Archive pour le Tag 'Télé'

Politique-Macron à la télé: Macron: du bavardage et de vagues référendums

Politique-Macron à la télé: Macron: du bavardage et de vagues référendums

On oubliera sans doute assez rapidement ce nouveau et interminable passage de Macron à la télé qui n’a strictement rien apporté de précis et de nouveau. D’abord une justification de sa politique menée mais sans perspective de sortie réelle de l’immobilisme actuel et de la dégradation économique et financière.

On ne peut même pas retenir la promesse de vagues référendums. Un seul, plusieurs? sur des sujets et des questions multiples et qui finiront sans doute en eau de boudin d’ailleurs d’ores et déjà 60 % des Français n’y croient pas. En cause, des sujets possibles non constitutionnels, anecdotiques et des questionnements confus voir démagogiques.

Pour Macron il s’agirait de trouver des thèmes susceptibles de recueillir une majorité donc assez anodins pour que la consultation ne se transforme pas en « pour » ou « contre » Macron.

En outre, on aura noté l’absence totale d’articulation avec un gouvernement que désormais Macron ignore. Bref deux immobilismes qui s’ajoutent à la paralysie de tout le système français. Et un président toujours content de lui-même ! Et qui envisage même de se représenter en 2032 !

Macron à la télé: Macron: du bavardage et de vagues référendums

Macron à la télé: Macron: du bavardage et de vagues référendums

On oubliera sans doute assez rapidement ce nouveau et interminable passage de Macron à la télé qui n’a strictement rien apporté de précis et de nouveau. D’abord une justification de sa politique menée mais sans perspective de sortie réelle de l’immobilisme actuel et de la dégradation économique et financière.

On ne peut même pas retenir la promesse de vagues référendums. Un seul, plusieurs? sur des sujets et des questions multiples et qui finiront sans doute en eau de boudin d’ailleurs d’ores et déjà 60 % des Français n’y croient pas. En cause, des sujets possibles non constitutionnels, anecdotiques et des questionnements confus voir démagogiques.

Pour Macron il s’agirait de trouver des thèmes susceptibles de recueillir une majorité donc assez anodins pour que la consultation ne se transforme pas en « pour » ou « contre » Macron.

En outre, on aura noté l’absence totale d’articulation avec un gouvernement que désormais Macron ignore. Bref deux immobilismes qui s’ajoutent à la paralysie de tout le système français. Et un président toujours content de lui-même ! Et qui envisage même de se représenter en 2032 !

Macron à la télé : une diversion pour masquer la crise et l’immobilisme

Politique- Macron à la télé : une diversion pour masquer la crise et l’immobilisme !

« Les annonces d’Emmanuel Macron sur TF1 risquent d’apparaître comme de la diversion si un chemin crédible n’est pas tracé pour réduire les déficits et la dette publique »

par Françoise Fressoz

Editorialiste au « Monde »

Le président de la République marginalise la question des finances publiques pour mettre sous les projecteurs la question démocratique, constate dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

Le retour du président de la République sur le devant de la scène intérieure est à la fois compréhensible et ambigu. Compréhensible parce que le décalage entre l’accélération des bouleversements dans le monde et la quasi-paralysie de la vie politique française a de quoi rendre perplexe. Si le pays ne muscle pas rapidement sa défense ainsi que son appareil de production, et s’il ne réinterroge pas le concept de citoyenneté à l’heure de l’essor des régimes autoritaires, il se met en grand danger. Fortement impliqué dans la riposte européenne aux foucades de Donald Trump, face au risque de désengagement militaire américain du continent européen et à la menace russe, le président français a toute légitimité pour jouer les éclaireurs.

Mais ce retour, concrétisé par une longue intervention télévisée, mardi 13 mai sur TF1, est en même temps ambigu. Le principal défi auquel est confronté le pays pour regagner en souveraineté est de parvenir à réduire le poids des remboursements de sa dette publique, dont le montant croissant obère ses marges de manœuvre. Or, il n’est pas certain que, sur ce chapitre, le chef de l’Etat soit dans la disposition d’esprit ou capable de voler au secours de son premier ministre.

