Archive pour le Tag 'schiste'

Engie–gaz de schiste américain : entre pollution et énergie verte

Engie–gaz de schiste américain : entre pollution et énergie verte

 

Le moins que l’on puisse dire ce qu’Engie qui se présente comme le champion de l’environnement fait le grand écart entre pollution et énergie renouvelable. L’entreprise vient d’être rappelée à l’ordre par l’État qui lui demande de décaler sa signature pour un contrat de gaz de schiste aux États-Unis.

“Il a été convenu au cours d’un conseil que ce projet nécessitait des approfondissements. Engie a souhaité se laisser plus de temps pour les mener”, a déclaré le groupe français, dont l’Etat possède 23,6% du capital et 33,96% des droits de vote.

La vérité c’est que le ministère de l’économie a imposé un décalage de signature compte tenu du caractère particulièrement polluant du gaz de schiste américain.

D’ailleurs Engie n’a pas souhaité dire si cette décision était la conséquence d’une intervention de Bercy et n’a pas confirmé le montant du contrat.

NextDecade a fait savoir qu’il ne fournissait aucun détail sur ses relations commerciales et que l’entreprise travaillait à des mesures visant à parvenir à la neutralité carbone à Rio Grande.

NextDecade a reporté à 2021 sa décision finale d’investissement sur Rio Grande initialement prévue cette année, les confinements dus à l’épidémie liée au nouveau coronavirus ayant réduit la demande de gaz naturel.

Le gouvernement français s’est quant à lui refusé à tout commentaire.

Selon la source proche du dossier, le projet “ne correspond pas à notre projet environnemental ni à notre vision environnementale”.

 

 

“Il ne s’agit pas de seulement reporter la décision mais de reconnaître les impacts climatiques et environnementaux de ce contrat, acter le refus de le signer et porter ce message-là en tant qu’actionnaire d’Engie au conseil d’administration”, a dit à Reuters Lorette Philippot, chargée de campagne aux Amis de la Terre.

Gaz de schiste : interdiction des importations

Gaz de schiste : interdiction des  importations

L’interdiction des importations de gaz de schiste posent de sérieuses interrogations. Certes elle serait cohérente avec l’interdiction de l’exploitation de ce gaz en France. Pour autant il faudrait modifier la législation européenne mais aussi française ; en outre le gaz de schiste représente environ 40 % des les approvisionnements aussi bien d’EDF que de Engie (il est moins cher !). En outre il sera bien difficile de distinguer ce qui est du gaz de schiste et ce qui est du gaz conventionnel car il s’agit de la même molécule d’où la difficulté de contrôler réellement la nature des importations de gaz. Le gouvernement est plus que jamais mobilisé contre le gaz de schiste. Alors que toute exploration est interdite en France, un autre front s’ouvre contre les importations en provenance des États-Unis. Engie et EDF recevront leurs premières cargaisons, respectivement en 2018 et 2019. Dans les deux cas, la fourniture porte sur plusieurs années, et Ségolène Royal, la ministre de l’Environnement et de l’Énergie, est vent debout contre ces contrats d’approvisionnement. Mardi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, elle a indiqué qu’elle allait «examiner juridiquement la façon dont nous pouvons interdire l’importation de gaz de schiste et, en tout état de cause, ces entreprises (EDF et Engie, NDLR) devront s’orienter vers d’autres marchés pour n’importer que des gaz d’origine conventionnelle». La ministre de l’Énergie est d’autant plus décidée à imposer ses vues que l’État détient 85 % d’EDF et 33 % d’Engie. «Puisque la France interdit la fracturation hydraulique pour des raisons de protection de l’environnement, j’ai interrogé ces deux entreprises sur les raisons pour lesquelles elles n’avaient pas été vigilantes», lors de la négociation de ces contrats, a indiqué Ségolène Royal. La fracturation est pour le moment la seule technologie utilisée pour l’extraction de gaz de schiste. Les défenseurs de l’environnement ne cessent de pointer les dangers qu’elle fait peser sur les nappes phréatiques. Ni EDF ni Engie n’ont réagi officiellement. Et pour cause. Leurs contrats d’approvisionnement portent sur des cargaisons constituées à 40 % de gaz de schiste dit «non conventionnel » et à 60 % de… gaz conventionnel. Si les modes d’extraction sont différents, c’est, dans les deux cas, la même molécule de méthane. Une fois les deux gaz mélangés dans un navire méthanier, il est impossible de séparer le bon grain de l’ivraie.

