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Politique-Macron à la télé le 24 septembre: Encore un fiasco

Politique-Macron à la télé le 24 septembre: Encore un fiasco

Dimanche 24 septembre 2023, le président de la République sur France 2 et BFM a enregistré un nouveau fiasco avec 10,49 millions de téléspectateurs (50% du public) sur deux chaînes principales. Et pour rattraper le coup , Macron revient sur la trois ce lundi !

À noter que cet entretien d’Emmanuel Macron avec Anne-Claire Coudray et Laurent Delahousse était également diffusé sur BFMTV, LCI, France Info et CNews.

La baisse d’intérêt pour les interventions du chef de l’État ne cesse de diminuer avec le temps. Cela témoigne d’une certaine lassitude des interventions perpétuelles de Macron dans les médias et même d’un rejet puisque les différents sondages ne lui attribuent qu’un peu plus de 25 % de soutien désormais.

À noter que le nombre de personnes qui ont suivi l’interview constituent un indicateur mais moins pertinent que le taux de satisfaction. Un taux tellement bas que la plupart des médias n’ont pas diffusé les médiocres sondages concernant cette intervention !

Macron à la télé lundi : un bla-bla de plus en plus inaudible

Macron à la télé lundi : un bla-bla de plus en plus inaudible

Sans doute alerté par la grogne des Français en général et en particulier à propos de la chute du pouvoir d’achat, l’Élysée a décidé brusquement d’une intervention à la télévision dimanche soir. Notons que deux sondages successifs montrent une nouvelle dégringolade du président de la république dans l’opinion. Il n’est pas certain que cette allocution soit très utile à la notoriété du président, les dernières interventions ont en effet été néfaste à sa popularité. .

Comme d’habitude , il va justifier son action et sa volonté réformatrice. La vérité, c’est que le pouvoir est actuellement prisonnier d’un attentisme dans beaucoup de domaines- peut-être école exceptée avec Attal même s’il se posent toujours de graves questions d’effectifs d’enseignants- . Ce président ne dispose plus d’aucune majorité ni dans le peuple où il n’est soutenu que par moins de 30 %, ni à l’assemblée nationale, ni même parfois dans son camp où on prépare déjà la succession (voir à cet égard les oppositions sur la loi immigration ou encore sur le budget).

Bref vraisemblablement encore une intervention inutile car le bla-bla macronien plein de contradictions et de vanité ne passe plus. Surtout Surtout sur la sécurité ou les violences se sont installées à la place de l’État de droit. Sur le fond c’est la politique qui est en cause mais aussi la personnalité même d’un monarque qui non seulement n’est pas aimé mais est littéralement haï par une partie de la population. De ce point de vue, le président aura bien du mal à terminer son quinquennat.

Macron encore à la télé lundi : ras-le-bol !

Macron encore à la télé lundi : ras-le-bol !

Il ne se passe guère une semaine sans que ce président s’invite à la télévision pour parler de tout et surtout de rien. Sa dernière prestation a encore été catastrophique. À tel point que des instituts de sondages qui ont mesuré son impact n’ont pas diffusé les mauvais résultats. Du coup, Macron persiste et s’invite cette fois sur la trois lundis aux 19–20 heures.

Le pire c’est qu’il va parler de sécurité notamment alors qu’il a lamentablement échouée dans ce domaine avec des records de délinquance, l’installation d’une véritable économie de drogue et une révolte des quartiers dont il devait tirer les leçons mais qu’il a oublié de traiter.

Une semaine après son entretien aux 20 heures de TF1 et de France 2, le 24 septembre dernier, Emmanuel Macron revient à nouveau sous les projecteurs télévisés. Le président de la République sera cette fois l’invité du 19/20 de France 3, lundi à partir de 19h15 pour une «interview thématisée consacrée à la sécurité», a fait savoir l’Élysée.

L’intervention sera diffusée sur l’ensemble des éditions régionales, comme l’affirme la chaîne. Le président de la République s’exprimera depuis le Lot-et-Garonne, où il est attendu aux côtés du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin pour dévoiler la localisation des 200 futures brigades de gendarmerie, partout en France.

