Archive pour le Tag 'gauchiste'

Mode du wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Mode du wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait.

Wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait.

Wokisme: dérive gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Wokisme: dérive gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Etudiants et Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Etudiants et Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Manif contre la police, défense de l’abaya, radicalisme gauchiste : Le suicide des Insoumis

Manif contre la police, défense de l’abaya, radicalisme gauchiste : Le suicide des Insoumis


Indiscutablement depuis des mois et des mois, les Insoumis sont engagés dans une sorte de fuite en avant gauchiste qui sans doute va se répercuter de façon significative dans leurs résultats aux élections. Ce radicalisme est en train de faire éclater la NUPES. Chacune des organisations qui la composait va par exemple déposer une liste propre aux élections européennes. La Nupes n’est pas encore morte mais l’écheance se approche et les relations entre les partenaires sont absolument détestables. Ainsi les »insoumi »s viennent de traiter Roussel le secrétaire du parti communiste de nazi !

Ce samedi 23 septembre les insoumis et quelques autres organisations gauchistes appellent à manifester contre la police. Beaucoup vont reprendre le slogan : » la police tue. »

Un slogan malvenu et idiot à un moment ou émerge une très forte demande de sécurité et de protection notamment en raison des conséquences dramatiques des violences et de la drogue partout en France.

Politiquement, cette manifestation aura très peu d’échos ; peu de médias y font allusion et la participation devrait être assez anecdotique et surtout contre-productive.

Cet appel, lancé après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un policier le 27 juin, émane de partis politiques, comme La France insoumise (LFI) et Europe Ecologie-Les Verts (EELV), mais également d’une centaine d’associations, de syndicats comme la CGT, de divers collectifs ou de mouvements comme Extinction Rebellion. Au contraire, le PCF n’appelle pas à y participer et le Parti socialiste a annoncé qu’il ne serait pas présent.

Abaya: la dérive gauchiste totale chez les Insoumis et les écolos

Abaya: la dérive gauchiste totale chez les Insoumis et les écolos

Alors que 80 % de la population approuve la suppression de l’abaya à l’école comme symbole religieux, des leaders du parti des « insoumis » et des » écolos » versent dans le gauchisme simplificateur et caricatural en s’opposant aux valeurs républicaines. Tout cela en fait pour draguer les voix des quartiers. Naëm Bestandji, essayiste et auteur de « Le linceul du féminisme. Caresser l’islamisme dans le sens du voile » (Seramis), analyse le tweet de Clémentine Autain ( qui par parenthèse n’as pas inventé la poudre) s’opposant à l’interdiction de l’abaya, à l’école. Pour lui, la députée de la France insoumise est symptomatique de la dérive d’une partie de la gauche. ( dans Marianne)

Une note des services de l’État, dont des extraits ont été diffusés dans la presse en ce mois d’août 2023, tire une énième fois le signal d’alarme. Depuis l’assassinat de Samuel Paty, les signalements d’atteintes à la laïcité au sein des établissements scolaires publics sont en forte hausse. Parmi ces atteintes, la proportion de celles qui concernent « le port de signes et tenues ne respectant pas la loi du 15 mars 2004 » a explosé. Ces hausses se sont accélérées en 2022-2023.

Si Pap Ndiaye s’était montré particulièrement frileux, en laissant les chefs d’établissements se débrouiller, répétant ainsi l’erreur de 1989, son successeur au ministère de l’Éducation nationale, Gabriel Attal, n’entend pas rester inactif, déclarant dimanche 27 août : « J’ai décidé qu’on ne pourrait plus porter l’abaya à l’école. »

Les associations laïques et les féministes universalistes considèrent que cela va dans le bon sens. Mais les réactions politiques ne se sont pas fait attendre. La droite et l’extrême droite ont exprimé leur satisfaction. Une partie de la gauche rejoint l’avis des associations laïques et des féministes universalistes, mais préfère se taire pour ne pas être confondue avec l’extrême droite. Une autre partie de la gauche, toujours par renoncement à ses valeurs pour soutenir l’islamisme politique, critique fortement cette décision de Gabriel Attal. Un tweet concentre tout l’aveuglement volontaire et la contorsion de cette frange de la gauche en perdition, celui de Clémentine Autain. Il est donc intéressant de l’analyser pour mesurer l’ampleur de la perte de repères.

