Archive pour le Tag 'fiasco'

Éolien :Le fiasco de General Electric aussi

Éolien :Le fiasco de General Electric aussi 

 

Un triple fiasco pour les éoliennes. Le premier concerne le caractère anecdotique d’une énergie par ailleurs intermittente. Le second l’anarchie qui règne dans cette activité une armée d’opérateurs plus ou moins fantaisistes et spéculateurs s’improvise énergéticiens. Le troisième est lié aux fêtes que la plupart des matériels, de la logistique et de la technique sont fournis par des entreprises étrangères notamment chinoises et espagnoles. Même en France les entreprises hexagonales ne parviennent pas à être compétitives et performantes . Ainsi, les effectifs de l’usine d’éoliennes General Electric (GE) de Montoir-de-Bretagne, près de Saint-Nazaire, en Loire-Atlantique, vont être quasiment divisés par deux d’ici le mois de juillet.

 

Concrètement, les effectifs de cette usine d’éoliennes de GE vont passer de 939 à 489, indique le délégué CGT Jonathan Géraud, citant des « chiffres de la direction ». À l’heure actuelle, environ 500 prestataires, sous-traitants et intérimaires y travaillent. En juillet, il n’en restera que quelques dizaines. « Aucun CDI n’est menacé, nous dit la direction, mais ne pas s’inquiéter serait irresponsable », observe Jonathan Géraud.

En effet, certains contrats sont en suspens et officiellement, le carnet de commandes est vide après 2026. L’inquiétude est d’autant plus forte que depuis cette année, GE est délié de son engagement pris au moment du rachat de la branche énergie d’Alstom, il y a bientôt 10 ans. Un engagement qui prévoit notamment de conserver le site de Montoir-de-Bretagne.

Liste des élections européennes : surtout des seconds couteaux pour un fiasco électoral

Liste des élections européennes : surtout des seconds couteaux pour un fiasco électoral

Comme d’habitude les têtes de liste des élections européennes seront occupées essentiellement par des seconds couteaux.

En cause, le fait que la plupart des partis à gauche mais aussi à droite risquent d’enregistrer des résultats catastrophiques. Ce sera le cas d’abord pour le pouvoir avec les partis coalisées autour de Macron. Une défaite grave est également prévue pour le parti des Républicains. Mais à gauche ce sera sans doute aussi la débandade avec surtout l’écroulement des Insoumis. L’extrême droite va surtout profiter de cette élection traditionnellement peu fréquentée par les électeurs.

On pourrait assister un fiasco électoral avec environ  60 % d’abstention. Cela d’autant plus qu’il est bien difficile de comprendre les vraies orientations de la plupart des partis qui proposent souvent un cocktail européen, nationaliste et démagogique.

De gauche à droite, les principales têtes de liste pour les élections européennes : Jordan Bardella (RN), Manon Aubry (LFI), Marie Toussaint (Les Ecologistes), Raphaël Glucksmann (Place publique) et Valérie Hayer (Renaissance).

Lors du dernier scrutin, en mai 2019, le Rassemblement national (RN) était arrivé en tête des suffrages avec 23,34% des voix, contre 22,42% pour la liste de la majorité présidentielle, selon les résultats définitifs publiés par le ministère de l’Intérieur. Les sondages réalisés jusqu’à présent donnent toujours le parti de Jordan Bardella en tête.

Le « rassemblement national » toujours en tête avec 30 %, Soit 11 points d’avance sur la majorité, tandis que les listes PS-Place publique et écologistes enregistrent une progression notable, selon un sondage Odoxa publié mardi 27 février.

À droite, la liste Les Républicains (LR) de François-Xavier Bellamy reste stable à 8,5% (-0,5 point), devant celle de Reconquête! de Marion Maréchal à 7% (+ 1 point) et Nicolas Dupont-Aignan (4 points, + 2 points).

 

Cette enquête a été réalisée par internet les 21 et 22 février 2024 auprès d’un échantillon de 1005 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas). La marge d’erreur est comprise entre 1,4 et 3,1 points. Lors du précédent scrutin en 2019, le RN était arrivé en tête avec 23,3% des voix, devant le parti présidentiel LREM (22,4%), EELV (13,5%), LR (8,5%), LFI (6,3%) et le PS (6,2%).

