Archive pour le Tag 'manque'

Rencontre Russie–Ukraine: zelinsky dénonce l’hypocrisie et le manque de courage de Poutine

Rencontre Russie–Ukraine: zelinsky dénonce l’hypocrisie et le manque de courage de Poutine

À juste titre le président ukrainien dénonce l’hypocrisie de Poutine. Alors que ce dernier a proposé une rencontre en Turquie jeudi 15 mai, il se dérobe désormais. Il refuse en effet de dire s’il envisage ou non de s’y rendre.

Au-delà de la forme, les intentions de Poutine sont de reprendre les propositions de 2022 qui en réalité visent à rayer l’Ukraine de la carte. Une double hypocrisie qui va ternir un peu plus l’image du dictateur russe. Reste à savoir si Trump va ou non user de son potentiel de pression pour contraindre Poutine à se rendre en Turquie pour rencontrer Zelinsky. Volodymyr Zelensky dénonce donc«le très étrange silence» de Moscou propos de sa propre proposition de rencontre en Turquie

Dans son allocution quotidienne, Volodymyr Zelensky a dénoncé lundi soir «le très étrange silence» de Moscou concernant les pourparlers directs entre la Russie et l’Ukraine, qui devraient avoir lieu le 15 mai à Istanbul.

«La Russie devra arrêter la guerre et il vaut mieux le faire le plus tôt possible. Il ne sert à rien de continuer les massacres», a-t-il lancé.

Bouleversement climatique en 2024 et manque de soleil en France

Bouleversement climatique en 2024 et manque de soleil en France

2024, première année à dépasser le seuil d’1,5°C de réchauffement par rapport à l’ère préindustrielle au niveau mondial, fut aussi la plus chaude en Europe où la hausse des températures est estimée à 2,4°C par rapport à la période 1850-1990. Parallèlement on a constatée un manque d’ensoleillement en France.

Même constat sur terre qu’en mer: sur l’ensemble de l’année, la température de surface des océans a été la plus élevée jamais enregistrée dans la région européenne (0,7 °C au-dessus de la moyenne)..

Tempête, inondations… Le bilan humain est lourd: au moins 335 victimes et environ 413 000 personnes directement affectées. Le nombre de décès liés à la chaleur n’est pas encore connu, mais les auteurs du rapport rappellent qu’il était estimé à « environ 47 700 en Europe en 2023 ». Pour l’an dernier, les dégâts liés aux catastrophes climatiques sont estimés à 18,2 milliards d’euros, dont 85 % attribués aux inondations. Dans une section consacrée à la résilience, les auteurs notent un fait « encourageant » : 51 % des villes européennes disposent désormais de plans d’adaptation dédiés contre 26 % en 2018.

En Europe occidentale, «des anomalies négatives généralisées de la durée d’ensoleillement et du rayonnement solaire de surface ont été observées», souligne enfin le rapport. Et c’est en France que ce phénomène a été le plus marqué avec 350 heures d’ensoleillement en moins par rapport à la moyenne. Un constat partagé par Météo France, qui confirmait il y a quelques semaines que la France a connu en 2024 le plus grand déficit d’ensoleillement depuis 30 ans, et une couverture nuageuse logiquement plus importante que la moyenne.

Europe- Le manque de lucidité vis-à-vis de Poutine

Europe- Le manque de lucidité vis-à-vis de Poutine

 

Face à la pression totalitaire que le président russe exerce sur l’Europe, le lauréat 2024 du prix Jacques Delors du livre européen, Karl Schlögel, rappelle, dans une tribune au « Monde », l’européanité de l’Ukraine et s’alarme d’un retour de l’« Occident kidnappé » évoqué par Milan Kundera.

Qu’attend encore l’Europe ? Il y a dix ans, lorsque les troupes russes ont occupé la Crimée et lancé une insurrection de criminels et de séparatistes dans l’est de l’Ukraine, on pouvait encore se permettre d’être « choqué » et « stupéfait ». Même à la veille du 24 février 2022, après des mois de déploiement de centaines de milliers de soldats russes, on refusait encore de croire qu’on en arriverait à un véritable conflit territorial de grande ampleur contre un pays européen.
Depuis trois ans maintenant, l’Europe voit presque quotidiennement aux informations ce qui se passe à moins de deux heures de vol d’ici : le bombardement incessant des villes, la fuite de millions de personnes hors des zones de guerre et au-delà des frontières, d’innombrables crimes perpétrés contre la population civile, des frappes de missiles à proximité d’installations nucléaires – bref, l’anéantissement des moyens de subsistance de la nation ukrainienne. Il s’agit de plonger l’Ukraine dans le froid et l’obscurité et de la contraindre à la capitulation.