« Les raisons sont uniquement sexistes et patriarcales. »
Son tweet, publié quelques minutes après la déclaration du ministre, commence par cette question : « Jusqu’où ira la police du vêtement ? » Parler de « police du vêtement » est une référence directe à la police des mœurs en Iran, Arabie saoudite et Afghanistan où les femmes ont l’obligation légale d’être recouvertes de la tête aux pieds. Est-ce pour des raisons de santé, en rapport par exemple avec le climat ? Pas du tout. Les raisons sont uniquement sexistes et patriarcales : la femme est considérée comme un objet sexuel tentateur dont les hommes seraient les victimes. Les coupables « naturelles » ont donc l’obligation de se dissimuler sous un voile et des vêtements amples pour cacher leurs formes. Pour légitimer cette misogynie, les islamistes au pouvoir font appel à la religion et intègrent cette obligation dans la charia.

Cela peut-il être comparé à la décision du nouveau ministre de l’Éducation nationale en la présentant comme un miroir inversé de ces pays ? Non. D’abord, leur « police du vêtement » sanctionne toute oreille, épaule ou mèche de cheveux visible dans l’espace public en général. La loi de mars 2004 en France interdit « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse », uniquement dans les écoles, les collèges et les lycées. L’espace public en général n’est pas concerné. De plus, cela concerne uniquement les établissements scolaires publics. Les établissements scolaires privés peuvent donc les autoriser. Ensuite, cette interdiction en France concerne tous les élèves, quel que soit leur sexe.

Dans les pays sous-entendus par Clémentine Autain, l’obligation d’être intégralement couvert ne concerne que les femmes. Là, pointe une autre différence. Les motivations de ces pays sont discriminantes et misogynes. Celles de la France sont la préservation de la liberté de conscience de tous les élèves, citoyens en construction, et d’empêcher toute pénétration de propagandes religieuses et politiques dans les établissements scolaires. Enfin, dans les pays où il existe une « police du vêtement », les sanctions en cas d’infractions vont de l’amende à la prison et parfois à la mort. Les élèves français courent-ils de tels risques ? Non. La sanction encourue la plus extrême est l’exclusion temporaire ou définitive précédée, comme l’indique la loi de mars 2004, d’un dialogue avec l’élève pour éviter l’exclusion.

« La députée LFI se piège elle-même. »
Toutefois, il existe bien une « police du vêtement » en France, incarnée par ceux qui prescrivent le port du voile et des vêtements couvrants dont l’abaya est un avatar. En désignant les « femmes respectueuses et pudiques » qui décident de se dissimuler sous les vêtements qu’ils leur prescrivent, et les « impudiques » qui s’en dispensent, en promettant les flammes de l’enfer pour les récalcitrantes et le paradis pour celles qui consentent à se soumettre, en valorisant la soumission patriarcale par la fierté de l’affichage identitaire et la trahison par les cheveux au vent et/ou des bras nus par exemple, les prédicateurs islamistes sont l’unique « police du vêtement ».

L’entourage des concernées, dont des camarades de classe, constitue les agents de terrain. Car, il faut le rappeler, des jeunes filles identifiées comme « musulmanes » sont sommées d’afficher leur solidarité avec les contrevenantes en s’affublant elles aussi d’un voile et/ou d’une abaya. C’est aussi de cela que le ministre veut protéger les élèves. Mais Clémentine Autain ne dénonce pas la « police du vêtement » islamiste. Comme toute cette frange de la gauche en perdition, elle dénonce uniquement celles et ceux qui s’y opposent.

Pour cela, la députée LFI se piège elle-même. Comment pourrait-il en être autrement quand on veut défendre l’indéfendable ? En effet, elle affirme que « la proposition de Gabriel Attal est anticonstitutionnelle. Contraire aux principes fondateurs de la laïcité. Symptomatique du rejet obsessionnel des musulmans. » Or, cette proposition n’a rien d’anticonstitutionnel puisqu’elle est une application de la loi de mars 2004. Le premier principe fondateur de la laïcité, à travers la séparation des Églises et de l’État, est la liberté de conscience. Cette liberté n’est pas entravée par la loi de 2004. Au contraire, elle en assure la protection en préservant les élèves de toute influence religieuse dans les établissements scolaires publics. Le second principe fondateur est le libre exercice des cultes, qui est toujours encadré par la loi (ici, celle de 2004) comme le précise la loi de 1905.

