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Macron à la télé: le roi nu

Macron à la télé: le roi nu

Pour résumer le bla-bla habituel. D’abord une petite leçon juridique inutile) sur le processus d’élaboration de la loi. Ensuite une explication très vaseuse à propos de la foule populace qu’il compare aux factieux du capitole aux États-Unis. La rengaine de l’équilibre démographique on fait quoi pour encourager la natalité ?). Quand même un tout petit mot pour les entreprises qui font trop de profits et qui rachètent leurs actions. L’argument de l’opposition dont le conglomérat signifierait déficit. La fausse affirmation que des syndicats n’ont pas proposée de compromis. La reconnaissance de la colère et l’engagement de travaux sur le sens du travail, la reconversion et l’avancement. Bref les éboueurs pourront peut-être à partir de 55 ans passés le concours de l’ENA !. L’engagement gratuit vis-à-vis des branches dans les minima conventionnels sont en dessous du SMIC (la patate chaude renvoyée au Medef.

Pas de changement au gouvernement, Borne reste en place et va engager des travaux beaucoup plus réduits il y aura moins de lois, des textes plus courts et pour cause il a du mal à trouver une majorité. Autre affirmation fallacieuse » on a tout dépensé avant » comme si Macon en 6 ans n’avait pas fait sauter le plafond de la dette. « Bref oui il y a des problèmes mais tout va bien et les problèmes viennent surtout du covid, de la guerre et de l’inflation. Une manière de renvoyer en touche sa responsabilité.

Encore une intervention pour rien pour rabâcher toujours les mêmes fallacieux arguments concernant les risques financiers, les risques d’insurrection, les risques populistes. Le cri  » le roi nu » résume le mieux l’imposture permanente de Macon, le cri qui dégonfle la baudruche, fait tomber le masque d’un président élu après avoir infiltré la gauche pour mieux se mettre au service des plus riches qui ont financé ses campagne

À la mauvaise foi, s’ajoute aussi pour Macon l’incompétence crasse. Certes il aura réussi à octroyer de nombreux cadeaux aux plus riches mais il aura sans doute plongé le pays dans une crise dont les conséquences se feront sentir pendant des dizaines d’années. Il a largement contribué à brader l’économie et en particulier l’industrie mais aussi l’agriculture.
Il va laisser les finances de la France dans un état lamentable puisque la dette aura augmenté d’environ 25 % durant son mandat (3000 milliards de dettes un record et 50 milliards de charges financières par an).

Le déficit de la balance du commerce, supérieur témoigne du déclin économique.(Un déficit supérieur à 150 milliards en 2022). La situation est dramatique dans nombre de champs régaliens ou le rôle de l’État est en jeu comme la santé, l’école, la sécurité, la justice. Jamais la drogue ne s’est répandue à une telle vitesse dans le pays du fait du laxisme de l’État et de l’abandon de nombre de banlieues véritables comptoirs ouvert aux stupéfiants.

Macon a aussi complètement échoué en politique internationale. Il se voyait déjà président de l’Europe et même du monde. En réalité, il est aussi rejeté par nombre de pays. Parmi ces erreurs fondamentales il faut par exemple citer ses relations douteuses avec Poutine, puis sa tentative de ce rabibocher avec l’Ukraine. Résultat la France est mal vue dans les deux pays ! Même incompétence et même lâcheté en Afrique où la France a dû opérer des reculs honteuses notamment au Mali au Burkina faso. Un président, chef des armées qui n’a même pas fait son service militaire au motif qu’il poursuivaient des étude ce qui en dit long sur ses convictions.
Sur le plan démocratique, Macron se comporte comme un monarque dédaigneux ignorant volontairement les institutions et organisations représentatives y compris le Parlement.

L’histoire retiendra que ce président a plongé le pays de façon durable dans un déclin affectant les champs démocratiques, économiques, sociaux et même sociétaux.

Un président qui n’a plus de légitimité politique , de plus en plus seul comme dans un bunker à l’Élysée qui n’entend rien, n’écoute rien. Un autocrate incompétent et méprisant, dont la France devra se débarrasser rapidement pour ne pas tomber encore plus bas.

Politique- Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls  » ( CFDT)

Politique- Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls  » ( CFDT)

Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger n’a guère été tendre quant à l’intervention de la première ministre jeudi sur France 2. Le leader de la CFDT a en effet considéré qu’il s’agissait d’une nouvelle intervention pour les nuls. « On a l’impression de revivre la conférence de presse du 10 janvier. En fait la conférence de presse qui présentait la réforme des retraites pour les nuls. Il y a rien de bougé. On a le sentiment qu’entre temps, il n’y a pas eu un mouvement social de grande ampleur qui ne s’était pas produit depuis les années 90″.

