Archive pour le Tag 'prolongation'

Production d’ électricité–Prolongation des centrales nucléaires

Production d’ Électricité–Prolongation des centrales nucléaires

À l’origine des centrales nucléaires été conçues pour être exploitées pendant au moins 40 ans mais l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a autorisé la prolongation des plus vieux réacteurs jusqu’à 50 ans; EDF table désormais sur une durée de vie de 60 ans au moins .

Pour prolonger la durée de vie des centrales nucléaires Une concertation publique a été lancée ce 18 janvier, par le Haut Comité pour la transparence et l’information pour la sécurité nucléaire (HCTISN). Elle porte sur «les conditions de sûreté pour poursuivre le fonctionnement des vingt réacteurs de 1300 MW, après quarante ans». Chacun peut y participer.

La liste des installations concernées comportant ces autres types de réacteurs comprend deux réacteurs à Flamanville, deux à Penly, deux à Golfech ou encore quatre à Cattenom. Cette concertation marque le début du processus qui doit aboutir à prolonger l’exploitation de ces installations jusqu’à cinquante, soixante ans, ou même 80 ans comme aux États-Unis par exemple

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Électricité–Prolongation des centrales nucléaires

Électricité–Prolongation des centrales nucléaires

À l’origine des centrales nucléaires été conçues pour être exploitées pendant au moins 40 ans mais l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a autorisé la prolongation des plus vieux réacteurs jusqu’à 50 ans; EDF table désormais sur une durée de vie de 60 ans au moins .

Pour prolonger la durée de vie des centrales nucléaires Une concertation publique a été lancée ce 18 janvier, par le Haut Comité pour la transparence et l’information pour la sécurité nucléaire (HCTISN). Elle porte sur «les conditions de sûreté pour poursuivre le fonctionnement des vingt réacteurs de 1300 MW, après quarante ans». Chacun peut y participer.

La liste des installations concernées comportant ces autres types de réacteurs comprend deux réacteurs à Flamanville, deux à Penly, deux à Golfech ou encore quatre à Cattenom. Cette concertation marque le début du processus qui doit aboutir à prolonger l’exploitation de ces installations jusqu’à cinquante, soixante ans, ou même 80 ans comme aux États-Unis par exemple

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Prolongation des centrales nucléaires

Prolongation des centrales nucléaires

À l’origine des centrales nucléaires été conçues pour être exploitées pendant au moins 40 ans mais l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a autorisé la prolongation des plus vieux réacteurs jusqu’à 50 ans; EDF table désormais sur une durée de vie de 60 ans au moins .

Pour prolonger la durée de vie des centrales nucléaires Une concertation publique a été lancée ce 18 janvier, par le Haut Comité pour la transparence et l’information pour la sécurité nucléaire (HCTISN). Elle porte sur «les conditions de sûreté pour poursuivre le fonctionnement des vingt réacteurs de 1300 MW, après quarante ans». Chacun peut y participer.

La liste des installations concernées comportant ces autres types de réacteurs comprend deux réacteurs à Flamanville, deux à Penly, deux à Golfech ou encore quatre à Cattenom. Cette concertation marque le début du processus qui doit aboutir à prolonger l’exploitation de ces installations jusqu’à cinquante, soixante ans, ou même 80 ans comme aux États-Unis par exemple

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Glyphosate: La France appliquera la prolongation de 10 ans décidée par l’Europe

Glyphosate: La France appliquera la prolongation de 10 ans décidée par l’Europe

La prolongation de l’utilisation du glyphosate décidée par l’Europe s’appliquera donc aussi en France. D’une façon générale, beaucoup d’acteurs ont été surpris par cette décision européenne qui s’appuie sur le fait qu’il n’y a pas de produits de substitution suffisamment opérationnels aujourd’hui. Certains considèrent que cette prolongation va retarder d’autant justement les recherches sur des produits potentiels de remplacement. En tout cas d’après le gouvernement français, le pays appliquera la décision européenne.