« Ils considéraient le patriarcat oriental comme une forme de folklore inoffensif. »
Enfin, si l’idée de Clémentine Autain est de faire de l’abaya un vêtement comme un autre qui obséderait le gouvernement et « l’extrême droite », alors pourquoi parler des musulmans ? S’il s’agit d’un vêtement religieux, alors la proposition de Gabriel Attal concerne bien la laïcité.

Le plus choquant est que la députée considère que s’opposer à l’abaya revient à rejeter tous les musulmans. Elle prend une position théologique où elle s’aligne sur une interprétation extrémiste de l’islam qu’elle considère comme l’islam tout court. Elle reprend ainsi un des éléments de langage de l’islamisme qui assigne tous les musulmans à leur frange radicale. Pour caresser l’islamisme dans le sens du voile, elle balaye d’un revers de main tous les musulmans qui ne reconnaissent pas ces vêtements comme religieux. Au-delà du calcul électoral, sa vision stéréotypée, orientaliste, paternaliste de l’islam et des musulmans est un stigmate post-colonial des colons « bienveillants » d’antan. Ils n’imaginaient pas les musulmanes autrement que dissimulées sous un voile et des vêtements amples. Ils considéraient le patriarcat oriental comme une forme de folklore inoffensif.

La dernière phrase du tweet de Clémentine Autain est la cerise sur le gâteau : « À peine rentrée, la macronie tente déjà de prendre le RN par la droite. » Il est vrai que l’extrême droite tente de récupérer la laïcité, moins pour la défendre que pour lutter contre les musulmans associés à « l’immigration massive » et qui porteraient atteinte aux « racines chrétiennes de la France ». C’est exactement la même récupération qu’opère l’islamisme politique qui se présente comme meilleur défenseur de la laïcité que les associations laïques.

Clémentine Autain reprend les éléments de langage de l’islamisme politique pour désigner toute opposition à l’islamisme comme étant « d’extrême droite » et contre les musulmans. On ne combat pas l’extrême droite nationaliste en s’alliant à l’extrême droite musulmane (et à sa vision réactionnaire des rapports entre les femmes et les hommes), sauf à vouloir renforcer les deux, affaiblir celles et ceux qui s’y opposent et ostraciser toujours un peu plus les musulmans qui ne se reconnaissent pas dans l’islamisme.

Pour tous les intégrismes religieux, l’école est une conquête fondamentale. Aucun établissement scolaire ne doit céder le moindre centimètre. Chaque « accommodement » n’est qu’un renoncement qui fait reculer la République. LFI, à rebours des valeurs émancipatrices et laïques de gauche, fait ainsi une nouvelle démonstration de sa contribution à ce recul.

Par Naëm Bestandji

Politique- Un parti écolo ou un parti gauchiste ?

Politique- Un parti écolo ou un parti gauchiste ?

 

Des élus écologistes de premier plan, dont David Belliard, maire adjoint à Paris, l’eurodéputée Karima Delli et le député du Val-d’Oise Aurélien Taché, appellent, dans une tribune au « Monde », à créer les bases d’une culture politique écologiste renouvelée, radicale et pragmatique.

En fait, les auteurs posent la question de savoir si les écologistes doivent se confiner dans un rôle d’organisation gauchiste ou dans un rôle de véritable parti responsable et populaire.Une critique en creux de la NUPES et d’EELV.  NDLR 

 

Mégafeux, canicules, sécheresses, inondations… Nous vivons dans un paradoxe : la réalité nous rattrape et tout le monde, ou presque, parle d’écologie. Mais, nous le voyons, il n’y a pas d’écologie sans écologistes à la tête du gouvernement.

Le système à bout de souffle qui menace la planète et le vivant ne répond même plus aux attentes des citoyens. En plus de détruire la nature et d’épuiser nos ressources vitales, il dévore des sociétés entières, incapable de garantir la dignité humaine.