Le récent différend apparu entre les deux têtes de l’exécutif à propos de l’usage du référendum éclaire l’impasse dans laquelle risque de se trouver François Bayrou lorsqu’il présentera, à l’été, son plan de redressement des finances publiques. A l’Assemblée nationale, son sort dépend étroitement du comportement du groupe socialiste, qui l’a sauvé à deux reprises en refusant de voter la motion de censure déposée par La France insoumise contre les projets de budget pour 2025 et de loi de financement de la Sécurité sociale.

Seule la neutralité durable de ce groupe peut lui garantir, à l’avenir, d’échapper à la coalition des oppositions (gauche, extrême droite) qui avait eu raison du gouvernement Barnier. Celle-ci est loin de lui être acquise pour trois raisons : quel que soit le résultat de son congrès en juin, le Parti socialiste continuera de se situer dans l’opposition ; le montant de l’effort à fournir – soit 40 milliards d’euros à trouver en 2026, près de 100 milliards d’euros d’ici à 2029 – pour simplement stopper la progression de la dette est si important qu’il oblige à réinterroger les politiques publiques et le modèle social alors qu’il n’existe aucun consensus sur le nouveau modèle à construire…

Politique- Macron à la télé : une diversion pour masquer la crise financière et l’immobilisme !

Politique- Macron à la télé : une diversion pour masquer la crise financière et l’immobilisme !

« Les annonces d’Emmanuel Macron sur TF1 risquent d’apparaître comme de la diversion si un chemin crédible n’est pas tracé pour réduire les déficits et la dette publique »

par Françoise Fressoz

Editorialiste au « Monde »

Le président de la République marginalise la question des finances publiques pour mettre sous les projecteurs la question démocratique, constate dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

Le retour du président de la République sur le devant de la scène intérieure est à la fois compréhensible et ambigu. Compréhensible parce que le décalage entre l’accélération des bouleversements dans le monde et la quasi-paralysie de la vie politique française a de quoi rendre perplexe. Si le pays ne muscle pas rapidement sa défense ainsi que son appareil de production, et s’il ne réinterroge pas le concept de citoyenneté à l’heure de l’essor des régimes autoritaires, il se met en grand danger. Fortement impliqué dans la riposte européenne aux foucades de Donald Trump, face au risque de désengagement militaire américain du continent européen et à la menace russe, le président français a toute légitimité pour jouer les éclaireurs.

Mais ce retour, concrétisé par une longue intervention télévisée, mardi 13 mai sur TF1, est en même temps ambigu. Le principal défi auquel est confronté le pays pour regagner en souveraineté est de parvenir à réduire le poids des remboursements de sa dette publique, dont le montant croissant obère ses marges de manœuvre. Or, il n’est pas certain que, sur ce chapitre, le chef de l’Etat soit dans la disposition d’esprit ou capable de voler au secours de son premier ministre.

Le récent différend apparu entre les deux têtes de l’exécutif à propos de l’usage du référendum éclaire l’impasse dans laquelle risque de se trouver François Bayrou lorsqu’il présentera, à l’été, son plan de redressement des finances publiques. A l’Assemblée nationale, son sort dépend étroitement du comportement du groupe socialiste, qui l’a sauvé à deux reprises en refusant de voter la motion de censure déposée par La France insoumise contre les projets de budget pour 2025 et de loi de financement de la Sécurité sociale.

Seule la neutralité durable de ce groupe peut lui garantir, à l’avenir, d’échapper à la coalition des oppositions (gauche, extrême droite) qui avait eu raison du gouvernement Barnier. Celle-ci est loin de lui être acquise pour trois raisons : quel que soit le résultat de son congrès en juin, le Parti socialiste continuera de se situer dans l’opposition ; le montant de l’effort à fournir – soit 40 milliards d’euros à trouver en 2026, près de 100 milliards d’euros d’ici à 2029 – pour simplement stopper la progression de la dette est si important qu’il oblige à réinterroger les politiques publiques et le modèle social alors qu’il n’existe aucun consensus sur le nouveau modèle à construire…

Macron à la télé : une diversion pour masquer la crise financière et l’immobilisme !

Macron à la télé : une diversion pour masquer la crise financière et l’immobilisme !

