Archive pour le Tag 'tuer'

Budget 2025: une rigueur budgétaire qui va tuer la croissance

Budget 2025: une  rigueur budgétaire qui va tuer la croissance

Non seulement les prévisions de croissance sont sans doute comme d’habitude nettement surestimées mais la rigueur budgétaire va contribuer à tuer cette croissance insignifiante. Ainsi en 2025 il ne faut guère s’attendre à une croissance supérieure à 1 %. Alors que le gouvernement s’est engagé à réduire le déficit public de 6,1 % du PIB en 2024 à 5 % en 2025, l’OFCE estime que l’effort budgétaire prévu amputera la croissance de 0,8 point de PIB. Autant dire que dans la réalité  la croissance sera pratiquement réduite à zéro

L’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) dévoile un sombre tableau pour l’économie française en 2025. L’institut prévoit notamment une croissance modeste de 0,8 % en 2025, contre 1,1 % prévu cette année. Cette atonie serait en grande partie due aux efforts de redressement budgétaire inscrits dans le projet de loi de finances (PLF), qui débute cette semaine son parcours au Parlement. Alors que le gouvernement s’est engagé à réduire le déficit public de 6,1 % du PIB – environ 180 milliards d’euros – en 2024 à 5 % en 2025 – entre 140 et 150 milliards -, l’OFCE souligne que ces efforts amputeront la croissance de 0,8 point de PIB. Soit quelque 25 milliards d’euros de richesse produite en moins.

Projet de Budget 2025: une rigueur budgétaire qui va tuer la croissance

Projet de Budget 2025: une  rigueur budgétaire qui va tuer la croissance

Non seulement les prévisions de croissance sont sans doute comme d’habitude nettement surestimées mais la rigueur budgétaire va contribuer à tuer cette croissance insignifiante. Ainsi en 2025 il ne faut guère s’attendre à une croissance supérieure à 1 %. Alors que le gouvernement s’est engagé à réduire le déficit public de 6,1 % du PIB en 2024 à 5 % en 2025, l’OFCE estime que l’effort budgétaire prévu amputera la croissance de 0,8 point de PIB.

L’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) dévoile un sombre tableau pour l’économie française en 2025. L’institut prévoit notamment une croissance modeste de 0,8 % en 2025, contre 1,1 % prévu cette année. Cette atonie serait en grande partie due aux efforts de redressement budgétaire inscrits dans le projet de loi de finances (PLF), qui débute cette semaine son parcours au Parlement. Alors que le gouvernement s’est engagé à réduire le déficit public de 6,1 % du PIB – environ 180 milliards d’euros – en 2024 à 5 % en 2025 – entre 140 et 150 milliards -, l’OFCE souligne que ces efforts amputeront la croissance de 0,8 point de PIB. Soit quelque 25 milliards d’euros de richesse produite en moins.

Budget 2025: une rigueur budgétaire qui va tuer la croissance

Budget 2025: une  rigueur budgétaire qui va tuer la croissance

Non seulement les prévisions de croissance sont sans doute comme d’habitude nettement surestimées mais la rigueur budgétaire va contribuer à tuer cette croissance insignifiante. Ainsi en 2025 il ne faut guère s’attendre à une croissance supérieure à 1 %. Alors que le gouvernement s’est engagé à réduire le déficit public de 6,1 % du PIB en 2024 à 5 % en 2025, l’OFCE estime que l’effort budgétaire prévu amputera la croissance de 0,8 point de PIB.

L’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) dévoile un sombre tableau pour l’économie française en 2025. L’institut prévoit notamment une croissance modeste de 0,8 % en 2025, contre 1,1 % prévu cette année. Cette atonie serait en grande partie due aux efforts de redressement budgétaire inscrits dans le projet de loi de finances (PLF), qui débute cette semaine son parcours au Parlement. Alors que le gouvernement s’est engagé à réduire le déficit public de 6,1 % du PIB – environ 180 milliards d’euros – en 2024 à 5 % en 2025 – entre 140 et 150 milliards -, l’OFCE souligne que ces efforts amputeront la croissance de 0,8 point de PIB. Soit quelque 25 milliards d’euros de richesse produite en moins.

