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Politique- Algérie : la haine de la France comme martingale politique

Politique- Algérie : la haine de la France comme martingale politique

La dictature militaire algérienne n’en finit pas de ressortir la vieille martingale politique qui consiste à encourager la haine de la France. Et de saisir l’occasion de l’arrestation d’un écrivain algérien, arrestation contestée par la France et par d’autres pays démocratiques . La vieille rengaine pour masquer la dictature, maintenir la division et permettre à la classe dirigeante de piller le pays pourtant très riche tout en maintenant la population dans la pauvreté .Pour les autorités algériennes l’écrivain Boualem Sansal est  « un pantin utile »

Algérie Presse Service, l’agence de presse qui dépend du ministère algérien de l’Information, a publié un article dans lequel elle s’attaque aux soutiens dont bénéficie l’écrivain depuis son arrestation.
Elle ne parle pas de « disparition » mais bien d’ »arrestation ». Algérie Presse Service a diffusé un article ce vendredi 22 novembre dans lequel elle indique que l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal a bien été arrêté à l’aéroport d’Alger.

« L’arrestation de Boualem Sansal, pseudo intellectuel, vénéré par l’extrême-droite française, a réveillé les professionnels de l’indignation », écrit l’agence sur son site Internet.
Des proches de l’écrivain d’origine algérienne, naturalisé français cette année, se disaient « sans nouvelles » de lui depuis son arrivée en Algérie le 16 novembre. Jeudi soir, Emmanuel Macron s’est dit « très préoccupé » par la « disparition » Boualem Sansal, a appris BFMTV auprès de l’entourage du président de la République.
« Agitation comique »
Plusieurs autres personnalités politiques françaises telles qu’Édouard Philippe, Christian Estrosi ou Jérôme Guedj avaient précédé le chef de l’État en exprimant également leur inquiétude.

« L’agitation comique d’une partie de la classe politique et intellectuelle française sur le cas de Boualem Sansal est une preuve supplémentaire de l’existence d’un courant ‘haineux’ contre l’Algérie », écrit l’agence de presse.
« La France Macronito-Sioniste qui s’offusque de l’arrestation de Sansal (à l’aéroport d’Alger), n’a toujours pas déclaré au monde si elle a la souveraineté nécessaire de pouvoir arrêter Benjamin Netanyahu, si jamais il se pointerait à l’aéroport Charles De Gaulle », poursuit Algérie Presse Service, en référence au mandat d’arrêt émis contre le Premier ministre israélien par la Cour pénale internationale.

L’Algérie solidaire avec la Russie !

« Accuser l’Algérie d’empêcher la liberté d’expression, alors que les Français détiennent toujours Pavel Durov, le fondateur de la messagerie Telegram, plateforme mondiale de l’expression, est la confirmation de cette sinistre comédie dont seul Sansal est le pantin utile », conclut enfin l’agence de presse algérienne. Arrêté en août 2024, puis remis en liberté par les autorités, Pavel Durov est contraint de rester sur le territoire français.

Une tonalité d’expression particulièrement agressive qui témoigne aussi  des doutes sur la légitimité du régime militaire au pouvoir en Algérie.

 

Budget : comme de bien entendu Barnier utilisera le 49-3

Budget : comme de bien entendu Barnier utilisera le 49-3

Ce gouvernement bancal sans aucune majorité et même sans soutien dans le fameux bloc du centre va recourir aux 49–3 pour l’adoption du budget.

En cause, le fait que le débat à l’assemblée nationale n’aura servie strictement à rien et même contribué à rendre complètement incohérent un budget déjà très critiquable. L’objectif initial de ce budget était de réduire le déficit. L’Assemblée nationale a fait le contraire en ajoutant des impôts aux impôts et des dépenses aux dépenses.

Dans l’opération tout le monde est perdant; le premier ministre bien sûr et son gouvernement qui n’ont pas réussi à affirmer une certaine crédibilité technique et politique. Mais aussi ce qui reste de la majorité et qu’on appelle le « bloc central »qui a affiché ses oppositions publiquement. ( Attal contre Wauquiez notamment).

Ne parlons pas de la gauche qui a bien tenu son rôle de clown dans ce véritable cirque à l’irresponsabilité.

