Archive pour le Tag 'Refondation'

« Conseil national de la Refondation » : en finir avec ce ridicule rituel !

« Conseil national de la Refondation » : en finir avec ce ridicule rituel !

Personne ou presque ne parle plus de ce fumeux conseil national de la Refondation inventée par Macon pour faire illusion et surtout shunter. les institutions officielles. Le gouvernement s’est soudain souvenu de l’existence de ce machin et va donc le réunir autour de la première ministre pour parler des mesures de sécurité déjà décidée par le président.

Faut-il rappeler que ce conseil national de la Refondation n’a aucune légitimité et n’est absolument pas représentatif. De temps en temps on lui soumet une question vis-à-vis de laquelle on a déjà décidé des réponses.

Un conseil de la Refondation composée d’experts ,de personnalités et de Français tirés au hasard. Le hasard faisant bien les choses les personnes désignées sont très complaisantes par rapport au pouvoir.

La France ne manque pourtant pas d’institutions de concertation même au plus haut niveau qu’il s’agisse du conseil économique et social ou encore du plan sans parler évidemment du Parlement auxquels il faut ajouter une bonne centaine de conseils nationaux ou équivalents

Le gouvernement a déjà annoncé une hausse de 15 milliards d’euros pour le budget de l’Intérieur et un doublement de la présence des forces de sécurité sur la voie publique en dix ans. Ces engagements ont été inscrits dans la loi d’orientation et de planification du ministère de l’Intérieur (Lopmi), qui promet cette hausse de crédits sur cinq ans (2023-2027), même si elle doit être confirmée dans les budgets de l’État débattus chaque année; Autant dire possiblement remise en cause.

Politique-Conseil national de la Refondation : arrêter ce ridicule rituel !

Politique-Conseil national de la Refondation : arrêter ce ridicule rituel !

Personne ou presque ne parle plus de ce fumeux conseil national de la Refondation inventée par Macon pour faire illusion et surtout shunter. les institutions officielles. Le gouvernement s’est soudain souvenu de l’existence de ce machin et va donc le réunir autour de la première ministre pour parler des mesures de sécurité déjà décidée par le président.

Faut-il rappeler que ce conseil national de la Refondation n’a aucune légitimité et n’est absolument pas représentatif. De temps en temps on lui soumet une question vis-à-vis de laquelle on a déjà décidé des réponses.

Un conseil de la Refondation composée d’experts ,de personnalités et de Français tirés au hasard. Le hasard faisant bien les choses les personnes désignées sont très complaisantes par rapport au pouvoir.

La France ne manque pourtant pas d’institutions de concertation même au plus haut niveau qu’il s’agisse du conseil économique et social ou encore du plan sans parler évidemment du Parlement auxquels il faut ajouter une bonne centaine de conseils nationaux ou équivalents

Le gouvernement a déjà annoncé une hausse de 15 milliards d’euros pour le budget de l’Intérieur et un doublement de la présence des forces de sécurité sur la voie publique en dix ans. Ces engagements ont été inscrits dans la loi d’orientation et de planification du ministère de l’Intérieur (Lopmi), qui promet cette hausse de crédits sur cinq ans (2023-2027), même si elle doit être confirmée dans les budgets de l’État débattus chaque année; Autant dire possiblement remise en cause.

Conseil national de la Refondation : arrêter ce ridicule rituel !

Conseil national de la Refondation : arrêter ce ridicule rituel !

Personne ou presque ne parle plus de ce fumeux conseil national de la Refondation inventée par Macon pour faire illusion et surtout shunter. les institutions officielles. Le gouvernement s’est soudain souvenu de l’existence de ce machin et va donc le réunir autour de la première ministre pour parler des mesures de sécurité déjà décidée par le président.

Faut-il rappeler que ce conseil national de la Refondation n’a aucune légitimité et n’est absolument pas représentatif. De temps en temps on lui soumet une question vis-à-vis de laquelle on a déjà décidé des réponses.

Un conseil de la Refondation composée d’experts ,de personnalités et de Français tirés au hasard. Le hasard faisant bien les choses les personnes désignées sont très complaisantes par rapport au pouvoir.

La France ne manque pourtant pas d’institutions de concertation même au plus haut niveau qu’il s’agisse du conseil économique et social ou encore du plan sans parler évidemment du Parlement auxquels il faut ajouter une bonne centaine de conseils nationaux ou équivalents

Le gouvernement a déjà annoncé une hausse de 15 milliards d’euros pour le budget de l’Intérieur et un doublement de la présence des forces de sécurité sur la voie publique en dix ans. Ces engagements ont été inscrits dans la loi d’orientation et de planification du ministère de l’Intérieur (Lopmi), qui promet cette hausse de crédits sur cinq ans (2023-2027), même si elle doit être confirmée dans les budgets de l’État débattus chaque année; Autant dire possiblement remise en cause.

