Archive pour le Tag 'mode'

Politique- Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode »

Politique- Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode » !!!

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les gauchistes notamment des islamo-gauchistes comme Sandrine Rousseau considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le » Figaro » depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi souvent eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Contrairement à ce qu’affirment des écolos islamo-gauchistes, la question du voile est un enjeu fondamentalement politique.

Société Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode »

Société Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode » !!!

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les gauchistes notamment des islamo-gauchistes considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le » Figaro » depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi souvent eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Contrairement à ce qu’affirment des écolos islamo-gauchistes, la question du voile est un enjeu fondamentalement politique.

Les femmes iraniennes sont avant tout descendues dans la rue pour protester contre le port obligatoire du hijab indique Azadeh Kian, professeure franco-iranienne de sociologie. « Le port du voile est rendu obligatoire dès le début de la révolution, en février 1979 en réalité, puis il est inscrit dans les lois à partir de 1980. Donc ça a toujours existé, les femmes sont obligées de porter le voile même les femmes étrangères qui visitent l’Iran. Les femmes iraniennes ont toujours montré leur désaccord avec le port obligatoire du voile en le portant mal, en laissant quelques mèches de cheveux dépasser. Et à partir des années 1990, ces patrouilles ont toujours tenté d’imposer le diktat du régime. »

Et le pouvoir iranien a fait du voile obligatoire l’un des fondements idéologiques du régime. « Et donc si les femmes refusent de le porter ou le portent mal, poursuit Azadeh Kian, pour le régime il s’agit de ne pas respecter des préceptes mais aussi de ne pas respecter l’idéologie islamiste du régime, donc c’est la raison pour laquelle c’est considéré comme le rejet des fondements même du régime islamique. »

Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les islamo-gauchistes !

Iran- Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les islamo-gauchistes ?


Il est évidemment particulièrement scandaleux que les gauchistes notamment des islamo-gauchistes considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le » Figaro » depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi souvent eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Contrairement à ce qu’affirment des écolos islamo-gauchistes, la question du voile est un enjeu fondamentalement politique.

Les femmes iraniennes sont avant tout descendues dans la rue pour protester contre le port obligatoire du hijab indique Azadeh Kian, professeure franco-iranienne de sociologie. « Le port du voile est rendu obligatoire dès le début de la révolution, en février 1979 en réalité, puis il est inscrit dans les lois à partir de 1980. Donc ça a toujours existé, les femmes sont obligées de porter le voile même les femmes étrangères qui visitent l’Iran. Les femmes iraniennes ont toujours montré leur désaccord avec le port obligatoire du voile en le portant mal, en laissant quelques mèches de cheveux dépasser. Et à partir des années 1990, ces patrouilles ont toujours tenté d’imposer le diktat du régime. »

Et le pouvoir iranien a fait du voile obligatoire l’un des fondements idéologiques du régime. « Et donc si les femmes refusent de le porter ou le portent mal, poursuit Azadeh Kian, pour le régime il s’agit de ne pas respecter des préceptes mais aussi de ne pas respecter l’idéologie islamiste du régime, donc c’est la raison pour laquelle c’est considéré comme le rejet des fondements même du régime islamique. »

Société- Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les gauchistes ?

Voile islamique : « un accessoire de mode » pour lesgauchistes ?

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les gauchistes notamment les écolo dingos considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le » Figaro » depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi souvent eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Voile islamique : un accessoire de mode pour les ultra gauchiste

Voile islamique : « un accessoire de mode » pour les ultra gauchiste ?

Il est évidemment particulièrement scandaleux que les ultra gauchistes notamment les écolo Dingos considèrent que la crise du voile islamique aussi bien en Iran qu’en Afghanistan ne constitue pas un symbole politique mais plutôt un accessoire de mode. C’est un particulier ce qu’a déclaré l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau.

Comme le rappelle le Figaro depuis plus de trois semaines, le régime clérical iranien réprime avec une brutalité inouïe des manifestations déclenchées dans tout le pays par la mort d’une jeune fille de 22 ans, Masha Amini, aux mains de la police religieuse. Plus de 150 personnes auraient été tuées par balle, battues et jetées des toits, des centaines d’autres blessées et des milliers arrêtées. Cette folie meurtrière, face à la plus longue vague de protestations qu’ait connue la théocratie islamiste en quarante-trois ans, révèle sa nature profonde – un pouvoir sclérosé, violent, corrompu et irréformable. C’est à cette aune qu’il faut apprécier sa haine d’Israël, sa diabolisation de l’Occident et sa quête de l’arme nucléaire.

Masha avait été arrêtée pour port «incorrect» du foulard islamique. Mais en France certaines féministe considère le port du voile comme un droit de la femme comme si en fait le voile islamique n’était pas devenu le véritable enjeu pour la représentation d’une liberté revendiquée.

Il y a sans doute longtemps que ceux qui soutiennent le droit du voile islamique n’ont pas vécu dans des pays totalitaire où la religion s’impose au politiques et à la démocratie. D’une certaine manière, ils soutiennent la domination, la terreur et les crimes au nom d’une pseudo liberté de révolutionnaires bobos de salon. Pas étonnant ce sont aussi eux qui pendant très longtemps ont soutenu Poutine.