Bruxelles s’apprête en effet à valider une «réhomologation» de cette molécule en Europe jusqu’à fin 2033. Jeudi, au terme d’un nouveau vote non conclusif des 27 États membres sur le sujet, la Commission a ainsi annoncé – comme elle le peut dans un tel scénario – qu’elle allait «procéder au renouvellement de l’approbation du glyphosate pour une période de dix ans, sous réserve de certaines nouvelles conditions et restrictions». Une décision qui a été sans surprise qualifiée de «scandaleuse» par le syndicat agricole Confédération paysanne, et de «rocambolesque» par la Ligue de protection des oiseaux (LPO).

Double langage du gouvernement avec la prolongation des antennes 5G Chinoises

Double langage du gouvernement avec la prolongation des antennes 5G Chinoises

En matière d’indépendance économique , de réindustrialisation du pays et même de sécurité, il y a les discours mais aussi les décisions. Des décisions souvent contradictoires avec les propos démagogiques. Ainsi discrètement la France vient autoriser la Chine a prolongé les antennes 5G chinoises implantées en France.

Alors que les antennes 5G de l’équipementier chinois sont censées être progressivement interdites dans les réseaux mobiles, le gouvernement a décidé de prolonger leur durée d’utilisation dans certaines villes. Sans doute sur pression de Bouygues et SFR.

Pour rappel, en 2019, la France a adopté une nouvelle loi visant à « préserver les intérêts de la défense et de la sécurité nationale » concernant « l’exploitation des réseaux radioélectriques mobiles ».
Rapidement baptisé « loi Huawei » par la presse, ce texte avait un objectif : écarter Huawei des réseaux 5G du pays, sur fond d’inquiétudes d’espionnage ou de coupure volontaire des réseaux par Pékin. L’idée était alors d’organiser le démantèlement progressif des antennes chinoises de SFR et Bouygues Telecom, sachant qu’Orange et Free ne disposent pas, de leur côté, de tels équipements.

Réacteur nucléaire : autorisation de prolongation au-delà de 30 ans

Réacteur nucléaire : autorisation de prolongation au-delà de 30 ans

Lentement mais sûrement EDF prolonge la vie de réacteur théoriquement conçu pour durer 30 ans mais qui pourrait être exploité sans dommage jusqu’à 60 ans sous réserve d’entretien. Une nouvelle prolongation vient d’ailleurs être approuvée pour les plus gros réacteurs. L’ASN approuve donc une part du programme d’EDF pour prolonger au-delà de 30 ans ses plus gros réacteurs

L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a approuvé les objectifs de réexamen présentés par EDF pour prolonger de 30 à 40 ans ses quatre plus gros réacteurs, tout en lui demandant de compléter certains éléments, selon une décision publiée mardi. «L’ASN considère que les objectifs généraux retenus par EDF pour ce réexamen sont acceptables dans leur principe», note le gendarme du nucléaire, à propos de ce 3e «réexamen périodique», décennal, prévu pour les réacteurs de 1450 mégawatts (MW).

MW». Ce 3e réexamen périodique permettra de définir les conditions de la poursuite du fonctionnement de ces réacteurs jusqu’à leurs 40 ans.

La loi en France impose à l’exploitant d’une installation nucléaire de réaliser tous les dix ans un réexamen, afin de revoir les risques .

La France compte 56 réacteurs, dont 32 de 900 MW, mis en service pour l’essentiel dans les années 1980, 20 de 1300 MW, et les derniers, de 1450.

Réforme des retraites: Le matraquage pro gouvernemental des « élites » sur Radio classique

Réforme des retraites: Le matraquage pro gouvernemental des « élites » sur Radio classique

 

Dans deux nombreux grands médias à un matraquage pro gouvernemental à propos de la réforme des retraites. Beaucoup d’ailleurs n’ont strictement aucune compétence en la matière mais ils reprennent tout simplement le discours à la mode dans les salons parisiens. Finalement des prises de position assez proche du café du commerce mais du café mondain. Certes le système des retraites doit être revu mais de façon équitable et efficace. Mais les élites proclamées  font l’économie de l’analyse d’une part d’un texte, d’autre part des réalités sociales. Rien d’étonnant à cela puisque la plupart des médias . de cette caricature de débat dans un article de « Marianne » qui rend compte d’un débat sur Radio classique soit au gouvernement sociaux grands financiers .

