Le 15 mars 2025, à 8h43, l’Amérique est brutalement réveillée. Un tweet de Donald Trump, aussi bref que dévastateur, frappe le pays comme un séisme :
« L’Amérique d’abord ! Taxe de 20 % sur le pétrole mexicain et canadien, immédiat. Fini la dépendance énergétique ! »
Ce n’est pas qu’un slogan. Cette taxe est une attaque économique directe. Le Mexique et le Canada fournissent 30 % du pétrole américain. Couper cette source vitale menace l’économie.
Les chaînes d’info passent en direct, les experts s’affolent. Les traders, les yeux rivés sur les écrans, voient les prix grimper : le Brent passe de 100 à 130 dollars en 48 heures. On craint une pénurie sur un marché déjà tendu.
Les effets se font sentir aussitôt. Le Bureau of Labor Statistics (BLS) prévoit une inflation à 7 %. La Fed tente de réagir. À 22h30, Jerome Powell annonce une hausse des taux à 6 % en mai, pour calmer l’inflation sans casser la croissance.
L’onde de choc : Le 17 mars, c’est le chaos financier
Krach boursier sans précédent
Le 17 mars, les marchés paniquent : l’argent facile est fini. Le S&P 500 chute de 8 % en un jour, de 6 050 à 5 565 points, à cause des ventes automatiques. Les GAFAM s’effondrent : -20 % en cinq jours. Apple passe de 200 $ à 160 $, Amazon de 180 $ à 144 $, soit 1 500 milliards de dollars perdus.
Le mot « capitulation » est sur toutes les lèvres. Les plateformes d’échange sont saturées, les ordres de vente explosent. Le marché crypto tremble. Le Bitcoin, à 110 000 $, chute à 80 000 $ le 18 mars, les spéculateurs vendant dans la panique. Cette chute annonce des problèmes plus graves.
Crise du secteur crypto et failles du système (20 mars 2025)
Effet domino : Le 20 mars, la crise s’étend
- Le séisme crypto dévaste le secteur
Le 20 mars, la crise atteint les cryptos. Binance annonce : « Retraits suspendus pour sécurité ». Les forums s’enflamment, #CryptoCrash et #BinanceScam deviennent viraux. Le Bitcoin s’effondre à 50 000 dollars, perdant 200 milliards de dollars.
L’effet domino est impitoyable : Coinbase suspend ses opérations, Kraken implose. Le secteur crypto, autrefois symbole de liberté financière, s’écroule. Les prêts risqués des banques américaines, liés à la crypto, sont remis en question.
- Les failles du système apparaissent
Cette fragilité révèle les failles des banques, affaiblies par la dérégulation de Trump. Une crise financière majeure se profile, menaçant l’économie mondiale.
Le point de rupture : Le 25 mars, le système craque
Dépréciation massive des actifs toxiques
Le 25 mars, Bank of America, exposée à 150 milliards de dollars sur les 800 milliards de prêts risqués, annonce une forte dépréciation. Cela concerne :
- Prêts immobiliers (50 milliards de dollars) : 15 % des ménages ont du mal à payer, avec des taux à 7,5 % en vue.
- Prêts aux entreprises Tech (60 milliards de dollars) : La chute des GAFAM rend ces prêts inutiles.
- Exposition crypto (40 milliards de dollars) : Les 10 milliards investis dans Binance ne valent plus que 2 milliards après la suspension des retraits.
L’annonce de Bank of America provoque une ruée. Le 25 mars, des files d’attente se forment devant les banques, les retraits en ligne explosent : plus de 50 milliards de dollars sont retirés en 48 heures. On craint la faillite de la banque.
La Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) débloque 300 milliards de dollars pour rassurer les clients, garantissant les comptes jusqu’à 250 000 dollars. Mais cela ne couvre qu’une partie des pertes, estimées à 1 200 milliards de dollars, ce qui alimente la panique.
L’effet domino frappe les marchés. Les actions des banques s’effondrent : Bank of America perd 30 % le 25 mars, entraînant Wells Fargo et Citigroup. Le 26 mars, le S&P 500 passe sous les 5 400 points. La dérégulation de Trump a-t-elle créé une bombe financière ?
Le spectre du « Minsky Moment »
Cet épisode est un tournant. On découvre l’ampleur des actifs toxiques cachés dans le système bancaire américain. Les experts parlent d’un « Minsky Moment » : un point de rupture où la dette excessive provoque des effondrements financiers. Les bulles (tech, crypto, immobilier) éclatent, menaçant l’économie mondiale.
Contagion géopolitique et économique : Avril-juin 2025, le chaos s’étend
Une opportunité pour la Chine
Sous pression à cause des tarifs douaniers de Trump, la Chine intensifie ses exercices militaires près de Taïwan, voyant une chance d’affirmer sa puissance. L’économie mondiale entre dans une période d’instabilité extrême.
1er avril : L’Ukraine abandonnée
Le 1er avril, Trump coupe l’aide militaire à l’Ukraine avec un tweet : « L’Europe paie ou perd ». Sans soutien, l’Ukraine s’affaiblit, et la Russie occupe 30 % du pays en juin. Les exportations de céréales chutent de 20 %, le blé monte à 450 dollars la tonne, et le gaz européen à 70 euros le MWh. L’UE entre en récession, avec un PIB en baisse de 3 % en 2025.
