Archive pour le Tag 'popularité'

Sondage popularité : Michel Barnier à 57 %

Sondage popularité : Michel Barnier à 57 %

Sans doute l’effet de la nouveauté, aussi l’absence d’orientations qui fâchent permettent à Michel Barnier de recueillir 57 % de soutien dans l’opinion.

Pour l’instant, le premier ministre devance trois de ses prédécesseurs : Édouard Philippe (55%), Gabriel Attal (54%) et Jean Castex (54%). Un autre ancien locataire de Matignon, Bernard Cazeneuve recueille de son côté 48% d’opinions positives. Comme la ministre de la Culture démissionnaire Rachida Dati, ou l’ancien président François Hollande.

 

 

Popularité : Attal devant Édouard Philippe

Popularité : Attal devant Édouard Philippe

En matière de popularité, Gabriel Attal détrône Edouard Philippe; Le Premier ministre sortant fait son retour ce mois-ci dans le classement des personnalités d’Elabe pour « Les Echos » et décroche la première place juste devant le maire du Havre.

 

Gabriel Attal prend la tête ce mois-ci du classement des personnalités d’Elabe pour « Les Echos », avec 44 % d’image positive auprès des Français, dont 10 % d’image très positive. L’ancien Premier ministre, désormais président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée , coiffe au poteau Edouard Philippe qui lui-même après son propre départ de Matignon trustait sans discontinuer depuis août 2020 la première place du classement.

Là, le maire du Havre et candidat à la présidentielle perd 2 points, à 43 % d’image positive, et se retrouve, pour la première fois, sur la deuxième marche du podium, 1 point derrière Gabriel Attal. Il semble bien que sa déclaration officielle de candidature pour les présidentielles ait été jugé un peu prématurée et hors sujet par l’opinion.

Popularité : Barnier à 34% d’opinions favorables

Popularité : Barnier à 34% d’opinions favorables

Michel Barnier enregistre 34% d’opinions favorables ( Macron à 30%). Il y a «un tiers des sondés en sa faveur, un tiers contre et un tiers qui ne se prononcent pas, soit parce qu’ils ne le connaissent pas, soit parce qu’ils sont attentistes», explique Brice Teinturier, directeur général délégué d’Ipsos, dans les colonnes de La Tribune Dimanche.

Michel Barnier bénéficie de 64% d’opinions favorables chez les sympathisants des Républicains et chez ceux du camp macroniste. Cote s’abaissant à 29% pour les sympathisants du Rassemblement national et du Parti socialiste et à 18-19% chez ceux de La France insoumise et des Écologistes. Sondage effectué auprès d’un échantillon de 1000 personnes représentatif de la population française, âgée de 18 ans et plus, interrogées du 11 au 13 septembre (méthode des quotas).

Sondage popularité de la gauche: baisse générale

 

Sondage popularité de la gauche: baisse générale

Malgré la nomination d’un candidat unique pour le poste de Premier ministre, tous les leaders de la gauche enregistrent une très forte baisse de popularité. La candidature de Lucie Castets a tendance à faire plouf. D’autant que l’intéressée s’est surtout signalé par sa volonté d’augmenter la fiscalité notamment des expatriés et d’ouvrir la page de sa vie intime dontt en vérité tout le monde se moque. Résultat 15 % d’image positive , une image plutôt psychorigide et bobo de gauche.

À noter que la baisse affecte tous les autres leaders de la gauche. Rien d’étonnant à cela sans doute quand ils promettent 15 milliards de dépenses supplémentaires par an alors qu’il faudrait faire 15 milliards d’économies !

D’après une enquête d’Elabe, la popularité des leaders du nouveau Front populaire s’écroule même au sein des électeurs de la gauche. Fabien Roussel, tête d’affiche avec le plus d’« image positive » dans cet électorat, chute de 8 points sur un mois, à 51 % d’image positive. Raphaël Glucksmann, deuxième, est en recul de 10 points d’un mois sur l’autre, à 49 %. François Ruffin, lui, chute de 11 points, à 45 %, et l’ancien président François Hollande de 14 points, à 43 %. Derrière eux, le socialiste Olivier Faure (-8 points), l’écologiste Marine Tondelier (-9 points) et l’Insoumis Manuel Bompard (-13 points) subissent tous le même sort.