Politique–Conseil national de la Refondation : la CFDT n’a rien à y faire

Politique–Conseil national de la Refondation : la CFDT n’a rien à y faire


Alors que la plupart des organisations syndicales refusent désormais de participer au pseudo Conseil national de la Refondation inventé par Macron pour suppléer à son manque de majorité politique,la CFDT a décidé de continuer d’y participer.

D’une façon générale, la doctrine de la CFDT vise à assurer la représentation des travailleurs sur les questions sociales voire sociétales qui les concernent. La CFDT se refuse à s’engager dans des institutions ou des organisations politiques. Le pseudo conseil national de la Refondation ( Qui évidemment n’a rien à voir avec le conseil national de la résistance) constitue essentiellement un artifice politique pour donner l’illusion d’une union politique en France. Union impossible à l’Assemblée nationale.

En réalité, le conseil national de la Refondation qui végète et sans réelle légitimité traite de questions très diverses, de manière isolée , histoire d’exister politiquement et pour faire plaisir essentiellement au président de la république.

La CFDT a fort légitimement -en tant qu’organisation désormais majoritaire-a décidé de se consacrer uniquement à la défense des intérêts des salariés et pensionnés s’interdisant toute influence idéologique et politique extérieure. Or en participant à un pseudo conseil national de la Refondation qui ne sert strictement à rien la CFDT cautionne le détournement des institutions officielles politiques mais aussi sociales.

Il faut se féliciter de voir désormais les organisations réformistes majoritaires en France avec la CFDT en tête. Il faut se féliciter que l’objectif unique soit d’obtenir des résultats contrairement à des organisations gauchistes qui militent surtout pour la révolution.

Cependant la CFDT doit rester vigilante pour ne pas cautionner des opérations politiciennes dont l’objet est très éloigné de la problématique sociale actuelle.

Et dans ce domaine la priorité des priorités doit être la défense du pouvoir d’achat amputé de 25 % depuis deux ans et non suffisamment compensés vis-à-vis de l’inflation.

Conseil national de la Refondation : la CFDT n’a rien à y faire

Conseil national de la Refondation : la CFDT n’a rien à y faire


Alors que la plupart des organisations syndicales refusent désormais de participer au pseudo conseil national de la Refondation inventé par Macron pour suppléer à son manque de majorité politique. La CFDT a décidé de continuer d’y participer.

D’une façon générale, la doctrine de la CFDT vise à assurer la représentation des travailleurs sur les questions sociales voire sociétales qui les concernent. La CFDT se refuse à s’engager dans des institutions ou des organisations politiques. Le pseudo conseil national de la Refondation ( Qui évidemment n’a rien à voir avec le conseil national de la résistance) constitue essentiellement un artifice politique pour donner l’illusion d’une union politique en France. Union impossible à l’Assemblée nationale.

En réalité le conseil national de la Refondation qui végète et sans réelle légitimité traite de questions très diverses, de manière isolée , histoire d’exister politiquement et pour faire plaisir essentiellement au président de la république.

La CFDT a fort légitimement -en tant qu’organisation désormais majoritaire-a décidé de se consacrer uniquement à la défense des intérêts des salariés et pensionnés s’interdisant toute influence idéologique et politique extérieure. Or en participant à un pseudo conseil national de la Refondation qui ne sert strictement à rien la CFDT cautionne le détournement des institutions officielles politiques mais aussi sociales.

Il faut se féliciter de voir désormais les organisations réformistes majoritaires en France avec la CFDT en tête. Il faut se féliciter que l’objectif unique soit d’obtenir des résultats contrairement à des organisations gauchistes qui militent surtout pour la révolution.

Cependant la CFDT doit rester vigilante pour ne pas cautionner des opérations politiciennes dont l’objet est très éloigné de la problématique sociale actuelle.

Et dans ce domaine la priorité des priorités doit être la défense du pouvoir d’achat amputé de 25 % depuis deux ans et non suffisamment compensés vis-à-vis de l’inflation.

Encore un conseil de la Refondation bidon

Encore un conseil de la Refondation bidon

Beaucoup de syndicats refuse l’invitation nouvelle de Macon au conseil national de la Refondation de jeudi. Un conseil national de la Refondation en mort cérébrale qui ne sert à rien, n’a aucune légitimité et constitue seulement les gadgets de la république pour contourner les organismes officiels de la concertation. Bref une sorte de transgression monarchique permanente de Macon vis-à-vis des institutions démocratiques y compris le Parlement.