Il faut dire qu’Élisabeth Borne s’est montrée comme à son habitude, une technocrate assez pâle s’efforçant de montrer avec des chiffres la légitimité comptable de la réforme. En réalité, rien de nouveau car la première ministre n’avait rien d’autre à offrir que le texte initial du gouvernement. Certains dans la majorité considèrent que le mécontentement des Français provient d’une insuffisance de pédagogie. Or les Français ont bien compris les enjeux et les modalités. Ils ont bien compris les efforts injustes qu’on leur demandait, ils ont bien compris l’inefficacité de cette réforme. Il ne s’agit donc pas d’un problème de communication mais d’une opposition radicale à une réforme insuffisante, bâclée et non réellement discutée avec les partenaires sociaux. Pour preuve d’ailleurs l’attitude du Medef favorable des lèvres à la réforme mais surtout qui ne veut pas entendre parler d’ »index » mesurant la part des séniors dans l’entreprise.

Face à une opposition grandissante à sa réforme des retraites, Élisabeth Borne s’est expliquée jeudi soir sur France 2 sur le sens de son projet qu’elle n’a pas qualifié de « juste » comme elle le disait jusqu’ici. Et pour cause : le gouvernement a été critiqué pour avoir utilisé ce vocable au moment de la présentation du projet alors qu’il subsistera des disparités de durées de cotisations et que ceux qui ont commencé à travailler plus jeunes devront contribuer plus longtemps au système. La situation de certaines femmes a aussi été soulignée.

Elisabeth Borne a plutôt insisté sur l’« effort » demandé pour convaincre les Français. Alors que la pression de la rue est forte et qu’une majorité à l’Assemblée nationale sur le texte n’est pas acquise, la Première ministre a déclaré qu’elle « n’envisage pas l’hypothèse » d’un recours au 49.3 pour faire adopter sa réforme qui repousse notamment l’âge de départ de 62 à 64 ans.
Elisabeth Borne a redit le côté « indispensable » de la réforme « pour sauver le système de retraites », même si « ça n’est pas simple de demander aux Français de travailler progressivement plus longtemps ».
Concernant le travail de seniors, aspect crucial de la réforme, Elisabeth Borne s’est dite favorable à des « sanctions » contre les entreprises qui ont de « mauvaises pratiques » en matière d’emploi des seniors. Au sujet de l’index d’emploi des seniors que le gouvernement veut mettre en place, Elisabeth Brtne « pense qu’on peut aller plus loin (…) en disant que les entreprises dont l’index montre qu’elles n’ont pas des bonnes pratiques à l’égard des seniors, doivent mettre en oeuvre un plan d’action qui évidemment sera négocié dans l’entreprise ». « Et si elles ne le font pas, ou s’il n’y a pas d’effets pour corriger les mauvaises pratiques, alors il pourrait y avoir des sanctions », a-t-elle ajouté. Une première est bien vague à laquelle s’oppose totalement le Medef qui ne veut même pas le temps de parler d’index.

Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls  » (CFDT)


Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls  » ( CFDT)


Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger n’a guère été tendre quant à l’intervention de la première ministre hier sur France 2. Le leader de la CFDT a en effet considéré qu’il s’agissait d’une nouvelle intervention pour les nuls. « On a l’impression de revivre la conférence de presse du 10 janvier. En fait la conférence de presse qui présentait la réforme des retraites pour les nuls. Il y a rien de bougé. On a le sentiment qu’entre temps, il n’y a pas eu un mouvement social de grande ampleur qui ne s’était pas produit depuis les années 90″.

Il faut dire qu’Élisabeth Borne s’est montrée comme à son habitude, une technocrate assez pâle s’efforçant de montrer avec des chiffres la légitimité comptable de la réforme. En réalité, rien de nouveau car la première ministre n’avait rien d’autre à offrir que le texte initial du gouvernement. Certains dans la majorité considèrent que le mécontentement des Français provient d’une insuffisance de pédagogie. Or les Français ont bien compris les enjeux et les modalités. Ils ont bien compris les efforts injustes qu’on leur demandait, ils ont bien compris l’inefficacité de cette réforme. Il ne s’agit donc pas d’un problème de communication mais d’une opposition radicale à une réforme insuffisante, bâclée et non réellement discutée avec les partenaires sociaux. Pour preuve d’ailleurs l’attitude du Medef favorable des lèvres à la réforme mais surtout qui ne veut pas entendre parler d’ »index » mesurant la part des séniors dans l’entreprise.

Face à une opposition grandissante à sa réforme des retraites, Élisabeth Borne s’est expliquée jeudi soir sur France 2 sur le sens de son projet qu’elle n’a pas qualifié de « juste » comme elle le disait jusqu’ici. Et pour cause : le gouvernement a été critiqué pour avoir utilisé ce vocable au moment de la présentation du projet alors qu’il subsistera des disparités de durées de cotisations et que ceux qui ont commencé à travailler plus jeunes devront contribuer plus longtemps au système. La situation de certaines femmes a aussi été soulignée.