A qui profite le crime ? A une extrême minorité : les 63 Français aux patrimoines financiers les plus élevés polluent plus que la moitié de la population et aucun effort ne leur est demandé ! Lors d’un conseil des ministres , Emmanuel Macron a parlé de « la fin de l’abondance » … mais pour qui ? Il est temps de cesser de culpabiliser les classes moyennes et populaires, qui vivent au quotidien une sobriété énergétique et financière subie, sans qu’aucune alternative ne leur soit proposée !

C’est par la base et le consentement que doit naître le changement. D’ailleurs, beaucoup n’ont pas attendu et prennent leur part au niveau local, dans leur quotidien, au sein de leur famille.

Ils s’efforcent, avec souvent très peu de moyens, de changer leurs pratiques et d’adapter leurs modes de vie. C’est bien dans les territoires populaires qu’est née l’économie circulaire. Il est crucial pour permettre que ces gestes du quotidien s’amplifient et ne soient pas synonymes de privation, mais, bien au contraire, de mieux-être, que des politiques appuient et accompagnent ce changement : c’est vrai pour la mobilité avec une offre de transports en commun bien plus importante et à bas coût ou gratuite, c’est vrai pour une alimentation saine mais pas chère, ou encore pour l’accès au logement.

Nous trouverons le chemin du changement de mode de vie avec cette France des TER, des RER, des outre-mer, des oubliés de la République. C’est cette partie de notre société que le mouvement écologiste n’a pas réussi à convaincre, cette majorité culturelle dans les urnes qu’il n’a pas su correctement écouter et intégrer.

Notre parti a un premier échelon, trop souvent négligé en dehors des séquences électorales : les groupes locaux. La politique en France est descendante, dans ses pratiques et dans sa vision. C’est la méthode Macron et jacobine que nous dénonçons. Il est temps pour les écologistes d’incarner une autre manière de faire de la politique. Repartons des militants de terrain, structurons un maillage territorial de qualité.

Voile islamique : un accessoire de mode pour les ultra gauchiste

Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les ultra gauchiste ?

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les ultra gauchistes notamment les écolo Dingos considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le Figaro depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risque de faire éclater EELV

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risque de faire éclater EELV

Ce qu’il se passe chez EELV recouvre une évolution plus générale à gauche. La conquête du pouvoir ne se conçoit plus au centre mais aux extrêmes. A ce compte, toutes les surenchères sont bonnes à prendre Un papier du monde.

Le problème de l’extrémisme et de l’ultra gauchisme, c’est qu’il risque de faire éclater un parti écolo livré aussi aux ambitions personnelles ; cela d’autant plus que ce parti n’a pas de véritable colonne vertébrale idéologique véritable, ce qui autorise tous les excès . NDLR

Qui se souvient encore du score de Yannick Jadot aux élections européennes de 2019 ? Des espoirs que l’ancien militant de Greenpeace avait alors suscités dans la famille écologiste ? Le 26 mai de cette année-là, la tête de liste d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) avait remporté 13,48 % des suffrages exprimés, laissant loin derrière ses concurrents de gauche. La liste conduite par Raphaël Glucksmann n’avait enregistré que 6,19 % des suffrages exprimés, celle de La France insoumise (LFI), menée par Manon Aubry 6,31 %, réduisant à néant l’espoir de Jean-Luc Mélenchon de s’imposer comme l’opposant numéro un à Emmanuel Macron.

Pour les écologistes, une occasion historique se présentait de chambouler la hiérarchie de la gauche plurielle en supplantant le Parti socialiste, dynamité par la récente défaite de François Hollande.

La montée continue des préoccupations liées au réchauffement climatique donnait quelque crédit au pari. La stratégie était empreinte de bon sens. Elle consistait à renforcer l’assise locale du mouvement avant de revendiquer la conquête et l’exercice du pouvoir national dans le cadre d’un large rassemblement allant de la gauche au centre.

La première partie du contrat a été remportée haut la main. En témoigne la vague verte de 2020, qui a vu plusieurs métropoles, Lyon, Bordeaux, Strasbourg, basculer aux mains des écologistes. La seconde partie, beaucoup plus aléatoire au regard de l’histoire du mouvement, a en revanche débouché sur un fiasco. Yannick Jadot a terminé la présidentielle avec moins de 5 % des suffrages exprimés au terme d’une campagne qui n’a jamais décollé.

