Archive pour le Tag 'Royal'

Dérapages : Sandrine Rousseau a remplacé Ségolène Royal !

 Dérapages : Sandrine Rousseau a  remplacé Ségolène Royal  !

La gauche semble avoir  trouver sa nouvelle championne du dérapage verbal  dans le champ de l’excès et du ridicule avec Sandrine Rousseau. (papier de la Tribune)

Que n’a-t-elle pas dit Sandrine Rousseau ! « La valeur travail, c’est quand même une valeur de droite ». En pleine sobriété, en pleine « fin de l’abondance », voilà que la candidate malheureuse à l’investiture écologiste à la présidentielle revendique un « droit à la paresse ». Bien joué Sandrine ! Pour affronter les rigueurs de l’hiver sibérien à venir, toutes et tous sous la couette en chaussettes et en pull. La paresse, c’est cool, c’est chaud, c’est sobre et ça fait du bien… Et comme ça on aura du temps pour surveiller de près notre application Ecowatt, le Bison Fûté de notre consommation électrique qui doit nous éviter le blackout plus sûrement que l’extinction par Anne Hidalgo des feux de la Tour Eiffel à Paris.

Heureusement que nous l’avons Sandrine Rousseau pour animer le débat public un brin angoissant de cette fin d’été. Elle est presque aussi forte que le Medef qui met en berne son amour de l’économie de marché pour réclamer un plafonnement des prix de l’énergie. Accordé par Bruxelles, qui au passage réinvente la taxation des superprofits, sans prononcer son nom, mais en prévoyant 140 milliards d’euros de recettes sur les énergéticiens, quand même. En attendant, c’est la peur des coupures qui domine : Clémentine Maligorne raconte comment les entreprises les plus énergivores se préparent pour les pénuries.

Sandrine Rousseau, le monde entier nous l’envie, car le rire, c’est bien connu, ça libère l’esprit et réchauffe les cœurs. Cela faisait longtemps, depuis Ségolène Royal sans doute, que la gauche n’avait trouvé de leader aussi charismatique, presque mystique. Dans une France à bout de souffle, comme dirait l’immortel Jean-Luc Godard, ce n’est pas avec les LR ou Renaissance, que l’on va imaginer de nouvelles idées. Le parti présidentiel qui doit élire ce samedi son nouveau patron est devenu « une véritable chronique nécrologique », nous dit un fin observateur du macronisme.

Pour faire le buzz, rien ne vaut la potentielle nouvelle patronne des Verts qui doivent eux-aussi se choisir en décembre un nouveau chef.fe. En multipliant les provocations, Sandrine Rousseau est en train de prendre le dessus sur Yannick Jadot et tous ses concurrents. Une stratégie concurrencée à gauche par Fabien Roussel, le patron des communistes, qui prend des positions strictement orthogonales en défendant le travail contre l’assistanat dans une tribune au Monde que n’aurait pas renié Laurent Wauquiez. Avec Roussel, ce n’est plus le marteau et la faucille, mais l’entrecôte et le bleu de chauffe.

Alors qu‘Emmanuel Macron confie en catimini à la « presse présidentielle », dans un « off » absolu aussitôt rompu avec l’autorisation de l’Elysée, sa volonté d’imposer de force dès cet automne deux des réformes les plus dures de son programme présidentiel, celle de l’assurance-chômage dont les indemnités seront modulées en fonction de la situation de l’emploi, et celle des retraites en allongeant la durée de cotisation, Sandrine Rousseau allume un contre-feu salutaire. Quoi ? Un président de la République qui veut ramener la France au plein emploi et adresser un message de sérieux budgétaire à Bruxelles, voire financer par ce surcroît de travail quelques dépenses de solidarité nouvelles, comme la dépendance ou la revalorisation du minimum vieillesse ; ça va pas bien la tête ! On a le droit « à la paresse », « de faire des pauses dans la vie », « c’est ça les allocations », dit Sandrine Rousseau sans doute inspirée par le revenu universel de Benoît Hamon, qui ne lui a pas rendu service en 2017. La paresse, d’accord, mais qui paye ? Ben, ceux qui travaillent évidemment… Et voilà reparti le bon vieux débat sur l’assistanat, qui ne sert que les extrêmes.

En vérité, Sandrine Rousseau n’est pas si radicale que la caricature qu’elle inspire pourtant : le fond de son propos, c’est de dire que « pour redonner une dignité aux salariés, il faut qu’ils puissent ne pas dépendre de leur emploi ». Un discours d’émancipation qui ressemble à quelques nuances près à celui que celui que tenait le candidat Emmanuel Macron en 2017. Le président de la République a porté l’idée de pouvoir démissionner de son emploi sans perdre ses droits au chômage afin de pouvoir se reconvertir. Une réforme d’ailleurs mise en œuvre, mais de façon TRÈS encadrée. Alors, Macron-Rousseau, même combat ? Et si, sous l’exagération du droit à la paresse, sommeillait l’idée assez moderne, d’un droit à la transition d’un métier à l’autre ? Après tout, c’est exactement ce dont l’économie française a besoin le plus, dans sa conversion. Pour parvenir à la neutralité carbone, la France a certes besoin de profs et d’ingénieurs, mais elle manque cruellement d’électriciens, de plombiers, de soudeurs, pour rattraper son retard dans les énergies renouvelables et… dans le nucléaire, comme l’a regretté le patron d’un EDF ruiné Jean-Bernard Lévy, en passe d’être remplacé. Si l’idée de Sandrine Rousseau est de permettre un droit au travail choisi, émancipateur, pour tous et toutes, qui peut être contre ? Au boulot alors… Marions Macron et Rousseau. Vite, un plan Marshall pour relancer en même temps les EPR et les éoliennes. Mais la crise va durer au moins jusqu’en 2024. La France va payer cash l’imprévoyance de ses politiques. Ce monde nouveau était-il pourtant si difficile à prévoir ?, s’étonne Marc Endeweld. En France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées, le slogan des années 70 a besoin d’un coup de peinture fraîche.

Ce débat sur l’emploi, le travail, la retraite, percute de plein fouet celui sur le vieillissement relancé cette semaine par l’avis du Comité national d’éthique sur la « fin de vie ». Emmanuel Macron, soucieux de laisser une trace dans l’histoire, ira-t-il jusqu’à autoriser le suicide assisté comme en a bénéficié en Suisse le cinéaste Jean-Luc Godard parti parce qu’il était fatigué de vivre à 91 ans ? Ce débat est aussi dans l’actualité culturelle avec le film japonais d’anticipation « Plan 75 » qui imagine une société qui décide de se débarrasser légalement, et de manière industrielle, des plus de 75 ans. Une sorte de « Ballade de Narayama » moderne qui rappelle aussi le roman « Soleil Vert » de Harrison porté à l’écran en 1973 et qui raconte comment dans le New York de 2022, comme par hasard, on incite les âgés et les malades à s’euthanasier, sans savoir que l’industrie agro-alimentaire les recycle en nourriture gratuite pour une population affamée, comme une allégorie à la fin de l’abondance…

Guerre en Ukraine : « La faute à Zelinsky  » (Ségolène Royal déraille encore) !

Guerre en  Ukraine  : « La faute à Zelinsky  » (Ségolène Royal déraille encore) !

Ségolène Royal, la folle du Poitou, ne sait plus quoi faire pour se singulariser et exister politiquement. Malheureusement pour elle elle n’a pu décrocher le moindre poste au plan national et international en dépit de ces démarches très appuyées y compris auprès de Macron.

 

« On ne peut pas lui faire confiance », Estime un conseiller ministériel. Avant qu’un membre du gouvernement ajoute : « Elle souffle le chaud et le froid en fonction des postes qu’elle vise. Tout est calculé en fonction de son propre intérêt. » Aujourd’hui, entre Ségolène et Macron « le lien est totalement rompu. »Du coup, elle multiplie les prises de position anachroniques voire fantaisistes et même scandaleuses. Elle considère en effet que la guerre en Ukraine est imputable aux provocations du président ukrainien. En clair elle se situe du côté de Poutine.

L’ancienne ministre, invitée ce jeudi sur le plateau de BFMTV, a dénoncé une « propagande de guerre par la peur » de la part du président Volodymyr Zelensky.

« La paix en Ukraine n’est pas rendue impossible par les victimes de l’invasion, mais par la volonté de conquête de Poutine! », a réagi sur Twitter le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.

« Les crimes de guerre sont documentés, le nier est une insulte aux assassinés, aux violées, aux torturés ! Dire le contraire est de la propagande ! », a-t-il poursuivi.

Dans un autre tweet, il a ajouté: « Elle dit que la dénonciation des crimes (dont elle doute) a un objet: entraver le processus de paix. Les agressés deviennent les bellicistes. Jusqu’à preuve du contraire les Ukrainiens sont les résistants dans une guerre qu’ils n’ont pas choisie », a-t-il critiqué.

Le député européen Raphaël Glucksmann (Place publique), a lui aussi dénoncé un « naufrage. Total ».

Ségolène Royal, toujours opportuniste, se reconvertit chez Mélenchon !

Ségolène Royal, toujours opportuniste, se reconvertit chez Mélenchon !

 

Ségolène Royal toujours aussi traumatisée de n’avoir pas était choisie par le parti socialiste pour se présenter aux élections présidentielles de 2022 et continue d’assassiner son parti. Elle considère même que le parti socialiste n’est plus le parti de gauche. Elle oublie sans doute qu’il ne l’a jamais été et qu’elle-même a largement contribué à le discréditer.

 

L’ancienne ministre de l’Environnement avait déjà appelé en décembre dernier Anne Hidalgo à se désister au profit de Jean-Luc Mélenchon (LFI) ou Yannick Jadot (EELV). En février elle avait déclaré que Jean-Luc Mélenchon était le « vote utile » à gauche.

« Si les jeunes ont voté Jean-Luc Mélenchon, c’est bien le signal qu’il y a une aspiration profonde de changer de modèle, et la gauche n’a pas été capable de s’unir », a lancé Ségolène Royal.

Elle souligne qu’Anne Hidalgo, Fabien Roussel (PC) et Yannick Jadot ont obtenu moins de 5% pour le premier tour, « leur frais de campagne ne seront même pas remboursés. Aujourd’hui ils se seraient retirés on aurait Jean-Luc Mélenchon au second tour », selon elle.

Pour Ségolène Royal, cette non-union est un manque de « sens du devoir », car « quand on est candidat à une élection présidentielle pour un courant politique, on est au service de cette histoire, ce n’est pas l’histoire qui est au service de votre petit égo ».

Ségolène Royal qui paiera sur la relativisation de l’ego, de quoi sourire c’est celle qui a toujours privilégié sa carrière politique par rapport aux intérêts collectifs !

Peut-être Ségolène Royal attend tel que Mélenchon prenne du recul chez les Insoumis pour tenter de récupérer un siège ou un strapontin en politique

Ségolène Royal–Mélenchon : une belle réconciliation !

Ségolène Royal–Mélenchon : une belle réconciliation !

Il est clair que sur les valeurs laïques et républicaine rien ne peut rapprocher Ségolène Royal de Mélenchon. Pourtant pour se venger de n’avoir pas été choisie par le PS comme candidate aux présidentielles, Ségolène Royal lâche le parti auquel elle doit tout. Une vraie slalomeuse déclare Yannick Jadot, l’écolo. Il est vrai que depuis des années Ségolène Royal navigue entre tous les courants pour récupérer coûte que coûte une haute fonction. Au plan international d’abord où est la mendié auprès de Macron. un poste de prestige, en vain. Dernièrement auprès du PS un poste au Sénat. Récemment encore la perspective d’un rapprochement avec Valérie Pécresse et encore avec Macron. Jadot, lécolo  a ironisé vendredi sur l’appel de Ségolène Royal à voter pour Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, affirmant qu’ »en politique, (il) préférait la ligne droite et le tout schuss », plutôt que le slalom.

« Il y a dix jours, paraît-il, Ségolène Royal voulait rejoindre Valérie Pécresse, il y a un an elle voulait rejoindre Emmanuel Macron. Maintenant, elle rejoint Jean-Luc Mélenchon. Au fond, avec Jean-Luc, ils ont été dans le même parti politique, je leur souhaite une belle réconciliation », a déclaré le candidat écologiste lors d’un point presse à Tours avant de tenir une réunion publique devant 200 personnes.

 

Mercato politique : Macron, Royal, Sarkozy: les champions de la trahison

Mercato politique : Macron, Royal, Sarkozy: les champions de la trahison

Le dernier acte de trahison pitoyable est évidemment celui de Ségolène Royal qui n’a jamais accepté de n’être pas préférée à Anne Hidalgo pour les élections de 2022. Mais d’autres sont coutumiers des trahisons. Pour des raisons parfois politiques crédibles mais le plus souvent pour de bas intérêt personnels et pour satisfaire leur ego surdimensionné.

 

C’est le cas sans doute le plus important avec Macron. Discrètement introduit comme techno dans le cabinet de Hollande et qui finalement a pris sa place. Le pire c’est que rien ne le prédestinait à devenir politique. Il n’a jamais milité. Il n’a aucun passé social, aucune expérience et sans doute aussi aucune conviction hormis celle de servir les grands intérêts financiers. Son ego est aussi tellement surdimensionné qu’il tutoie le dérèglement mental. -À peine élu, il a témoigné de sa quasi démence avec sa descente à pied vers le Louvre, à la fois pathétique et ridicule.

 

Il y a aussi un autre champion de la trahison qui lui continue d’opérer sur le long terme. Il s’agit de Sarkozy qui a lâché Chirac alors que ce dernier était en difficulté pour se faire réélire. Ce qui n’a pas empêché Sarkozy de revenir au bercail afin de récupérer l’onction du parti pour devenir à son tour président. Celui-là est vraiment un spécialiste des coups fourrés. Ne parlons pas des gamelles financières tellement nombreuses qu’elles en ont éclaboussé tout son entourage. Dans la coulisse Sarkozy participe à la démolition de la candidature de Valérie Pécresse en envoyant ses anciens lieutenants démolir celle qui été choisie par le parti républicain pour 2022. Ainsi Éric Woerth, lui aussi impliqué dans les affaires financières de Sarkozy, Estrosi, Rachida Dati, Nadine Moreno qui ne cessent  de pilonner la candidate républicaine.

Mais  ce courant de de trahison semble contaminer à peu près toutes les organisations politiques à gauche, à droite et aux extrêmes.

Il est clair que les convictions peuvent évoluer mais pas de manière aussi brutale et aussi soudaine. Pendant des années, ces responsables ont vanté les mérites de leur parti et de leurs dirigeants et c’est soudain à la veille des élections qu’ils se mettent à dire tout le mal qu’il pense de ce qu’ils ont défendu pendant des années.

Une attitude lamentable qui confirme que la plupart des politiques font prévaloir leur intérêt personnel voir leurs pulsions sur tout concept d’intérêt collectif. De quoi déconsidérer encore davantage des organisations politiques déjà largement discréditées.

Macron, Royal, Sarkozy: les champions de la trahison politique …

Macron, Royal, Sarkozy: les champions de la trahison politique …

Le dernier acte de trahison pitoyable est évidemment celui de Ségolène Royal qui n’a jamais accepté de n’être pas préférée à Anne Hidalgo pour les élections de 2022. Mais d’autres sont coutumiers des trahisons. Pour des raisons parfois politiques crédibles mais le plus souvent pour de bas intérêt personnels et pour satisfaire leur ego surdimensionné.

 

C’est le cas sans doute le plus important avec MacroN. Discrètement introduit comme techno dans le cabinet de Hollande et qui finalement a pris sa place. Le pire c’est que rien ne le prédestinait à devenir politique. Il n’a jamais milité. Il n’a aucun passé social, aucune expérience et sans doute aussi aucune conviction hormis celle de servir les grands intérêts financiers. Son ego est aussi tellement surdimensionné qu’il tutoie le dérèglement mental. -À peine élu, il a témoigné de sa quasi démence avec sa descente à pied vers le Louvre, à la fois pathétique et ridicule.

 

Il y a aussi un autre champion de la trahison qui lui continue d’opérer sur le long terme. Il s’agit de Sarkozy qui a lâché Chirac alors que ce dernier était en difficulté pour se faire réélire. Ce qui n’a pas empêché Sarkozy de revenir au bercail afin de récupérer l’onction du parti pour devenir à son tour président. Celui-là est vraiment un spécialiste des coups fourrés. Ne parlons pas des gamelles financières tellement nombreuses qu’elles en ont éclaboussé tout son entourage. Dans la coulisse Sarkozy participe à la démolition de la candidature de Valérie Pécresse en envoyant ses anciens lieutenants démolir celle qui été choisie par le parti républicain pour 2022. Ainsi Éric Woerth, lui aussi impliqué dans les affaires financières de Sarkozy, Estrosi, Rachida Dati, Nadine Moreno qui ne cessent  de pilonner la candidate républicaine.

Mais  ce courant de de trahison semble contaminer à peu près toutes les organisations politiques à gauche, à droite et aux extrêmes.

Il est clair que les convictions peuvent évoluer mais pas de manière aussi brutale et aussi soudaine. Pendant des années, ces responsables ont vanté les mérites de leur parti et de leurs dirigeants et c’est soudain à la veille des élections qu’ils se mettent à dire tout le mal qu’il pense de ce qu’ils ont défendu pendant des années.

Une attitude lamentable qui confirme que la plupart des politiques font prévaloir leur intérêt personnel voir leurs pulsions sur tout concept d’intérêt collectif. De quoi déconsidérer encore davantage des organisations politiques déjà largement discréditées.

Mercato politique : le temps des trahisons, dernière en date celle de Ségolène Royal

 

Comme les clubs de football, les partis politiques sont agités par le mouvement de mercato qui opère des transferts entre les écuries politiques. Macron par exemple a décrochée républicain Woerth, pourtant le plus critique vis-à-vis de la gestion financière du président. Woerth sera sans doute récompensé par un marocain. Macron continue son travail de débauchage et nombre de nouveaux convertis espère être nommés ministre (Estrosi, le maire de Nice par exemple).

À gauche,  c’est aussi le moment des nouvelles conversions avec par exemple  l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, ne soutiendra aucun candidat de gauche. Or ce dernier avait été élu tête de liste des socialistes aux européennes . Dernière trahison au sein du PS,   celle de la super égocentrique et irresponsable Ségolène royale qui refuse de soutenir Hidalgo considérant que c’est elle qui devait représenter le parti socialiste (elle l’a affirmé à plusieurs reprises). À l’extrême droite aussi la trahison est de rigueur notamment au sein du Front National où les responsables sont démarchés par Zemmour.

Ne parlons pas de Taubira qui trahit la gauche pour la seconde fois

Bref la mode est à la trahison. Sans doute que les convictions n’étaient pas très solide et que les intérêts et des egos surdimensionnés prévalent sur tout le reste. Comment comprendre en effet que des responsables qui ont soutenu pendant des années une ligne politique, qui ont bénéficié d’ailleurs de ses retombées, découvrent subitement leur désaccord. Il s’agit évidemment d’opportunisme assez sordide le plus souvent qui ne fait qu’ajouter à l’image détestable de la politique et de ses responsables. On pourrait aussi s’interroger sur l’État psychiatrique de certaines personnalités dont les extravagances et les instabilités sont proportionnelles à leur absence de compétence.

 

 

 

L’ancienne ministre, invitée de BFM Story ce mercredi, a estimé que si elle était à la place d’Anne Hidalgo, elle arrêterait sa campagne au profit de celle de Mélenchon.

Le parti à la rose montre ses épines. Les propos tenus ce mercredi soir par Ségolène Royal sur Anne Hidalgo suscitent beaucoup d’agacement au Parti socialiste, et pour cause. Invitée de BFM Story sur notre antenne, l’ancienne ministre et ex-candidate à la présidentielle de 2007 a encouragé la maire de Paris à renoncer à la magistrature suprême au regard des faibles intentions de vote dont elle bénéficierait au premier tour.

« À sa place, j’arrêterais », a jugé Ségolène Royal, qualifiant de « triste » et de « désolante » pour la gauche la situation dans laquelle se trouve la candidate socialiste. Face à cette situation Ségolène Royal, voit Jean-Luc Mélenchon comme le « vote utile » à gauche pour cette présidentielle.

Quelques réactions de socialistes obtenues ce mercredi soir témoignent de l’agacement voire de l’agressivité de proches d’Anne Hidalgo à l’égard de Ségolène Royal.

« Les propos de la Ségolène Royal d’aujourd’hui auraient été condamnés par celle de 2007″, juge pour BFMTV le sénateur Rachid Temal, qui « regrette l’attitude » de l’ancienne ministre de l’Environnement. « Elle a toujours porté la question des femmes en politique et défendu la bienveillance. Pourquoi est-ce qu’elle ne se l’applique pas à elle-même? », s’interroge-t-il.

« Capable de dire une chose et une autre à 15 jours d’intervalle »

Patrick Mennucci est moins tendre avec l’ancienne candidate socialiste. L’ancien député qualifie ses propos de « complètement stupides », « mal placés » et même « malvenus ». « Jean-Luc Mélenchon est à l’opposé de ce qu’elle pense », estime l’ancien élu marseillais. Dans l’entourage de la candidate socialiste, on ne veut pas accorder une trop grande importance à ces propos.

« Ségolène Royal est capable de dire une chose et une autre à 15 jours d’intervalle », confie un proche d’Anne Hidalgo à BFMTV.

Un cadre du parti s’étonne également de sa sortie sur Jean-Luc Mélenchon. « L’alignement sur Pékin et sur Moscou, ce n’est pas la gauche », affirme-t-il, « C’est qui le bon à droite, alors, si on fait selon les sondages? »

Présidentielle 2022: Ségolène Royal enfonce Hidalgo !

Présidentielle 2022: Ségolène Royal enfonce Hidalgo !

Si il y en a une qui a la haine très tenace, c’est bien Ségolène Royal. L’intéressée n’a jamais digéré sa défaite aux présidentielles faces à Sarkozy. Elle n’a jamais admis qu’on se prive des énormes compétences qu’elle s’attribue. Aussi depuis ce temps-là , elle consacre surtout son temps son temps politique à la démolition de la concurrence. Cette fois, elle tire sur quelqu’un qui est pratiquement déjà morte à savoir Anne Hidalgo en lui conseillant de se retirer des présidentielles. En réalité, Ségolène Royal n’a jamais renoncé à l’idée même de se représenter un jour et préfère sans doute le néant socialiste total ( vers lequel on se dirige) au choix d’une autre personnalité telle.

« Il faut qu’elle se désiste pour un des deux candidats qui est devant elle », a estimé vendredi 10 décembre l’ancienne candidate socialiste à l’élection présidentielle de 2007, qui s’est également dite prête à « prendre [ses] responsabilités » en cas de primaire. Bref le dernière coup de poignard dans le dos en déclarant notamment: « Elle a envie de se retirer, elle ne sait pas trop comment, mais [sa proposition] n’est pas respectueuse des autres », a fustigé Ségolène Royal, qui a ajouté : « Jean-Luc Mélenchon, il a fait un travail, il a été excellent dans son meeting, ses équipes ont travaillé, il est lancé dans cette campagne. Yannick Jadot, il est passé par une primaire, qui n’a pas été simple. Ils ont fait le job, ils ont fait le travail. On ne peut pas d’un coup leur demander de décrocher pour un changement d’avis. »

Ségolène Royal ne ferme toutefois pas la porte à une candidature à une hypothétique primaire. « J’ai toujours dit, y compris à la direction du PS, que j’étais disponible si on venait me chercher », a-t-elle certifié, assurant qu’elle prendrait « [ses] responsabilités » si « [son] nom sortait ».

Sénatoriales: Ségolène Royal balayée

Sénatoriales: Ségolène Royal balayée

 

De toute évidence il y a un phénomène d’usure chez Ségolène Royal qui vient de recevoir une claque sérieuse lors de l’élection sénatoriale des Français de l’étranger. Ségolène n’avait pas reçu le soutien officiel du parti socialiste mais avait maintenu cependant sa candidature. :  Elle n’a en tout recueilli que 11 voix sur 533 possibles dans cette élection où les députés de l’étranger, les conseillers des Français de l’étranger et les délégués consulaires votaient.

6 des 12 sièges des sénateurs représentant les Français établis hors de France qui auraient dû être renouvelés en septembre dernier, lors du renouvellement par moitié du Sénat. Leur élection avait été reportée en raison de la crise sanitaire.
Deux des trois sortants qui se représentaient ont été réélus : Christophe-André Frassa (Les Républicains – liste « Ensemble, la Droite et les Indépendants pour les Français de l’étranger ​) et Olivier Cadic (centriste, liste « Libres et Indépendants »).A également été élu à droite l’ancien sénateur LR Jean-Pierre Bansard (liste « La voix des Français de l’étranger »), dont l’élection en 2017 avait été annulée par le Conseil constitutionnel.

Au final, la droite perd un siège. Jacky Deromedi (LR) n’a pas été réélue, tandis que Robert del Picchia (LR) ne se représentait pas.

Sénat 2021 : Ségolène Royal se présente contre le PS

Sénat 2021 : Ségolène Royal se présente contre le PS

Faute d’avoir était choisie par le parti comme candidate au Sénat comme représentante des Français de l’étranger, Ségolène Royal a décidé de se passer de l’étiquette PS.

Officiellement le parti socialiste a choisi comme candidat Yan Chantrel, élu PS à l’Assemblée des Français de l’étranger -

Progressivement le parti socialiste débarrasse donc de ces leaders connus comme par exemple Ségolène Royal mais aussi Arnaud Montebourg. Ce dernier a lui aussi choisi de se présenter sans la bénédiction du parti socialiste à l’élection présidentielle de 2022.

Ségolène Royal n’a sans doute pas toutes les vertus mais elle avait l’avantage d’abord d’être connue ensuite d’avoir une certaine épaisseur politique. Dernière observation le parti socialiste a encore choisi fonctionnaire pour le représenter .

Ségolène Royal : renaissance au Sénat !

Ségolène Royal : renaissance au Sénat !

 

 Il faut croire que la politique est une sorte de drogue douce certes moins dangereuse que d’autres mais dont l’addiction ne peut être contestée. Pour preuve,  Ségolène Royal âgée de presque 70 ans envisage une candidature au Sénat au titre des Français de l’étranger. Bref celle qui a déjà accumulé nombre de responsabilités -et de pensions qui l’accompagnent- pourra ainsi tranquillement être assurée d’ un plan de charge politique jusqu’à presque 80 ans dans le confortable palais du Luxembourg qui abrite les sénateurs.

 

En plus sa liste sera citoyenne déclare-t-elle. On voit mal ce qui peut être citoyen dans un mode d’élection indirecte où ce sont les grands élus qui s’arrangeant en famille pour élire des sénateurs sans jamais presque rendre compte d’ailleurs à leurs  électeurs.

 

On  ne peut être que dubitatif devant cette soif jamais assouvie de responsabilité et de pouvoir d’une responsable qui aura donc passé toute sa vie dans des fonctions politiques et qui pourtant s’affirme comme l’égérie d’un mouvement appelé désir d’avenir. À 70 ou 80 ans, la prétention peut paraître un peu obsolète.

 

Elections municipales : Ségolène Royal contre un report en automne

Elections municipales : Ségolène Royal contre un report en automne

Ségolène Royal accuse le gouvernement d’espérer un retour en grâce électorale à l’automne pour organiser  le second tour des municipales. Elle critique donc fortement cette perspective et réclame que le deuxième tour s’effectue en juin. Il est certain que le gouvernement est particulièrement embarrassé pour fixer la date du second tour tellement le parti au pouvoir, la république en marche, a subi une telle défaite. Les  sondages sont toujours aussi défavorables au gouvernement d’où sans doute l’espoir que la crise sanitaire s’améliorant ,l’opinion sera moins sévère à l’égard du parti de macro,. Selon Ségolène Royal, l’exécutif réfléchirait pour les municipales «à une date la plus éloignée possible, espérant un retour en grâce électorale et une annulation du premier tour». «On ne veut pas croire à cette rumeur tant elle serait contraire aux intérêts du pays qui a besoin de sécurité et de stabilité de ses élus de première ligne», indique-t-elle. Ségolène Royal espère au moins «que cette fois les maires seront consultés sur la date et les modalités car ils sont les mieux à même de dire si la protection sanitaire des électeurs et des dévoués membres des bureaux de vote, assesseurs et employés municipaux, est garantie.»

La justice contre Ségolène Royal….. et pour Macron dans l’affaire Alstom ?

La justice contre  Ségolène Royal….. et pour Macron dans l’affaire Alstom ?

 

 

Il est pour le moins curieux que le parquet national financier ait mis autant de précipitations à se mobiliser pour lancer une enquête sur les conditions d’utilisation de trois collaborateurs de Ségolène Royal dans sa fonction d’ambassadrice des pôles. En fait, une utilisation insignifiante voire nulle quand des dérives d’autres responsables concernent  des enjeux financiers et économiques autrement plus importants . On se demande par exemple où en est l’enquête  visant Emmanuel Macon très impliqué dans la vente scandaleuse des turbines d’Alstom aux Américains. Emmanuel Macron a donné le feu vert au deal, le 5 novembre 2014, alors qu’il était ministre de l’Économie. Le député LR Olivier Marleix a même soupçonné un « pacte de corruption » qui aurait pu, dans cette affaire, bénéficier à l’actuel locataire de l’Élysée. Une enquête est aujourd’hui menée par le Parquet national financier (PNF), qui doit lever le voile sur le rôle d’Emmanuel Macron. En outre, le ministère de la Justice américaine (DoJ) est soupçonné d’avoir mené une enquête pour corruption à l’encontre d’Alstom (qui s’est soldée par une amende de 772 millions de dollars) pour favoriser la prise de contrôle de l’entreprise. Notons au passage que pour favoriser l’opération avocat et banquiers d’affaires ont empoché 300 millions de dollars! Un véritable affaire de corruption et de détournement de biens sociaux. C’est ce que soutient Frédéric Pierucci, un ancien dirigeant du groupe, qui a passé deux ans en prison aux États-Unis dans le cadre de cette affaire. « Ce n’est pas une conjecture, les preuves matérielles sont là », canardait-il en janvier 2019 dans un entretien à Marianne.

 

Ségolène Royal n’est certes pas sans reproche vis à vis de ses  prises de position. On peut à juste titre la critiquer de ce point de vue. Elle a en effet souvent changé de d’orientations  et n’a jamais produit de projet politique très clair et très cohérent. Pour autant attaquer Ségolène Royal à propos de l’utilisation de trois collaborateurs constitue une attaque assez minable. S’il fallait en effet mettre en accusation tous les gaspillages dans l’appareil d’État dont beaucoup profitent aux politiques, la liste serait trop longue à énumérer. Ce sont des centaines et des milliers de postes qui ne servent pas à grand-chose, à rien parfois ou qui sont au service   des responsables politiques à temps plein ou à temps partiel. Il y a quelque chose de détestable dans la justice à attaquer des personnalités quand elles sont dans l’opposition.

Parquet national financier pour Royal et pour Macron dans l’affaire Alstom ?

Parquet national financier pour Royal et pour Macron dans l’affaire Alstom ?

 

 

Il est pour le moins curieux que le parquet national financier ait est mis autant de précipitations à se mobiliser pour lancer une enquête sur les conditions d’utilisation de trois collaborateurs de Ségolène Royal dans sa fonction d’ambassadrice des pôles. En fait, une utilisation insignifiante voire nulle quand des dérives d’autres responsables concernent  des enjeux financiers et économiques autrement plus importants . On se demande par exemple où en est l’enquête  visant Emmanuel Macon très impliqué dans la vente scandaleuse des turbines d’Alstom aux Américains. Emmanuel Macron a donné le feu vert au deal, le 5 novembre 2014, alors qu’il était ministre de l’Économie. Le député LR Olivier Marleix a même soupçonné un « pacte de corruption » qui aurait pu, dans cette affaire, bénéficier à l’actuel locataire de l’Élysée. Une enquête est aujourd’hui menée par le Parquet national financier (PNF), qui doit lever le voile sur le rôle d’Emmanuel Macron. En outre, le ministère de la Justice américaine (DoJ) est soupçonné d’avoir mené une enquête pour corruption à l’encontre d’Alstom (qui s’est soldée par une amende de 772 millions de dollars) pour favoriser la prise de contrôle de l’entreprise. C’est ce que soutient Frédéric Pierucci, un ancien dirigeant du groupe, qui a passé deux ans en prison aux États-Unis dans le cadre de cette affaire. « Ce n’est pas une conjecture, les preuves matérielles sont là », canardait-il en janvier 2019 dans un entretien à Marianne.

Ségolène Royal n’est certes pas sans reproche vis à vis de ses  prises de position.. On peut à juste titre la critiquer de ce point de vue. Elle a en effet souvent changé de d’orientations  et n’a jamais produit de projet politique très clair et très cohérent. Pour autant attaquer Ségolène Royal à propos de l’utilisation de trois collaborateurs constitue une attaque assez minable. S’il fallait en effet mettre en accusation tous les gaspillages dans l’appareil d’État dont beaucoup profitent aux politiques, la liste serait trop longue à énumérer. Ce sont des centaines et des milliers de postes qui ne servent pas à grand-chose, à rien parfois ou qui servent  des responsables politiques à temps plein ou à temps partiel.. Il y a quelque chose de détestable dans la justice à attaquer des personnalités quand elles sont dans l’opposition.

Limogeage de Ségolène Royal : un nouveau tremplin politique ?

Limogeage de Ségolène Royal : un nouveau tremplin politique ?

 

A priori, on peut s’étonner du battage médiatique à propos du limogeage de Ségolène Royal en tant qu’ambassadrice des pôles. D’abord parce que ce poste est assez anecdotique et qu’il peut être facilement tenu par un haut fonctionnaire du ministère des affaires étrangères actuellement insuffisamment inoccupé ! La vraie raison de ce renvoi se comprend parce que Macron a évidemment deviné que l’intéressée vise à occuper un espace politique actuellement libre entre la gauche radicale et la république en marche.

Depuis des mois d’ailleurs Ségolène Royal prépare cette posture  et a même déclaré qu’elle pourrait le moment venu se décider à présenter une nouvelle candidature en 2022. Macron et le très zélé parquet national financier veulent priver Ségolène Royal d’un porte-voix. Le problème c’est qu’il n’est pas facile de faire taire une personnalité aussi  forte aussi imprévisible et incontrôlable. On comprend que Ségolène puisse agacer le pouvoir comme d’ailleurs certains électeurs.

D’un certain point de vue,  elle est l’archétype des oligarques qui passent toute leur vie en politique et qui ont transformé la fonction électorale en métier. Il est vrai qu’à l’inverse, les candidats sortis de nulle part , Macron y compris,  n’ont guère fait la démonstration de leur légitimité et de leur efficacité. Le résultat de la sanction vis-à-vis de Ségolène Royal risque d’être assez déplorable pour le pouvoir car on donne à l’intéressé e des raisons d’instrumentaliser la répression politique dont elle est victime surtout en plus en impliquant le parquet national financier qui ne se grandit pas dans l’affaire en se comportant  comme un courtisan zélé du  pouvoir en place.

 

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