Elisabeth Borne a plutôt insisté sur l’« effort » demandé pour convaincre les Français. Alors que la pression de la rue est forte et qu’une majorité à l’Assemblée nationale sur le texte n’est pas acquise, la Première ministre a déclaré qu’elle « n’envisage pas l’hypothèse » d’un recours au 49.3 pour faire adopter sa réforme qui repousse notamment l’âge de départ de 62 à 64 ans.
Elisabeth Borne a redit le côté « indispensable » de la réforme « pour sauver le système de retraites », même si « ça n’est pas simple de demander aux Français de travailler progressivement plus longtemps ».
Concernant le travail de seniors, aspect crucial de la réforme, Elisabeth Borne s’est dite favorable à des « sanctions » contre les entreprises qui ont de « mauvaises pratiques » en matière d’emploi des seniors. Au sujet de l’index d’emploi des seniors que le gouvernement veut mettre en place, Elisabeth Brtne « pense qu’on peut aller plus loin (…) en disant que les entreprises dont l’index montre qu’elles n’ont pas des bonnes pratiques à l’égard des seniors, doivent mettre en oeuvre un plan d’action qui évidemment sera négocié dans l’entreprise ». « Et si elles ne le font pas, ou s’il n’y a pas d’effets pour corriger les mauvaises pratiques, alors il pourrait y avoir des sanctions », a-t-elle ajouté. Une première est bien vague à laquelle s’oppose totalement le Medef qui ne veut même pas le temps de parler d’index.

Bolloré, TPMP et Hanouna: La télé dans le caniveau et le sordide

Bolloré, TPMP et Hanouna: La télé dans le caniveau et le sordide


Une nouvelle fois Hanouna et la chaîne TPMP fait dans le caniveau et le sordide. Le sulfureux député des Insoumis Louis Boyard ayant attaqué Bolloré, patron de la chaîne, l’animateur Cyrille Hanouna s’est cru obliger de traiter Louis Boyard « de merde ». L’émission d’ordinaire est déjà d’une bêtise lamentable , mais là, elle tombe carrément dans le caniveau. La Chaine télé Cnews, autre propriété de Bolloré, fait aussi dans une vulgarité et et un populisme pitoyables.

Il y a sans doute aussi une volonté chez Hanouna de provoquer le plus souvent le scandale pour faire parler de la chaîne C8 qui peine à trouver un autre public que celui des beaufs. Et évidemment Hanouna ne tolère pas la moindre critique vis-à-vis de son patron Bolloré.

De son côté, le député insoumis est également un provocateur en même temps sans doute qu’un arriviste. Reste que l’insulte d’hanouna est impardonnable. Le député a d’ailleurs porté plainte. Toujours aussi grotesque Cyrille Hanouna a décidé aussi de déposer sa propre plainte. Du vrai Guignol !

«On a la chance de faire une émission, donc on ne va pas faire une conférence de presse» commence ironiquement Cyril Hanouna, en référence à celle organisée plus tôt par l’homme politique dans laquelle il a annoncé vouloir «déposer plainte contre Cyril Hanouna pour “injure publique envers une personne chargée d’une mission de service public”».

Le plus gratiné dans l’affaire c’est que le député insulté a longtemps été un chroniqueur rémunéré dans l’émission de Cyril Hanouna !

Médias-TPMP et Hanouna: La télé de Bolloré dans le caniveau et le sordide

Média-TPMP et Hanouna: La télé dans le caniveau et le sordide

Une nouvelle fois Hanouna et la chaîne TPMP fait dans le caniveau et le sordide. Le sulfureux député des Insoumis Louis Boyard ayant attaqué Bolloré, patron de la chaîne, l’animateur Cyrille Hanouna s’est cru obliger de traiter Louis Boyard « de merde ». L’émission d’ordinaire est déjà d’une bêtise lamentable , mais là, elle tombe carrément dans le caniveau. La Chaine télé Cnews, autre propriété de Bolloré, fait aussi dans une vulgarité et et un populisme pitoyables.

Il y a sans doute aussi une volonté chez Hanouna de provoquer le plus souvent le scandale pour faire parler de la chaîne C8 qui peine à trouver un autre public que celui des beaufs. Et évidemment Hanouna ne tolère pas la moindre critique vis-à-vis de son patron Bolloré.

De son côté, le député insoumis est également un provocateur en même temps sans doute qu’un arriviste. Reste que l’insulte d’hanouna est impardonnable. Le député a d’ailleurs porté plainte. Toujours aussi grotesque Cyrille Hanouna a décidé aussi de déposer sa propre plainte. Du vrai Guignol !

