Archive pour le Tag 'élites'

Politique- Wokisme: Comme le maoïsme, la nouvelle mode des élites !

Politique- Wokisme: Comme le maoïsme, la nouvelle mode des élites !

L’extrême gauche et même certains dans la gauche modérée ont trouvé un nouveau repère idéologique sans doute pour cacher la pauvreté de l’analyse et des propositions émergeant notamment de la France. Hier ( dans les années 70),c’est le maoïsme qui constituait le must en matière de référence idéologique et culturelle. Là aussi l’égalitarisme devait commander l’ensemble des champs de la société y compris sur le plan vestimentaire avec un costume- pyjama noir obligatoire pour chacun.

Après l’adhésion au communisme, au stalinisme, l’élite a besoin de se raccrocher à des principes égalitaires pour faire oublier son origine. Le wokisme vise donc à l’égalité la plus ridicule y compris en matière d’orthographe. Le retour au champ et à la vie rurale n’est pas encore obligatoire comme sous Mao mais l’adhésion au progrès est fortement condamnée. Une posture réactionnaire qui ne touche pas simplement l’économie mais aussi la vie sociale et sociétale.

Évidemment la mode du wokisme disparaîtra le moment venu comme a disparu la mode stalinienne puis maoïste quand on a découvert des millions de morts victimes précisément de l’utopie égalitaire criminelle.

Un peu comme sous Mao, il faut effacer tous les symboles qui rappellent les traditions et les valeurs de la société. On s’en prend même aux arbres de Noël, fête largement laïcisée.

La mode du wokisme nous vient des universités américaines qui ont l’art de générer le pire comme le meilleur et en plus de l’exporter.

il y a quelque chose de surréaliste de voir que certaines grandes écoles notamment les instituts politiques français se laissent pénétrer par la nouvelle religion du wokisme surtout quand on sait que la plupart n’auront aucune honte à s’embourgeoiser plus tard sur le dos des inégalités qu’ils dénoncent aujourd’hui. Comme disait Coco Chanel : la mode c’est ce qui est fait pour être démodé. Mais en attendant que d’idiotie dans une période qui réclamerait au contraire un effort global de connaissances et de réflexion sur des enjeux multiples qui interfèrent entre eux de manière systémique. Bref le catéchisme du wokisme n’est pas vraiment adapté pour aborder la compréhension de la complexité du monde actuel. C’est même clairement un système de référence

Wokisme: Comme le maoïsme, la nouvelle mode des élites !

Wokisme: Comme le maoïsme, la nouvelle mode des élites !

L’extrême gauche et même certains dans la gauche modérée ont trouvé un nouveau repère idéologique sans doute pour cacher la pauvreté de l’analyse et des propositions émergeant notamment de la France. Hier ( dans les années 70),c’est le maoïsme qui constituait le must en matière de référence idéologique et culturelle. Là aussi l’égalitarisme devait commander l’ensemble des champs de la société y compris sur le plan vestimentaire avec un costume- pyjama noir obligatoire pour chacun.

Après l’adhésion au communisme, au stalinisme, l’élite a besoin de se raccrocher à des principes égalitaires pour faire oublier son origine. Le wokisme vise donc à l’égalité la plus ridicule y compris en matière d’orthographe. Le retour au champ et à la vie rurale n’est pas encore obligatoire comme sous Mao mais l’adhésion au progrès est fortement condamnée. Une posture réactionnaire qui ne touche pas simplement l’économie mais aussi la vie sociale et sociétale.

Évidemment la mode du wokisme disparaîtra le moment venu comme a disparu la mode stalinienne puis maoïste quand on a découvert des millions de morts victimes précisément de l’utopie égalitaire criminelle.

Un peu comme sous Mao, il faut effacer tous les symboles qui rappellent les traditions et les valeurs de la société. On s’en prend même aux arbres de Noël, fête largement laïcisée.