Le problème c’est que des brigades de gendarmerie existante pour la plupart ont des effectifs tellement réduits qu’elles ne sont ouvertes que quelques jours par semaine pour faire des permanences. L’annonce de la création de 200 futures brigades de gendarmerie est une fumisterie. D’ici 2027, la France n’aura jamais les moyens de disposer des bâtiments et des effectifs nécessaires sans parler des logements des intéressés. Au mieux en cinq ans si l’on construit déjà une cinquantaine de gendarmeries supplémentaires cela relèvera du miracle.

Macron à la télé le 24 septembre: Encore un fiasco

Macron à la télé le 24 septembre: Encore un fiasco

Dimanche 24 septembre 2023, le président de la République sur France 2 et BFM a enregistré un nouveau fiasco avec 10,49 millions de téléspectateurs (50% du public) sur deux chaînes principales.

À noter que cet entretien d’Emmanuel Macron avec Anne-Claire Coudray et Laurent Delahousse était également diffusé sur BFMTV, LCI, France Info et CNews.

La baisse d’intérêt pour les interventions du chef de l’État ne cesse de diminuer avec le temps. Cela témoigne d’une certaine lassitude des interventions perpétuelles de Macron dans les médias et même d’un rejet puisque les différents sondages ne lui attribuent qu’un peu plus de 25 % de soutien désormais.

À noter que le nombre de personnes qui ont suivi l’interview constituent un indicateur mais moins pertinent que le taux de satisfaction. Un taux tellement bas que la plupart des médias n’ont pas diffusé les médiocres sondages concernant cette intervention !

Macron à la télé: du bla-bla pour l’opposition

Macron à la télé: du bla-bla pour l’opposition

Comme prévu une intervention de Macron ont n’aura guère séduit l’opposition qui en gros considère que le chef de l’État n’avait pas grand-chose à dire et qu’il a meublé son propos avec du bla-bla. La seule mesure nouvelle de 100 € par véhicule et par an est considérée comme complètement anecdotique. En plus, une mesure qui comme la précédente ne sera pas réclamée par environ 40 % des les ayants droits.

Résumé des réactions

«Une intervention pour rien» pour le patron des Républicains (LR), Éric Ciotti, qui y voit même un «contre-feu à la victoire de la droite au Sénat» .

Le député du Nord du Rassemblement national (RN) Sébastien Chenu qui dénonce sur BFMTV une «sortie (…) pour masquer l’immense bide, l’immense claque qu’(Emmanuel Macron) vient de prendre aux élections sénatoriales», vantant l’arrivée de trois nouveaux sénateurs marinistes.

À gauche, Fabien Roussel, a fustigé ce dimanche toujours sur BFMTV un «bricolage avec des petits chèques» alors que le chef de l’État a annoncé une nouvelle aide allant jusqu’à 100 euros «par véhicule et par an» pour les ménages les plus modestes.

Du côté du PS, le premier secrétaire Olivier Faure a réprimandé un président «en survol au-dessus de son pays».

La chef des Insoumis à l’Assemblée nationale, Mathilde Panot a quant à elle qualifié Emmanuel Macron d’«incapable» sur X : «Macron ment. Le code du commerce permet à la Première ministre de bloquer les prix par simple décret».

Le député LFI Éric Cocquerel décerne à Emmanuel Macron le «titre de champion du baratin», peinant à comprendre l’utilité de son intervention télévisée.

La députée Europe Écologie-Les Verts Sandrine Rousseau s’est contentée d’un laconique «Bla. Bla. Bla.» sur X tandis que son collègue Julien Bayou a pointé du doigt «une interview pour ne rien dire» .

Macron à la télé : pas convaincant et même ennuyeux

Macon à la télé : pas convaincant

Cette fois encore Macron n’aura pas réussi à atteindre une audience record. C’est avec une certaine indifférence qu’a été regardé et écouté le chef de l’État visiblement en panne de dynamisme et d’idées.