Le retour de Hollande pour tuer définitivement le PS

Le retour de Hollande pour tuer définitivement le PS
Discrètement mais sûrement François Hollande fait son retour d’abord grâce à une subtile manœuvre en se faisant élire député. Puis en revenant sur le devant de la scène pour réclamer le départ d’Olivier Faure  de plus en plus contesté en interne. Plusieurs figures lui reprochent d’avoir trop lié le mouvement à la rose à celui des Insoumis depuis la mise en orbite du Nouveau Front populaire (NFP) au début de la campagne des législatives. 

François Hollande pense à la nécessité de sortir de l’ambiguïté de l’alliance avec le parti de Mélenchon mais il pense aussi à lui comme recourt possible pour la candidature à l’élection présidentielle. Ce serait à coup sûr évidemment si cette hypothèse était retenue la mort certaine du parti socialiste. François Hollande par sa gestion n’aura pas laissé un grand souvenir, il a d’ailleurs appliqué pendant son mandat présidentiel la politique de son ministre de l’économie et  conseiller à savoir Macron. Comme changement au  parti socialiste ont fait mieux !

Pour un peu on irait rechercher, Ségolène Royal qui ne manquera pas de faire entendre aussi sa voix si originale le moment venu ! «Il aura en face de lui l’expression d’une autre ligne, il y aura une confrontation avec plusieurs motions», a martelé François Hollande, qui a plaidé en faveur d’«une nouvelle figure pour diriger le PS, et pour permettre ce rassemblement et cette ouverture.» Après avoir dirigé le parti socialiste entre 1997 et 2008, l’élu de Corrèze l’assure, faussement détaché : «La vie politique est faite comme ça, de successions.» …..Et peut-être même de retours.

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«L’intelligence artificielle va tuer l’homme 1.0»

«L’intelligence artificielle va tuer l’homme 1.0»

Laurent Alexandre,  chirurgien de formation, également diplômé de Science Po, de HEC et ancien élève de l’ENA, a fondé dans les années 1990 le site d’informations Doctissimo. Il publie ChatGPT va nous rendre immortels aux Éditions JC Lattès.  ( dans le Figaro)

 En quoi ChatGPT est en train de transformer le destin de l’humanité ?

Laurent ALEXANDRE - ChatGPT a lancé une course technologique mondiale qui conduit au dépassement de l’intelligence humaine par l’intelligence artificielle (IA) des décennies plus tôt que prévu. Pour Sam Altman, père de ChatGPT, l’IA devient le principal moteur de l’histoire. Le 13 mars 2024, Elon Musk a déclaré: «L’IA sera probablement plus intelligente que n’importe quel être…

 

Une vision à la fois scientifique mais aussi de sciences fiction parfois fantaisiste concernant la révolution cognitive.

D’après Laurent Alexandre, nous entrons dans un monde magique où nos désirs seront anticipés par les intelligences artificielles (IA) qui peupleront nos appareils connectés. Le développement de la réalité virtuelle va accentuer cette immersion dans un monde irréel et magique qui deviendra une drogue ultra-addictive. « Nous nous fixons un objectif : nous voulons attirer un milliard de personnes vers la réalité virtuelle », a déclaré Mark Zuckerberg, président de Facebook, à l’occasion de la présentation de son nouveau casque Oculus Go, le 11 octobre, à San José (Californie).
Les IA associées à la réalité virtuelle, même si elles ne seront pas dotées de consciences artificielles, pourront nous dire à tout moment ce qui est bon pour notre santé, ce qui maximisera notre jouissance, et nous indiquer ce que nous devons faire. Nous ferons tellement ­confiance à ces algorithmes que nous leur ­déléguerons la décision. Le vrai pouvoir sera ­concentré dans les mains d’une élite maîtresse des IA. Simultanément, la destruction de beaucoup de métiers créerait une énorme classe de personnes inutiles économiquement, et intellectuellement dépassées. Symptôme prémonitoire de cette évolution, en 2017, à la veille du tsunami de l’IA, 17 % des jeunes Français, entre 15 et 29 ans, sont déjà des NEETs (young people Not in Education, Employment, or Training, en français : jeunes qui ne sont ni scolarisés, ni en emploi, ni en formation). Ces citoyens confieront le sens de leur existence aux algorithmes.

