Archive pour le Tag 'popularité'

Sondage popularité : Macron encore en baisse

Sondage popularité : Macron encore en baisse

Le président de la république est en train de payer la facture de l’inflation et de son immobilisme. Ainsi dans le baromètre Ifop-JDD il perd encore 2 points avec seulement 28 % de satisfaits (- 2).
À noter la chute importante de quatre points chez les retraités dont les pensions sont restées bloquées en dépit de l’envolée des prix.

Élisabeth Borne, elle aussi en recul avec 27 % de satisfaits (- 2). Le gouvernement est largement victime de son attentisme concernant la maîtrise de l’inflation. Concernant le dernier épisode relatif à l’augmentation du carburant, il s’est montré particulièrement hypocrite et inefficace. Hypocrite en renvoyant la balle uniquement aux distributeurs de carburant alors que l’État profite largement de cette hausse également puisque la fiscalité est proportionnelle au prix.

En outre alors que le gouvernement et en particulier le ministre de l’économie avait promis une baisse des prix, on assiste au contraire à la prolongation de l’inflation qui touche en particulier également l’alimentaire qui affiche une augmentation de 20 % depuis deux ans. En clair, le retard de pouvoir d’achat sur deux ans pour les ménages et de l’ordre de 10 %

Sondage popularité : recul de Macron et surtout de Borne

Sondage popularité : recul de Macron et surtout de Borne

selon un sondage BVA pour RTL paru jeudi, Macron et surtout Borne commencent à payer la facture de l’inflation et de leur immobilisme. Sans doute, le début d’une chute encore plus grande du fait du mécontentement croissant vis-à-vis des pertes de pouvoir d’achat notamment et aussi d’autres questions comme l’insécurité.

Macon recueille simplement 31 % d’opinions favorables est la première ministre perd cinq points à 28 %

«Sur fond de crise inflationniste», la première ministre retrouve son faible niveau du printemps en pleine crise des retraites, relève l’institut de sondages, tandis que le chef de l’État, s’il résiste mieux, «peine toutefois à retrouver un nouveau souffle».

Enquête réalisée par internet les 20 et 21 septembre selon la méthode des quotas auprès d’un échantillon de 1001 personnes, représentatif de la population française de 18 ans et plus.

Politique–Sondage popularité Macron : encore en baisse

Politique–Sondage popularité Macron : encore en baisse

En dépit de la multiplication de la parole depuis la rentrée sur à peu près tous les sujets, le président connaît encore une nouvelle baisse de popularité. Le président est pris dans ses contradictions notamment concernant l’inflation , le pouvoir d’achat et la fiscalité. Par ailleurs sa grande initiative politique a fait flop .

Selon le baromètre Elabe pour « Les Echos », la cote de confiance d’Emmanuel Macron perd 1 point en septembre, pour s’établir à 28 %. Après un net rebond après la réforme des retraites , elle est sur une pente glissante depuis le début de l’été. « L’activisme politique et médiatique d’Emmanuel Macron se heurte à l’inflation. Il est présent, mais cela n’a pas d’impact car une partie de l’opinion n’entend pas ses messages et attend des mesures pour lutter contre l’inflation », explique Bernard Sananès, le président d’Elabe.

Sondage popularité Macron : toujours plus bas

Sondage popularité Macron : toujours plus bas

En dépit de la multiplication de la parole depuis la rentrée sur à peu près tous les sujets, le président connaît encore une nouvelle baisse de popularité. Le président est pris dans ses contradictions notamment concernant l’inflation , le pouvoir d’achat et la fiscalité. Par ailleurs sa grande initiative politique a fait flop puisqu’il n’en est ressorti à peu près rien.

Selon le baromètre Elabe pour « Les Echos », la cote de confiance d’Emmanuel Macron perd 1 point en septembre, pour s’établir à 28 %. Après un net rebond après la réforme des retraites , elle est sur une pente glissante depuis le début de l’été. « L’activisme politique et médiatique d’Emmanuel Macron se heurte à l’inflation. Il est présent, mais cela n’a pas d’impact car une partie de l’opinion n’entend pas ses messages et attend des mesures pour lutter contre l’inflation », explique Bernard Sananès, le président d’Elabe.

