Archive pour le Tag 'baisse de'

Social- Pouvoir d’achat : Baisse de la consommation en volume

Social- Pouvoir d’achat : Baisse de la consommation en volume

En 2023, les dépenses de consommation ont diminué de 1,9% en volume, d’après la Fédération des acteurs du commerce dans les territoires (FACT). Une évolution conjoncturelle liée à l’envol de l’inflation mais également une évolution structurelle du faite de la modification du comportement des consommateurs en matière d’achat. Avec une tendance générale des ménages à descendre de gamme pour ne pas augmenter la facture. Aussi à réduire des dépenses jugées superflues.

Toujours du fait de la remontée des prix, les dépenses de consommation ont, logiquement, diminué de 1,9% en volume.

Les chiffres ne sont pas bons depuis le second semestre
Pourtant, même dans les centres commerciaux où le chiffre d’affaires a progressé de 3,3%, les chiffres ne sont pas bons, et ce, depuis le second semestre. Entre janvier et juillet 2023 inclus, la fréquentation a été plus forte que sur la même période en 2022, tandis qu’officiellement, elle « se stabilise » depuis août.

La fréquentation de petits centres comptant au moins 20 magasins a décliné de 0,1%, à l’inverse des grands centres (recensant 40 enseignes, +1,6%), des centres régionaux (comptant 80 magasins, +3,5%) et des centres super-régionaux (150 magasins, +4,5%).

« Plus le centre est grand, plus sa performance en trafic est élevée. Plus l’offre est diversifiée – loisirs, restauration… -, plus l’attractivité est grande », a décrypté Christophe Noël.

Social et économie–La cogestion comme réponse au manque d’intérêt et à la baisse de productivité

La cogestion comme réponse au manque d’intérêt et à la baisse de productivité

Comment expliquer qu’un même salarié éprouve des difficultés physiques et psychologiques pour assumer 35 heures de travail alors que le même salarié devenu artisan effectuera le double d’heure en retrouvant un sens à son travail.

Le problème est lié à l’organisation sociétale au sein de nos collectifs de travail. Ce modèle fonctionne selon des règles ancestrales sous l’égide d’une pyramide dans les décisions centrales sont souvent mal acceptées et mal vécues. Sans parler évidemment de la justice sociale qui comme en période de crise aujourd’hui permet la baisse de pouvoir d’achat de de 10 % en moyenne sur deux ans alors que les dividendes augmentent de 10 % par an. On objectera évidemment que c(est la lois traditionnelle du capitalisme. D’un côté ce qui possèdent l’entreprise avec ceux qui la dirigent et de l’autre ceux qui en fait la font fonctionner. Pourtant dans certains pays comme l’Allemagne on a su associer les salariés par la voix de la cogestion. À travers leurs représentants les salariés participent donc à la définition des orientations de l’entreprise.

Il est évident que des orientations mieux comprises et partagées sont ensuite mieux mises en œuvre. De ce point de vue, la baisse de compétitivité de la France au cours de ces dernières années témoigne aussi de la distance que prennent des salariés par rapport à leur entreprise. Une prise de distance qui se caractérise aussi par des difficultés à recruter.

Aujourd’hui dans le monde économique et en France en particulier, on vit encore dans le cadre d’une organisation sociale archaïque; en outre, on a même accentué le caractère obsolète de la concertation en supprimant nombre d’institutions consultatives.

L’association des salariés à la gestion d’une entreprise constitue un formidable outil de dynamisme et de cohésion. Avec la présence des salariés dans les organes de gestion, les directions disposent d’indicateurs supplémentaires sur la réalité de leur fonctionnement et d’un relais pour mieux faire adhérer à la stratégie des entreprises.

Aujourd’hui peut-être encore plus hier, on s’en remet surtout au dirigeant messianique sorte de gourou qui opère des miracles économiques. La vérité oblige à considérer pourtant que sur le long terme le succès des entreprises tient surtout à la capacité du responsable a bien s’entourer et à fonctionner collectivement.