Finalement, le seul point nouveau qui ressort c’est la décision d’attribuer un chèque carburant 100 € aux salariés les moins favorisés. Pour le reste, Macron se contente de reprendre ce qu’on savait déjà. À savoir la réunion cette semaine du conseil de planification économique avec quelques mesures anecdotiques. Pourtant avec l’annonce d’un chiffre de 40 milliards de dépenses dont on ne sait pas exactement ce qu’elle recouvre.

Des dépenses contraintes pour la plupart qui n’ont pas grand-chose à voir avec l’écologie. Par contre l’absence d’orientations financières stratégiques concernant les nouvelles centrales nucléaires et le renouveau ferroviaire.

Pour le pouvoir d’achat, les ménages devront attendre des discussions entre les industriels et les distributeurs. Le gouvernement simplement se met en situation d’observateur.

Pour le carburant donc un chèque et la substitution du concept de prix coûtant à celui de vente à perte. Ce qui ne mange pas de pain dans la mesure où on ne connaît pas avec précision le niveau des coûts.

Enfin l’annonce d’un retrait volontaire du Niger qui n’est en fait que la conséquence de la décision des dictateurs de virer la France rapidement. Finalement un retrait assez piteux comme au Burkina Faso et au Mali.

Décidément, la politique étrangère ne réussit pas davantage à Macon que la politique intérieure.
Au total Macon aura eu du mal à convaincre et les sondages devraient confirmer le doute de plus en plus grand des Français quant aux capacités du président de la république à réformer réellement le pays de manière efficace et juste.

Macron à la télé : toujours inaudible

Macron à la télé : toujours inaudible

Sans doute alerté par la grogne des Français en général et en particulier à propos de la chute du pouvoir d’achat, l’Élysée a décidé brusquement d’une intervention à la télévision dimanche soir. Notons que deux sondages successifs montrent une nouvelle dégringolade du président de la république dans l’opinion. Il n’est pas certain que cette allocution soit très utile à la notoriété du président, les dernières interventions ont en effet été néfaste à sa popularité. Le président va sans doute surfer sur la vague de récents événements comme la réception du roi d’Angleterre, la coupe du monde du rugby et la venue du pape pour tenter de récupérer quelques bribes de bonne humeur.

Comme d’habitude , il a justifié son action et sa volonté réformatrice. La vérité, c’est que le pouvoir est actuellement prisonnier d’un attentisme dans beaucoup de domaines- peut-être école exceptée avec Attal même s’il se posent toujours de graves questions d’effectifs d’enseignants- . Ce président ne dispose plus d’aucune majorité ni dans le peuple où il n’est soutenu que par moins de 30 %, ni à l’assemblée nationale, ni même parfois dans son camp où on prépare déjà la succession (voir à cet égard les oppositions sur la loi immigration ou encore sur le budget).

Bref vraisemblablement encore une intervention inutile car le bla-bla macronien plein de contradictions et de vanité ne passe plus. Sur le fond c’est la politique qui est en cause mais aussi la personnalité même d’un monarque qui non seulement n’est pas aimé mais est littéralement haï par une partie de la population. De ce point de vue, le président aura bien du mal à terminer son quinquennat

Macron à la télé dimanche : un bla-bla de plus en plus inaudible<

Macron à la télé dimanche : un bla-bla de plus en plus inaudible

Sans doute alerté par la grogne des Français en général et en particulier à propos de la chute du pouvoir d’achat, l’Élysée a décidé brusquement d’une intervention à la télévision dimanche soir. Notons que deux sondages successifs montrent une nouvelle dégringolade du président de la république dans l’opinion. Il n’est pas certain que cette allocution soit très utile à la notoriété du président, les dernières interventions ont en effet été néfaste à sa popularité. Le président va sans doute surfer sur la vague de récents événements comme la réception du roi d’Angleterre, la coupe du monde du rugby et la venue du pape pour tenter de récupérer quelques bribes de bonne humeur.