 

 

Pour parler de la réforme des retraites ce jeudi matin au micro de Radio Classique, Guillaume Durand a invité pas moins de trois personnalités. Des personnalités si différentes qu’elles étaient toutes d’accord entre elles. Comme l’animateur lui-même, d’ailleurs.

À 8 h 15, dans « Les stars de l’info », c’est Raymond Soubie, ancien conseiller social de Nicolas Sarkozy qu’a décidé d’inviter l’animateur. Que va bien pouvoir penser de la situation celui qui a conseillé le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin sur la réforme des retraites puis qui a organisé celle de 2010 sous Sarkozy et Fillon ? Le suspense est total. Autant que si l’on avait invité Jean-Paul Delevoye il y a 3 ans pour lui demander s’il était pour ou contre la réforme.

La première question de l’animateur donne le ton : « Mettons-nous tous les deux ce matin à la place du gouvernement, bien que nous ne soyons pas le gouvernement (la précision est utile) : est-ce que tout a été mis sur la table ? » Réponse de l’invité : « Presque tout a déjà été mis sur la table. » Si tout est accompli, les choses, devraient donc bien se passer ? Pas si sûr, selon l’invité, qui nous remémore la première tentative du président : « Je rappelle que les retraites, c’est un sujet douloureux pour Emmanuel Macron. » Hélas, les Français sont incapables d’empathie pour le chef de l’État, qui, d’après Monsieur Soubie, « garde un souvenir terrible de la crise des Gilets jaunes qui est partie sur le pouvoir d’achat mais qui s’est assez vite transformée en détestation politique y compris violente vis-à-vis du pouvoir. » Les factieux ont heureusement été mis hors d’état de nuire, même si, comme le déplore Guillaume Durand, on essaye encore de monter les riches contre les pauvres – alors que c’est tellement plus simple pour tout le monde de faire payer les pauvres.

L’ancien conseiller social en est tout cas convaincu : cette réforme, Macron « ne peut plus la reculer ni abandonner, il perdrait absolument toute crédibilité à l’intérieur du pays. » Et Dieu sait qu’elle est immense. Puis ce dernier d’exprimer un regret : que le président « ne l’ait pas fait passer avec le 1er 49.3 » C’est vrai que le gouvernement semble totalement ignorer ce recours.

 

Tout à coup, les trois hommes sont traversés par une fulgurance. Si cette réforme est l’évidence même, pourquoi n’emporte-t-elle pas l’adhésion de tous les Français ? La réponse jaillit, limpide, dans la bouche de Franz : c’est à cause des fake news. Puis d’égrener des déclarations de Sandrine Rousseau ou de Clémentine Autain dont on se demande quel rapport elles ont avec les retraites. Mais pas Guillaume Durand, qui demande, naïf : « On est dans l’idéologie ? » Tout le contraire de Radio Classique. L’animateur-ministre du Travail renchérit : « Y a des mensonges qui sont répétés, des mensonges d’ailleurs dénoncés par Macron ». Si c’est pas la preuve que c’en est, qu’est-ce que c’est ?

L’animateur-Haut-commissaire à la réforme pose ensuite une question ouverte qui fera date : « Quels sont d’après vous les deux ou trois gros mensonges qui sont racontés aux Français sur cette affaire-là ? » David Doukhan prend la question très au sérieux : « Les fake news, c’est un problème pour Emmanuel Macron parce qu’il sait pertinemment qu’il est lancé maintenant dans une bataille de l’opinion. » Avant cette désinformation, en effet, tout le monde était favorable à la réforme. Il ajoute : « Le problème de ces fake news, c’est qu’elles visent à déclencher l’embrasement. » Nous ne « fact-checkerons » pas cette affirmation car elle émane d’un complotisme autorisé, celui des élites. Le journaliste d’alerter : « La difficulté, c’est qu’en face, le gouvernement a des arguments, allez, on va dire très raisonnables et parfois un peu technocratiques. » Or tout le monde sait que c’est un gros problème quand on a, en face, affaire à des citoyens bas-de-plafond. Puis de conclure : « Attention à ce que cette bataille ne soit pas emportée par ceux qui manient le mensonge. » On ne comprend plus très bien : souhaite-t-il maintenant que le gouvernement échoue ?