« Les annonces d’Emmanuel Macron sur TF1 risquent d’apparaître comme de la diversion si un chemin crédible n’est pas tracé pour réduire les déficits et la dette publique »

par Françoise Fressoz

Editorialiste au « Monde »

Le président de la République marginalise la question des finances publiques pour mettre sous les projecteurs la question démocratique, constate dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

Le retour du président de la République sur le devant de la scène intérieure est à la fois compréhensible et ambigu. Compréhensible parce que le décalage entre l’accélération des bouleversements dans le monde et la quasi-paralysie de la vie politique française a de quoi rendre perplexe. Si le pays ne muscle pas rapidement sa défense ainsi que son appareil de production, et s’il ne réinterroge pas le concept de citoyenneté à l’heure de l’essor des régimes autoritaires, il se met en grand danger. Fortement impliqué dans la riposte européenne aux foucades de Donald Trump, face au risque de désengagement militaire américain du continent européen et à la menace russe, le président français a toute légitimité pour jouer les éclaireurs.

Mais ce retour, concrétisé par une longue intervention télévisée, mardi 13 mai sur TF1, est en même temps ambigu. Le principal défi auquel est confronté le pays pour regagner en souveraineté est de parvenir à réduire le poids des remboursements de sa dette publique, dont le montant croissant obère ses marges de manœuvre. Or, il n’est pas certain que, sur ce chapitre, le chef de l’Etat soit dans la disposition d’esprit ou capable de voler au secours de son premier ministre.

Le récent différend apparu entre les deux têtes de l’exécutif à propos de l’usage du référendum éclaire l’impasse dans laquelle risque de se trouver François Bayrou lorsqu’il présentera, à l’été, son plan de redressement des finances publiques. A l’Assemblée nationale, son sort dépend étroitement du comportement du groupe socialiste, qui l’a sauvé à deux reprises en refusant de voter la motion de censure déposée par La France insoumise contre les projets de budget pour 2025 et de loi de financement de la Sécurité sociale.

Seule la neutralité durable de ce groupe peut lui garantir, à l’avenir, d’échapper à la coalition des oppositions (gauche, extrême droite) qui avait eu raison du gouvernement Barnier. Celle-ci est loin de lui être acquise pour trois raisons : quel que soit le résultat de son congrès en juin, le Parti socialiste continuera de se situer dans l’opposition ; le montant de l’effort à fournir – soit 40 milliards d’euros à trouver en 2026, près de 100 milliards d’euros d’ici à 2029 – pour simplement stopper la progression de la dette est si important qu’il oblige à réinterroger les politiques publiques et le modèle social alors qu’il n’existe aucun consensus sur le nouveau modèle à construire…

L’intervention de Macron à la télé : une diversion !

L’intervention de Macron à la télé : une diversion !

« Les annonces d’Emmanuel Macron sur TF1 risquent d’apparaître comme de la diversion si un chemin crédible n’est pas tracé pour réduire les déficits et la dette publique »

par Françoise Fressoz

Editorialiste au « Monde »

Le président de la République marginalise la question des finances publiques pour mettre sous les projecteurs la question démocratique, constate dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

Le retour du président de la République sur le devant de la scène intérieure est à la fois compréhensible et ambigu. Compréhensible parce que le décalage entre l’accélération des bouleversements dans le monde et la quasi-paralysie de la vie politique française a de quoi rendre perplexe. Si le pays ne muscle pas rapidement sa défense ainsi que son appareil de production, et s’il ne réinterroge pas le concept de citoyenneté à l’heure de l’essor des régimes autoritaires, il se met en grand danger. Fortement impliqué dans la riposte européenne aux foucades de Donald Trump, face au risque de désengagement militaire américain du continent européen et à la menace russe, le président français a toute légitimité pour jouer les éclaireurs.

Mais ce retour, concrétisé par une longue intervention télévisée, mardi 13 mai sur TF1, est en même temps ambigu. Le principal défi auquel est confronté le pays pour regagner en souveraineté est de parvenir à réduire le poids des remboursements de sa dette publique, dont le montant croissant obère ses marges de manœuvre. Or, il n’est pas certain que, sur ce chapitre, le chef de l’Etat soit dans la disposition d’esprit ou capable de voler au secours de son premier ministre.