 

 

 

Fiasco du G20 finances- l’idée de taxation des milliardaires enterrée

Fiasco du G20 finances- l’idée de taxation des milliardaires enterrée

En définitive, le G20 finance termine sur un fiasco et même sans communiqué final. En cause surtout l’impossibilité de se mettre d’accord sur les conséquences géopolitiques mais aussi à propos de l’idée de la taxation des milliardaires.

Le ministre français de l’Économie s’est à nouveau prononcé pour la lutte contre le détournement fiscal mais pas en France….à l’échelle internationale. Ce n’est pas la première fois que le ministre de l’économie avance des pistes intéressantes de régulation et de partage de la richesse. Il avait notamment souhaité une taxation des superprofits. Autant de propositions enterrées et renvoyées aux responsabilités européennes ou internationales.
La France veut «accélérer» les négociations internationales en vue de la mise en place d’une taxation minimale des milliardaires, a affirmé le ministre de l’Économie Bruno Le Maire mercredi, s’exprimant au G20 au Brésil. «Nous sommes pleinement engagés à accélérer le processus de mise en place au niveau international, au niveau de l’OCDE, au niveau du G20, et je l’espère au niveau des pays européens, d’une taxation minimale des individus afin de combattre toute forme d’optimisation fiscale des personnes à travers le monde», a affirmé le ministre français.
Près de 140 Etats se sont accordés à la fin 2021 sur une taxation minimale des multinationales sous l’égide de l’OCDE, consistant en deux piliers, le premier visant à une meilleure répartition de la fiscalité des géants du numérique et le second à une imposition minimale à 15% sur les sociétés. La communauté internationale a désormais besoin d’un «troisième pilier», a estimé mercredi le ministre français, affirmant que «la France sera en pointe sur le sujet».

Un nouveau pilier très hypothétique quand on constate notamment qu’à travers la crise de l’inflation le taux d’imposition des plus riches a encore nettement diminué.

Agriculture – grand débat : la mascarade, le fiasco et la claque pour Macron

Agriculture – grand débat : la mascarade, le fiasco et la claque pour Macron

Rarement un président de la république aura reçu une telle claque de la part du monde agricole. En effet Macon qui veut s’occuper de tout et qui sème la pagaille sur à peu près tous les sujets a dû reculer son projet de grand débat sur l’agriculture qui devait avoir lieu à l’ouverture du salon de l’agriculture.

Les syndicats agricoles se réjouissent de cette annulation qu’ils ont en fait imposé. En effet ils ont refusé ce nouveau grand raout rassemblant n’importe qui quand l’urgence est de restaurer les marges d’une agriculture en pleine souffrance.

« Les syndicats agricoles (…) avaient voulu un débat ouvert. Ils en demandent aujourd’hui l’annulation. Dont acte », a ainsi écrit le chef de l’Etat sur le réseau social X, en précisant qu’il invitera samedi matin « tous les syndicats agricoles avant l’ouverture officielle du salon ». « Je serai là pour l’ouvrir et irai au contact de tous ceux qui veulent échanger comme je le fais chaque année », a-t-il poursuivi.

Ce débat, qui devait durer deux heures, devait permettre d’« esquisser l’avenir » de la filière, d’après l’Elysée. Celui-ci était censé réunir les principaux responsables des syndicats agricoles (FNSEA, Jeunes agriculteurs, Coordination rurale, Confédération paysanne, etc.), mais aussi des représentants de la grande distribution et des industriels. Plusieurs responsables d’associations environnementales étaient également invités.

« C’est une très bonne nouvelle », a réagi dans la foulée sur franceinfo l’un des vice-présidents du syndicat agricole majoritaire FNSEA, Luc Smessaert. « On lui avait déjà dit qu’on n’avait (…) pas besoin d’un débat type « gilets jaunes ». On avait besoin surtout qu’un président de la République vienne dire aux agriculteurs français « On vous soutient » », a-t-il poursuivi.