Un peu plus tôt, à 8h12, l’éditorialiste Guillaume Tabard avait trouvé une autre raison au blocage de cette réforme si juste : le fait qu’il faille, comme Macron l’a préconisé à ses ministres : « expliquer, expliquer, et encore expliquer la réforme. » Si les Français sont contre, c’est naturellement parce que le gouvernement n’a pas suffisamment fait preuve de « pédagogie ». Et l’éditorialiste de se demander si « les Français vont supporter longtemps d’être les otages d’un mouvement social qui deviendrait radical » avant d’évoquer la « course à la radicalité et à la démagogie », la « radicalisation du mouvement » et « l’hystérisation du débat ». Il ne manquait plus que le « populisme » pour faire un « strike ».

Brexit-nouvelle prolongation des discussions ?

Brexit-nouvelle prolongation des discussions ?

C’est l’une des hypothèses les plus vraisemblables dans la mesure où les différends persistent sur trois sujets majeurs à savoir la concurrence, les moyens de contrôle de cette concurrence et la pêche.

Jusque-là, on a assisté à une partie de poker chaque camp affirmant ses positions et même les durcissant tout en prenant des précautions oratoires pour ne pas porter le chapeau d’une éventuelle rupture.

De toute évidence un accord ne sera pas possible avant le 31 décembre. Reste alors  que l’hypothèse d’une rupture ou d’une prolongation des négociations. Jusque-là Boris Johnson a toujours exclu de repousser encore la date du brexit mais il pourrait s’y résoudre pour des questions politiques et économiques.

Publiquement, chaque camp défend ses positions, réclame de l’autre des concessions et se dit prêt à une sortie de la Grande-Bretagne de l’UE sans accord, une perspective pourtant redoutée par les milieux économiques qui craignent de nombreuses perturbations dans leurs activités.

Clément Beaune, le secrétaire d’Etat aux Affaires européennes, a répété mardi sur RMC que la France n’hésiterait pas à opposer son veto à un projet d’accord, notamment si elle n’est pas satisfaite des propositions concernant la pêche.

Prolongation du remboursement des prêts PGE ?

Prolongation remboursement des prêts PGE ?

 

Les entreprises peuvent bénéficier garanti par l’État et n’ont aucun remboursement à effectuer la première année, puis il est remboursable dans un délai de 5 ans maximum. C’est cette première année blanche qui pourrait être doublée si la France obtient gain de cause auprès de la Commission. 

Quelque 590.000 PGE ont déjà été distribués, pour un montant total de 122 milliards d’euros, dont la moitié pendant le confinement, d’après les chiffres communiqués par Bercy début octobre. Majoritairement (95%) pour des TPE et PME.

Dans le cadre de ces PGE, les entreprises ont emprunté auprès des banques ces derniers mois à un taux de 0,25% pour un an. Les plafonds sont ensuite fixés à entre 1 à 1,5 % pour des PGE remboursés en 2022 ou 2023 et entre 2 à 2,5 % pour des PGE remboursés en 2024, 2025 et 2026. Les entreprises peuvent librement lisser le remboursement des prêts garantis par l’État sur une période maximale de 6 ans, comme le prévoit la loi de finances rectificatives du 23 mars 2020.

Brexit: prolongation jusqu’à quand ?

Brexit: prolongation jusqu’à quand ?

Nouveaux rounds de négociations pendant une quinzaine de jours en octobre. En faite personne ne veut vraiment prendre l’initiative de la rupture surtout en Europe. Du coup on négocie, on avance à pas d’escargot mais des problèmes fondamentaux restent en suspens. La négociation est sans doute d’autant plus difficile que derrière la position unanime européenne il y a aussi l’Allemagne qui serait prête à faire des concessions au Royaume-Uni. Bref comme d’habitude pour l’Allemagne la philosophie c’est mon business d’abord.. La chancelière allemande, Angela Merkel, montrée confiante sur la conclusion d’un accord avant la fin de l’année. « Je ne peux pas annoncer d’avancée », a-t-elle dit lors d’une conférence de presse à Bruxelles où se tient depuis jeudi un Conseil européen extraordinaire. « Tant que les négociations sur le Brexit continuent, je suis optimiste », a-t-elle ajouté.

