Archive pour le Tag '85%'

Incidents et Hommage aux professeurs tués : seulement 85 élèves exclus

Incidents et Hommage aux professeurs tués : seulement 85 élèves exclus

Alors qu’officiellement de l’ordre de 500 à 600 incidents sont intervenus lors de l’hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard seulement 85 élèves ont été exclus définitivement de leur établissement . Un total de 605 sanctions ont été prononcées lors de conseils de discipline après les hommages rendus aux deux enseignants assassinés, selon le ministère de l’Education nationale.

Un total de 605 sanctions, dont 85 exclusions définitives de l’établissement, ont été prononcées lors de conseils de discipline après les incidents qui ont émaillé les hommages, en octobre, aux professeurs Dominique Bernard tué à Arras et à Samuel Paty, assassiné en octobre 2020, a annoncé, jeudi 23 novembre, le ministère de l’Education nationale.

Parmi les 605 sanctions, 322 sont des exclusions temporaires de l’établissement et 47 des exclusions définitives avec sursis, a ajouté le ministère dans une communication que France Télévisions a pu consulter, en ne détaillant que les exclusions.

Pour les actes de contestation ou perturbation les plus graves, des mesures d’éloignement de l’établissement à titre conservatoire avaient été décidées dès le 16 octobre, date de l’hommage. Les conseils de discipline qui ont suivi ont décidé des sanctions allant d’un avertissement ou un blâme (huit élèves) à l’exclusion définitive de l’établissement.

« Systématiquement, on saisit le procureur de la République » et « on engage des procédures disciplinaires », avait-il dit. « Dans les cas les plus graves, j’ai demandé aux chefs d’établissement que ces élèves soient exclus à titre conservatoire, sans attendre le conseil de discipline ».

Hommage aux professeurs tués : seulement 85 élèves exclus

Hommage aux professeurs tués : seulement 85 élèves exclus

Alors qu’officiellement de l’ordre de 500 à 600 incidents sont intervenus lors de l’hommage à Samuel Paty et Dominique Bernard seulement 85 élèves ont été exclus définitivement de leur établissement . Un total de 605 sanctions ont été prononcées lors de conseils de discipline après les hommages rendus aux deux enseignants assassinés, selon le ministère de l’Education nationale.

Un total de 605 sanctions, dont 85 exclusions définitives de l’établissement, ont été prononcées lors de conseils de discipline après les incidents qui ont émaillé les hommages, en octobre, aux professeurs Dominique Bernard tué à Arras et à Samuel Paty, assassiné en octobre 2020, a annoncé, jeudi 23 novembre, le ministère de l’Education nationale.

Parmi les 605 sanctions, 322 sont des exclusions temporaires de l’établissement et 47 des exclusions définitives avec sursis, a ajouté le ministère dans une communication que France Télévisions a pu consulter, en ne détaillant que les exclusions.

Pour les actes de contestation ou perturbation les plus graves, des mesures d’éloignement de l’établissement à titre conservatoire avaient été décidées dès le 16 octobre, date de l’hommage. Les conseils de discipline qui ont suivi ont décidé des sanctions allant d’un avertissement ou un blâme (huit élèves) à l’exclusion définitive de l’établissement.

« Systématiquement, on saisit le procureur de la République » et « on engage des procédures disciplinaires », avait-il dit. « Dans les cas les plus graves, j’ai demandé aux chefs d’établissement que ces élèves soient exclus à titre conservatoire, sans attendre le conseil de discipline ».

Covid : 85 % des hospitalisés non vaccinés

 Covid : 85 % des hospitalisés non vaccinés

« Les régions font remonter des données sur le profil des nouveaux patients. 85 % souffrent des comorbidités que l’on connaît bien depuis le début de la crise : surpoids, obésité, hypertension artérielle, diabète », a détaillé Bruno Coignard, directeur des maladies infectieuses auprès santé publique France. Et à peu près autant n’étaient pas vaccinés.

 

Selon la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees), du  19 au 25 juillet, période où le variant Delta était responsable de plus de trois quarts des contaminations , quelque 45 % de la population n’avait reçu aucune dose de vaccin. Or, sur cette même période, 83 % des personnes ayant bénéficié d’une hospitalisation conventionnelle pour Covid-19 et 87 % des personnes entrées en soins critiques pour la même raison n’étaient pas vaccinées. Trois quarts des personnes décédées n’avaient pas reçu de vaccin.