EELV, qui revendique 11 000 adhérents, est de nouveau en proie à de graves déchirements internes autour d’une réforme des statuts maladroitement conduite par sa direction. Seule l’élection de vingt-trois députés Verts en juin sauve un peu la mise, à ceci près que la plupart des élus écolos doivent leur victoire au bon vouloir de Jean-Luc Mélenchon.

En outre, le groupe est, en pleine rentrée parlementaire, déstabilisé par les accusations publiques portées par l’une de ses membres, Sandrine Rousseau, contre son coprésident, Julien Bayou. Désigné à la vindicte pour violence psychologique à l’égard de son ex-compagne, fait qu’il conteste, l’élu a dû se mettre en retrait de cette fonction avant de démissionner, quelques jours plus tard, de la présidence du parti. Selon le quotidien Libération, il vivait depuis trois ans sous la pression d’un collectif féministe informel qui lui reprochait sa conduite et enquêtait sur ses relations avec les femmes.

Un parti écolo ou un parti gauchiste ?

Un parti écolo ou un parti gauchiste ?

 

Des élus écologistes de premier plan, dont David Belliard, maire adjoint à Paris, l’eurodéputée Karima Delli et le député du Val-d’Oise Aurélien Taché, appellent, dans une tribune au « Monde », à créer les bases d’une culture politique écologiste renouvelée, radicale et pragmatique.

En fait, les auteurs posent la question de savoir si les écologistes doivent se confiner dans un rôle d’organisation gauchiste ou dans un rôle de véritable parti responsable et populaire.Une critique en creux de la NUPES et d’EELV.  NDLR 

 

Mégafeux, canicules, sécheresses, inondations… Nous vivons dans un paradoxe : la réalité nous rattrape et tout le monde, ou presque, parle d’écologie. Mais, nous le voyons, il n’y a pas d’écologie sans écologistes à la tête du gouvernement.

Le système à bout de souffle qui menace la planète et le vivant ne répond même plus aux attentes des citoyens. En plus de détruire la nature et d’épuiser nos ressources vitales, il dévore des sociétés entières, incapable de garantir la dignité humaine.

A qui profite le crime ? A une extrême minorité : les 63 Français aux patrimoines financiers les plus élevés polluent plus que la moitié de la population et aucun effort ne leur est demandé ! Lors du conseil des ministres de rentrée, Emmanuel Macron a parlé de « la fin de l’abondance » … mais pour qui ? Il est temps de cesser de culpabiliser les classes moyennes et populaires, qui vivent au quotidien une sobriété énergétique et financière subie, sans qu’aucune alternative ne leur soit proposée !

C’est par la base et le consentement que doit naître le changement. D’ailleurs, beaucoup n’ont pas attendu et prennent leur part au niveau local, dans leur quotidien, au sein de leur famille.

Ils s’efforcent, avec souvent très peu de moyens, de changer leurs pratiques et d’adapter leurs modes de vie. C’est bien dans les territoires populaires qu’est née l’économie circulaire. Il est crucial pour permettre que ces gestes du quotidien s’amplifient et ne soient pas synonymes de privation, mais, bien au contraire, de mieux-être, que des politiques appuient et accompagnent ce changement : c’est vrai pour la mobilité avec une offre de transports en commun bien plus importante et à bas coût ou gratuite, c’est vrai pour une alimentation saine mais pas chère, ou encore pour l’accès au logement.

Nous trouverons le chemin du changement de mode de vie avec cette France des TER, des RER, des outre-mer, des oubliés de la République. C’est cette partie de notre société que le mouvement écologiste n’a pas réussi à convaincre, cette majorité culturelle dans les urnes qu’il n’a pas su correctement écouter et intégrer.

Notre parti a un premier échelon, trop souvent négligé en dehors des séquences électorales : les groupes locaux. La politique en France est descendante, dans ses pratiques et dans sa vision. C’est la méthode Macron et jacobine que nous dénonçons. Il est temps pour les écologistes d’incarner une autre manière de faire de la politique. Repartons des militants de terrain, structurons un maillage territorial de qualité.