Tout cela ne se passe pas quelque part on ne sait où mais en plein cœur de l’Europe. C’est Kiev, ville millénaire avec ses cathédrales et ses monastères, qui est touchée. A Kharkiv, métropole aux gratte-ciel modernistes des années 1920, des quartiers entiers sont en ruine. Même la « petite Vienne » (Lviv, l’ancienne Lemberg habsbourgeoise) n’a pas été épargnée par les missiles russes. Odessa, dont nous connaissons la promenade et l’escalier du Potemkine grâce au film de Sergueï Eisenstein (1898-1948), Le Cuirassé Potemkine (1927), est livrée aux attaques de drones iraniens. Comment réagiraient les Européens si des bombes tombaient sur Trieste, en Italie, ou sur Marseille ?

C’est une dangereuse illusion de supposer qu’il ne s’agit que d’un conflit russo-ukrainien. Depuis le début, les dirigeants russes n’ont laissé planer aucun doute, ni par leurs déclarations ni par leurs actes, sur leurs objectifs : reprendre le contrôle de l’Europe centrale et orientale et restaurer l’Europe de Yalta, que Milan Kundera (1929-2023) avait appelée un jour l’« Occident kidnappé »…

Syrie-Bachar al-Assad : Menacé par le manque de soutien de l’Iran et de la Russie

Syrie- Bachar al-Assad menacé par le manque de soutien de l’Iran et de la Russie

D’une certaine manière, la Syrie de Bachar Al Assad est grandement menacée par le manque  de soutien de l’Iran et de la Russie. Dans ces deux derniers pays on donne en effet désormais la priorité à la défense interne. La Russie subit de lourdes pertes, même si elle progresse, face à l’Ukraine et ne veut plus détacher de forces nouvelles  en Syrie. L’Iran à travers la défaite lourde du Hezbollah au Liban veut également se protéger et n’a plus les moyens de soutenir autant militairement la Syrie.

 

Une Syrie travaillée par différentes factions rebelles en plus appuyées par la Turquie qui notamment ne supporte plus les 3 millions d’émigrés syriens. En 2015 et avec l’appui militaire crucial de la Russie et de l’Iran, le régime Assad avait lancé une contre-offensive qui lui avait permis de reprendre progressivement le contrôle d’une grande partie du pays et en 2016 de la totalité de la ville d’Alep, poumon économique de la Syrie d’avant-guerre.

Les violences, les premières de cette ampleur depuis 2020, font craindre une reprise des hostilités à grande échelle dans un pays morcelé en plusieurs zones d’influence, où les belligérants sont soutenus par différentes puissances régionales et internationales.

Mercredi, le groupe islamiste Hayat Tahrir al-Cham (HTS) et des factions rebelles alliées, certaines appuyées par la Turquie, ont lancé une offensive contre les forces gouvernementales, prenant des dizaines de localités dans les provinces d’Alep, d’Idleb et de Hama, plus au sud, et s’emparant samedi de la majeure partie de la ville d’Alep, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

Politique : un manque général de vision et d’évaluation

Politique : un manque général de vision et d’évaluation

 Le premier ministre a réaffirmé, dans son discours de politique générale, la nécessité d’une culture de l’évaluation. La conduite des actions publiques réclame une connaissance fine des effets de celle-ci. Il faut donc évaluer, avec le plus de rigueur possible, les effets réels de chaque décision, et de chaque action concrètement menée. Cependant, s’il y a lieu de réaffirmer cette exigence, c’est que les choses sont loin d’aller de soi. Qu’est-ce donc, alors, qui fait problème ? Et comment donner à l’évaluation ce qui serait sa juste place dans l’action publique ? Par Charles Hadji, enseignant-chercheur (*)- »dans la Tribune »

Il faut tout d’abord reconnaître la dimension paradoxale de l’appel au développement d’une culture de l’évaluation. Car, dans notre société, l’évaluation est déjà omniprésente. Et l’on pourrait davantage se plaindre du trop, que déplorer le trop peu ! Notre époque est marquée par une expansion et une extension impressionnantes de la pratique évaluative (Hadji, 2012). L’évaluation est devenue proprement obsessionnelle, chacun étant tour à tour évalué, par ses maitres, ses employeurs, ses clients, et même ses proches ; et évaluateur, pour les produits qu’il achète, les biens culturels qu’il consomme, les situations qu’il vit.

Mais cette expansion est, à bien des égards, calamiteuse. Les effets d’un tel  déferlement sont trop souvent désastreux. Aussi bien pour les personnes évaluées, prises dans le filet de jugements lapidaires et sans appel. Que pour les évaluateurs, qui se laissent griser par la folie évaluative, et acceptent d’entrer dans des rapports de manipulation, et de domination. L’urgence est donc d’appeler au développement d’une pratique qui ne soit pas toxique.

On peut observer, à cet égard,  que les obstacles à une saine pratique se situent essentiellement, aujourd’hui, à deux niveaux : celui des usages sociaux : au service de quoi, et de qui,  met-on la pratique d’évaluation ? Et celui des fins par rapport auxquelles on formule ses jugements évaluatifs : qu’était-on légitimement en droit d’attendre des actions évaluées? Et, de proche en proche : où est-il souhaitable de vouloir aller?

S’agissant de son usage social, on peut déplorer que  l’évaluation, dans un contexte d’« ubérisation » de l’économie, tende à devenir l’outil d’une « nouvelle fabrique de la servitude » (Abelhauser, 2011). En effet, le développement d’une économie de services fragilise les emplois et les situations, et précarise un nombre grandissant d’individus. Inutile alors de perdre son temps en procédures rigoureuses d’appréciation de la qualité. L’évaluation va servir prioritairement à nourrir la frénésie de consommation,   et à l’orienter vers les services et les produits les plus rentables dans le cadre de l’économie marchande.

Dans ce contexte, l’être humain lui-même tend à devenir une marchandise, que l’on note comme on pèse des fruits ou des légumes. Une culture de l’évaluation n’aura donc d’intérêt et de valeur que si elle contribue à préserver l’être humain de ce « devenir marchandise », en plaçant  au cœur du débat la question de ce qui mérite vraiment d’être attendu. C’est-à-dire la question de la Valeur. Pour éviter la réduction de la valeur à la valeur économique, et de la personne humaine à un objet de consommation. C’est pourquoi la réflexion sur les fins des actions politiques et sociales est essentielle.

Plus que d’une culture de l’évaluation, nous avons besoin d’un culte de la Valeur. Autrement dit, d’un effort de réflexion collectif, soutenu, et transparent (pourquoi pas à l’occasion de « journées de consultation citoyenne » ?), pour spécifier les « valeurs communes » dignes de donner du sens à notre vie collective, au sein d’un Etat. Valeurs communes qui rendront signifiant le « projet de société » servant de référentiel pour évaluer les actions qui viseront à sauvegarder et à développer le « bien commun ». C’est-à-dire toutes les actions politiques au sens large.

Il est impératif de  savoir ce qui, in fine, « vaut » absolument, et fonde la valeur de ce que l’on tient pour digne d’être valorisé. S’engager dans un travail évaluatif conduit ainsi, qu’on le veuille ou non, à affronter la question de la transcendance, i.e. de ce qui mérite absolument d’être désiré. Notre hymne national ne qualifie-t-il pas de « sacré » l’amour de la patrie ?

Une conception idéale de la société, comme une conception idéale de l’homme, sont en jeu à l’horizon de tout acte d’évaluation. Ce qui mine le plus l’évaluation des politiques publiques, et la rend contestable, est l’absence d’un système réfléchi de valeurs clairement affirmées, remplacées alors par des « philosophies implicites », ou des « idéologies clandestines », qui en tiennent lieu, et nous font agir, et juger, dans le brouillard… L’action politique (publique), comme son évaluation, doivent pouvoir s’inscrire dans ce que Jacques Ardoino (2000) appelait un « projet-visée ».

Toute action publique implique en ce sens un « horizon culturel », fait de valeurs communes et acceptées, sinon par tous, du-moins par une majorité de citoyens. Ce socle de valeurs définit un imaginaire commun, dynamisant une société où il sera possible de vivre ensemble d’une façon apaisée, voire heureuse. Dans le respect, certes, des différences ; mais aussi des valeurs fondatrices de la société, celles qui en marquent l’identité.

Or, on peut se demander si nous disposons aujourd’hui, dans notre société divisée et fragmentée,  du minimum d’horizon culturel commun fondant la possibilité d’un « vivre ensemble » apaisé. Existe-t-il encore un socle de valeurs fondatrices, dans lesquelles pourront se reconnaître tous les français? Certes, il y a sans doute toujours eu une pluralité d’horizons culturels, selon les appartenances économiques, idéologiques, ou religieuses. Mais le vivre ensemble n’est guère possible sans un socle de valeurs partagées, qui rend possible la vie en commun,  par-delà toutes les particularités, et la diversité des opinions, des religions, et des comportements.

C’est dans la construction d’un tel horizon culturel commun que peut, et que doit, se concrétiser ce que nous appelons le culte de la Valeur, pour échapper au risque majeur d’un conflit entre des imaginaires concurrents (par exemple, laïc/républicain vs religieux/post colonial). Un déficit d’horizon culturel commun sera la source de fractures sans cesse renouvelées, et de séparatismes ravageurs. Il rendra le pays ingouvernable. Pour agir et évaluer dans la clarté, au sein de ce que Spinoza appelait une Cité, il faudrait continûment, et avec une énergie désespérée, se poser la question : « mais où cela vaut-il vraiment la peine d’aller, et d’aller ensemble ? »

____

(*) Agrégé de philosophie, Docteur d’État ès Lettres et Sciences Humaines, Professeur honoraire (Sciences de l’éducation) de l’Université Grenoble Alpes (UGA), Charles Hadji s’est consacré pendant vingt ans à la formation des enseignants des premier et second degrés, avant d’être enseignant-chercheur à l’Université de Lyon, puis à celle de Grenoble. Ses travaux ont porté principalement sur les apprentissages, et sur l’évaluation. Il est l’auteur, entreautres, de « Faut-il avoir peur de l’évaluation ? » (Bruxelles, De Boeck, 2012) ; et de « Le défi d’une évaluation à visage humain » (Paris, ESF Sciences Humaines, 2021).

Références bibliographiques :

  • Abelhauser, A., Gori, R., et Sauret, M. J. (2011). La folie évaluation. Les nouvelles fabriques de la servitude. Paris : Editions Mille et une nuits (Fayard).
  • Ardoino, J. (2000). Les avatars de l’éducation. Paris : PUF.
  • Hadji, C. (2012). Faut-il avoir peur de l’évaluation ? Bruxelles : De Boeck.

Des manques de salariés qualifiés partout

Des manques de salariés qualifiés partout

Dans presque toutes les filières économiques, le manque de salariés qualifiés caractérise la situation sociale. Un environnement qui permet aux salariés de revendiquer avec succès des augmentations salariale mais qui prive évidemment les entreprises de capacité de production. Les pénuries de main-d’œuvre demeurent un problème majeur. Selon les derniers chiffres de la Dares, rattachée au ministère du Travail, la France compterait au moins 539 000 postes vacants à la fin du deuxième trimestre. Le chiffre réel est probablement bien supérieur puisque l’organisme de statistique ne se concentre que sur les structures privées de plus de 9 salariés. 

Les difficultés se font sentir un peu partout dans l’industrie mais aussi dans l’agriculture ou même les services comme la restauration. En cause l’évolution démographique mais aussi l’inadéquation entre la formation des élèves et les besoins de l’économie. On forme à tour de bras des bacs  3 ou 5 en sciences sociales quand on a besoin de techniciens et d’ouvriers qualifiés.

C’est vrai aussi pour le domaine de l’informatique, où le nombre de diplômés augmente chaque année mais pas suffisamment pour suivre les besoins croissants des entreprises.

Plus généralement, depuis la fin de la pandémie de Covid, la France reste marquée par des niveaux de difficultés de recrutement «très élevé», selon Stéphane Ducatez, directeur général adjoint chargé du réseau de France Travail, puisqu’il touche 57,4% des projets d’embauche De  salariés qualifiés…. mais aussi non qualifiés .

 

Choléra: Un manque de vaccin mondial

Choléra:  Un manque de vaccin mondial

Compte tenu du nombre des flambées épidémiologiques et de leur expansion géographique, ainsi que de la pénurie de vaccins et d’autres ressources, l’OMS continue d’évaluer le risque au niveau mondial comme étant «très élevé», selon un bulletin épidémiologique mensuel sur le choléra publié jeudi par l’organisation.
Du 1er janvier au 28 juillet 2024, 307.433 cas de choléra et 2326 décès ont été signalés dans 26 pays, selon l’OMS. La région de la Méditerranée orientale enregistre les chiffres les plus élevés, suivie de la région africaine, de la région de l’Asie du Sud-Est, de la région des Amériques et de la région européenne. Aucune épidémie n’a été signalée dans la région du Pacifique occidental pendant cette période.

Le choléra est une infection diarrhéique aiguë provoquée par l’ingestion d’aliments ou d’eau contaminés par le bacille Vibrio cholerae. La transmission est dite féco-orale, soit directe par ingestion des bactéries provenant des selles d’individus contaminés, soit le plus souvent indirecte par ingestion d’eau ou d’aliments souillés. La maladie provoque des diarrhées, une déshydratation sévère pouvant engendrer la mort en quelques heures.

IA : manque d’investissement de l’UE

IA :  manque d’investissement de l’UE 

Une critique sans concession de la part de la Cour des Comptes européenne quant à l’insuffisance des investissements dans l’intelligence artificielle pas du tout à la hauteur des enjeux mondiaux. 

 

Dans un rapport dévoilé mercredi, la Cour tire à boulets rouges sur les investissements de l’UE dans l’intelligence artificielle, jugeant qu’ils ne sont pas à la hauteur de ses ambitions mondiales. Pour preuve sans doute l’appropriation de la problématique et des projets par les grands du numérique la plupart américain ou chinois.

Un manque flagrant d’investissements, pas vraiment de suivi de leur efficacité et une mauvaise coordination de la Commission européenne avec les Etats membres. C’est le jugement sévère de la Cour des comptes européenne sur les ambitions de Bruxelles dans l’intelligence artificielle (IA), alors que l’UE vient d’adopter le premier cadre réglementaire au monde contrôlant cette technologie controversée.

Mais ce sont surtout aux investissements de ces cinq dernières années que la Cour s’est intéressée et contre lesquels elle tire à boulets rouges, jugeant leurs objectifs « trop vagues et obsolètes » et pointant leur « manque d’ambition ». D’après la Cour, ils sont bien en deçà de ce qui serait nécessaire pour ériger Bruxelles en chef de file dans la compétition mondiale pour « une IA de pointe, éthique et sûre ».

Sondage politique Attal: Une bonne image mais un manque d’action

 

Sondage politique Attal: Une bonne image mais un manque d’action

Le premier ministre bénéficie encore d’une relative bonne image de marque mais il est un peu plus critiqué sur l’efficacité de son action d’après un sondage au Odoxa pour le Figaro. Près d’un Français sur deux (48%) le qualifie de «bon premier ministre». Soit deux points de plus qu’Édouard Philippe (46%), treize points de plus que Jean Castex (35%), et sept points de plus qu’Élisabeth Borne (41%) au même moment.  Pour les présidentielles de 2027, Gabriel Attal fait désormais jeu égal avec Édouard Philippe

 

Une majorité le trouve «dynamique» (68%), «sympathique» (62%), «ouvert au dialogue» (59%) mais surtout «compétent» (53%). Dans une France en quête d’incarnations fortes, 45% des personnes interrogées estiment que le chef du gouvernement est «charismatique». Et fait preuve d’«autorité». Seule ombre au tableau de sa personnalité, 62% des sondés doutent qu’il puisse tenir tête à Emmanuel Macron.

Le premier ministre a beau être apprécié, son action, elle, n’obtient pas les mêmes faveurs. Odoxa qualifie d’ailleurs les Français d’«un peu schizophrènes en se montrant extrêmement critiques avec la politique qu’il conduit». Dans le détail, 69% d’entre eux jugent négativement le bilan de Gabriel Attal sur les huit grands domaines testés. Y compris sur la «jeunesse» (59%) et l’«école» (64%), alors même qu’il avait construit sa renommé sur ces questions. Quant à la «sécurité», 67% des sondés se montrent insatisfaits. Mais c’est surtout sur l’«immigration» (75%) et la priorité du «pouvoir d’achat» (78%) que les Français se montrent les plus mécontents.

Dans l’optique de la présidentielle de 2027, 44% des Français pensent que Gabriel Attal ferait un bon candidat pour représenter la majorité. Juste en dessous de celui qui était jusqu’à présent l’unique favori au sein de la macronie dans l’opinion : Édouard Philippe (45%).
Comment expliquer alors cette dichotomie entre la bonne d’image que renvoie Gabriel Attal et le mauvais jugement que suscite son action ? Selon l’institut de sondage, «nos concitoyens estiment que c’est le président et pas le premier ministre qui, en réalité, est le seul réellement comptable du bilan de l’action du gouvernement.» «C’est sans doute ce qui explique aussi à quel point Gabriel Attal est plus populaire qu’Emmanuel Macron, 65% des Français disant le préférer à “son” président», précise Odoxa. Qui évoque le «paradoxe du quinquennat» : «Désormais, l’impopularité des présidents protège la popularité de leurs premiers ministres.»

Sondage politique Attal: Une bonne image mais un manque d’action

Sondage politique Attal: Une bonne image mais un manque d’action

Le premier ministre bénéficie encore d’une relative bonne image de marque mais il est un peu plus critiqué sur l’efficacité de son action d’après un sondage au Odoxa pour le Figaro. Près d’un Français sur deux (48%) le qualifie de «bon premier ministre». Soit deux points de plus qu’Édouard Philippe (46%), treize points de plus que Jean Castex (35%), et sept points de plus qu’Élisabeth Borne (41%) au même moment.  Pour les présidentielles de 2027, Gabriel Attal fait désormais jeu égal avec Édouard Philippe

 

Une majorité le trouve «dynamique» (68%), «sympathique» (62%), «ouvert au dialogue» (59%) mais surtout «compétent» (53%). Dans une France en quête d’incarnations fortes, 45% des personnes interrogées estiment que le chef du gouvernement est «charismatique». Et fait preuve d’«autorité». Seule ombre au tableau de sa personnalité, 62% des sondés doutent qu’il puisse tenir tête à Emmanuel Macron.

Le premier ministre a beau être apprécié, son action, elle, n’obtient pas les mêmes faveurs. Odoxa qualifie d’ailleurs les Français d’«un peu schizophrènes en se montrant extrêmement critiques avec la politique qu’il conduit». Dans le détail, 69% d’entre eux jugent négativement le bilan de Gabriel Attal sur les huit grands domaines testés. Y compris sur la «jeunesse» (59%) et l’«école» (64%), alors même qu’il avait construit sa renommé sur ces questions. Quant à la «sécurité», 67% des sondés se montrent insatisfaits. Mais c’est surtout sur l’«immigration» (75%) et la priorité du «pouvoir d’achat» (78%) que les Français se montrent les plus mécontents.

Dans l’optique de la présidentielle de 2027, 44% des Français pensent que Gabriel Attal ferait un bon candidat pour représenter la majorité. Juste en dessous de celui qui était jusqu’à présent l’unique favori au sein de la macronie dans l’opinion : Édouard Philippe (45%).
Comment expliquer alors cette dichotomie entre la bonne d’image que renvoie Gabriel Attal et le mauvais jugement que suscite son action ? Selon l’institut de sondage, «nos concitoyens estiment que c’est le président et pas le premier ministre qui, en réalité, est le seul réellement comptable du bilan de l’action du gouvernement.» «C’est sans doute ce qui explique aussi à quel point Gabriel Attal est plus populaire qu’Emmanuel Macron, 65% des Français disant le préférer à “son” président», précise Odoxa. Qui évoque le «paradoxe du quinquennat» : «Désormais, l’impopularité des présidents protège la popularité de leurs premiers ministres.»

Sondage Attal: Une bonne image mais un manque d’action

Sondage Attal: Une bonne image mais un manque d’action

Le premier ministre bénéficie encore d’une relative bonne image de marque mais il est un peu plus critiqué sur l’efficacité de son action d’après un sondage au Odoxa pour le Figaro. Près d’un Français sur deux (48%) le qualifie de «bon premier ministre». Soit deux points de plus qu’Édouard Philippe (46%), treize points de plus que Jean Castex (35%), et sept points de plus qu’Élisabeth Borne (41%) au même moment.  Pour les présidentielles de 2027, Gabriel Attal fait désormais jeu égal avec Édouard Philippe

 

Une majorité le trouve «dynamique» (68%), «sympathique» (62%), «ouvert au dialogue» (59%) mais surtout «compétent» (53%). Dans une France en quête d’incarnations fortes, 45% des personnes interrogées estiment que le chef du gouvernement est «charismatique». Et fait preuve d’«autorité». Seule ombre au tableau de sa personnalité, 62% des sondés doutent qu’il puisse tenir tête à Emmanuel Macron.

Le premier ministre a beau être apprécié, son action, elle, n’obtient pas les mêmes faveurs. Odoxa qualifie d’ailleurs les Français d’«un peu schizophrènes en se montrant extrêmement critiques avec la politique qu’il conduit». Dans le détail, 69% d’entre eux jugent négativement le bilan de Gabriel Attal sur les huit grands domaines testés. Y compris sur la «jeunesse» (59%) et l’«école» (64%), alors même qu’il avait construit sa renommé sur ces questions. Quant à la «sécurité», 67% des sondés se montrent insatisfaits. Mais c’est surtout sur l’«immigration» (75%) et la priorité du «pouvoir d’achat» (78%) que les Français se montrent les plus mécontents.

Dans l’optique de la présidentielle de 2027, 44% des Français pensent que Gabriel Attal ferait un bon candidat pour représenter la majorité. Juste en dessous de celui qui était jusqu’à présent l’unique favori au sein de la macronie dans l’opinion : Édouard Philippe (45%).
Comment expliquer alors cette dichotomie entre la bonne d’image que renvoie Gabriel Attal et le mauvais jugement que suscite son action ? Selon l’institut de sondage, «nos concitoyens estiment que c’est le président et pas le premier ministre qui, en réalité, est le seul réellement comptable du bilan de l’action du gouvernement.» «C’est sans doute ce qui explique aussi à quel point Gabriel Attal est plus populaire qu’Emmanuel Macron, 65% des Français disant le préférer à “son” président», précise Odoxa. Qui évoque le «paradoxe du quinquennat» : «Désormais, l’impopularité des présidents protège la popularité de leurs premiers ministres.»

Sondage Attal: Une bonne image mais un manque d’action

Sondage Attal: Une bonne image mais un manque d’action

Le premier ministre bénéficie encore d’une relative bonne image de marque mais il est un peu plus critiqué sur l’efficacité de son action d’après un sondage au Odoxa pour le Figaro. Près d’un Français sur deux (48%) le qualifie de «bon premier ministre». Soit deux points de plus qu’Édouard Philippe (46%), treize points de plus que Jean Castex (35%), et sept points de plus qu’Élisabeth Borne (41%) au même moment.  Pour les présidentielles de 2027, Gabriel Attal fait désormais jeu égal avec Édouard Philippe

 

Une majorité le trouve «dynamique» (68%), «sympathique» (62%), «ouvert au dialogue» (59%) mais surtout «compétent» (53%). Dans une France en quête d’incarnations fortes, 45% des personnes interrogées estiment que le chef du gouvernement est «charismatique». Et fait preuve d’«autorité». Seule ombre au tableau de sa personnalité, 62% des sondés doutent qu’il puisse tenir tête à Emmanuel Macron.

Le premier ministre a beau être apprécié, son action, elle, n’obtient pas les mêmes faveurs. Odoxa qualifie d’ailleurs les Français d’«un peu schizophrènes en se montrant extrêmement critiques avec la politique qu’il conduit». Dans le détail, 69% d’entre eux jugent négativement le bilan de Gabriel Attal sur les huit grands domaines testés. Y compris sur la «jeunesse» (59%) et l’«école» (64%), alors même qu’il avait construit sa renommé sur ces questions. Quant à la «sécurité», 67% des sondés se montrent insatisfaits. Mais c’est surtout sur l’«immigration» (75%) et la priorité du «pouvoir d’achat» (78%) que les Français se montrent les plus mécontents.

Dans l’optique de la présidentielle de 2027, 44% des Français pensent que Gabriel Attal ferait un bon candidat pour représenter la majorité. Juste en dessous de celui qui était jusqu’à présent l’unique favori au sein de la macronie dans l’opinion : Édouard Philippe (45%).
Comment expliquer alors cette dichotomie entre la bonne d’image que renvoie Gabriel Attal et le mauvais jugement que suscite son action ? Selon l’institut de sondage, «nos concitoyens estiment que c’est le président et pas le premier ministre qui, en réalité, est le seul réellement comptable du bilan de l’action du gouvernement.» «C’est sans doute ce qui explique aussi à quel point Gabriel Attal est plus populaire qu’Emmanuel Macron, 65% des Français disant le préférer à “son” président», précise Odoxa. Qui évoque le «paradoxe du quinquennat» : «Désormais, l’impopularité des présidents protège la popularité de leurs premiers ministres.»

Il manque aux Français 900 euros en moyenne par mois pour «bien vivre», selon une étude

Il manque aux Français 900 euros en moyenne par mois pour «bien vivre», selon une étude

D’après une récente étude menée par l’Observatoire Société et Consommation (ObSoCo) pour la banque en ligne BforBank*, portant sur le rapport des Français à l’argent, Il manquerait en moyenne environ 900 € pour bien vivre. Le problème pour les bas revenus c’est que pratiquement 80 % des moyens financiers sont présentés par des dépenses contraintes ( logement, alimentation, transport, biens et services indispensables). Il ne reste que de l’ordre de 20 % en moyenne pour le superflu type vacances ou loisir en général.

Comme différents sondages similaires l’ont déjà montré, peu de Français sont réellement satisfaits de leurs revenus. Seuls quatre sur dix (39%) ressentent en effet une forme de «bien-être financier».

Le supplément de revenu idéal est par ailleurs plus élevé chez les 55-64 ans (1014 euros), chez les familles avec enfants (1077 euros) et chez les habitants de région parisienne (1044 euros). Il manque aussi plus d’argent aux hommes (943 euros) qu’aux femmes (852 euros).

 

De tels résultats semblent dépeindre un tableau sombre. D’autant que plus de trois Français sur quatre (76%) estiment que leur situation financière contribue directement à leur bien-être. Pourtant, 68% des Français ressentent un «bien-être général». Et plus de la moitié des sondés (55%) se disent satisfaits de leur vie actuelle. L’argent ne ferait-il pas (complètement) le bonheur ?

*Étude de l’ObSoCo pour BforBank, réalisée du 21 au 30 août 2023 auprès d’un échantillon de 2000 personnes représentatives de la population
France métropolitaine de 18 à 75 ans.

Santé : une taxe de cinq euros pour rendez-vous médical manqué

Santé : une taxe de cinq euros pour rendez-vous médical manqué

 

Le Premier ministre a notamment annoncé ce samedi 6 avril que les patients ne se présentant pas à leur rendez-vous médical se verront infliger une pénalité de 5 euros.

Le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé une batterie de mesures ce samedi 6 avril portant sur le système de santé et afin de « reconquérier 15 à 20 millions de rendez-vous médicaux chaque année ». Il a notamment fait savoir que le nombre de places en deuxième année de médecine sera porté à 12.000 en 2025 puis à 16.000 en 2027, contre 8.150 en 2017 et 10.000 en 2023.

Selon le chef du gouvernement, les pharmaciens pourront également prescrire directement des antibiotiques pour les cas d’angines et de cystites à partir de juin. À cette date, les opticiens devraient aussi pouvoir directement adapter les ordonnances faites par les ophtalmologues lorsque la prescription faite n’est pas ou plus adaptée.

Une expérimentation va également être menée dans un département par région pour que les patients puissent avoir un accès direct aux médecins spécialistes sans avoir à passer par un médecin généraliste.

 

 

Technologies « écologiques » : manque d’investissements

Technologies « écologiques » : manque d’investissements

 

80 % ! Telle est la part des investissements industriels mondiaux réalisés en Asie et en Amérique en 2023. Loin derrière, notre vieux continent ne pèse que pour 6 %, en dépit de ses ambitions pour accoucher d’une « croissance verte ». La France a arrêté un plan d’investissement de 11 milliards par an pendant cinq ans, France 2030, destiné à « accélérer la transformation des secteurs clés de notre économie » et à se positionner « en leader du monde de demain ». À titre de comparaison, la Corée du Sud s’apprête à investir 12 milliards par an pendant vingt ans sur le seul cluster industriel des semi-conducteurs ! Certes, France 2030 ne résume pas l’ensemble des investissements innovants accomplis en France et l’Europe n’est pas restée inactive, mais la course technologique se joue puissance contre puissance ; et à la fin, c’est l’Asie ou l’Amérique qui gagne.

 

Par Louis Gallois et Pierre-André de Chalendar (*) dans la Tribune

Cette concurrence mortifère est particulièrement âpre pour des industries directement liées aux enjeux de la transition écologique. Comment y faire face ? Tout d’abord, être au meilleur niveau technologique : autrement dit, accentuer le soutien à l’effort de recherche et d’innovation. À cet égard, le CIR joue en France un rôle essentiel. Le programme France 2030 cible avec raison certaines des technologies les plus sensibles à l’avenir pour notre industrie. Il faudrait aller plus loin et porter l’effort national de recherche de 2,2 % à 3 % du PIB, objectif fixé il y a plus de vingt ans à Lisbonne et que dépassent les États-Unis, la Corée, le Japon, ou l’Allemagne.

Le deuxième impératif est celui de la compétitivité de l’appareil industriel. Les industries liées à la transition énergétique reçoivent aux États-Unis un soutien massif avec l’IRA. La Chine assure de facto la quasi-exclusivité de son immense marché et de ses programmes étatiques à son industrie domestique, à qui elle offre ainsi une rampe de lancement à son offensive mondiale. On l’a vu pour le photovoltaïque ; l’histoire risque de se reproduire pour les éoliennes ou les batteries automobiles. L’Europe ne peut pas rester inerte. La France est à l’origine des Projets importants d’intérêt européen commun (PIEEC) qui ont par exemple porté les premières usines de batteries européennes. La Commission a heureusement assoupli sa position sur les aides d’État, comme le montre sa récente autorisation de la subvention allemande de 740 millions d’euros, au profit du suédois Northvolt, pour éviter que ce dernier n’implante son usine de batteries aux États-Unis. Pourrait-on imaginer que l’Europe, comme elle l’a fait pour le Covid, mobilise sur son crédit des financements permettant à l’industrie européenne de faire sa mutation vers un monde décarboné en restant compétitive ?

Face aux protectionnismes, oser la riposte

Mais une question se pose : la Chine n’est pas un marché ouvert et les États-Unis développent des politiques ouvertement protectionnistes : quelle peut être la réponse de l’Europe ? À tout le moins, deux ripostes sont possibles, sans remettre en cause le principe d’ouverture des frontières. La première, c’est la prise en compte du contenu carbone des produits importés. Le système d’ajustement carbone aux frontières récemment mis en place ne résout que très partiellement la question et présente même des risques car il peut peser sur la compétitivité des productions européennes. La mesure mise en œuvre en France conditionnant le bonus à l’achat des véhicules électriques au respect d’un seuil de contenu carbone, elle, est au contraire exemplaire, même si elle est ponctuelle.

La deuxième riposte, c’est l’application, concrète et stricte, du principe de réciprocité lorsque l’industrie européenne se heurte pour exporter à un protectionnisme direct ou indirect. L’Europe reconnaît le principe de réciprocité, mais elle a été jusqu’à présent frileuse dans sa mise en œuvre, craignant des rétorsions. La situation de concurrence sur certaines industries justifierait de l’activer plus franchement.

Enfin, faut-il exclure, sur des industries non encore stabilisées et sur des marchés nouveaux adossés à des politiques publiques et liés à la transition écologique, des mesures européennes de limitation temporaire des importations ? Il s’agit de permettre à nos industries naissantes ou adolescentes de gagner en maturité sans être, dès le départ, submergées par une concurrence extérieure qui s’appuie elle-même sur des marchés de fait protégés. La question peut se poser à brève échéance pour les éoliennes ou les batteries d’origine chinoise. Le précédent du photovoltaïque doit nous conduire au moins à ne pas l’éluder.

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(*) Louis Gallois : Diplômé de l’Ecole des hautes études commerciales et de l’Ecole nationale d’administration (promotion Charles de Gaulle), après une carrière dans l’administration publique, il devient successivement PDG de la Snecma (1989), d’Aérospatiale (1992), président de la SNCF (1996), et président exécutif d’EADS N.V. (2007), président du conseil de surveillance de PSA (2014-2021). Il est co-président de La Fabrique de l’industrie depuis sa création en 2011.

Pierre-André de Chalendar : Diplômé de l’ESSEC et ancien élève de l’Ecole Nationale d’Administration, ancien Inspecteur des Finances, il est, depuis juillet 2021, Président du Conseil d’administration de la Compagnie de Saint-Gobain. Pierre-André de Chalendar est par ailleurs administrateur de BNP Paribas et de Veolia ainsi que et Vice-Président d’Entreprises pour l’Environnement, qu’il présida de 2012 à 2015. Depuis juillet 2017 il est co-président de La Fabrique de l’industrie et Président du Conseil de surveillance de l’ESSEC depuis février 2019.

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