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Politique-Borne à la tête du parti Renaissance ou le circuit court de la politique !

Politique-Borne  à la tête du parti Renaissance ou le circuit court de la politique !

 

Finalement Macron fait des émules. En effet Élisabeth Borne, la technocrate qui n’a jamais milité mais seulement fréquenté les cabinets ministériels  se positionne pour prendre la tête du parti « Renaissance ».

De quoi plomber encore un peu plus un parti qui n’a jamais existé réellement faute de volonté de Macron lui-même mais aussi compte tenu de sa composition  d’incompétents, d’inconnus et d’arrivistes. Au moins 95 % des membres de Renaissance vont disparaître du paysage politique français. Un bon tiers a déjà été expédiés lors des élections législatives. Le processus va continuer car ce parti n’a aucune réalité sociale, politique et même idéologique. Borne prend ainsi elle aussi le circuit court de la politique en passant du statut de technocrate puis à celui de conseiller de cabinet avant de se présenter enfin dans une circonscription en or.

Le problème pour prendre la direction de ce qui reste de « Renaissance » que Gabriel Attal est aussi candidat et que ce dernier a laissé une relative bonne image comme Premier ministre. Contrairement à Élisabeth Borne qui n’a pas laissé un grand souvenir et qui manque pour le moins de charisme.

 

Borne à la tête du parti Renaissance ou le circuit court de la politique !

 

Finalement Macron fait des émules. En effet Élisabeth Borne, la technocrate qui n’a jamais milité mais seulement fréquenté les cabinets ministériels  se positionne pour prendre la tête du parti « Renaissance ».

De quoi plomber encore un peu plus un parti qui n’a jamais existé réellement faute de volonté de Macron lui-même mais aussi compte tenu de sa composition  d’incompétents, d’inconnus et d’arrivistes. Au moins 95 % des membres de Renaissance vont disparaître du paysage politique français. Un bon tiers a déjà été expédiés lors des élections législatives. Le processus va continuer car ce parti n’a aucune réalité sociale, politique et même idéologique. Borne prend ainsi elle aussi le circuit court de la politique en passant du statut de technocrate puis à celui de conseiller de cabinet avant de se présenter enfin dans une circonscription en or.

Le problème pour prendre la direction de ce qui reste de « Renaissance » que Gabriel Attal est aussi candidat et que ce dernier a laissé une relative bonne image comme Premier ministre. Contrairement à Élisabeth Borne qui n’a pas laissé un grand souvenir et qui manque pour le moins de charisme.

 

Politique: Élisabeth Borne refuse le poste de ministre des armées

Politique: Élisabeth Borne refuse le poste de ministre des armées


Emmanuel Macron a proposé lors d’un entretien en début de semaine à Élisabeth Borne de devenir ministre des Armées. Proposition qu’elle a refusée, d’après les informations de BFMTV.

Avant de passer les clés de Matignon à Gabriel Attal ce mardi 9 janvier, et d’annoncer sa démission la veille, l’ancienne Première ministre avait été reçue le dimanche soir à l’Élysée par Emmanuel Macron.

Ce serait à ce moment-là que le président de la République lui aurait proposé de devenir ministre des Armées et de prendre la suite de Sébastien Lecornu. Ce dernier était lui-même dans la shortlist pour devenir Premier ministre.

Lors du discours de passation du pouvoir, ce mardi, Élisabeth Borne a balayé toute intention d’intégrer le gouvernement de Gabriel Attal. Elle a déclaré se réjouir « de continuer à servir (son) pays » en rejoignant le Palais-Bourbon en tant que députée du Calvados.

Élisabeth Borne avait été élue dans la 6e du Calvados lors des élections législatives de juin 2022, mais n’avait pas siégé jusqu’ici à l’Assemblée nationale.

Élisabeth Borne refuse le poste de ministre des armées

Élisabeth Borne refuse le poste de ministre des armées


Emmanuel Macron a proposé lors d’un entretien en début de semaine à Élisabeth Borne de devenir ministre des Armées. Proposition qu’elle a refusée, d’après les informations de BFMTV.

Avant de passer les clés de Matignon à Gabriel Attal ce mardi 9 janvier, et d’annoncer sa démission la veille, l’ancienne Première ministre avait été reçue le dimanche soir à l’Élysée par Emmanuel Macron.