 

(Avec le Figaro)

 

La production de pétrole de schiste US s’écroule

La production de pétrole de schiste US s’écroule

D’une certaine manière la stratégie de l’OPEP et en particulier de l’Arabie Saoudite est en train de réussir, l’objectif était en effet d’assurer une surproduction du pétrole traditionnel afin d’empêcher la rentabilité du pétrole de schiste des États-Unis. Un pétrole de schiste dans les conditions d’exploitation  sont coûteuses et qui exige donc un relatif aux niveaux des cours du pétrole. La production américaine de pétrole de schiste sera en novembre la plus faible depuis l’essor de cette industrie, selon des projections publiées mardi par le département de la Défense. La production baissera de plus de 93.000 barils par jour à 5,12 millions, a précisé l’Agence d’information sur l’énergie (EIA), émanation du ministère. Jamais chiffre aussi bas n’avait été projeté depuis que ces données ont commencé à être publiées en 2007. Novembre marquera le septième mois consécutif de baisse de la production, a ajouté l’EIA  Cette politique de relatif dumping de la part de l’OPAC et de l’Arabie Saoudite née cependant pas sans conséquences pour les pays producteurs traditionnels car cela les prive de ressources financières essentielles. Du coup le peuple souhaiterait bien maintenant un relèvement des cours.  L’OPEP  a d’ailleurs annoncé une reprise de la demande qui a tiré le pétrole à la hausse. Une hausse qui pourrait cependant être provisoire car il n’y a aucune certitude sur le maintien de la demande compte tenu du ralentissement économique mondial. En fait l’OPEP  commence à être très inquiète de la baisse des prix qui hypothèquent les ressources des pays producteurs. Le pétrole était orienté à la hausse lundi en Asie, en raison notamment de déclarations de l’OPEP laissant les investisseurs anticiper une augmentation de la demande. Le cours du baril de «light sweet crude» (WTI) pour livraison en novembre gagnait 0,93% à 50,09 dollars dans les échanges électroniques en Asie. Le baril de Brent, la référence européenne du brut, également pour livraison en novembre, s’appréciait de 0,78% à 53,06 dollars. Vendredi, les cours du pétrole avaient légèrement monté à New York, gagnant 20 cents à 49,63 dollars sur le Mercantile Exchange (Nymex), mais baissé à Londres, perdant 40 cents à 52,65 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE).

Popularité « Hollande, au niveau du gaz de schiste »(Sarkozy)

Popularité « Hollande, au niveau du gaz de schiste »(Sarkozy)

Pour Sarkozy c’est un bon mot sans doute, un peu facile mais qui correspond bien à la réalité politique de Hollande « Ne vous préoccupez pas trop de François Hollande. C’est fini. Pas une personne ne peut penser qu’ils (les socialistes au pouvoir, ndlr) sont rattrapables. (André) Santini (élu UDI des Hauts-de-Seine) disaient qu’ils avaient tellement chuté qu’ils allaient trouver du pétrole. François Hollande, lui, est au niveau du gaz de schiste », a ironisé Nicolas Sarkozy.  »L’alternance ne repose que sur nos épaules », a-t-il insisté, rendant hommage à Valérie Pécresse, candidate de la droite et du centre à la présidence de l’Ile-de-France. « Elle m’épate dans sa façon de faire campagne. » Il a de nouveau critiqué Marine Le Pen, présidente du FN, en affirmant qu’ »elle s’est aperçue il y a un mois que son père était infréquentable. Nous, ça fait 30 ans qu’on le sait ». « Il faut éviter (lors des régionales de décembre) le drame de l’élection d’un représentant du FN avec lequel nous n’avons rien à voir », a-t-il insisté.  »Vous êtes les bienvenus chez Les Républicains si vous aimez la France, vous croyez en la France, si vous parlez français, vous aimez la culture française, le mode de vie français. Vous êtes les bienvenus quelle que soit votre couleur de peau, votre origine, votre religion, votre vote lors des dernières élections », a également affirmé l’ancien chef de l’Etat. Il faisait allusion, sans citer son nom, à Nadine Morano, à l’origine d’une polémique en raison de ses propos sur la France, « pays de race blanche ».  »Nous aurons un projet fort qui jamais ne débordera les lignes des Républicains », a-t-il promis.

 

 

Lien:

  • site poèmes-chansons-théâtre de l’auteur

 

Gaz de schiste: le rapport de Montebourg enterré

Gaz de schiste:  le rapport de Montebourg enterré

Enterré le rapport commandé par Montebourg sur le gaz de schiste. Un rapport qui ne sera même pas mis en discussion pour cause d’élection en 2017. Pour Hollande en effet pas question d’agiter le chiffon rouge devant les yeux des écolos dont il faut obtenir le ralliement pour rendre crédible une candidature de actuelle président de la république en 2017. L’exploitation du gaz de schiste n’est pas sans danger avec la technique  de la fracturation  hydraulique.  Trois chercheurs américains ont passé  au crible l’ensemble des travaux publiés ces dernières années sur le sujet. Le résultat de cette synthèse, publiée mercredi 16 avril dans Environmental Health Perspectives (EHP), la revue éditée par l’Institut national américain des sciences de la santé environnementale (NIEHS), dresse un état des lieux paradoxal : « Il y a des preuves de risques potentiels pour la santé publique dus au développement du gaz de schiste », écrivent Seth Shonkoff (université de Californie à Berkeley) et ses coauteurs, tout en notant un manque criant d’études épidémiologiques qui permettraient de sortir du doute sur leur réalité et l’ampleur de ces risques potentiels.  L’une des premières causes d’inquiétude soulevées est celle des adjuvants utilisés dans les fluides de fracturation : réducteurs de frictions, inhibiteurs de corrosion, biocides, etc. « Une accumulation grandissante d’études suggère que les risques de pollution existent par le biais d’une variété de voies de contamination, en particulier durant le transport des eaux de fracturation usées ou de leur entreposage, ou par le biais de confinement défaillant des gaz et des fluides, dues à une mauvaise cimentation des puits », écrivent les chercheurs. Plusieurs études rassemblées montrent qu’un grand nombre des substances utilisées pour le fracking peuvent avoir des effets sanitaires. « A certaines concentrations, plus de 75 % des produits identifiés sont connus pour affecter négativement les yeux, la peau et d’autres organes sensoriels, le système respiratoire, le système gastro-intestinal et le foie, écrivent les auteurs. Et 52 % ont le potentiel d’affecter négativement le système nerveux, tandis que 37% sont de possibles perturbateurs endocriniens [PE]. » Cette catégorie spécifique est la plus problématique. En effet, notent les chercheurs, les PE sont susceptibles – au contraire de la majorité des substances chimiques – d’agir en perturbant le système hormonal, action possible à très faibles doses au cours de certaines périodes-clés du développement, en particulier la période périnatale. Mais  le rapport « commandé par Montebourg  étudiait  la faisabilité d’exploiter des gaz de schiste sans recourir à la fracturation hydraulique cas interdite en France depuis la loi Jacob de 2011. Il souligne, en détail, combien la France pourrait en tirer parti, en termes de croissance, d’emplois, de compétitivité industrielle, d’indépendance énergétique. Et préconise une première phase d’expérimentation, par micro-forages en Ile-de-France et dans le Sud-Est. «Huit trous. Huit petits trous… c’est tout ce qu’on demandait!», se lamente un participant à ces travaux. «C’était le premier rapport officiel qui validait la technologie de stimulation au fluoropropane», explique un proche du dossier. Le document conclut qu’elle «présente une réelle alternative permettant de répondre aux problèmes environnementaux posés par la fracturation hydraulique. Il est clair qu’avant de s’engager dans une nouvelle piste technologique il convient de procéder à des expertises approfondies. De ce point de vue l’exploitation du gaz de schiste n’est pas sans danger. Au moins aurait-on pu rendre public le rapport et ouvrir le débat.