À la suite de FO, CFE-CGC et Solidaires, la CGT a décliné l’invitation d’Emmanuel Macron au Conseil national de la refondation de jeudi. Le CNR voulu par le chef de l’Etat pour « bâtir des consensus » peine à trouver sa place dans la vie politique et syndicale.

Dans un communiqué transmis vendredi, FO avait de son côté brocardé l’instance qui conduit à « diluer » la parole des syndicats et « affaiblit le rôle des acteurs sociaux ». « Pour FO, il n’y a qu’un seul CNR, issu de la résistance à la fin de la Seconde Guerre mondiale », s’était agacée l’organisation. La CFE-CGC continue elle aussi à repousser l’invitation, « pointant une opération de vitrine, de communication avec l’accaparement grossier de l’acronyme du Conseil national de la résistance », explique son président François Hommeril. « Solidaires n’a pas de temps à perdre à voir Macron à l’Elysée », a également lancé le co-délégué de l’organisation, Simon Duteil. « Le CNR c’est de la communication! C’est de l’agitation! », a dénoncé le syndicaliste qui attend des « actes forts sur les questions écologiques et sociales ».

Un an après son lancement, Emmanuel Macron réunit le CNR pour « fixer un cap » à la poursuite des travaux de cette instance. Lancée pour « bâtir des consensus », elle se décline en plusieurs thèmes (« bien vieillir », « climat et biodiversité », logement, jeunesse, travail…), autour desquels il compte rassembler forces politiques, partenaires sociaux, représentants d’entreprises et associations.

Dans les faits, les deux premiers rendez-vous ont été largement boudés par les partis d’opposition et les syndicats qui ne seront pas présents jeudi.

Surréalisme : »Redonner confiance dans notre démocratie », Elisabeth Borne lors d’un « conseil national de la refondation »

Surréalisme : »Redonner confiance dans notre démocratie », Elisabeth Borne lors d’un « conseil national de la refondation »

De toute évidence,il y a une situation surréaliste qui caractérise la France en ce moment avec d’un côté des élites complètement coupées des réalités économiques et sociales et de l’autre des Français qui prennent de plus en plus conscience du déclin de la France, de la médiocrité de son personnel politique et de la chienlit qui s’installe un peu partout.

Élisabeth Barnes fait toujours semblant d’être le chef du gouvernement et réunit à Matignon le machin de Marcon appelé « conseil national de la Refondation (à machin pour shunter les institutions et organisations représentatives). Au menu cette fois, la jeunesse avec la mesure centrale du permis de conduire à 17 ans. Il Faut préciser que Macon lors d’un précédent conseil du même type avait proposé des préservatifs gratuits pour les jeunes. On voit que les propositions sont vraiment à la hauteur des enjeux du moment !

La Première ministre Élisabeth Borne, dont le maintien au gouvernement divise la majorité après le 49.3 sur les retraites, a participé samedi 18 mars à un conseil national de la refondation (CNR) consacré à la jeunesse, à Matignon. « Quelles que soient les circonstances, j’ai une priorité, c’est vous, les jeunes », a déclaré la cheffe du gouvernement, en ouverture de ce débat d’environ deux heures sur le thème de l’égalité des chances.

« J’ai bien noté que la confiance, c’est aussi de démontrer qu’on prend vos propositions, qu’on en fait des mesures et qu’on en suit la réalisation », a-t-elle assuré dans son discours de conclusion, citant le permis de conduire à 17 ans, l’accompagnement de la sortie de l’aide sociale à l’enfance à sa majorité, la rénovation des logements étudiants du Crous et d’autres pistes évoquées par les participants.

« Je suis convaincue que plus que jamais, redonner confiance dans notre démocratie, c’est une priorité, au-delà des sujets dont on est en train de parler aujourd’hui », a-t-elle ajouté, dans une allusion aux critiques des oppositions et des syndicats qui l’accusent d’être passée en force en recourant à l’article 49.3 de la Constitution pour faire adopter sans vote le texte reculant l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64.

Politique-Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Politique-Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Macron essaye de redonner un souffle de vie à ce fameux Conseil national de la Refondation qui n’a jamais pris une réelle consistance et dont d’ailleurs pratiquement aucun média ne parle. Sauf il y a quelques jours avec la décision de Macron d’accorder la gratuité aux jeunes pour les préservatifs !

Six mois après son annonce et trois mois après son lancement, le Conseil national de la refondation (CNR) ne fait donc toujours pas grande impression. Après le « grand débat » pour sortir de la crise des gilets jaunes et la Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron avait présenté le CNR comme un moyen de rapprocher les Français des décisions gouvernementales.