EELV : Jadot exclut la gauchiste Sandrine Rousseau

EELV : Jadot exclut la gauchiste Sandrine Rousseau 

L’ex-porte-parole d’EELV Sandrine Rousseau a multiplié les dérapages gauchistes et les critiques vis-à-vis de Jadot. Résultat, elle vient d’être logiquement exclue de la campagne du candidat d’Europe écologie les Verts. Elle avit notamment déclaré que les «grands stratèges politiques» de la campagne «sont justes nuls!». «Je deviens folle ! Ils se plantent sur tout… C’est un gâchis», avait-elle lâché, alors que le candidat écologiste ne décolle pas, embourbé sous la barre des 10% dans les sondages. Sandrine Rousseau regrettait également que Yannick Jadot ne parvienne pas à «imposer un récit», contrairement à Éric Zemmour et Emmanuel Macron. «Nous, on vend des chaudières!», a-t-elle fustigé.

La finaliste de la primaire se disait encore critique concernant la position de son candidat sur la guerre en Ukraine, la jugeant trop proche du chef de l’État. Yannick Jadot est par exemple favorable à l’envoi d’armes à la résistance ukrainienne, ce qui brusque une partie de l’aile gauche du parti. «À se mettre dans la roue de Macron, je ne vois pas ce qu’on gagne!», avait-elle regretté.  Le secrétaire national du parti, Julien Bayou, a d’ailleurs approuvé un peu plus tard dans la soirée son exclusion : «Elle a une nouvelle fois fait preuve de son expression personnelle au détriment de l’effort collectif de la campagne. Qu’elle laisse les personnes qui veulent faire progresser l’écologie faire campagne».

 

Pour la gauchiste Sandrine Rousseau , Mélenchon et Jadot dans le même sac

Pour la   gauchiste Sandrine  Rousseau , Mélenchon et Jadot dans le même sac

Sandrine Rousseau, la candidate battue à la primaire des écolo continue de faire valoir sa différence de gauchiste en considérant finalement que Jean-Luc Mélenchon est le candidat le plus sérieux pour elle. «Je salue Jean-Luc Mélenchon pour lequel j’ai le plus grand respect. J’ai le plus grand respect pour son parcours politique, j’ai le plus grand respect pour toutes les valeurs qu’il porte», a d’abord déclaré « l’économiste ». Sur beaucoup de sujets, elle assure être en accord avec celui qui est pour le moment le concurrent le plus sérieux de son camp. Sur la sortie des traités européens de libre-échange, pour laquelle plaide l’Insoumis, l’ancienne candidate se dit par exemple d’accord, estimant que «le capitalisme libéral tel qu’on l’a actuellement» est le «système qui nous met le plus en danger».

 

Bref Sandrine Rousseau cultive son extrémisme sur tous les terrains jusqu’à y compris considérait Mélenchon comme plus séduisant que Jadot. La preuve sans doute que l’écologie politique est largement tirée par le gauchisme économique, social et sociétal. En tout cas Sandrine Rousseau voudrait faire perdre son camp qu’elle ne s’y prendrait pas autrement. Bref les vieux démons des écolos qui préfèrent perdre mais rester politiquement purs. Le contraire des écolos allemands.

 

«EELV : une officine gauchiste gangrenée par les idéologies radicales venues des Etats-Unis»

«EELV : une officine gauchiste gangrenée par les idéologies radicales venues des Etats-Unis»

 

. François de Rugy  justifie son départ d’EELV en 2015 et son ralliement à Emmanuel Macron en 2017, répond à ceux qui avaient vu son élection à la présidence de l’Assemblée comme l’élément d’un deal noué avec le chef de l’Etat. Les attaques contre ses anciens camarades des Verts rythment son nouveaulivre.  « Le mouvement écologiste français, parce qu’il a en grande partie fait le choix de ne parier que sur la peur pour se développer, au risque même de briser le consensus sur le rôle de la science, a peu à peu pris la posture de l’irresponsabilité. » Et Rugy de dérouler la liste des tabous écolos qu’il renverse comme on ferait un strike sur des quilles de bowling.

A terre les « discours extrêmement simplistes sur des sujets extrêmement complexes liés aux crises écologiques » : sobriété heureuse, biodynamie, médecines alternatives, collapsologie. Ils sont le fait de « charlatans de l’écologie », de « personnalités aux discours plus que douteux propulsées au rang de référence ».