La dirigeante allemande a souligné que l’accord post-Brexit annoncé cette semaine entre le Royaume-Uni et la Norvège « montre (…) que des accords peuvent être trouvés » sur la pêche. Le problème c’est qu’il n’y a pas que la pêche mais aussi la prise en compte des dispositions sociales, fiscales environnementales pour un accès au marché européen. Et dans le domaine le Royaume-Uni ne veut aucune contrainte européenne. En outre il y a toujours la très délicate question de l’Irlande du Nord ou le rétablissement d’une frontière de fait serait susceptible de réanimer un conflit entre Londres et les Irlandais. Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, s’entretiendra samedi avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, pour « faire le point sur les négociations et discuter des prochaines étapes », a déclaré vendredi son porte-parole. L’ambiance s’est sérieusement dégradée depuis le début de la semaine, avec l’adoption par la Chambre des communes de la loi britannique sur le marché intérieur. Ce qui a amené Bruxelles à annoncer, jeudi, l’ouverture d’une procédure d’infraction à l’encontre du Royaume-Uni pour la remise en cause du traité de sortie de l’Union signé en janvier dernier.

Pétrole: prolongation de l’accord de réduction qu’en juillet ?

Pétrole: prolongation de l’accord de réduction qu’en juillet ?

 

Le cartel pétrolier et d’autres pays producteurs comme la Russie, réunis sous le groupe Opep+, se sont entendus samedi pour prolonger d’un mois, jusqu’à la fin juillet, leur accord portant sur la réduction de production de pétrole. L’OPEP+ a également exigé que des pays tels que le Nigeria et l’Irak, qui ont dépassé leurs quotas de production en mai et juin, compensent par des réductions supplémentaires de juillet à septembre. Certains pays ont en effet des difficultés à respecter les quotas qui constituent pour certains l’essentiel voire l’unique ressource budgétaire. Tout dépendra en fait,  des conditions de la reprise en 2020. Certes cette reprise ne sera pas du même niveau que 2019 mais elle pourrait contribuer à augmenter la demande très atone et en dessous de la production

L’odieux marchandage nucléaire : fermeture de -Fessenheim contre la prolongation des autres

L’odieux marchandage nucléaire : fermeture de -Fessenheim contre la prolongation des autres

Paris vaut bien  une messe ! Ce qu’avait pensé Mitterrand (et Henri IV avant lui) en annulant le projet de centrale nucléaire de Plogoff. Grâce à ce renoncement,  on avait pu continuer le programme nucléaire sans trop d’opposition des écolos. La fermeture de Fessenheim pourrait être le prix à payer pour faire passer la prolongation de la durée de vie des centrales au-delà de 40 ans. En fait,  Fessenheim pourrait parfaitement aussi être prolongé mais c’est un symbole les écolos, pour Hulot surtout. Hulot a en effet besoin de symboles pour justifier sa position au sein de gouvernement auquel il apporte par ailleurs sa caution sur à peu près tous les sujets. Du coup,  on envoie, le jeune secrétaire d’État Sébastien Le Cornu négocier  les perspectives de fermeture de la centrale. Un jeune secrétaire d’État rompu à l’exercice des compromis bâtards. Pour preuve, il propose aux salariés privés d’emploi du fait de la fermeture de Fessenheim d’aller travailler en Allemagne.  « Ils manquent de salariés qualifiés là-bas » !  Le Cornu commencé sa carrière politique à 20 ans et n’a jamais fait  autre chose.  Il connaît les arcanes du pouvoir, le champ des possibles et des trahisons négociables. Il est clair que Nicolas Hulot a avalé une grosse couleuvre en reportant la réduction de l’électricité nucléaire vers 2030,  2035 ou 2040. Comme avec Notre dame des Landes,  il a besoin d’un affichage. Macron, lui,  a imposé le renoncement au mix énergétique sauf en ce qui concerne les gaspillages d’éoliennes improductives  (il en faudrait 2000 pour remplacer Fessenheim et on voit mal où on  pourrait les installer en Alsace).  Le secrétaire d‘Etat auprès du ministre de la Transition écologique, Sébastien Lecornu, a donc rencontré jeudi à Colmar (Haut-Rhin) les représentants du personnel de la centrale nucléaire de Fessenheim, tous opposés à sa fermeture, un échange inédit qualifié de “constructif” de part et d‘autre. Le dialogue a porté sur l‘avenir des 750 agents EDF et des 330 salariés sous-traitants employés sur la centrale, sur les emplois induits, dont un millier directement, mais aussi sur la réindustrialisation du bassin d‘emploi. Les deux réacteurs de 900 MW qui sont en service depuis 1977 sur les bords du Rhin devraient être mis à l‘arrêt en 2018 ou 2019 au moment de l‘entrée en service de l‘EPR de Flamanville dans la Manche, une centrale de nouvelle génération, fin 2018.