Ce lundi, partis politiques, syndicats et acteurs de la société civile sont conviés à la session plénière du CNR, à l’Élysée, pour faire un « point d’étape » sur les moyens de réformer les services publics. L’occasion pour le chef de l’État de tenter de convaincre les oppositions, qui refusent d’y participer, et l’opinion publique. Le chef de l’État s’est d’ailleurs confié à nos confrères du JDD cette semaine, pour défendre un « instrument à retrouver de la force d’âme ».

Malgré le boycott de l’ensemble des partis d’opposition et d’une grande partie des syndicats de la session fondatrice du CNR, en septembre dans l’Essonne, Emmanuel Macron se dit « frappé » par l’ »adhésion du terrain ». On suppose évidemment que macro parle d’une autre planète.

« Ceux qui sont mal à l’aise avec le CNR, ce sont les défenseurs du corporatisme, qui est la maladie française, la chose qui s’est reconstruite le plus rapidement après la révolution de 1789″, accuse Emmanuel Macron qui fait là la preuve de la pire mauvaise foi et emploie une dialectique type Poutine.

« C’est la capture de l’intérêt général par des gens au ¬profit de leurs ¬intérêts particuliers. C’est mon principal combat politique: je suis le ¬premier qui a supprimé l’ENA,( (En réalité rien n’a changé à l’ENA sauf le nom), j’ai effectué cette petite révolution silencieuse qui consiste à décorporatiser la fonction publique », ajoute-t-il, avant d’expliquer vouloir faire « fonctionner » ensemble les institutions, partis et partenaires sociaux.

Et Macron atteint le sommet de la démagogie quand il déclare: « c’est aux gens, qui savent mieux que dans les bureaux ou d’autres structures très éloignées d’eux, d’apporter à ces inégalités une réponse concrète ». Le CNR a donc pour objectif, selon lui, de « donner des moyens, de la liberté d’agir ».

Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Macron essaye de redonner un souffle de vie à ce fameux Conseil national de la Refondation qui n’a jamais pris une réelle consistance et dont d’ailleurs pratiquement aucun média ne parle. Sauf il y a quelques jours avec la décision de Macron d’accorder la gratuité aux jeunes pour les préservatifs !

Six mois après son annonce et trois mois après son lancement, le Conseil national de la refondation (CNR) ne fait donc toujours pas grande impression. Après le « grand débat » pour sortir de la crise des gilets jaunes et la Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron avait présenté le CNR comme un moyen de rapprocher les Français des décisions gouvernementales.

Ce lundi, partis politiques, syndicats et acteurs de la société civile sont conviés à la session plénière du CNR, à l’Élysée, pour faire un « point d’étape » sur les moyens de réformer les services publics. L’occasion pour le chef de l’État de tenter de convaincre les oppositions, qui refusent d’y participer, et l’opinion publique. Le chef de l’État s’est d’ailleurs confié à nos confrères du JDD cette semaine, pour défendre un « instrument à retrouver de la force d’âme ».

Malgré le boycott de l’ensemble des partis d’opposition et d’une grande partie des syndicats de la session fondatrice du CNR, en septembre dans l’Essonne, Emmanuel Macron se dit « frappé » par l’ »adhésion du terrain ». On suppose évidemment que macro parle d’une autre planète.

« Ceux qui sont mal à l’aise avec le CNR, ce sont les défenseurs du corporatisme, qui est la maladie française, la chose qui s’est reconstruite le plus rapidement après la révolution de 1789″, accuse Emmanuel Macron qui fait là la preuve de la pire mauvaise foi et emploie une dialectique type Poutine.

« C’est la capture de l’intérêt général par des gens au ¬profit de leurs ¬intérêts particuliers. C’est mon principal combat politique: je suis le ¬premier qui a supprimé l’ENA,( (En réalité rien n’a changé à l’ENA sauf le nom), j’ai effectué cette petite révolution silencieuse qui consiste à décorporatiser la fonction publique », ajoute-t-il, avant d’expliquer vouloir faire « fonctionner » ensemble les institutions, partis et partenaires sociaux.

Et Macron atteint le sommet de la démagogie quand il déclare: « c’est aux gens, qui savent mieux que dans les bureaux ou d’autres structures très éloignées d’eux, d’apporter à ces inégalités une réponse concrète ». Le CNR a donc pour objectif, selon lui, de « donner des moyens, de la liberté d’agir ».

Conseil national de la Refondation : Un édito surprenant du « Monde » !

Conseil national de la Refondation : Un édito surprenant du Monde !