De même, les non-vaccinés représentaient près de 78 % des tests PCR positifs réalisés entre le 19 et le 25 juillet, et parmi ces tests positifs, ils représentaient environ 80 % des cas symptomatiques. Pour rappel, les dernières études menées sur le sujet montrent que la vaccination réduirait d’environ moitié le risque d’être infecté par le coronavirus.

Vladimir Poutine tsar dictateur qu’à 85 ans !

Vladimir Poutine tsar dictateur qu’à 85 ans

 

 

 

Il faut évidemment une sacrée dose de mépris de tout concept démocratique à Poutine pour avoir organisé une pseudo modification institutionnelle  qui va lui permettre de demeurer le tsar dictateur de Moscou jusqu’à 85 ans. L’intéressé a en effet 68 ans actuellement et les nouvelles dispositions lui permettent de rester au pouvoir jusqu’en 2036. Normalement son mandat réduit s’achevait en 2024. Le problème est que la Russie n’a jamais connu vraiment la démocratie et que la culture du KGB de Poutine l’autorise à tous les excès anti démocratique. Par ailleurs comme il a muselé complètement toute opposition, que la presse d’opinion n’existe pas, le peuple russe est maintenu dans un état de sous-culture politique dramatique. Ainsi le seul opposant à savoir Navalny d’abord victime d’une tentative d’empoisonnement et est maintenant maintenu en prison dans des conditions qui d’ailleurs menacent à nouveau sa vie.

 

Poutine n’a cure des observations et reproches des occidentaux quant à son rapport à la démocratie, un concept qu’il récuse. Pas étonnant profitant de ses 20 ans de pouvoir Kremlin il a déjà accumulé une immense fortune qui lui a permis de construire un palais démentiel justement révélé par navalny tandis que son peuple vit les conditions d’un pays en développement. Pire Poutine s’évertue en plus à organiser le désordre chaque fois qu’il le peut dans les théâtres de lutte internationale. Par exemple quand il soutient la Syrie ou encore récemment les dictateurs de Birmanie.

L’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ? En Belgique !

L’arrêt des soins pour les plus de 85 ans ? En Belgique !

C’est la dernière mauvaise blague belge. Il serait environ 40 % à souhaiter qu’on arrête les soins trop onéreux pour les plus de 85 ans. Cela en raison des difficultés pour équilibrer les comptes de l’assurance-maladie. Finalement peut-être les Belges ont-ils trouvé la martingale : si effectivement on arrêtait les soins des malades et pas seulement des vieux, on parviendrait effectivement à largement équilibrer dépenses et recettes de maladies et même à faire du profit, sorte de dividende qui pourrait même être redistribué aux biens portants !   Selon plusieurs études, menées au Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE), à la Fondation Roi Baudouin et au cœur de l’Inami (dans un rapport secret), 40% des Belges songent donc  sérieusement à conserver l’équilibre de la Sécu «en n’administrant plus de traitements coûteux qui prolongent la vie des plus de 85 ans». On devine la suite: on aurait rapidement une médecine à deux vitesses, entre les patients qui doivent se contenter de la Sécu et ceux qui ont les moyens de se payer les médicaments non remboursés ou les opérations auxquelles ils n’auraient plus accès. Aux Pays-Bas, on ne place déjà plus de stimulateur cardiaque aux plus de 75 ans, l’appareil dépassant de loin le patient en espérance de fonctionnement. Par comparaison, seuls 17% se prononcent pour ne plus rembourser les frais de maladie ou d’accident qui sont …

 

 

Crise agricole : 85% des Français soutiennent les paysans

Crise agricole : 85% des Français soutiennent les paysans

Selon une étude Odoxa Dentsu Consulting pour Le Figaro et Franceinfo,  85 % des Français ont une bonne opinion du métier de paysan. Politiquement parlant, 82 % des sympathisants Insoumis, soit autant que les sympathisants RN ainsi que 88 % des LREM et 91 % des LR ont une bonne opinion des agriculteurs. Les Français ne tarissent pas d’éloges. «Ils les jugent à la fois “sympathiques” (79 %), “passionnés” (88 %), “courageux” (92 %) et surtout “utiles” (93 %)», précise Gaël Sliman. Mais, au-delà de ce tableau idyllique, qui montre un fort attachement des Français à leurs agriculteurs, certains sont parfois sceptiques sur leurs pratiques. «Abattage et souffrance, glyphosate et produits phytosanitaires constituent autant de critiques», note Véronique Reille Soult, CEO de Dentsu Consulting, qui a complété ce sondage par une veille sur les réseaux sociaux sur la perception des agriculteurs et de l’agriculture française.