Comme d’habitude , il va justifier son action et sa volonté réformatrice. La vérité, c’est que le pouvoir est actuellement prisonnier d’un attentisme dans beaucoup de domaines- peut-être école exceptée avec Attal même s’il se posent toujours de graves questions d’effectifs d’enseignants- . Ce président ne dispose plus d’aucune majorité ni dans le peuple où il n’est soutenu que par moins de 30 %, ni à l’assemblée nationale, ni même parfois dans son camp où on prépare déjà la succession (voir à cet égard les oppositions sur la loi immigration ou encore sur le budget).
Bref vraisemblablement encore une intervention inutile car le bla-bla macronien plein de contradictions et de vanité ne passe plus. Sur le fond c’est la politique qui est en cause mais aussi la personnalité même d’un monarque qui non seulement n’est pas aimé mais est littéralement haï par une partie de la population. De ce point de vue, le président aura bien du mal à terminer son quinquennat.

Sondage intervention Macron à la télé : sans intérêt pour 70 % des Français

Sondage intervention Macron à la télé : sans intérêt pour 70 % des Français

L’omniprésence de Macron dans les médias a pour conséquence de saturer l’opinion publique qui a jugé pour 70 % sa dernière intervention à la télé sans intérêt.

À l’issue de son interview télévisée lundi soir au 20 heures de TF1, 68% des Français l’ont jugé «plutôt pas convaincant», selon les résultats d’un sondage Odoxa. Pire, 39% n’ont pas du tout suivi l’intervention du chef de l’État, ni en direct, ni en revoyant des extraits ou des commentaires. Un chiffre record de non-intérêt pour une intervention du Président de la République. Emmanuel Macron enregistre ainsi son 3e plus mauvais score de «conviction» depuis cinq ans. Pourtant, derrière ce mauvais résultat, se cachent plusieurs indices d’un léger frémissement de l’opinion en faveur du chef de l’État.

«Si ce bilan est mauvais, il est tout de même significativement meilleur que celui de ses deux dernières interventions», observe Gaël Slimane, le président d’Odoxa. Pour sa dernière allocution officielle, le 18 avril dernier à propos de la réforme des retraites déjà, seulement 22% des Français l’ayant écouté s’étaient dits convaincus.

Macron -Ce qu’il faut retenir de son interview à la télé : rien !

Macron -Ce qu’il faut retenir de son interview à la télé : rien !

Exercice soporifique d’auto félicitation, de contrevérités et de promesses illusoires de la part de Macron qui s’étale partout dans les médias

Impôts:Promesse de coiffeur-Le chef de l’Etat a surtout annoncé vouloir affecter « 2 milliards » d’euros des futures baisses très hypothétiques d’impôts aux classes moyennes d’ici à 2027 , en rappelant avoir déjà demandé au gouvernement de lui faire des « propositions » quant à la manière de les réaliser et de les mettre en œuvre, « quand la trajectoire budgétaire le permettra dans ce quinquennat ». Le chef de l’Etat avait déjà insisté sur les « classes moyennes » dans un entretien interminable au journal L’Opinion dimanche, citant « ceux qui sont trop riches pour être aidés et pas assez riches pour bien vivre », avec des « revenus entre 1 500 et 2 500 euros » par mois.

Borne reconduite-provisoiremet ? Emmanuel Macron a renouvelé sa confiance en la première ministre, Elisabeth Borne, qui fêtera mardi sa première année à Matignon, alors qu’elle se retrouve contestée par les oppositions mais aussi au sein du camp présidentiel. S’il n’a pas souhaité dire si Mme Borne sera encore à son poste dans un an, laissant cela au cours de « la vie des institutions et [de] la vie politique », il s’est dit « très fier d’avoir nommé Elisabeth Borne il y a un an » et a salué le travail qu’elle a effectué depuis qu’elle est à la tête du gouvernement. « On continue d’agir ; et à mes côtés, Elisabeth Borne agit avec force, détermination et courage », a-t-il affirmé en guise de conclusion de l’interview. Une sorte quand même d’éloges politiques funèbres.