 

De temps en temps le journal « Le Monde » qui se voudrait la conscience de la gauche entretient des liens plus qu’ambigus avec le pouvoir en place sans doute pour  rééquilibrer sa posture. C’est le cas avec cet édito du journal consacré aux bienfaits du conseil national de la Refondation qui doit résoudre avec des amateurs tirés au hasard et  en quelques semaines des problèmes comme l’emploi, l’école, la santé, le vieillissement et la transition écologique alors que des milliers et des milliers de représentants d’institutions et d’organisations n’ont pas trouvé la martingale. L’édito affirme que ce conseil national qui ne fonctionnera que quelques mois à peine pourra associer la France des profondeurs. Et de comparer au final l’initiative avec la cogestion allemande qui elle a su mettre en place les institutions permanentes associées dans l’économie les partenaires concernés.Un édito qui sent les parfums des salons parisiens. En tout cas, un conseil national de la Refondation critiqué par une majorité des Français qui décèlent évidemment l’opération politicienne. Pour 56 % des Français, il ne sera pas efficace pour trouver des solutions aux problèmes actuels, selon un sondage Odoxa Backbone Consulting pour Le Figaro. Ce désaveu citoyen s’ajoute à un fort rejet de la classe politique : de gauche à droite, tous les partis d’opposition ont décliné l’invitation à participer à cette nouvelle instance, promise par Emmanuel Macron pendant la campagne des élections législatives et supposée réunir différents syndicats et organisations politiques. NDLR

 

Edito du Monde

L’instance lancée par Emmanuel Macron est boycottée par ses opposants et suscite le doute jusque dans son camp. Pourtant, cet outil de démocratie participative permettrait d’associer un maximum d’acteurs de terrain pour tenter de faire face à la grande bascule à laquelle est confronté le pays.

 

Le boycott par tous les partis d’opposition et une partie des syndicats de la réunion du Conseil national de la refondation, jeudi 8 septembre, à Marcoussis (Essonne), reflète l’état d’extrême crispation dans lequel se trouve le pays après la double séquence électorale du printemps. Sanctuarisation des droits retrouvés du Parlement, refus d’avaliser la création d’un nouveau « machin » considéré comme superfétatoire au regard des nombreuses instances existantes, la droite et la gauche rivalisent d’arguments pour refuser d’entrer dans la démarche entreprise par le président de la République au lendemain du scrutin présidentiel.

L’objectif affiché par le chef de l’Etat était de réunir les représentants des partis politiques, des élus locaux, des syndicats, des organisations associatives et environnementales pour tenter de partager un diagnostic sur la grande bascule qu’est en train de vivre le pays et tenter d’innover sur cinq sujets qui influent sur la vie des Français : l’emploi, l’école, la santé, le vieillissement et la transition écologique. Le flou du cadrage n’a fait que renforcer les préventions.

L’opposition est faite pour s’opposer, et l’on peut comprendre que, après le résultat des élections législatives, qui a privé le président de la République d’une majorité absolue à l’Assemblée nationale, elle cherche encore à pousser son avantage. La verticalité du précédent quinquennat est dans toutes les têtes, si bien que toute initiative venue du chef de l’Etat est entachée de soupçon. La référence au prestigieux Conseil national de la Résistance, qui était parvenu à accoucher des grandes réformes de l’après-guerre sous l’égide du général de Gaulle, n’est pas faite pour calmer les esprits.

La politique de la chaise vide est cependant risquée pour les partis de gouvernement qui ont été aux commandes ces trente dernières années et ne peuvent s’exonérer de l’état dans lequel se trouvent l’école et l’hôpital public, deux grands services publics confrontés l’un et l’autre à une crise de moyens et de vocations sans précédent. Tant de plans nationaux considérés sur le moment comme salvateurs et pourtant insuffisants se sont succédé ces dernières années que la promotion d’une méthode nouvelle pour tenter de faire reculer les inégalités sociales et territoriales ne peut être balayée d’un revers de la main.

Affirmer quelques grands principes au niveau national puis rechercher des solutions différenciées sur les territoires en associant un maximum d’acteurs de terrain est une piste à explorer, d’autant que le monde associatif, beaucoup moins dévitalisé que les partis et les syndicats, est prêt à s’engager.

Que chaque parti prépare dès à présent l’alternance, notamment parce que le président de la République ne pourra pas se représenter en 2027, est un réflexe sain et normal. Mais que cette anticipation conduise l’opposition à se crisper chaque jour un peu plus dans un refus quasi pavlovien de toute évolution, y compris démocratique, au prétexte que celle-ci serait lancée d’en haut, est préoccupant. Une telle attitude revient à nier la gravité de la crise démocratique. Elle conduit aussi à donner le sentiment que l’ampleur et la rapidité des changements induits par le réchauffement climatique sont minimisées.