Ce serait à ce moment-là que le président de la République lui aurait proposé de devenir ministre des Armées et de prendre la suite de Sébastien Lecornu. Ce dernier était lui-même dans la shortlist pour devenir Premier ministre.

Lors du discours de passation du pouvoir, ce mardi, Élisabeth Borne a balayé toute intention d’intégrer le gouvernement de Gabriel Attal. Elle a déclaré se réjouir « de continuer à servir (son) pays » en rejoignant le Palais-Bourbon en tant que députée du Calvados.

Élisabeth Borne avait été élue dans la 6e du Calvados lors des élections législatives de juin 2022, mais n’avait pas siégé jusqu’ici à l’Assemblée nationale.

Élisabeth Borne : virée sans ménagement !

Élisabeth Borne : virée sans ménagement !

On sait que Macron n’a jamais porté une grande affection à sa première ministre, c’est le moins qu’on puisse dire. Même sa mise à l’écart a manqué d’élégance. Et l’Élysée a même été contraint de publier une photo du chef de l’État et de l ‘ ancienne première ministre « souriants » pour tenter de démontrer le contraire.

En creux ,ces faux sourires démontrent la nature très tendue des rapports ou plus exactement l’absence de rapport entre les intéressés. D’un côté Élisabeth Borne technocrate qui a passé une grande partie de sa carrière dans les cabinets, formée à la rigueur des ingénieurs des ponts et de l’autre un bavard impénitent qui a toujours confondu théâtre et politique.

Le pire dans la détestation de Macron vis-à-vis de l’ancienne ministre c’est qu’il l’avaient choisie précisément en fonction de son profil. Il voulait une technocrate neutre sans ambition politique. Il a effectivement hérité d’une technocrate sérieuse mais sans la moindre envergure politique à tel point que la plupart des lois ont été votées à l’arrache.

Par définition, les vrais technocrates détestent assez souvent les politiques pour leur incompétence et leur versatilité. Mais c’est souvent aussi réciproque car les politiques refusent la réalité et les chiffres.

Finalement Macron veut encore manquer sa gestion de la transition au sein du gouvernement. Mais les heures supplémentaires consacrées inutilement au changement de gouvernement témoignent à l’évidence des hésitations et même de la fébrilité du président.

À tout le moins, Macron aurait pu annoncer presque dans le même temps politique la mise à l’écart d’Élisabeth Borne et la nomination d’un nouveau premier ministre.

Remaniement :66 % souhaitent le départ d’Élisabeth Borne

Remaniement :66 % souhaitent le départ d’Élisabeth Borne

Selon le sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro66 % les Français souhaitent le départ de l’actuelle première ministre. Dans le bilan est jugé négativement par 70% %

Les Français sont particulièrement critiques sont particulièrement critiques. Seuls 23% la considèrent comme «proche de leurs préoccupations», 28% comme «sympathique» et 29 % comme étant «ouverte au dialogue». Près d’un tiers (32%) la pense «capable de tenir tête à Emmanuel Macron», 42% la trouvent «compétente» et à peine plus (43%) la pensent dynamique. Seule son «autorité» est reconnue par 55% des Français.

Dans l’équipe qu’elle dirige, Élisabeth Borne est loin d’être la seule personnalité sévèrement jugée : les récentes affaires judiciaires qui ont visé une partie de ses troupes pénalisent les ministres concernés. Ainsi d’Éric Dupond-Moretti (Justice), dont 53% des sondés souhaitent le départ – malgré la récente relaxe -, devant son collègue du Travail, Olivier Dussopt (42%) – en attente de son délibéré le 17 janvier -, et la ministre de la Santé «par intérim», Agnès Firmin Le Bodo (40%) – visée par une enquête. Sur les dix ministres testés au total, seuls trois d’entre eux tirent leur épingle du jeu et semblent en capacité de sauver leur place aux yeux du pays : 49% des Français souhaitent le maintien de Gabriel Attal à l’Éducation nationale (contre 27% qui réclament son départ), quand Bruno Le Maire (Économie et Finances) récolte 39% contre 34%, et Sébastien Lecornu (Armées) 28% contre 27%.

Résultat, si aucun «premier ministrable» évident ne semble s’imposer au sein du camp Macron, deux figures du gouvernement font figure de favori dans la course à Matignon. Après une rentrée et un premier trimestre réussis, Gabriel Attal est placé en tête (36%), devant le patron de Bercy et actuel numéro deux du gouvernement, Bruno Le Maire (31%).

Biodiversité : encore un micro plan d’Élisabeth Borne

Biodiversité : encore un micro plan d’Élisabeth Borne

Face au constat dramatique de la biodiversité, le gouvernement va encore sortir un micro plan pour donner l’impression qu’il se préoccupe d’une question qui menace l’existence même du vivant. Le constat est sans appel : un million d’espèces animales et végétales sont menacées d’extinction dans le monde.La nouvelle stratégie nationale biodiversité (S and B) va ce réduire à un engagement inférieur de 500 millions d’euros parents en grande partie va se limiter en réalité à la suppression de subventions néfastes à la biodiversité. Pour le reste on va se contenter d’incitations auprès des entreprises et de la société.

On comprend évidemment cette campagne d’information auprès des entreprises qui par leur activité peuvent conduire à la détérioration supplémentaire de la bio diversité mais l’enjeu dépasse et de loin les responsabilités des chefs d’entreprise. C’est un enjeu de vie pour tout ce qui est vivant et le gouvernement devrait commencer par analyser la cohérence de toutes ses propres orientations sur les sujets régaliens (et autres) avec cette préservation du vivant (notamment le rôle des infrastructures, de l’urbanisme, de l’aménagement du territoire et du développement économique global.

« C’est un déclin sans précédent, surtout par sa rapidité. Il y a eu des grandes extinctions d’espèces par le passé, mais aujourd’hui c’est 100 à 1.000 fois plus rapide. L’autre grande spécificité de ce déclin, c’est qu’il est essentiellement dû aux activités humaines », rappelle Jérôme Gestin, directeur général délégué adjoint du Muséum national d’histoire naturelle (MNHN).

La France, qui regorge d’un patrimoine naturel extrêmement riche, avec quelque 200.000 espèces recensées, et 600 nouvelles décrites chaque année en majorité en Outre-mer, n’est pas épargnée par ce mouvement, loin de là. Sur notre territoire, 43% des chauves-souris ont disparu depuis 2006 et 66% des espèces de papillons de jour se sont éteintes dans au moins un département. Pis encore, entre 2011 et 2020, la perte de biodiversité en France s’est aggravée.

Le gouvernement compte en fait sur une démarche facultative , la mise en œuvre d’une directive européenne, ​​dite « CSRD » (Corporate Sustainability Reporting Directive), sur le reporting extra-financier, pour renforcer la place de la biodiversité dans la stratégie des entreprises, et donc leur responsabilité face à ses enjeux.

Élisabeth Borne: Des chèques aumônes pour les maires

Élisabeth Borne: Des chèques aumônes pour les maires

Élisabeth Borne sort aussi le carnet de chèques pour les maires

Comme après chaque grande réunion solennelle, le gouvernement conclut son allocution avec la distribution de nouveaux chèques. Cette fois en direction des maires réunis en congrès avec une rallonge de 100 millions d’euros qui s’ajoutent aux 220 millions déjà votés. Finalement une somme assez dérisoire au regard des enjeux. Et surtout en face de l’augmentation croissante du niveau des dépenses.

La Première ministre Elisabeth Borne a annoncé, jeudi 23 novembre, devant les maires réunis en congrès à Paris une rallonge budgétaire de 100 millions d’euros pour les communes, ainsi que quelques aides ciblées pour leur « donner les moyens d’agir ».

Après être venue brièvement mercredi au salon des maires tout proche, où le président Emmanuel Macron ne pouvait pas se rendre cette année, pour saluer leur « détermination commune » à réindustrialiser le pays, la Première ministre n’est pas arrivée les mains vides.

« J’ai décidé d’augmenter de 100 millions d’euros la DGF (dotation globale de financement) des communes », a-t-elle déclaré en clôture du 105e congrès de l’Association des maires de France. Cette rallonge s’ajoutera à la hausse de 220 millions d’euros déjà inscrite dans le budget en cours d’examen au Parlement, de sorte que « la DGF des communes augmentera au même rythme que l’inflation », a-t-elle assuré, se félicitant d’une « augmentation claire et nette des moyens de nos collectivités ».

Elisabeth Borne a annoncé une enveloppe supplémentaire de 15 millions d’euros en 2024 afin notamment de « mieux indemniser les élus des petites communes rurales ». Un prélude à la loi censée « améliorer (leurs) conditions d’exercice » et « renforcer (leur) statut », qu’Emmanuel Macron souhaite « finaliser » en 2024.

Élisabeth Borne sort aussi le carnet de chèques pour les maires

Élisabeth Borne sort aussi le carnet de chèques pour les maires

Comme après chaque grande réunion solennelle, le gouvernement conclut son allocution avec la distribution de nouveaux chèques. Cette fois en direction des maires réunis en congrès avec une rallonge de 100 millions d’euros qui s’ajoutent aux 220 millions déjà votés. Finalement une somme assez dérisoire au regard des enjeux. Et surtout en face de l’augmentation croissante du niveau des dépenses.

La Première ministre Elisabeth Borne a annoncé, jeudi 23 novembre, devant les maires réunis en congrès à Paris une rallonge budgétaire de 100 millions d’euros pour les communes, ainsi que quelques aides ciblées pour leur « donner les moyens d’agir ».

Après être venue brièvement mercredi au salon des maires tout proche, où le président Emmanuel Macron ne pouvait pas se rendre cette année, pour saluer leur « détermination commune » à réindustrialiser le pays, la Première ministre n’est pas arrivée les mains vides.

« J’ai décidé d’augmenter de 100 millions d’euros la DGF (dotation globale de financement) des communes », a-t-elle déclaré en clôture du 105e congrès de l’Association des maires de France. Cette rallonge s’ajoutera à la hausse de 220 millions d’euros déjà inscrite dans le budget en cours d’examen au Parlement, de sorte que « la DGF des communes augmentera au même rythme que l’inflation », a-t-elle assuré, se félicitant d’une « augmentation claire et nette des moyens de nos collectivités ».

Elisabeth Borne a annoncé une enveloppe supplémentaire de 15 millions d’euros en 2024 afin notamment de « mieux indemniser les élus des petites communes rurales ». Un prélude à la loi censée « améliorer (leurs) conditions d’exercice » et « renforcer (leur) statut », qu’Emmanuel Macron souhaite « finaliser » en 2024.

Sondage popularité : recul de Macron et surtout de Borne

Sondage popularité : recul de Macron et surtout de Borne

selon un sondage BVA pour RTL paru jeudi, Macron et surtout Borne commencent à payer la facture de l’inflation et de leur immobilisme. Sans doute, le début d’une chute encore plus grande du fait du mécontentement croissant vis-à-vis des pertes de pouvoir d’achat notamment et aussi d’autres questions comme l’insécurité.

Macon recueille simplement 31 % d’opinions favorables est la première ministre perd cinq points à 28 %

«Sur fond de crise inflationniste», la première ministre retrouve son faible niveau du printemps en pleine crise des retraites, relève l’institut de sondages, tandis que le chef de l’État, s’il résiste mieux, «peine toutefois à retrouver un nouveau souffle».

Enquête réalisée par internet les 20 et 21 septembre selon la méthode des quotas auprès d’un échantillon de 1001 personnes, représentatif de la population française de 18 ans et plus.

Canicule : Elisabeth Borne met en place un numéro de téléphone !

Canicule : Elisabeth Borne met en place un numéro de téléphone !


Face à la canicule , la Première ministre Active le numéro de téléphone du plan anti chaleur. Un plan qui se résume surtout à des mesures d’information concernant la température . Un plan bâti à la hâte par le ministère de l’écologie et qui se résume surtout un constat de la montée des températures, de leurs facteurs structurels et des recommandations pour rester au frais !
Pour l’essentiel, le plan vise à informer et à surveiller les personnes âgées

Les grands axes du plan

La mise en œuvre des mesures de protection des personnes vulnérables hébergées en institutions (établissements accueillant des personnes âgées, établissements pour personnes handicapées) ou hospitalisées en établissements de santé .

