Archive pour le Tag 'Réponse'

Iran: Réponse ciblée d’Israël ….pour l’instant

Iran:  Réponse ciblée d’Israël ….pour l’instant

 

Israël considère qu’après les attaques de l’Iran sa réponse est ciblée, en tout cas pour l’instant. Reste à savoir quelle sera l’éventuelle réplique de Téhéran. Le risque d’embrasement plus général n’est pas à écarter même si nombre d’experts pense que l’Iran n’a pas intérêt à rechercher l’affrontement massif contre Israël en l’état du rapport de force.

 

 

Aux yeux de plusieurs analystes, ces représailles sont au final mesurées et ne devraient pas constituer un tournant majeur dans le conflit au Proche-Orient. Le ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, avait pourtant promis une riposte « mortelle, précise et surprenante » après la seconde attaque iranienne la dernière et plus importante, le 1er octobre. Téhéran avait tiré quelque 200 missiles, notamment et pour la première fois des missiles hypersoniques.
Samedi, l’armée israélienne a déclaré avoir mené des frappes visant des installations de fabrication de missiles, des batteries de missiles sol-air et d’autres systèmes aériens. Si quatre militaires sont morts, les « dégâts » sont « limités » après cette opération qui n’a pas visé d’infrastructures sensibles de la République islamique. « Ce sont des cibles exclusivement militaires, ni nucléaires, ni pétrolières », explique à franceinfo le général Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef de Revue Défense nationale, pour qui « c’est une riposte mesurée qui envoie des messages très précis à Téhéran », comme pour « siffler la fin de la récréation ».

Israël : réponse « mesurée » du Hezbollah et de l’Iran

 Israël : réponse  » mesurée »  du Hezbollah et de l’Iran 

 

 

À juste titre , on craint un embrasement au Moyen-Orient. En effet d’une certaine manière d’Iran a été humiliée après l’assassinat sur son sol du leader du Hamas. En outre la mort du chef militaire du Hezbollah constitue une humiliation supplémentaire qui discrédite le régime iranien et ses alliés.

L’Iran est donc contrainte de répliquer à Israël mais il n’est pas certain que la réponse soit à la hauteur de la radicalité des propos. En effet l’Iran est très affaiblie. D’abord au plan interne la situation économique est très mauvaise car les ressources sont gaspillées inutilement et appropriées par le clan religieux. Au plan politique ,  la situation est détestable avec une opinion publique de plus en plus opposée à la dictature chiite.

Concernant la dimension internationale, l’Iran ne peut plus dire compter sur le Hamas qui a été en grande partie détruit en Palestine. Reste essentiellement le Hezbollah qui dispose d’une armée assez solide au sol  mais une guerre avec Israël serait susceptible non seulement de détruire le Hezbollah mais peut-être même aussi le Liban.

Dernier élément dont il faut tenir compte la fragilité du Premier ministre israélien qui ne se maintient au pouvoir que grâce à l’intensité et au développement de la guerre. Ce dernier ne serait pas opposé à une guerre totale qui menacerait l’existence du Liban et même le régime religieux de Téhéran. En effet en l’état du rapport de force, Israël a sans doute les moyens de détruire ses ennemis même si évidemment il faudra consentir de nombreux sacrifices notamment en termes de victimes.

Israël : réponse mesurée du Hezbollah et de l’Iran

  Israël : réponse mesurée  du Hezbollah et de l’Iran 

 

 

À juste titre , on craint un embrasement au Moyen-Orient. En effet d’une certaine manière d’Iran a été humiliée après l’assassinat sur son sol du leader du Hamas. En outre la mort du chef militaire du Hezbollah constitue une humiliation supplémentaire qui discrédite le régime iranien et ses alliés.

L’Iran est donc contrainte de répliquer à Israël mais il n’est pas certain que la réponse soit à la hauteur de la radicalité des propos. En effet l’Iran est très affaiblie. D’abord au plan interne la situation économique est très mauvaise car les ressources sont gaspillées inutilement et appropriées par le clan religieux. Au plan politique ,  la situation est détestable avec une opinion publique de plus en plus opposée à la dictature chiite.

Concernant la dimension internationale, l’Iran ne peut plus dire compter sur le Hamas qui a été en grande partie détruit en Palestine. Reste essentiellement le Hezbollah qui dispose d’une armée assez solide au sol  mais une guerre avec Israël serait susceptible non seulement de détruire le Hezbollah mais peut-être même aussi le Liban.

Dernier élément dont il faut tenir compte la fragilité du Premier ministre israélien qui ne se maintient au pouvoir que grâce à l’intensité et au développement de la guerre. Ce dernier ne serait pas opposé à une guerre totale qui menacerait l’existence du Liban et même le régime religieux de Téhéran. En effet en l’état du rapport de force, Israël a sans doute les moyens de détruire ses ennemis mêmes si évidemment il faudra consentir de nombreux sacrifices.

Conflits et Israël : réponse mesurée du Hezbollah et de l’Iran

Conflits et  Israël : réponse mesurée  du Hezbollah et de l’Iran 

 

 

À juste titre , on craint un embrasement au Moyen-Orient. En effet d’une certaine manière d’Iran a été humiliée après l’assassinat sur son sol du leader du Hamas. En outre la mort du chef militaire du Hezbollah constitue une humiliation supplémentaire qui discrédite le régime iranien et ses alliés.

L’Iran est donc contrainte de répliquer à Israël mais il n’est pas certain que la réponse soit à la hauteur de la radicalité des propos. En effet l’Iran est très affaiblie. D’abord au plan interne la situation économique est très mauvaise car les ressources sont gaspillées inutilement et appropriées par le clan religieux. Au plan politique ,  la situation est détestable avec une opinion publique de plus en plus opposés à la dictature chiite.