Société–l’hyper consommation toujours à la mode

Société–l’hyper consommation toujours à la mode

L’anthropologue Fanny Parise décrypte, dans son dernier ouvrage, comment, à l’heure de l’urgence écologique, l’hyperconsommation en toute bonne conscience gagne la société. ( dans le Monde )

 

Livre.

 

Fanny Parise est une anthropologue française, spécialiste des mondes contemporains et de l’évolution des modes de vie. Elle aime passer ses soirées au bar du Mama Shelter, dans le 20e arrondissement de Paris. Un établissement que la presse a allègrement qualifié d’« hôtel-resto bobo ». Un symbole du cosmopolitisme, mais aussi d’un entre-soi social où les signes du pouvoir et de la violence socioculturelle abondent.

L’anthropologue tend l’oreille. Voilà que la jeune femme de la table d’à côté affirme fièrement avoir plaqué son job de « planeur strat’ » dans une grande agence de conseil pour faire le tour du monde en voilier – « le voilier de papa », sans grande surprise. Faisant profiter tout le restaurant de ses dires, elle clame bien fort qu’elle souhaite ainsi sensibiliser son entourage à la pollution des océans.

Une autre fois, la chercheuse entend un homme faire part de son plan de vie : partir à la retraite à 35 ans grâce à ses placements financiers et immobiliers. Il sera ainsi libre de se consacrer à des projets qui font « vraiment sens ». Il souhaite vivre sobrement, et même devenir frugaliste, se contentant du minimum.

Finalement, le Mama Shelter est un parfait terrain d’observation pour l’anthropologue, ce qui ne va pas de soi. Après tout, l’anthropologie a longtemps étudié des populations lointaines. Le sauvage, c’était l’autre. Mais « nous sommes également des sauvages », affirme Fanny Parise. Forte de cette idée, elle fait paraître un livre, Les Enfants gâtés. Anthropologie du mythe du capitalisme responsable, en grande partie centré sur le genre de spécimens croisés dans son bar fétiche. Un mythe omniprésent de nos jours, réponse factice à l’urgence écologique.


Pour détricoter ce mythe, l’anthropologue propose un voyage en « créatocratie » (« créato » pour création, « cratie » pour pouvoir). Un système – notre système – dans lequel ceux qui dirigent, soit ceux qui ont le pouvoir économique et politique, sont également ceux qui créent et contrôlent la culture.

Or, le système vacille. L’âge d’or de la consommation insouciante des pays occidentaux a fait son temps. Les élites sont en quête de légitimité culturelle. Il faut que la population continue de croire en elles pour justifier et sauver leurs positions sociales et le système capitaliste.

Pour ce faire, la culture créatocratique s’est métamorphosée : elle est désormais celle de la socio-éco-responsabilité, alibi du capitalisme, où règnent les valeurs sociétales et écologiques… en apparence en tout cas. Certes, les pratiques valorisées changent. Mais sous couvert de bonnes intentions, on passe sournoisement d’un « consommer mieux et moins » à un « consommer mieux et plus »… Bref, une hyperconsommation en toute bonne conscience.

Mode du Franglais: danger pour le français ? (Luc ferry et JM Rouart)

Mode du Franglais:    danger pour le français ? (Luc ferry et JM Rouart)

 

Le philosophe Ferry et l’académicien Rouart débattent dans le Monde de l’opportunité de faciliter l’emploi de l’anglais à l’université.

 

Adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, le projet de loi sur l’enseignement supérieur facilite l’emploi de l’anglais à l’université. La polémique qu’il suscite relève-t-elle d’un folklore français ? 

Jean-Marie Rouart : La France est un pays d’idées. Et les idées ont toujours été explosives. Quant à la langue française, elle est dans une situation effroyable. D’autant plus effroyable que les gouvernants et les Français ne s’en rendent pas compte.

Cette loi touche à l’être même du pays : la France est une idée. Et cette idée sans mots, eh bien, elle n’est plus rien ! Faut-il rappeler qu’il y a cinquante ans Emile Cioran, un Roumain, a lancé cet appel désespéré : « Aujourd’hui que cette langue est en plein déclin, ce qui m’attriste le plus, c’est de constater que les Français n’ont pas l’air d’en souffrir. Et c’est moi, rebut des Balkans, qui me désole de la voir sombrer. Eh bien, je coulerai inconsolable avec elle ! »

Là est le plus grave. Le problème n’est pas celui des anglicismes, c’est-à-dire du vocabulaire. Nous utilisons beaucoup de mots anglais, et cela peut être acceptable. Même si un snobisme fait rage, celui de créer des mots pseudo-anglais qui, dans cette langue, ne veulent rien dire.