Le récent différend apparu entre les deux têtes de l’exécutif à propos de l’usage du référendum éclaire l’impasse dans laquelle risque de se trouver François Bayrou lorsqu’il présentera, à l’été, son plan de redressement des finances publiques. A l’Assemblée nationale, son sort dépend étroitement du comportement du groupe socialiste, qui l’a sauvé à deux reprises en refusant de voter la motion de censure déposée par La France insoumise contre les projets de budget pour 2025 et de loi de financement de la Sécurité sociale.

Seule la neutralité durable de ce groupe peut lui garantir, à l’avenir, d’échapper à la coalition des oppositions (gauche, extrême droite) qui avait eu raison du gouvernement Barnier. Celle-ci est loin de lui être acquise pour trois raisons : quel que soit le résultat de son congrès en juin, le Parti socialiste continuera de se situer dans l’opposition ; le montant de l’effort à fournir – soit 40 milliards d’euros à trouver en 2026, près de 100 milliards d’euros d’ici à 2029 – pour simplement stopper la progression de la dette est si important qu’il oblige à réinterroger les politiques publiques et le modèle social alors qu’il n’existe aucun consensus sur le nouveau modèle à construire…

Foot- Nouvelle crise de financement des droits télé par DAZN

Foot-  Nouvelle crise de financement des droits télé par  DAZN

 

Comme c’était prévisible DA CN ne veut pas tenir ses engagements en matière de financement des droits télés du football français. De quoi accélérer un peu plus la crise financière qui devrait affecter une grande partie des équipes de ligues 1

DAZNveut remettre en cause le contrat. La plateforme DAZN, menace de ne pas payer une partie des sommes dues, a appris l’AFP mardi soir d’une source proche du dossier.

Dans un mail envoyé aux membres du CA, le président de la LFP, Vincent Labrune, évoque une «situation malheureusement urgente» et convoque cette réunion pour traiter la question des droits TV avec les clubs, a précisé cette source, confirmant une information de L’Equipe.

 

DAZN doit verser dans les prochains jours la quatrième échéance prévue dans le contrat qu’elle a conclue cet été avec le football français. Mais la plateforme menace de ne pas le faire, invoquant des conditions d’exploitation difficiles en partie liées au piratage.

Après avoir promis d’obtenir un milliard d’euros par saison, et vu son appel d’offres échouer, la Ligue a dû ravaler ses ambitions et vendre les matches de L1 pour un total annuel d’environ 500 millions d’euros à DAZN (qui diffuse huit des neuf matches par journée) et beIN Sports (diffuseur du neuvième).

Une baisse significative par rapport aux 624 millions du contrat précédent, doublée d’une grogne des amateurs du foot, écoeurés par le prix de 30 euros mensuels qu’avait proposé la plateforme britannique de streaming sportif avant de revoir à la baisse sa politique tarifaire.

 

Politique-Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

Politique-Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

 

Après des interviews dans la presse régionale, Macron revient à la télé à propos de l’intelligence artificielle . Macron qui a de plus en plus de mal à exister va encore s’autoriser une intervention publique à la télé cette fois pour parler de l’intelligence artificielle qui serait bien utile au président et au pays tout entier pour sortir du bourbier politique et économique actuel.

En marge du sommet mondial sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris, Emmanuel Macron va s’exprimer dans la foulée du journal télévisé de 20 heures de France 2 ce dimanche 9 février. Depuis le Grand Palais, le président de la République «répondra aux questions de Laurent Delahousse (France 2) et de Palki Sharma Upadhyay (Firstpost – Vantage)», le tout dans un dans un format inédit, précise un communiqué de la chaîne publié ce mercredi. «Emmanuel Macron s’exprimera sur les grands enjeux de l’IA pour la France et le monde», avance le média public.