Concernant la dimension internationale, l’Iran ne peut plus dire compter sur le Hamas qui a été en grande partie détruit en Palestine. Reste essentiellement le Hezbollah qui dispose d’une armée assez solide au sol  mais une guerre avec Israël serait susceptible non seulement de détruire le Hezbollah mais peut-être même aussi le Liban.

Guerre Israël : réponse mesurée du Hezbollah et de l’Iran

Guerre Israël : réponse mesurée  du Hezbollah et de l’Iran 

 

 

À juste titre , on craint un embrasement au Moyen-Orient. En effet d’une certaine manière d’Iran a été humiliée après l’assassinat sur son sol du leader du Hamas. En outre la mort du chef militaire du Hezbollah constitue une humiliation supplémentaire qui discrédite le régime iranien et ses alliés.

L’Iran est donc contrainte de répliquer à Israël mais il n’est pas certain que la réponse soit à la hauteur de la radicalité des propos. En effet l’Iran est très affaiblie. D’abord au plan interne la situation économique est très mauvaise car les ressources sont gaspillées inutilement et appropriées par le clan religieux. Au plan politique ,  la situation est détestable avec une opinion publique de plus en plus opposés à la dictature chiite.

Concernant la dimension internationale, l’Iran ne peut plus dire compter sur le Hamas qui a été en grande partie détruit en Palestine. Reste essentiellement le Hezbollah qui dispose d’une armée assez solide au sol  mais une guerre avec Israël serait susceptible non seulement de détruire le Hezbollah mais peut-être même aussi le Liban.
Reste l’hypothèse d’un conflit direct entre l’Iran et Israël. Hypothèse peu vraisemblable compte tenu de la seule supériorité manifeste d’Israël sur l’Iran. Israël pourrait profiter d’un conflit généralisé pour s’attaquer en outre aux installations nucléaires iraniennes et mettre en danger le régime des Mollahs. On peut donc faire l’hypothèse d’ une réponse directe ou indirecte de l’Iran mais qu’elle sera mesurée ou plus exactement « réfléchie » comme l’indiquent les communiqués du Hezbollah et de l’Iran.

 

Guerre Israël : réponse « réfléchie » du Hezbollah

Guerre Israël : réponse « réfléchie »  du Hezbollah 

 

Il y a toujours un énorme décalage entre la radicalité des propos de vengeance du Hezbollah et la réponse militaire. Encore une fois le Hezbollah en quelque sorte a fait le minimum suite à l’attaque mortelle d’un de ses chefs par Israël.

La vérité sans doute c’est que le souhaiterait bien une réponse autrement plus significative mais qui ne dispose pas des moyens militaires pour l’entreprendre. Une nouvelle guerre d’ampleur entre le et Israël pouvant conduire à l’élimination du parti terroriste libanais voir même à menacer l’existence même du Liban.

Le Hezbollah se contentera donc de discours enflammés mais d’attaques sporadiques notamment sur des cibles civiles

Le Hezbollah a en effet annoncé avoir lancé des dizaines de roquettes sur le nord d’Israël jeudi, en réponse à une frappe qui a tué quatre Syriens dans le sud du Liban, première attaque du groupe libanais depuis l’assassinat d’un de ses chefs militaires mardi soir.

Guerre Israël-Hamas : réponse « mesurée » du Hezbollah

Guerre Israël-Hamas : réponse « mesurée »  du Hezbollah 

 

Il y a toujours un énorme décalage entre la radicalité des propos de vengeance du Hezbollah et la réponse militaire. Encore une fois le Hezbollah en quelque sorte a fait le minimum suite à l’attaque mortelle d’un de ses chefs par Israël.

La vérité sans doute c’est que le souhaiterait bien une réponse autrement plus significative mais qui ne dispose pas des moyens militaires pour l’entreprendre. Une nouvelle guerre d’ampleur entre le et Israël pouvant conduire à l’élimination du parti terroriste libanais voir même à menacer l’existence même du Liban.

Le Hezbollah se contentera donc de discours enflammés mais d’attaques sporadiques notamment sur des cibles civiles

Le Hezbollah a en effet annoncé avoir lancé des dizaines de roquettes sur le nord d’Israël jeudi, en réponse à une frappe qui a tué quatre Syriens dans le sud du Liban, première attaque du groupe libanais depuis l’assassinat d’un de ses chefs militaires mardi soir.

 

Quelle réponse d’ Israël à l’Iran ?

Quelle réponse d’ Israël à l’Iran

 

La guerre entre Israël l’Iran prend trois dimensions. Il y a d’abord évidemment la guerre militaire traditionnelle en quelque sorte et qui s’est  traduite par l’expédition par l’Iran de 200 bombes (drones et missiles). 95 % de ces engins ont été éliminés par le système de défense d’Israël et de ses alliés dont les pays arabes voisins.

Il y a forcément des dégâts et quelques blessés mais finalement marginaux. Pourtant l’Iran se félicite d’avoir atteint tous les objectifs qu’elle avait fixées. C’est évidemment , le deuxième aspect de la guerre, celui de la communication. L’aspect peut-être le plus fondamental est le plus nouveau, c’est la riposte des alliés américains bien sûrs, britanniques, Français mais aussi de Jordanie et d’Arabie Saoudite.

Compte tenu de cette situation il n’est pas certain qu’Israël ait beaucoup à gagner à riposter sur le territoire de l’Iran. La réplique devrait plutôt être en quelque sorte mesurée pour ne pas affecter justement cette nouvelle alliance. Surtout après les erreurs faites à Gaza.

À noter la position très ambiguë de l’Iran qui considère maintenant l’affaire comme terminée et qui montre ainsi les limites de ses forces; Aussi les contradictions internes dans le pays avec un particulier d’un côté des faucons et de l’autre des plus pacifistes. Sans parler de la dictature religieuse de moins en moins bien supportée.

 

 

Politique- l’IVG dans la constitution : La réponse à la crise ?