La mode du wokisme nous vient des universités américaines qui ont l’art de générer le pire comme le meilleur et en plus de l’exporter.

il y a quelque chose de surréaliste de voir que certaines grandes écoles notamment les instituts politiques français se laissent pénétrer par la nouvelle religion du wokisme surtout quand on sait que la plupart n’auront aucune honte à s’embourgeoiser plus tard sur le dos des inégalités qu’ils dénoncent aujourd’hui. Comme disait Coco Chanel : la mode c’est ce qui est fait pour être démodé. Mais en attendant que d’idiotie dans une période qui réclamerait au contraire un effort global de connaissances et de réflexion sur des enjeux multiples qui interfèrent entre eux de manière systémique. Bref le catéchisme du wokisme n’est pas vraiment adapté pour aborder la compréhension de la complexité du monde actuel. C’est même clairement un système de référence réactionnaire.

Mode du wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Mode du wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait.

Wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Wokisme: maladie gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait.

Wokisme: dérive gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Wokisme: dérive gauchiste classique des futures élites avant embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Etudiants et Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Etudiants et Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Wokisme: la dérive gauchiste classique des futures élites avant leur embourgeoisement

Dans les plus grandes écoles internationales, on constate la montée du courant philosophique gauchiste qui se réclame du wokisme et qui fait de la colonisation et du racisme la mère de tous les malheurs. Aux États-Unis, en particulier qui donne la note, on se vautre même dans l’antisémitisme au nom de la confusion entre la défense du peuple palestinien et du soutien au Hamas .Acquis au Vokisme, Sciences-po, creuset des futurs responsables politiques vient cependant de se coincer dans les lois de la porte des contradictions avec l’implication de son directeur dans des comportements que l’école condamne.

La même confusion est constatée aussi dans certaines écoles françaises comme à Sciences-po Paris ou le wokisme est aussi bien installé. On objectera que c’est le lot habituel de l’évolution des jeunes élites convaincues des théories gauchistes lors de leurs études et qui progressivement s’embourgeoisent pour devenir complices de la domination et de l’exploitation qu’ils dénoncent aujourd’hui. En France, notre assemblée nationale- à gauche surtout- a été remplie de ces anciens révolutionnaires nourris désormais aux délices de la société qu’ils dénonçaient hier. Il Faut se rappeler que nombre de responsables ont été communistes , castristes, trotskistes ou maoïste.

D’une certaine manière, ces revirements du gauchisme à la bourgeoisie classique ont largement participé au désintérêt du peuple vis-à-vis des élites et des organisations politiques voire des intellectuels et des philosophes.

Entendu dans une affaire de violences conjugales avant d’être mis en retrait, le directeur de l’IEP, Mathias Vicherat, se voulait intransigeant sur ces sujets depuis son intronisation.
Le conseil de l’institut de Sciences Po, aussitôt réuni par Françoise Bertrand Dorléac, présidente de la fondation de droit privé de l’école (FNSP), a validé mardi – à 22 voix pour et 8 contre – cette mise en retrait jusqu’au 29 janvier. Une commission nouvellement créée, rassemblant les instances de l’institution, décidera des modalités d’un éventuel retour du directeur. Ou de la prolongation de sa mise en retrait…

Ensauvagement et violences: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias

Ensauvagement et violences: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias

Alors que le gouvernement médias et élites ont tous adopté une attitude particulièrement hypocrite vis-à-vis du meurtre de Thomas à Crépol considérant qu’il s’agissait d’un fait divers ne pouvant justifier d’une généralisation sociétale, les Français pensent exactement le contraire.

Selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estiment que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ».

Il est clair qu’il y a un divorce actuellement entre la société française et les élites qui perpétuent le déni de réalité concernant l’insécurité en particulier lié à la délinquance de certaines catégories marginales sur fond de radicalisation et de trafic de drogue.

Il faut dire que ces élites médiatiques politiques et même scientifiques habitent rarement les mêmes zones géographiques que ceux qui subissent la délinquance. L’exemple plus significatif étant sans doute celui de Marseille ville pratiquement coupée en deux avec ses quartiers hors contrôle éloignés et des zones embourgeoisées compris dans le centre.

