prix-salaires… Mais c’est faire fi des profondes mutations socio-économiques qui séparent nos deux périodes et de leur impact majeur sur les processus inflationnistes : désindexation et individualisation des salaires, concentration industrielle, libéralisation des marchés et situations de rente (dans la finance, le numérique, le secteur pharmaceutique, les énergies fossiles, etc.). C’est aujourd’hui davantage dans une boucle prix-profits que dans une boucle prix-salaires que s’entretient la dynamique inflationniste.

L’histoire que l’on se raconte aurait peu d’importance si elle ne conditionnait pas la tentation de renouer avec les vieilles recettes économiques et monétaires, aujourd’hui inappropriées, qui y sont associées.

L’inflation que nous vivons est appelée à durer. Certes, la sortie de la phase aiguë de la pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine ont nourri les hausses de prix par leur impact sur la désorganisation des chaînes de valeurs et sur le prix de l’énergie et des céréales. Mais elles révèlent également des fragilités préexistantes et structurelles. Les racines de l’inflation actuelle sont largement non monétaires.

Dans les années 1970, l’accélération de l’inflation avait été le révélateur de la crise du régime de croissance des « trente glorieuses », amorcée dès les années 1960 par la baisse de la productivité. Aujourd’hui, l’inflation est de nouveau un symptôme, celui de la fin annoncée du régime de croissance financiarisé, globalisé et réputé autorégulé qui s’était installé précisément en réponse à la crise des années 1970.

L’inflation est l’une des expressions macro-économiques des tâtonnements vers un nouveau régime susceptible de surmonter les incohérences et l’insoutenabilité environnementale du modèle néolibéral. Les distorsions de prix relatifs reflètent les ajustements des prix aux pénuries sectorielles (énergies, produits agricoles, composants-clés de l’industrie du numérique, etc.), souvent favorisées par le dérèglement climatique.

Cette idée d’une inflation d’origine climatique est partagée par certains banquiers centraux. Isabel Schnabel, membre du directoire de la Banque centrale européenne, met l’accent sur plusieurs sources d’inflation liées au climat, notamment ce qu’elle a qualifié, lors d’un séminaire à Francfort, le 17 mars, d’« inflation climatique » et de « fossilflation » (« Monetary Policy and Climate Change »). La première désigne les impacts du réchauffement climatique sur l’activité économique et financière qui accroissent l’inflation (baisse des rendements agricoles, de la productivité, perturbations des chaînes d’approvisionnement…). La seconde traduit notre dépendance aux énergies fossiles, dont les prix sont appelés à rester élevés.

Candidature Taubira : le bla-bla classique pour tuer une deuxième fois la gauche

 

Candidature Taubira : le bla-bla classique pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 3 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois c ecourant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir.Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Candidature Taubira : le bla-bla classique de la gauche obsolète

Candidature Taubira : le bla-bla classique de la gauche obsolète

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou NDLR

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Politique-Taubira : Du bla-bla classique de la gauche obsolète

Politique-Taubira : Du bla-bla classique de la gauche obsolète

 

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou NDLR

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Taubira : Du bla-bla classique de la gauche obsolète

Taubira : Du bla-bla classique de la gauche obsolète

 

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou NDLR

 

Tribune. 

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faire. Nous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

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