Luc Ferry : Il y a une passion pour la langue française, et je la partage. Les fautes sont de plus en plus fréquentes. Nos hommes politiques les plus éminents n’y échappent pas : « Nous avons convenu… », « Vous vous en rappelez… », « La décision que j’ai pris », etc. Ce déclin m’est extraordinairement pénible. La langue, c’est un patrimoine et un espace de pensée communs. Mais ce phénomène n’a aucun rapport avec l’enseignement en anglais. Parler mal l’anglais n’est pas un gage de parfaite maîtrise du français. Le triste état de notre langue s’explique par deux grandes causes : derrière la prédominance de l’anglo-américain, il y a le fait que la culture contemporaine est devenue, pour l’essentiel, et pour son malheur, une culture scientifique et commerciale. Or, dans ce domaine, l’anglo-américain est dominant.

Par ailleurs, ni vous ni moi n’avons inventé le français. Tout comme la civilité (ou la politesse), il constitue un patrimoine héréditaire. Hélas, ils sont tous les deux en perdition sous les effets de l’immense mouvement de déconstruction des traditions et des patrimoines qui a caractérisé le XXe siècle.

Pour en revenir au projet du gouvernement, ne fallait-il pas adapter le droit à la réalité, l’emploi répandu de l’anglais dans l’enseignement supérieur ?

Autre problème, ce texte détricote la loi Toubon, seul geste d’indignation pour essayer de protéger la langue française. [Adoptée en 1994, elle vise à en protéger l'usage, notamment dans l'enseignement supérieur.]

L. F. : C’est la loi la plus absurde que l’on ait adoptée concernant l’université depuis que celle-ci existe ! Pourquoi, d’ailleurs, l’Académie française ne s’est-elle pas mobilisée lorsque les grandes écoles ont commencé à donner des cours en anglais ?

L’usage de l’anglais ne risque-t-il pas de se généraliser peu à peu, comme cela s’est vu dans le nord de l’Europe ?

L. F. : Le gouvernement assure qu’il n’y aura que 1 % de cours en anglais. Il n’y a donc pas de risque de généralisation.

M. Ferry affirme que les étudiants étrangers emporteront un morceau de la France dans leur cartable même s’ils reçoivent leur enseignement en anglais. Cela me paraît une bien étrange conception de la langue française et donc de la France.

On touche ici à l’idée de la France, et c’est ce qui déchaîne les passions. La langue française porte quelque chose de plus grand qu’elle-même, quelque chose de généreux que n’a pas l’anglais. L’anglais porte avec lui le commerce.

L. F. : La constitutionnalité de cette loi ne fait aucun doute. Je me suis intéressé aux écoles bilingues lorsque j’étais ministre de l’éducation nationale. Elles ont le droit d’utiliser l’allemand, l’italien, aussi bien que l’anglais, pourvu que cela ne dépasse pas un certain pourcentage. Elles n’enfreignent aucun principe constitutionnel.

J.-M.R. : Il est affligeant de constater l’absence de politique de la francophonie. Si l’on souhaite attirer des étudiants étrangers, que l’on commence par cela. Les pays francophones sont navrés de voir à quel point nous sommes laxistes, à quel point nous ne défendons pas notre langue. Les étudiants francophones préféreraient entendre cette langue, qui reste un chef-d’oeuvre. Ils ont l’impression que l’on met un drugstore dans la cathédrale de Chartres. D’ailleurs, beaucoup d’étrangers se sont convertis à notre langue : Eugène Ionesco, Romain Gary et bien d’autres. Descartes ne doit pas son succès au fait qu’il écrivait en latin. Montaigne et Rousseau n’ont-ils pas eu une égale renommée alors qu’ils écrivaient en français ?

L. F. : Si Spinoza, Leibniz et Descartes ont pu lire les ouvrages les uns des autres, c’est parce qu’ils s’exprimaient en latin, car la langue maternelle de Leibniz était l’allemand, celle de Spinoza le hollandais, et celle de Descartes le français. La langue commune était alors le latin. Aujourd’hui, c’est une position occupée par l’anglais. M. Rouart et moi-même nous entendons pour défendre le français. Ce qui nous différencie, c’est la question de la finalité de la loi sur l’enseignement supérieur.

Ce débat ne montre-t-il pas le malaise de la France dans la mondialisation ?

Nous avons une tradition jacobine qui s’est incarnée à gauche, même chez les communistes, autant qu’à droite chez les gaullistes – si tant est que l’on puisse considérer que le gaullisme est de droite. Cette tradition est présente dans le code Napoléon : le droit va de l’Etat vers la société civile. Il faut rappeler que la France est le plus vieil Etat-nation du monde.

J.-M. R. : La mondialisation est une catastrophe.

L. F. : Pas du tout.

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Franglais: l’Académie française dénonce la mode ridicule

Franglais:  l’Académie française dénonce la mode ridicule

 

Une nouvelle fois l’Académie française rappelle à l’ordre l’État sur l’utilisation abusive et ridicule du franglais. Sorte de nouveau latin de cuisine au vernis moderniste.

Trop de termes étrangers dans une langue peuvent la menacer, à terme, surtout lorsque les représentants publics usent et abusent d’expressions empruntées. C’est la conclusion de l’Académie française qui intime les pouvoirs publics à agir, en commençant par respecter eux-mêmes le français et à veiller à leurs bons usages de la langue.