De ce point de vue, Marseille offre les pires contradictions. Sans doute la plus belle ville de France mais en même temps où la criminalité fait partie du quotidien.

L a sauvagerie du meurtre de Thomas à Crépol marque sans doute une pierre dans l’évolution de la société française vis-à-vis des violences en général. Il faudra que la justice en particulier mais aussi le gouvernement en tiennent compte sinon un jour les citoyens feront leur justice et leur police eux-mêmes comme aux États-Unis.

Politique: Meurtre de Thomas à Crépol: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias

Politique: Meurtre de Thomas à Crépol: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias

Alors que le gouvernement médias et élites ont tous adopté une attitude particulièrement hypocrite vis-à-vis du meurtre de Thomas à Crépol considérant qu’il s’agissait d’un fait divers ne pouvant justifier d’une généralisation sociétale, les Français pensent exactement le contraire.

Selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estiment que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ».

Il est clair qu’il y a un divorce actuellement entre la société française et les élites qui perpétuent le déni de réalité concernant l’insécurité en particulier lié à la délinquance de certaines catégories marginales sur fond de radicalisation et de trafic de drogue.

Il faut dire que ces élites médiatiques politiques et même scientifiques habitent rarement les mêmes zones géographiques que ceux qui subissent la délinquance. L’exemple plus significatif étant sans doute celui de Marseille ville pratiquement coupée en deux avec ses quartiers hors contrôle éloignés et des zones embourgeoisées compris dans le centre.

De ce point de vue, Marseille offre les pires contradictions. Sans doute la plus belle ville de France mais en même temps où la criminalité fait partie du quotidien.

L a sauvagerie du meurtre de Thomas à Crépol marque sans doute une pierre dans l’évolution de la société française vis-à-vis des violences en général. Il faudra que la justice en particulier mais aussi le gouvernement en tiennent compte sinon un jour les citoyens feront leur justice et leur police eux-mêmes comme aux États-Unis.

Mort de Thomas à Crépol: Le déni de réalité de la part des élites

Mort de Thomas à Crépol: Le déni de réalité de la part des élites

La plupart des élites et des grands médias ne cessent de réduire la mort tragique de Thomas à Crépol à un simple fait divers. En même temps ils condamnent évidemment l’analyse faisant le lien avec ce tragique événement et sa dimension sociétale nationale. Un internaute parmi d’autres proteste contre ce déni de réalité de la part des élites.

Il s’appelle André, vit à Romans-sur-Isère et porte un manteau jaune. Son coup de colère a été relayé des milliers de fois sur les réseaux sociaux et diffusé en boucle sur les chaînes d’info. Réagissant à la visite d’Olivier Véran à Crépol, il dénonce « tous ces gouvernements qui défendent la France des cités contre la France de Thomas, la France rurale, la France des gens qui élèvent leurs gosses comme il faut, pas dans la haine de la France et des Français. » Et d’ajouter : « Je fais partie de ce territoire, on n’en peut plus et on comprend tout depuis longtemps : la prochaine fois, ce n’est pas avec des couteaux qu’ils viendront, mais avec des armes automatiques. »

André n’est ni journaliste, ni sociologue et nombre d’« experts » ne manqueront sans doute pas de mettre en garde contre des propos qu’ils jugeront sommaires et dangereux ! Pourtant il s’agit bien d’un fait de société sur fond de radicalisation générale et de trafic de drogue puisque les auteurs du drame sont aussi des délinquants connus et bien identifiés.