Ce qui se passe outre-Rhin devrait nous inspirer. L’Allemagne, qui a longtemps dominé la zone euro de toute sa puissance économique, est obligée de revoir de fond en comble son modèle de développement. Le choc est rude, mais elle dispose de deux atouts pour le surmonter : la culture du compromis, d’une part, l’idée que le pays a tous les atouts pour s’en sortir, de l’autre. Ces deux ingrédients font cruellement défaut en France. Il faut collectivement apprendre à les apprivoiser.

Sondage Conseil national de la refondation : Pas efficace pour 56 % des Français

Sondage Conseil national de la refondation : Pas efficace pour 56 % des Français

 

Pour 56 % des Français, il ne sera pas efficace pour trouver des solutions aux problèmes actuels, selon un sondage Odoxa Backbone Consulting pour Le Figaro. Ce désaveu citoyen s’ajoute à un fort rejet de la classe politique : de gauche à droite, tous les partis d’opposition ont décliné l’invitation à participer à cette nouvelle instance, promise par Emmanuel Macron pendant la campagne des élections législatives et supposée réunir différents syndicats et organisations politiques.

Dubitatifs sur les chantiers à venir, les Français sont 63 % à penser qu’Emmanuel Macron ne parviendra pas à mettre en place les réformes annoncées pendant sa campagne. « Ce sentiment d’un “quinquennat empêché” est partagé par toutes les catégories de la population, hormis les sympathisants Renaissance (73 % pensent qu’il y parviendra) », précise Gaël Sliman.

 

(Cette enquête a été réalisée auprès d’un échantillon de 1005 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, interrogés par internet du 7 au 8 septembre 2022.)

Conseil national de la Refondation : le journal « le Monde déraille »!

Conseil national de la Refondation : le journal  « le Monde déraille »!

 

De temps en temps le journal « Le Monde » qui se voudrait la conscience de la gauche entretient des liens plus qu’ambigus avec le pouvoir en place sans doute pour  rééquilibrer sa posture. C’est le cas avec cet édito du journal consacré aux bienfaits du conseil national de la Refondation qui doit résoudre avec des amateurs tirés au hasard et  en quelques semaines des problèmes comme l’emploi, l’école, la santé, le vieillissement et la transition écologique alors que des milliers et des milliers de représentants d’institutions et d’organisations n’ont pas trouvé la martingale. L’édito affirme que ce conseil national qui ne fonctionnera que quelques mois à peine pourra associer la France des profondeurs. Et de comparer au final l’initiative avec la cogestion allemande qui elle a su mettre en place les institutions permanentes associées dans l’économie les partenaires concernés.Un édito qui sent les parfums des salons parisiens. En tout cas, un conseil national de la Refondation critiqué par une majorité des Français qui décèlent évidemment l’opération politicienne. NDLR

 

Edito du Monde

L’instance lancée par Emmanuel Macron est boycottée par ses opposants et suscite le doute jusque dans son camp. Pourtant, cet outil de démocratie participative permettrait d’associer un maximum d’acteurs de terrain pour tenter de faire face à la grande bascule à laquelle est confronté le pays.

 

Le boycott par tous les partis d’opposition et une partie des syndicats de la réunion du Conseil national de la refondation, jeudi 8 septembre, à Marcoussis (Essonne), reflète l’état d’extrême crispation dans lequel se trouve le pays après la double séquence électorale du printemps. Sanctuarisation des droits retrouvés du Parlement, refus d’avaliser la création d’un nouveau « machin » considéré comme superfétatoire au regard des nombreuses instances existantes, la droite et la gauche rivalisent d’arguments pour refuser d’entrer dans la démarche entreprise par le président de la République au lendemain du scrutin présidentiel.

L’objectif affiché par le chef de l’Etat était de réunir les représentants des partis politiques, des élus locaux, des syndicats, des organisations associatives et environnementales pour tenter de partager un diagnostic sur la grande bascule qu’est en train de vivre le pays et tenter d’innover sur cinq sujets qui influent sur la vie des Français : l’emploi, l’école, la santé, le vieillissement et la transition écologique. Le flou du cadrage n’a fait que renforcer les préventions.

