Archive pour le Tag 'popularité'

Sondage popularité : Macron au plus bas à 21 %

Sondage popularité : Macron au plus bas à 21 %

 La cote de popularité d’Emmanuel Macron se trouve au plus bas et celle du Premier ministre François Bayrou reste scotchée à 20 %, la plus basse du quinquennat pour une prise de fonction, selon un sondage Ipsos pour la Tribune dimanche.

 

Le Premier ministre François Bayrou se situe à 20%, la cote de popularité la plus faible lors d’une prise de fonction depuis le début du second quinquennat d’Emmanuel macron, loin derrière Gabriel Attal (37%), Michel Barnier (34%) et Elisabeth Borne (27%) à la même période.

Les membres du gouvernement les plus appréciés sont le ministre de l’Intérieur LR Bruno Retailleau (35%) et celui de la Justice Gérald Darmanin (33%). Tous deux devancent très largement la ministre de la Culture Rachida Dati et celui des Outre-mer Manuel Valls (18%).

Le baromètre des potentiels successeurs d’Emmanuel Macron place en tête les RN Marine Le Pen qui gagne deux points par rapport à décembre à 34% et Jordan Bardella qui la talonne à 33% (+2 points).

Enquête menée sur internet les 8 et 9 janvier auprès d’un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

Popularité des ministres du gouvernement Barnier : surtout des inconnus !

Popularité des ministres du gouvernement Barnier : surtout des inconnus !

  Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une grande majorité de Français (64 %) n’ont  jamais entendu parler de l’un des dix-neuf ministres de plein exercice, deux mois après leur nomination. À rebours de son équipe, le premier ministre est, lui, identifié par près des deux tiers (65 %) du pays.

D’une manière générale à part le premier ministre les Français pour le plus grand nombre ignore le nom même des ministres. En cause sans doute d’abord un nombre pléthorique de 42 ministres ; aussi le fait que la plupart étaient à peu près inconnu avant leur nomination.

Le débat sur le budget 2025 n’aura guère éclairé les Français sur les orientations de ce gouvernement qui fait un pas en avant et deux pas en arrière. Et de toute façon un débat incompréhensible puisqu’au final la discussion au gouvernement n’aura servi à peu près à rien et que le budget 2025 sera adopté en force avec adoption par l’article 49–3 de la constitution.

Au  regard des menaces de censure de Marine Le Pen, ce gouvernement d’inconnus risque de ne pas passer l’hiver. Et pourrait aussitôt tomber dans l’oubli. 

Popularité Macron : dans les profondeurs

Popularité Macron : dans les profondeurs

En dépit des multiples interventions de Macron en France comme à l’étranger, sa cote de confiance ne cesse de diminuer pour tourner aujourd’hui autour de 17 %. En cause évidemment les piètres résultats de sa politique et ses orientations pour le moins contradictoire tant en politique intérieure qu’à l’international. Dans ces conditions et compte tenu de la crise politique dans laquelle le pays s’enfonce, Macron aura bien du mal à finir son mandat.

le président de la République voit ses cotes de popularité ou d’avenir fléchir dans la plupart des sondages.

Que ce soit en termes d’approbation ou de cotes d’avenir, le président de la République a chuté dans la plupart des baromètres d’opinion. Dans celui réalisé fin octobre par l’institut Verian-Epoka pour Le Figaro Magazine , il ne recueillait la « confiance » que de 17 % (- 5) des personnes interrogées. Son plus bas niveau jamais enregistré. De son côté, l’Ifop jaugeait au même moment à 22 % (- 3) le taux de Français « satisfaits » du chef de l’État.

Politique- Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 %

Politique- Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 %

 Dans le baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos pour  » la Tribune », , Barnier compte 46% d’avis défavorables parmi les Français sondés les 9 et 10 octobre. Cela fait 13 points de plus que son lot d’avis favorables, évalué à 33%. Macron , lui ,tombe à 20 %
 Le phénomène touche aussi bien François Ruffin que Marine Le Pen, Édouard Philippe ou Raphaël Glucksmann. La palme de la baisse revient à Gabriel Attal et Bernard Cazeneuve. Le premier est passé de 31 à 23% de satisfaits, le second de 19 à 11%.