Pétrole- OPEP : non au schiste

Pétrole- OPEP : non au schiste

Ce n’est pas tellement par préoccupation environnementale que le secrétaire général de l ’OPEP se refuse à envisager de subventionner le pétrole de schiste mais surtout pour contraindre à stopper les investissements dans ce domaine et ainsi pour faire remonter les cours. Avec un pétrole dont les prix sont bas comme actuellement ces investissements ne peuvent être rentable ; ils ne peuvent l’êtrer qu’à partir de 100 dollars. L’OPEP ne doit donc pas réduire sa production pour « subventionner » le schiste, une source d’énergie récente à laquelle l’organisation des pays exportateurs de pétrole impute la chute des cours du brut depuis l’an dernier, a dit son secrétaire général. « Cette source d’énergie est trop chère à produire. On ne peut pas produire à 70, 80 ou 90 dollars; il faut 100 dollars voire plus pour produire, vendre et faire du bénéfice », a dit dimanche Abdullah al-Badri, dans le cadre d’une conférence à Bahreïn. Les prix de l’or noir sont tombés non loin de leurs plus bas niveaux en six ans ces derniers mois, conséquence d’une surabondance de l’offre qui s’explique essentiellement par l’essor de la production de schistes aux Etats-Unis, et par un tassement de la demande mondiale. « L’OPEP ne peut pas subventionner une nouvelle source d’énergie (…) Si nous diminuons (la production) en novembre, nous réduirons en janvier, en décembre, pendant encore quatre à cinq ans peut-être », a ajouté al-Badri. « Le schiste n’est pas un défi pour nous (…) Nous le saluons mais c’est au marché de décider à présent ». Badri a également dit que les producteurs, qu’ils soient membres de l’OPEP ou pas, devaient collaborer pour stabiliser le marché, laissant entendre que l’excédent d’offre pourrait représenter deux millions de barils par jour (bpj). Depuis 2008, l’offre hors-OPEP a augmenté de près de six millions bpj, a-t-il noté, alors que la production de l’OPEP s’est stabilisée autour de 30 millions bpj. Selon Badri, la situation réelle du marché ne sera pas visible avant la fin juin, ajoutant qu’il était hors de doute que le marché s’équilibrerait durant le second semestre 2015.

 

EDF : du gaz de schiste…. mais américain

EDF : du gaz de schiste….  mais américain

 

Pas de gaz de schiste français mais des importations en provenance des Etats-Unis. Normal, la France importe 90% de son gaz et on se préoccupe peu des conditions de ses origines. A peu près la même contradiction quand on veut limiter le nucléaire français mais qu’on exporte des centrales. Pas facile d’être écolo et cohérent économiquement. EDF rattrape son retard. Après Total, Iberdrola et d’autres, il était le dernier des grands énergéticiens européens à ne pas avoir investi sur le gaz de schiste américain. C’est chose faite: le groupe a annoncé jeudi 17 juillet un accord avec une filiale du groupe d’énergie Cheniere, Corpus Christi Liquefaction, pour l’importer en Europe sous forme de gaz naturel liquéfié. Les premières cargaisons américaines n’arriveront qu’en 2016 et la mise en route devrait être progressive. Aucun détail financier n’a filtré, mais le contrat porte sur la fourniture d’environ 770.000 tonnes de GNL par an en provenance du Texas. Au début, le volume livré sera de 380.000 tonnes. A titre de comparaison, la France consomme environ 3,5 milliards de tonnes de gaz par an, qu’elle importe à plus de 90%. Le contrat prévoit un partenariat de 20 ans, avec prolongation de 10 ans en option. Mais les premières livraisons n’interviendront pas avant 2019. En effet, les Etats-Unis, auparavant importateurs de gaz, ont commencé à exploiter cette source non-conventionnelle très récemment. Ils ne disposent pas encore des infrastructures nécessaires pour l’exporter.  Les projets d’usines se sont multipliés, mais une seule est en chantier à l’heure actuelle, et quatre autres sont à un stade d’autorisation relativement avancé. Le gaz de schiste américain n’arrivera qu’en 2016. Il n’est donc pas une solution immédiate à la pénurie de gaz qui, selon Bruxelles, menace l’Europe en cas de prolongement des tensions entre l’Ukraine et la Russie. Même à long terme, alors que les industriels européens cherchent à réduire leur dépendance au gaz russe, les Etats-Unis pourraient ne pas être d’un grand renfort, selon Jérôme Ferrier, le président de l’Union internationale du gaz. « Quand ils vendent leur gaz à l’étranger, son prix augmente pour intégrer les coûts de transports et d’infrastructures, ce qui tire à la hausse son prix sur le marché domestique. C’est pourquoi les Américains feront tout pour limiter leurs exportations ».