 

Marchandage Nucléaire : fermeture de Fessenheim contre la prolongation des autres

Marchandage Nucléaire : fermeture de -Fessenheim contre la prolongation des autres

Paris vaut bien  une messe ! Ce qu’avait pensé Mitterrand (et Henri IV avant lui) en annulant le projet de centrale nucléaire de Ploggoff, grâce à ce renoncement on avait pu continuer le programme nucléaire sans trop d’opposition des écolos. La fermeture de Fessenheim pourrait être le prix à payer pour faire passer la prolongation de la durée de vie des centrales au-delà de 40 ans. En fait,  Fessenheim pourrait parfaitement aussi être prolongé mais c’est un symbole les écolos, pour hulot surtout. Hulot a en effet besoin de symboles pour justifier sa position au sein de gouvernement auquel il apporte par ailleurs sa caution sur à peu près tous les sujets. Du coup on envoie,  le jeune secrétaire d’État Sébastien le cornu négocier  les perspectives de fermeture de la centrale. Un jeune secrétaire d’État rompu à l’exercice des compromis bâtards. Il a commencé sa carrière politique à 20 ans et n’a jamais fait  autre chose.  il connaît les arcanes du pouvoir, le champ des possibles et des trahisons négociables. Il est clair que Nicolas Hulot a avalé une grosse couleuvre en reportant la réduction de l’électricité nucléaire vers 2030,  2035 ou 2040. Comme avec Notre dame des landes,  il a besoin d’un affichage. Macron lui a imposé le renoncement au mix énergétique sauf en ce qui concerne les gaspillages d’éoliennes improductives  (il en faudrait 2000 pour remplacer Fessenheim et on voit mal où on  pourrait les installer en Alsace).  Le secrétaire d‘Etat auprès du ministre de la Transition écologique, Sébastien Lecornu, a rencontré jeudi à Colmar (Haut-Rhin) les représentants du personnel de la centrale nucléaire de Fessenheim, tous opposés à sa fermeture, un échange inédit qualifié de “constructif” de part et d‘autre. Le dialogue a porté sur l‘avenir des 750 agents EDF et des 330 salariés sous-traitants employés sur la centrale, sur les emplois induits, dont un millier directement, mais aussi sur la réindustrialisation du bassin d‘emploi. Les deux réacteurs de 900 MW qui sont en service depuis 1977 sur les bords du Rhin devraient être mis à l‘arrêt en 2018 ou 2019 au moment de l‘entrée en service de l‘EPR de Flamanville dans la Manche, une centrale de nouvelle génération, fin 2018.

Prolongation état d’urgence : les Français favorables à 80 %

Prolongation état d’urgence : les Français favorables à 80 %

De toute évidence le fossé ne cesse de ce creuser entre l’opinion publique et certaines élites (ou responsables)  à propos de la prolongation de l’état d’urgence. Les Français sont massivement pour. Certaines organisations très marquées à gauche ont manifesté samedi contre ce qu’ils  considèrent comme une atteinte aux libertés individuelles et collectives. Une manifestation qui a pu se dérouler de manière normale, ce  qui paraît logique dans un état démocratique. Le fait que cette manifestation u se soit déroulée normalement  témoigne de la relativité, voire de l’inexistence des atteintes aux droits fondamentaux même si l’état d’urgence impose quelques contraintes comme la possibilité pour la police de vérifier le coffre d’un véhicule. Quelque 79% des 955 sondés se disent « assez » ou « très favorables » à cette prolongation, contre 21% qui s’y disent assez ou très opposés, selon le sondage réalisé pour Atlantico.fr et publié samedi 30 janvier. À droite, la proportion de favorables monte jusqu’à 85% chez les sympathisants du Front national et 87% chez ceux des Républicains. À gauche, 83% des sympathisants du Parti socialiste se disent favorables, contre 65% parmi les sympathisants du Front de Gauche.