Finances : la rigueur qui risque de tuer une croissance fragile

Finances : la rigueur qui risque de tuer une croissance fragile

Du fait de désengagement de Bruxelles, le gouvernement se voit contraint d’annoncer 10 milliards d’économies sur le budget. Des économies très virtuelles car cette rigueur pourrait peser sur une croissance déjà fragile. Le gouvernement avait en effet construit son projet de budget sur une perspective de croissance de 1,4%. Il ne compte plus désormais que sur une croissance d’à peine 1 %. Ensuite mécaniquement, il y aura baisse des rentrées fiscales avec moins de croissance. En outre avec la reprise du volume du chômage les aides sociales pesaient encore davantage sur le budget. Le problème central, c’est que le gouvernement ne veut pas s’attaquer au train de vie de l’État, aux innombrables institutions et organisations et à l’armée de fonctionnaires dont beaucoup sont inutiles et même nuisibles car ils sont largement responsables de la complexité administrative. On objectera que dans tel ou tel secteur il y a des manques d’effectifs. C’est oublier que dans les superstructures et les secteurs amont et aval de l’activité principale, on compte nombre d’improductifs sans parler de la productivité.

La croissance française devrait avoisiner les 1%, selon les nouvelles prévisions de Bercy. C’est 0,4 points de moins par rapport à ce que tablait le gouvernement. Mais qui dit baisse des prévisions de croissance, signifie réduction des dépenses. Le gouvernement compte ainsi rogner 10 milliards d’euros, une issue désormais nécessaire si l’exécutif souhaite juguler son déficit.

L’OCDE prévoit pour la France une croissance de 0,6%, selon son dernier rapport intermédiaire datant de février. Le gouvernement s’inquiète notamment du « nouveau contexte géopolitique », pointe Bruno Le Maire, avec le ralentissement économique de la Chine, qui a notamment un impact sur le commerce extérieur mondial. Le moteur de l’Europe, l’Allemagne, a également subi une déconfiture en 2023 avec une activité en repli, touchée de plein fouet par la crise de l’énergie er l’inflation.

Une inflation qui est d’ailleurs responsable de ces chiffres de croissance. « Le ralentissement économique, c’est le prix à payer de la victoire contre l’inflation », estime Bruno Le Maire. Mais ce qui hypothèque surtout de plus en plus le budget en France c’est le poids de la dette. La charge sur la dette, qui représente toutes les dépenses de l’Etat destinées au paiement des intérêts de sa dette, est passée de 35 milliards d’euros il y a peu à désormais plus de 50 milliards.

Foot : Ces supporters de Marseille qui vont tuer l’OM !

Foot : Ces supporters de Marseille qui vont tuer l’OM !

De toute évidence, certains supporters de Marseille confondent la posture de voyou et la posture de fan du club. Les violences ont été telles dimanche soir contre les cars transportant staff et supporters lyonnais que le match a du être annulé.

Après de tels incidents, il est clair que les autorités sportives voire judiciaires seront contraintes de prendre des mesures exemplaires non seulement contre les supporters voyous mais aussi malheureusement contre le club.

Ainsi plusieurs matchs pourraient être déplacés hors du vélodrome ou joué à huis clos. Et le moindre nouvel incident pourrait être entraîné des sanctions encore plus graves. Au total le club va être privé du soutien de son public, un soutien indispensable car le jeu de l’équipe est encore loin d’être satisfaisant et stabilisé. Le club va perdre aussi de très grosses recettes y compris sans doute de sponsors. Or les finances des clubs français sont particulièrement fragiles.

Le manque-à-gagner financier pourrait bien se traduire à la fin de la saison par la vente de plusieurs joueurs stratégiques. Et la plus grande menace serait alors la descente en seconde division. Surtout si de nouveaux incidents venaient à se traduire par une perte de points pour l’OM.

Le match de clôture de la dixième journée de Ligue 1 entre l’OM et l’OL a donc été annulé en raison de graves incidents avant la rencontre. Fabio Grosso a été blessé dans le caillassage du bus des joueurs et du staff.

Pas d’Olympico entre l’OM et l’OL ce dimanche soir, en clôture de la 10e journée de Ligue 1. Le match a donc été reporté en raison des graves incidents qui ont émaillé les heures avant la rencontre. Le bus transportant les joueurs et le staff lyonnais a été caillassé sur le chemin du Vélodrome. Deux vitres ont été brisées par deux pavés, Fabio Grosso et son adjoint ont été touché. Le coach de l’OL a dû se faire suturer le visage, touché au dessus de l’oeil.