Pour l’instant le rassemblement national qui détient les véritables clés de la vie de ce très fragile gouvernement se fait très discret sachant qu’une dissolution de l’Assemblée nationale ne pourra pas intervenir avant l’été 2025.

Pour autant, les dernières orientations de la justice dans le procès fait au rassemblement national concernant les assistants parlementaires européens pourraient amener le parti à durcir sa position et à se montrer moins complaisant vis-à-vis du gouvernement

Au vu des rapports de force à l’Assemblée nationale, «il semble difficile» pour le premier ministre «de faire autrement au bout de la discussion» parlementaire.

Michel Barnier annonce dans Ouest-France qu’il engagera «probablement» la responsabilité de son gouvernement sur le budget par l’article 49.3 de la Constitution, qui permet une adoption du texte sans vote. «Quand je vois ce qu’il s’est passé à l’Assemblée», où ses soutiens de la droite et du centre ont rejeté le projet de budget pour 2025 qui avait été profondément modifié par la gauche, «il me semble difficile de faire autrement au bout de la discussion», a affirmé le premier ministre dans un entretien au quotidien régional mis en ligne jeudi soir.

 

Inflation États-Unis : encore en baisse.. comme la croissance

Inflation États-Unis : encore en baisse.. comme la croissance

 

Aux États-Unis, comme ailleurs y compris en France, la nette baisse de l’inflation constitue une bonne nouvelle. Une évolution qu’on attribue en partie à la politique monétaire avec une réduction progressive des taux d’intérêt. Mais une diminution qui pourrait bien provenir aussi du tassement de la croissance mondiale en particulier des conséquences des difficultés économiques chinoises ( responsable par exemple notamment du tassement allemand en Europe).

Même aux États-Unis des inquiétudes sérieuses naissent à propos de l’évolution du nombre de chômeurs. Autant d’éléments pour encourager encore les banques centrales à diminuer leur taux d’intérêt.

Le département du Commerce américain , l’indice d’inflation PCE a reculé à 2,1% sur un an, contre 2,3% en août, atteignant presque l’objectif de 2% fixé par la Banque centrale américaine (Fed).

Dans le détail, en excluant les prix volatils de l’alimentation et de l’énergie, l’inflation dite sous-jacente est stable sur un an, à 2,7%, mais enregistre également une légère accélération sur un mois, à 0,3% contre 0,2%. Une autre mesure de l’inflation, l’indice CPI, publié plus tôt dans le mois et sur lequel sont indexées les retraites, est également tombé en septembre à son plus bas niveau depuis février 2021, 2,4% sur un an.
De l’autre côté de l’atlantique, en France donc, l’inflation semble se stabiliser. C’est ce que disent les dernières estimations provisoires de l’Insee sur le sujet, puisque après 1,1% en septembre, les prix à la consommation ont augmenté de 1,2% au mois d’octobre, sur un an. En outre, l’indice des prix à la consommation tricolore harmonisé (IPCH), qui permet les comparaisons entre pays européens, augmente de 1,5% en octobre, après 1,4% en septembre. Mais là aussi on constate une évolution négative du chômage

 

Jour de carence des fonctionnaires : trois jours comme dans le privé

Jour de carence des fonctionnaires : trois jours comme dans le privé

 

Le ministre de la Fonction publique  GUILLAUME KASBARIAN  annonce un grand plan de lutte contre l’absentéisme des fonctionnaires.

 » J’ai hérité d’un ministère qui porte une dynamique pour tous les agents publics – à qui je veux redire mon respect pour leur travail et leur engagement courageux auprès des Français. Mes priorités sont multiples et concernent la valorisation, la rémunération, le logement, les conditions de travail des fonctionnaires. Mais aussi la simplification – dont j’ai hérité dans l’intitulé de mon ministère -, à la fois pour les usagers et, je le dis avec force, pour les agents eux-mêmes, qui souffrent de l’excès de bureaucratisation. »

Les arrêts maladie des fonctionnaires sont aussi  dans le viseur de Bercy.

 

Comme Mélenchon, Édouard Philippe fait dans la bordelisolation du pays

Comme Mélenchon, Édouard Philippe fait dans la bordelisolation du pays

 

Jusque-là ce sont surtout les insoumis évidemment en particulier Mélenchon qui s’étaient spécialisés dans la bordelisation du pays. Maintenant, c’est l’ancien premier ministre même de Macon, Édouard Philippe, qui vient avec ses gros sabots en rajouter sur la crise politique. Alors qu’on cherche désespérément un premier ministre, lui annonce sa candidature pour 2027 et même avant. En clair, il ouvre l’hypothèse d’un départ anticipé de Macron et se déclare prêt à y faire face. Bref un peu comme Mélenchon mais à sa manière sans brutalité mais sans grande élégance.

L’occasion sans doute pour lui de se rappeler à l’opinion d’autant qu’il n’avait pas laissé un souvenir impérissable comme Premier ministre notamment avec ses positions sur la réforme des retraites comme par exemple encore sur la limitation de vitesse à 80 sur certaines routes.

«Qu’est-ce qu’il fait ? C’est le pire timing !», souffle-t-on dans ses rangs, où l’on n’avait pas vu venir ce coup de poker de rentrée. «Il a fait ça dans son coin, sans que grand monde ne soit au courant. Comme ça, aucune fuite possible», raconte l’un de ses proches, lui-même surpris en découvrant cette annonce en début de soirée. Depuis des semaines, les regards sont plutôt braqués sur l’interminable feuilleton de Matignon, alors qu’Emmanuel Macron, sous pression, cherche toujours son prochain premier ministre.

 

Economie: Comme la croissance, l’emploi en berne

Economie: Comme la croissance, l’emploi en berne

Certains experts s’étonnent que l’emploi soit à nouveau orienté à la baisse. Il n’y a pourtant pas de miracle puisque c’est une conséquence directe du très net tassement de la croissance qui devrait tourner autour de 0. 7 % en 2024. Le phénomène est d’ailleurs mondial. Mais il affecte en particulier la Chine affrontée à des questions financières, d’endettement et de consommation intérieure sans parler de la question plus structurelle de la démographie qui s’écroule et de la mainmise du parti communiste qui étouffe l’économie. Même aux États-Unis on s’interroge maintenant sur la possibilité d’une croissance également en berne depuis l’été. Parmi les éléments explicatifs, il faut aussi prendre en compte la baisse du commerce international notamment concernant le secteur automobile qui s’interroge toujours sur les perspectives de la voiture électrique. À noter également que le contexte géopolitique international n’est pas favorable à une vision sereine de l’avenir en particulier du fait de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, des menaces au Proche-Orient et en mer de Chine.

 

Après un premier trimestre qui avait surpris par son dynamisme, le marché du travail a marqué le pas au printemps. Entre fin mars et fin juin, l’emploi salarié du secteur privé est resté quasi stable, avec 7.900 postes en moins, selon une estimation provisoire de l’Insee publiée ce mardi matin, alors qu’il avait augmenté de 61.000 sur les trois premiers mois de l’année (+0,3 %).

A un peu plus de 21,15 millions, les effectifs salariés dans le secteur privé excèdent toujours leur niveau d’il y a un an de 0,4 % (soit +78.000 postes) et celui d’avant la crise sanitaire (fin 2019) de 6,1 % (+ 1,2 million d’emplois), a précisé l’Institut statistique national.

Pour mémoire, au premier trimestre, l’économie française s’était enrichie de 75.000 emplois au total, dans le privé et le public, salariés ou non. La progression dans le privé tenant principalement de CDD et de deux secteurs d’activité, hôtellerie-restauration et services aux entreprises, nombre d’observateurs y avaient vu un effet préparation aux JO , les jeunes en étant les principaux bénéficiaires.

Les entreprises ont-elles ensuite levé le pied sur les embauches, malgré une croissance du PIB qui s’est avérée plus forte que prévu selon une première estimation de l’Insee La publication, le 30 août prochain, des chiffres définitifs du deuxième trimestre, permettra d’y voir plus clair, d’autant qu’ils infirment souvent les chiffres provisoires, dans un sens comme dans l’autre.

En attendant, l’estimation flash publiée ce mardi montre que l’emploi a continué sa glissade dans la construction, avec 6.300 postes en moins au deuxième trimestre, qui s’ajoutent aux 9.000 perdus sur le premier. Habituelle locomotive du marché du travail, le tertiaire marchand hors intérim est quasi stable, ne gagnant que 6.300 emplois après +50.700. L’intérim s’affiche en net recul (-20.000). L’agriculture a connu le même sort, quoique de manière plus mesurée (-2.100).

Dans sa dernière note de conjoncture – publiée le 9 juillet, mais réalisée avant la dissolution de l’Assemblée – l’Insee tablait sur une progression de l’emploi total modérée de 0,1 sur chacun des trois derniers trimestres de l’année. Soit +185.000 postes, fin 2024, sur un an.

Comme la croissance, l’emploi en berne

Comme la croissance, l’emploi en berne

Certains experts s’étonnent que l’emploi soit à nouveau orienté à la baisse. Il n’y a pourtant pas de miracle puisque c’est une conséquence directe du très net tassement de la croissance qui devrait tourner autour de 0. 7 % en 2024. Le phénomène est d’ailleurs mondial. Mais il affecte en particulier la Chine affrontée à des questions financières, d’endettement et de consommation intérieure sans parler de la question plus structurelle de la démographie qui s’écroule et de la mainmise du parti communiste qui étouffe l’économie. Même aux États-Unis on s’interroge maintenant sur la possibilité d’une croissance également en berne depuis l’été. Parmi les éléments explicatifs, il faut aussi prendre en compte la baisse du commerce international notamment concernant le secteur automobile qui s’interroge toujours sur les perspectives de la voiture électrique. À noter également que le contexte géopolitique international n’est pas favorable à une vision sereine de l’avenir en particulier du fait de la guerre entre la Russie et l’Ukraine, des menaces au Proche-Orient et en mer de Chine.

 

Après un premier trimestre qui avait surpris par son dynamisme, le marché du travail a marqué le pas au printemps. Entre fin mars et fin juin, l’emploi salarié du secteur privé est resté quasi stable, avec 7.900 postes en moins, selon une estimation provisoire de l’Insee publiée ce mardi matin, alors qu’il avait augmenté de 61.000 sur les trois premiers mois de l’année (+0,3 %).

A un peu plus de 21,15 millions, les effectifs salariés dans le secteur privé excèdent toujours leur niveau d’il y a un an de 0,4 % (soit +78.000 postes) et celui d’avant la crise sanitaire (fin 2019) de 6,1 % (+ 1,2 million d’emplois), a précisé l’Institut statistique national.

Pour mémoire, au premier trimestre, l’économie française s’était enrichie de 75.000 emplois au total, dans le privé et le public, salariés ou non. La progression dans le privé tenant principalement de CDD et de deux secteurs d’activité, hôtellerie-restauration et services aux entreprises, nombre d’observateurs y avaient vu un effet préparation aux JO , les jeunes en étant les principaux bénéficiaires.

Les entreprises ont-elles ensuite levé le pied sur les embauches, malgré une croissance du PIB qui s’est avérée plus forte que prévu selon une première estimation de l’Insee La publication, le 30 août prochain, des chiffres définitifs du deuxième trimestre, permettra d’y voir plus clair, d’autant qu’ils infirment souvent les chiffres provisoires, dans un sens comme dans l’autre.

En attendant, l’estimation flash publiée ce mardi montre que l’emploi a continué sa glissade dans la construction, avec 6.300 postes en moins au deuxième trimestre, qui s’ajoutent aux 9.000 perdus sur le premier. Habituelle locomotive du marché du travail, le tertiaire marchand hors intérim est quasi stable, ne gagnant que 6.300 emplois après +50.700. L’intérim s’affiche en net recul (-20.000). L’agriculture a connu le même sort, quoique de manière plus mesurée (-2.100).

Dans sa dernière note de conjoncture – publiée le 9 juillet, mais réalisée avant la dissolution de l’Assemblée – l’Insee tablait sur une progression de l’emploi total modérée de 0,1 sur chacun des trois derniers trimestres de l’année. Soit +185.000 postes, fin 2024, sur un an.

Sahara occidental : l’Allemagne comme la France, pour le Maroc

Sahara occidental : l’Allemagne comme la France, pour le Maroc 

Après la France, «l‘Allemagne considère le plan d’autonomie présenté en 2007 comme un effort sérieux et crédible du Maroc et comme une bonne base pour une solution acceptée par les deux parties.