Politique- l’IVG dans la constitution : La réponse à la crise ?

 

La quasi-totalité des médias et des responsables de la politique se réjouissent évidemment de l’inscription de l’IVG dans la constitution. Même les caciques du Sénat ont été contraints d’applaudir à une mesure qui n’apporte rien. En effet l’IVG est un droit, plus exactement une liberté non discutable et non discutée dans le pays et dont le principe figurait d’ailleurs déjà dans le corpus constitutionnel.

La vérité c’est que l’inscription de l’IVG est une double victoire celle de la gauche d’abord aussi celle de Macron et à peu près pour les mêmes raisons à savoir reconquérir une popularité en plein déclin.
Côté Macron, il y a longtemps qu’il recherche un thème, n’importe lequel ,susceptible de donner une fausse apparence d’unité. Il envisageait plusieurs sujets par exemple d’inscrire aussi dans la constitution la question environnementale et maintenant l’IVG.

Le problème c’est qu’en France faute de pouvoir engager de vraies politiques structurelles ,on préfère modifier  ou ajouter des lois et des textes aux textes existants. Ainsi la constitution a pu être bricolée une vingtaine de fois. Il y a bien d’autres champs sociétaux majeurs qui, dans ces conditions,  mériteraient comme l’IVG d’être dans la constitution( santé, éducation, sécurité, pouvoir d’achat, défense, inégalités, mobilité, retraite, fin de vie etc.).

Du côté de la gauche, cette inscription constitue une grande victoire;  enfin un vote favorable pour  le blason d’un camp en pleine décomposition. Et les » Insoumis » à la manœuvre avec les écolos et ce qui reste du parti socialiste. Mais une victoire qui marque le décalage complet avec le peuple certes en faveur de l’IVG mais qui ne voit pas l’intérêt de l’inscription dans la constitution.

Surtout dans la période où la France s’installe durablement dans la crise. Avec un contexte de menace guerrière et alors que la politique de défense française est complètement sous dimensionnée par rapport aux enjeux et rappelle de ce point de vue la situation de la dernière guerre mondiale. Une crise économique, sociale mais aussi sociétale avec par exemple la banalisation des règlements de compte dans les quartiers sur fond de développement considérable du trafic de drogue et d’islamisme. Sur le plan économique la situation est dramatique après avec 6 à 8 millions de personnes qui ne travaillent pas pesant à la fois sur  la compétitivité et les finances publiques. La santé, l’éducation, la sécurité sont en pleine déliquescence.

Et face à la crise française qui peut imaginer que l’IVG soit la réponse ? Bien peu de responsables de journalistes vont oser s’interroger sur cette question tellement ils sont conditionnés ou influencés par le conformisme peureux vis à vis des  faux débats à la mode.

 

Révisions constitutionnelles sous la Cinquième République. ( wikipédia)

  1. 1960 : Loi constitutionnelle no 60-525 du 4 juin 1960 tendant à compléter les dispositions du titre XII de la Constitution : dispositions modifiées : articles 85 et 86 ;
  2. 1962 : Loi constitutionnelle no 62-1292 du 6 novembre 1962 relative à l’élection du président de la République au suffrage universel : dispositions modifiées : articles 6 et 7 ;
  3. 1963 : Loi constitutionnelle no 63-1327 du 30 décembre 1963 : dispositions modifiées : article 28 ;
  4. 1974 : Loi constitutionnelle no 74-904 du 29 octobre 1974 portant révision de l’article 61 de la Constitution : dispositions modifiées : article 61 ;
  5. 1976 : Loi constitutionnelle no 76-527 du 18 juin 1976 modifiant l’article 7 de la Constitution : dispositions modifiées : article 7 ;
  6. 1992 : Loi constitutionnelle no 92-554 du 25 juin 1992 ajoutant à la Constitution un titre : « Des communautés européennes et de l’Union européenne » : Titres renumérotés : XIV et XV ; dispositions modifiées : articles 254 et 74 ; dispositions ajoutées : titre XIV, articles 88-188-288-3 et 88-4 ;
  7. 1993 : Loi constitutionnelle no 93-952 du 27 juillet 1993 portant révision de la Constitution du 4 octobre 1958 et modifiant ses titres VIII, IX, X et XVI : Titres renumérotés : X, XI, XII, XIII, XIV, XV et XVI ; dispositions modifiées : articles 65 et 68 ; dispositions ajoutées : titre X, articles 68-168-2 et 93 ;
  8. 1993 : Loi constitutionnelle no 93-1256 du 25 novembre 1993 relative aux accords internationaux en matière de droit d’asile : dispositions ajoutées : article 53-1 ;
  9. 1995 : Loi constitutionnelle no 95-880 du 4 août 1995 portant extension du champ d’application du référendum, instituant une session parlementaire unique, modifiant le régime de l’inviolabilité parlementaire et abrogeant les dispositions relatives à la Communauté et les dispositions transitoires : dispositions modifiées : articles 1251112262848495170 et 88 ; dispositions ajoutées : article 68-3 ; dispositions abrogées : titres XIII et XVII, articles 767778798081828384858687909192 et 93 ;
  10. 1996 : Loi constitutionnelle no 96-138 du 22 février 1996 : dispositions modifiées : articles 34 et 39 ; dispositions ajoutées : articles 47-1 ;
  11. 1998 : Loi constitutionnelle no 98-610 du 20 juillet 1998 relative à la Nouvelle-Calédonie : dispositions ajoutées : titre XIII, articles 76 et 77 ;
  12. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-49 du 25 janvier 1999 modifiant les articles 88-2 et 88-4 de la Constitution : dispositions modifiées : articles 88-2 et 88-4 ;
  13. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-568 du 8 juillet 1999 insérant, au titre VI de la Constitution, un article 53-2 et relative à la Cour pénale internationale : dispositions ajoutées : article 53-2 ;
  14. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-569 du 8 juillet 1999 relative à l’égalité entre les femmes et les hommes : dispositions modifiées : articles 3 et 4 ;
  15. 2000 : Loi constitutionnelle no 2000-964 du 2 octobre 2000 relative à la durée du mandat du Président de la République : dispositions modifiées : article 6 ;
  16. 2003 : Loi constitutionnelle no 2003-267 du 25 mars 2003 relative au mandat d’arrêt européen : dispositions modifiées : article 88-2 ;
  17. 2003 : Loi constitutionnelle no 2003-276 du 28 mars 2003 relative à l’organisation décentralisée de la République : dispositions modifiées : articles 17133439607273 et 74, ; dispositions ajoutées : articles 37-172-172-272-372-4 et 74-1 ;
  18. 2005 : Loi constitutionnelle no 2005-204 du 1er mars 2005 modifiant le titre XV de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XV, articles 6088-188-288-3 et 88-4 ; dispositions ajoutées : article 88-588-6 et 88-7 ;
  19. 2005 : Loi constitutionnelle no 2005-205 du 1er mars 2005 relative à la Charte de l’environnement : dispositions modifiées : Préambule, article 34, dispositions ajoutées : Charte de l’environnement ;
  20. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-237 du 19 février 2007 complétant l’article 77 de la Constitution : dispositions modifiées : article 77 ;
  21. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-238 du 19 février 2007 portant modification du titre IX de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XI, articles 67 et 68 ;
  22. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-239 du 19 février 2007 relative à l’interdiction de la peine de mort : dispositions ajoutées : article 66-1 ;
  23. 2008 : Loi constitutionnelle no 2008-103 du 4 février 2008 modifiant le titre XV de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XI, articles 88-188-2 et 88-5 ; dispositions modifiées : articles 88-6 et 88-7 ;
  24. 2008 : Loi constitutionnelle no 2008-724 du 23 juillet 2008 de modernisation des institutions de la Ve République : dispositions modifiées : intitulés des Titres XI et XIV, articles 134611131617182425343538394142434445464747-148495661626569707172-37374-188-488-588-6 et 89 ; dispositions ajoutées : Titre XI bis, articles 34-147-250-151-151-261-171-175-1 et 87.

