Archive pour le Tag 'bla-bla'

Politique -Macron : le roi du  » bla- bla  » avec les agriculteurs

Politique -Macron : le roi  du  » bla- bla  «   avec les agriculteurs

Macron qui était  attendu au salon envisageait un grand débat avec les agriculteurs. L’exercice lui a souvent réussi même si le show du président ressemble souvent un grand bla-bla où  il est le seul à s’exprimer pendant des heures . Un grand débat qui ressemble surtout un grand meeting où le président se met en valeur. Si on devait caractériser Macron, on pourrait retenir qu’il est l’inventeur des sortes  de grandes messes pseudo démocratiques qui visent surtout à contourner les  organisations représentatives. Ce qu’il qualifie de grand débat se réduit en général à un one-man-show bavard, confus et souvent condescendant.

Les organisations agricoles ne sont pas tombés dans le piège cette fois et la proposition de Macon a tourné au fiasco. En cause une participation particulièrement hétéroclite et des agriculteurs pour l’essentiel choisis avec soin comme dans les conventions citoyennes et autres machins type « conseil de refondation » .

Encore une fois on pourra mesurer le temps d’intervention des participants réduit un peu de choses d’autant plus que la plupart des intervenants ne sont pas préparés à l’exercice.

C’est bien entendu une caricature de la démocratie car il s’agit surtout d’un exercice visant à mettre en valeur l’orateur. Sur le fond , on assistera à l’exercice préféré des énarques. Parler parler pour ne rien dire, noyer le propos dans des explications pseudo- économiques , dire tout et son contraire et surtout endormir le public et les journalistes. Des journalistes toujours friands de ce genre de grand raout et toujours prêts à applaudir d’autant que la plupart n’en connaissent pas plus que le président.

On retiendra quelques phrases , on soulignera  le haut niveau d’intelligence du président et quelques promesses. Cela fera là Une de la presse pendant une journée et le lendemain on passe à autre chose en oubliant pendant longtemps le contenu du grand débat de ce président si intelligent qui  encore une fois aura réussi à  endormir. Ou la confusion entre intelligence et bonimenteur et la confusion entre courage et exhibitionnisme médiatique.

 

Politique -Macron : grand débat  » bla- bla  » avec les agriculteurs

Politique -Macron :  grand débat  » bla- bla  «   avec les agriculteurs

Macron qui est attendu au salon envisageait un grand débat avec les agriculteurs. L’exercice lui a souvent réussi même si le show du président ressemble souvent un grand bla-bla où  il est le seul à s’exprimer pendant des heures . Un grand débat qui ressemble surtout un grand meeting où le président se met en valeur. Si on devait caractériser Macron, on pourrait retenir qu’il est l’inventeur des sortes  de grandes messes pseudo démocratiques qui visent surtout à contourner les  organisations représentatives. Ce qu’il qualifie de grand débat se réduit en général à un one-man-show bavard, confus et souvent condescendant.

Les organisations agricoles ne sont pas tombés dans le piège cette fois et la proposition de Macon a tourné au fiasco. En cause une participation particulièrement hétéroclite et des agriculteurs pour l’essentiel choisis avec soin comme dans les conventions citoyennes et autres machins type « conseil de refondation » .

Encore une fois on pourra mesurer le temps d’intervention des participants réduit un peu de choses d’autant plus que la plupart des intervenants ne sont pas préparés à l’exercice.

C’est bien entendu une caricature de la démocratie car il s’agit surtout d’un exercice visant à mettre en valeur l’orateur. Sur le fond , on assistera à l’exercice préféré des énarques. Parler parler pour ne rien dire, noyer le propos dans des explications pseudo- économiques , dire tout et son contraire et surtout endormir le public et les journalistes. Des journalistes toujours friands de ce genre de grand raout et toujours prêts à applaudir d’autant que la plupart n’en connaissent pas plus que le président.

On retiendra quelques phrases , on soulignera  le haut niveau d’intelligence du président et quelques promesses. Cela fera là Une de la presse pendant une journée et le lendemain on passe à autre chose en oubliant pendant longtemps le contenu du grand débat de ce président si intelligent qui  encore une fois aura réussi à  endormir. Ou la confusion entre intelligence et bonimenteur et la confusion entre courage et exhibitionnisme médiatique.