La présidente de la Coordination rurale, 2e syndicat agricole français, Véronique Le Floc’h, a dit à l’AFP accepter le rendez-vous plus informel avec le président… « s’il peut rentrer » dans le salon. « Le président, il nous a fait un énorme bras d’honneur hier jeudi [avec les Soulèvements de la Terre, ndlr] alors ce qu’on attend maintenant c’est qu’il annonce des choses », a aussi commenté auprès de l’AFP Vincent Bouvrain, agriculteur en Seine-et-Marne, dans la manifestation parisienne, co-organisée vendredi avec le syndicat Jeunes agriculteurs (JA).

« Nous sommes prêts à continuer le dialogue pour peu que nous soyons respectés », a affirmé peu après Arnaud Rousseau, depuis une tribune installée devant le parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris.

Loi immigration : Un fiasco politique et constitutionnel

Loi immigration : Un fiasco politique et constitutionnel


Beaucoup de Français auront sans doute des difficultés à percevoir avec précision ce que signifie la large sanction par le conseil constitutionnel de la loi immigration votée par le Parlement.

D’abord il faut signaler que de l’ordre de 70 % des Français approuvaient le principe d’un durcissement des conditions de l’immigration. Du coup, le pouvoir politique a élaboré une loi qui en réalité était faussement plus restrictive car dans la pratique il y avait déjà des textes nous n’appliqués qui auraient permis de mieux réguler les mouvements migratoires. Un seul exemple significatif les obligations de quitter le territoire (OQTF) qui chaque année se limitent à environ 20 000 personnes quand 400 à 500 000 immigrés arrivent dont 150 000 au moins clandestins. On pourrait évidemment multiplier les exemples.

L’opposition de droite a voulu encore renforcer la loi présentée par le gouvernement en introduisant des dispositions certes plus restrictives mais dont on savait par avance qu’elles ne pouvaient pas passer positivement devant le conseil constitutionnel. En plus très mal rédigées et davantage une démarche politicienne qu’une démarche pertinente.

Le gouvernement etl’opposition savaient parfaitement qu’une grande partie de la loi ainsi présentée et musclée serait balayée par le conseil constitutionnel. Mais les uns et les autres avaient prévu par avance d’en reporter la responsabilité sur le camp d’en face. Bref de la belle tambouille politicienne qui ne renforce pas le crédit du Parlement et de la démocratie plus largement.

Le conseil constitutionnel ( composé on le sait essentiellement de responsables marqués politiquement) ne se grandit pas non plus dans l’affaire. Certes sur la forme il a raison de sanctionner une loi particulièrement mal ficelée mais sur certains points il a tort de ne pas reconnaître la constitutionnalité de la nouvelle loi.

Le conseil constitutionnel a en quelque sorte renvoyé dans ses baskets le pouvoir, le Parlement, les partis politiques considérant que devant toutes ces contradictions il n’avait pas à jouer un rôle de troisième chambre d’arbitrage.

Habilement en apparence, le conseil constitutionnel ne s’est nullement prononcé sur le fond ou presque. Il a censuré 32 articles c’est-à-dire 40 % du texte de loi pour des questions de forme ( les fameux cavaliers : des dispositions de bric et broc rajoutées dans le texte adopté par le Parlement). Mais d’une certaine manière, il a joué un rôle politique entre précisément le pouvoir et son opposition de droite en sanctionnant bien davantage les modifications apportées au départ par les « républicains » et soutenus par le Front National.

Dans cette affaire tout le monde est perdant, monde politique et institutions démocratiques.

Politique-Macron à la télé le 24 septembre: Encore un fiasco

Politique-Macron à la télé le 24 septembre: Encore un fiasco

Dimanche 24 septembre 2023, le président de la République sur France 2 et BFM a enregistré un nouveau fiasco avec 10,49 millions de téléspectateurs (50% du public) sur deux chaînes principales. Et pour rattraper le coup , Macron revient sur la trois ce lundi !

À noter que cet entretien d’Emmanuel Macron avec Anne-Claire Coudray et Laurent Delahousse était également diffusé sur BFMTV, LCI, France Info et CNews.