Élites et intérêt général

Élites et intérêt général

L’École polytechnique est souvent associée à la sélectivité, à l’excellence académique, mais aussi à l’élitisme et à la technocratie qui sont sources de critiques depuis sa création.
La présidence Macron a réactivé le procès des élites technocratiques françaises, de la défense de l’intérêt général et du devenir de la démocratie. La réforme de la haute fonction publique engageant la suppression de l’Ecole Nationale d’Administration (ENA) et son remplacement le 1er janvier 2022 par l’Institut national du service public (INSP) en est un exemple saillant. C’est l’historien et essayiste Jacques Julliard, disparu en septembre dernier, qui, dans son ouvrage La faute aux élites publié en 1997 avait initié le débat en France. Malgré son titre provocateur, ce livre ne faisait pas le procès des élites, mais celui de « ceux et de celles qui ne les aiment pas ! » Une ligne d’écriture peu tenue depuis, tant il est rentable politiquement d’alimenter la critique antiélitiste.

par William Genieys
Directeur de recherche CNRS au CEE, Sciences Po dans The Conversation

Un article intéressant en forme de plaidoyer pour les élites attachés au concept d’intérêt général mais qui peine à convaincre compte tenu de la crise générale de l’appareil d’État. NDLR

Les récentes critiques des technocrates d’État à la française, par ceux qui en font partie, d’Aquilino Morelle, énarque et inspecteur général des affaires sociales, à Alexandre Moatti, polytechnicien et ingénieur au Corps des mines affirment que rien ne change. Mes recherches récentes sur la transformation des systèmes de protection maladie aux États-Unis et en France confirme qu’il existe des élites technocratiques attachées à la promotion de l’intérêt général.

Il suffit de lire les deux récents essais d’Alexandre Moatti, « Un regard sur les élites françaises » (2022) et « Technocratisme » (2023), pour penser qu’en France rien ne change : la noblesse d’État des grandes écoles et l’esprit de corps détient toujours le pouvoir. Cette caste de technocrates constituerait une survivance de « l’Ancien régime ».

Le premier ouvrage relate l’histoire de L’institut Auguste-Comte (1977-1981) dont l’objectif était « d’ouvrir » la formation des élèves de l’École Polytechnique, école qui forme les élites économiques et industrielles en France. Inauguré en 1977, il est supprimé dès l’arrivée de la gauche au pouvoir en 1981 ! L’auteur dévoile comment, à l’abri des regards, différentes coteries polytechniciennes s’affrontent sur la réforme de leur formation. Les porteurs d’un projet visant à « parfaire » le cursus scolaire d’un des fleurons de l’élitisme français sont défaits par les partisans de « l’Ancien régime » et du rien ne doit changer. Les guerres picrocholines d’alors préfigurent celles occasionnées, 45 ans plus tard, autour du « Rapport Thiriez » sur la réforme des grands corps et de l’ENA…

Jouissant d’un grand prestige dans l’enseignement supérieur en France, l’École polytechnique est souvent associée à la sélectivité, à l’excellence académique, mais aussi à l’élitisme et à la technocratie qui sont sources de critiques depuis sa création.

Alexandre Moatti confirme l’impossibilité d’ouvrir une brèche dans la « tyrannie du diplôme initial » lié au concours d’entrée, un système reléguant la reconnaissance de la formation scientifique (doctorat) au second plan. Ce diplôme constitue pourtant le standard pour les cadres dirigeants dans la quasi-totalité des démocraties avancées… Tout d’abord, il permet de former les jeunes élites par la pratique de la recherche, ensuite, le doctorat pourrait constituer un pré requis permettant de sélectionner au mérite les candidats qui en milieu de carrière souhaitent accéder aux fonctions de directions supérieures.

Dans un deuxième ouvrage, Technocratisme. Les grands corps à la dérive, Alexandre Moatti reprend des idées déja mobilisées (le dossier noir de l’ENA ou en « Ceux d’en haut. Une saison chez les décideurs ») par d’autres avant lui, pour reprocher à la « technocratie d’État », celle des « grands corps », d’avoir pavé la voie au néolibéralisme au détriment de l’intérêt général, et d’avoir généré un lot de bérézinas industrielles et financières.

Avec sa « rétro-histoire des grands corps de l’État », il entend prolonger le regard sur les élites en France du politologue états-unien, Ezra Suleiman, tout en occultant d’autres références clefs. La défense de l’intérêt général par les corps des ingénieurs d’État influencés confiant des les vertus du progrès technique et les énarques durant les trente glorieuses s’est effacée au profit d’une « technocratie affairiste intimement liée aux grandes entreprises et aux grands cabinets de conseils ».