Politique -Macron : grand débat  » bla- bla  » avec les agriculteurs

Politique -Macron :  grand débat  » bla- bla  «   avec les agriculteurs

Macron qui est attendu au salon envisage un grand débat avec les agriculteurs. L’exercice lui a souvent réussi même si le show du président ressemble souvent un grand bla-bla où  il est le seul à s’exprimer pendant des heures d’un « grand débat » avec les agriculteurs . 

 

Si on devait caractériser Macron, on pourrait retenir qu’il est l’inventeur des sortes  de grandes messes pseudos démocratiques qui visent surtout à contourner les gens organisation représentatives. Ce qu’il qualifie de grand débat se réduit en général à un one-man-show bavard, confus et souvent condescendant.

Il en sera de même sans doute pour ce grand débat avec les agriculteurs lors du salon. Encore une fois ce ne sont pas les organisations représentatives du secteur, les consommateurs, les responsables environnementaux qui prendront la parole mais les agriculteurs pour l’essentiel choisis avec soin comme dans les conventions citoyennes et autres machins type « conseil de refondation » .

Encore une fois on pourra mesurer le temps d’intervention des participants réduit un peu de choses d’autant plus que la plupart des intervenants ne sont pas préparés à l’exercice.

C’est bien entendu une caricature de la démocratie car il s’agit surtout d’un exercice visant à mettre en valeur l’orateur. Sur le fond , on assistera à l’exercice préféré des énarques. Parler parler pour ne rien dire, noyer le propos dans des explications pseudo- économiques , dire tout et son contraire et surtout endormir le public et les journalistes. Des journalistes toujours friands de ce genre de grand raout et toujours prêts à applaudir d’autant que la plupart n’en connaissent pas plus que le président.

On retiendra quelques phrases , on soutiendra le haut niveau d’intelligence du président et quelques promesses. Cela fera là une de la presse pendant une journée et le lendemain on passe à autre chose en oubliant pendant longtemps le contenu du grand débat de ce président si intelligent qui  encore une fois aura réussi à  endormir. Ou la confusion entre intelligence et bonimenteur et la confusion entre courage et exhibitionnisme médiatique.

Macron : « grand débat » bla- bla » avec les agriculteurs

Macron : « grand débat » bla- bla  » avec les agriculteurs

Macron qui est attendu au salon envisage un grand débat avec les agriculteurs. L’exercice lui a souvent réussi même si le show du président ressemble souvent un grand bla-bla où  il est le seul à s’exprimer pendant des heures d’un « grand débat » avec les agriculteurs . 

 

Si on devait caractériser Macron, on pourrait retenir qu’il est l’inventeur des sortes  de grande messe pseudos démocratiques qui visent surtout à contourner les gens organisation représentatives. Ce qu’il qualifie de grands débats se réduisent en général à un one-man-show bavard, confus et souvent condescendant.

Il en sera de même sans doute pour ce grand débat avec les agriculteurs lors du salon. Encore une fois ce ne sont pas les organisations représentatives du secteur, les consommateurs, les responsables environnementaux qui prendront la parole mais les agriculteurs pour l’essentiel choisis avec soin comme dans les conventions citoyennes et autres machins type conseil de refondation .

Encore une fois on pourra mesurer le temps d’intervention des participants réduit un peu de choses d’autant plus que la plupart des intervenants ne sont pas préparés à l’exercice.

Il s’agit bien entendu d’une caricature de la démocratie car il s’agit surtout d’un exercice visant à mettre en valeur l’orateur. Sur le fond on assistera à l’exercice rréféré des énarques. Parler parler pour ne rien dire, noyer le propos dans des explications pseudo- économiques , dire tout et son contraire et surtout endormir le public et les journalistes. Des journalistes toujours friands de ce genre de grand raout et toujours prêts à applaudir d’autant que la plupart n’en connaissent pas plus que le président.

On retiendra quelques phrases chaque, on soutiendra le haut niveau d’intelligence du président et quelques promesses. Cela fera là une de la presse pendant une journée et le lendemain on passe à autre chose en oubliant pendant longtemps le contenu du grand débat de ce président si intelligent qui  encore une fois aura réussi à  endormir. Ou la confusion entre intelligence et bonimenteur et la confusion entre courage et exhibitionnisme

Macron à la télé: Un insupportable bla-bla

Macron à la télé: Un insupportable bla-bla

Ce n’est pas par hasard si Macron a décidé de parler avant son premier ministre. Il a en effet récupéré une partie de ses propositions d’Attal en y ajoutant quelques mesures ici ou là dans un discours qui relève davantage de l’auberge Espagnole que de la stratégie politique. En fait, Macron s’est largement inspiré des préoccupations du moment qui émergent des sondages pour y répondre par des mesures très partielles voire anecdotiques : exemple le pseudo service national à partir de la seconde qui ressemble davantage à une colonie de vacances qu’un service militaire ?

Curieusement, le président a utilisé l’expression de réarmement civique, lui qui n’a pas jugé bon de faire son service militaire. Le président veut limiter l’usage des écrans pour les enfants et leur apprendre à chanter la marseillaise. Il reprend la proposition de « tenue unique » pour les élèves mais pas avant 2026…. enfin peut-être. Face à l’insécurité et en particulier au trafic de drogue, Macron promet des opérations très médiatisées chaque semaine.

La seule mesure un peu nouvelle, elle aussi qualifiée de « réarmement » dans le domaine démographique concerne la mise en place d’un congé de naissance de six mois pour chacun des parents.

Pour le reste, c’est du bric-à-brac. On va encore faire appel à davantage de médecins étrangers en matière de santé, mieux coordonner privé et public. Parallèlement les médicaments seront moins remboursés.

Une allusion aussi aux couches moyennes qui travaillent en leur promettant d’être mieux récompensées mais comment ?

Un tout petit mot très timide sur la question de la délinquance des jeunes avec entre guillemets une « réponse pénale plus claire ».

Forcément aussi quelques mots pour l’agriculture en même temps que pour l’écologie.

Le flou artistique aussi sur la politique internationale et le minimum à propos de Gaza et des otages français..

Bref comme d’habitude, avec Macron s’est laissé aller à un insupportable bavardage pour couvrir la totalité des sujets est bien montrer que c’est lui le patron qui impulse, dirige et innove.

Macon a seulement adressé un carton jaune à sa ministre de l’éducation considérant qu’Amélie Oudéa-Castéra « a eu des propos maladroits » sur l’école publique.

Emmanuel Macron a confirmé l’organisation d’une cérémonie d’hommage aux victimes françaises des attentats du 7 octobre en Israël. « Le 7 février prochain, au monument pour les victimes du terrorisme » situé sur l’esplanade des Invalides à Paris, « je rendrai hommage à ces victimes aux côtés de leurs proches, de leurs familles et de tous ceux qui voudront nous y rejoindre ».

Le chef de l’Etat a rappelé que la France avait « perdu 41 de ses enfants » dans ces attaques et qu’elle avait « encore trois otages » français dans la bande de Gaza. « Nous nous battons pied à pied avec les autorités israéliennes, avec le Qatar, qui a un rôle décisif en la matière, avec plusieurs autres collègues pour les libérer », a-t-il insisté.

Politique-Macron à la télé : du bla-bla !

Politique-Macron à la télé : du bla-bla !

Peu d’observateurs auront été surpris par le discours du président de république qui une nouvelle fois s’est saoulé de mots à l’occasion de son allocution pour la nouvelle année. Comme d’habitude trois parties. La première pour souligner les difficultés de la période. La seconde pour montrer l’efficacité de l’action du gouvernement et la troisième l’affirmation que de 2024 sera une grande année.

Tout cela sent évidemment le réchauffé avec l’allusion à une conjoncture économique, politique sociale et même sociétale compliquée. Le rappel du peu de réformes efficaces et la promesse que 2024 sera celle des résultats. En creux, l’aveu que les résultats n’ont donc pas été à la hauteur jusque-là. Au-delà du fond particulièrement faible car il est difficile de dégager la moindre ligne directrice dans cette espèce de discours auberge espagnol, on note surtout que le président aura voulu arroser un peu tout le monde de mots qu’on veut entendre. Y compris de façon allusive voir complètement anecdotique comme par exemple la question de l’inflation celle de la sécurité ou encore le soutien à l’Ukraine.

On peut penser que ce discours comme d’habitude et l’addition de petits bouts de contributions disparates de conseillers qui ont voulu balayer la totalité des préoccupations des Français non pas tellement pour les traiter mais juste pour les évoquer.

C’est la méthode Macron, séduire avec du bla-bla que les interlocuteurs souhaitent entendre, promettre tout à tout le monde et en même temps et tout ramener à lui. Et certains experts hypnotisés du conclure qu’il est intelligent justement du fait de sa capacité à faire le perroquet de son auditoire.

Bref, un discours de fin de règne surtout de justification et de promesses d’efficacité. À noter sur le plan sémantique la curieuse expression du » réarmement » pour toute question sociétale. Un terme d’abord peu adapté et maladroit pour un président qui n’a pas considéré utile de faire son service militaire.

Politique-Macron à la télé : du bla-bla !

Politique-Macron à la télé : du bla-bla !

Peu d’observateurs auront été surpris par le discours du président de république qui une nouvelle fois s’est saoulé de mots à l’occasion de son allocution pour la nouvelle année. Comme d’habitude trois parties. La première pour souligner les difficultés de la période. La seconde pour montrer l’efficacité de l’action du gouvernement et la troisième l’affirmation que de 2024 sera une grande année.

Tout cela sent évidemment le réchauffé avec l’allusion à une conjoncture économique, politique sociale et même sociétale compliquée. Le rappel du peu de réformes efficaces et la promesse que 2024 sera celle des résultats. En creux, l’aveu que les résultats n’ont donc pas été à la hauteur jusque-là. Au-delà du fond particulièrement faible car il est difficile de dégager la moindre ligne directrice dans cette espèce de discours auberge espagnol, on note surtout que le président aura voulu arroser un peu tout le monde de mots qu’on veut entendre. Y compris de façon allusive voir complètement anecdotique comme par exemple la question de l’inflation celle de la sécurité ou encore le soutien à l’Ukraine.

On peut penser que ce discours comme d’habitude et l’addition de petits bouts de contributions disparates de conseillers qui ont voulu balayer la totalité des préoccupations des Français non pas tellement pour les traiter mais juste pour les évoquer.

C’est la méthode Macron, séduire avec du bla-bla que les interlocuteurs souhaitent entendre, promettre tout à tout le monde et en même temps et tout ramener à lui. Et certains experts hypnotisés du conclure qu’il est intelligent justement du fait de sa capacité à faire le perroquet de son auditoire.

Bref, un discours de fin de règne surtout de justification et de promesses d’efficacité. À noter sur le plan sémantique la curieuse expression du » réarmement » pour toute question sociétale. Un terme d’abord peu adapté et maladroit pour un président qui n’a pas considéré utile de faire son service militaire.

Macron à la télé lundi : un bla-bla de plus en plus inaudible

Macron à la télé lundi : un bla-bla de plus en plus inaudible

Sans doute alerté par la grogne des Français en général et en particulier à propos de la chute du pouvoir d’achat, l’Élysée a décidé brusquement d’une intervention à la télévision dimanche soir. Notons que deux sondages successifs montrent une nouvelle dégringolade du président de la république dans l’opinion. Il n’est pas certain que cette allocution soit très utile à la notoriété du président, les dernières interventions ont en effet été néfaste à sa popularité. .

Comme d’habitude , il va justifier son action et sa volonté réformatrice. La vérité, c’est que le pouvoir est actuellement prisonnier d’un attentisme dans beaucoup de domaines- peut-être école exceptée avec Attal même s’il se posent toujours de graves questions d’effectifs d’enseignants- . Ce président ne dispose plus d’aucune majorité ni dans le peuple où il n’est soutenu que par moins de 30 %, ni à l’assemblée nationale, ni même parfois dans son camp où on prépare déjà la succession (voir à cet égard les oppositions sur la loi immigration ou encore sur le budget).

Bref vraisemblablement encore une intervention inutile car le bla-bla macronien plein de contradictions et de vanité ne passe plus. Surtout Surtout sur la sécurité ou les violences se sont installées à la place de l’État de droit. Sur le fond c’est la politique qui est en cause mais aussi la personnalité même d’un monarque qui non seulement n’est pas aimé mais est littéralement haï par une partie de la population. De ce point de vue, le président aura bien du mal à terminer son quinquennat.

Macron à la télé: du bla-bla pour l’opposition

Macron à la télé: du bla-bla pour l’opposition

Comme prévu une intervention de Macron ont n’aura guère séduit l’opposition qui en gros considère que le chef de l’État n’avait pas grand-chose à dire et qu’il a meublé son propos avec du bla-bla. La seule mesure nouvelle de 100 € par véhicule et par an est considérée comme complètement anecdotique. En plus, une mesure qui comme la précédente ne sera pas réclamée par environ 40 % des les ayants droits.

Résumé des réactions

«Une intervention pour rien» pour le patron des Républicains (LR), Éric Ciotti, qui y voit même un «contre-feu à la victoire de la droite au Sénat» .

Le député du Nord du Rassemblement national (RN) Sébastien Chenu qui dénonce sur BFMTV une «sortie (…) pour masquer l’immense bide, l’immense claque qu’(Emmanuel Macron) vient de prendre aux élections sénatoriales», vantant l’arrivée de trois nouveaux sénateurs marinistes.

À gauche, Fabien Roussel, a fustigé ce dimanche toujours sur BFMTV un «bricolage avec des petits chèques» alors que le chef de l’État a annoncé une nouvelle aide allant jusqu’à 100 euros «par véhicule et par an» pour les ménages les plus modestes.

Du côté du PS, le premier secrétaire Olivier Faure a réprimandé un président «en survol au-dessus de son pays».

La chef des Insoumis à l’Assemblée nationale, Mathilde Panot a quant à elle qualifié Emmanuel Macron d’«incapable» sur X : «Macron ment. Le code du commerce permet à la Première ministre de bloquer les prix par simple décret».

Le député LFI Éric Cocquerel décerne à Emmanuel Macron le «titre de champion du baratin», peinant à comprendre l’utilité de son intervention télévisée.

La députée Europe Écologie-Les Verts Sandrine Rousseau s’est contentée d’un laconique «Bla. Bla. Bla.» sur X tandis que son collègue Julien Bayou a pointé du doigt «une interview pour ne rien dire» .

Macron à la télé dimanche : un bla-bla de plus en plus inaudible<

Macron à la télé dimanche : un bla-bla de plus en plus inaudible

Sans doute alerté par la grogne des Français en général et en particulier à propos de la chute du pouvoir d’achat, l’Élysée a décidé brusquement d’une intervention à la télévision dimanche soir. Notons que deux sondages successifs montrent une nouvelle dégringolade du président de la république dans l’opinion. Il n’est pas certain que cette allocution soit très utile à la notoriété du président, les dernières interventions ont en effet été néfaste à sa popularité. Le président va sans doute surfer sur la vague de récents événements comme la réception du roi d’Angleterre, la coupe du monde du rugby et la venue du pape pour tenter de récupérer quelques bribes de bonne humeur.

Comme d’habitude , il va justifier son action et sa volonté réformatrice. La vérité, c’est que le pouvoir est actuellement prisonnier d’un attentisme dans beaucoup de domaines- peut-être école exceptée avec Attal même s’il se posent toujours de graves questions d’effectifs d’enseignants- . Ce président ne dispose plus d’aucune majorité ni dans le peuple où il n’est soutenu que par moins de 30 %, ni à l’assemblée nationale, ni même parfois dans son camp où on prépare déjà la succession (voir à cet égard les oppositions sur la loi immigration ou encore sur le budget).
Bref vraisemblablement encore une intervention inutile car le bla-bla macronien plein de contradictions et de vanité ne passe plus. Sur le fond c’est la politique qui est en cause mais aussi la personnalité même d’un monarque qui non seulement n’est pas aimé mais est littéralement haï par une partie de la population. De ce point de vue, le président aura bien du mal à terminer son quinquennat.

Politique–le « bla-bla » de Macon ne passe plus

Politique–le « bla-bla » de Macon ne passe plus

Il se passe quelque chose de très particulier entre l’opinion et l’actuel président de la république. Certes beaucoup de présidents ont connu des baisses de popularité liées à leur inefficacité souvent et à l’usure du temps politique. Cependant Macron, lui ,cumule à la fois une grande faiblesse de soutien des Français mais en plus un rejet net et même une haine. Exemple le sondage qui montre que 70 % des Français considèrent la dernière intervention du président comme sans intérêt

En cause sans doute les bavardages incessants de l’intéressé qu’il multiplie surtout les médias à propos de tous les thèmes. De fait, le gouvernement déjà pas franchement sexy se trouve marginalisé par les interventions incessantes de Macron qui se substitue au premier ministre, aux ministres et même aux autres institutions en créant des machins bidons type conventions ou conseils de refondation.

Il faut dire aussi qu’il paye sans doute le prix de la lassitude des Français pour tous les bonimenteurs qui sont passés à la tête du pays. À commencer sans doute par Giscard, puis Sarkozy, Hollande et bien sûr Macron. ils ont tous la particularité d’avoir été de grands bavards à la fois assez incompétents et inefficaces. Sur la plupart des sujets centraux, ils n’ont guère maîtrisé la situation qu’il s’agisse de l’industrie, de l’économie en général, et des inégalités, de la santé, de la sécurité. Sous leur présidence le pays s’est affaibli dans tous les domaines au point parfois maintenant d’occuper le bas des classements des mauvais élèves par exemple en matière de gestion financière, d’industrie ou d’école.

Pourtant ils ont parlé, beaucoup parlé, promettant aussi de changer la qualité du débat démocratique. Résultat la démocratie française est également malade, le taux d’abstention atteint des records et les élus à tous les niveaux en fête ne sont soutenus que par autour de 15 % des électeurs potentiels. Macron en a rajouté une couche en écrasant toutes les institutions intermédiaires qui permettaient encore de faire remonter les réalités socio-économiques et politiques.

Le comble c’est qu’en plus Macron se montre condescendant et même méprisant. Il adapte en permanence la posture du monarque alors qu’il n’est qu’un petit président impuissant et contradictoire. Il aura bien du mal à terminer son mandat tellement le rejet de la population est maintenant massif.

Macron au journal « Le Parisien »: le même bla-bla qu’à la télé

Macron au « Parisien »: le même bla-bla qu’à la télé

Dans le journal « le Parisien », Macron se livre de nouveau à une sorte d’exercice de type programmatique. Évidemment, il justifie encore la réforme des retraites considérant au surplus que un investissement supplémentaire de sa part aurait réussi à mieux convaincre. Un reproche indirect au gouvernement et à sa première ministre, qui appréciera ! On mesure les limites du » mea culpa » de Macron qui se réduisent à la critique de ses collaborateurs.

Ensuite il ressort un thème très populiste concernant l’immigration. Certes la question est importante et complexe en même temps car la France a besoin d’une main-d’œuvre pour des emplois que les Français ne veulent plus ou ne sont plus assez nombreux. Elle est également complexe car au-delà des discours jusque-là les pouvoirs n’ont jamais été capables de faire le tri entre l’immigration souhaitée et l’immigration sauvage du fait des innombrables recours juridiques possibles . En outre dans ce problème on mélange les questions liées aux populations françaises d’origine étrangère , les personnes réellement immigrées légalement et les sans-papiers. Bref, un sujet sérieux mais avancé de manière démagogique.

Sur le thème du salaire on notera que le chef de l’État se limite à l’incantation en invitant les chefs d’entreprise à tenir compte de l’inflation pour fixer le niveau des salaires. Première observation la revalorisation du SMIC de la responsabilité de l’État ne suit pas et de loin l’inflation. Deuxième observation, l’État patron ne montre pas l’exemple en ne revalorisant pas suffisamment les salaires des fonctionnaires. Troisième observation,aucune incitation à la tenue d’une conférence sociale entre les partenaires sociaux. Bref du bla-bla comme d’habitude.

Sur les concerts de casseroles, entendus lors de ces récents déplacements, Emmanuel Macron se montre toujours aussi vindicatif et méprisant juge que « quand vous avez des gens qui sont là uniquement pour couvrir votre voix, voire vous jeter des choses, ce n’est plus une contestation, cela s’appelle de l’incivisme ». « Il faut faire attention parce que si l’on confond toutes les notions, on va faire dysfonctionner notre démocratie », avance-t-il.