Le repérage individuel des personnes vulnérables, grâce au registre des personnes fragiles ou isolées tenu par les communes ;
L’alerte, sur la base de l’évaluation biométéorologique faite par Météo-France et Santé publique France ;
La solidarité vis-à-vis des personnes vulnérables, mise en œuvre grâce au recensement et aux dispositifs de permanence estivale des services de soins et d’aide à domicile et des associations de bénévoles ;
Le dispositif d’information et de communication, à destination du grand public, des professionnels et des établissements de santé.
Le ministère chargé de la santé et Santé publique France diffusent des supports d’information auprès du public local, notamment les personnes vulnérables ainsi qu’aux partenaires et relais (médias, associations, collectivités locales…).

En cas d’alerte, chaque acteur peut se référer à sa fiche action contenue dans le disposition spécifique ORSEC gestion sanitaire des vagues de chaleur..

La Première ministre Elisabeth Borne doit donc activer dès ce jeudi à 17h00 une cellule interministérielle de crise. Un plan national de gestion des vagues de chaleur avait déjà été présenté début juin par le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, pour faire face à l’ensemble des conséquences liées aux canicules.

Sondage popularité: Borne à 36%

Sondage popularité: Borne à 36%


Très légère remontée de la popularité de la majorité mais à un très bas niveau.

La confiance envers Emmanuel Macron (+2 pts) et Elisabeth Borne (+1 pt) progresse légèrement en juillet par rapport à juin, selon un sondage Toluna – Harris Interactive pour LCI publié vendredi 28 juillet. En réalité pendant la période des vacances traditionnellement les Français se montrent un peu plus bienveillant vis-à-vis du pouvoir

Environ 42% des Français interrogés dans l’enquête disent ainsi faire confiance au chef de l’Etat, qui était tombé à 39% au printemps durant la crise des retraites, soit le niveau le plus bas de son second quinquennat.

M. Macron fait logiquement le plein auprès de ses propres sympathisants (87%). Il engrange aussi à droite, chez les électeurs LR (56%, +3 pts), au lendemain d’émeutes urbaines durant lesquelles il a martelé la nécessité de garantir «l’ordre, l’ordre, l’ordre».

Récemment confirmée à Matignon, sa première ministre Elisabeth Borne obtient un point de confiance supplémentaire, à 36%, avec également une forte progresssion à droite (55%, +11 pts).

Sondage réalisé par Internet du 25 au 27 juillet auprès d’un échantillon de 1.043 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus (méthode des quotas). Marge d’erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points de pourcentage.

Borne: discours plat et insignifiant

Borne: discours plat et insignifiant


Pour sa première interview depuis sa reconduction comme première ministre, Élisabeth Borne a fait dans l’insignifiance totale à tel point que la plupart des médias n’ont pas repris ses propos.

Macron avait déjà eu du mal à attirer l’attention de l’opinion publique dans ses discours de Nouméa. En faisant du « macron » encore pire, Borne confirme son manque total de compétence et d’épaisseur politique.
Pour résumer , elle a repris la curieuse affirmation du chef de l’État concernant la présence d’un enseignant dans sa classe ! Concernant l’affaire des policiers elle soutient évidemment les forces de l’ordre mais aussi la justice. Elle affirme que la France sera prête pour les jeux olympiques.

Elle dément les mauvaises relations supposées avec le chef de l’État et rassure l’opinion : elle a été au travail pendant toute la période passée et continue de l’être

Quand elle prend position, elle se plante comme sur la baisse des prix qu’elle prévoit pour la rentrée alors que les chiffres démontrent que les prix augmentent même si l’inflation ralentit.

Bref un tissu de banalités de la part d’une première ministre qui confirme qu’elle n’a vraiment pas l’étoffe de la fonction. Ce qui convient parfaitement à Macron qui peut s’essuyer les pieds sa première collaboratrice.

Pour preuve du manque d’autorité de la première ministre, le repas dessiné aux membres du gouvernement a été privé de la présence de plusieurs ministres de droite !

Rencontre syndicats – Borne : Désaccord sur les sujets

Réunion des syndicats avec Elisabeth: Désaccord sur les sujets


Pour Élisabeth Borne la rencontre qu’elle organise aujourd’hui avec les syndicats est surtout existentielle . Elle vise à conforter la première ministre dans la confirmation de son poste. Du coup leur ordre du jour paraît relativement flou puisqu’on y parlera du travail en général mais qui sera pratiquement interdit d’évoquer l’application de la réforme des retraites ou encore la question cruciale des salaires.