IVG dans la constitution : La réponse à la crise ?

IVG dans la constitution : La réponse à la crise ?

 

La quasi-totalité des médias et des responsables de la politique se réjouissent évidemment de l’inscription de l’IVG dans la constitution. Même les caciques du Sénat ont été contraints d’applaudir à une mesure qui n’apporte rien. En effet l’IVG est un droit, plus exactement une liberté non discutable et non discutée dans le pays et dont le principe figurait d’ailleurs déjà dans le corpus constitutionnel.

La vérité c’est que l’inscription de l’IVG est une double victoire celle de la gauche d’abord aussi celle de Macron et à peu près pour les mêmes raisons à savoir reconquérir une popularité en plein déclin.
Côté Macron, il y a longtemps qu’il recherche un thème, n’importe lequel ,susceptible de donner une fausse apparence d’unité. Il envisageait plusieurs sujets par exemple d’inscrire aussi dans la constitution la question environnementale et maintenant l’IVG.

Le problème c’est qu’en France faute de pouvoir engager de vraies politiques structurelles ,on préfère modifier  ou ajouter des lois et des textes aux textes existants. Ainsi la constitution a pu être bricolée une vingtaine de fois. Il y a bien d’autres champs sociétaux majeurs qui, dans ces conditions,  mériteraient comme l’IVG d’être dans la constitution( santé, éducation, sécurité, pouvoir d’achat, défense, inégalités, mobilité, retraite, fin de vie etc.).

Du côté de la gauche, cette inscription constitue une grande victoire;  enfin un vote favorable pour  le blason d’un camp en pleine décomposition. Et les » Insoumis » à la manœuvre avec les écolos et ce qui reste du parti socialiste. Mais une victoire qui marque le décalage complet avec le peuple certes en faveur de l’IVG mais qui ne voit pas l’intérêt de l’inscription dans la constitution.

Surtout dans la période où la France s’installe durablement dans la crise. Avec un contexte de menace guerrière et alors que la politique de défense française est complètement sous dimensionnée par rapport aux enjeux et rappelle de ce point de vue la situation de la dernière guerre mondiale. Une crise économique, sociale mais aussi sociétale avec par exemple la banalisation des règlements de compte dans les quartiers sur fond de développement considérable du trafic de drogue et d’islamisme. Sur le plan économique la situation est dramatique après avec 6 à 8 millions de personnes qui ne travaillent pas pesant à la fois sur  la compétitivité et les finances publiques. La santé, l’éducation, la sécurité sont en pleine déliquescence.

Et face à la crise française qui peut imaginer que l’IVG soit la réponse ? Bien peu de responsables de journalistes vont oser s’interroger sur cette question tellement ils sont conditionnés ou influencés par le conformisme peureux vis à vis des  faux débats à la mode.

 

Révisions constitutionnelles sous la Cinquième République. ( wikipédia)

  1. 1960 : Loi constitutionnelle no 60-525 du 4 juin 1960 tendant à compléter les dispositions du titre XII de la Constitution : dispositions modifiées : articles 85 et 86 ;
  2. 1962 : Loi constitutionnelle no 62-1292 du 6 novembre 1962 relative à l’élection du président de la République au suffrage universel : dispositions modifiées : articles 6 et 7 ;
  3. 1963 : Loi constitutionnelle no 63-1327 du 30 décembre 1963 : dispositions modifiées : article 28 ;
  4. 1974 : Loi constitutionnelle no 74-904 du 29 octobre 1974 portant révision de l’article 61 de la Constitution : dispositions modifiées : article 61 ;
  5. 1976 : Loi constitutionnelle no 76-527 du 18 juin 1976 modifiant l’article 7 de la Constitution : dispositions modifiées : article 7 ;
  6. 1992 : Loi constitutionnelle no 92-554 du 25 juin 1992 ajoutant à la Constitution un titre : « Des communautés européennes et de l’Union européenne » : Titres renumérotés : XIV et XV ; dispositions modifiées : articles 254 et 74 ; dispositions ajoutées : titre XIV, articles 88-188-288-3 et 88-4 ;
  7. 1993 : Loi constitutionnelle no 93-952 du 27 juillet 1993 portant révision de la Constitution du 4 octobre 1958 et modifiant ses titres VIII, IX, X et XVI : Titres renumérotés : X, XI, XII, XIII, XIV, XV et XVI ; dispositions modifiées : articles 65 et 68 ; dispositions ajoutées : titre X, articles 68-168-2 et 93 ;
  8. 1993 : Loi constitutionnelle no 93-1256 du 25 novembre 1993 relative aux accords internationaux en matière de droit d’asile : dispositions ajoutées : article 53-1 ;
  9. 1995 : Loi constitutionnelle no 95-880 du 4 août 1995 portant extension du champ d’application du référendum, instituant une session parlementaire unique, modifiant le régime de l’inviolabilité parlementaire et abrogeant les dispositions relatives à la Communauté et les dispositions transitoires : dispositions modifiées : articles 1251112262848495170 et 88 ; dispositions ajoutées : article 68-3 ; dispositions abrogées : titres XIII et XVII, articles 767778798081828384858687909192 et 93 ;
  10. 1996 : Loi constitutionnelle no 96-138 du 22 février 1996 : dispositions modifiées : articles 34 et 39 ; dispositions ajoutées : articles 47-1 ;
  11. 1998 : Loi constitutionnelle no 98-610 du 20 juillet 1998 relative à la Nouvelle-Calédonie : dispositions ajoutées : titre XIII, articles 76 et 77 ;
  12. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-49 du 25 janvier 1999 modifiant les articles 88-2 et 88-4 de la Constitution : dispositions modifiées : articles 88-2 et 88-4 ;
  13. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-568 du 8 juillet 1999 insérant, au titre VI de la Constitution, un article 53-2 et relative à la Cour pénale internationale : dispositions ajoutées : article 53-2 ;
  14. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-569 du 8 juillet 1999 relative à l’égalité entre les femmes et les hommes : dispositions modifiées : articles 3 et 4 ;
  15. 2000 : Loi constitutionnelle no 2000-964 du 2 octobre 2000 relative à la durée du mandat du Président de la République : dispositions modifiées : article 6 ;
  16. 2003 : Loi constitutionnelle no 2003-267 du 25 mars 2003 relative au mandat d’arrêt européen : dispositions modifiées : article 88-2 ;
  17. 2003 : Loi constitutionnelle no 2003-276 du 28 mars 2003 relative à l’organisation décentralisée de la République : dispositions modifiées : articles 17133439607273 et 74, ; dispositions ajoutées : articles 37-172-172-272-372-4 et 74-1 ;
  18. 2005 : Loi constitutionnelle no 2005-204 du 1er mars 2005 modifiant le titre XV de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XV, articles 6088-188-288-3 et 88-4 ; dispositions ajoutées : article 88-588-6 et 88-7 ;
  19. 2005 : Loi constitutionnelle no 2005-205 du 1er mars 2005 relative à la Charte de l’environnement : dispositions modifiées : Préambule, article 34, dispositions ajoutées : Charte de l’environnement ;
  20. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-237 du 19 février 2007 complétant l’article 77 de la Constitution : dispositions modifiées : article 77 ;
  21. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-238 du 19 février 2007 portant modification du titre IX de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XI, articles 67 et 68 ;
  22. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-239 du 19 février 2007 relative à l’interdiction de la peine de mort : dispositions ajoutées : article 66-1 ;
  23. 2008 : Loi constitutionnelle no 2008-103 du 4 février 2008 modifiant le titre XV de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XI, articles 88-188-2 et 88-5 ; dispositions modifiées : articles 88-6 et 88-7 ;
  24. 2008 : Loi constitutionnelle no 2008-724 du 23 juillet 2008 de modernisation des institutions de la Ve République : dispositions modifiées : intitulés des Titres XI et XIV, articles 134611131617182425343538394142434445464747-148495661626569707172-37374-188-488-588-6 et 89 ; dispositions ajoutées : Titre XI bis, articles 34-147-250-151-151-261-171-175-1 et 87.

IVG: La réponse à la crise française ?

IVG: La réponse à la crise ?

 

La quasi-totalité des médias et des responsables de la politique se réjouissent évidemment de l’inscription de l’IVG dans la constitution. Même les caciques du Sénat ont été contraints d’applaudir à une mesure qui n’apporte rien. En effet l’IVG est un droit, plus exactement une liberté non discutable et non discutée dans le pays et dont le principe figurait d’ailleurs déjà dans le corpus constitutionnel.

La vérité c’est que l’inscription de l’IVG est une double victoire celle de la gauche d’abord aussi celle de Macron et à peu près pour les mêmes raisons à savoir reconquérir une popularité en plein déclin.
Côté Macron, il y a longtemps qu’il recherche un thème, n’importe lequel ,susceptible de donner une fausse apparence d’unité. Il envisageait plusieurs sujets par exemple d’inscrire aussi dans la constitution la question environnementale et maintenant l’IVG.

Le problème c’est qu’en France faute de pouvoir engager de vraies politiques structurelles ,on préfère modifier  ou ajouter des lois et des textes aux textes existants. Ainsi la constitution a pu être bricolée une vingtaine de fois. Il y a bien d’autres champs sociétaux majeurs qui, dans ces conditions,  mériteraient comme l’IVG d’être dans la constitution( santé, éducation, sécurité, pouvoir d’achat, défense, inégalités, mobilité, retraite, fin de vie etc.).