L’opposition est faite pour s’opposer, et l’on peut comprendre que, après le résultat des élections législatives, qui a privé le président de la République d’une majorité absolue à l’Assemblée nationale, elle cherche encore à pousser son avantage. La verticalité du précédent quinquennat est dans toutes les têtes, si bien que toute initiative venue du chef de l’Etat est entachée de soupçon. La référence au prestigieux Conseil national de la Résistance, qui était parvenu à accoucher des grandes réformes de l’après-guerre sous l’égide du général de Gaulle, n’est pas faite pour calmer les esprits.

La politique de la chaise vide est cependant risquée pour les partis de gouvernement qui ont été aux commandes ces trente dernières années et ne peuvent s’exonérer de l’état dans lequel se trouvent l’école et l’hôpital public, deux grands services publics confrontés l’un et l’autre à une crise de moyens et de vocations sans précédent. Tant de plans nationaux considérés sur le moment comme salvateurs et pourtant insuffisants se sont succédé ces dernières années que la promotion d’une méthode nouvelle pour tenter de faire reculer les inégalités sociales et territoriales ne peut être balayée d’un revers de la main.

Affirmer quelques grands principes au niveau national puis rechercher des solutions différenciées sur les territoires en associant un maximum d’acteurs de terrain est une piste à explorer, d’autant que le monde associatif, beaucoup moins dévitalisé que les partis et les syndicats, est prêt à s’engager.

Que chaque parti prépare dès à présent l’alternance, notamment parce que le président de la République ne pourra pas se représenter en 2027, est un réflexe sain et normal. Mais que cette anticipation conduise l’opposition à se crisper chaque jour un peu plus dans un refus quasi pavlovien de toute évolution, y compris démocratique, au prétexte que celle-ci serait lancée d’en haut, est préoccupant. Une telle attitude revient à nier la gravité de la crise démocratique. Elle conduit aussi à donner le sentiment que l’ampleur et la rapidité des changements induits par le réchauffement climatique sont minimisées.

Ce qui se passe outre-Rhin devrait nous inspirer. L’Allemagne, qui a longtemps dominé la zone euro de toute sa puissance économique, est obligée de revoir de fond en comble son modèle de développement. Le choc est rude, mais elle dispose de deux atouts pour le surmonter : la culture du compromis, d’une part, l’idée que le pays a tous les atouts pour s’en sortir, de l’autre. Ces deux ingrédients font cruellement défaut en France. Il faut collectivement apprendre à les apprivoiser.

Conseil national de la refondation: Une opération politicienne

 Conseil national de la refondation:  Une opération politicienne

 

La refondation du modèle social, économique, écologique et politique français est plus que jamais nécessaire, estiment la sociologue Marie-Hélène Bacqué et le politiste Yves Sintomer, qui craignent toutefois, dans une tribune au « Monde », que la mise en place du CNR ne soit qu’une opération de pure politique.

Le principe d’une assemblée rassemblant des acteurs diversifiés (élus nationaux, régionaux et locaux, représentants des corps intermédiaires, syndicats, associations et citoyens tirés au sort) et leur permettant de délibérer en commun pour trouver les voies d’une refondation du pays pourrait en soi être une proposition salutaire. La France est effectivement entrée dans une ère nouvelle. Les crises se multiplient : bouleversements géopolitiques et émergence d’un ordre postcolonial, déstabilisation de l’écosphère, grignotage de l’Etat social, multiplication des décisions se prenant dans le cadre de la gouvernance globale plutôt que des instances élues, renforcement des tendances autoritaires, racistes et xénophobes, nouvelles formes de politisation et montée de la défiance à l’égard du système des partis.

A l’évidence, le statu quo n’est plus une option. Il faut trouver des voies nouvelles pour redonner un vrai souffle à la nation. Des formes mixtes de délibération peuvent de ce point de vue être prometteuses. Elles ont commencé à être expérimentées dans des lieux aussi divers que le Parlement francophone de Bruxelles, les saisines du Conseil économique, social et environnemental ou la Conférence sur l’avenir de l’Europe. Cependant, les conditions nécessaires pour espérer le succès d’une telle initiative ne sont malheureusement pas remplies. Il s’agit d’une nouvelle occasion gâchée. Le risque est grand que le Conseil national de la refondation (CNR) ne reste qu’une nouvelle opération politicienne qui participera à déconsidérer les expériences d’innovation démocratique et renforcera la défiance des citoyens.

Le sigle CNR apparaît comme une usurpation. Certes, une refondation est nécessaire, comme elle l’était après la seconde guerre mondiale. Des changements à la marge ne seront pas suffisants pour affronter les défis du XXIe siècle. Cependant, le Conseil national de la Résistance incarnait une tout autre démarche. Il résultait d’une coordination entre des courants différents, allant des gaullistes aux communistes en passant par les démocrates-chrétiens et les socialistes. L’objectif commun était la lutte contre l’Occupation, mais aussi la mise en place d’un nouvel ordre social et économique. Il reposait sur un programme qui se voulait une synthèse entre les différents courants progressistes du pays, basé sur un compromis politique et de classe.