La baisse d’intérêt pour les interventions du chef de l’État ne cesse de diminuer avec le temps. Cela témoigne d’une certaine lassitude des interventions perpétuelles de Macron dans les médias et même d’un rejet puisque les différents sondages ne lui attribuent qu’un peu plus de 25 % de soutien désormais.

À noter que le nombre de personnes qui ont suivi l’interview constituent un indicateur mais moins pertinent que le taux de satisfaction. Un taux tellement bas que la plupart des médias n’ont pas diffusé les médiocres sondages concernant cette intervention !

Macron à la télé le 24 septembre: Encore un fiasco

Macron à la télé le 24 septembre: Encore un fiasco

Dimanche 24 septembre 2023, le président de la République sur France 2 et BFM a enregistré un nouveau fiasco avec 10,49 millions de téléspectateurs (50% du public) sur deux chaînes principales.

À noter que cet entretien d’Emmanuel Macron avec Anne-Claire Coudray et Laurent Delahousse était également diffusé sur BFMTV, LCI, France Info et CNews.

La baisse d’intérêt pour les interventions du chef de l’État ne cesse de diminuer avec le temps. Cela témoigne d’une certaine lassitude des interventions perpétuelles de Macron dans les médias et même d’un rejet puisque les différents sondages ne lui attribuent qu’un peu plus de 25 % de soutien désormais.

À noter que le nombre de personnes qui ont suivi l’interview constituent un indicateur mais moins pertinent que le taux de satisfaction. Un taux tellement bas que la plupart des médias n’ont pas diffusé les médiocres sondages concernant cette intervention !

Le fiasco français des résultats des mondiaux d’athlétisme

Le fiasco français des résultats des mondiaux d’athlétisme

Pour les professeurs d’université Jean Griffet et Maxime Travert, réduire le sport à une dimension sanitaire ne permet pas de fidéliser la pratique sportive. C’est pourquoi il convient, expliquent-ils dans une tribune au « Monde », de revoir la place de la culture sportive dans nos sociétés.

Les dirigeants de la Fédération française d’athlétisme (FFA) sont convoqués au ministère des sports pour s’expliquer sur l’absence de résultats significatifs aux championnats du monde d’athlétisme. Compte tenu des efforts financiers consentis par notre pays en direction des fédérations, il est légitime qu’un bilan soit réalisé, à la fin de chaque grande compétition, afin de mesurer l’efficacité des moyens mis en œuvre.

Mais ces résultats doivent également interpeller l’efficacité de nos politiques publiques de promotion du sport dans la société. Certes, il y a une distance considérable entre les pratiquants d’exception et les pratiquants ordinaires. Les premiers n’existeraient toutefois pas sans les seconds.

Or, les Françaises et les Français – plus particulièrement les jeunes générations – sont de moins en moins sportifs : la culture sportive n’est plus un élément stable et massif qui participe à la construction de leur place dans la société.

Face à cette réalité, les pouvoirs publics engagent des initiatives dont l’ambition principale est de « faire bouger » les jeunes et les adolescents. L’objectif premier n’est pas dissimulé : il s’agit de lutter contre la sédentarité et ses conséquences négatives sur la santé.

Pour autant, l’adhésion à la pratique sportive ne devrait pas se réduire à une ambition sanitaire. Bouger, ce n’est pas faire du sport. Faire du sport, c’est s’engager, éprouver des plaisirs, ceux – multiples et variés –, que procure sa pratique et qu’il convient d’identifier avec soin. Nier ces dimensions expressives associées à tout engagement sportif, c’est ignorer tous ceux qui pratiquent le sport, et ils sont nombreux, pour d’autres raisons que celles centrées sur la santé.

Un autre aspect ne doit pas être ignoré. Si une grande majorité des jeunes ont pratiqué un sport, nombreux sont ceux qui l’abandonnent : sa pratique n’est plus attractive. Elle est même parfois devenue répulsive. Par conséquent, l’action publique ne peut plus se limiter à porter des initiatives uniquement centrées sur la promotion du sport ; elles doivent également être pensées autour de la fidélisation de nos jeunes à sa pratique, afin de traiter le problème du décrochage sportif.

Immobilier : l’éco-prêt à taux zéro, un fiasco !

Immobilier : l’éco-prêt à taux zéro, un fiasco !

Les dispositions de rénovation énergétique particulièrement technocratiques ont pour l’instant abouti à un véritable fiasco concernant le prêt à taux zéro pour aider aux transformations. En cause ,la réticence des banques mais aussi le coût invraisemblable de cette mise en conformité dont l’efficacité énergétique est sans rapport avec l’investissement.

Le marché de l’immobilier est en effet aussi impacté par le coût de la rénovation énergétique. Le dispositif de prêt à taux zéro devait aider à financer les travaux, mais dans les faits, très peu de Français en ont bénéficié. Les précisions du journaliste David Boéri, présent sur le plateau du 19/20, lundi 24 avril.
Très peu de Français ont pu bénéficier du dispositif de prêt à taux zéro. « Depuis sa mise en place en début d’année, seuls 130 éco-prêts à taux zéro ont été signés. On est très loin de l’ambition affichée par le gouvernement : donner un coup de pouce pour boucler le financement de très nombreux chantiers de rénovation, qui souvent coûtent très chers », indique le journaliste David Boéri, présent sur le plateau du 19/20, lundi 24 avril.

Pourtant, l’éco-prêt est ouvert à tous « sans aucune condition de ressources », précise-t-il. Le prêt peut aller « jusqu’à 30 000 euros et sur 15 ans maximum, sans avoir à payer d’intérêts .

Politique-Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Politique-Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Macron essaye de redonner un souffle de vie à ce fameux Conseil national de la Refondation qui n’a jamais pris une réelle consistance et dont d’ailleurs pratiquement aucun média ne parle. Sauf il y a quelques jours avec la décision de Macron d’accorder la gratuité aux jeunes pour les préservatifs !

Six mois après son annonce et trois mois après son lancement, le Conseil national de la refondation (CNR) ne fait donc toujours pas grande impression. Après le « grand débat » pour sortir de la crise des gilets jaunes et la Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron avait présenté le CNR comme un moyen de rapprocher les Français des décisions gouvernementales.

Ce lundi, partis politiques, syndicats et acteurs de la société civile sont conviés à la session plénière du CNR, à l’Élysée, pour faire un « point d’étape » sur les moyens de réformer les services publics. L’occasion pour le chef de l’État de tenter de convaincre les oppositions, qui refusent d’y participer, et l’opinion publique. Le chef de l’État s’est d’ailleurs confié à nos confrères du JDD cette semaine, pour défendre un « instrument à retrouver de la force d’âme ».

Malgré le boycott de l’ensemble des partis d’opposition et d’une grande partie des syndicats de la session fondatrice du CNR, en septembre dans l’Essonne, Emmanuel Macron se dit « frappé » par l’ »adhésion du terrain ». On suppose évidemment que macro parle d’une autre planète.

« Ceux qui sont mal à l’aise avec le CNR, ce sont les défenseurs du corporatisme, qui est la maladie française, la chose qui s’est reconstruite le plus rapidement après la révolution de 1789″, accuse Emmanuel Macron qui fait là la preuve de la pire mauvaise foi et emploie une dialectique type Poutine.

« C’est la capture de l’intérêt général par des gens au ¬profit de leurs ¬intérêts particuliers. C’est mon principal combat politique: je suis le ¬premier qui a supprimé l’ENA,( (En réalité rien n’a changé à l’ENA sauf le nom), j’ai effectué cette petite révolution silencieuse qui consiste à décorporatiser la fonction publique », ajoute-t-il, avant d’expliquer vouloir faire « fonctionner » ensemble les institutions, partis et partenaires sociaux.

Et Macron atteint le sommet de la démagogie quand il déclare: « c’est aux gens, qui savent mieux que dans les bureaux ou d’autres structures très éloignées d’eux, d’apporter à ces inégalités une réponse concrète ». Le CNR a donc pour objectif, selon lui, de « donner des moyens, de la liberté d’agir ».

Compte personnel de formation: Arnaques et fiasco

Compte personnel de formation: Arnaque et fiasco

Pour faire moderne, la gauche a complètement marchandisé la formation permanente. On est passé du DIF au CPF. La grande différence c’est que les droits la formation étaient calculés en heure et en jour et qu’ils sont désormais calculés en valeur monétaire c’est-à-dire en euros.