 

Le Sahara occidental représente un enjeu économique et politique pour les deux pays qui se disputent maintenant le leadership dans la région.  Le Sahara occidental constitue un enjeu économique et politique pour les deux pays. Économique grâce aux ressources du Sahara occidental et politique grâce au développement très maîtrisé du Maroc. Depuis 2022, la richesse nationale du Maroc a dépassé celle de l’Algérie. Même chose sur le plan de la puissance militaire .

Rabat avait suspendu tous ses contacts avec l’ambassade d’Allemagne au Maroc en mars 2021 en raison de «malentendus profonds» avec Berlin. Parmi les points de friction, figurait la position de l’Allemagne sur le Sahara occidental. Berlin avait critiqué la décision de Washington de reconnaître en décembre 2020 la souveraineté du Maroc sur ce territoire disputé. La brouille diplomatique avait commencé à se dissiper en décembre dernier quand Rabat avait salué des déclarations «positives» de la part du nouveau gouvernement allemand sur ce dossier. Dans un discours samedi, le roi du Maroc Mohammed VI a mis en demeure «certains partenaires» à «clarifier» leur position sur le Sahara occidental et à soutenir «sans aucune équivoque» l’initiative marocaine d’autonomie, un message qui s’adressait d’abord à la France, avec laquelle les relations se sont refroidies, selon les médias locaux.

Dans des termes analogues et antérieurs à ceux de l’Allemagne, Paris a déjà dit considérer le plan d’autonomie marocain comme «une base de discussions sérieuse et crédible». Le conflit du Sahara occidental, ex-colonie espagnole, oppose depuis des décennies le Maroc aux indépendantistes sahraouis du Front Polisario, soutenus par Alger. Rabat prône un plan d’autonomie sous sa souveraineté tandis que le Polisario réclame un référendum d’autodétermination sous l’égide de l’ONU.

Trône du Corée-du-Nord : Gras comme un cochon, Kim Yong pense à sa fille

Trône du Corée-du-Nord : Gras comme un cochon, Kim Yong pense à sa fille

 Kim Jong, Le dictateur fou d’environ 140 kg pour à peine plus de 1.60m est en mauvaise santé pense à sa succession royale ( officiellement communiste) et pourrait transmettre le pouvoir à sa fille pourtant très jeune. Rien n’est sûr car en Corée du Nord n’a l’habitude de liquider certains héritiers un peu trop pressés. 

 

En mars, Kim Ju Ae avait été désignée par les médias d’Etat avec le titre très honorifique de « hyangdo » en coréen (« grande personne de conseil »), laissant penser qu’elle pourrait succéder à Kim Jong Un. « Notant l’utilisation du terme « hyangdo », réservé à un dirigeant ou à son successeur, le NIS estime que le projet successoral prend forme dans une certaine mesure », a confié aux journalistes un autre député, Park Sun-won.

Yo Jong est également considérée comme une personnalité influente. La Corée du Nord est dominée depuis 1948 par la dynastie Kim, également appelée « lignée Paektu », du nom d’une montagne sacrée qui est le berceau légendaire du peuple coréen et où, selon la propagande nord-coréenne, a vu le jour Kim Jong Il qui avait lui-même succédé à son père Kim Il Sung.

Aucune femme n’a jamais dirigé le pays, mais « l’appartenance de Ju Ae à la lignée sacrée Paektu du clan Kim et la volonté du dirigeant actuel, s’il la désigne comme successeure, l’emporteront sur son genre », estime Vladimir Tikhonov, professeur d’études coréennes à l’Université d’Oslo.

Ju Ae vit sans aucun doute à l’abri du besoin mais « elle est utilisée à des fins idéologiques et politiques et doit adopter une attitude publique pour laquelle elle est trop jeune », juge-t-il. Sur des vidéos officielles, la jeune fille a pu sembler parfois fatiguée et avoir la bougeotte. « Au final, cela reste une enfant », pointe Soo Kim de LMI Consulting, une ancienne analyste de la CIA.