La dynamique positive observée le mois dernier, et l’espoir né avec la formation du Nouveau Front populaire et l’accord programmatique entre les formations de l’alliance, « est quasiment effacée », observe Vincent Thibault, directeur d’études chez Elabe.

 

Popularité de la gauche: baisse générale

Popularité de la gauche: baisse générale

Malgré la nomination d’un candidat unique pour le poste de Premier ministre, tous les leaders de la gauche enregistrent une très forte baisse de popularité. La candidature de Lucie Castets a tendance à faire plouf. D’autant que l’intéressée s’est surtout signalé par sa volonté d’augmenter la fiscalité des expatriés et d’ouvrir la page de sa vie intime donc en vérité tout le monde se moque. Résultat 15 % d’image positive , une image plutôt psychorigide et bobo de gauche.

À noter que la baisse affecte tous les autres leaders de la gauche. Rien d’étonnant à cela sans doute quand ils promettent 15 milliards de dépenses supplémentaires par an alors qu’il faudrait faire 15 milliards d’économies !

D’après une enquête d’Elabe, la popularité des leaders du nouveau Front populaire s’écroule même au sein des électeurs de la gauche. Fabien Roussel, tête d’affiche avec le plus d’« image positive » dans cet électorat, chute de 8 points sur un mois, à 51 % d’image positive. Raphaël Glucksmann, deuxième, est en recul de 10 points d’un mois sur l’autre, à 49 %. François Ruffin, lui, chute de 11 points, à 45 %, et l’ancien président François Hollande de 14 points, à 43 %. Derrière eux, le socialiste Olivier Faure (-8 points), l’écologiste Marine Tondelier (-9 points) et l’Insoumis Manuel Bompard (-13 points) subissent tous le même sort.

La dynamique positive observée le mois dernier, et l’espoir né avec la formation du Nouveau Front populaire et l’accord programmatique entre les formations de l’alliance, « est quasiment effacée », observe Vincent Thibault, directeur d’études chez Elabe.

 

Popularité : la chute des leaders de la gauche

 

Malgré la nomination d’un candidat unique pour le poste de Premier ministre, tous les leaders de la gauche enregistrent une très forte baisse de popularité. La candidature de Lucie Castets a tendance à faire plouf. D’autant que l’intéressée s’est surtout signalé par sa volonté d’augmenter la fiscalité des expatriés et d’ouvrir la page de sa vie intime donc en vérité tout le monde se moque. Résultat 15 % d’image positive , une image plutôt psychorigide et bobo de gauche.

À noter que la baisse affecte tous les autres leaders de la gauche. Rien d’étonnant à cela sans doute quand ils promettent 15 milliards de dépenses supplémentaires par an alors qu’il faudrait faire 15 milliards d’économies !

D’après une enquête d’Elabe, la popularité des leaders du nouveau Front populaire s’écroule même au sein des électeurs de la gauche. Fabien Roussel, tête d’affiche avec le plus d’« image positive » dans cet électorat, chute de 8 points sur un mois, à 51 % d’image positive. Raphaël Glucksmann, deuxième, est en recul de 10 points d’un mois sur l’autre, à 49 %. François Ruffin, lui, chute de 11 points, à 45 %, et l’ancien président François Hollande de 14 points, à 43 %. Derrière eux, le socialiste Olivier Faure (-8 points), l’écologiste Marine Tondelier (-9 points) et l’Insoumis Manuel Bompard (-13 points) subissent tous le même sort.

La dynamique positive observée le mois dernier, et l’espoir né avec la formation du Nouveau Front populaire et l’accord programmatique entre les formations de l’alliance, « est quasiment effacée », observe Vincent Thibault, directeur d’études chez Elabe.

 

Sondage popularité: Macron encore en baisse

Sondage popularité: Macron encore en baisse

 

La cote de confiance d’Emmanuel Macron demeure à l’un de ses niveaux les plus bas depuis 2017. Après une chute de 5 points le mois dernier, elle regagne un petit point ce mois-ci à 25 % seulement, dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Un sondage réalisé avant la publication mercredi après-midi de la lettre du président de la République aux Français .