Sondage popularité: Borne à 36%

Sondage popularité: Borne à 36%


Très légère remontée de la popularité de la majorité mais à un très bas niveau.

La confiance envers Emmanuel Macron (+2 pts) et Elisabeth Borne (+1 pt) progresse légèrement en juillet par rapport à juin, selon un sondage Toluna – Harris Interactive pour LCI publié vendredi 28 juillet. En réalité pendant la période des vacances traditionnellement les Français se montrent un peu plus bienveillant vis-à-vis du pouvoir

Environ 42% des Français interrogés dans l’enquête disent ainsi faire confiance au chef de l’Etat, qui était tombé à 39% au printemps durant la crise des retraites, soit le niveau le plus bas de son second quinquennat.

M. Macron fait logiquement le plein auprès de ses propres sympathisants (87%). Il engrange aussi à droite, chez les électeurs LR (56%, +3 pts), au lendemain d’émeutes urbaines durant lesquelles il a martelé la nécessité de garantir «l’ordre, l’ordre, l’ordre».

Récemment confirmée à Matignon, sa première ministre Elisabeth Borne obtient un point de confiance supplémentaire, à 36%, avec également une forte progresssion à droite (55%, +11 pts).

Sondage réalisé par Internet du 25 au 27 juillet auprès d’un échantillon de 1.043 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus (méthode des quotas). Marge d’erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points de pourcentage.

Sondage popularité gouvernement : stable mais bas

Sondage popularité gouvernement : stable mais bas


Politiquement, Emmanuel Macron à 30 % est stable ou en légère hausse au sein des principaux électorats – que ce soit le sien (81%, +2), celui de Jean-Luc Mélenchon (12%, +3) ou de Marine Le Pen (10%, +1) – et progresse auprès des abstentionnistes (24%, +5). Il est en revanche en baisse auprès des électeurs de Valérie Pécresse (28%, -14 points) et d’Éric Zemmour (10%, -7 points).Un sondage toutefois à relativiser car il n’intègre pas totalement les conséquences de la gestion en cours des émeutes des quartiers.

Professionnellement, la côte de confiance du chef de l’Etat évolue peu. En termes d’âge, les plus de 65 ans (39%, +4) sont les plus nombreux à le soutenir. Géographiquement, le président dispose d’une confiance plus élevée auprès des habitants des métropoles : d’abord dans l’agglomération parisienne (35%, +1), puis dans les villes de province de plus de 100 00 habitants (31%, +3) et enfin dans les communes plus petites (entre 26% et 29% selon la taille). C’est néanmoins dans les communes rurales qu’il progresse le plus ce mois-ci (26%, +5).

Un quart des Français accorde leur confiance à la Première ministre, Elisabeth Borne (25%, +1). La défiance des Français à son égard reste néanmoins forte : 66% (+3) d’entre eux ne lui font pas confiance et 43% (+2) pas confiance du tout.

Edouard Philippe progresse de 3 points et consolide sa place de personnalité préférée des Français. Marine Le Pen, Jordan Bardella et Marion Maréchal sont tous trois dans le Top 7. François Hollande est la seule personnalité de gauche à s’insérer dans le haut du classement.

La popularité d’Edouard Philippe reste élevée (44%, +3 points sur un mois et +1 point depuis le début de l’année). Marine Le Pen reste deuxième, mais perd un point en juillet (32%, -1 point) ; elle devance Nicolas Sarkozy (28%, +3 points) et Bruno Le Maire (28%, =), ministre le plus populaire de ce classement. François Hollande progresse de 4 points (28%) et se positionne devant Jordan Bardella (25%, +1) et Marion Maréchal (25%). Fabien Roussel, 8ème, recule de 1 point (24%). Parmi les personnalités qui font leur entrée ou leur retour dans l’observatoire politique, Carole Delga obtient 13% d’image positive (contre 26% d’image négative), Marlène Schiappa 12% (contre 60% négative), Yaël Braun-Pivet 10% (contre 34% négative) et Rima Abdul-Malak 7% (contre 34% négative).

Auprès des électeurs de gauche, Jean-Luc Mélenchon est premier (50%, +2 points) ex-aequo avec François Hollande qui enregistre une forte progression ce mois-ci (50% +12 points après -10 points le mois dernier). François Ruffin est 3ème (46%, +1 point) ; le député de la Somme obtient 21% d’image « très positives », soit quasiment deux fois plus que Jean-Luc Mélenchon (12%), pourtant plus populaire et plus connu. Olivier Faure (31%, +6 points, après -8 points) et Sandrine Rousseau (31%, +11 points, après -7 points) progressent fortement. Carole Delga est 8ème de ce classement (26%), juste devant Bernard Cazeneuve (24%, +5 points).

Sondage popularité Macron : une remontée grâce aux promesses tous azimuts

Sondage popularité Macron : une remontée grâce aux promesses tous azimuts

D’après étude BVA pour RTL publiée vendredi, le président de la République atteint 32% de bonnes opinions. Un regain d’adhésion après une chute liée au contexte social de ces derniers mois. Une remontée provenant surtout des promesses tous azimuts de Macron davantage en campagne électorale qu’en posture de président.

Macron atteint à 32% de popularité. Si le chef de l’État reste environ 10 points en dessous de l’étiage d’il y a un an, lors de sa réélection, il n’est plus à son plus bas niveau depuis la crise des gilets jaunes. À savoir, 26% de bonnes opinions parmi les sondés.

Emmanuel Macron parvient alors à atténuer les jugements les plus négatifs à son égard. Le pourcentage de Français ayant une «très mauvaise» opinion à son égard baisse ainsi de 5 points, de 41 à 36%. Autre donnée positive pour le président, il gagne 15 points auprès de sa base électorale du premier tour de la présidentielle, qui lui est favorable à 85%.

un point noir cependant pour le président et la chef du gouvernement : 67% des Français ont encore une mauvaise opinion du couple exécutif.

Popularité: Pour Macron, la reconquête pourrait être longue, très longue

Popularité: Pour Macron, la reconquête pourrait être longue, très longue

Analyste politique et spécialiste des sondages, Gérard Le Gall, ancien conseiller auprès du Premier ministre Lionel Jospin, fut le seul à prévoir le risque d’une élimination de ce dernier au premier tour de la présidentielle, le 21 avril 2002. Vingt et un ans plus tard, un an après la réélection d’Emmanuel Macron à l’Élysée il revient dans le JDD sur la situation politique.

Fort de vos analyses, et notamment de celles des derniers sondages parus en vue de 2027 et avantageux pour l’extrême droite, considérez-vous que Marine Le Pen peut gagner ?
Même avec l’expérience acquise après trois tentatives, chacune marquant une sensible progression (2012, 2017 et 2022) et une nationalisation électorale, je ne pense pas qu’elle puisse l’emporter en 2027. Toutefois, après 2022, elle est entrée de plain-pied, pour la première fois, dans le champ du possible. Mais il y a loin entre le champ du possible et la certitude de victoire. Mon hypothèse stratégique, qui va guider la lecture du quinquennat, est à ce jour qu’elle atteindra le second tour, mais sans l’emporter. Une remarque néanmoins : si Jean-Luc Mélenchon, excellent candidat mais insuffisamment rassembleur, est au second tour, alors les pesanteurs peuvent jouer pour la candidate du RN.


Qu’est-ce qui est rédhibitoire au RN ?

Il me semble que, malgré des progrès d’image et des tests d’aptitude, la société française ne me paraît pas prête à ce qui s’apparenterait à une forme d’aventure. Principalement en raison des risques accrus, pour la France, en matière de crédibilité économique, des positions du RN sur l’Europe et les grandes questions internationales, et des risques accru, au regard d’un maintien de l’ordre public déjà bien fragile.

. Aujourd’hui, plus de vingt ans plus tard, le pronostic d’une Le Pen au second tour, voire élue, relève presque de l’évidence…
Oui, à l’écoute des médias, il apparaît que l’affaire est déjà jouée ! Je respecte les données sondagières. Je les ai toujours lues avec distanciation, et parfois à l’aune de certains questionnements, avec esprit critique. Les récentes enquêtes que vous évoquez ont été réalisées dans un contexte très particulier, marqué par un net fléchissement du Président, des zizanies multiples au sein de la Nupes, un désarroi de LR et, en contrepoint, une unité sans faille du RN derrière sa cheffe. Quant aux sondages actuels de second tour, pardonnez-moi, mais je n’y accorde pas le moindre crédit.

Emmanuel Macron semble tout de même au fond du trou en popularité…

Depuis 1958, tous les Présidents ont connu des situations difficiles, et parfois une forte altération de leur image. À ce stade, Emmanuel Macron ne connaît pas les niveaux les plus bas de son premier quinquennat, ni de ses deux prédécesseurs, Nicolas Sarkozy et François Hollande. La moyenne de tous les baromètres publiés est de l’ordre de cinq points supérieurs à ses plus bas niveaux, fin 2018, au plus fort de la crise des Gilets jaunes. La relecture des sondages postérieurs aux grands mouvements sociaux – la grève des mineurs de 1963 sous de Gaulle, le mouvement social de 1995 sous Chirac et Juppé, celui de 2010 sous Sarkozy ou encore les Gilets jaunes – montre à chaque fois de forts reflux, puis des phénomènes de rémanence.

Peut-il rebondir ?
Le règlement de la question des retraites n’induira pas un retour de l’opinion à la situation antérieure. Il n’y a pas de fatalité. Mais la reconquête peut être longue. Au Président de trouver le bon rythme, les bons comportements et les bonnes décisions pour amorcer un processus vertueux.

Le macronisme peut-il survivre à Emmanuel Macron ? L’année 2027 sera-t-elle la fin d’une parenthèse ?
Je me méfie des mots en « isme ». Le gaullisme s’arrête le 27 avril 1969, avec le référendum ; le pompidolisme le 2 avril 1974, avec la mort du Président ; le giscardisme, le 10 mai 1981, et ainsi de suite… Si la majorité présidentielle est capable en vue de 2027 de s’unir derrière un candidat, seule condition pour être au second tour, et si ce dernier l’emporte, alors ce serait interprété comme un succès pour Emmanuel Macron, et une forme de survivance.

Le PS peut-il renaître de ses cendres ?
La situation actuelle et son effacement de l’histoire, au regard d’un passé pas si lointain, invite à s’interroger afin de savoir s’il est, comme jadis les radicaux puis le PCF, sur la pente d’un déclin historique, ou au contraire d’une longue phase conjoncturelle atone. Pour l’heure, son dernier congrès a illustré sa division en deux blocs antagonistes, selon que l’on incline vers la Nupes ou vers son émancipation. De récentes initiatives autour de Bernard Cazeneuve pourraient encore exacerber les tensions. Outre l’absence de leadership et d’identité politique affirmée, l’obstacle majeur pour le PS réside dans le fait qu’il a perdu le leadership de la gauche. Et que désormais, le centre de gravité idéologique de celle-ci apparaît depuis 2017 à la gauche de la gauche, chez LFI, le PCF et EELV.

En quoi la Nupes ressemble-t-elle à la gauche plurielle de 1997 ?
La gauche plurielle fut, contrairement à la Nupes, une construction patiente, entre le PCF, le PS et les Verts, pour l’élaboration d’un programme de gouvernement. À l’époque, cette stratégie a permis de l’emporter à l’issue d’une campagne derrière un leader incontesté, Lionel Jospin. La Nupes, partant d’un niveau bas, a gagné beaucoup de sièges, mais est restée très loin de la victoire. En 1997, on ne retrouvait pas de tentation de radicalité, ni de communication fracassante, mais un souci de respect des équilibres entre partenaires politiques. Cependant, malgré une bonne gouvernance et un bon bilan, la gauche plurielle a explosé à travers des candidatures très plurielles, in fine suicidaires, sans respect durant la campagne du travail réalisé en commun pendant cinq ans.

Le 21 avril est-il à vos yeux un accident de l’histoire, ou annonçait-il une évolution politique majeure ?

Oui, ce fut un accident de l’histoire. Il n’a pas été anticipé, et donc pas susceptible d’être régulé. L’événement a montré la puissance de la capacité du rebond du FN, trois ans après un lourd échec aux européennes de 1999. Seul Nicolas Sarkozy parviendra en 2007 à le faire fortement reculer. Quelques années plus tard, le FN, puis le RN, ont repris l’irrésistible marche ascendante. Vingt ans plus tard, un autre accident historique s’est produit à propos des législatives. Pour ma part, j’avais prévenu un ancien conseiller à l’Élysée, fin février 2022, pour lui dire que ces législatives seraient très difficiles. Le petit miracle de productivité électorale de 2017, l’effet de souffle, l’abstentionnisme différentiel pour les concurrents, ne se reproduirait pas cette fois. Il ne pouvait pas avoir une majorité absolue. C’était tout simplement impossible.

Sondage popularité Macron : au plus bas, pourquoi ?

Sondage popularité Macron : au plus bas, pourquoi ?


Avec 72 % % de mécontents dont 47% et seulement 26 % deux satisfaits, Macon atteint un record d’impopularité

D’après le baromètre mensuel Ifop, les Français « satisfaits » d’Emmanuel Macron ne sont plus que 26 % (- 2 en un mois). Il s’agit de son troisième mois consécutif de chute, mais aussi de son troisième plus mauvais niveau depuis son élection en 2017 : il n’avait fait pire qu’en novembre 2018 (25 %) et décembre 2018 (23 %), au plus fort de la crise des Gilets jaunes. Comparé à ses deux prédécesseurs, il n’est pas le plus impopulaire : en 2016, François Hollande avait à trois reprises atteint 14 %. Il l’est en revanche si on confronte son score à celui des chefs d’État ayant réussi leur réélection un an après celle-ci : en avril 1989, François Mitterrand se situait à 46 % et Jacques Chirac, en avril 2003, à 65 %.

Dans l’entourage du président, on compte sur le temps long ( c’est-à-dire l’étouffement progressif de l’opposition à la réforme des retraites) pour redresser la barre de popularité. Plusieurs obstacles cependant vont s’opposer à cette perspective. D’abord il y a au-delà de la question présidentielle le problème plus général du discrédit du système démocratique, un discrédit bien antérieur à Macron mais qu’il a approfondi. Le deuxième obstacle tient à la personnalité même du président qui non seulement suscite le rejet mais aussi la haine du fait d’une personnalité qui dégage surtout du mépris pour les Français. Le dernier obstacle est lié à l’absence d’enracinement du macronisme par ailleurs aussi flou qu’inefficace au point qu’il devrait disparaître avec Macron.

Popularité: Macron plonge encore

Popularité: Macron plonge encore

la popularité de macron perd 7 points en avril dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Sa plus forte baisse depuis son entrée à l’Elysée. Le président paie l’impopularité de la réforme des retraites et le recours au 49.3.

Jamais la baisse n’avait été aussi importante depuis son élection à la présidence de la République, en mai 2017. Dans le baromètre Elabe pour « Les Echos », la cote d’Emmanuel Macron chute de 7 points en avril pour s’établir à 25 %.

C’est un plus bas depuis sa réélection il y a un an, mais ce n’en est pas un depuis qu’il occupe l’Elysée : en décembre 2018, au plus fort de la crise des « gilets jaunes », sa cote de confiance était tombée à 23 %. Il y a aujourd’hui 71 % (+8 points par rapport à mars) des Français qui déclarent « ne pas lui faire confiance », dont 43 % (+6 points) qui disent « ne pas lui faire confiance du tout ».

Popularité: Encore une nouvelle baisse pour Macron


Popularité: Encore une nouvelle baisse pour Macron

la popularité de macron perd 7 points en avril dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Sa plus forte baisse depuis son entrée à l’Elysée. Le président paie l’impopularité de la réforme des retraites et le recours au 49.3.

Jamais la baisse n’avait été aussi importante depuis son élection à la présidence de la République, en mai 2017. Dans le baromètre Elabe pour « Les Echos », la cote d’Emmanuel Macron chute de 7 points en avril pour s’établir à 25 %.

C’est un plus bas depuis sa réélection il y a un an, mais ce n’en est pas un depuis qu’il occupe l’Elysée : en décembre 2018, au plus fort de la crise des « gilets jaunes », sa cote de confiance était tombée à 23 %. Il y a aujourd’hui 71 % (+8 points par rapport à mars) des Français qui déclarent « ne pas lui faire confiance », dont 43 % (+6 points) qui disent « ne pas lui faire confiance du tout ».

Politique-Sondage popularité : Macron s’écroule

Politique-Sondage popularité : Macron s’écroule


La proportion de Français qui ne lui font pas confiance est passée de 57 à 70 %. Mais le pire est l’accroissement de ceux qui ne lui « font pas du tout confiance ». Ils sont désormais 50 % (+ 9 points en un mois).

Élisabeth Borne, la première ministre, s’effondre de 6 points après l’utilisation du 49-3 à l’Assemblée nationale.

D’après le dernier sondage Odoxa Backbone-consulting, une majorité de la population se prépare à ce que la contestation se radicalise.

Le soutien à la mobilisation contre la réforme des retraites demeure élevé (66%), mais que le mouvement est attendu pour durer, voire se radicaliser.

Dans ce contexte, les Français attendent du président un geste. Celui du changement, notamment de sa première ministre, voire du Parlement tout entier. Un remaniement sans changement de chef de gouvernement est ainsi peu plébiscité (22%), tandis qu’un remplacement d’Élisabeth Borne est davantage encouragé (61%).

Plus radicale encore, une dissolution de l’Assemblée nationale apparaît comme une bonne idée pour 58% des sondés. Notamment les plus opposés à la réforme se trouvant du côté de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (72%). Soit les deux partis rivalisant depuis des semaines pour occuper le rôle de premier opposant à Emmanuel Macron, et ainsi tirer profit de l’impasse dans laquelle se trouve l’exécutif.

Sondage popularité : Macron s’écroule

Sondage popularité : Macron s’écroule


La proportion de Français qui ne lui font pas confiance est passée de 57 à 70 %. Mais le pire est l’accroissement de ceux qui ne lui « font pas du tout confiance ». Ils sont désormais 50 % (+ 9 points en un mois).

Élisabeth Borne, la première ministre, s’effondre de 6 points après l’utilisation du 49-3 à l’Assemblée nationale.

D’après le dernier sondage Odoxa Backbone-consulting, une majorité de la population se prépare à ce que la contestation se radicalise.

Le soutien à la mobilisation contre la réforme des retraites demeure élevé (66%), mais que le mouvement est attendu pour durer, voire se radicaliser.

Dans ce contexte, les Français attendent du président un geste. Celui du changement, notamment de sa première ministre, voire du Parlement tout entier. Un remaniement sans changement de chef de gouvernement est ainsi peu plébiscité (22%), tandis qu’un remplacement d’Élisabeth Borne est davantage encouragé (61%).

Plus radicale encore, une dissolution de l’Assemblée nationale apparaît comme une bonne idée pour 58% des sondés. Notamment les plus opposés à la réforme se trouvant du côté de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (72%). Soit les deux partis rivalisant depuis des semaines pour occuper le rôle de premier opposant à Emmanuel Macron, et ainsi tirer profit de l’impasse dans laquelle se trouve l’exécutif.

Popularité- Macron s’éffondre à 28 % !


SONDAGE Popularité- Macron s’éffondre à 28 % !

Comme c’était prévisible Macon est en train de s’écrouler complètement dans les sondages victime surtout de son incapacité à écouter et à dialoguer. Il pourrait continuer de s’enfoncer s’il continue de mener une politique aussi suicidaire dans le pays. Il se pourrait même ,qu’après la manifestation probablement historique de jeudi 23 mars, que Macron touche le fond avec seulement autour de 20 % de soutien La crise se nourrit évidemment de l’opposition massive à la réforme des retraites mais aussi à une politique économique et sociale incohérente notamment aux effets dévastateurs de l’inflation, à l’affaiblissement de l’État, à l’insécurité et à la perte d’efficacité des services publics (école, santé, justice). D’après le sondage Ifop-JDD enregistre 70 % de Français mécontents, sa cote de popularité chute de 4 points en un mois . Il passe sous la barre symbolique des 30 % de satisfaits (28 %), et se situe désormais derrière sa Première ministre, Élisabeth Borne (29 % de satisfaits). Depuis décembre, le chef de l’État a subi une baisse, substantielle, de 8 points.

Il faut remonter à la sortie de crise des Gilets jaunes, début 2019, pour trouver des niveaux d’impopularité comparables. « C’est une séquence très mauvaise pour le couple exécutif », souligne le directeur général de l’Ifop, Frédéric Dabi, qui note que « pour la première fois, le socle présidentiel du premier tour est atteint ».
Un recul chez ses électeurs

Signe inquiétant pour lui, Emmanuel Macron recule ainsi de 7 points chez ses électeurs du 10 avril 2022 (76 % de satisfaits). Le mécontentement à son égard traverse toutes les catégories : 76 % des 18-24 ans (+ 10 points en un mois), 82 % des ouvriers (+ 6), 72 % des salariés du secteur privé (+ 5).

Parmi les personnes interrogées, une expression revient en boucle : « Macron n’écoute pas », selon Frédéric Dabi, une critique que réactive l’utilisation du 49-3. Et deux thèmes dominent : la réforme des retraites, mais aussi l’inflation, « carburant du mécontentement », selon Dabi.

SONDAGE Popularité- Macron s’éffondre à 28 % !


SONDAGE Popularité- Macron s’éffondre à 28 % !

Comme c’était prévisible Macon est en train de s’écrouler complètement dans les sondages victime surtout de son incapacité à écouter et à dialoguer. Il pourrait continuer de s’enfoncer s’il continue de mener une politique aussi suicidaire dans le pays. Il se pourrait même qu’après la manifestation probablement historique de jeudi 23 mars Macon touche le fond avec seulement autour de 20 % de soutien La crise se nourrit évidemment de l’opposition massive à la réforme des retraites mais aussi à une politique économique et sociale incohérente notamment aux effets dévastateurs de l’inflation, à l’affaiblissement de l’État, à l’insécurité et à la perte d’efficacité des services publics (école, santé, justice). D’après le sondage Ifop-JDD enregistre 70 % de Français mécontents, sa cote de popularité chute de 4 points en un mois . Il passe sous la barre symbolique des 30 % de satisfaits (28 %), et se situe désormais derrière sa Première ministre, Élisabeth Borne (29 % de satisfaits). Depuis décembre, le chef de l’État a subi une baisse, substantielle, de 8 points.

Il faut remonter à la sortie de crise des Gilets jaunes, début 2019, pour trouver des niveaux d’impopularité comparables. « C’est une séquence très mauvaise pour le couple exécutif », souligne le directeur général de l’Ifop, Frédéric Dabi, qui note que « pour la première fois, le socle présidentiel du premier tour est atteint ».
Un recul chez ses électeurs

Signe inquiétant pour lui, Emmanuel Macron recule ainsi de 7 points chez ses électeurs du 10 avril 2022 (76 % de satisfaits). Le mécontentement à son égard traverse toutes les catégories : 76 % des 18-24 ans (+ 10 points en un mois), 82 % des ouvriers (+ 6), 72 % des salariés du secteur privé (+ 5).

Parmi les personnes interrogées, une expression revient en boucle : « Macron n’écoute pas », selon Frédéric Dabi, une critique que réactive l’utilisation du 49-3. Et deux thèmes dominent : la réforme des retraites, mais aussi l’inflation, « carburant du mécontentement », selon Dabi.

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