L’institution évoque une « altération du sens et de la fonction des mots » (pour les terminaisons en « -ing » ou « -ty »), des « chimères lexicales composites assez indéfinissables » (« let’s cagnotte » (sic)), ou encore la suppression des articles ou la disparition des prépositions. Le tout a « des conséquences d’une certaine gravité sur la syntaxe et la structure même du français », estime l’institution, qui ajoute : « L’afflux massif [des anglicismes], instable, porte atteinte à l’identité et éventuellement à l’avenir de notre langue. »

L’Académie se dit ainsi « gravement préoccupée par le développement du franglais. Les violations répétées de la loi Toubon, qui a posé les règles de l’emploi du français dans la sphère publique, dénaturent notre langue, autant par l’invasion des termes anglo-saxons que par la détérioration qu’ils entraînent de sa syntaxe ».

Cette loi Toubon, adoptée en juillet 1994, vise à l’enrichissement de la langue, mais impose aussi une obligation d’utiliser des termes français aux personnes morales de droit public (autrement dit, les administrations) et les personnes de droit privé dans l’exercice d’une mission de service public (élus, fonctionnaires et autres). Ainsi, elle s’applique bien au président, comme aux membres du gouvernement et autres ministères.

Aussi, l’institution « alerte solennellement les pouvoirs publics et les invite en premier lieu à respecter eux-mêmes la loi », peut-on lire dans le communiqué. « Si ceux-ci ne réagissent pas vigoureusement, si l’opinion ne prend pas la mesure du danger qui le menace, le français cessera d’être la langue vivante et populaire que nous aimons ».

Un des problèmes est que le gouvernement et le président de la république en premier ne cesse de se saouler de ce franglais pour diffuser la « nov langue dont la start nation France aurait besoin ».

Le “wokisme” américain : à la mode en France

Le “wokisme” américain : à la mode en France

 

On se souvient peut-être que dans les années 70 80 le maoïsme était très en vogue dans les milieux intellos de gauche. Après la découverte des massacres, les mêmes intellos se sont recentrés sur le gauchisme de salon et maintenant sur le wokisme américain.  (tribune de François Jolivet dans l’Opinion)

 

Tribune

 

 

La mise au ban d’un professeur émérite de Sciences Po Grenoble pour avoir témoigné de son enfer au sein de l’établissement, après avoir été censuré au nom du « bien », met une nouvelle fois en lumière le « wokisme ». Un courant idéologique dont les adeptes se définissent comme « éveillés » ou « conscients » des injustices sociales.

Mais cette appellation est frauduleuse. Il s’agit plutôt d’une minorité bruyante qui fantasme un monde où le niveau de bonté de chacun dépendra directement de sa couleur de peau, de son origine, de son genre, de son orientation sexuelle, et non de ses propres actes. Un univers plus tout à fait parallèle, où accuser un professeur de racisme suffit à lui retirer le droit d’enseigner sans qu’il puisse se défendre. Un monde où l’histoire ne vaut rien, où la réalité ne vaut rien, où la contradiction constitue une faute morale. En cela, le « wokisme » réactive les pires techniques d’épuration de la pensée.

Ce qui caractérise alors ce courant, c’est d’abord l’arrogance compassionnelle de ceux qui pensent détenir la vérité. Ceux qui pensent être tellement irréprochables qu’ils peuvent tout reprocher aux autres, au passé, à l’histoire, à la langue. Le « wokisme » s’autoproclame comme sachant et expert des relations humaines. Ses promoteurs, souvent américanisés, ont fait de la France une cible car ils savent qu’elle fait encore barrage à leur pensée.

Alors au wokisme, il faut opposer la France.

D’abord, à ceux qui disent que la littérature française est une littérature « blanche », il faut rappeler qu’Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, Alexandre Dumas ou encore Félix Eboué, n’ont pas eu besoin de ce courant pour que soit reconnu leur immense talent. Et quel regard sur notre époque porteraient Voltaire, Rousseau, Hugo, eux qui se sont battus pour la liberté et contre l’injustice ?

En quelques décennies, nous sommes passés de la lutte pour l’abolition de la peine de mort à la lutte pour l’abolition de Blanche-Neige. De la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne par Olympes de Gouges, nous sommes passés à la déclaration de « Jeannedu78 » sur Twitter en écriture dite « inclusive ». D’ailleurs, cette écriture n’est qu’un cérémonial, un signe de ralliement. Tous les systèmes sectaires, pour communiquer, ont toujours utilisé des codes qui leur sont propres. Créer les mots et les signes pour créer la pensée est une vieille technique, presque religieuse, où le révélé est plus important que le démontré.

Ensuite, à ceux qui disent que la France est le pays le plus injuste du monde. Doit-on rappeler que c’est la France qui a porté́ la première les valeurs universelles qui faisaient de la couleur de peau une banalité, contre tous ceux qui voulaient en faire une fatalité́ ? Que c’est elle qui a porté́ en première les valeurs qui deviendront celles de Martin Luther King, lorsqu’il déclara en 1967 : « Ce qui compte chez l’homme, ce n’est pas la couleur de sa peau ou la texture de ses cheveux mais la pureté́ de son âme ». Et d’ajouter : « L’obscurité́ ne peut pas chasser l’obscurité́. Seule la lumière le peut. La haine ne peut pas chasser la haine. Seul l’amour le peut ». C’est le même message que celui porté par les penseurs du siècle des Lumières, 200 ans avant que ce discours ne soit prononcé. Préférons donc l’histoire de notre pays qui a fait de Gaston Monnerville, « homme noir », le président du Sénat de 1958 à 1968 alors que, dans le même temps aux Etats-Unis, on séparait les noirs des blancs dans les lieux publics. C’est cela la France. C’est cela la République.