Du côté de la gauche, cette inscription constitue une grande victoire;  enfin un vote favorable pour  le blason d’un camp en pleine décomposition. Et les » Insoumis » à la manœuvre avec les écolos et ce qui reste du parti socialiste. Mais une victoire qui marque le décalage complet avec le peuple certes en faveur de l’IVG mais qui ne voit pas l’intérêt de l’inscription dans la constitution.

Surtout dans la période où la France s’installe durablement dans la crise. Avec un contexte de menace guerrière et alors que la politique de défense française est complètement sous dimensionnée par rapport aux enjeux et rappelle de ce point de vue la situation de la dernière guerre mondiale. Une crise économique, sociale mais aussi sociétale avec par exemple la banalisation des règlements de compte dans les quartiers sur fond de développement considérable du trafic de drogue et d’islamisme. Sur le plan économique la situation est dramatique après avec 6 à 8 millions de personnes qui ne travaillent pas pesant à la fois sur  la compétitivité et les finances publiques. La santé, l’éducation, la sécurité sont en pleine déliquescence.

Et face à la crise française qui peut imaginer que l’IVG soit la réponse ? Bien peu de responsables de journalistes vont oser s’interroger sur cette question tellement ils sont conditionnés ou influencés par le conformisme peureux vis à vis des  faux débats à la mode.

 

Révisions constitutionnelles sous la Cinquième République. ( wikipédia)

  1. 1960 : Loi constitutionnelle no 60-525 du 4 juin 1960 tendant à compléter les dispositions du titre XII de la Constitution : dispositions modifiées : articles 85 et 86 ;
  2. 1962 : Loi constitutionnelle no 62-1292 du 6 novembre 1962 relative à l’élection du président de la République au suffrage universel : dispositions modifiées : articles 6 et 7 ;
  3. 1963 : Loi constitutionnelle no 63-1327 du 30 décembre 1963 : dispositions modifiées : article 28 ;
  4. 1974 : Loi constitutionnelle no 74-904 du 29 octobre 1974 portant révision de l’article 61 de la Constitution : dispositions modifiées : article 61 ;
  5. 1976 : Loi constitutionnelle no 76-527 du 18 juin 1976 modifiant l’article 7 de la Constitution : dispositions modifiées : article 7 ;
  6. 1992 : Loi constitutionnelle no 92-554 du 25 juin 1992 ajoutant à la Constitution un titre : « Des communautés européennes et de l’Union européenne » : Titres renumérotés : XIV et XV ; dispositions modifiées : articles 254 et 74 ; dispositions ajoutées : titre XIV, articles 88-188-288-3 et 88-4 ;
  7. 1993 : Loi constitutionnelle no 93-952 du 27 juillet 1993 portant révision de la Constitution du 4 octobre 1958 et modifiant ses titres VIII, IX, X et XVI : Titres renumérotés : X, XI, XII, XIII, XIV, XV et XVI ; dispositions modifiées : articles 65 et 68 ; dispositions ajoutées : titre X, articles 68-168-2 et 93 ;
  8. 1993 : Loi constitutionnelle no 93-1256 du 25 novembre 1993 relative aux accords internationaux en matière de droit d’asile : dispositions ajoutées : article 53-1 ;
  9. 1995 : Loi constitutionnelle no 95-880 du 4 août 1995 portant extension du champ d’application du référendum, instituant une session parlementaire unique, modifiant le régime de l’inviolabilité parlementaire et abrogeant les dispositions relatives à la Communauté et les dispositions transitoires : dispositions modifiées : articles 1251112262848495170 et 88 ; dispositions ajoutées : article 68-3 ; dispositions abrogées : titres XIII et XVII, articles 767778798081828384858687909192 et 93 ;
  10. 1996 : Loi constitutionnelle no 96-138 du 22 février 1996 : dispositions modifiées : articles 34 et 39 ; dispositions ajoutées : articles 47-1 ;
  11. 1998 : Loi constitutionnelle no 98-610 du 20 juillet 1998 relative à la Nouvelle-Calédonie : dispositions ajoutées : titre XIII, articles 76 et 77 ;
  12. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-49 du 25 janvier 1999 modifiant les articles 88-2 et 88-4 de la Constitution : dispositions modifiées : articles 88-2 et 88-4 ;
  13. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-568 du 8 juillet 1999 insérant, au titre VI de la Constitution, un article 53-2 et relative à la Cour pénale internationale : dispositions ajoutées : article 53-2 ;
  14. 1999 : Loi constitutionnelle no 99-569 du 8 juillet 1999 relative à l’égalité entre les femmes et les hommes : dispositions modifiées : articles 3 et 4 ;
  15. 2000 : Loi constitutionnelle no 2000-964 du 2 octobre 2000 relative à la durée du mandat du Président de la République : dispositions modifiées : article 6 ;
  16. 2003 : Loi constitutionnelle no 2003-267 du 25 mars 2003 relative au mandat d’arrêt européen : dispositions modifiées : article 88-2 ;
  17. 2003 : Loi constitutionnelle no 2003-276 du 28 mars 2003 relative à l’organisation décentralisée de la République : dispositions modifiées : articles 17133439607273 et 74, ; dispositions ajoutées : articles 37-172-172-272-372-4 et 74-1 ;
  18. 2005 : Loi constitutionnelle no 2005-204 du 1er mars 2005 modifiant le titre XV de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XV, articles 6088-188-288-3 et 88-4 ; dispositions ajoutées : article 88-588-6 et 88-7 ;
  19. 2005 : Loi constitutionnelle no 2005-205 du 1er mars 2005 relative à la Charte de l’environnement : dispositions modifiées : Préambule, article 34, dispositions ajoutées : Charte de l’environnement ;
  20. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-237 du 19 février 2007 complétant l’article 77 de la Constitution : dispositions modifiées : article 77 ;
  21. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-238 du 19 février 2007 portant modification du titre IX de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XI, articles 67 et 68 ;
  22. 2007 : Loi constitutionnelle no 2007-239 du 19 février 2007 relative à l’interdiction de la peine de mort : dispositions ajoutées : article 66-1 ;
  23. 2008 : Loi constitutionnelle no 2008-103 du 4 février 2008 modifiant le titre XV de la Constitution : dispositions modifiées : intitulé du Titre XI, articles 88-188-2 et 88-5 ; dispositions modifiées : articles 88-6 et 88-7 ;
  24. 2008 : Loi constitutionnelle no 2008-724 du 23 juillet 2008 de modernisation des institutions de la Ve République : dispositions modifiées : intitulés des Titres XI et XIV, articles 134611131617182425343538394142434445464747-148495661626569707172-37374-188-488-588-6 et 89 ; dispositions ajoutées : Titre XI bis, articles 34-147-250-151-151-261-171-175-1 et 87.