Bref, une formation permanente déjà critiquée pour son opacité et son efficacité et jetée totalement dans les mains du marché et qui se caractérise non seulement par un fiasco mais aussi par de nombreuses arnaques. De toute manière, la nouvelle politique de formation ne remplit nullement ce rôle puisqu’elle ne concerne qu’à la marge les chômeurs.

Pire, compte tenu de la mauvaise gestion des comptes personnels de formation, désormais on veut faire participer les bénéficiaires de la formation au financement. Pourtant la formation professionnels est un véritable fromage de plus de 13 milliards dont se gavent nombre d’institutions voire d’organisations plus ou moins bidon. En plus avec désormais de nombreuses arnaques qui consistent à solliciter les titulaires pour de fausses formations ( avec ou sans l’accord des intéressés).

Encore une réforme de gauche libérale socialiste qui finira par un énorme scandale et surtout par un fiasco total quant à l’efficacité pour l’emploi

Les salariés devront donc participer financièrement à leur formation lorsqu’ils utilisent leur compte personnel de formation (CPF), prévoit un amendement déposé samedi par le gouvernement sur son projet de budget de l’État pour 2023. La participation pourra être proportionnelle au coût de la formation, dans la limite d’un plafond, ou fixée à une somme forfaitaire. Un décret en Conseil d’État devra en préciser les modalités.
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Le Parlement vient enfin d’adopter une proposition de loi pour interdire le démarchage commercial des titulaires de CPF, espérant tarir le flux de sollicitations subi par les particuliers.

Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Conseil national de la Refondation : le fiasco total

Macron essaye de redonner un souffle de vie à ce fameux Conseil national de la Refondation qui n’a jamais pris une réelle consistance et dont d’ailleurs pratiquement aucun média ne parle. Sauf il y a quelques jours avec la décision de Macron d’accorder la gratuité aux jeunes pour les préservatifs !

Six mois après son annonce et trois mois après son lancement, le Conseil national de la refondation (CNR) ne fait donc toujours pas grande impression. Après le « grand débat » pour sortir de la crise des gilets jaunes et la Convention citoyenne pour le climat, Emmanuel Macron avait présenté le CNR comme un moyen de rapprocher les Français des décisions gouvernementales.

Ce lundi, partis politiques, syndicats et acteurs de la société civile sont conviés à la session plénière du CNR, à l’Élysée, pour faire un « point d’étape » sur les moyens de réformer les services publics. L’occasion pour le chef de l’État de tenter de convaincre les oppositions, qui refusent d’y participer, et l’opinion publique. Le chef de l’État s’est d’ailleurs confié à nos confrères du JDD cette semaine, pour défendre un « instrument à retrouver de la force d’âme ».

Malgré le boycott de l’ensemble des partis d’opposition et d’une grande partie des syndicats de la session fondatrice du CNR, en septembre dans l’Essonne, Emmanuel Macron se dit « frappé » par l’ »adhésion du terrain ». On suppose évidemment que macro parle d’une autre planète.

« Ceux qui sont mal à l’aise avec le CNR, ce sont les défenseurs du corporatisme, qui est la maladie française, la chose qui s’est reconstruite le plus rapidement après la révolution de 1789″, accuse Emmanuel Macron qui fait là la preuve de la pire mauvaise foi et emploie une dialectique type Poutine.

« C’est la capture de l’intérêt général par des gens au ¬profit de leurs ¬intérêts particuliers. C’est mon principal combat politique: je suis le ¬premier qui a supprimé l’ENA,( (En réalité rien n’a changé à l’ENA sauf le nom), j’ai effectué cette petite révolution silencieuse qui consiste à décorporatiser la fonction publique », ajoute-t-il, avant d’expliquer vouloir faire « fonctionner » ensemble les institutions, partis et partenaires sociaux.

Et Macron atteint le sommet de la démagogie quand il déclare: « c’est aux gens, qui savent mieux que dans les bureaux ou d’autres structures très éloignées d’eux, d’apporter à ces inégalités une réponse concrète ». Le CNR a donc pour objectif, selon lui, de « donner des moyens, de la liberté d’agir ».

