Archive pour le Tag 'radicalisés ?'

Gauchisme écolo-Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Gauchisme écolo-Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Nouvelle déclaration islamo-gauchiste de la part de l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo

Toujours le même langage provocateur, irresponsable et manipulatoire. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo vendredi 20 octobre. L’élue écologiste reproche au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin d’entretenir « le discours selon lequel la menace ne vient que de l’étranger », en répétant « dormez bien braves gens [...] nous allons expulser du matin au soir ».

Et la fausse naïveté qui s’ajoute à l’hypocrisie à propos des Islamistes :la France « déjà, ne les accepte pas ». Le le pays « a tous les moyens de ne pas accepter des personnes dangereuses ».

La députée EELV-Nupes s’oppose également à la volonté du ministre de l’Éducation nationale de « sortir » les élèves radicalisés des établissements scolaires. Jeudi soir, Gabriel Attal a annoncé sur France 2, « travailler à des mesures » avec ses homologues au ministère de la Justice et de l’Intérieur. « S’ils sont un danger pour les autres élèves, il faut prendre des mesures de sécurisation » !

Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Nouvelle déclaration islamo-gauchiste de la part de l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo

Toujours le même langage provocateur, irresponsable et manipulatoire. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo vendredi 20 octobre. L’élue écologiste reproche au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin d’entretenir « le discours selon lequel la menace ne vient que de l’étranger », en répétant « dormez bien braves gens [...] nous allons expulser du matin au soir ».

Et la fausse naïveté qui s’ajoute à l’hypocrisie à propos des Islamistes :la France « déjà, ne les accepte pas ». Le le pays « a tous les moyens de ne pas accepter des personnes dangereuses ».

La députée EELV-Nupes s’oppose également à la volonté du ministre de l’Éducation nationale de « sortir » les élèves radicalisés des établissements scolaires. Jeudi soir, Gabriel Attal a annoncé sur France 2, « travailler à des mesures » avec ses homologues au ministère de la Justice et de l’Intérieur. « S’ils sont un danger pour les autres élèves, il faut prendre des mesures de sécurisation » !

Attal pour l’expulsion du système scolaire classique des élèves radicalisés

Attal pour l’expulsion du système scolaire classique des élèves radicalisés

Quand les personnels de l’Éducation « signalent des élèves qui constituent selon eux, potentiellement une menace (…) en raison de propos qu’ils ont tenus ou d’actes qu’ils ont commis, le principe de protection que je veux appliquer à l’ensemble de nos élèves et de nos personnels fait qu’on doit trouver une autre solution que de les scolariser », a-t-il déclaré.

« On doit penser à des structures spécialisées qui peuvent les accueillir » et « je prendrai toutes les mesures conservatoires d’exclusion » nécessaires, a ajouté le ministre.

Gabriel Attal a dit « croire profondément au rôle de l’éducation pour faire reculer la radicalisation », mais « dans certaines situations, le niveau d’embrigadement dans la famille, et parfois d’associations qui gravitent autour, est tel qu’on ne se bat pas à armes égales ».

« Il y a autour d’un millier de mineurs qui sont suivis » mais certains le sont car un membre de leur famille est particulièrement surveillé, a précisé Gabriel Attal. « On est en train d’évaluer » le nombre de mineurs potentiellement radicalisés, a ajouté le ministre, évaluant ce nombre à « plusieurs dizaines probablement ».

Expulsion de 231 clandestins radicalisés

Expulsion de 231 clandestins radicalisés

Gérald Darmanin a indiqué que 231 étrangers radicalisés et en situation irrégulière seront expulsés. Par ailleurs,  la lutte contre les réseaux de drogue va être amplifiée signale le ministre de l’intérieur.

 

Gérald Darmanin, a annoncé que plus de 200 opérations ont été menées en trois mois dans les quartiers. Elles ont débouché sur 831 gardes à vue, la saisie de 2,1 tonnes de cannabis, 44 kg d’héroïne, 644 kg de cocaïne, 136 armes à feu et près d’un million d’euros d’avoirs criminels. Depuis la mise en place de l’amende forfaitaire délictuelle visant les consommateurs de drogues pris en flagrant délit, 9 532 verbalisations ont été dressées entre le 1er septembre et le 8 octobre. « Soit 250 par jour, ce qui est un chiffre important », s’est félicité l’hôte de la Place Beauvau, qui a précisé que la Seine-Saint-Denis est le département le plus concerné avec 1 032 usagers verbalisés, suivi par les Bouches-du-Rhône avec 948 amendes distribuées. « Depuis septembre, 1 189 trafiquants ont été interpellés, soit une hausse de 25 % par rapport au mois précédent », indiquait Darmanin , avant de souligner le récent coup de filet de la gendarmerie mené le 15 septembre dernier contre un vaste réseau en lien avec la mafia calabraise et menant à l’arrestation de 47 personnes.

Terrorisme : que faire d’ex terroristes libérés ?

Terrorisme : que faire d’ex terroristes libérés ?

Plusieurs centaines de détenus radicalisés vont être libérés d’ici deux ans après avoir effectué leur peine. Quoi en faire ?  En vérité, il y a surtout une  solution : la mise en résidence surveillée. Certes certains seront expulsé mais il s’agit étrangers ou de très rares déchus de la nationalité française sous réserve d’accords des pays d’accueil et d’accords des intéressés. Autant dire que la majorité restera en France et ou pourra rejoindre de nouveaux théâtres d’affrontements internationaux en Afghanistan ou en Afrique par exemple.  Certains  vont evidemment critiquer ces libérations dont certaines ne sont pas sans risque mais il ne peut en être autrement dans un Etat de droit qui s’oppose justement au régime de terreur que veulent mettre en place les détenus radicalisés libérés. Au total, près de 450 détenus radicalisés doivent sortir des prisons françaises d’ici fin 2019, parmi lesquels une cinquantaine de « terroristes islamistes ». Considéré comme le mentor de Chérif Kouachi et d’Amédy Coulibaly, deux des auteurs des attentats de janvier 2015 à Paris, Djamel Beghal fait partie de ces détenus particulièrement surveillés qui doivent sortir de prison dans les prochains mois. Lui-même est libérable le 16 juillet. Sa sortie de prison constituait un casse tête pour les autorités françaises mais celui-ci semble en passe d’être résolu. Djamel Beghal lui-même est favorable à l’option de l’expulsion vers l’Algérie.

1.954 mineurs radicalisés en France, curieux chiffre !

1.954 mineurs radicalisés en France, curieux chiffre !

1.954 mineurs seraient signalés officiellement signalés en France pour leur radicalisation islamiste ; une évaluation qui laisse dubitatif d’abord par son niveau de précision ensuite tout autant par son approximation. Dans le même temps on a évalué le nombre de zones sensibles officiellement à 750. Il y aurait donc de 2 personnes considérées comme radicaux islamistes, écrit Le Figaro dans un article à paraître vendredi. Une évaluation pifométrique car les services de renseignements faute de moyens sont bien incapables de fournir des chiffres pertinents. Environ 1 million de personnes vivent  dans ces zones sensibles, comment compter  les candidats individus potentiellement dangereux alors que l’État a déserté depuis longtemps ces zones de non-droit Ces mineurs constituent 18% du total des individus repérés depuis 2014 pour leur radicalisation, précise le quotidien sans identifier ses sources. Parmi les 689 ressortissants français actuellement en Irak et en Syrie dans les rangs des djihadistes, 17 sont mineurs, ajoute-t-il. Après l’attentat de Nice et l’assassinat d’un prêtre cet été à Saint-Etienne-du-Rouvray, le démantèlement récent d’une cellule djihadiste constituée de femmes et l’arrestation de plusieurs mineurs radicalisés ont illustré le caractère diffus et multiforme de la menace terroriste en France. A l’instar du djihadiste français Rachid Kassim, soupçonné d’avoir inspiré plusieurs attentats ou tentatives d’attentat depuis plusieurs mois en France, les recruteurs du groupe Etat islamique ciblent par le biais des réseaux sociaux un public jeune et influençable, souligne une source policière. De toute évidence pour se permettre une évaluation il conviendrait sans doute de concevoir une autre politique de renseignement avec des moyens autrement conséquents (type gendarmerie ou RG)

« Expulser les imams radicalisés »(Valls)

« Expulser les imams radicalisés »(Valls)

Valls réclament maintenant l’exclusion des imams radicalisés et la déchéance de nationalité. On évalue à environ 1500 le nombre d’imams en France. ( fixes ou autres) Selon les données du ministère de l’intérieur français, les nationalités des imams en France

se répartissent de la façon suivante :

- 40% de marocains ;

- 24% d’algériens ;

- 6% de tunisiens ;

- 15% de turcs ;

- 9% de français ;

- 6% d’origine africaine subsaharienne.

Selon cette même source, un tiers du total ne parle pas le français. Bien entendu le fait d’être étranger ou de ne pas parler le français ne permet pas de qualifier ces imams de radicaux. Pour autant on peut s’interroger sur l’extrême faiblesse du nombre de Français parmi ces imams. Par contre la déchéance de nationalité qu’évoque aussi Valls n’est pas possible en l’état actuel du droit puisque seulement applicable à ce qui dispose de la double nationalité. Au-delà des mots Valls devra donc concrétiser ses intentions en actes.  Le premier ministre Manuel Valls a en effet affirmé samedi lors d’une interview chez nos confrères de TF1 qu’il fallait « expulser tous ces imams radicalisés » et « déchoir de la nationalité ceux qui bafouent ce qu’est l’âme française », au lendemain des attentats extrêmement meurtriers de Paris. Il faut faire « vivre nos valeurs. Nous devons anéantir les ennemis de la République, expulser tous ces imams radicalisés, comme nous le faisons, déchoir de la nationalité ceux qui bafouent ce qu’est l’âme française et nous le faisons également », a déclaré Manuel Valls sur le plateau du 20 heures de TF1.
« Il n’y aura pas un moment de répit pour ceux qui s’attaquent aux valeurs de la République. Donc cette action, nous allons la poursuivre encore une fois avec les moyens de l’État, de l’état de droit », a-t-il ajouté, jugeant que « c’est l’unité et le rassemblement (des Français) qui est notre bouclier face à cette guerre qui nous a été déclarée ». Interrogé sur la proposition de Laurent Wauquiez, secrétaire général des Républicains, de placer dans des « centres d’internement antiterroristes »  les personnes fichées pour terrorisme, le Premier ministre n’a pas répondu directement mais s’est dit « ouvert à toutes les propositions ». « Je suis prêt à examiner toutes les solutions qui sont réalistes, conformes au droit, à nos valeurs et surtout qui soient efficaces », a-t-il dit. Notant qu’ »il y a plus de 10.000 personnes qui sont sous cette fiche S » pour radicalisation, Manuel Valls a indiqué que la loi sur le renseignement récemment votée permettrait de suivre les éléments « les plus problématiques ».

 

Plus de 500 élèves radicalisés ?

Plus de 500 élèves radicalisés ?

Ce serait le chiffre d’élèves radicalisés, un chiffre sans doute très approximatif dans la mesure où il concernerait les élèves coupables de faits de radicalisation ou soupçonnés d’être radicalisés. La marge d’erreur est donc grande, on pourrait aussi bien dire quelques centaines ou quelques milliers. Reste que le phénomène au-delà des chiffres est inquiétant et qu’il témoigne en tout cas que le plan gouvernemental n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Et ce n’est pas l’entrée du numérique à l’école qui va changer la donne ! . C’est la ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, qui a dévoilé ce chiffre devant les députés. Elle était entendue par la commission d’enquête de surveillance des filières djihadistes et des individus radicalisés, une commission qui a déjà auditionné le ministre de l’Intérieur, la ministre de la Justice, ou encore la directrice de l’Administration pénitentiaire. Cette semaine, elle avait donc invité Najat Vallaud Belkacem, qui a livré ce chiffre : il y aurait, dit-elle, dans les collèges et les lycées, plus de 500 élèves, précisément 536 élèves, pour lesquels il y a eu, depuis la rentrée 2014, un signalement soit pour une suspicion de radicalisation, soit pour des faits de radicalisation. Les signalements ont été effectués soit par des proches, soit par la police, soit par les enseignants eux-mêmes. Ils peuvent concerner des élèves qui regardent des vidéos inquiétantes sur Internet, ou d’autres qui disent carrément vouloir partir en Syrie. Ces chiffres peuvent sembler alarmants, mais ils représentent seulement une microscopique minorité sur douze millions d’élèves recensés à l’Education nationale. L’Education nationale qui a formé plusieurs cadres ces derniers mois pour suivre avec une attention particulière les élèves signalés qui, bien-sûr, ne sont pas déscolarisés, précise le ministère. Même si plusieurs de ces jeunes sont suivis judiciairement.




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