Réponse molle du Hezbollah face à Israël

Réponse molle du Hezbollah face à Israël

Certains experts s’attendaient à une réponse forte du Hezbollah après que le numéro 2 du Hamas ait été tué Israël sur son territoire. D’une certaine façon, le chef du Hezbollah a fait le minimum diplomatique juste protester contre l’acte en assurant qu’éventuellement son organisation pourrait riposter.

La vérité sans doute c’est que le Hezbollah n’a pas l’intention pour l’instant de s’engager pleinement et officiellement dans le conflit entre le Hamas et Israël. En cause sans doute le fait que les forces sont déséquilibrées. Certes le Hezbollah dispose d’une armée conséquente et bien équipée mais qui serait vite balayée par la puissance israélienne. Le Hezbollah pourrait aussi attendre son heure grâce aux déstabilisations en cours au Moyen-Orient. C’est aussi la stratégie de l’Iran qui préfère instrumentaliser-le Hamas ou encore les Houtils ou la rue arabe.

La puissante milice chiite ne semble pas prête à une escalade militaire face à Tsahal, même si Nasrallah a clairement mis en garde l’État hébreu. «Jusqu’à maintenant, notre posture a été calculée. Cependant, si l’ennemi décide de lancer une guerre contre nous, nos hommes, nos missiles sont prêts. Il n’y aura plus de règles, plus de limites», A affirmé le chef du Hezbollah

Il a ajouté que le «crime» contre Saleh al-Arouri ne resterait pas impuni, sans donner plus de détails. Dans le passé, déjà, des assassinats ciblés de certains hauts leaders du Hezbollah attribués à Israël n’ont finalement pas été suivis de représailles visibles, le Parti de Dieu et son parrain iranien préférant opter pour des attaques contre des intérêts israéliens, en Europe ou en Asie.

Entreprises-La cogestion, réponse au manque d’intérêt et de productivité

Entreprises-La cogestion, réponse au manque d’intérêt et de productivité

Comment expliquer qu’un même salarié éprouve des difficultés physiques et psychologiques pour assumer 35 heures de travail alors que le même salarié devenu artisan effectuera le double d’heure en retrouvant un sens à son travail.

Le problème est lié à l’organisation sociétale au sein de nos collectifs de travail. Ce modèle fonctionne selon des règles ancestrales sous l’égide d’une pyramide dans les décisions centrales sont souvent mal acceptées et mal vécues. Sans parler évidemment de la justice sociale qui comme en période de crise aujourd’hui permet la baisse de pouvoir d’achat de de 10 % en moyenne sur deux ans alors que les dividendes augmentent de 10 % par an. On objectera évidemment que c(est la lois traditionnelle du capitalisme. D’un côté ce qui possèdent l’entreprise avec ceux qui la dirigent et de l’autre ceux qui en fait la font fonctionner. Pourtant dans certains pays comme l’Allemagne on a su associer les salariés par la voix de la cogestion. À travers leurs représentants les salariés participent donc à la définition des orientations de l’entreprise.

Il est évident que des orientations mieux comprises et partagées sont ensuite mieux mises en œuvre. De ce point de vue, la baisse de compétitivité de la France au cours de ces dernières années témoigne aussi de la distance que prennent des salariés par rapport à leur entreprise. Une prise de distance qui se caractérise aussi par des difficultés à recruter.

Aujourd’hui dans le monde économique et en France en particulier, on vit encore dans le cadre d’une organisation sociale archaîque; en outre, on a même accentué le caractère obsolète de la concertation en supprimant nombre d’institutions consultatives.

L’association des salariés à la gestion d’une entreprise constitue un formidable outil de dynamisme et de cohésion. Avec la présence des salariés dans les organes de gestion, les directions disposent d’indicateurs supplémentaires sur la réalité de leur fonctionnement et d’un relais pour mieux faire adhérer à la stratégie des entreprises.

Aujourd’hui peut-être encore plus hier, on s’en remet surtout au dirigeant messianique sorte de gourou qui opère des miracles économiques. La vérité oblige à considérer pourtant que sur le long terme le succès des entreprises tient surtout à la capacité du responsable a bien s’entourer et à fonctionner collectivement.

Évidemment pour pratiquer la cogestion il faut être deux d’un côté le patronat et de l’autre les représentants des salariés.
Cette cogestion est impensable avec des syndicats qui font surtout de la révolution leur objectif premier. Et de ce point de vue, la montée du gauchisme en France ne témoigne pas d’une grande lucidité économique mais aussi sociale. Heureusement, les organisations réformistes et en particulier la CFDT ne cessent de progresser en même temps que l’instruction et le niveau de conscience du monde salarié. La revendication d’une association des salariés à la gestion pourrait donc à terme retrouver du crédit.