 

Royal pour le gaz de schiste

Royal pour le gaz de schiste

 

Avec Royal, il faut s’attendre à tout et son contraire. Contre l’écotaxe par exemple mais peut-être pour le gaz de schiste, avec la prudence politique qui s’impose. Au fait elle connait quoi au gaz de schiste ? Rien sans doute, comme sur les autres sujets mais l’important est de parler chaque jour, pour préparer la succession de Hollande en 2017. Au fait elle n’a rien dit sur les trains SNCF trop larges pour être accueillis dans certaines gares !! Ah si, on a décidé qu’une enquête « interne » à la SNCF serait effectuée. Une grande décision évidemment ! Changement de dogme. La ministre de l’Ecologie et de l’Energie Ségolène Royal ne ferme pas la porte à l’extraction du gaz de schiste à condition que soient mises au point « de nouvelles technologies non dangereuses », dans un entretien vendredi au Parisien/Aujourd’hui en France. « Compte tenu des incertitudes, la France a raison d’appliquer le principe de précaution », insiste-t-elle, rappelant que « pour extraire le gaz, il faut en effet provoquer des explosions souterraines dont on ne maîtrise pas l’impact ». « On ne sait pas si ces fracturations hydrauliques ne risquent pas de provoquer des fuites de gaz dans les nappes phréatiques et de contaminer l’eau potable », ajoute Ségolène Royal. Toutefois, poursuit-elle, « moi, je ne suis pas dogmatique et si de nouvelles technologies non dangereuses apparaissent, pourquoi pas ? » Déjà en 2011, l’ancienne candidate à la présidentielle de 2007 avait jugé « nécessaire de poursuivre la recherche sur les procédés d’extraction propres à long terme ».

Gaz de schiste : Fabius s’y met aussi

Gaz de schiste : Fabius  s’y met aussi

 

Décidemment ce gouvernement est une cacophonie permanente ; Valls s’exprime sur tout (la PMA et dernièrement sur les taxis en grève !), Montebourg parle de ce qu’il ignore (la politique monétaire ) Fabius sur l’organisation  du ministère des fi, ances et maintenant sur le gaz de schiste. Manquerait plus que Martin, le ministre de l’écologie pare des rythmes scolaires. On le sait Fabius a des idées sur tout, pour ne pas dire grand-chose en vérité mais cela lui permet d’exister puisqu’en politique étrangère c’et surtout Hollande qui commande. « Ma position est simple. Le système actuel de fracturation hydraulique est mauvais pour l’environnement. Donc ce n’est pas celui là qu’il faut exploiter. En revanche, que l’on fasse des recherches pour savoir s’il y une autre possibilité d’exploiter le gaz de schiste, ça me paraît normal », a affirmé Laurent Fabius au micro de RTL ce lundi 10 février. Le ministre des Affaires étrangères n’a pas fermé la porte à la possibilité de voir d’autres techniques d’exploitation du gaz de schiste développées en France. « S’il y a des essais qui n’ont pas de conséquences négatives, l’histoire du progrès et de la gauche a toujours été ouverte à la réalité scientifique à condition qu’on protège l’environnement », a-t-il indiqué.

 




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