 

Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

 

Macron qui a de plus en plus de mal à exister va encore s’autoriser une intervention publique à la télé cette fois pour parler de l’intelligence artificielle qui serait bien utile au président et au pays tout entier pour sortir du bourbier politique et économique actuel

En marge du sommet mondial sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris, Emmanuel Macron va s’exprimer dans la foulée du journal télévisé de 20 heures de France 2 ce dimanche 9 février. Depuis le Grand Palais, le président de la République «répondra aux questions de Laurent Delahousse (France 2) et de Palki Sharma Upadhyay (Firstpost – Vantage)», le tout dans un dans un format inédit, précise un communiqué de la chaîne publié ce mercredi. «Emmanuel Macron s’exprimera sur les grands enjeux de l’IA pour la France et le monde», avance le média public.

 

Télé-France 2 leader grâce aux JO

France 2 leader grâce aux JO

 

France 2, recordman des audiences télé de l’été grâce aux JO. Au mois d’août, France 2 a récolté une moisson de médailles. Après le score stratosphérique en juillet de la cérémonie d’ouverture, suivie en direct par 23,2 millions de téléspectateurs en moyenne, France 2 a attiré 17,1 millions de Français devant la cérémonie de clôture des Jeux le 11 août. Et encore 10,2 millions la semaine dernière, lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques. L’audience devrait être bonne également en septembre compte tenu de la ferveur autour des paralympiques. 

Autant de victoires, sur le terrain des audiences TV, qui « traduisent l’appétit des Français pour le moment olympique, indique Stéphane Sitbon-Gomez, le directeur des antennes et des programmes de France Télévisions, diffuseur officiel des JO en clair. Les résultats vont bien au-delà des attentes et des projections que tous les professionnels avaient envisagées ». Conséquence, France 2 a atterri sur la plus haute marche du podium en s’arrogeant 23,3 % de part de marché.

Suspension de C8 la télé caniveau

Suspension de C8 la télé caniveau

Après les multiples débordement, outrances et sanctions, l’Arcom   a décidé de ne pas redonner de fréquence à la chaîne C8 sur la TNT .

Les obligations auxquelles doivent se soumettre les chaînes de télévision et les radios sont faites pour être respectées. Les contourner, c’est prendre le risque de la sanction ultime : la perte de sa fréquence. C’est la fin donc de cette télé caniveau outrancière, exhibitionniste et surtout nulle. 

Macron encore à la télé mardi

Macron encore à la télé mardi

Macron encore à la télé mardi;  à se demander s’il ne va pas un jour présenter le journal et même la météo. Ces derniers jours, il a multiplié les apparitions médiatiques. Sans grand succès malheureusement tellement il est hypothéqué par sa position quasi monarchique qui suscite rejet et même haine. Encore sans doute une intervention qui ne sera pas davantage appréciée que les précédentes. 

La campagne entre dans sa deuxième phase. Après la déroute de son camp aux élections européennes, qui a entraîné la dissolution surprise de l’Assemblée nationale et la convocation de législatives anticipées les 30 juin et 7 juillet prochains, Emmanuel Macron va s’exprimer lors d’une conférence de presse mardi après-midi.

 

Selon l’un de ses interlocuteurs, le président de la République entend profiter de ce rendez-vous – qui se tiendra hors de l’Élysée – pour «expliciter son choix», livrer quelques «grandes orientations programmatiques», et esquisser de «premières pistes de recomposition».
Autrement dit, le chef de l’État va présenter les trois ou quatre grandes idées de réformes qu’il veut soumettre aux Français, et autour desquelles ses troupes vont ensuite se déployer sur le terrain durant les trois prochaines semaines.

 

Politique- Macron à la télé: encore Un grand numéro de bonimenteur

Politique- Macron à la télé: encore Un grand numéro de bonimenteur

Ce n’est pas par hasard si Macron a décidé de parler avant son premier ministre. Il a en effet récupéré une partie de ses propositions d’Attal en y ajoutant quelques mesures ici ou là dans un discours qui relève davantage de l’auberge Espagnole que de la stratégie politique. En fait, Macron s’est largement inspiré des préoccupations du moment qui émergent des sondages pour y répondre par des mesures très partielles voire anecdotiques : exemple le pseudo service national à partir de la seconde qui ressemble davantage à une colonie de vacances qu’un service militaire . Bref encore un grand numéro de bonimenteur capable de parler de et surtout de rien. Davantage de la com que de la politique.