Centrafrique: prolongation de l’opération

Centrafrique: prolongation de l’opération

 

Il fallait s’y attendre la France est engagée non pas pour quelques mois mais sans doute des années en Centrafrique. Elle est en outre désespérément seule en dépit de renforts symboliques annoncés ici ou là (une centaine d’allemands !!).  Hollande s’est précipité sur ce conflit pour redore son image ; en clair refaire le coup du Mali mais les risques ont été mal appréciés et la France est engluée. Il fallait intervenir bien sûr mais avec l’accord et le soutien préalable de l’Europe. Des débats qui s’annoncent animés en raison des difficultés sur le terrain, mais qui devraient se solder par un vote favorable des deux chambres. La mort accidentelle dimanche d’un troisième soldat français en RCA est venue rappeler les difficultés auxquelles sont exposés les quelque 2.000 militaires déployés dans le pays.  Début décembre, le président François Hollande avait prédit une opération « rapide ». Mais de l’avis même du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, « ça sera plus long que prévu ».  Si le niveau de violence a en effet baissé à Bangui, le cycle des représailles entre chrétiens et musulmans a provoqué la fuite de dizaines de milliers de musulmans vers le nord et l’explosion de la criminalité provoquée par les groupes armés.  Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, défendra le bilan de l’opération vers 16H30 à l’Assemblée nationale et son intervention sera lue au Sénat par le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius. Le vote est attendu en fin de journée.  La consultation du Parlement est prévue par la Constitution pour les opérations extérieures qui se prolongent au-delà de quatre mois. Sangaris ayant débuté le 5 décembre, le vote aurait dû intervenir fin mars-début avril, mais les travaux du Parlement seront suspendus à cette période en raison des élections municipales.  Au plus haut niveau, les militaires réclament la poursuite de l’opération pour consolider les progrès accomplis pour sécuriser le pays. Selon le commandant de Sangaris, le général Francesco Soriano, l’intervention française devrait se poursuivre, « jusqu’à ce que l’opération de maintien de paix (de l’ONU) prenne le relai ».  Une opération sous casque bleu des Nations-Unies qui, selon les spécialistes, ne devraient pas se mettre en place au moins avant l’été. Et la présidente centrafricaine, Catherine Samba Panza, plaide pour sa part pour le maintien de Sangaris jusqu’aux élection en RCA prévues début 2015.  Plusieurs députés qui se sont rendus la semaine dernière à Bangui pointent des « erreurs d’appréciation » dans la préparation de l’opération et une « sous-estimation » du degrés de violence. Interrogations également sur le nombre de soldats français déployés, jugé globalement insuffisant, et le montant de la facture, dont la France doit pour l’instant s’acquitter seule. D’une manière générale, les parlementaires réclament une plus forte implication de l’Union Européenne et une accélération du processus des Nations-Unies pour déployer des casques bleus.  Au Sénat, où les débats qui relèvent de la défense sont relativement consensuels, la prolongation de l’intervention militaire devrait être votée sans trop de difficultés.  A l’Assemblée, les députés socialistes voteront également favorablement. Pour Jean-Paul Bacquet (PS), de retour de Bangui, il serait en effet « totalement irresponsable de voter le retrait ».  Les élus communistes devraient quant à eux s’abstenir et les centristes de l’UDI s’orientent vers « un soutien avec réserve » de la prolongation.  Plus critiques, les élus UMP reprochent à l’exécutif d’avoir engagé la France dans une affaire « à haut risque » sans en mesurer les conséquences. « La France venait là pour rejouer le scénario de Serval (l’opération militaire au Mali) et elle doit faire face à un Kosovo africain. Sangaris n’était pas du tout formaté pour ça », souligne le député Yves Fromion, également de retour de Centrafrique, pour qui un vote contre serait cependant « déraisonnable ».  L’opposition devrait donc se partager entre un soutien à la prolongation de Sangaris avec de fortes réserves, quelques votes contre et l’abstention.

 




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