10-15 avril : Guerre commerciale avec la Chine
Du 10 au 15 avril, Trump impose des tarifs de 50 % sur les produits chinois, accusant Pékin de « voler la technologie américaine ». La Chine réplique le 15 avril par un blocus naval autour de Taïwan, réduisant de 40 % les exportations de semi-conducteurs de TSMC. Le Nasdaq plonge de 30 % à 12 000 points, TSMC perd 50 % de sa valeur, et l’industrie automobile mondiale réduit sa production de 20 % à cause d’une pénurie de puces.
20-25 avril : Escalade militaire au Moyen-Orient
Entre le 20 et le 25 avril, Trump soutient une frappe israélienne sur des sites nucléaires iraniens. L’Iran riposte en attaquant des pétroliers dans le détroit d’Ormuz, faisant monter le prix du Brent à 145 dollars le baril. Les pays importateurs de pétrole (Japon, Inde, UE) souffrent, et les marchés mondiaux paniquent.
Effondrement des États-Unis (Juillet-septembre 2025)
Effondrement des États-Unis : Juillet-septembre 2025, la chute s’accélère
Juillet : Krach immobilier
En juillet, les rendements des bons du Trésor américain à 10 ans atteignent 5,5 %, poussant les taux hypothécaires à 7,5 %. Les défauts de paiement explosent, avec 15 % des ménages en retard. Les prix de l’immobilier chutent de 20 % (de 400 000 à 320 000 dollars en moyenne). Il y a 1,5 million de saisies immobilières.
Août : Récession généralisée
En août, l’inflation américaine dépasse 8 %. La consommation chute de 12 %. Les entreprises licencient, et le chômage passe de 4 % à 8 % (12 millions de chômeurs). Le PIB américain recule de 5 %, et 40 000 PME font faillite chaque mois. Wells Fargo annonce une perte de 100 milliards de dollars le 10 août, mais Trump refuse toute aide : « Pas de socialisme ! » La Fed injecte 1 000 milliards de dollars, ce qui affaiblit le dollar (EUR/USD à 1,35).
Septembre : Crise bancaire systémique
En septembre, les pertes bancaires aux États-Unis atteignent 1 200 milliards de dollars. Citigroup frôle la faillite. Le S&P 500 chute à 4 000 points (-33 % depuis mars), et le Bitcoin s’effondre à 30 000 dollars.
Répercussions mondiales (Juillet-décembre 2025)
Répercussions mondiales : Juillet-décembre 2025, la crise s’étend
De juillet à septembre, le gaz atteint 90 euros le MWh, et les exportations européennes vers les États-Unis chutent de 25 %. Le PIB de l’UE recule de 7 %, l’Allemagne entre en récession (-6 %), et le CAC 40 français chute à 4 000 points (-45 %). Des manifestations éclatent en France, où l’inflation atteint 10 %.
Entre juillet et octobre, la croissance chinoise stagne (+1 % de PIB) à cause des tarifs douaniers et du blocus de Taïwan. Le Japon, frappé par le prix du pétrole, voit son économie reculer de 5 %. Les indices Nikkei et Hang Seng perdent 35 %, soit 6 000 milliards de dollars.
Les pays émergents étranglés
La hausse des taux américains à 6 % provoque des défauts de paiement : l’Argentine fait défaut sur 80 milliards de dollars en juillet, et la Turquie sur 120 milliards de dollars en septembre. Le peso mexicain se dévalue de 40 %.
Ravages psychologiques (Juillet-décembre 2025)
Ravages psychologiques : Juillet-décembre 2025, la peur
Le 1er juillet, Trump tweete : « Les faibles tombent, les forts survivent – c’est l’Amérique ! ». La panique s’installe : la consommation américaine chute de 18 %, et 60 % des ménages cessent d’investir. L’indice VIX crève le niveau de 60.
D’août à décembre, Trump s’isole encore plus. Il menace de quitter l’ONU le 15 août, détruisant la confiance mondiale. Les entreprises réduisent leurs investissements de 20 %, les banques gèlent les prêts, et le chaos s’amplifie.
Conséquences finales : Octobre-décembre 2025, l’apocalypse
Les États-Unis en chute libre
Avant l’invasion de Taïwan, le S&P 500 chute à 3 500 points (-42 %), et le Bitcoin s’effondre à 15 000 dollars (-86 %). Le PIB américain recule de 9 %, et le chômage atteint 12 % (18 millions de chômeurs). Des émeutes éclatent dans 15 villes : pillages à Detroit le 5 octobre, affrontements à Los Angeles le 12 octobre. Des milices pro-Trump patrouillent, ajoutant à l’instabilité.
Invasion de Taïwan par la Chine
Le 20 octobre, après des mois de tensions, la Chine lance une opération militaire contre Taïwan, invoquant la « réunification ». L’Armée Populaire de Libération (APL) coupe les câbles internet, frappe les bases militaires et établit une tête de pont sur la côte ouest, malgré une forte résistance (plus de 10 000 morts).