Retraite: entêtement. « Cette réforme, je l’assume », martèle Emmanuel Macron en revenant sur les retraites et l’usage du 49.3
« Oui, je fais ce que j’ai dit », lance le président de la République. « On a un problème de déficit et il faut le combler. (…) Cette réforme était nécessaire, elle crée plus de richesses. Cette réforme, je l’assume », défend le chef de l’Etat, qui justifie par ailleurs l’usage du 49.3. « Contrairement à ce qu’on dit, quand on utilise cet article, qui est constitutionnel, il y a un vote, et donc il y a eu un vote sur ce texte. (…) Et ce vote, le gouvernement l’a emporté, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu de majorité pour le faire tomber. »

Mépris-Le président a ensuite chargé la droite : « Tout le monde s’est débiné, y compris des gens qui, au Parlement, avaient fait campagne aux élections présidentielles, bravaches, derrière les 65 ans. Ils avaient tous fait campagne pour ça. Ils ont dit le contraire quand ils étaient au Parlement. Personne n’a voulu prendre ses responsabilités, comme si, en quelque sorte, ils voulaient tous expliquer aux Français qu’ils vivaient dans un autre monde », a lancé le président.

Inflation : rien. Questionné sur la fin du « trimestre anti-inflation », encouragé par le gouvernement mais qui reste à l’initiative des entreprises de la grande distribution, programmée en juin, le chef de l’Etat a affirmé que « si c’est nécessaire de l’allonger, il [le dispositif] pourra l’être », en raison de la hausse des prix de l’alimentaire qui se poursuit. En avril, elle a atteint 15 % sur un an.

Emmanuel Macron a répété, à l’instar de son ministre de l’économie, Bruno Le Maire, que les négociations commerciales pour fixer les prix de l’alimentaire doivent être avancées et réouvertes afin de s’assurer qu’il n’y ait « pas de marges exceptionnelles » faites par la grande distribution ou les industriels dans ce contexte. « On a des grands groupes, sur certains produits, ils ont vite répercuté la hausse, ils ont moins vite répercuté la baisse », a déploré M. Macron.

S’il a constaté que cette « inflation alimentaire touche tous nos compatriotes », en première ligne desquels « les plus précaires », le président de la République a déclaré espérer que l’inflation alimentaire sera « absorbée d’ici à l’automne, pour, j’espère, revenir dans des terres plus connues et plus normales ».Autrement dit :rien

Sondage Macron : une intervention télé sans intérêt pour 70 % des Français

Sondage Macron : une intervention télé sans intérêt pour 70 % des Français

L’omniprésence de Macfon dans les médias a pour conséquence de saturer l’opinion publique qui a jugé pour 70 % sa dernière intervention à la télé sans intérêt.

À l’issue de son interview télévisée lundi soir au 20 heures de TF1, 68% des Français l’ont jugé «plutôt pas convaincant», selon les résultats d’un sondage Odoxa. Pire, 39% n’ont pas du tout suivi l’intervention du chef de l’État, ni en direct, ni en revoyant des extraits ou des commentaires. Un chiffre record de non-intérêt pour une intervention du Président de la République. Emmanuel Macron enregistre ainsi son 3e plus mauvais score de «conviction» depuis cinq ans. Pourtant, derrière ce mauvais résultat, se cachent plusieurs indices d’un léger frémissement de l’opinion en faveur du chef de l’État.

«Si ce bilan est mauvais, il est tout de même significativement meilleur que celui de ses deux dernières interventions», observe Gaël Slimane, le président d’Odoxa. Pour sa dernière allocution officielle, le 18 avril dernier à propos de la réforme des retraites déjà, seulement 22% des Français l’ayant écouté s’étaient dits convaincus.

Politique-Ce qu’il faut retenir de l’interview d’Emmanuel Macron à la télé : rien !

Politique-Ce qu’il faut retenir de l’interview d’Emmanuel Macron à la télé : rien !