 Quant à Emmanuel Macron, sa dégringolade ne fait que se poursuivre. Seuls 25% des Français interrogés le soutiennent. Un niveau proche de son plancher de 20%, atteint à l’époque des Gilets jaunes. Plus alarmant pour lui, c’est dans son propre camp que le soutien s’effrite : chez les sympathisants de Renaissance, du MoDem et d’Horizons, il perd 13 points. Pour eux, l’après-Macron a bel et bien commencé. « Globalement, les Français estiment que leurs représentants ont failli, sans pour autant préserver les divers opposants, développe Brice Teinturier. Ce qui se passe autour du budget sonne, dans l’opinion, comme un désaveu massif de la politique menée par Emmanuel Macron. C’est comme si on réalisait que dans son bilan, il y a un énorme trou, à savoir la dette, qu’on va devoir régler dans la douleur parce que ça n’a pas été traité avant. »

 

Le pessimisme général des citoyens a, en conséquence, fait un bond spectaculaire. D’abord, s’agissant des hausses d’impôts annoncées, 62% des Français sondés pressentent qu’elles ne toucheront pas uniquement les plus fortunés et les grandes entreprises, contrairement aux engagements pris par l’exécutif.

Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33

Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 

 Dans le baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos pour  » la Tribune », , Barnier compte 46% d’avis défavorables parmi les Français sondés les 9 et 10 octobre. Cela fait 13 points de plus que son lot d’avis favorables, évalué à 33%. Macron , lui ,tombe à 20 %
 Le phénomène touche aussi bien François Ruffin que Marine Le Pen, Édouard Philippe ou Raphaël Glucksmann. La palme de la baisse revient à Gabriel Attal et Bernard Cazeneuve. Le premier est passé de 31 à 23% de satisfaits, le second de 19 à 11%.

 Quant à Emmanuel Macron, sa dégringolade ne fait que se poursuivre. Seuls 25% des Français interrogés le soutiennent. Un niveau proche de son plancher de 20%, atteint à l’époque des Gilets jaunes. Plus alarmant pour lui, c’est dans son propre camp que le soutien s’effrite : chez les sympathisants de Renaissance, du MoDem et d’Horizons, il perd 13 points. Pour eux, l’après-Macron a bel et bien commencé. « Globalement, les Français estiment que leurs représentants ont failli, sans pour autant préserver les divers opposants, développe Brice Teinturier. Ce qui se passe autour du budget sonne, dans l’opinion, comme un désaveu massif de la politique menée par Emmanuel Macron. C’est comme si on réalisait que dans son bilan, il y a un énorme trou, à savoir la dette, qu’on va devoir régler dans la douleur parce que ça n’a pas été traité avant. »

 

Le pessimisme général des citoyens a, en conséquence, fait un bond spectaculaire. D’abord, s’agissant des hausses d’impôts annoncées, 62% des Français sondés pressentent qu’elles ne toucheront pas uniquement les plus fortunés et les grandes entreprises, contrairement aux engagements pris par l’exécutif.

Sondage popularité : seulement 28 % pour Michel Barnier et 22 % pour Macron

Sondage popularité : seulement 28 % pour Michel Barnier et 22 % pour Macron

 

D’après un sondage Elabe,  seuls 28% des Français accordent leur confiance au nouveau premier ministre et 22 % pour Macron encore en baisse.

Selon le baromètre réalisé pour nos confrères des Échos, qui mesure la «confiance» envers l’exécutif «pour affronter les principaux problèmes qui se posent au pays», il s’agit du plus faible score du chef de l’Etat depuis son accession à l’Elysée en 2017.

Au classement des personnalités, Edouard Philippe retrouve la première place (41%, -2 points), devant Gabriel Attal, rétrogradé deuxième en accusant une forte baisse (39%, -5 points) et Jordan Bardella. Derrière Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy, Gérald Darmanin passe de la cinquième à la sixième place à 28%, une baisse de six points.

Sondage popularité: baisse d’Emmanuel Macron et Michel Barnier

Sondage  popularité: baisse  d’Emmanuel Macron et Michel Barnier 

D’après un sondage au Odoxa, seulement  25% des personnes interrogées jugent qu’Emmanuel Macron est un «bon» président, soit un «record absolu d’impopularité en sept ans». Par ailleurs, le soutien à Michel Barnier tombe à 39 % 

Seules 25% des personnes interrogées jugent que Macron est un «bon» président, soit un «record absolu d’impopularité en sept ans», selon cette étude réalisée pour Public Sénat et 20 titres de la presse quotidienne régionale. De même, 39% estiment que Michel Barnier est un «bon» premier ministre, soit un score inférieur à ceux recueillis par ses quatre prédécesseurs à leur arrivée à Matignon (55% pour Edouard Philippe en mai 2017, 40% pour Jean Castex en septembre 2020, 43% pour Elisabeth Borne en mai 2022, et 48% pour Gabriel Attal en janvier 2024).