«Les «wokes» sont les fossoyeurs des libertés individuelles et donc de l’existence même de l’individu»

Enfin, ceux qui pensent que le progrès social revient à réduire l’autre à sa couleur de peau, à son origine, à son genre ou à son orientation sexuelle, n’ont pas compris le projet français et son universalisme. La vocation de notre pays est d’élever l’autre en individu libre de son destin. A l’inverse, les « wokes » veulent institutionnaliser le pardon d’exister. Ils préfèrent installer un modèle de société communautaire où chaque être est assigné. Ils ne célèbrent pas la différence, ils ne font que la stigmatiser. Ils sont les fossoyeurs des libertés individuelles et donc de l’existence même de l’individu.

Cette idée française de la liberté est insoutenable pour les « wokes ». C’est la raison pour laquelle ce mouvement colonise aujourd’hui des lycées, des universités, des médias. Nous devons résister à cette pensée rampante et sournoise.

Alors face au « wokisme », nous devons faire France. Le combat qui doit nous mobiliser sans relâche est la restauration de l’égalité de tous en dignité et en droits. En confondant les individus pour ce qu’ils sont plutôt que ce qu’ils font, les tenants de l’idéologique « woke » trahissent le combat pour la justice sociale que la France a érigé en valeur fondamentale. Nous n’avons pas d’autres privilèges à assumer que celui d’être Français.

Alors, face au vent d’obscurantisme qui traverse aujourd’hui Sciences Po Grenoble ainsi que de nombreux établissements Français d’enseignement supérieur, je demande la mise sous tutelle de l’établissement et l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire sur la situation des universités Françaises.

François Jolivet est député LREM de l’Indre.

Mode Woke « L’Antiracisme devenu fou », de Pierre-André Taguieff

Mode Woke « L’Antiracisme devenu fou », de Pierre-André Taguieff 

 

Pour le politologue, Roger-Pol Droit, le nouvel antiracisme ne connaît plus que « Blancs » et « non-Blancs » et considère les « racisés » comme innocents par nature.

 

« L’Antiracisme devenu fou. Le “racisme systémique” et autres fables », de Pierre-André Taguieff, Hermann, 330 p., 25 €.

QUAND L’ANTIRACISME SE FOURVOIE

La déraison submerge-t-elle l’époque ? Annonces d’apoca­lypses, délires complotistes, aveuglements et haines de tout côté incitent à le croire. Parmi ces innombrables dévoiements où la raison se perd, le processus d’inversion de l’antiracisme en nouveau racisme n’est pas la moindre de ces aberrantes étrangetés. Le phénomène est connu mais encore trop souvent mal compris. L’historien des idées Pierre-André Taguieff y consacre son nouvel essai, à la fois polémique et documenté.

En quoi consiste, globalement, ce retournement du vieux combat humaniste en son contraire ? Au nom de l’égalité première de tous les êtres humains et de leur universelle dignité, l’antiracisme historique travaille à supprimer des discriminations sans fondement réel. Son idée fixe, son ultime objectif : effacer les couleurs de peau, faire qu’elles deviennent inessentielles.

Victimes par système

Le nouvel antiracisme ­semble faire l’inverse. Il ne connaît plus que « Blancs » et « non-Blancs », considère les « racisés » comme innocents par nature et victimes par système. Les « Blancs » sont déclarés coupables, quoi qu’ils pensent ou disent. Répandue à présent sous mille formes, cette vision possède, selon Taguieff, toutes les caractéristiques d’un nouveau racisme. Elle transforme des apparences physiques en une sorte d’essence morale et enferme les individus dans des cases imaginaires et fixes.

Dès lors, le social devient purement racial, les inégalités étant jugées liées uniquement aux races. Pire, séparation et ségrégation se métamorphosent en armes de luttes qui semblent bien n’avoir plus d’antiracistes que le nom, la stigmatisation des Blancs remplaçant celle des Noirs, une idéologie d’exclusion succédant à une autre – au risque d’affaiblir une fraternité plus nécessaire que jamais, au moment où perdurent et s’intensifient, partout, discours de haine et actes d’exclusion. Le tout en parfaite bonne conscience, puisque « seuls les Blancs peuvent être racistes », comme le soutient Robin DiAngelo, une sociologue américaine militante étudiant la blanchité.

Les méfaits de la « paranoïa saine »

Taguieff souligne les ravages de ce type de slogan en s’appuyant sur une documentation considérable. Il passe au crible des dizaines de publications, des années 1960 à nos jours, fustige les « pseudo-sciences » qui ont envahi les universités et dénonce les méfaits de la « paranoïa saine » prônée dès 1968 par William Grier et Price Cobbs dans Black Rage (« rage noire », non traduit). Cette paranoïa fait notamment de l’invisibilité du racisme « systémique » (attribué à l’Etat, aux institutions) la preuve même de son existence : il est d’autant plus efficace et terrible qu’il fait croire qu’il n’existe pas.