Exercice d’auto félicitation, de contrevérités et de promesses illusoires de la part de Macron qui s’étale partout dans les médias

Impôts:Promesse de coiffeur-Le chef de l’Etat a surtout annoncé vouloir affecter « 2 milliards » d’euros des futures baisses très hypothétiques d’impôts aux classes moyennes d’ici à 2027 , en rappelant avoir déjà demandé au gouvernement de lui faire des « propositions » quant à la manière de les réaliser et de les mettre en œuvre, « quand la trajectoire budgétaire le permettra dans ce quinquennat ». Le chef de l’Etat avait déjà insisté sur les « classes moyennes » dans un entretien interminable au journal L’Opinion dimanche, citant « ceux qui sont trop riches pour être aidés et pas assez riches pour bien vivre », avec des « revenus entre 1 500 et 2 500 euros » par mois.

Borne reconduite-provisoiremet ? Emmanuel Macron a renouvelé sa confiance en la première ministre, Elisabeth Borne, qui fêtera mardi sa première année à Matignon, alors qu’elle se retrouve contestée par les oppositions mais aussi au sein du camp présidentiel. S’il n’a pas souhaité dire si Mme Borne sera encore à son poste dans un an, laissant cela au cours de « la vie des institutions et [de] la vie politique », il s’est dit « très fier d’avoir nommé Elisabeth Borne il y a un an » et a salué le travail qu’elle a effectué depuis qu’elle est à la tête du gouvernement. « On continue d’agir ; et à mes côtés, Elisabeth Borne agit avec force, détermination et courage », a-t-il affirmé en guise de conclusion de l’interview. Une sorte quand même d’éloges politiques funèbres.

Retraite: entêtement. « Cette réforme, je l’assume », martèle Emmanuel Macron en revenant sur les retraites et l’usage du 49.3
« Oui, je fais ce que j’ai dit », lance le président de la République. « On a un problème de déficit et il faut le combler. (…) Cette réforme était nécessaire, elle crée plus de richesses. Cette réforme, je l’assume », défend le chef de l’Etat, qui justifie par ailleurs l’usage du 49.3. « Contrairement à ce qu’on dit, quand on utilise cet article, qui est constitutionnel, il y a un vote, et donc il y a eu un vote sur ce texte. (…) Et ce vote, le gouvernement l’a emporté, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu de majorité pour le faire tomber. »

Mépris-Le président a ensuite chargé la droite : « Tout le monde s’est débiné, y compris des gens qui, au Parlement, avaient fait campagne aux élections présidentielles, bravaches, derrière les 65 ans. Ils avaient tous fait campagne pour ça. Ils ont dit le contraire quand ils étaient au Parlement. Personne n’a voulu prendre ses responsabilités, comme si, en quelque sorte, ils voulaient tous expliquer aux Français qu’ils vivaient dans un autre monde », a lancé le président.

Inflation : rien. Questionné sur la fin du « trimestre anti-inflation », encouragé par le gouvernement mais qui reste à l’initiative des entreprises de la grande distribution, programmée en juin, le chef de l’Etat a affirmé que « si c’est nécessaire de l’allonger, il [le dispositif] pourra l’être », en raison de la hausse des prix de l’alimentaire qui se poursuit. En avril, elle a atteint 15 % sur un an.

Emmanuel Macron a répété, à l’instar de son ministre de l’économie, Bruno Le Maire, que les négociations commerciales pour fixer les prix de l’alimentaire doivent être avancées et réouvertes afin de s’assurer qu’il n’y ait « pas de marges exceptionnelles » faites par la grande distribution ou les industriels dans ce contexte. « On a des grands groupes, sur certains produits, ils ont vite répercuté la hausse, ils ont moins vite répercuté la baisse », a déploré M. Macron.