L’arbitre François Letexier a expliqué la décision d’annuler le match dans une courte conférence de presse: « Une réunion de crise a eu lieu, elle a permis de prendre l’avis des parties prenantes à la suite des constatations des blessures des membres du staff lyonnais. L’OL ne souhaitait pas que la rencontre ait lieu. S’agissant de la décision de l’OL et du protocole que la Ligue a établi en la matière, la décision a été prise de ne pas débuter la rencontre. Elle n’aura pas lieu, la décision est désormais actée. La suite des événements ce seront des rapports établis aux autorités compétentes. »

La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, a réagi sur RMC: « Oui c’était la bonne décision. C’est totalement consternant. C’est révoltant, ces actes faits de haine, de bêtise, la négation même des valeurs du foot et du sport, c’est hallucinant. Il faut vite retrouver les auteurs, qu’ils soient sévèrement sanctionnés. Face à la gravité des faits, la Ligue prend la bonne décision. J’apporte tout mon soutien à l’OL, son entraîneur, son adjoint. J’ai une pensée pour les supporters qui se faisaient une joie de suivre ce match. Cette décision s’imposait. En termes d’équité sportive, c’était ce qu’il fallait faire. On a aussi besoin de marquer le coup. »

Ces supporters de Marseille qui vont tuer l’OM !

Ces supporters de Marseille qui vont tuer l’OM !

De toute évidence, certains supporters de Marseille confondent la posture de voyou et la posture de fan du club. Les violences ont été telles dimanche soir contre les cars transportant staff et supporters lyonnais que le match a du être annulé.

Après de tels incidents, il est clair que les autorités sportives voire judiciaires seront contraintes de prendre des mesures exemplaires non seulement contre les supporters voyous mais aussi malheureusement contre le club.

Ainsi plusieurs matchs pourraient être déplacés hors du vélodrome ou joué à huis clos. Et le moindre nouvel incident pourrait être entraîné des sanctions encore plus graves. Au total le club va être privé du soutien de son public, un soutien indispensable car le jeu de l’équipe est encore loin d’être satisfaisant et stabilisé. Le club va perdre aussi de très grosses recettes y compris sans doute de sponsors. Or les finances des clubs français sont particulièrement fragiles.

Le manque-à-gagner financier pourrait bien se traduire à la fin de la saison par la vente de plusieurs joueurs stratégiques. Et la plus grande menace serait alors la descente en seconde division. Surtout si de nouveaux incidents venaient à se traduire par une perte de points pour l’OM.

Le match de clôture de la dixième journée de Ligue 1 entre l’OM et l’OL a donc été annulé en raison de graves incidents avant la rencontre. Fabio Grosso a été blessé dans le caillassage du bus des joueurs et du staff.

Pas d’Olympico entre l’OM et l’OL ce dimanche soir, en clôture de la 10e journée de Ligue 1. Le match a donc été reporté en raison des graves incidents qui ont émaillé les heures avant la rencontre. Le bus transportant les joueurs et le staff lyonnais a été caillassé sur le chemin du Vélodrome. Deux vitres ont été brisées par deux pavés, Fabio Grosso et son adjoint ont été touché. Le coach de l’OL a dû se faire suturer le visage, touché au dessus de l’oeil.

L’arbitre François Letexier a expliqué la décision d’annuler le match dans une courte conférence de presse: « Une réunion de crise a eu lieu, elle a permis de prendre l’avis des parties prenantes à la suite des constatations des blessures des membres du staff lyonnais. L’OL ne souhaitait pas que la rencontre ait lieu. S’agissant de la décision de l’OL et du protocole que la Ligue a établi en la matière, la décision a été prise de ne pas débuter la rencontre. Elle n’aura pas lieu, la décision est désormais actée. La suite des événements ce seront des rapports établis aux autorités compétentes. »

La ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castera, a réagi sur RMC: « Oui c’était la bonne décision. C’est totalement consternant. C’est révoltant, ces actes faits de haine, de bêtise, la négation même des valeurs du foot et du sport, c’est hallucinant. Il faut vite retrouver les auteurs, qu’ils soient sévèrement sanctionnés. Face à la gravité des faits, la Ligue prend la bonne décision. J’apporte tout mon soutien à l’OL, son entraîneur, son adjoint. J’ai une pensée pour les supporters qui se faisaient une joie de suivre ce match. Cette décision s’imposait. En termes d’équité sportive, c’était ce qu’il fallait faire. On a aussi besoin de marquer le coup. »