Politique : Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Politique :P ourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. La dernière proposition de la gauche et celle d’une  » haute fonctionnaire » chargée des finances et  des achats à la mairie de Paris (on a discrètement effacé son CV de Wikipédia pour en faire une éventuelle première ministre présentable !).  Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe, Vauquiez voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

Politique : Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Politique :P ourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. La dernière proposition de la gauche et celle d’une  » haute fonctionnaire » chargée des achats à la mairie de Paris (on a discrètement effacé son CV de Wikipédia pour en faire une éventuelle première ministre présentable !).  .Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe, Vauquiez voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Pourquoi pas Nabilla comme première ministre ?

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. Moins pour faire face à la crise que pour discréditer la démocratie. Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

Pourquoi pas Nabilla comme première ministre

Pourquoi pas Nabilla comme première ministre

Les différents partis politiques se concurrencent quant à la médiocrité de leur leader. Ainsi cette semaine on a assisté à des propositions pour le poste de Premier ministre tout à fait fantaisistes. D’autres viendront dans le climat de décomposition politique actuelle. Moins pour faire face à la crise que pour discréditer la démocratie. Au sein même de la majorité ( l’ancienne) , on a même avancé le nom de Darmanin qui cherche à faire une alliance avec les anciens républicains, Édouard Philippe voire certains du rassemblement national ( les petits dîners secrets notamment entre Édouard Philippe et Le Pen).

L’Opinion considère, après avoir salué le vote anti Macron, que la France politique est ingérable et réclame un gouvernement d’union. Gouvernement d’union impossible avec les oukazes des uns et des autres qui d’ailleurs pensent davantage à l’élection présidentielle de 2027( voire avant) qui a la gouvernance dans l’intérêt général actuellement.

Au point où on en est, on pourrait aussi avancer l’idée de Nabilla comme future première ministre, elle remplit les conditions d’incompétence totale comme d’autres candidats.

BCE: Comme prévu, baisse des taux de 4 % à 3,75%

BCE: Comme prévu, baisse des taux de 4 % à 3,75%

 

Une baisse des taux comme prévu mais sans aucune assurance concernant de nouvelles étapes en 2024. Le taux de dépôt est ramené à 3,75 %. Mais pour Christine Lagarde, le combat pour maîtriser l’inflation, sur la bonne voie, n’est pas terminé. En clair de nouvelles étapes demeurent hypothétique pour l’année en cours ( comme pour la banque centrale américaine qui pourrait ne retenir qu’une seule baisse de taux en 2024). 

 

La Banque centrale européenne (BCE) a diminué ses taux directeurs d’un quart de point, comme attendu depuis des semaines. La décision du Conseil des gouverneurs, réuni jeudi à Francfort, prise à la quasi-unanimité de ses vingt-six membres, à une voix près, apporte un peu d’oxygène à l’économie européenne étranglée par des taux élevés depuis des mois. La baisse de 4 % à 3,75 % du taux de dépôt n’est pourtant pas le coup d’envoi d’un desserrement régulier de l’étau espéré par les acteurs de l’économie : ménages emprunteurs, entreprises qui investissent ou États endettés.

« Nous ne nous engageons pas à l’avance sur une trajectoire de taux particulière », Un avertissement pour tous ceux qui pensaient à des nouvelles phases de baisse pour l’année en cours

 

Les « dark stores » considérés comme des entrepôts !

Les « dark stores » considérés comme des entrepôts !

 

Les magasins de stockage et l’enlèvement des marchandises commandées sur Internet seront désormais considérés comme des entrepôts d’après le conseil d’État. Une différence de taille évidemment concernant les conditions de concurrence vis-à-vis des commerces locaux classiques.
La plus haute juridiction administrative vient de rejeter la requête de l’entreprise Getir. Cette dernière spécialisée dans la préparation des livraisons de produits de consommation courante sur Internet avait attaqué l’arrêté gouvernemental du 22 mars 2023 définissant les « dark stores » comme des « entrepôts ».

Ces locaux, où des sociétés de livraison rapide stockent des produits du quotidien, les mêmes que dans une supérette de centre-ville (nourriture, papier toilette, shampoing…, sont accusés de nuire au développement de l’artisanat et des commerces de proximité. Ils sont aussi soupçonnés d’engendrer une pollution atmosphérique et sonore, tout en interrogeant par leur modèle social discutable. (Photo d’illustration) (Crédits : Reuters)

 

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