S’il a constaté que cette « inflation alimentaire touche tous nos compatriotes », en première ligne desquels « les plus précaires », le président de la République a déclaré espérer que l’inflation alimentaire sera « absorbée d’ici à l’automne, pour, j’espère, revenir dans des terres plus connues et plus normales ».Autrement dit :rien

Politique-Macron àla télé : de plus en plus hors-sol

Politique-Macron à la télé : de plus en plus hors-sol


Pour résumer nombres de réactions sont négatives après l’interminable interview de Macron à la télé. Un président qui s’est montré toujours aussi méprisant et à côté des réalités socio-économiques. Rien de nouveau dans la communication de Macron : de l’autosatisfaction, des promesses et du mépris pour tous les opposants avec une impasse totale sur le pouvoir d’achat. Pour résumer, encore un exercice de com massive avec une stratégie en direction de tous les médias.

« Les Français sont en attente de pouvoir d’achat. (…) Ils sont en attente de justice fiscale », a Estimé François Ruffin .
Même réaction du côté de Manuel Bompard, qui a déploré sur Twitter une interview qui sonne comme un « énième exercice d’autosatisfaction, de mépris et de mensonges ». Mathilde Panot a quant à elle jugé Emmanuel Macron « déconnecté comme jamais ». Du côté des socialistes, Olivier Faure a notamment réagi à cette phrase prononcée par le président: « Même quand il y a des contestations, on ne change pas. »

« Être impopulaire vaudrait brevet de courage. Plus qu’impopulaire Macron est minoritaire. Il méprise 9 actifs sur 10, tous les syndicats et l’Assemblée nationale », a tweeté le Premier secrétaire du PS.

Marine Tondelier a, elle, rebondi sur la réponse apportée par Emmanuel Macron aux Français qui l’estiment « méprisant ». Le chef de l’Etat a « récusé » ce terme, estimant « qu’on ne va pas au contact comme il va depuis qu’il est engagé dans la vie politique, quand on a du mépris pour les gens » et que « le vrai mépris, c’est de mentir aux gens ».

« Appauvrissement des classes moyennes, ensauvagement de la société, mépris pour la démocratie…Un autoportrait sévère mais juste! » a-t-elle tweeté, ajoutant que le Rassemblement national est « prêt pour réussir là où ils ont échoué ».
Citant l’objectif annoncé ce lundi d’Emmanuel Macron de baisser de deux milliards d’euros les impôts sur les ménages d’ici 2027, le député RN de la Somme Jean-Philippe Tanguy a déploré « encore une escroquerie macroniste ».

Louis Aliot a lui aussi dénoncé sur BFMTV un président « en déconnexion totale avec le pays ». « Il tente d’imposer des réformes même contre l’avis de son camp. Il se moque pas mal de ce qu’il se passe dans son pays » a ajouté le maire RN de Perpignan.

Le président des Républicains a de son côté qualifié l’interview du président de « très longue, trop longue ».

Macron encore à la télé sur TF1 lundi soir

Macron encore à la télé sur TF1 lundi soir

Il n’y a pratiquement pas de jour ou Macon ne s’exprime pas à travers les médias en particulier à la télé. C’est le cas quand il voyage en province, c’est le cas quand il demeure à l’Élysée pour prendre la place de la première ministre, c’est encore le cas dans les moments plus officiels quand les médias complaisants lui tendent le micro de manière plus officielle.

On va encore vraisemblablement assister lundi soir à un interminable plaidoyer pour une politique pourtant pleine de contradictions dans nombre de domaines stratégiques. Macron va continuer de bonimenter, de dire tout et le contraire grâce à son idéologie du » en même temps ». D’un côté par exemple, il promet une grande rigueur financière mais de l’autre il ne cesse d’annoncer des milliards pour tout le monde en particulier pour une industrie moribonde ou pour la réduction des impôts des » classes moyennes ».

Pour l’instant, le chef de l’État n’a pas décidé de remplacer Élisabeth Borne mais se substitue à elle en s’exprimant sur tout et tout le temps. Quitte même à se mettre en contradiction avec la première ministre voire avec lui-même. Exemple cette mission de nouvelle majorité avec les « Républicains » qui a complètement échoué et dont il dit maintenant qu’elle n’est pas souhaitable !

Macron continue en faite de faire du Macron. Un peu comme ses prédécesseurs mais en pire. Comme Chirac, Sarkozy ou Hollande, Macron est un bonimenteur sans réel idéologie claire, coupé du réel et qui masque son vide politique par une communication qui dégouline de partout.

Le chef de l'État s'exprimera en direct au 20H du journal de TF1 ce lundi 15 mai, a annoncé la chaîne de télévision. Le chef de l'État multiplie les annonces économiques ces derniers jours, notamment dans le domaine de la réindustrialisation. Il s'est aussi prononcé dimanche pour la poursuite de la baisse de la fiscalité sur les classes moyennes.
Le président de la République s'est déjà exprimé ce dimanche dans une longue interview à L'Opinion , dans laquelle il a défendu sa réforme des retraites en regrettant «le déni de réalité» de ses opposants.

Macron au journal « Le Parisien »: le même bla-bla qu’à la télé

Macron au « Parisien »: le même bla-bla qu’à la télé

Dans le journal « le Parisien », Macron se livre de nouveau à une sorte d’exercice de type programmatique. Évidemment, il justifie encore la réforme des retraites considérant au surplus que un investissement supplémentaire de sa part aurait réussi à mieux convaincre. Un reproche indirect au gouvernement et à sa première ministre, qui appréciera ! On mesure les limites du » mea culpa » de Macron qui se réduisent à la critique de ses collaborateurs.

Ensuite il ressort un thème très populiste concernant l’immigration. Certes la question est importante et complexe en même temps car la France a besoin d’une main-d’œuvre pour des emplois que les Français ne veulent plus ou ne sont plus assez nombreux. Elle est également complexe car au-delà des discours jusque-là les pouvoirs n’ont jamais été capables de faire le tri entre l’immigration souhaitée et l’immigration sauvage du fait des innombrables recours juridiques possibles . En outre dans ce problème on mélange les questions liées aux populations françaises d’origine étrangère , les personnes réellement immigrées légalement et les sans-papiers. Bref, un sujet sérieux mais avancé de manière démagogique.

Sur le thème du salaire on notera que le chef de l’État se limite à l’incantation en invitant les chefs d’entreprise à tenir compte de l’inflation pour fixer le niveau des salaires. Première observation la revalorisation du SMIC de la responsabilité de l’État ne suit pas et de loin l’inflation. Deuxième observation, l’État patron ne montre pas l’exemple en ne revalorisant pas suffisamment les salaires des fonctionnaires. Troisième observation,aucune incitation à la tenue d’une conférence sociale entre les partenaires sociaux. Bref du bla-bla comme d’habitude.

Sur les concerts de casseroles, entendus lors de ces récents déplacements, Emmanuel Macron se montre toujours aussi vindicatif et méprisant juge que « quand vous avez des gens qui sont là uniquement pour couvrir votre voix, voire vous jeter des choses, ce n’est plus une contestation, cela s’appelle de l’incivisme ». « Il faut faire attention parce que si l’on confond toutes les notions, on va faire dysfonctionner notre démocratie », avance-t-il.

En mal sans doute de priorités politiques majeures, le chef de l’État ajoute la transformation écologique et thermique des écoles comme si c’était la priorité alors que le problème dominant et la baisse dramatique du niveau des élèves.

Sur le terrain de l’éducation, Emmanuel Macron affirme qu’ »il y a trop d’écoles qui sont des passoires thermiques, où les enfants se les gèlent puis ont trop chaud ». « On va les rénover », promet-il. « On va lancer un grand projet de restauration écologique de nos écoles. On va mettre le financement là-dessus pour accompagner les communes qui ne le peuvent pas seules », a-t-il ajouté, sans pour autant détailler d’enveloppe ni de calendrier précis. Le président avait déjà annoncé en novembre son intention de prendre une « initiative » sur le sujet.

Macron termine avec les institutions en restant particulièrement flou, en ne promettant strictement rien et surtout pas de référendum pour l’instant.

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