Bien que séduisante, l’assimilation du technocratisme à la seule « super élite » des grands corps de l’État, « où entrent les premiers classés à la sortie de polytechnique et de l’ENA », n’en est pas moins réductrice. Une « description minutieuse » de logiques de carrière – un diplôme prestigieux (Polytechnique, ENA, etc.), une appartenance aux grands corps (Inspection des finances, Conseil d’État, Mines, Ponts, etc.) et l’occupation d’un poste de cabinet ministériel ou d’un conseil d’administration – permettrait d’attester la formation d’une « techno-tyrannie (sic) ». La sociologie politique enseigne que ces indicateurs sont insuffisants pour témoigner de la réalité du pouvoir de l’élite.

De son côté, dans L’opium des élites, Aquilino Morelle partage le constat du renoncement de la technocratie française à ces valeurs originelles de l’intéret général et national. Pour lui, « l’européisme » des élites françaises, notamment de gauche, a favorisé le développement des idées néo-libérales.

La sociologique des élites, comme les comparaisons, nous invite à ne pas céder à ces « grandes simplifications » à la mode sur la technocratie.

Dans son ouvrage De la démocratie en Amérique, l’historien et philosphe Alexis de Tocqueville a montré l’intérêt de comparer la démocratie française et la démocratie étatsunienne. La question des élites technocratiques n’y échappe pas. Leur rôle politique est souvent perçu comme une obstruction au bon fonctionnement de la démocratie représentative. Le concept de technocracy y est justement apparu sous la plume d’un ingénieur californien, William Henry Smyth en 1919.

Avec la Présidence Trump, la critique du technocratisme a connu un nouveau succès : avec la dénonciation de la contagion du gouvernement par les « insiders » et l’évocation du mythe du l’État profond (deep state) renvoyant à l’existence d’un groupe informel contrôlant l’appareil administratif et le gouvernement washingtonien.

Mon livre, A Government of Insiders, prend le contrepied de cette rhétorique. Dans mon étude, la technocratie prend les traits « des élites gouvernementales non-élues » qui, sous l’administration Obama, se sont engagées sur la question de l’extension de la couverture maladie aux États-Unis. Une série de 45 portraits sociologiques de ces collaborateurs (staffers) des élus au Congrès ou conseillers politiquement nommés à la Maison Blanche et au ministère de la santé, montre sur la longue durée que leur parcours de carrière explique la face cachée du succès de cette réforme.

Le rôle clef des vétérans de l’administration Clinton sous la présidence Obama prouvent l’attachement des ces « insiders » à la promotion de l’intérêt général. Ces élites ont défendu une réforme étendant la couverture maladie à plus de 25 millions de citoyens américains qui en étaient démunis jusqu’alors. Ainsi définit, les technocrates ne sont plus perçus comme le factotum des lobbies économiques ou encore de leurs propres intérêts.

De surcroît, l’étude du travail concret des élites gouvernementales non élues montre, non seulement que ces technocrates ne sont pas les ennemies de la démocratie représentative mais un élément clefs de son fonctionnement.

Inspiré par le cas des États-Unis, on peut observer les mutations de la technocratie française avec un autre regard. La transformation de l’administration de la Sécurité sociale en France fournie un excellent exemple. L’étude des technocrates de l’administration de la Sécurité sociale (cabinets ministériels, directeurs d’administration centrales ou de caisses d’assurance maladie) confirme le déclin des grands corps et l’émergence de nouvelles élites engagées dans la défense du bien commun.

La sociologie des portraits de ces technocrates montre que, dès les années 1980-90, les conseillers d’État ont été supplantés dans les fonctions de direction par des magistrats de la Cour des comptes. Dès les années 2000, ces derniers sont remplacés, à leur tour par, des hauts fonctionnaires de la Direction de la sécurité sociale (ministère des affaires sociales). Leur carrière est façonnée en circulant de postes en postes entre la direction de la Sécurité sociale, la direction de l’union des caisses d’assurance maladies et les hautes autorités du secteur, ils façonnent leur carrière de façon originale à l’abri de l’influence des groupes d’intérêts.