Emmanuel Macron conserve néanmoins la confiance des trois quarts de ses électeurs du premier tour de l’élection présidentielle de 2022. « Il est replié sur son socle, relève Bernard Sananès, le président d’Elabe. Il n’est pas unanime mais le niveau de confiance reste élevé, à 74 % ». Signe d’une déception et d’une incompréhension face à la dissolution, le chef de l’Etat a reculé de 15 points en deux mois auprès des cadres, à 30 %.

SONDAGE popularité – Macron en baisse

SONDAGE popularité  – Macron en baisse

C’est son plus bas niveau depuis 2022, un seuil déjà atteint après la réforme des retraites l’an dernier ainsi qu’en début d’année. La cote de confiance d’Emmanuel Macron perd 2 points ce mois-ci dans le baromètre Elabe pour « Les Echos », à 25 %.

« L’exécutif aborde la campagne des élections européennes dans une situation qui n’est pas facile », relève Bernard Sananès, le président d’Elabe. « Il n’y a pas d’effet drapeau autour de l’Ukraine, il n’y a pas de bénéfice de la nomination de Gabriel Attal à Matignon », souligne-t-il.

Le chef de l’Etat recule dans toutes les catégories, mais chez les plus de 65 ans, cruciaux à chaque scrutin, il atteint son score le plus bas depuis le début de son deuxième quinquennat, à 27 % (une chute de 9 points en un mois). En cause ? L’inquiétude sur l’Ukraine mais aussi et surtout, le déficit .

« La crédibilité économique a joué dans ce qui a arrimé une partie des retraités de droite au macronisme. Là, il y a un peu une rupture de promesse », explique le sondeur. Dans les questions ouvertes auprès des sondés, reviennent la « crainte de la guerre, la dette mais aussi les promesses non tenues sur l’environnement », indique-t-il.

Gabriel Attal, lui, échappe un peu à la foudre. Depuis son arrivée à Matignon, il a une cote de confiance stable, à 32 %, très au-dessus d’Emmanuel Macron. « Il faut lui laisser le temps de faire ses preuves », relèvent les verbatims au sujet du Premier ministre qui bénéficie d’une image de dynamisme, de volontarisme, de sincérité et d’un sens de l’efficacité, même si les Français attendent de voir, relève Bernard Sananès et que des critiques se font jour sur « une dérive libérale » et une « perte des valeurs sociales ».

L’écart entre Gabriel Attal et Emmanuel Macron est encore plus grand auprès des retraités, « ce qui est clé dans la campagne des élections européennes pour la fixation de l’électorat de centre droit », souligne le politologue. « Dans ces conditions, sur la stratégie de la campagne, on peut se demander qui sera le plus audible, de Gabriel

Plus lourdement sanctionné encore qu’Emmanuel Macron sur la question du déficit et de la dette, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances depuis 2017, dégringole de 5 points ce mois-ci dans le classement des personnalités, à 26 % d’image positive, en cinquième position du classement. Chez les électeurs d’Emmanuel Macron, il est certes sur le podium, ex aequo avec Gérald Darmanin, 20 points derrière Edouard Philippe, mais il chute ce mois-ci de 9 points, à 57 % d’image positive.

Autre poids lourd du gouvernement en perte de vitesse dans le classement des personnalités, Gérald Darmanin est à 26 % d’image positive auprès des Français (-1 point) et 57 % auprès des électeurs d’Emmanuel Macron (-4 points). « Pour l’instant, les opérations places nette XXL contre la drogue rencontrent plutôt le scepticisme des Français, ils attendent de voir. Cela dit la difficulté du gouvernement à faire valoir son action », pointe le président d’Elabe.

SONDAGE popularité – Macron en baisse

SONDAGE popularité – Macron en baisse

C’est son plus bas niveau depuis 2022, un seuil déjà atteint après la réforme des retraites l’an dernier ainsi qu’en début d’année. La cote de confiance d’Emmanuel Macron perd 2 points ce mois-ci dans le baromètre Elabe pour « Les Echos », à 25 %.

« L’exécutif aborde la campagne des élections européennes dans une situation qui n’est pas facile », relève Bernard Sananès, le président d’Elabe. « Il n’y a pas d’effet drapeau autour de l’Ukraine, il n’y a pas de bénéfice de la nomination de Gabriel Attal à Matignon », souligne-t-il.

Le chef de l’Etat recule dans toutes les catégories, mais chez les plus de 65 ans, cruciaux à chaque scrutin, il atteint son score le plus bas depuis le début de son deuxième quinquennat, à 27 % (une chute de 9 points en un mois). En cause ? L’inquiétude sur l’Ukraine mais aussi et surtout, le déficit .

« La crédibilité économique a joué dans ce qui a arrimé une partie des retraités de droite au macronisme. Là, il y a un peu une rupture de promesse », explique le sondeur. Dans les questions ouvertes auprès des sondés, reviennent la « crainte de la guerre, la dette mais aussi les promesses non tenues sur l’environnement », indique-t-il.

Gabriel Attal, lui, échappe un peu à la foudre. Depuis son arrivée à Matignon, il a une cote de confiance stable, à 32 %, très au-dessus d’Emmanuel Macron. « Il faut lui laisser le temps de faire ses preuves », relèvent les verbatims au sujet du Premier ministre qui bénéficie d’une image de dynamisme, de volontarisme, de sincérité et d’un sens de l’efficacité, même si les Français attendent de voir, relève Bernard Sananès et que des critiques se font jour sur « une dérive libérale » et une « perte des valeurs sociales ».

L’écart entre Gabriel Attal et Emmanuel Macron est encore plus grand auprès des retraités, « ce qui est clé dans la campagne des élections européennes pour la fixation de l’électorat de centre droit », souligne le politologue. « Dans ces conditions, sur la stratégie de la campagne, on peut se demander qui sera le plus audible, de Gabriel

Plus lourdement sanctionné encore qu’Emmanuel Macron sur la question du déficit et de la dette, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances depuis 2017, dégringole de 5 points ce mois-ci dans le classement des personnalités, à 26 % d’image positive, en cinquième position du classement. Chez les électeurs d’Emmanuel Macron, il est certes sur le podium, ex aequo avec Gérald Darmanin, 20 points derrière Edouard Philippe, mais il chute ce mois-ci de 9 points, à 57 % d’image positive.

Autre poids lourd du gouvernement en perte de vitesse dans le classement des personnalités, Gérald Darmanin est à 26 % d’image positive auprès des Français (-1 point) et 57 % auprès des électeurs d’Emmanuel Macron (-4 points). « Pour l’instant, les opérations places nette XXL contre la drogue rencontrent plutôt le scepticisme des Français, ils attendent de voir. Cela dit la difficulté du gouvernement à faire valoir son action », pointe le président d’Elabe.

Popularité Macron : 68 % n’ont pas confiance

Popularité Macron : 68 % n’ont pas confiance
27% (+2 points) des Français interrogés par Elabe pour Les Echos accordent leur confiance au président de la République pour affronter efficacement les problèmes qui se posent au pays. Malgré cette hausse, la défiance exprimée à l’égard du président de la République reste élevée : 68% (-1) des Français affirment n’avoir pas confiance en lui, dont 42% (stable) « pas du tout confiance ».

 

32% des Français font confiance à Gabriel Attal, une mesure stable sur un mois. Dans le même temps, la défiance à son égard progresse de 3 points et s’établit à 60%. 30% (+1 point) des Français n’ont « pas du tout confiance » en lui. Par ailleurs, 8% des Français ne se prononcent pas (-3 points).

 

Edouard Philippe domine toujours le classement tandis que Jordan Bardella confirme sa progression
Edouard Philippe progresse en tête du classement (43%, +1). Pour la première fois, Jordan Bardella (34%, +1 point) occupe la deuxième place du podium et obtient un soutien supérieur à Marine Le Pen, troisième (33%, -1 point). Derrière Bruno Le Maire (31%, +2 points), Gérald Darmanin est cinquième et bénéficie d’une hausse de 3 points (27%). Parmi ceux qui ont porté la constitutionnalisation de l’IVG au sein de la majorité, Éric Dupond-Moretti obtient la plus forte progression du mois du mars et se positionne 7ème (26%, +7 points) et Yaël Braun-Pivet obtient 16% de bonne image (soit 4 points de plus qu’en janvier). En charge de l’agriculture au gouvernement, Agnès Pannier–Runacher en obtient 10% et Marc Fesneau 9%. Ces trois derniers membres de la majorité restent peu connus : entre 55% et 61% des Français ne se prononcent pas.

Parmi les autres têtes de listes aux élections européennes, Marion Maréchal obtient 24% (-2 points), Raphaël Glucksmann 16% (stable), Manon Aubry 15% (+2 points), François Xavier-Bellamy 12% (+3 points).

Auprès des électeurs de gauche, François Ruffin s’empare de la première place (52%, +3 points) et devance Fabien Roussel (49%, -1 point) et François Hollande (48%, -3 points). Les têtes de listes aux européennes enregistrent de bonnes dynamiques : Manon Aubry progresse de 10 points (42%) et Raphaël Glucksmann de 6 points (37%, +12 points en deux mois). Sandrine Rousseau (30%, +10 points, après -5 points) et Éric Dupond-Moretti (25%, +9 points) enregistrent également de très fortes progressions en mars. Jean-Luc Mélenchon est cinquième et recule de 3 points (39%) : c’est sa mesure la plus basse depuis mai 2022.

Auprès des électeurs d’Emmanuel Macron, le podium est composé d’Edouard Philippe (79%, +1 point), de Bruno Le Maire (66%, stable) et de Gérald Darmanin (61%, +5 points). Éric Dupond-Moretti enregistre la plus forte progression de mars auprès de cette population (56%, +10 points). Plus loin dans le classement, Gérard Larcher connait lui aussi une forte hausse (36%, +7 points). Yaël Braun-Pivet obtient 36% et se classe 10ème, Agnès Pannier-Runacher obtient 23% et se classe 16ème, juste devant Marc Fesneau (22%).

 

Popularité–Sondage popularité : Attal à 37 % devant Macron à 30%

Popularité–Sondage popularité : Attal à 37 % devant Macron à 30%

Les débuts de Gabriel Attal à Matignon sont jugés favorablement par 37 % des Français, quand l’action d’Emmanuel Macron est perçue ainsi par 30 % d’entre eux selon le premier baromètre mensuel Ipsos-La Tribune Dimanche.

Si le chef de l’État gagne trois points en un mois (« ce qui signifie qu’il a plutôt réussi son coup », avance Brice Teinturier, le directeur général délégué d’Ipsos), le Premier ministre fait nettement mieux que lui chez les sympathisants LR (53 % ont un jugement positif contre 31 % pour le président) comme chez ceux du RN (32 % contre 13 %).
Édouard Philippe est lui talonné par Gabriel Attal. 73 % des sympathisants de la majorité verraient d’un bon œil la victoire de l’un comme de l’autre en 2027.

Du côté des oppositions, la dynamique actuelle que connaît le RN se confirme. Marine Le Pen est jugée la meilleure opposante de droite par 28 % des personnes interrogées, suivie de Jordan Bardella (16 %). La leader du Rassemblement national est également celle dont l’accession à l’Élysée satisferait le plus de Français (36 %).

Politique-Sondage popularité : Attal à 37 % devant Macron à 30%

Politique-Sondage popularité : Attal à 37 % devant Macron à 30%

Les débuts de Gabriel Attal à Matignon sont jugés favorablement par 37 % des Français, quand l’action d’Emmanuel Macron est perçue ainsi par 30 % d’entre eux selon le premier baromètre mensuel Ipsos-La Tribune Dimanche.

Si le chef de l’État gagne trois points en un mois (« ce qui signifie qu’il a plutôt réussi son coup », avance Brice Teinturier, le directeur général délégué d’Ipsos), le Premier ministre fait nettement mieux que lui chez les sympathisants LR (53 % ont un jugement positif contre 31 % pour le président) comme chez ceux du RN (32 % contre 13 %).
Édouard Philippe est lui talonné par Gabriel Attal. 73 % des sympathisants de la majorité verraient d’un bon œil la victoire de l’un comme de l’autre en 2027.

Du côté des oppositions, la dynamique actuelle que connaît le RN se confirme. Marine Le Pen est jugée la meilleure opposante de droite par 28 % des personnes interrogées, suivie de Jordan Bardella (16 %). La leader du Rassemblement national est également celle dont l’accession à l’Élysée satisferait le plus de Français (36 %).

Sondage popularité : Attal à 37 % devant Macon à 30%

Sondage popularité : Attal à 37 % devant Macon à 30%

Les débuts de Gabriel Attal à Matignon sont jugés favorablement par 37 % des Français, quand l’action d’Emmanuel Macron est perçue ainsi par 30 % d’entre eux selon le premier baromètre mensuel Ipsos-La Tribune Dimanche.

Si le chef de l’État gagne trois points en un mois (« ce qui signifie qu’il a plutôt réussi son coup », avance Brice Teinturier, le directeur général délégué d’Ipsos), le Premier ministre fait nettement mieux que lui chez les sympathisants LR (53 % ont un jugement positif contre 31 % pour le président) comme chez ceux du RN (32 % contre 13 %).
Édouard Philippe est lui talonné par Gabriel Attal. 73 % des sympathisants de la majorité verraient d’un bon œil la victoire de l’un comme de l’autre en 2027.

Du côté des oppositions, la dynamique actuelle que connaît le RN se confirme. Marine Le Pen est jugée la meilleure opposante de droite par 28 % des personnes interrogées, suivie de Jordan Bardella (16 %). La leader du Rassemblement national est également celle dont l’accession à l’Élysée satisferait le plus de Français (36 %).

Politique-Sondage Popularité : Macron encore en recul d’après les « Echos »

Politique-Sondage Popularité : Macron encore en recul d’après les « Echos »

Le président de la République n’entame pas 2024 avec un gros capital dans l’opinion. Sa cote de confiance perd même 1 point en janvier, à 27 %, dans le baromètre mensuel Elabe pour « Les Echos ». Emmanuel Macron ne bénéficie d’aucune dynamique. « Il est encalminé, sans vent dans les voiles, il n’avance plus », constate Bernard Sananès, le président d’Elabe.

Sa cote de confiance évolue dans cet étiage depuis la fin de la réforme des retraites au printemps dernier. Le chef de l’Etat ne parvient pas à se relancer. Ce mois-ci, il regagne certes un peu de terrain dans l’électorat de droite et d’extrême droite, à la faveur notamment de l’adoption de la loi sur l’immigration. Mais il en perd à gauche. « Les effets du ‘en même temps’ », souligne Bernard Sananès.

Sa cote progresse de 3 points chez les cadres, à 35 %, mais elle chute de 8 points, à 19 % seulement, au sein des professions intermédiaires. Son plus bas niveau dans cette catégorie de la population depuis son élection en 2017. Les classes moyennes ont « le sentiment de contribuer mais de ne rien obtenir en retour, les mesures du gouvernement profitant selon elles aux plus riches ou au plus défavorisés », explique le sondeur. Sur fond de dégradation, à leurs yeux, des services publics, en particulier dans les domaines de la santé ou de la sécurité.

Sondage Popularité : Macron encore en recul d’après les « Echos »

Sondage Popularité : Macron encore en recul d’après les « Echos »

Le président de la République n’entame pas 2024 avec un gros capital dans l’opinion. Sa cote de confiance perd même 1 point en janvier, à 27 %, dans le baromètre mensuel Elabe pour « Les Echos ». Emmanuel Macron ne bénéficie d’aucune dynamique. « Il est encalminé, sans vent dans les voiles, il n’avance plus », constate Bernard Sananès, le président d’Elabe.

Sa cote de confiance évolue dans cet étiage depuis la fin de la réforme des retraites au printemps dernier. Le chef de l’Etat ne parvient pas à se relancer. Ce mois-ci, il regagne certes un peu de terrain dans l’électorat de droite et d’extrême droite, à la faveur notamment de l’adoption de la loi sur l’immigration. Mais il en perd à gauche. « Les effets du ‘en même temps’ », souligne Bernard Sananès.

Sa cote progresse de 3 points chez les cadres, à 35 %, mais elle chute de 8 points, à 19 % seulement, au sein des professions intermédiaires. Son plus bas niveau dans cette catégorie de la population depuis son élection en 2017. Les classes moyennes ont « le sentiment de contribuer mais de ne rien obtenir en retour, les mesures du gouvernement profitant selon elles aux plus riches ou au plus défavorisés », explique le sondeur. Sur fond de dégradation, à leurs yeux, des services publics, en particulier dans les domaines de la santé ou de la sécurité.

12345...24