L oin aussi du principe de précaution qui a pour seul effet de « développer un discours hostile au progrès scientifique. Un discours qui fait de la technologie, par principe, un objet de défiance et potentiellement porteur de dérives ». C’est ainsi que François de Rugy règle son compte à la folie des ondes – qui a créé, dans les milieux Verts, l’hostilité à la 5G comme au compteur connecté Linky, à l’anti-vaccinisme et à la technophobie en général.

Cela conduit l’ancien ministre à transgresser les deux interdits fondateurs de la pensée écologiste française. D’abord, la détestation du nucléaire. Rugy envisage désormais la technologie comme une part de la solution. « Dès lors que le nucléaire peut contribuer à répondre à grande échelle au défi de la crise climatique, la problématique change », écrit-il.

Ensuite, la haine des OGM. « Une vision intégriste de la question aboutit à un effet exactement inverse à l’objectif recherché : sur la betterave, par exemple, faute de pouvoir facilement pratiquer une sélection génétique autre qu’empirique, il a été nécessaire de réautoriser, de manière provisoire, l’utilisation de néonicotinoïdes (…). Alors même que le travail en laboratoire sur la sélection variétale permet d’envisager la création d’espèces de betteraves plus résistantes aux pucerons qui propagent la jaunisse de la betterave. »

Une volte-face que l’on pourrait lui reprocher ? Pas selon lui. « Une partie de ces convictions sont anciennes, et je ne pouvais pas les exprimer car j’aurais été excommunié lorsque j’étais militant vert, confie-t-il. Et pour le reste, j’ai changé d’avis en creusant les sujets. Il est terrible qu’en France on considère l’évolution comme un reniement. »

Du pouvoir, des homards… mais surtout de l’écologie ! son nouveau livre  offre ainsi un tableau impressionniste de la macronie qui, derrière la bienveillance et l’abolition des clivages, peut plonger ses responsables dans la solitude, voire les pousser vers des chausse-trappes. François de Rugy raconte ainsi comment, à sa nomination, les ministres de droite, Bruno Le Maire et Gérald Darmanin, tous les deux à Bercy, l’avaient pris à part pour lui expliquer que tout ce qui relevait de la fiscalité verte devait être médiatiquement porté par le ministre de l’Ecologie. Comme, par exemple, l’explosif dossier de la taxation du gazole non routier. Façon de le pousser sous les roues de camionneurs qui n’auraient pas manqué de hurler si François de Rugy avait endossé une hausse des taxes sur le GNR pour combler un trou dans le budget.

Ainsi, l’ex-militant d’Europe Ecologie-Les Verts aura-t-il traversé le quinquennat, fidèle à la majorité présidentielle, sans faire de bruit. « Trop peu de coups de gueule pour être très visible. Trop peu d’aspérités pour être rejeté. Votre objectif doit être de sortir de l’indifférence polie que vous suscitez dans l’opinion », lui a, un jour, glissé un communicant. A une reprise, il sortit de cette « indifférence polie ». Ce fut lors de l’affaire des homards. Il s’en serait bien passé. Il s’en passera à l’avenir. En 2022, François de Rugy ne sera pas candidat aux législatives. Il se concentrera sur son think tank, le Cercle Orion, et son mandat de conseiller régional en Pays de la Loire.

Mélenchon défend le carnaval gauchiste de Marseille

Mélenchon défend le carnaval gauchiste de Marseille

 

Il n’est pas surprenant que Mélenchon défende le carnaval de Marseille, véritable défi aux règles sanitaires, dans la mesure où cette manifestation a été essentiellement décidée et animée par les organisations gauchistes. Mélenchon une nouvelle fois de une posture résolument populiste notamment quand il déclare « Ce n’est pas les bons à rien qui sont juste capables de flanquer des amendes à tout le monde et de faire des gardes à vue qui vont nous expliquer ce qu’on doit faire à Marseille, parce qu’ils sont discrédités à nos yeux ».

« Les Français sont un peuple adulte et les gens qui participent à un carnaval le font en responsabilité, en sachant ce qu’ils sont en train de faire, en prenant certaines précautions ». Notons que la plupart des participants ne portait aucun masque lors de cette manifestation qui n’a pas été autorisée.

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