Economie Europe: baisse de croissance pire que prévue

Economie  Europe: baisse de croissance  pire que prévue

 

Résultat pire que prévu au second trimestre de sorte qu’il faut revoir le scénario pour l’ensemble de l’année 2020. Les prévisionnistes escomptés une régression du PIB de 7,5 % sur l’ensemble de l’année en cours mais avec le recul historique (12,1 %) du deuxième trimestre on sera plus proche de 10 %..Deux éléments fragilisent l’union, d’une part la chute moyenne globale qui dépasse toutes les prévisions, d’autre part l’écart inquiétant des taux d’activité dans les différents pays. Constate en effet une baisse de croissance de 10 % en Allemagne  mais 18,5 % en Espagne. La France, elle, est en dessous de la moyenne européenne avec une baisse du PIB de 13,8 %. Pourtant nombre  d’économistes et de politiques ont uni leurs efforts pour tenter de répandre un vent d’optimisme sur l’économie considérant même il y a encore quelques jours que la situation n’était pas aussi grave pouvait le penser.

Pour preuve, la veille de la publication de ces chiffres catastrophiques pour la France, le gouverneur de la Banque de France estimait que la chute de croissance ne serait pas aussi importante que prévu et même qu’à la fin de 2021, on  retrouverait le niveau de fin 2019. Un espoir complètement illusoire dans la mesure où il faudra attendre plutôt 2023 ou 2024., Bref plusieurs années avant de remonter la pente complètement sous réserve que de nouvelles crises ne se produisent pas:  crise financière, crise sanitaire ou encore crise géopolitique.

La conséquence dramatique de cet écroulement économique se traduira par une vague énorme de licenciement avec des effets effectifs importants dès la rentrée. En France,  il faudra compter au moins 1,5 millions de chômeurs en plus début 2021. Ailleurs en Europe la situation n’est guère brillante. Pour l’ensemble de l’Union européenne, le PIB recule de 11,9% au deuxième trimestre. Les chiffres de croissance désastreux s’accumulent ces derniers jours au niveau national: -12,4% en Italie, -13,8% en France, -14,1% au Portugal -18,5% en Espagne vendredi matin, -10,1% en Allemagne, -10,7% en Autriche, -12,2% en Belgique jeudi.

Bruxelles avait prévenu début juillet que les effets économiques de la pandémie de coronavirus seraient «dévastateurs» pour la zone euro. La Commission anticipe une récession sans précédent et pire qu’attendue en 2020 pour les 19 pays ayant adopté la monnaie unique: -8,7% en 2020, avant un rebond en 2021 (+6,1%).

 

Le taux d’inflation dans la zone euro a par ailleurs très légèrement progressé en juillet, selon une première estimation également publiée vendredi par Eurostat. Le taux s’affiche à 0,4%, contre 0,3% en juin. Il reste cependant très éloigné de l’objectif de la BCE qui est d’une inflation «proche mais inférieure à 2%». En mai, l’inflation avait atteint 0,1%. Ce n’était toutefois pas le pire taux enregistré dans la zone euro: en janvier 2015 et juillet 2009, il s’était établi à -0,6%, a indiqué une porte-parole d’Eurostat à l’AFP.

L’inflation sous-jacente (hors énergie, produits alimentaires, boissons alcoolisées et tabac – qui exclut par conséquent les produits particulièrement volatils) a par ailleurs progressé en juillet, à 1,2%, contre 0,8% en juin.

Coronavirus France : baisse de la pression sur les hôpitaux

Coronavirus France : baisse de la pression sur les hôpitaux

 

La pression continue de retomber sur les hôpitaux, qui soignaient mardi 16.264 personnes malades du COVID-19, soit 534 de moins que la veille. La baisse se poursuit aussi dans les services de réanimation avec désormais 1.555 patients traités, 54 de moins que lundi.

Le nombre de cas de contamination recensés atteint au total 145.555, soit 276 cas de plus que la veille, précise Santé publique France sur son site internet.