Ces nouveaux technocrates partagent un leitmotiv : « rendre la sécurité sociale durable (sic) ». La politique de contrôle des dépenses avec l’Objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) constitue une réponse à l’augmentation de la demande et des coûts du progrès de la médecine.

Face au défaut de la médecine libérale sur l’hôpital public (urgences), leur but n’est pas de réduire les dépenses selon la logique macro-économique de Bercy, ni de privatiser la « Sécu » mais plutôt de financer l’extension de son périmètre avec la Protection maladie universelle et la 5ᵉ branche « Autonomie » (Handicap et Grand âge). En 2023, le choix de la Direction de la Sécurité sociale par le major de l’INSP, ex-ENA, confirme le changement en cours.

Pour sortir de ces poncifs convenus, ne faudrait-il pas s’inspirer du peintre Pierre Soulages sculptant la lumière dans ses tableaux avec l’outrenoir, en proposant une « outre-regard » sociologique sur les élites technocratiques ? Ce choix permet de réfléchir le comportement réel – bien que caché – des technocrates. It’s the « outre-elites », stupid !

Nouvelles technologies : celles des élites et celles du peuple

Nouvelles technologies : celles des élites et celles du peuple

Depuis la création d’internet, l’émergence successive et l’adoption à grande échelle de technologies digitales – gratuites comme les moteurs de recherche ou les médias sociaux – peuvent donner l’idée d’une utilisation relativement uniforme de ces technologies. Tous sur Facebook, sur Instagram, sur TikTok ou plus récemment, sur ChatGPT : est-ce vraiment le cas ? Par David Dubois, expert international en big data et consommation digitale et professeur de Marketing à l’école internationale de management à l’INSEAD ( dans la Tribune)

À l’opposé de cette image d’Épinal, une autre hypothèse est possible : les technologies digitales ne reproduisent-elles pas des inégalités existantes avec le risque de les aggraver ? Plus simplement, les technologies seraient-elles « un fait d’élites » ?

Pour explorer ces hypothèses, comparons l’intérêt porté sur deux des technologies les plus récentes, TikTok et ChatGPT, sur le marché de l’attention qu’est Google (1). Avec 92% de parts de marché, le moteur de recherche est en effet un très bon capteur de nos intérêts qui transparaissent dans les centaines de millions de recherches quotidiennes dans l’Hexagone : les mots-clés du moment, dans tous les domaines de la vie comme la politique, la santé, les marques… et nouvelles technologies.

D’un côté TikTok, plateforme de vidéos courtes venue de Chine qui connait une croissance insolente chez les plus jeunes, révolutionne la communication des marques, et soulève des interrogations quant à la façon dont elle stocke et utilise les données des 15 millions d’utilisateurs de la plateforme. De l’autre, ChatGPT, produit de l’entreprise californienne OpenAI qui n’est plus à présenter depuis que tous les internautes se sont essayé à tester – et utiliser – son intelligence artificielle, et qui nourrit les fantasmes sur ce que pourrait être le monde de demain.

Que révèlent les recherches Google par département pour ces deux technologies ? TikTok et ChatGPT font tous deux partie des mots les plus recherchés en France depuis le début de l’année. Mais au-delà, les recherches traduisent des cartographies bien différentes pour ces deux plateformes (2). Le croisement de recherches par département avec d’autres statistiques sur les dynamiques économiques, politiques et sociales de nos départements met au jour des portraits très contrastés de la France de ChatGPT et celle de TikTok. Quels sont les portraits types des territoires qui s’intéressent plus à chacune de ces technologies ?

La France de ChatGPT est, en moyenne, plus riche, plus éduquée et moins industrialisée. Les cinq départements générant le plus de recherches pour ChatGPT, les Hauts-de-Seine, Paris, le Rhône, le Val-de-Marne et la Haute-Garonne illustrent bien l’idée que l’intensité des recherches pour l’outil AI vient d’abord de départements ayant une proportion de CSP+ plus importante que la moyenne française. Cette France relativement plus dynamique et élitiste est de fait moins exposée aux maladies chroniques (comme le stress ou certaines maladies cardio-vasculaires, souvent associés à des conditions sociales plus défavorables (3). Preuve de leur dynamisme, les départements manifestant le plus d’intérêt pour Chat GPT sont ceux où la population s’est le plus accrue sur les dix dernières années.

Par contraste, la France de TikTok est, en moyenne, plus populaire et abstentionniste. Les cinq départements en haut du classement des recherches pour TikTok, la Seine-Saint-Denis, le Val-d’Oise, la Seine-et-Marne, l’Eure-et-Loir et l’Essonne, se distinguent par un profil de familles nombreuses. Les départements générant le plus de recherches pour le réseau social se caractérisent aussi par une plus forte exposition à des problèmes de violence (ex : consommation de drogue plus prononcée). L’habitat HLM y est plus développé et les inégalités salariales chez les jeunes y sont bien plus fortes que la moyenne française.

La France de TikTok et celle de ChatGPT

Bien qu’imparfaits, ces portraits croisés n’en sont pas moins révélateurs : la France de TikTok et celle de ChatGPT ne se ressemblent pas

D’un côté, un réseau social au contenu engageant, parfois addictif, capteur d’une attention peut-être déjà vacillante dans des territoires fragiles et facteur potentiellement aggravant de problèmes d’attention bien réels ; de l’autre une intelligence artificielle propice à la connaissance. En conclusion la technologie peut être autant facteur de division que de connectivité et le risque de recréer des barrières digitales via des utilisations très différentes de la technologie est bien réel. Que l’on se garde d’ouvrir de nouvelles fractures entre des digital natives maniant savamment la technologie comme outil, et des digital naïves passifs, réceptacles du spectacle digital. Dans un pays si engagé sur la question de l’égalité, prenons garde qu’au-delà des inégalités économiques, nous ne fassions pas l’impasse de phénomènes potentiellement annonciateurs d’un accroissement des inégalités cognitives sur notre territoire.

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(1) Pour une compréhension plus fine des données Google comme mesure du marché de l’attention, voir La France selon les recherches Google, 2022, par David Dubois)

(2) Les analyses Elles reposent principalement sur des analyses de corrélation, effectuées via le site www.lafranceenligne.com. Celles-ci permettent de dégager statistiquement le profil « type » des départements recherchant le plus ou le moins un mot-clé.

(3) Voir par exemple, the Status Syndrome, 2005, par Michael Marmot.

Politique-Référendum : la grande trouille des élites politiques et médiatiques

Politique-Référendum : la grande trouille des élites politiques et médiatiques

Il est pour le moins curieux que ceux qui détiennent le pouvoir du peuple et ceux qui ont pour mission de rendre compte de la vie démocratique s’unissent avec une telle unanimité pour dénoncer le référendum dont l’objet est justement de permettre l’expression des citoyens.

Il faut écouter les arguments mondains pour justifier cette position : « vous comprenez mon cher, cette affaire de référendum n’est pas sérieuse….. d’abord il n’y a pas de majorité alternative….. ensuite quelles questions poser…. c’est totalement impossible »

En vérité, un positionnement qui n’est pas complètement surprenant évidemment de la part des politiques actuellement au pouvoir mais aussi des éditorialistes de la grande presse à peu près tous au service des intérêts financiers. Ou des intérêts du gouvernement.

Il est évident qu’un référendum dont le résultat donnerait par exemple à propos de la politique sociale et au-delà économique du gouvernement un résultat de 70 % contre et seulement 30 % pour( évaluation de certains organismes de sondage) bouleverserait profondément le paysage démocratique et les hiérarchies établies dans le monde politique, économique et médiatique.

On se demande de quelle légitimités peuvent se prévaloir ces éditorialistes qui participent tous les soirs à ces tables rondes des télés d’information pour parler sans compétence de tout et de rien. Un jour de la crise sanitaire, le lendemain de la Défense nationale, le surlendemain de l’école, de la sécurité et du développement économique. En fait, ils répètent tous avec quelques nuances le discours superficiel ambiant dans les salons parisiens. Une sorte d’avant-goût du GPT !.