En mal sans doute de priorités politiques majeures, le chef de l’État ajoute la transformation écologique et thermique des écoles comme si c’était la priorité alors que le problème dominant et la baisse dramatique du niveau des élèves.

Sur le terrain de l’éducation, Emmanuel Macron affirme qu’ »il y a trop d’écoles qui sont des passoires thermiques, où les enfants se les gèlent puis ont trop chaud ». « On va les rénover », promet-il. « On va lancer un grand projet de restauration écologique de nos écoles. On va mettre le financement là-dessus pour accompagner les communes qui ne le peuvent pas seules », a-t-il ajouté, sans pour autant détailler d’enveloppe ni de calendrier précis. Le président avait déjà annoncé en novembre son intention de prendre une « initiative » sur le sujet.

Macron termine avec les institutions en restant particulièrement flou, en ne promettant strictement rien et surtout pas de référendum pour l’instant.

Voeux Macron: Le bla-bla confirmé

Voeux Macron: Le bla-bla confirmé

Traditionnellement, les vœux d’un président de la république se résument à quelques souhaits de bonheur et de santé. Quelques minutes tout au plus. Le bavard président de la république actuel en a fait une nouvelle tribune rallongeant chaque année son propos. Aujourd’hui encore , le président a adopté la tonalité moralisatrice d’un curé de campagne pour débiter pendant 20 minutes son sermon.

Celui qui n’a cessé de reculer la réforme des retraites, cette fois le promet avec la certitude de ceux qui laissent déjà transpirer leur trouille .

Sur la réforme des retraites, Emmanuel Macron a confirmé son intention de lancer « rapidement » la réforme du système de retraites, en vue d’une application « dès la fin de l’été ».

« Cette année sera en effet celle d’une réforme des retraites qui vise à assurer l’équilibre de notre système pour les années et décennies à venir », a déclaré le président lors de son allocution télévisée.

Le problème ce qu’il pourrait bien y avoir un détournement de motifs conflictuels avec des mouvements plus ou moins corporatistes concernant la question centrale qui occupe les français; à savoir, la perte de pouvoir d’achat

Sur la question environnementale, le propos du président s’est montré relativement anecdotique, histoire de nourrir le soutien des naifs écolos qui espèrent encore la lune de sa part.

La France doit « gagner » la « bataille » de la « transition écologique », a déclaré Emmanuel Macron, promettant d’« accélérer le déploiement des énergies renouvelables » en parallèle du « lancement de la construction de nouvelles centrales » nucléaires. Il a également évoquer le déploiement des voitures électriques dans le cadre du plan France 2030.

Le président a voulu aussi rassurer sur la crise de l’énergie

Et tout de suite d’ajouter sa contradiction majeure« nous continuons de remettre en service nos réacteurs nucléaires comme prévu, nous y arriverons », a-t-il assuré.

Le président a aussi évoqué de manière assez brève le Covid . Sans doute aussi pour éviter d’avoir à s’expliquer sur la nouvelle crise des hôpitaux qui se double de celle des médecins généralistes. Bref, effectivement le bla-bla habituel d’autant que rien n’est certain en matière de réforme des retraites. Une réforme de plus en plus allégée puisqu’elle ne s’appliquerait pas aux fonctionnaires et régimes spéciaux grâce à la « clause du grand-père ». Une réforme qui par ailleurs serait différée dans le temps. Bref une réformette injuste et peu efficace.

Politique: Sécurité et Darmanin : beaucoup de bla-bla

Politique: Sécurité et Darmanin : beaucoup de bla-bla

À chaque événement qui met en cause la sécurité, Darmanin, Le ministre de l’intérieur, n’est pas avare de paroles pour affirmer la détermination de son ministère pour faire respecter la loi. De ce point de vue, darmanin beaucoup à Sarkozy, il parle beaucoup mais agit peu. C’est d’ailleurs d’une certaine manière l’aveu de l’ancien préfet de Paris qui vient de quitter ses fonctions qui considèrent que la France est au bord de l’explosion car plus personne ne respecte la moindre règle. En tout cas il y a assez de délinquants pour créer le désordre, la violence et l’anarchie dans le pays.

Dans beaucoup de domaines on tutoie l’anarchie et le respect des règles devient anecdotique un peu partout. Pire les forces de l’ordre, des représentants de la santé ou des pompiers sont attaqués. Sans parler des crimes quotidiens et des règlements de compte. Y compris dans la sphère de l’école.

Un sondage de l’IFOP Montrer d’ailleurs que les Français ne font pas confiance au gouvernement en matière de sécurité. 75% jugent que le bilan du locataire de la place Beauvau est négatif. Et ce n’est pas le meurtre abject de Lola qui les rassurera.

La principale suspecte, Dahbia B., était en situation irrégulière depuis trois ans et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis fin août. Invité de RTL le mardi 18 octobre, Gérald Darmanin s’est bien gardé d’évoquer les trois années d’irrégularité de la meurtrière : il avait seulement abordé l’OQTF, transmise il y a « à peine un mois ». En réalité, cette OQTF a été lancée le 21 août dernier, obligeant la personne concernée à quitter le territoire dans les trente jours. Un bémol, mais de taille : l’OQTF n’avait pas été notifiée à Dahbia B ; or l’OQTF devient effective une fois la notification reçue.

Le ministre est les membres du gouvernement justifient leur immobilisme le plus souvent en indiquant la responsabilité des pays d’origine des délinquants faisant l’objet d’OQTF. D’après eux, la France ne peut en effet contraindre au retour dans leur pays d’origine les individus quand les gouvernements étrangers concernés s’y opposent. Comme si il n’était pas possible de négocier une politique d’immigration intégrant y compris le retour des éventuels.

Du fait de cet immobilisme, les exécutions dOQTF sont complètement anecdotiques et n’atteingnent m^me pas 10 %.

Sécurité et Darmanin : beaucoup de bla-bla

Sécurité et Darmanin : beaucoup de bla-bla

À chaque événement qui met en cause la sécurité, darmanin, Le ministre de l’intérieur, n’est pas avare de paroles pour affirmer la détermination de son ministère pour faire respecter la loi. De ce point de vue, darmanin beaucoup à Sarkozy, il parle beaucoup mais agit peu. C’est d’ailleurs d’une certaine manière l’aveu de l’ancien préfet de Paris qui vient de quitter ses fonctions qui considèrent que la France est au bord de l’explosion car plus personne ne respecte la moindre règle. En tout cas il y a assez de délinquants pour créer le désordre, la violence et l’anarchie dans le pays.

Dans beaucoup de domaines on tutoie l’anarchie et le respect des règles devient anecdotique un peu partout. Pire les forces de l’ordre, des représentants de la santé ou des pompiers sont attaqués. Sans parler des crimes quotidiens et des règlements de compte. Y compris dans la sphère de l’école.

Un sondage de l’IFOP Montrer d’ailleurs que les Français ne font pas confiance au gouvernement en matière de sécurité. 75% jugent que le bilan du locataire de la place Beauvau est négatif. Et ce n’est pas le meurtre abject de Lola qui les rassurera.

La principale suspecte, Dahbia B., était en situation irrégulière depuis trois ans et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis fin août. Invité de RTL le mardi 18 octobre, Gérald Darmanin s’est bien gardé d’évoquer les trois années d’irrégularité de la meurtrière : il avait seulement abordé l’OQTF, transmise il y a « à peine un mois ». En réalité, cette OQTF a été lancée le 21 août dernier, obligeant la personne concernée à quitter le territoire dans les trente jours. Un bémol, mais de taille : l’OQTF n’avait pas été notifiée à Dahbia B ; or l’OQTF devient effective une fois la notification reçue.

Le ministre est les membres du gouvernement justifient leur immobilisme le plus souvent en indiquant la responsabilité des pays d’origine des délinquants faisant l’objet d’OQTF. D’après eux, la France ne peut en effet contraindre au retour dans leur pays d’origine les individus quand les gouvernements étrangers concernés s’y opposent. Comme si il n’était pas possible de négocier une politique d’immigration intégrant y compris le retour des éventuels.

Du fait de cet immobilisme, les exécutions dOQTF sont complètement anecdotiques et n’atteingnent m^me pas 10 %.

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