BCE et taux : Statu quo pour ne pas finir de tuer l’économie

BCE et taux : Statu quo pour ne pas finir de tuer l’économie

La Banque centrale européenne comme d’ailleurs les autres banques centrales notamment la Fed pourrait bien faire une pause en matière d’évolution des taux d’intérêt. En cause, le contenu même de la politique monétaire. D’après l’orthodoxie monétaire le relèvement régulier des taux devait mettre fin à l’inflation. En vérité l’inflation certes en recul mais les prix continuent de progresser. De sorte qu’on cumule à la fois les deux inconvénients , un coup de l’argent particulièrement excessif et une économie qui ralentit dangereusement vers la stagnation.

En septembre et pour la dixième fois consécutive depuis juillet 2022, la BCE avait relevé tous ses taux directeurs de 0,25 point, s’établissant sur une fourchette entre 4% et 4,75%.

La présidente de l’institution, Christine Lagarde, avait alors refusé de dire si le « pic » avait été atteint dans cette trajectoire de hausse des taux sans précédent. Mais elle avait laissé entendre que le cycle touchait à sa fin. Elle a même réitéré dans une récente interview que le niveau des taux est désormais tel que, « maintenus pendant une période suffisamment longue », ils contribueront « de manière décisive » au retour « le plus tôt » possible de l’inflation à l’objectif de 2%.

Les données économiques maussades publiées ces dernières semaines plaident en effet pour laisser les taux inchangés, avec une activité faible qui pointe vers une contraction du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro au troisième trimestre. L’inflation a de son côté baisse mais pas les prix.

S’y ajoutent évidemment les risques géopolitiques avec un embrasement au Moyen-Orient qui pourrait faire flamber le pétrole et redonner vigueur à l’inflation.

François Villeroy de Galhau, fidèle comme d’habitude à l’orthodoxie financière, a réaffirmé la semaine dernière que, selon lui, la BCE devrait maintenir son taux directeur à son niveau actuel aussi longtemps que nécessaire. La baisse des taux n’est donc pas pour demain Il n’est pas envisageable certainement avant la fin de 2024.

Immobilier : vers des taux qui vont finir de tuer le secteur

Immobilier : vers des taux qui vont finir de tuer le secteur

La récente décision de la banque centrale européenne de relever les taux directeurs aura des conséquences sur l’ensemble de l’économie mais de façon plus particulière sur l’immobilier. Déjà en 2023 il faudra s’attendre sans doute à une baisse du nombre de crédits de presque 50 %. En cause l’inflation qui diminue la solvabilité des futurs acquéreurs. Ainsi un ménage qui pouvait emprunter 200 000 € avant ne peut plus emprunter que 150 000 € environ avec la montée des intérêts.

Il faut s’attendre rapidement des taux de l’ordre de 5 %

Economie- Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance

Economie- Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était vendredi autour de 89,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Inflation: Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance

Inflation: Le prix du carburant va tuer la consommation et la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était vendredi autour de 89,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Le prix du carburant va tuer la croissance

Le prix du carburant va tuer la croissance


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite. Jeudi, l’Opep+ précisera les nouvelles coupes qu’elle envisage, alors que la demande mondiale de pétrole augmente habituellement au dernier trimestre.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était en léger repli mardi dans la matinée, évoluant autour de 88,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Le prix du baril de pétrole va tuer l’économie

Le prix du baril de pétrole va tuer l’économie


En maintenant un niveau très haut le prix du baril de pétrole , les producteurs de pétrole et en particulier l’Arabie Saoudite risquent simplement de tuer la croissance mondiale déjà très molle. C’est l’Arabie Saoudite qui a pris l’initiative de réduire la production de 10 % pour augmenter les ressources financières dont elle a besoin. La conséquence notamment c’est d’amener le prix du carburant à environ deux euros pour l’utilisateur. Un prix excessif qui contribue largement à rogner le pouvoir d’achat des ménages avec aussi l’envolée des prix de l’alimentaire. En clair pour nombre de ménages du fait de l’alimentaire et du carburant, le pouvoir d’achat aura diminué de 25 % en deux ans. Une diminution qui n’a pas été compensée par l’augmentation des revenus conf contrairement à ce qu’affirme le gouvernement et certains experts. D’où d’ailleurs la montée de la pauvreté dans les couches sociales les plus fragilisées

Les prix de l’or noir sont au plus haut depuis la mi-novembre 2022, s’installant au-dessus des 88 dollars pour le baril de Brent, en raison de la réduction de l’offre de l’Arabie saoudite. Jeudi, l’Opep+ précisera les nouvelles coupes qu’elle envisage, alors que la demande mondiale de pétrole augmente habituellement au dernier trimestre.