«On a la chance de faire une émission, donc on ne va pas faire une conférence de presse» commence ironiquement Cyril Hanouna, en référence à celle organisée plus tôt par l’homme politique dans laquelle il a annoncé vouloir «déposer plainte contre Cyril Hanouna pour “injure publique envers une personne chargée d’une mission de service public”».

Le plus gratiné dans l’affaire c’est que le député insulté a longtemps été un chroniqueur rémunéré dans l’émission de Cyril Hanouna !

TPMP et Hanouna: La télé dans le caniveau et le sordide

TPMP et Hanouna: La télé dans le caniveau et le sordide

Une nouvelle fois Hanouna et la chaîne TPMP fait dans le caniveau et le sordide. Le sulfureux député des Insoumis Louis Boyard ayant attaqué Bolloré, patron de la chaîne, l’animateur Cyrille Hanouna s’est cru obliger de traiter Louis Boyar « de merde ». L’émission d’ordinaire est déjà d’une vulgarité surprenante mais là elle tombe carrément dans le caniveau.

Il y a sans doute aussi une volonté chez Hanouna de provoquer le plus souvent le scandale pour faire parler de la chaîne C8 qui peine à trouver un autre public que celui des beaufs. Et évidemment Hanouna ne tolère pas la moindre critique vis-à-vis de son patron Bolloré.

De son côté, le député insoumis est également un provocateur en même temps sans doute qu’un arriviste. Reste que l’insulte d’hanouna est impardonnable. Le député a d’ailleurs porté plainte. Toujours aussi grotesque Cyrille Hanouna a décidé aussi de déposer sa propre plainte. Du vrai Guignol !

«On a la chance de faire une émission, donc on ne va pas faire une conférence de presse» commence ironiquement Cyril Hanouna, en référence à celle organisée plus tôt par l’homme politique dans laquelle il a annoncé vouloir «déposer plainte contre Cyril Hanouna pour “injure publique envers une personne chargée d’une mission de service public”».

Le plus gratiné dans l’affaire c’est que le député insulté a longtemps été un chroniqueur rémunéré dans l’émission de Cyril Hanouna !

Politique-Macron à la télé : Un discours plat et sans vision

Politique-Macron à la télé : Un discours plat et sans vision

Le discours de Macron ne marquera sans doute pas l’histoire politique de la France. Le propos du chef de l’État a surtout été caractérisé par des approches à courte vue témoignant de la gestion au jour le jour du pays dans beaucoup de domaines.On a aussi observé un manque de sérénité c’est le président de plus en plus agacé par le faite qu’il ne maîtrise pas la situation depuis l’instauration d’une majorité relative à l’Assemblée nationale.

Le chef de l’État a renouvelé son intention d’engager une réforme mais au lieu de parler de 65 ans il se replie sur l’âge de 64 ans ! Avec toutefois une évolution sur le nombre obligatoire de trimestres de cotisation.

«On devra décaler l’âge légal de départ de quatre mois par an», a-t-il déclaré, tout en confirmant son calendrier : 63 ans en 2025, 64 ans en 2028 et 65 ans en 2031. Mais le chef de l’État s’est dit «ouvert» à un report de l’âge de départ à 64 ans, et non 65 ans, «en contrepartie» d’un allongement de la durée de cotisation. Macron ne parle plus de régime universel et même de supprimer les régimes spéciaux, Il aimait simplement le souhait de les réformer !

Concernant le débat sur la question brûlante du pouvoir d’achat, le président s’est défaussé considérant que ce n’est pas à l’État de définir les salaires. Mais de proposer quand même que se déroule un vague débat dans le cadre du conseil de la Refondation « sur le partage de la valeur ». Emmanuel Macron a confirmé que le bouclier tarifaire sur le gaz et l’électricité sera prolongé mais amoindri l’année prochaine. «Il y aura une hausse de 15% (des prix) sur les premiers mois de l’année», a déclaré le chef de l’État. «C’est beaucoup. Mais si on laissait les choses se passer, ça devrait être des hausses de plus de 100%», a-t-il souligné. «On a déjà amorti, on va continuer d’amortir».

Sur le plan politique, le chef de l’État a adressé des critiques acerbes à l’opposition qui d’après lui paralyse les travaux de l’Assemblée nationale
Le chef de l’État a donc justifié le recours controversé au 49-3 pour adopter le budget sans vote à l’Assemblée nationale, le 19 octobre dernier. «Le gouvernement a eu raison de faire voter ce budget, y compris face à toutes les oppositions qui étaient parfois dans la démagogie», a-t-il déclaré.