Dans la crise démocratique il y a aussi cette crise médiatique où les journalistes pour la plupart sont clairement du côté du pouvoir et derrière la finance qui les rémunère.

Référendum : la grande trouille des élites politiques et médiatiques

Référendum : la grande trouille des élites politiques et médiatiques

Il est pour le moins curieux que ceux qui détiennent le pouvoir du peuple et ceux qui ont pour mission de rendre compte de la vie démocratique s’unissent avec une telle unanimité pour dénoncer le référendum dont l’objet est justement de permettre l’expression des citoyens.

Il faut écouter les arguments mondains pour justifier cette position : « vous comprenez mon cher, cette affaire de référendum n’est pas sérieuse….. d’abord il n’y a pas de majorité alternative….. ensuite quelles questions poser…. c’est totalement impossible »

En vérité, un positionnement qui n’est pas complètement surprenant évidemment de la part des politiques actuellement au pouvoir mais aussi des éditorialistes de la grande presse à peu près tous au service des intérêts financiers. Ou des intérêts du gouvernement.

Il est évident qu’un référendum dont le résultat donnerait par exemple à propos de la politique sociale et au-delà économique du gouvernement un résultat de 70 % contre et seulement 30 % pour( évaluation de certains organismes de sondage) bouleverserait profondément le paysage démocratique et les hiérarchies établies dans le monde politique, économique et médiatique.

On se demande de quelle légitimités peuvent se prévaloir ces éditorialistes qui participent tous les soirs à ces tables rondes des télés d’information pour parler sans compétence de tout et de rien. Un jour de la crise sanitaire, le lendemain de la Défense nationale, le surlendemain de l’école, de la sécurité et du développement économique. En fait, ils répètent tous avec quelques nuances le discours superficiel ambiant dans les salons parisiens. Une sorte d’avant-goût du GPT !.

Dans la crise démocratique il y a aussi cette crise médiatique où les journalistes pour la plupart sont clairement du côté du pouvoir et derrière la finance qui les rémunère.

la grande trouille des élites politiques et médiatiques

Référendum : la grande trouille des élites politiques et médiatiques

Il est pour le moins curieux que ceux qui détiennent le pouvoir du peuple et ceux qui ont pour mission de rendre compte de la vie démocratique s’unissent avec une telle unanimité pour dénoncer le référendum dont l’objet est justement de permettre l’expression du peuple.

Il faut écouter les arguments mondains pour justifier cette position : « vous comprenez mon cher, cette affaire de référendum n’est pas sérieuse….. d’abord il n’y a pas de majorité alternative….. ensuite quelles questions poser…. c’est totalement impossible »

En vérité, un positionnement qui n’est pas complètement surprenant évidemment de la part des politiques actuellement au pouvoir mais aussi des éditorialistes de la grande presse à peu près tous au service des intérêts financiers. Ou des intérêts du gouvernement.

Il est évident qu’un référendum dont le résultat donnerait par exemple à propos de la politique sociale et au-delà économique du gouvernement un résultat de 70 % contre et seulement 30 % pour( évaluation de certains organismes de sondage) bouleverserait profondément le paysage démocratique et les hiérarchies établies dans le monde politique, économique et médiatique.

On se demande de quelle légitimités peuvent se prévaloir ses éditorialistes qui participent tous les soirs à ces tables rondes des télés d’information pour parler sans compétence de tout et de rien. Un jour de la crise sanitaire, le lendemain de la Défense nationale, le surlendemain de l’école, de la sécurité et du développement économique. En fait il répète tous avec quelques nuances le discours superficiel ambiant dans les salons parisiens. Une sorte d’avant-goût du GPT qui va supprimer ces médiateurs partiaux.

Dans la crise démocratique il y a aussi cette crise médiatique où les journalistes pour la plupart sont clairement du côté du pouvoir et derrière la finance qui les rémunère.

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