Ada, la cryptomonnaie à la mode

 Ada, la cryptomonnaie à la mode  

 

Un article du Wall Street Journal évoque le phénomène à la mode notamment de Ada. Après une brève hibernation estivale, les cryptomonnaies font leur retour en force. En ce moment, c’est ada, une création de Cardano, que tout le monde s’arrache.

Mais qu’est-ce que c’est ? Et comment est-elle devenue la troisième cryptomonnaie mondiale ? Portrait de la petite nouvelle.

Qui est Cardano ?

Cardano est une plateforme de blockchain décentralisée lancée en 2017 sous la houlette de Charles Hoskinson, le cofondateur d’Ethereum. Son ambition : devenir un réseau adaptable, durable et écologique, notamment en s’appuyant sur un protocole de minage moins gourmand en énergie.

Ada, c’est quoi ?

Ada est un jeton numérique : en d’autres termes, une cryptomonnaie. Elle repose sur la blockchain de Cardano et tire son nom de celui d’Ada Lovelace, mathématicienne du XIXe siècle souvent considérée comme le premier programmateur informatique.

Pourquoi son cours augmente-t-il ?

Les investisseurs se passionnant pour les cryptomonnaies, les « altcoins » (contraction de « alternative coins », nom donné aux alternatives au bitcoin) se sont multipliées. Parmi elles, l’ada a pris une longueur d’avance.

Sa dynamique récente s’explique en partie par un changement qui devrait être annoncé en septembre : Cardano devrait proposer des « smart contracts » (des « contrats intelligents » rédigés en code informatique et exécutables sans intermédiaire quand certaines conditions sont réunies) et pouvoir ainsi, selon certains, concurrencer le réseau Ethereum. C’est grâce à ces contrats que les NFT (pour « non-fungible tokens », ou jetons non fongibles) et les applications financières décentralisées fonctionnent.

Quelle est la différence entre Cardano et les autres réseaux de blockchain ?

L’une des principales différences entre Cardano et les autres grands acteurs de la blockchain, c’est le mécanisme de consensus (c’est-à-dire le système qui sert à vérifier les transactions).

Les réseaux de blockchain ont besoin de ces protocoles parce qu’ils fonctionnent sans autorité centrale, mais doivent tout de même authentifier et enregistrer des transactions.

La blockchain du bitcoin utilise par exemple un système baptisé « preuve de travail » (ou « proof-of-work ») : ceux que l’on appelle des mineurs valident les transactions réalisées dans la plus célèbre des cryptomonnaies, les consignent dans un registre et sont rémunérés en bitcoins.

Mais le protocole est de plus en plus critiqué (y compris par Elon Musk) pour sa consommation d’énergie et son impact sur l’environnement. En mai, le patron de Tesla a annoncé sur Twitter que le constructeur automobile n’acceptait plus les paiements en bitcoin en raison des inquiétudes liées « à l’explosion de la consommation d’énergie fossile provoquée par le minage et les transactions en bitcoins ».

Cardano, lui, utilise un mécanisme moins intensif en énergie : le « proof-of-stake », traduit par « preuve d’enjeu » ou « preuve de participation ». Sur son réseau, les détenteurs d’ada peuvent participer à la vérification des transactions, généralement en partageant une partie de leurs avoirs en ada avec des coopératives d’opérateurs qui font office de mineurs (ils traitent les transactions et produisent de nouveaux blocs).

Le choix des coopératives repose entre autres sur la quantité d’avoirs mis en jeu. Quand une coopérative est sélectionnée et produit un bloc, ses membres (souvent des détenteurs d’ada qui ont apporté une partie de leurs possessions) reçoivent une compensation financière, selon le site de Cardano.

Le réseau Ethereum est en train d’adopter le protocole de preuve d’enjeu.

Comment l’ada évolue-t-elle ?

Le cours de l’ada a doublé en l’espace d’un mois : vendredi dernier, elle valait 2,85 dollars, selon CoinDesk, contre environ 1,28 dollar fin juillet, soit une capitalisation de plus de 90 milliards de dollars, ce qui en fait la troisième cryptomonnaie mondiale derrière le bitcoin et l’ether, d’après Coinmarketcap.com.

En début d’année, l’ada valait moins de 20 cents : elle s’est donc envolée de près de 1 500 %. Le bitcoin, lui, a pris « seulement » 67 % en 2021, selon CoinDesk, quand l’ether gagnait près de 340 %.

Malgré cette performance, l’ada n’est pas la cryptomonnaie qui a le plus augmenté cette année : le prix revient au dogecoin, une blague devenue réalité qui a bondi de quelque 5 900 % depuis le début de l’année.

Quels sont les points forts de Cardano ? Et quels sont ses points faibles ?

Les partisans de Cardano soulignent la qualité de l’équipe de chercheurs du réseau, conçu par IOHK, une société spécialisée dans l’ingénierie de la blockchain. En mars, elle comptait environ 300 salariés et prestataires, avait indiqué Charles Hoskinson à Bloomberg.

« Dans le monde du bitcoin, certains disent sûrement que c’est très centralisé… Mais cela veut aussi dire qu’ils ont une équipe dédiée à la construction du réseau », observe Garrick Hileman, responsable de la recherche de blockchain.com, une société spécialisée dans les transactions en cryptomonnaie.

Par ailleurs, les frais de transaction facturés par Cardano sont moins élevés. Au printemps dernier, l’explosion de l’activité sur Ethereum a engorgé le réseau et fait grimper les frais.

D’autres, en revanche, s’interrogent sur les limites de Cardano et de l’ada, notamment tant que le réseau ne propose pas de contrats intelligents. En mai dernier, sur Twitter, le milliardaire Mark Cuban a demandé à Charles Hoskinson où et comment utiliser l’ada au quotidien, ajoutant qu’il pouvait répondre à cette question pour toutes les autres cryptomonnaies qu’il possède.

Par ailleurs, certains soulignent que le mécanisme de preuve d’enjeu de Cardano n’est pas utilisé depuis aussi longtemps que celui de la preuve de travail.

« Il est clair que la preuve d’enjeu est un peu plus expérimentale, c’est aussi pour cela qu’Ethereum y passe petit à petit », explique Garrick Hileman. « La preuve de travail fonctionne et s’est toujours révélée sûre » sur les grands réseaux de type bitcoin et Ethereum, ajoute-t-il.

Comment l’acheter ?

Vous pouvez vous procurer l’ada sur des bourses de type Kraken ou Coinbase Global ; certaines plateformes d’investissement destinées aux particuliers, dont l’israélienne eToro et SoFi Technologies, acceptent aussi son utilisation.

(Traduit à partir de la version originale en anglais par Marion Issard)

Alimentation : le bio à la mode… et à toutes les sauces

Alimentation : le bio à la mode… et à toutes les sauces

L’envie du bio, le besoin et même la demande ne cessent d’augmenter. Reste que se posent  de nombreuses questions sur le vrai caractère bio d’autant que la moitié de ces produits sont importés de l’étranger. Se pose aussi la question du prix qui n’est pas toujours justifié . Et il y a ce discours surdimensionné à l’égard des produits dits naturels

 

Leclerc a fait très fort dans une  pub : « on peut manger bio, boire bio, goûter bio, se laver bio sourire bio, s’hydrater bio, presser bio, assaisonner, picorer bio, mélanger bio etc. »  ne manque plus que respirer, penser, pisser bio.  Bref c’est la grande vague un taxe de la mode bio. Notons que sur la photo de la pub figurent des bananes lisses comme du plastique et qui ont dû échapper au traitement de DTT encore en vigueur dans de nombreuses exploitations bananières industrielles.

Subitement tout est devenu bio, même les prix qui ont pris un petit coup au passage. Certes on ne peut que ce réjouir sans doute de la tendance à vouloir manger et utiliser des produits plus naturels. Reste que le vrai bio constitue sauf rares exceptions une fumisterie ;  exemple quand des animaux sont élevés avec du soja au OGM provenant du Brésil ou d’ailleurs. Une partie non négligeable des engrais et autres pesticides s’évaporent avec l’eau et viennent arroser toutes les plantes sans distinction. Sans parler de la pollution  des nappes profondes.

Peut-on considérer qu’un produit est bio quand,  par exemple, il a effectué des milliers et des milliers de kilomètres, subi aussi des transformations sans parler de ses conditions réelles de production. Le vrai bio n’existe sans doute pas car tout est plus ou moins contaminé y compris par les l’emballage et les manipulations. Dans le bio encore plus qu’ailleurs les références constituent une véritable jungle et  sont complètement bidons. L’idéal est encore, quand c’est possible, de consommer des produits locaux dont on connaît les producteurs et ce n’est pas toujours une garantie suffisante. Pour un peu les grandes marques nous vendraient l’amour bio si elle pouvait !

Société- Jeunes et violence : le retour de la barbarie comme mode de régulation des rapports sociaux

Société- Jeunes et  violence : le retour de  la barbarie comme mode de régulation des rapports sociaux

 

 

 

Il est évident que le phénomène de la barbarie chez certains jeunes pris isolément ou organisés en bandes découle de plusieurs facteurs explicatifs. De ce point de vue, on notera que les sociologues engagés de l’extrême gauche sont peu enclins à travailler sur la problématique. Pas étonnant il y a aussi ce lien avec l’islamo gauchisme et la culture qu’il véhicule.

L’État porte évidemment une responsabilité du fait qu’il a abandonné depuis longtemps le terrain de l’autorité aussi bien dans l’espace public qu’à l’école ou ailleurs. Une autre responsabilité incombe évidemment aux familles où l’enfant devient roi ou bien complètement imperméable à toute contrainte familiale.