«Ce qui me met en colère, c’est le cynisme et le désordre», s’est insurgé Emmanuel Macron

Pour aider les entreprises et les collectivités, Emmanuel Macron veut «garantir un prix raisonnable» de l’électricité. Les petites et moyennes entreprises (PME), ainsi que les collectivités, bénéficieront d’un «mécanisme» d’amortissement qui sera présenté vendredi par la première ministre Élisabeth Borne. Il inclura aussi les très petites entreprises «très consommatrices d’énergie». S’agissant des entreprises de taille intermédiaire et des grands groupes, un «guichet d’aide» sera ouvert, avec un système d’acomptes et des critères d’accès «simplifiés».
Une «grande conférence sur le partage de la valeur» plutôt qu’une taxation des superprofits

Le président a annoncé une «grande conférence sur le partage de la valeur», menée dans le cadre du Conseil national de la refondation. Un «travail nécessaire», à l’entendre, préféré à une taxation des «superprofits» proposée par la gauche. À ce sujet, Emmanuel Macron a rappelé son soutien à un mécanisme de «contribution temporaire» au niveau européen, qui permet de «financer les mécanismes d’aide» face à l’inflation.

Concernant l’insécurité, Macron ne voit pas de lien «existentiel» entre immigration et sécurité mais «la moitié au moins des faits de délinquance» viennent «de personnes qui sont des étrangers soit en situation irrégulière, soit en attente de titres». L’objectif d’Emmanuel Macron : expulser «100%» des étrangers en situation irrégulière «les plus dangereux». ( actuellement 10%)

Bref un discours qui confirme que le président gère à courte vue, en opérant des slaloms voir des renoncements et qui témoigne d’une certaine incapacité à agir du pouvoir.

Suppression de la redevance télé : la démocratie tirée vers le bas ?

 

« En l’absence de la redevance, tout l’audiovisuel risque, à coup sûr, d’être tiré vers le bas » estime Jean-Noël Jeanneney 

 

Ce qui est en jeu si l’on supprime la redevance, ce n’est pas seulement le niveau culturel de la nation dans ses diverses générations, c’est aussi la qualité du débat civique, souligne, dans une tribune au « Monde », l’historien et ancien secrétaire d’Etat à la communication, qui appelle les députés à un refus « de salubrité civique ».

 

C’ette prise de position appelle des  remarques. La première, c’est que l’audiovisuel public ne joue désormais un rôle assez marginal face à l’explosion des modes d’expression : radio, télé, Internet. Pourquoi imposer une fiscalité à ceux qui ignorent l’audiovisuel publique? La seconde observation est liée à l’objectivité supposée des institutions publiques d’information. Sauf exception rare , l’audiovisuel public se caractérise souvent par une complaisance vis-à-vis du pouvoir en place et par une posture d’évitement des sujets trop brûlants. En outre,  l’audiovisuel public est aussi concernée par la publicité et donc aussi influencée par ses donneurs d’ordre NDLR

 

Il en est temps encore. Donc il faut le crier très fort. Supprimer la redevance audiovisuelle serait une mauvaise action.

Le principe en remonte au mitan des années 1930. Georges Mandel, ministre responsable dans le domaine de la radio, le théorisa. Sa justification demeure inchangée. Il s’agit, aujourd’hui comme autrefois, d’assurer la pérennité, à côté d’organismes mus par la quête du profit et dont le dynamisme est d’abord commercial, d’un service public qui soit mû par d’autres ressorts. En l’absence de la redevance, tout risque, à coup sûr, d’être tiré vers le bas. Achetant la première chaîne, en 1987, un entrepreneur de travaux publics avait promis de servir « un mieux-disant culturel ». On sait ce qu’il en a été.

 

L’idée démagogique d’une satisfaction des contribuables est évidemment illusoire. Elle sera fugace, à coup sûr. Démagogie ! J’étais chargé des questions audiovisuelles au gouvernement lorsque j’appris, à l’automne de 1992, qu’un jeune inspecteur des finances avait mis dans l’esprit du premier ministre, Pierre Bérégovoy, une singulière conviction : supprimer la redevance, supposée impopulaire (malgré diverses exonérations) aurait un effet décisif pour rallier l’opinion au pouvoir en place, dans la perspective des prochaines élections législatives. C’était une calembredaine. Mais il fallut que je menace de démissionner pour que le projet fût retiré. On est en droit d’affirmer, sans risquer d’être démenti, que ce n’est pas pour cette raison que la gauche fut battue lors des élections législatives qui suivirent.

Inciter à développer la publicité

Le gouvernement nous promet une garantie pluriannuelle du financement du secteur public. Pure illusion, puisqu’elle peut être contredite chaque année par des décisions nouvelles. En l’absence d’une redevance, le budget de l’audiovisuel public est voué à devenir une variable d’ajustement pour n’importe quel ministère.

Fin de la redevance télé !!!

Fin de la redevance télé !!!