Les prix du pétrole brut évoluent depuis la fin de la semaine dernière à leur plus haut niveau depuis la mi-novembre 2022. Le cours du baril de Brent était en léger repli mardi dans la matinée, évoluant autour de 88,5 dollars, après avoir atteint son meilleur cours depuis le 17 novembre 2022.

Le passage au-dessus des 88 dollars est soutenu, d’abord, par la réduction de l’offre de 1 million de barils par jour (mb/j) décidée unilatéralement par l’Arabie saoudite et appliquée depuis juillet. Elle bénéficie aussi du ralentissement économique en Amérique du Nord et en Europe, ainsi que d’une reprise plus faible que prévu en Chine qui limitent la croissance de la demande mondiale.

Pour l’Arabie saoudite, la question est de savoir si sa réduction de 1 mb/j sera reconduite en octobre et restera à ce niveau. En juillet, la production du royaume est tombée à 9 mb/j.

Retraites : La renaissance des gauchistes pour tuer l’unité syndicale

Retraites : La renaissance des gauchistes pour tuer l’unité syndicale

Il est clair que les syndicats ont fait preuve d’un grand esprit de responsabilité au cours des mois précédentes pour manifester avec force leur opposition à la réforme des retraites. Il y a longtemps que le mouvement syndical n’avait pas retrouvé une telle unité. Au-delà même du mouvement contre la réforme des retraites, on peut considérer que les syndicats ont reconquis une grande crédibilité auprès de l’opinion. Ce sera d’ailleurs sans doute le principal résultat pour l’instant de l’action de l’intersyndicale dont le poids désormais va peser autrement sur les négociations sociales plus globales sur la problématique plus générale du travail.

Il est clair qu’une telle unité qui suppose évidemment analyse, compromis mais aussi résultat ne plaît pas aux militants révolutionnaires de l’extrême gauche. Pour ces derniers la stratégie , c’est la révolution. La plupart d’ailleurs se réfèrent clairement à l’idéologie communiste notamment au sein de Sud rail.

Le plus ridicule dans l’affaire que c’est que ce sont encore des militants de Sud rail qui semblent à la tête d’un mouvement gauchiste qui prend forme d’une part pour dénoncer la stratégie de l’intersyndicale, d’autre part pour proposer la grève reconductible. En effet cette grève reconductible a bien été mise en application à la SNCF mais l’échec a été total en terme de mobilisation et de résultats. Pire les mouvements complètement anarchiques de Sud rail en général porte des coups fatals à une entreprise très fragile et soutenue à bout de bras financièrement par l’État.

Pour contourner ce gauchisme anachronique, la SNCF est contrainte progressivement de contourner les règles de l’entreprise pour développer des formes de sous-traitance.
Bref ce gauchisme, véritable maladie infantile du syndicalisme est le pire poison de l’unité et de l’efficacité syndicale. Face à l’intersyndicale désormais, des militants plus radicaux souhaitent donc s’organiser pour faire émerger une grève générale reconductible.

D’après le JDD, Laura Varlet ne veut plus jouer à saute-mouton. Comme plusieurs militants, la cheminote de Sud-Rail remet en cause la stratégie de l’intersyndicale qui, dans la contestation contre la réforme des retraites, a choisi d’espacer les journées de grève . D’où la comparaison, dans le milieu syndical, à cette gymnastique de cours de récréation. « Si nous avions mis les 13 journées de grève (19 et 31 janvier, 7, 11 et 16 février, 7, 11, 15, 23 et 28 mars, 6 et 13 avril, 1er mai, NDLR) à la suite, la France aurait été à l’arrêt », estime-t-elle et, par ricochet, le gouvernement aurait été obligé de retirer la réforme.!!!!

Le problème évidemment c’est que ces gauchistes qui ne sont pas capables de mobiliser dans leur entreprise transferent leurs fantasmes révolutionnaires sur l’ensemble du pays !

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