Curieusement, le président a utilisé l’expression de réarmement civique, lui qui n’a pas jugé bon de faire son service militaire. Le président veut limiter l’usage des écrans pour les enfants et leur apprendre à chanter la marseillaise. Il reprend la proposition de « tenue unique » pour les élèves mais pas avant 2026…. enfin peut-être. Face à l’insécurité et en particulier au trafic de drogue, Macron promet des opérations très médiatisées chaque semaine.

La seule mesure un peu nouvelle, elle aussi qualifiée de « réarmement » dans le domaine démographique concerne la mise en place d’un congé de naissance de six mois pour chacun des parents.

Pour le reste, c’est du bric-à-brac. On va encore faire appel à davantage de médecins étrangers en matière de santé, mieux coordonner privé et public. Parallèlement les médicaments seront moins remboursés.

Une allusion aussi aux couches moyennes qui travaillent en leur promettant d’être mieux récompensées mais comment ?

Un tout petit mot très timide sur la question de la délinquance des jeunes avec entre guillemets une « réponse pénale plus claire ».

Forcément aussi quelques mots pour l’agriculture en même temps que pour l’écologie.

Le flou artistique aussi sur la politique internationale et le minimum à propos de Gaza et des otages français..

Bref comme d’habitude, avec Macron s’est laissé aller à un insupportable bavardage pour couvrir la totalité des sujets est bien montrer que c’est lui le patron qui impulse, dirige et innove.

Macon a seulement adressé un carton jaune à sa ministre de l’éducation considérant qu’Amélie Oudéa-Castéra « a eu des propos maladroits » sur l’école publique.

Emmanuel Macron a confirmé l’organisation d’une cérémonie d’hommage aux victimes françaises des attentats du 7 octobre en Israël. « Le 7 février prochain, au monument pour les victimes du terrorisme » situé sur l’esplanade des Invalides à Paris, « je rendrai hommage à ces victimes aux côtés de leurs proches, de leurs familles et de tous ceux qui voudront nous y rejoindre ».

Le chef de l’Etat a rappelé que la France avait « perdu 41 de ses enfants » dans ces attaques et qu’elle avait « encore trois otages » français dans la bande de Gaza. « Nous nous battons pied à pied avec les autorités israéliennes, avec le Qatar, qui a un rôle décisif en la matière, avec plusieurs autres collègues pour les libérer », a-t-il insisté.

Politique Macron à la télé : les Français pas convaincus

Politique Macron à la télé :les Français ne sont pas convaincus

C’est le grand paradoxe d’un côté la plupart des différentes mesures évoquées par le président de la république lors de sa conférence de presse sont soutenues mais globalement pour les Français tout cela demeure au niveau des mots et 65 % ne sont pas convaincus par Macon. La preuve sans doute que la posture politique du président et ses bavardages incessants et contradictoires ne parviennent plus à obtenir l’adhésion.

Selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Pour 62% de la population, le chef de l’État n’a été ni «à la hauteur des enjeux pour le pays», ni «proche de leurs préoccupations» (66%). Fidèles, les sympathisants de Renaissance constituent l’unique base électorale séduite par la prise de parole présidentielle (72%). Ainsi 59% des électeurs des Républicains, 65% des socialistes, 70% des insoumis et 86% des lepénistes ont exprimé leur insatisfaction. C’est l’un des plus mauvais scores d’Emmanuel Macron après une intervention télévisée.

Pourtant, les Français réservent un meilleur accueil aux annonces présidentielles. Sur les onze mesures principales énoncées mardi, neuf récoltent l’approbation d’une majorité des Français. En tête, la baisse de 2 milliards d’euros d’impôts pour les classes moyennes, saluée par 85% de la population. La promesse d’un «réarmement civique» a également trouvé grâce aux yeux des Français, qui sont 72% à être favorables au doublement des heures d’instruction civique au collège et 61% à encourager l’expérimentation de la «tenue unique». Seules exceptions, le «doublement de la franchise de 50 centimes à 1 euro sur chaque boîte de médicament» qui recueille 76% de réprobation et la «confirmation de la hausse de 10% du prix de l’électricité» (88%).