Eoliennes: prochain fiasco après le nucléaire

Eoliennes: prochain fiasco après le nucléaire

Fort justement Patrice Cahart dénonce dans le Figaro les invraisemblables contradictions du pouvoir qui invite en ce moment le Parlement à discuter du projet de loi concernant les énergies dites alternatives.

Faute de cohérence et de courage, le pouvoir mène de front ses orientations de développement du nucléaire et des énergies renouvelables. Une stratégie souvent soutenue dans les cercles politiques comme dans les bistrots; c’est-à-dire avec une approche scientifique et environnementale tout à fait approximative. Comment en effet comparer une éolienne de puissance de 24 MW avec une centrale nucléaire de 900 et un EPR de 1300 MW. Ou alors il faut envisager de couvrir la France d’éoliennes; par parenthèse dont les éléments sont essentiellement fournis par les Chinois !

Pire le président de la république sous Hollande a défendu l’idée de réduire le nucléaire ce qui s’est traduit par la fermeture inutile de Fessenheim à un moment où on avait particulièrement besoin d’énergie. L’objectif était de supprimer aussi 14 réacteurs. Aujourd’hui on revient totalement sur ces orientations pour construire d’abord six OPR et ultérieurement huit. En cause le fait que la France qui était globalement exportatrice d’électricité fait désormais venir cette énergie notamment d’Allemagne alors qu’elle est produite avec des centrales à charbon. Une politique qui constitue une véritable escroquerie énergétique et écologique. Mercredi 2 novembre, le Sénat commence l’examen du projet de loi visant à «accélérer les énergies renouvelables», qui entend supprimer les rares verrous législatifs qui ralentissent encore la multiplication des éoliennes.

La tribune de Patrice Cahart, inspecteur général des finances honoraire, mis en ligne le 22 septembre, qui alerte sur la nocivité avérée des éoliennes pour les riverains, les animaux et les paysages (extrait).
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Patrice Cahart est ancien élève de l’ENA. Ancien haut fonctionnaire au ministère des Finances. Il est notamment l’auteur de La Peste éolienne (Éditions Hugo & Cie, 2021).
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Le gouvernement va déposer fin septembre un projet de loi destiné à «accélérer les énergies renouvelables», c’est-à-dire, pour l’essentiel, l’éolien et le photovoltaïque. Dans sa rédaction actuelle, ce texte souffre de graves défauts.
Pendant quatre ans, les projets éoliens de moins de vingt engins (c’est-à-dire la grande majorité) pourraient être admis sans avoir fait l’objet d’une «évaluation environnementale». Or cet examen des incidences des projets sur l’environnement est l’un des piliers de notre politique écologique. Sans lui, quantité d’installations nuisibles pourraient surgir. Même les écologistes s’émeuvent de cette mesure.
Un autre article du projet de loi faciliterait le déboisement pour faire place aux éoliennes et aux capteurs photovoltaïques. La France tournerait ainsi le dos à la politique de reboisement…

Social-Journée d’action CGT du 27 octobre: un énorme fiasco

Social-Journée d’action CGT du 27 octobre: un énorme fiasco

Après le relatif échec de la journée de mobilisation CGT du 18 octobre, il fallait s’attendre cette fois un énorme fiasco concernant la nouvelle journée décidée seule par la CGT.C’est à peine si les médias mentionnent cette journée qui en faitn’a mobilisé que 15 000 personnes dans toute la France !

Un échec lamentable qui hypothèque par ailleurs les suites alors que paradoxalement les difficultés sociales s’amplifient face à l’inflation. En cause évidemment une stratégie complètement suicidaire de la CGT.

Contrairement à la journée du 18 octobre, FO, Solidaires et la FSU n’étaient pas de la partie. La CGT espère que ces organisations la rejoindront pour une autre journée de mobilisation déjà annoncée pour le 10 novembre.

Après le succès mitigé de la mobilisation du 18 octobre, la CGT organise adonc organisé une nouvelle journée d’action en faveur des salaires en pleines vacances scolaires et en l’absence de participation d’autres syndicats.