Ce sondage, auprès d’un échantillon représentatif de 1.005 Français adultes interrogés par internet, a été réalisé les 18 et 19 septembre, soit avant l’annonce de la composition du gouvernement de Michel Barnier, le plus à droite depuis l’accession d’Emmanuel Macron à l’Élysée en 2017. Marge d’erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points.

Sondage popularité : Michel Barnier à 57 %

Sondage popularité : Michel Barnier à 57 %

Sans doute l’effet de la nouveauté, aussi l’absence d’orientations qui fâchent permettent à Michel Barnier de recueillir 57 % de soutien dans l’opinion.

Pour l’instant, le premier ministre devance trois de ses prédécesseurs : Édouard Philippe (55%), Gabriel Attal (54%) et Jean Castex (54%). Un autre ancien locataire de Matignon, Bernard Cazeneuve recueille de son côté 48% d’opinions positives. Comme la ministre de la Culture démissionnaire Rachida Dati, ou l’ancien président François Hollande.

 

 

Popularité : Attal devant Édouard Philippe

Popularité : Attal devant Édouard Philippe

En matière de popularité, Gabriel Attal détrône Edouard Philippe; Le Premier ministre sortant fait son retour ce mois-ci dans le classement des personnalités d’Elabe pour « Les Echos » et décroche la première place juste devant le maire du Havre.

 

Gabriel Attal prend la tête ce mois-ci du classement des personnalités d’Elabe pour « Les Echos », avec 44 % d’image positive auprès des Français, dont 10 % d’image très positive. L’ancien Premier ministre, désormais président du groupe Ensemble pour la République à l’Assemblée , coiffe au poteau Edouard Philippe qui lui-même après son propre départ de Matignon trustait sans discontinuer depuis août 2020 la première place du classement.

Là, le maire du Havre et candidat à la présidentielle perd 2 points, à 43 % d’image positive, et se retrouve, pour la première fois, sur la deuxième marche du podium, 1 point derrière Gabriel Attal. Il semble bien que sa déclaration officielle de candidature pour les présidentielles ait été jugé un peu prématurée et hors sujet par l’opinion.

Popularité : Barnier à 34% d’opinions favorables

Popularité : Barnier à 34% d’opinions favorables

Michel Barnier enregistre 34% d’opinions favorables ( Macron à 30%). Il y a «un tiers des sondés en sa faveur, un tiers contre et un tiers qui ne se prononcent pas, soit parce qu’ils ne le connaissent pas, soit parce qu’ils sont attentistes», explique Brice Teinturier, directeur général délégué d’Ipsos, dans les colonnes de La Tribune Dimanche.

Michel Barnier bénéficie de 64% d’opinions favorables chez les sympathisants des Républicains et chez ceux du camp macroniste. Cote s’abaissant à 29% pour les sympathisants du Rassemblement national et du Parti socialiste et à 18-19% chez ceux de La France insoumise et des Écologistes. Sondage effectué auprès d’un échantillon de 1000 personnes représentatif de la population française, âgée de 18 ans et plus, interrogées du 11 au 13 septembre (méthode des quotas).

Sondage popularité de la gauche: baisse générale

 

Sondage popularité de la gauche: baisse générale

Malgré la nomination d’un candidat unique pour le poste de Premier ministre, tous les leaders de la gauche enregistrent une très forte baisse de popularité. La candidature de Lucie Castets a tendance à faire plouf. D’autant que l’intéressée s’est surtout signalé par sa volonté d’augmenter la fiscalité notamment des expatriés et d’ouvrir la page de sa vie intime dontt en vérité tout le monde se moque. Résultat 15 % d’image positive , une image plutôt psychorigide et bobo de gauche.

À noter que la baisse affecte tous les autres leaders de la gauche. Rien d’étonnant à cela sans doute quand ils promettent 15 milliards de dépenses supplémentaires par an alors qu’il faudrait faire 15 milliards d’économies !