Malgré leur popularité générale, ces mesures ne sont pas prioritaires pour 58% des Français, qui sont par ailleurs 62% à penser qu’Emmanuel Macron ne tiendra pas ses engagements.

À noter concernant le coup politique du recrutement de Rachida Dati que Seuls 30% des Français approuvent cette nomination, un score encore plus faible que celui de la sarkozyste Catherine Vautrin (31%). Rachida Dati ne suscite toutefois pas le même rejet qu’Amélie Oudéa-Castéra (52%), engluée dans une polémique sur la scolarisation de ses enfants dans le privé seulement quelques jours après son arrivée au ministère de l’Éducation nationale. Ce n’est pas moins d’un Français sur deux qui demande sa démission. «L’effet Attal» ne sera par ailleurs pas parvenu à enrayer l’impopularité de la nouvelle équipe gouvernementale qui récolte le contentement de seulement 30% de la population.

Politique–Macron à la télé: Un grand numéro de bonimenteur

Politique–Macron à la télé: Un grand numéro de bonimenteur

Ce n’est pas par hasard si Macron a décidé de parler avant son premier ministre. Il a en effet récupéré une partie de ses propositions d’Attal en y ajoutant quelques mesures ici ou là dans un discours qui relève davantage de l’auberge Espagnole que de la stratégie politique. En fait, Macron s’est largement inspiré des préoccupations du moment qui émergent des sondages pour y répondre par des mesures très partielles voire anecdotiques : exemple le pseudo service national à partir de la seconde qui ressemble davantage à une colonie de vacances qu’un service militaire . Bref encore un grand numéro de bonimenteur capable de parler de et surtout de rien. Davantage de la com que de la politique.

Curieusement, le président a utilisé l’expression de réarmement civique, lui qui n’a pas jugé bon de faire son service militaire. Le président veut limiter l’usage des écrans pour les enfants et leur apprendre à chanter la marseillaise. Il reprend la proposition de « tenue unique » pour les élèves mais pas avant 2026…. enfin peut-être. Face à l’insécurité et en particulier au trafic de drogue, Macron promet des opérations très médiatisées chaque semaine.

La seule mesure un peu nouvelle, elle aussi qualifiée de « réarmement » dans le domaine démographique concerne la mise en place d’un congé de naissance de six mois pour chacun des parents.

Pour le reste, c’est du bric-à-brac. On va encore faire appel à davantage de médecins étrangers en matière de santé, mieux coordonner privé et public. Parallèlement les médicaments seront moins remboursés.

Une allusion aussi aux couches moyennes qui travaillent en leur promettant d’être mieux récompensées mais comment ?

Un tout petit mot très timide sur la question de la délinquance des jeunes avec entre guillemets une « réponse pénale plus claire ».

Forcément aussi quelques mots pour l’agriculture en même temps que pour l’écologie.

Le flou artistique aussi sur la politique internationale et le minimum à propos de Gaza et des otages français..

Bref comme d’habitude, avec Macron s’est laissé aller à un insupportable bavardage pour couvrir la totalité des sujets est bien montrer que c’est lui le patron qui impulse, dirige et innove.

Macon a seulement adressé un carton jaune à sa ministre de l’éducation considérant qu’Amélie Oudéa-Castéra « a eu des propos maladroits » sur l’école publique.

Emmanuel Macron a confirmé l’organisation d’une cérémonie d’hommage aux victimes françaises des attentats du 7 octobre en Israël. « Le 7 février prochain, au monument pour les victimes du terrorisme » situé sur l’esplanade des Invalides à Paris, « je rendrai hommage à ces victimes aux côtés de leurs proches, de leurs familles et de tous ceux qui voudront nous y rejoindre ».

Le chef de l’Etat a rappelé que la France avait « perdu 41 de ses enfants » dans ces attaques et qu’elle avait « encore trois otages » français dans la bande de Gaza. « Nous nous battons pied à pied avec les autorités israéliennes, avec le Qatar, qui a un rôle décisif en la matière, avec plusieurs autres collègues pour les libérer », a-t-il insisté.

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