La CGT semble s’inscrire dans une espèce de fuite en avant en multipliant des journées d’action qu’elle décide seule comme si l’objectif était surtout interne pour régler la question de l’arbitrage entre les réalistes et les gauchistes en vue du congrès CGT qui doit désigner le remplaçant de Martinez.

La CGT ne semble pas tenir compte du faite que la grève précédente du 18 octobre n’a nullement provoquée d’élargissement de la mobilisation. Au contraire on assiste chez Total et les autres pétroliers à une reprise discrète et même honteuse. Il n’y aura pas d’autres négociations d’autant que l’opinion publique après la révélation des salaires du secteur se montre très dubitative pour ne pas dire plus.

Chez EDF très prudemment un accord avec les organisations syndicales a été signé pour la revalorisation des salaires.

L’échec de la stratégie syndicale de la CGT ne doit cependant pas dissimuler le fait que la question du pouvoir d’achat demeure centrale face à une inflation galopante par ailleurs très sous-estimée notamment dans l’alimentation et pour certains services. Officiellement l’inflation et de 6 % environ et de 10 % pour l’alimentation. La réalité sans doute c’est que cette inflation est plus proche de 10 % pour l’ensemble et de 20 % dans l’alimentation.

Globalement, les augmentations de salaires vont tourner autour de 3 % en 2022, la perte de pouvoir d’achat sera donc de 3 %. Une situation qui va surtout peser de manière dramatique pour les plus défavorisés.

La conjoncture économique complexe du fait notamment de la crise de l’énergie et de l’environnement géo politique commanderait une action concertée de la totalité des syndicats pour entreprendre des négociations avec le patronat en fonction des réalités des branches et des entreprises.

Journée d’action CGT du 27 octobre: un énorme fiasco à prévoir

Journée d’action CGT du 27 octobre: un énorme fiasco à prévoir

Après le relatif échec de la journée de mobilisation CGT du 18 octobre, il faut s’attendre cette fois un énorme fiasco concernant la nouvelle journée décidée seule par la CGT.

Contrairement à la journée du 18 octobre, FO, Solidaires et la FSU ne seront pas de la partie. La CGT espère que ces organisations la rejoindront pour une autre journée de mobilisation déjà annoncée pour le 10 novembre.

Après le succès mitigé de la mobilisation du 18 octobre, la CGT organise ce jeudi une nouvelle journée d’action en faveur des salaires, qui s’annonce peu mobilisatrice en pleines vacances scolaires et en l’absence de participation d’autres syndicats.

La CGT semble s’inscrire dans une espèce de fuite en avant en multipliant des journées d’action qu’elle décide seule comme si l’objectif était surtout interne pour régler la question de l’arbitrage entre les réalistes et les gauchistes en vue du congrès CGT qui doit désigner le remplaçant de Martinez.

La CGT ne semble pas tenir compte du faite que la grève précédente du 18 octobre n’a nullement provoquée d’élargissement de la mobilisation. Au contraire on assiste chez Total et les autres pétroliers à une reprise discrète et même honteuse. Il n’y aura pas d’autres négociations d’autant que l’opinion publique après la révélation des salaires du secteur se montre très dubitative pour ne pas dire plus.

Chez EDF très prudemment un accord avec les organisations syndicales a été signé pour la revalorisation des salaires.

L’échec de la stratégie syndicale de la CGT ne doit cependant pas dissimuler le fait que la question du pouvoir d’achat demeure centrale face à une inflation galopante par ailleurs très sous-estimée notamment dans l’alimentation et pour certains services. Officiellement l’inflation et de 6 % environ et de 10 % pour l’alimentation. La réalité sans doute c’est que cette inflation est plus proche de 10 % pour l’ensemble et de 20 % dans l’alimentation.

Globalement, les augmentations de salaires vont tourner autour de 3 % en 2022, la perte de pouvoir d’achat sera donc de 3 %. Une situation qui va surtout peser de manière dramatique pour les plus défavorisés.

La conjoncture économique complexe du fait notamment de la crise de l’énergie et de l’environnement géo politique commanderait une action concertée de la totalité des syndicats pour entreprendre des négociations avec le patronat en fonction des réalités des branches et des entreprises.

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