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Sondage 2017 : Macron devant Le Pen

Sondage 2017 : Macron devant Le Pen

 

Dans un sondage Harris Interactive réalisé pour France Télévision, le chef de file d’En Marche recueille 26% des intentions de vote, contre 25% pour la fille de Jean-Marie Le Pen. Macron gagne 5% en une semaine. Cette enquête est en effet la première réalisée par cet institut depuis le ralliement de François Bayrou, président du MoDem. Au second tour, l’ancien ministre de l’Économie de François Hollande s’impose largement face à la présidente du FN. Il creuse même l’écart si l’on se rapporte aux précédentes enquêtes: 65% des voix (+5%) pour l’ancien banquier contre 35% (-5%) pour l’eurodéputée. De son côté le candidat LR François Fillon, toujours plombé par les soupçons et les affaires qui le visent, plafonne autour des 20% (-1%), en troisième position. Ce sondage vient en confirmer un autre paru la semaine dernière. Réalisé par l’institut Odoxa en pleine crise à droite, il donnait Emmanuel Macron en tête du premier tour avec 27%, suivi de marine Le Pen à 25,5%, avec un François Fillon éliminé au premier tour à 19%. Cette même étude avait testé l’hypothèse Alain Juppé, alors donné en tête du premier tour en cas de retrait de Fillon. Un scénario désormais enterré, ce qui profite probablement à Emmanuel Macron. Du côté de «la gauche alternative» Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon continuent de se disputer les forces et d’amoindrir leur potentiel respectif. Ils connaissent eux aussi une petite perte de vitesse avec 13%, (-1%) pour le socialiste, et (12%, -1) pour le meneur de La France insoumise. Le reste du peloton est distancé, et relégué sous la barre des 5%. Nicolas Dupont-Aignan (Debout la France) ne décolle toujours pas vraiment avec 3% d’intentions de vote, mais l’annonce de l’obtention des 500 parrainages pourrait revaloriser sa cote. De même pour Nathalie Arthaud (stable à 1%) de Lutte Ouvrière, alors que le candidat du NPA Philippe Poutou, qui tombe sous les 0,5% d’intentions de vote, n’est pas certain de pouvoir se qualifier, faute de parrainages. Par ailleurs, dans le sondage quotidien IFOP-Fiducial pour Paris-Match, CNEWS et Sud Radio  Emmanuel Macron, maintient une avance de six points sur le candidat de la droite, François Fillon, et talonne Marine Le Pen à un point, dans le sondage quotidien IFOP-Fiducial pour Paris-Match, CNEWS et Sud Radio. Sur 1.395 personnes interrogées du 6 au 9 mars, 26% disent vouloir voter pour la présidente du Front national, 25% pour l’ex-ministre de l’Economie de François Hollande (+0,5) et 19% pour l’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy (-0,5). Le candidat socialiste, Benoît Hamon, ne recueille que 13,5% des intentions de vote et celui de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, 12%.Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen avec 60,5% des suffrages.

 

Sondage 2017 : recul de Fillon et Hamon

Sondage 2017 : recul de Fillon et Hamon

Le Pen à 27%, Macron 24, Fillon 19, Hamon et Mélenchon 12.5 selon le dernier sondage Elabe pour « Les Echos » et Radio classique.  Bien qu’il faille toujours prendre les sondages avec des pincettes compte de tenue des marges d’erreur possible (de 2 à 3 %) le paysage électoral en vue des élections présidentielles semble se stabiliser. La plus grande stabilité concerne Marine Le Pen en tête depuis un mois à 27 %. Une Marine Le Pen qui en dépit des affaires pour l’instant ne paraît pas affectée. À l’inverse de François Fillon qui lui passe sous la barre des 20 % et paye le prix des délits de détournement de fonds qui lui sont reprochés. Autre phénomène important celui de la baisse de Benoît Hamon qui n’a jamais réussi à incarner une posture de candidat sérieux pour la magistrature suprême. Ce qu’il faut observer c’est que les deux candidats qui sont sortis des  primaires se retrouvent dans des positions particulièrement inconfortables au point de n’être pas présents au second tour des présidentielles. De quoi s’interroger à propos des primaires qui ont surtout sélectionné des candidats incapables de réunir leur camp. Le candidat d’En Marche, qui a présenté ce jeudi son programme , n’est toujours pas en tête au premier tour, comme il rêve de l’être. Mais si l’élection se tenait ce dimanche, il serait le prochain locataire de l’Elysée. Avec 24% des voix au premier tour, Emmanuel Macron se qualifierait aisément pour le second et l’emporterait avec 62% face à Marine Le Pen. Il a progressé de 1 point en un mois. Aujourd’hui, il n’est plus le candidat qui a l’électorat le plus volatile. 53% d’entre eux se disent « sûrs de leur choix », contre 49% pour les électeurs de Benoît Hamon. « Son socle est en train de se solidifier », analyse Yves-Marie Cann, le qualifiant de « candidat attrape-tout », tant « il arrive à transcender le traditionnel clivage droite-gauche » : il récupère 43% des électeurs de François Hollande en 2012, 50% de ceux de François Bayrou et 20% de ceux de Nicolas Sarkozy. Un tiers des électeurs « CSP + » voteraient pour lui, contre 16% des ouvriers. Empêtré dans l’affaire de l’emploi présumé fictif de son épouse (il sera convoqué le 15 mars par les juges en vue d’une mise en examen ), l’ancien Premier ministre est en grande difficulté dans l’opinion. S’il ne s’effondre pas, le candidat de la droite, jadis le grandissime favori pour succéder à François Hollande, n’est crédité que de 19% des voix. Soit 1 point de moins qu’en février et 7 points de moins qu’en janvier. C’est la première fois dans notre baromètre qu’il passe sous les 20% (sans la candidature de François Bayrou, officielle depuis que le président du Modem a rallié Emmanuel Macron ). Et l’écart avec le fondateur d’En Marche est désormais significatif : 5 points de retard, contre 3 points il y a un mois. François Fillon ne rassemble que 61% des électeurs de Nicolas Sarkozy en 2012 (20% se portent sur Emmanuel Macron et 15% sur Marine Le Pen). Alors qu’il le devançait de 7 points après la primaire, le porte-drapeau du PS fait aujourd’hui jeu égal avec Jean-Luc Mélenchon (en progression de 2,5 points sur un mois). « Ce qui pénalise très fortement Benoît Hamon, c’est qu’il ne récupère que 32% des électeurs de François Hollande. L’électorat socialiste est fracturé », souligne Yves-Marie Cann. Il faut toutefois noter que le score de Benoît Hamon varie énormément selon les baromètres : il est à 16 %, par exemple, dans le dernier sondage quotidien OpinionWay-ORPI pour « Les Echos » et Radio classique.

Sondage 2017 : Macron et Fillon à égalité au 1er tour derrière Le Pen

Sondage 2017 : Macron et Fillon à égalité au 1er tour derrière Le Pen

 

 

Marine Le Pen arrive en tête des intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, avec 24,5%, devant Emmanuel Macron et François Fillon, à 20%, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match, iTELE et Sud Radio publié jeudi. La candidate du Front national progresse de 0,5 point par rapport à un sondage similaire publié mercredi, tandis qu’Emmanuel Macron (En marche !) est stable et François Fillon (Les Républicains) perd un point. Benoît Hamon est quatrième avec 17% (-1 point), suivi par Jean-Luc Mélenchon, à 9,5% (+0,5). François Bayrou, qui n’a pas dit s’il serait ou non candidat, est crédité de 4% (-0,5 point). Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen avec 63% (stable) contre 37% et François Fillon la battrait avec 59% (-1 point) contre 41% (+1). Le sondage a été réalisé du 30 janvier au 2 février auprès de 1.414 personnes inscrites sur les listes électorales.

Sondage 2017 : 85% contre Hollande

15 % c’est le potentiel électoral tout au plus pour Hollande puisque 85 % des Français ne souhaitent pas que l’actuel président de la république se représente en 2017. En effet plus de 8 Français sur 10 (85%) ne souhaitent pas que François Hollande soit candidat en 2017 à l’élection présidentielle, selon un sondage* Ifop à paraître dimanche dans Le Journal du Dimanche (JDD). Ce pourcentage était de 85% également en septembre 2014, de 78% un an plus tard et de 80% en avril 2016. Parmi les sympathisants du PS, 59% ne souhaitent pas que le chef de l’Etat se représente, 86% chez les sympathisants du Front de Gauche et 81% chez ceux d’EELV. Quelque 74% des personnes interrogées pensent néanmoins que François Hollande sera quand même candidat à sa propre succession, contre 26% d’un avis opposé. Parmi les sympathisants du PS, 82% pensent que le locataire de l’Elysée se représentera, 75% chez les sympathisants du Front de Gauche et 74% chez ceux d’EELV. A la question: « Seriez-vous prêt à voter pour telle personnalité si elle était candidate à l’élection présidentielle? », les sympathisants de gauche plébiscitent Jean-Luc Mélenchon (41%) devant François Hollande (36%), Manuel Valls (34%), Arnaud Montebourg (32%), Emmanuel Macron (28%), Benoît Hamon (25%) et Cécile Duflot (21%). François Hollande arrive en tête (46%) du classement de la personnalité que l’ensemble des Français souhaiteraient voir désignée comme candidate du PS à la présidentielle. Il devance Arnaud Montebourg (25%), Benoît Hamon (14%), Marie-Noëlle Lienemann (10%), François de Rugy (3%) et Jean-Luc Benhamias (2%). Du côté des Républicains, Alain Juppé arrive avec 37% en tête du classement des personnalités de droite et du centre que les Français souhaiteraient voir remporter la primaire de droite. Le maire de Bordeaux devance Nicolas Sarkozy (31%), Bruno Le Maire (13%), François Fillon (10%), Nathalie Kosciusko-Morizet (5%) et Jean-François Copé (1%).

(Avec AFP)

Sondage 2017 : les Français pour un profil de président introuvable

Sondage 2017 : les Français pour un profil de président introuvable

Dans un sondage Elabe pour Europe 1 le profil du président devrait correspondre aux critères suivants : ni de gauche, ni de droite, ni même du centre, non issu du monde politique, honnête, déterminé et entre 45 et 54 ans. Bref l’homme-ou la femme– introuvable puisque le système électoral  cadenassé par les partis ne peut faire émerger que des crocodiles de la politique. Pour preuve sur la cinquantaine de candidats prétendant au poste de la magistrature suprême tous ou presque baignent dans la mare politicienne depuis des années voire des dizaines d’années. On comprend donc d’autant plus facilement le désenchantement des Français à l’égard d’un système politique dont il n’espère plus grand-chose. La demande majoritaire est pourtant relativement claire mais l’offre est  quasiment inexistante. Certes on trouve encore 20 % environ de la population ancrée à droite et à l’extrême droite, autant ancrés  à gauche et l’extrême gauche mais de l’ordre de 60 % récusent  ce clivage néandertalien et veulent dépasser cette affrontement d’un autre temps. On objectera à juste titre que le clivage idéologique existe bien que les  différenciations sont de taille. Le problème c’est que ces différences ne se  perçoivent guère lorsque chacun de ces courants est au pouvoir. Le dépassement des oppositions  droite-gauche est aussi justifié par le sentiment que le pays doit s’engager dans des réformes profondes et qu’il ne peut donc s’adonner à des petites joutes finalement superficielles. Dans le sondage Elabe, on  apprend que près de six Français sur dix (57%) attendent surtout un homme entreprenant, inflexible : ils souhaitent « qu’il réforme le pays en profondeur », quitte à diviser et provoquer des mouvements sociaux. Mais ce n’est pas le cas des 40 % de Français restant. Ceux-là préféreraient « qu’il rassemble les Français et apaise la société », même si cela signifie reporter « certaines mesures ou réformes qui ne font pas consensus. Le clivage droite-gauche a de moins en moins de sens dans l’esprit des citoyens. Près de la moitié d’entre eux souhaiteraient que leur président s’affranchisse des clivages partisans : pour 45% des Français, le positionnement idéal du chef de l’Etat serait « ni à gauche, ni au centre, ni à droite ». Toutefois, 16% le voudraient quand même au centre, 14% à gauche, 13% à droite, 8% « très à droite » et 4% « très à gauche ». Pour 54% des personnes interrogées, son âge idéal se situe « entre 45 et 54 ans ». Une envie de renouvellement qui passe pour 79% d’entre eux par un président qui gouvernerait « avec une majorité rassemblant des personnalités de la gauche, du centre et de la droite ». Pour 68%, le renouvellement passe par « un président qui ne serait pas issu du monde politique » et pour 65% par un candidat qui s’engagerait à ne faire qu’un seul mandat. De quelles qualités devrait-il faire preuve ? Les plus attendus sont l’honnêteté (71%), qu’il soit à l’écoute des Français (54%) et « le réalisme » (33%).

 

(Avec Europe 1 et les Echos)

Sondage 2017 : Juppé seul loin devant

Sondage 2017 : Juppé seul loin devant

Une majorité de Français souhaite une candidature d’Alain Juppé (Les Républicains) à l’élection présidentielle de 2017, alors qu’une candidature de François Hollande à sa succession est majoritairement rejetée, d’après un sondage Elabe pour BFM TV publié mercredi. A la question « Pour chacune des personnalités suivantes, souhaitez-vous qu’elle soit candidate à la prochaine élection présidentielle ? », 52% des personnes interrogées, toutes tendances confondues, répondent oui, pour Alain Juppé (32%, « oui, plutôt » et 20% « oui, tout à fait »). Le candidat à la primaire de la droite et du centre est la seule personnalité à dépasser les 50% de sondés favorables à sa candidature. François Hollande ne recueille lui que 19% de personnes favorables à sa candidature, 57% des sondés ne souhaitant même « pas du tout » qu’il se représente. Alain Juppé devance de très loin son rival pour la primaire Nicolas Sarkozy, dont 28% des personnes interrogées souhaitent la candidature. Marine Le Pen (2e avec 37%) et François Bayrou (3e avec 36%) complètent le podium. Alain Juppé réalise le meilleur score auprès des sympathisants de gauche (55%), à égalité avec Manuel Valls

SONDAGE 2017 : Valls et Juppé en tête

SONDAGE 2017 : Valls et Juppé en tête

 

D’après un sondage IFOP-JDD 35% des sympathisants de gauche placent le Premier ministre en tête de leurs souhaits (devant Martine Aubry à 28%, puis… François Hollande à 22% et Arnaud Montebourg à 15%). Plus impressionnant : celui qui, lors de la primaire PS de 2011, avait obtenu 5,63% des suffrages exprimés est plébiscité aujourd’hui par 45% des seuls sympathisants du PS. Ces derniers octroient 30% à Hollande qui, dans ce cas, dépasse Martine Aubry (19%) et Arnaud Montebourg (6%).  De l’autre côté de l’échiquier, 40% des « sympathisants de la droite et du centre » font d’Alain Juppé la « personnalité » qu’ils aimeraient voir désignée comme candidat pour 2017 à l’issue de la primaire – prévue celle-là, donc pas théorique- qui aura lieu les 20 et 27 novembre 2016. Il précède Nicolas Sarkozy (35%), Bruno Le Maire (14%) et François Fillon (11%). Mais attention, chez les sympathisants des Républicains seuls, le rapport de force s’inverse : 52% plébiscitent Nicolas Sarkozy, qui devance alors Alain Juppé (30%), Bruno Le Maire et François Fillon, tous deux crédités de 9%.

 




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