La mobilité professionnelle, une réponse au pouvoir d’achat

La mobilité professionnelle, une réponse au pouvoir d’achat

Dans une étude, l’institut Rexecode ( proche du patronat) explore les racines du ralentissement de la productivité française. Pour soutenir le pouvoir d’achat des Français, les exécutifs successifs ont su faire preuve d’une imagination sans fin : chèques, bonus à l’achat, boucliers tarifaires, prime à la pompe. Il existe pourtant une voie nettement plus simple, efficace et de long terme, plaide dans une note parue ce jour l’institut de conjoncture Rexecode; il s’agit de mettre tout en œuvre pour soutenir la productivité.

Une étude intéressante mais qui fait l’impasse sur le désintérêt croissant du travail et la perte de reconnaissance comme vient de l’indiquer une autre étude du commissariat au plan. Sans parler des questions de logement NDLR

On le sait cette mesure de l’efficacité du travail ne cesse de baisser depuis quelques années en France. Elle a même régressé d’environ 5 % depuis 2019, alors qu’elle progressait pendant la même période chez nos voisins européens. Or pour les économistes de Rexecode, c’est bien cette impressionnante chute de la productivité qui explique l’essentiel de la dégradation du pouvoir d’achat des salariés ces dernières années.

La thèse d’une déformation de la valeur ajoutée en faveur du capital, autrement dit d’une volonté des entreprises d’augmenter leurs marges au détriment des salaires, ne résiste pas en effet à l’examen, quand on sait que «la part des salaires dans la valeur ajoutée contribue positivement à leur évolution globale (+0,3 %)» de 2019 à 2023, selon l’étude.

Or, «la bonne nouvelle c’est que ce ralentissement de la productivité résulte principalement du dynamisme de l’emploi. Sur les cinq points de baisse, environ deux points proviennent de l’augmentation du nombre des apprentis suite aux dernières réformes et deux points du fait que les créations d’emploi de ces dernières années ont principalement eu lieu au sein de secteurs moins productifs que la moyenne comme le commerce ou l’hébergement-restauration, et en intégrant des profils moins qualifiés ou expérimentés», avance Olivier Redoules, directeur des études de Rexecode.

Au fil du temps et des formations, la cohorte des apprentis massivement intégrés en 2022 devrait améliorer sa productivité et rejoindre la moyenne nationale. Quant à la question de l’attrait des secteurs non productifs, elle se traite pour Rexecode selon deux angles. «Il faut laisser le signal prix jouer son rôle pour que les salariés soient incités à aller vers les secteurs les plus rémunérateurs, plaide Olivier Redoules. Il ne faut pas chercher à homogénéiser les salaires entre les secteurs et entreprises. Comprimer de manière artificielle les échelons salariaux freinerait ce mouvement de réallocation entre les secteurs, qui est un moteur de gains de productivité sur la durée .

Pour permettre ensuite aux salariés d’évoluer vers les métiers les plus productifs et les plus rémunérateurs, reste encore à traiter le sujet de la mobilité de la main-d’œuvre. «Cela renvoie notamment aux problématiques de mobilité géographique, en particulier au niveau de l’offre de logements, de transports et de services aux familles», précise l’étude.

Économie et Société-La cogestion, réponse au manque d’intérêt et de productivité

Économie et Société-La cogestion, réponse au manque d’intérêt et de productivité

Comment expliquer qu’un même salarié éprouve des difficultés physiques et psychologiques pour assumer 35 heures de travail alors que le même salarié devenu artisan effectuera le double d’heure en retrouvant un sens à son travail.

Le problème est lié à l’organisation sociétale au sein de nos collectifs de travail. Ce modèle fonctionne selon des règles ancestrales sous l’égide d’une pyramide dans les décisions centrales sont souvent mal acceptées et mal vécues. Sans parler évidemment de la justice sociale qui comme en période de crise aujourd’hui permet la baisse de pouvoir d’achat de de 10 % en moyenne sur deux ans alors que les dividendes augmentent de 10 % par an. On objectera évidemment que c(est la lois traditionnelle du capitalisme. D’un côté ce qui possèdent l’entreprise avec ceux qui la dirigent et de l’autre ceux qui en fait la font fonctionner. Pourtant dans certains pays comme l’Allemagne on a su associer les salariés par la voix de la cogestion. À travers leurs représentants les salariés participent donc à la définition des orientations de l’entreprise.

Il est évident que des orientations mieux comprises et partagées sont ensuite mieux mises en œuvre. De ce point de vue, la baisse de compétitivité de la France au cours de ces dernières années témoigne aussi de la distance que prennent des salariés par rapport à leur entreprise. Une prise de distance qui se caractérise aussi par des difficultés à recruter.

Aujourd’hui dans le monde économique et en France en particulier, on vit encore dans le cadre d’une organisation sociale archaîque; en outre, on a même accentué le caractère obsolète de la concertation en supprimant nombre d’institutions consultatives.

L’association des salariés à la gestion d’une entreprise constitue un formidable outil de dynamisme et de cohésion. Avec la présence des salariés dans les organes de gestion, les directions disposent d’indicateurs supplémentaires sur la réalité de leur fonctionnement et d’un relais pour mieux faire adhérer à la stratégie des entreprises.

Aujourd’hui peut-être encore plus hier, on s’en remet surtout au dirigeant messianique sorte de gourou qui opère des miracles économiques. La vérité oblige à considérer pourtant que sur le long terme le succès des entreprises tient surtout à la capacité du responsable a bien s’entourer et à fonctionner collectivement.

Évidemment pour pratiquer la cogestion il faut être deux d’un côté le patronat et de l’autre les représentants des salariés.
Cette cogestion est impensable avec des syndicats qui font surtout de la révolution leur objectif premier. Et de ce point de vue, la montée du gauchisme en France ne témoigne pas d’une grande lucidité économique mais aussi sociale. Heureusement, les organisations réformistes et en particulier la CFDT ne cessent de progresser en même temps que l’instruction et le niveau de conscience du monde salarié. La revendication d’une association des salariés à la gestion pourrait donc à terme retrouver du crédit.

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