D’après une enquête d’Elabe, la popularité des leaders du nouveau Front populaire s’écroule même au sein des électeurs de la gauche. Fabien Roussel, tête d’affiche avec le plus d’« image positive » dans cet électorat, chute de 8 points sur un mois, à 51 % d’image positive. Raphaël Glucksmann, deuxième, est en recul de 10 points d’un mois sur l’autre, à 49 %. François Ruffin, lui, chute de 11 points, à 45 %, et l’ancien président François Hollande de 14 points, à 43 %. Derrière eux, le socialiste Olivier Faure (-8 points), l’écologiste Marine Tondelier (-9 points) et l’Insoumis Manuel Bompard (-13 points) subissent tous le même sort.

La dynamique positive observée le mois dernier, et l’espoir né avec la formation du Nouveau Front populaire et l’accord programmatique entre les formations de l’alliance, « est quasiment effacée », observe Vincent Thibault, directeur d’études chez Elabe.

 

Popularité de la gauche: baisse générale

Popularité de la gauche: baisse générale

Malgré la nomination d’un candidat unique pour le poste de Premier ministre, tous les leaders de la gauche enregistrent une très forte baisse de popularité. La candidature de Lucie Castets a tendance à faire plouf. D’autant que l’intéressée s’est surtout signalé par sa volonté d’augmenter la fiscalité des expatriés et d’ouvrir la page de sa vie intime donc en vérité tout le monde se moque. Résultat 15 % d’image positive , une image plutôt psychorigide et bobo de gauche.

À noter que la baisse affecte tous les autres leaders de la gauche. Rien d’étonnant à cela sans doute quand ils promettent 15 milliards de dépenses supplémentaires par an alors qu’il faudrait faire 15 milliards d’économies !

D’après une enquête d’Elabe, la popularité des leaders du nouveau Front populaire s’écroule même au sein des électeurs de la gauche. Fabien Roussel, tête d’affiche avec le plus d’« image positive » dans cet électorat, chute de 8 points sur un mois, à 51 % d’image positive. Raphaël Glucksmann, deuxième, est en recul de 10 points d’un mois sur l’autre, à 49 %. François Ruffin, lui, chute de 11 points, à 45 %, et l’ancien président François Hollande de 14 points, à 43 %. Derrière eux, le socialiste Olivier Faure (-8 points), l’écologiste Marine Tondelier (-9 points) et l’Insoumis Manuel Bompard (-13 points) subissent tous le même sort.

La dynamique positive observée le mois dernier, et l’espoir né avec la formation du Nouveau Front populaire et l’accord programmatique entre les formations de l’alliance, « est quasiment effacée », observe Vincent Thibault, directeur d’études chez Elabe.

 

Popularité : la chute des leaders de la gauche

 

Malgré la nomination d’un candidat unique pour le poste de Premier ministre, tous les leaders de la gauche enregistrent une très forte baisse de popularité. La candidature de Lucie Castets a tendance à faire plouf. D’autant que l’intéressée s’est surtout signalé par sa volonté d’augmenter la fiscalité des expatriés et d’ouvrir la page de sa vie intime donc en vérité tout le monde se moque. Résultat 15 % d’image positive , une image plutôt psychorigide et bobo de gauche.

À noter que la baisse affecte tous les autres leaders de la gauche. Rien d’étonnant à cela sans doute quand ils promettent 15 milliards de dépenses supplémentaires par an alors qu’il faudrait faire 15 milliards d’économies !

D’après une enquête d’Elabe, la popularité des leaders du nouveau Front populaire s’écroule même au sein des électeurs de la gauche. Fabien Roussel, tête d’affiche avec le plus d’« image positive » dans cet électorat, chute de 8 points sur un mois, à 51 % d’image positive. Raphaël Glucksmann, deuxième, est en recul de 10 points d’un mois sur l’autre, à 49 %. François Ruffin, lui, chute de 11 points, à 45 %, et l’ancien président François Hollande de 14 points, à 43 %. Derrière eux, le socialiste Olivier Faure (-8 points), l’écologiste Marine Tondelier (-9 points) et l’Insoumis Manuel Bompard (-13 points) subissent tous le même sort.

La dynamique positive observée le mois dernier, et l’espoir né avec la formation du Nouveau Front populaire et l’accord programmatique entre les formations de l’alliance, « est quasiment effacée », observe Vincent Thibault, directeur d’études chez Elabe.

 

Sondage popularité: Macron encore en baisse

Sondage popularité: Macron encore en baisse

 

La cote de confiance d’Emmanuel Macron demeure à l’un de ses niveaux les plus bas depuis 2017. Après une chute de 5 points le mois dernier, elle regagne un petit point ce mois-ci à 25 % seulement, dans le baromètre Elabe pour « Les Echos ». Un sondage réalisé avant la publication mercredi après-midi de la lettre du président de la République aux Français .

Emmanuel Macron conserve néanmoins la confiance des trois quarts de ses électeurs du premier tour de l’élection présidentielle de 2022. « Il est replié sur son socle, relève Bernard Sananès, le président d’Elabe. Il n’est pas unanime mais le niveau de confiance reste élevé, à 74 % ». Signe d’une déception et d’une incompréhension face à la dissolution, le chef de l’Etat a reculé de 15 points en deux mois auprès des cadres, à 30 %.

SONDAGE popularité – Macron en baisse

SONDAGE popularité  – Macron en baisse

C’est son plus bas niveau depuis 2022, un seuil déjà atteint après la réforme des retraites l’an dernier ainsi qu’en début d’année. La cote de confiance d’Emmanuel Macron perd 2 points ce mois-ci dans le baromètre Elabe pour « Les Echos », à 25 %.

« L’exécutif aborde la campagne des élections européennes dans une situation qui n’est pas facile », relève Bernard Sananès, le président d’Elabe. « Il n’y a pas d’effet drapeau autour de l’Ukraine, il n’y a pas de bénéfice de la nomination de Gabriel Attal à Matignon », souligne-t-il.

Le chef de l’Etat recule dans toutes les catégories, mais chez les plus de 65 ans, cruciaux à chaque scrutin, il atteint son score le plus bas depuis le début de son deuxième quinquennat, à 27 % (une chute de 9 points en un mois). En cause ? L’inquiétude sur l’Ukraine mais aussi et surtout, le déficit .

« La crédibilité économique a joué dans ce qui a arrimé une partie des retraités de droite au macronisme. Là, il y a un peu une rupture de promesse », explique le sondeur. Dans les questions ouvertes auprès des sondés, reviennent la « crainte de la guerre, la dette mais aussi les promesses non tenues sur l’environnement », indique-t-il.

Gabriel Attal, lui, échappe un peu à la foudre. Depuis son arrivée à Matignon, il a une cote de confiance stable, à 32 %, très au-dessus d’Emmanuel Macron. « Il faut lui laisser le temps de faire ses preuves », relèvent les verbatims au sujet du Premier ministre qui bénéficie d’une image de dynamisme, de volontarisme, de sincérité et d’un sens de l’efficacité, même si les Français attendent de voir, relève Bernard Sananès et que des critiques se font jour sur « une dérive libérale » et une « perte des valeurs sociales ».

L’écart entre Gabriel Attal et Emmanuel Macron est encore plus grand auprès des retraités, « ce qui est clé dans la campagne des élections européennes pour la fixation de l’électorat de centre droit », souligne le politologue. « Dans ces conditions, sur la stratégie de la campagne, on peut se demander qui sera le plus audible, de Gabriel

Plus lourdement sanctionné encore qu’Emmanuel Macron sur la question du déficit et de la dette, Bruno Le Maire, ministre de l’Economie et des Finances depuis 2017, dégringole de 5 points ce mois-ci dans le classement des personnalités, à 26 % d’image positive, en cinquième position du classement. Chez les électeurs d’Emmanuel Macron, il est certes sur le podium, ex aequo avec Gérald Darmanin, 20 points derrière Edouard Philippe, mais il chute ce mois-ci de 9 points, à 57 % d’image positive.

Autre poids lourd du gouvernement en perte de vitesse dans le classement des personnalités, Gérald Darmanin est à 26 % d’image positive auprès des Français (-1 point) et 57 % auprès des électeurs d’Emmanuel Macron (-4 points). « Pour l’instant, les opérations places nette XXL contre la drogue rencontrent plutôt le scepticisme des Français, ils attendent de voir. Cela dit la difficulté du gouvernement à faire valoir son action », pointe le président d’Elabe.

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