La redevance audiovisuelle va disparaître. C’est du moins ce qu’a indiqué le gouvernement ce mercredi. « La contribution à l’audiovisuel public sera supprimée de manière pérenne dès cette année, et le financement de l’audiovisuel public sera assuré dans le respect de l’objectif à valeur constitutionnelle de pluralisme et d’indépendance des médias », indique l’exécutif dans la retranscription d’une communication de Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie, lors du conseil des ministres.

Concrètement, Bercy souhaite entériner cette suppression via le projet de loi de finances rectificative (PLFR), qui sera présenté courant juin, après les élections législatives. C’en sera alors terminé de cette vieille taxe de 138 euros, qui a vu le jour en 1933, et qui est payée par tous les ménages disposant d’un téléviseur. Ce n’est pas une surprise : Emmanuel Macron avait prévenu qu’il comptait torpiller la redevance pendant la campagne présidentielle.

Le seul problème qui reste est de savoir comment sera financé l’audiovisuel public et ce ne sont pas les déclarations de Macron qui éclaire la question Quand il évoque la possibilité de remplacer la redevance par « un budget avec de la visibilité pluriannuelle », lequel « ne donne pas lieu à la régulation budgétaire dans l’année par le gouvernement ». Du vrai langage d’énarque !

 

Suppression redevance télé : les médias désormais sous influence de la pub ?

Suppression redevance télé : les médias désormais sous influence de la pub ?

La pérennisation du financement de France Télévisions et de Radio France est remise en cause par la proposition d’Emmanuel Macron de supprimer la contribution à l’audiovisuel public, estiment, dans une tribune au « Monde », le sociologue Olivier Alexandre et l’économiste Françoise Benhamou.

 

Tribune. A l’occasion de sa première réunion de campagne présidentielle, lundi 7 mars, Emmanuel Macron a annoncé sa volonté de supprimer la contribution à l’audiovisuel public (CAP), auparavant dénommée redevance TV, dans l’hypothèse de sa réélection. A l’heure où l’information est devenue un enjeu stratégique dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine, alors que le récent mandat de Donald Trump a été marqué par le traitement polarisé de la campagne par la chaîne Fox News, et que l’économie de la presse est impactée par le poids grandissant des plates-formes, cette annonce pose la question de l’avenir du service public audiovisuel et au-delà de l’indépendance des médias.


Héritier de l’ORTF, le service public audiovisuel représente un ensemble de 17 000 salariés, travaillant au sein de France Télévisions (France 2, France 3, etc.), Radio France (France Inter, Franceinfo…), Arte, France Médias Monde (France 24, RFI…), l’Institut national de l’audiovisuel et TV5 Monde. Les 138 euros, fixés par le Parlement, payés par 28 millions de Français, avaient rapporté 3,8 milliards d’euros en 2020, permettant de couvrir l’essentiel de son coût de fonctionnement, à l’exception d’un déficit s’élevant à près de 50 millions par an.

Si elle a suscité de nombreuses réactions, cette annonce était pourtant attendue. Dans sa forme actuelle, la redevance est en effet adossée à la taxe d’habitation, qui prendra fin en 2023, conformément à la promesse de campagne du candidat d’En marche ! en 2017. L’annonce de l’actuel président fait entrevoir trois scénarios : la mise sur pied d’un nouveau système de financement dans des proportions égales permettant de garantir l’autonomie du service public ; une réduction à terme de son financement ; ou encore sa privatisation, partielle ou complète, appelée de leurs vœux par les candidats Eric Zemmour et Marine Le Pen.

Ce choix revêt trois dimensions : le périmètre du service, au niveau local, national et international ; le montant du financement ; et le support de collecte. De ce point de vue, plusieurs observations peuvent être faites.

Tout d’abord, l’audiovisuel public est une économie de coûts fixes, avec des dépenses de programmation élevées. Pour des raisons d’indépendance et de structure économique, il requiert un financement pérenne, exempt du risque de coupe annuelle. De plus, le montant de la CAP demeure faible : 138 euros pour la France métropolitaine et 88 euros pour les départements d’outre-mer. A titre de comparaison, en Allemagne, elle s’élève à 220 euros, pour un total de 8 milliards d’euros de recettes publiques bénéficiant aux groupes ARD et ZDF.

Politique- Macron à la télé: Intervention ratée

Macron à la télé:  Intervention ratée

 Une étude Odoxa Backbone Consulting réalisée pour Le Figaro indique que peu de personnes ont regardé l’entretien présidentiel diffusé sur TF1 et LCI.

Sans doute une intervention de trop pour Macron, très peu suivie et en plus raté sur le fond. En effet Selon un sondage Odoxa Backbone Consulting réalisé pour Le Figaro, ils sont seulement 9% à l’avoir suivie en entier, et 16% à l’avoir vue en partie. «Des indicateurs très faibles par rapport aux standards habituels», relève Emile Leclerc, directeur d’études de l’institut.