Conséquence les syndicats risquent d’être profondément déçus et l’expliqueront dès leur sortie de Matignon. Ils annonceront sans doute que la rentrée de septembre sera chaude.

La plupart des syndicats souhaite traiter la question des salaires et du pouvoir d’achat et regrettent que ce point ne soit pas à l’ordre du jour tandis que l’inflation reste élevée. C’est la première préoccupation des Français, et pour la majorité des syndicats, impossible de s’en tenir aux seules dispositions de la loi sur le partage de la valeur ajoutée.

Par ailleurs, la loi Plein Emploi, qui est actuellement discutée au Sénat, agit comme un puissant irritant. Tous les syndicats sont vent debout contre la volonté de la majorité d’obliger les bénéficiaires du RSA, à suivre un contrat d’engagement, qui les contraint à des heures de formation ou de travail. Cette nuit, les sénateurs ont voté deux articles clés de ce texte : l’inscription automatique des bénéficiaires du RSA sur les listes des demandeurs d’emploi ( et donc la possible radiation ) et la généralisation de ce contrat d’engagement. Surtout, les sénateurs sont allés plus loin que le gouvernement, en inscrivant une durée hebdomadaire d’au moins 15 heures d’activité. Là où l’exécutif ne souhaitait pas mettre de quotas. Pour les syndicats, ces dispositions vont précariser encore davantage les plus fragiles.

Dans ce contexte, la réunion à Matignon pourrait bien tourner court. Sans attendre sa tenue ce mercredi à 10 heures, les syndicats ont d’ores et déjà prévu de se retrouver fin août, en intersyndicale, pour discuter de la rentrée sociale. Ils n’excluent pas de nouvelles grèves et journées d’action.

Transition écologique : 7 milliards d’euros supplémentaires en 2024, annonce Elisabeth Borne, pris où ?

Transition écologique : 7 milliards d’euros supplémentaires en 2024, annonce Elisabeth Borne, pris où ?

En délicatesse politique la première ministre comme l’ensemble de l’exécutif ne cesse de pratiquer la fuite en avant. D’un côté, on affirme que la situation financière est à juste titre dramatique pour la France avec un endettement de plus de 3000 milliards mais de l’autre chaque jour on annonce la distribution d’enveloppes pour tel objectif ou telle catégories. Le seul problème ,c’est qu’on ne dit jamais comment sera financée ce nouvel engagement financier. Sans doute certainement par la dette qui enfle et dont la charge constitue désormais le premier budget du pays (autour de 75 milliards)

Un « investissement inédit de l’Etat » : voilà les mots choisis par Elisabeth Borne pour annoncer dans une interview au « Parisien »/»Aujourd’hui en France » les 7 milliards d’euros supplémentaires que l’Etat va mobiliser en 2024 pour doubler le rythme de réduction des émissions de gaz à effet de serre de la France et tenir les objectifs pour 2030.

« L’Etat va prendre sa part puisque, dès l’an prochain, nous allons rehausser de 5 milliards d’euros notre contribution au plan, au-delà des 2 milliards de plus qu’on avait déjà prévus », ainsi » en 2024, nous aurons 7 milliards de plus qu’en 2023 pour le financement de la transition écologique », a déclaré Elisabeth Borne.

Fin 2023, le gouvernement avait déjà annoncé la mobilisation de 2 milliards d’euros pour alimenter le Fonds vert , destiné à accompagner les projets écologiques des collectivités territoriales.

« C’est un investissement inédit de l’Etat qui servira à financer les rénovations énergétiques, les transports en commun, les énergies renouvelables et la transition agricole », a-t-elle ajouté, sans préciser à ce stade la source de ces financements qui doivent être discutés dans le Projet de loi de finances 2024.

« Ça ne veut pas dire 7 milliards d’impôts supplémentaires, bien au contraire », précise-t-on dans son entourage, soulignant que ce chiffrage correspond à l’ordre de grandeur des réductions de dépenses attendues des ministères. Le problème c’est q’ on ne précise pas quel ministère pas davantage qu’on indique l’ampleur des économies

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