En plein abandon , certains jeunes nourris de vidéos sanguinaires font confondre le virtuel et la réalité, ils sont aussi influencées par les règles criminelles des réseaux de drogue et sont en recherche de réassurance identitaire. Il la trouve dans la bande et l’affrontement avec un groupement rival constitue le moyen de renforcer l’adhésion à la solidarité du groupe. Les affrontements se font souvent sur fond de concurrence de réseaux  de drogue mais pas toujours.

Il faut aussi reconnaître que la plupart des profils assez primaires et assez manichéens engagés dans des guerres pouvant même être de nature criminelle à la moindre occasion conflictuelle.

La véritable crise prend son origine dans l’abandon total de l’autorité par l’État, par les familles, par l’école et par la communauté citoyenne.

On ne résoudra pas cette question de manière simpliste car elle s’inscrit dans une crise de société plus générale où  l’intermédiation porteuse  des valeurs est elle-même en phase d’affaiblissement voire de disparition.

Une situation qui découle d’une société qui se replie sur l’individualisme et qui perd ses repères communs de vie sociétale et de responsabilité collective.  Et les crimes d’enfants entre eux sont une preuve supplémentaire de cette  décomposition sociétale.

Société- Jeunes et violence : la barbarie comme mode de régulation des rapports sociaux

Société- Jeunes et  violence : la barbarie comme mode de régulation des rapports sociaux

 

 

 

Il est évident que le phénomène de la barbarie chez certains jeunes pris isolément ou organisés en bandes découle de plusieurs facteurs explicatifs. De ce point de vue, on notera que les sociologues engagés de l’extrême gauche sont peu enclins à travailler sur la problématique. Pas étonnant il y a aussi ce lien avec l’islamo gauchisme et la culture qu’il véhicule.

L’État porte évidemment une responsabilité du fait qu’il a abandonné depuis longtemps le terrain de l’autorité aussi bien dans l’espace public qu’à l’école ou ailleurs. Une autre responsabilité incombe évidemment aux familles où l’enfant devient roi ou bien complètement imperméable à toute contrainte familiale.

En plein abandon , certains jeunes nourris de vidéos sanguinaires font confondre le virtuel et la réalité, ils sont aussi influencées par les règles criminelles des réseaux de drogue et sont en recherche de réassurance identitaire. Il la trouve dans la bande et l’affrontement avec un groupement rival constitue le moyen de renforcer l’adhésion à la solidarité du groupe. Les affrontements se font souvent sur fond de concurrence de réseaux  de drogue mais pas toujours.

Il faut aussi reconnaître que la plupart des profils assez primaires et assez manichéens engagés dans des guerres pouvant même être de nature criminelle à la moindre occasion conflictuelle.

La véritable crise prend son origine dans l’abandon total de l’autorité par l’État, par les familles, par l’école et par la communauté citoyenne.

On ne résoudra pas cette question de manière simpliste car elle s’inscrit dans une crise de société plus générale où  l’intermédiation porteuse  des valeurs est elle-même en phase d’affaiblissement voire de disparition.

Une situation qui découle d’une société qui se replie sur l’individualisme et qui perd ses repères communs de vie sociétale et de responsabilité collective.  Et les crimes d’enfants entre eux sont une preuve supplémentaire de cette  décomposition sociétale.

Jeunes et violence : la barbarie comme mode de régulation des rapports sociaux

Jeunes et  violence : la barbarie comme mode de régulation des rapports sociaux

 

 

 

Il est évident que le phénomène de la barbarie chez certains jeunes pris isolément ou organisés en bandes découle de plusieurs facteurs explicatifs. De ce point de vue, on notera que les sociologues engagés de l’extrême gauche sont peu enclins à travailler sur la problématique. Pas étonnant il y a aussi ce lien avec l’islamo gauchisme et la culture qu’il véhicule.

L’État porte évidemment une responsabilité du fait qu’il a abandonné depuis longtemps le terrain de l’autorité aussi bien dans l’espace public qu’à l’école ou ailleurs. Une autre responsabilité incombe évidemment aux familles où l’enfant devient roi ou bien complètement imperméable à toute contrainte familiale.

En plein abandon , certains jeunes nourris de vidéos sanguinaires font confondre le virtuel et la réalité, ils sont aussi influencées par les règles criminelles des réseaux de drogue et sont en recherche de réassurance identitaire. Il la trouve dans la bande et l’affrontement avec un groupement rival constitue le moyen de renforcer l’adhésion à la solidarité du groupe. Les affrontements se font souvent sur fond de concurrence de réseaux  de drogue mais pas toujours.

Il faut aussi reconnaître que la plupart des profils assez primaires et assez manichéens engagés dans des guerres pouvant même être de nature criminelle à la moindre occasion conflictuelle.

La véritable crise prend son origine dans l’abandon total de l’autorité par l’État, par les familles, par l’école et par la communauté citoyenne.

On ne résoudra pas cette question de manière simpliste car elle s’inscrit dans une crise de société plus générale où  l’intermédiation porteuse  des valeurs est elle-même en phase d’affaiblissement voire de disparition.

Une situation qui découle d’une société qui se replie sur l’individualisme et qui perd ses repères communs de vie sociétale et de responsabilité collective.  Et les crimes d’enfants entre eux sont une preuve supplémentaire de cette  décomposition sociétale.

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