D’autant plus faibles que les précédentes apparitions du chef de l’État ont suscité un vif intérêt. Le 9 novembre dernier, son allocution présidentielle avait été suivie par 64% des citoyens. Quant à celle du 12 juillet dernier, ils étaient 71% à s’y être arrêtés. Les deux prises de parole étaient toutefois consacrées à la situation sanitaire, et de nouvelles annonces étaient attendues.

« Seuls 37% des Français ont trouvé le locataire de l’Élysée «convaincant», soit «le plus bas niveau enregistré sur toutes ses interventions depuis le début de la crise sanitaire», souligne Odoxa. Sa clarté en a également pris un coup, puisque la moitié des Français seulement estime qu’Emmanuel Macron a montré «qu’il savait où il allait», et 40% l’ont trouvé rassurant.

Finalement, cette interview semble donc avoir produit l’effet inverse de celui recherché. Si le chef de l’État a cherché à valoriser son bilan en défendant ses choix, 6 Français sur 10 estiment que ce dernier est mauvais. Y compris sur des thèmes comme l’immigration (79%), le pouvoir d’achat (76%) ou le chômage (61%). «Dans notre baromètre politique réalisé une semaine auparavant, 44% d’entre eux le qualifiaient de ‘bon président’. Non seulement il n’a pas amélioré la proportion de Français qui le jugent positivement mais il l’a dégradée», analyse Emile Leclerc.

Le jugement est également sévère sur la posture adoptée par Emmanuel Macron, puisque deux-tiers de l’opinion estiment qu’il s’est «davantage exprimé comme un candidat que comme un président» et qu’il «profite de sa fonction de président pour faire campagne dans les médias en vue de sa réélection».

Que cette interview ait modifié ou non l’avis des Français, le résultat n’est pas bon : 63% d’entre eux ne souhaitent pas qu’Emmanuel Macron se présente en 2022.

Sondage Macron à la télé: Intervention ratée

Macron à la télé:  Intervention ratée

 Une étude Odoxa Backbone Consulting réalisée pour Le Figaro indique que peu de personnes ont regardé l’entretien présidentiel diffusé sur TF1 et LCI.

Sans doute une intervention de trop pour Macron, très peu suivie et en plus raté sur le fond. En effet Selon un sondage Odoxa Backbone Consulting réalisé pour Le Figaro, ils sont seulement 9% à l’avoir suivie en entier, et 16% à l’avoir vue en partie. «Des indicateurs très faibles par rapport aux standards habituels», relève Emile Leclerc, directeur d’études de l’institut.
D’autant plus faibles que les précédentes apparitions du chef de l’État ont suscité un vif intérêt. Le 9 novembre dernier, son allocution présidentielle avait été suivie par 64% des citoyens. Quant à celle du 12 juillet dernier, ils étaient 71% à s’y être arrêtés. Les deux prises de parole étaient toutefois consacrées à la situation sanitaire, et de nouvelles annonces étaient attendues.

« Seuls 37% des Français ont trouvé le locataire de l’Élysée «convaincant», soit «le plus bas niveau enregistré sur toutes ses interventions depuis le début de la crise sanitaire», souligne Odoxa. Sa clarté en a également pris un coup, puisque la moitié des Français seulement estime qu’Emmanuel Macron a montré «qu’il savait où il allait», et 40% l’ont trouvé rassurant.

Finalement, cette interview semble donc avoir produit l’effet inverse de celui recherché. Si le chef de l’État a cherché à valoriser son bilan en défendant ses choix, 6 Français sur 10 estiment que ce dernier est mauvais. Y compris sur des thèmes comme l’immigration (79%), le pouvoir d’achat (76%) ou le chômage (61%). «Dans notre baromètre politique réalisé une semaine auparavant, 44% d’entre eux le qualifiaient de ‘bon président’. Non seulement il n’a pas amélioré la proportion de Français qui le jugent positivement mais il l’a dégradée», analyse Emile Leclerc.

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Le jugement est également sévère sur la posture adoptée par Emmanuel Macron, puisque deux-tiers de l’opinion estiment qu’il s’est «davantage exprimé comme un candidat que comme un président» et qu’il «profite de sa fonction de président pour faire campagne dans les médias en vue de sa réélection».

Que cette interview ait modifié ou non l’avis des Français, le résultat n’est pas bon : 63% d’entre eux ne souhaitent pas qu’Emmanuel Macron se présente en 2022.

Propagande Macron à la télé : le CSA complice

Le CSA complice

 

 

Confirmation de l’inutilité ou plus exactement même de la complicité du CSA vis-à-vis de la propagande du pouvoir avec cette décision qui consiste à refuser de décompter le temps de parole de Macron lors de sa dernière intervention de propagande de mercredi.

Et en plus avec cette orientation particulièrement hypocrite consistant à décompter les propos du président « quand il s’agit de débats politiques nationales mais à ne pas le compter quand il s’agit du débat régalien. ». Le seul problème c’est que à l’occasion d’une élection présidentielle le débat national ne porte pour l’essentiel que sur les aspects régaliens ! Faux-cul, tu meurs!

Pas étonnant les membres du conseil supérieur audiovisuel sont choisis avec soin pour leur souplesse d’échine et leur manque de personnalité. En bref, ils sont la brosse à reluire du pouvoir en place.

 

Valérie Pécresse, candidate LR et Yannick Jadot, candidat écologiste, avaient tous les deux saisi le CSA sur le décompte du temps de parole d’Emmanuel Macron lors de l’émission de T1 et LCI intitulée «Où va la France ? ».

La question a été traitée lors d’une séance du collège des sages du CSA le 15 décembre, jour de la diffusion de l’émission. Dans un courrier adressé aux deux plaignants, le CSA leur a précisé la manière dont le temps de parole du Président sera traité.

De manière fort hypocrite, le  régulateur rappelle «que le choix des personnes invitées à s’exprimer à l’antenne relève exclusivement de la responsabilité éditoriale des services de radio et de télévision. Il ne dispose d’aucun pouvoir pour imposer ou récuser a priori la présence d’un intervenant dans un programme particulier» et du coup explique pourquoi il n’a aucune raison de s’opposer à la diffusion de cette émission politique sur les antennes de TF1 et LCI.

Comme si une chaîne pouvait refuser une intervention du chef de l’État !
Conclusion, il est temps de faire sauter ce type de conseil qui comme beaucoup d’autres ne sert strictement à rien sinon à satisfaire l’ego des pré retraités  qui s’y trouvent  et à passer de la pommade au pouvoir.

Audience télé : en baisse

Audience télé : en baisse

En novembre, la durée globale a perdu plus d’une quarantaine de minutes, selon les données de Médiamétrie prenant en compte tous les écrans.

Si l’on ne retient que l’écran de télévision (avec les écrans hors domicile), la durée d’écoute (live et replay) s’établit à 3 h 39 pour les Français de 4 ans et plus, contre 4 h 21 il y a un an. Mais, surtout, elle recule par rapport à novembre 2019 (3 h 44), qui était une période plus classique, avant la crise sanitaire.

En dépit de la croissance exponentielle du nombre de chaînes, l’audience diminue. Plusieurs facteurs explicatifs sans doute d’abord le recours aux nouveaux médias mais aussi un côté répétitif aussi bien des programmes récréatifs, que des séries ou de l’info.

On assiste à une sorte d’usure prématurée des programmes télévisés incapables de se renouveler avec des chaînes qui fonctionnent un peu comme de grandes administrations.Cependant l’arrivée du nouveau variant omicron pourrait relancer l’audience de chaînes qui paraissaient un peu essoufflées.

Démocratie et Chaîne télé info continue : trop de discussion de bistrot

Démocratie et Chaîne télé  info continue : trop de discussion de bistrot

 

Avec le phénomène Zemmour, les chaînes d’info continue ont récupéré provisoirement une certaine audience. Cependant le soufflé est en train de retomber..    En cause sans doute, le côté répétitif des infos toutes les heures ou les demi-heures. Mais aussi une ligne éditoriale qui s’appuie sur des plateaux télé composés souvent de pseudos experts et  de vieilles barbes qui ont tendance à radoter. On comprend évidemment les difficultés à trouver l’équilibre économique car les bons journalistes, les bons animateurs et les bons intervenants ont un prix. Alors trop souvent on fait appel à des intervenants gratuits, facilement disponibles avec un très fort pourcentage de vieux experts qui radotent et où qui n’ont pas produit d’études, de recherche plus généralement de travaux pratiques depuis plusieurs dizaines d’années. On complètement avec un deux personnes  sans aucune compétence, un sociologue, un journaliste, un écrivain, un cinéaste, un » essayiste »  ;   il ne manque plus que Madame Soleil !

Et les jugements se côtoient: définitifs, péremptoires et si possible provocateurs pour maintenir l’ambiance.

C’est comme au bistrot après deux ou trois tournées d’apéritif. On affirme, on tranche, on pronostique quitte à se dédire la semaine suivante.Et la crise sanitaire offre l’opportunité de satisfaire tous les délires, D’autant que les experts, les vrais, ne sont pas toujours d’accord entre eux.

.Les chaînes d’info peinent donc à trouver leur public car le plus souvent elles ne font que délayer de façon un peu médiocre les grands thèmes traités par les généralistes. Beaucoup de choses méritent d’être revues : les formats, les animateurs et les intervenants. Dommage parce que ces chaînes ont au moins l’avantage de disposer de temps pour traiter de manière approfondie les problématiques.

 

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