Croissance Allemagne : baisse de la production industrielle

Croissance Allemagne : baisse de la production industrielle

Signe du tassement mondial la production industrielle allemande  est en recul; elle  s’est contractée en mai, accusant son recul mensuel le plus marqué depuis août 2014, ce qui laisse penser que la première économie européenne a perdu de son allant au deuxième trimestre après un début d’année étonnamment dynamique.   La production a baissé de 1,3% en mai, a annoncé le ministère de l’Economie jeudi, alors que les économistes interrogés par Reuters l’attendaient inchangée. En avril, la production industrielle avait augmenté de 0,5% et non pas de 0,8% comme annoncé dans un premier temps. Pour le ministère, la production industrielle s’est légèrement tassée au deuxième trimestre mais il ajoute que la confiance du secteur industriel s’est améliorée récemment et que la production devrait confirmer son accélération modérée.

 

(Reuters)

Croissance Allemagne : baisse de la production industrielle

Croissance Allemagne : baisse de la production industrielle

 

 

Comme d’autres pays, la France bien sûre mais aussi la Chine ou encore le Japon, l’Allemagne enregistre une baisse de sa production industrielle. C’est évidemment le signe de l’affaiblissement de la croissance mondiale. Cela n’empêchera pas l’Allemagne de connaître en 2015 un records d’excédent commercial mais du essentiellement à la baisse du prix des matières premières. La production industrielle est donc, contre toute attente, retombée en juin, après une petite hausse le mois précédent, selon des chiffres provisoires corrigés des variations saisonnières publiés vendredi par l’Office fédéral des statistiques Destatis.  Alors que les analystes interrogés par le fournisseur de services financiers FactSet tablaient sur une petite progression de 0,4%, la production industrielle allemande a reculé de 1,4% sur un mois, a fait savoir Destatis dans un communiqué. Le chiffre du mois de mai a lui été révisé à +0,2% par rapport à avril, contre 0% annoncé initialement.  L’évolution de la production de l’industrie allemande a ainsi pris à rebours celle des commandes enregistrées par cette même industrie, qui ont affiché une hausse vigoureuse et inattendue en juin, selon des chiffres publiés jeudi.  Dans le détail, les différentes composantes de l’indice de la production industrielle ont évolué de manière contrastée en juin, avec notamment un recul de 0,2% de la production des biens de consommation, de 2,6% des biens d’investissement et de 4,5% de l’activité de construction. En revanche, la production énergétique a, elle, progressé de 2,3%. « La production industrielle s’est développée au printemps de manière peu dynamique. Cela a été particulièrement le cas dans la construction, qui a été marquée par un ralentissement après un premier trimestre solide. L’environnement pour la branche reste bon malgré tout », a commenté dans un communiqué séparé le ministère allemande de l’Economie.   »Compte tenu de l’évolution positive récente des commandes et du moral toujours bon des entreprises, il faut compter avec une progression de la croissance modérée dans l’industrie », ajoute le ministère.

Immobilier : baisse de 16% des permis de construire sur un an

Immobilier : baisse de 16% des permis de construire sur un an

 

Selon les données corrigées des variations saisonnières publiées mardi par le ministère de l’Ecologie et du Développement durable, le nombre de permis de construire a reculé de 7,2% sur les trois mois à fin septembre et celui des logements commencés de 2,2%. Par comparaison, les reculs enregistrés pour les trois mois à fin août étaient de 10,2% pour les permis de construire et de 1,9% pour les mises en chantier. Sur le seul mois de septembre, la baisse est de 1,9% (après -2,2% en août et -2,6% en juillet) pour les premiers et de 0,9% (après -0,9% et -0,8% en août et juillet) pour les secondes. En données brutes, 28.658 logements ont été mis en chantier en septembre et 76.042 sur l’ensemble du troisième trimestre, soit 0,6% de moins par rapport juillet-septembre 2012. Sur un an, le nombre de mises en chantier ressort à 341.808, en recul de 11,1%.Cette baisse des douze derniers mois affecte un peu plus les logements collectifs (-11,6%) que les logements individuels (-9,4%) alors que les logements en résidence reculent plus nettement (-19,7%).Le nombre de permis de construire délivrés a atteint de son côté 36.549 le mois dernier et 99.968 au troisième trimestre, soit 27,9% de moins que pour la même période de 2012.Sur un an, il s’établit à 446.989, en baisse de 16,0% par rapport aux douze mois précédents. Dans le même temps, la construction neuve, qui représente 87% de l’offre de logement, a diminué de 16,2%.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol