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Comme prévu, la CGT quitte la concertation sur les retraites

Comme prévu, la CGT quitte la concertation sur les retraites

Après FO, c’est au tour de la CGT de quitter la table des discussions concernant les retraites. Une attitude attendue dès le départ. Les syndicats gauchistes ne veulent surtout pas se mouiller sur ce dossier autant par incompétence que par manque de courage. Heureusement il restera les organisations syndicales majoritaires réformistes.

Jeudi, seules trois organisations syndicales (CFDT, CFTC, CFE-CGC) et deux organisations patronales (Medef et CPME) se retrouveront ainsi à la table des discussions à partir de 14H00 pour parler d’«usure professionnelle et pénibilité».

Le Medef, première organisation patronale, a dit mercredi par la voix de son président Patrick Martin vouloir «laisser sa chance» à la discussion estimant toutefois que «tous les partenaires sociaux, les politiques a fortiori, doivent prendre en compte cette situation des finances publiques qui devient critique».

Russie et guerre- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Russie et guerre- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proches de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Qui s’oppose tout autant au renforcement de la défense avec le masque du pacifisme pour cacher leur proximité avec Poutine. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représentée par les communistes s’est alignée sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique. Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

Cette extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représentée par les » insoumis ». À l’extrême droite, le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite, c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Pour ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent ou ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique. Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Défense: Pour  le retour du service militaire, comme en Allemagne, en Pologne

Défense: Pour  le retour du service militaire, comme en Allemagne, en Pologne


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine. Les Allemands rompant  totalement avec leur ancienne doctrine vont décider le retour du service militaire obligatoire ( orientation du nouveau chancelier), idem pour la Pologne, bientôt d’autres .Comment la France pourrait-elle s’opposer aux millions d’hommes de la Russie et à ceux de ses affidés avec sa capacité de mobilisation de 50 000 soldats immédiatement ? À noter que le coût d’une formation de l’ordre de six mois pour environ 400 000 militaires du contingent serait seulement de 5 à 6 milliards d’après l’institut IFRAP. Faute de formation à temps en cas de conflit, la France expédierait sur le front des hommes destinés à la boucherie.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer de 5à 10 fois plus de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérante et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Défense: Pour le retour du service militaire, comme en Allemagne

Défense: Pour  le retour du service militaire, comme en Allemagne


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine. Les Allemands rompant  totalement avec leur ancienne doctrine vont décider le retour du service militaire obligatoire ( orientation du nouveau chancelier).Comment la France pourrait-elle s’opposer aux millions d’hommes de la Russie et à ceux de ses affidés avec sa capacité de mobilisation de 50 000 soldats immédiatement ? À noter que le coût d’une formation de l’ordre de six mois pour environ 400 000 militaires du contingent serait seulement de 5 à 6 milliards d’après l’institut IFRAP. Faute de formation à temps en cas de conflit, la France expédierait sur le front des hommes destinés à la boucherie.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer de 5à 10 fois plus de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérante et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Pour le retour du service militaire, comme en Allemagne

Pour  le retour du service militaire, comme en Allemagne


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine. Les Allemands rompant  totalement avec leur ancienne doctrine vont décider le retour du service militaire obligatoire ( orientation du nouveau chancelier).Comment la France pourrait-elle s’opposer aux millions d’hommes de la Russie et à ceux de ses affidés avec sa capacité de mobilisation de 50 000 soldats immédiatement ? À noter que le coût d’une formation de l’ordre de six mois pour environ 400 000 militaires du contingent serait seulement de 5à 6 milliards d’après l’institut IFRAP. Faute de formation à temps en cas de conflit, la France expédierait sur le front des hommes destinés à la boucherie.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer de 5à 10 fois plus de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérante et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

 

Comme en Allemagne, pour le retour du service militaire

Comme en Allemagne, pour  le retour du service militaire


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine. Les Allemands rompant  totalement avec leur ancienne doctrine vont décider le retour du service militaire obligatoire ( orientation du nouveau chancelier).Comment la France pourrait-elle s’opposer aux millions d’hommes de la Russie et à ceux de ses affidés avec sa capacité de mobilisation de 50 000 soldats immédiatement ? À noter que le coût d’une formation de l’ordre de six mois pour environ 400 000 militaires du contingent serait seulement de 5à 6 milliards d’après l’institut IFRAP. Faute de formation à temps en cas de conflit, la France expédierait sur le front des hommes destinés à la boucherie.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer de 5à 10 fois plus de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérante et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Conflit Russe- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflit Russe- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

 
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays.

Comme Retailleau, Laurent Wauquiez candidat à la présidence des Républicains

Comme Retailleau, Laurent Wauquiez  candidat à la présidence des Républicains

Vauquiez  estime que «la France a besoin d’un ministre de l’Intérieur à temps plein», sous-entendu évidemment que Retailleau n’a pas sa place comme président des républicains

Interview dans le Figaro. – Êtes-vous candidat à la présidence des Républicains ?

LAURENT WAUQUIEZ . - Oui, je suis candidat à la présidence des Républicains. C’est le sens de toute l’action que je mène depuis des mois. En juin, j’ai pris mes responsabilités en partant aux législatives. Je suis allé au combat pour défendre nos idées alors que notre parti était en situation de blocage après le départ d’Éric Ciotti. Ma famille politique, depuis, m’a confié à l’unanimité la mission de conduire sa refondation. J’ai sillonné les fédérations de tout le pays. Nos militants sont incroyables, portés par leurs convictions sans rien attendre en retour. Dans une société qu’on dit égoïste et individualiste, ils se battent pour défendre notre vision de la France. J’ai toujours pu compter sur eux et c’est une fierté pour moi de m’engager à leurs côtés. Il y a tant à faire pour refonder notre parti !

 

 

Sondage Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Sondage    Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement. Ce n’est sans doute pas la mièvre prestation de Bayrou qui aura changé les tendances après l’intervention à l’Assemblée nationale de mardi dernier.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

Marine Le Pen, comme Mélenchon, aussi dans les starting-blocks pour les présidentielles

Marine Le Pen, comme Mélenchon, aussi dans les starting-blocks pour les présidentielles

 

Marine Le Pen , comme Mélenchon, hypothèque déjà la fin de Macron;  du coup , elle est aussi dans les starting-blocks pour des présidentielles anticipées.

Elle estime que Macron a perdu la quasi-totalité de son pouvoir compris celui de choisir son premier ministre puisque par exemple il a dû s’incliner face à Bayrou alors qu’il aurait voulu nommer Lecornu pour Matignon.

Il y a aussi la faiblesse de Bayrou qui ne semble pas tout à fait en phase avec l’ampleur des défis et surtout leur urgence. Voir à cet égard le temps aussi qu’il met pour constituer un gouvernement où la mollesse de son intervention à l’Assemblée nationale.

Dans une interview au Parisien publiée ce mardi soir, la chef des troupes nationalistes à l’Assemblée assume «se préparer à une présidentielle anticipée»«Par précaution, compte tenu de la fragilité d’Emmanuel Macron, du peu de leviers institutionnels qu’il lui reste», prend-elle soin de préciser aussitôt. Marine Le Pen rejoint la rhétorique de Jean-Luc Mélenchon qui appelle à une destitution ou un départ du président de la République pour mieux avancer ses pions.

 Si le chef de l’État avait écarté toute démission lors de son allocution télévisée post-censure début décembre, son ancien adversaire de 2017 et 2022 maintient la pression. Et juge à l’inverse qu’«il y a beaucoup de raisons qui pourraient pousser Emmanuel Macron à mettre fin à son mandat», en citant les «problématiques» qui risquent de parcourir le bloc central, entraver la relation dans le couple exécutif, ou bien venir «des marchés financiers.»
Notons cependant que c’est peut-être joué avec le feu que de prévoir déjà une sorte de crise de régime qui contraindrait le président à démissionner. Il n’est pas du tout certain que la tri-répartition qui génère l’immobilité politique en France soit à alors  modifiée même après des élections législatives.

 

Malgré Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à un retour de la stabilité politique

Malgré   Bayrou comme premier Ministre , 67 % ne croient pas à  un retour de la stabilité politique

 Un sondage L’Opinion en direct réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV révèle ce samedi 14 décembre que 67% des Français ne croient pas à un retour de la stabilité politique avec le futur gouvernement.

Sur un échantillon de 1.009 personnes interrogées, 40% voient l’arrivée de François Bayrou comme une « mauvaise chose », alors que 31% la considèrent au contraire comme une « bonne chose » (29% se disent sans avis).

52% des Français estiment que le gouvernement Bayrou ne parviendra pas à faire consensus avec les oppositions, tandis que 47% pensent à l’inverse qu’il y parviendra. En comparaison, le pronostic d’un accord est inférieur de 5 points par rapport à la nomination de Michel Barnier.

Dans l’attente d’un nouveau cap politique, une courte majorité de Français dépeint François Bayrou comme un homme capable de faire des compromis (54%) et sympathique (52%). Une partie des Français le considère également comme étant à l’écoute (48%), compétent (47%) et courageux (47%). En revanche, seuls 33% estiment qu’il est capable de réformer le pays.

 

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