Or, pour le moment, Emmanuel Macron et Elisabeth Borne ont refusé de mettre en discussion leur programme électoral, malgré l’étroitesse évidente de leur base électorale. Ils essaient de marginaliser ou de fracturer la principale force de l’opposition, la Nupes, et se contentent d’accords au coup par coup avec la droite traditionnelle des Républicains. Le dialogue avec les syndicats et les associations, notamment écologistes, est au point mort ou presque. Comment engager une discussion fructueuse et inclusive dans ces conditions ?

CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Encore une escroquerie institutionnelle !

CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Encore une escroquerie institutionnelle ! 

Dès septembre, le fameux machin intitulé Conseil national de la Refondation sera lancé par Macron. Face au  relatif vide politique actuel  ,  Macron a sorti  soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi et surtout le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement. Pour cette raison, le président du Sénat par exemple  vient de décider de ne pas participer à ce fameux conseil.L’association des maires de France a aussi décidé de boycotter ce nouveau machin. De même que les forces politiques de la droite, de la gauche, de l’extrême droite et même Édouard Philippe.

Bref un remake de la commission de l’énergie qui va regrouper une cinquantaine de poilus, » soigneusement choisis au hasard » complètement incompétents pour la plupart est facile à manipuler par les experts.

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du fait de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés  transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé , vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait qu’il il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. .

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macron  prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigués par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à d’autres..

CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron lance encore un machin !

CONSEIL NATIONAL DE LA REFONDATION »: Macron lance  encore un machin !

Dès septembre, le fameux machin intitulé Conseil national de la Refondation sera lancé par Macron.Face au  relatif vide politique actuel  ,  Macron a sorti  soudain de sa poche une nouvelle version d’un truc inutile : le conseil national de la Refondation. Et quand on examine l’objectif, il s’agit évidemment une nouvelle fois de faire doublon avec les institutions existantes notamment le conseil économique et social environnemental mais aussi le Parlement. Car c’est évidemment au parlement en premier de prendre en charge les objectifs politiques nationaux et de les traduire réglementairement. Pour cette raison, le président du Sénat par exemple  vient de décider de ne pas participer à ce fameux conseil.

 

Cerise sur le gâteau, ce machin sera posé de personnalités tirées au sort. Ce qui nous amènera directement à la fois à des manipulations observées lors  la convention citoyenne du faît de l’inexpérience des intéressés. Aussi à des propositions relevant du niveau de discussion de bistrot.

Avec la proposition de Macron, on pourrait facilement se dispenser des sélections législatives prévues en avril et tirer  au sort les députés r transformés alors  en membres du conseil national de la politique.

Emmanuel Macron a  en effet annoncé , vouloir créer un « Conseil national de la refondation » réunissant les « forces politiques, économiques, sociales, associatives » ainsi que des citoyens tirés au sort, pour « atteindre » cinq objectifs qui toucheront notamment au pouvoir d’achat et à l’écologie.

« J’ai porté cinq objectifs pendant la campagne : l’indépendance (industrielle, militaire, alimentaire…), le plein-emploi, la neutralité carbone, les services publics pour l’égalité des chances et la renaissance démocratique avec la réforme institutionnelle. Pour les atteindre je veux réunir un Conseil national de la refondation, avec les forces politiques, économiques, sociales, associatives, des élus des territoires et de citoyens tirés au sort », a-t-il affirmé.

Notons en fait qu’il il s’agit aussi d’une remise en cause du gouvernement puisque les priorités déjà évoquées devront préalablement passer par ce fameux conseil de Refondation. .

Le président précise qu’il y aura « une première séquence de plusieurs jours, puis des rendez-vous réguliers » et que la première portera sur le pouvoir d’achat, préoccupation numéro un des Français.

Et Macron de resservir la soupe du grand débat national qu’il indique que des discussions auront lieu sur le terrain sur les objectifs indiqués

Macro prévoit en effet que « soient définis nos objectifs et les moyens » au sein de ce Conseil avant des « discussions » à partir de septembre, « sur le terrain, dans les 1200 bassins de vie, auxquelles seront associées toutes les parties prenantes ».

« Les Français sont fatigués des réformes qui viennent d’en haut », a insisté Emmanuel Macron.

 

Ils risquent  sans doute aussi d’être fatigués par ce mécano d’institutions inutiles qui s’ajoutent déjà à d’autres..

 

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