- Marchés : Nasdaq à 9 600 points (-20%), S&P 500 à 3 200 points, or à 3 000 dollars/once.
- Pénurie de puces : TSMC cesse ses exportations, production auto -40 %, Apple et Nvidia -30 % de revenus, prix des électroniques doublés.
Trump tweete : « La Chine vole Taïwan pendant que Biden dort ! ». Il refuse toute intervention militaire (« Les États-Unis ne paieront pas »), impose un embargo total sur la Chine et déclare l’état d’urgence le 15 novembre, accusant la Fed, la Chine et « les traîtres démocrates ». Le dollar chute (EUR/USD à 1,55), et l’inflation atteint 10 %.
Le Japon et la Corée du Sud, terrifiés, voient l’indice Nikkei chuter à 15 000 points (-40 %). L’UE, déjà en récession (-7 %), ne peut rien faire face au prix du gaz qui atteint 100 euros le MWh.
Le PIB mondial chute de 7 %, les bourses perdent 65 % de leur valeur (45 000 milliards de dollars), et les dettes font défaut sur 18 000 milliards de dollars. Le Programme Alimentaire Mondial (PAM) estime le nombre de personnes souffrant de famine à 90 millions. L’Iran bloque le détroit de Bab el-Mandeb, et le prix du Brent s’envole à 160 dollars le baril. Le dollar américain ne représente plus que 45 % des réserves mondiales, tandis que le yuan chinois atteint 15 %.
Dépassé, Trump accuse ses ennemis le 20 décembre : « Nous sommes en guerre économique, et je gagnerai ! ». Xi Jinping célèbre une « nécessité historique », malgré une économie chinoise qui ne croît que de +0,5 %.
Décembre 2025 : L’héritage du chaos
Trump devient le symbole du chaos qu’il a créé, validant la théorie de l’économiste Hyman Minsky sur la fragilité du système financier.
L’Union Européenne à la rescousse : Janvier 2026 – Décembre 2027, l’espoir
Janvier-mars 2026 : Face au chaos
Le monde est en ruines : PIB mondial -7 %, bourses -45 000 milliards de dollars, dettes en défaut -18 000 milliards de dollars. Les États-Unis sont paralysés, la Chine vacille (+0,5 % de PIB), mais l’UE (-7 %) tient bon, avec une monnaie stable (EUR/USD 1,55).
Le 5 janvier, la France et l’Allemagne (Angela Merkel est rappelée) lancent à Pau le Plan de Renaissance Mondiale (PRM) : 2 000 milliards d’euros pour stabiliser l’économie, financé par des eurobonds et des taxes sur les géants technologiques.
- Février : le gaz revient à 60 euros le MWh (accord avec la Russie), et le Brent à 120 dollars le baril (médiation avec l’Iran). Investissement de 500 milliards d’euros dans la production de puces (TSMC en Pologne et en Allemagne).
- Mars : Aide humanitaire de 300 milliards d’euros, réduisant le nombre de personnes souffrant de famine à 50 millions (Elon Musk quitte ses fonctions aux USA et demande à coordonner l’aide humanitaire, avec Thierry Breton).
Avril-juin 2026 : Médiation et rebond
- Avril : Cessez-le-feu entre la Chine et Taïwan (15 avril), et statut spécial pour Taïwan. Trump accepte 500 milliards d’euros de prêts de l’UE, lève les tarifs douaniers et désarme ses milices.
- Mai : Restructuration de 18 000 milliards de dollars de dettes, le CAC 40 français passe à 5 000 points, et le S&P 500 américain à 4 000 points. Investissements dans les infrastructures vertes (1 500 milliards d’euros, 5 millions d’emplois), et le PIB de l’UE s’améliore à -2 %.
- Juin : Accord de paix entre l’Inde et le Pakistan, et le prix du blé revient à 350 dollars la tonne.
Juillet-décembre 2026 : L’UE leader économique
- Juillet : L’euro est utilisé dans 60 % des transactions mondiales.
- Septembre : Signature du Pacte de Stabilité Globale (PSG), et le PIB mondial se rétablit à -3 %.
- Décembre : Le Brent revient à 100 dollars le baril, le S&P 500 à 4 500 points, et le Bitcoin à 25 000 dollars.
Janvier-décembre 2027 : L’UE incontournable
- Janvier : le PIB mondial bondit à +1 %, et celui de l’UE à +2 %. Un Conseil Européen Mondial (CEM) est convoqué à Paris.
- Mars : Trump est marginalisé (sa procédure d’impeachment échoue). Il se réfugie à Las Vegas, sombrant dans l’oubli. Un Pacte de Prospérité universelle est mis en place par l’Europe.
Après le « Minsky Moment » de 2025, l’UE émerge en 2027, avec 5 000 milliards d’euros investis pour stabiliser l’économie et arbitrer les conflits. Elle devient la référence, avec un euro dominant, une technologie prospère et un modèle de société apaisé, face à des États-Unis divisés et à une Chine affaiblie.