«Les internautes pointent une contradiction entre les besoins de produits sains et protecteurs de l’environnement avec une course à la productivité qui ne profite ni aux agriculteurs, ni aux consommateurs, ni à la planète, résume-t-elle. Les internautes saluent les hommes, mais surveillent leur production.» Certains agriculteurs, plutôt que de se remettre en cause et de changer leurs pratiques, voient dans ces critiques une forme d’acharnement. Ils se plaignent d’agribashing. Un réflexe défensif mal perçu par les consommateurs.

Le dernier enseignement porte sur la perception de la vie à la campagne ou en zone urbaine par les habitants de ces territoires. «Vaut-il mieux être un Français des villes ou un Français des champs?» ont demandé les sondeurs aux internautes. Réponse mitigée: 83 % pensent qu’ils ont «une vie heureuse» en milieu rural, alors que leurs concitoyens en région parisienne ne sont que 71 % à avoir ce sentiment. Toutefois, les ruraux ont un «fort sentiment d’abandon», notamment à cause de la raréfaction croissante des services publics. 63 % des ruraux estiment bénéficier de «peu de services publics sur le territoire», alors que 87 % des Franciliens pensent le contraire. Idem pour l’accès à la 4G: 46 % des habitants des territoires ruraux regrettent «un mauvais accès», alors que 88 % estiment au contraire «avoir un bon accès».

 

Glysophate : interdit à 85 % d’ici 2021 ( Macron)

Glysophate : interdit à 85 % d’ici 2021 ( Macron)

Depuis le départ d’Hulot  du gouvernement, Macron gomme sérieusement ses  engagements en matière d’environnement. Ainsi pour glysophate, avec Hulot il avait promis d’en interdire totalement l’utilisation d’ici 2021. Mais devant les réactions d’une partie du monde agricole, il vient d’indiquer que cet herbicide contesté ne serait interdit qu’à hauteur de 85 % d’ici 2021 : les preuves scientifiques des différents dangers de cet herbicide ne sont pas encore complètement prouvées mais l’organisation mondiale de la santé a classé le Glysophate comme probablement cancérigène Le chef de l’Etat a “réaffirmé à cette occasion son engagement sur la sortie du glyphosate pour 85% des usages (…) et travaille dès à présent sur les 15%”, à savoir l’”agriculture de conservation, les fruits légumes de plein champ et vignoble en pente”, a-t-on indiqué. Notons qu’en Allemagne les expertises n’ont pas montré de caractère dangereux pour l’utilisation de cet herbicide. Peut-être en raison du rachat de Monsanto (qui commercialise le Glysophate e) par bayer. Bayer a déjà été condamné à près de 300 millions de dollars en faveur d’un jardinier empoisonné par le round-up mais la facture pourrait être plus salée puisque l’affaire compte maintenant 8 000 plaignants dans les seuls Etats-Unis. Ce qui est curieux dans cette affaire mais peu souligné, c’est que les autorités judiciaires américaines ont attendu juillet 2018 pour sanctionner Monsanto. Or le fameux herbicide Rond-up et Monsanto ont été rachetés par l’allemand Bayer en juin. Un jugement qui, hasard sans doute, correspond à une nette tension des relations économiques entre l’Allemagne et les États-Unis. Certes le très grand groupe Bayer  spécialisé dans la chimie et la pharmacie est solide financièrement mais il ne pourra résister à une indemnisation massive d’autant de plaignants aux États-Unis mais aussi vers d’autres pays. Bayer avait précédemment fait état de 5.200 plaintes contre Monsanto qu’il a acquis pour 63 milliards de dollars (54,5 milliards d’euros) au terme d’une opération bouclée en juin. “Le nombre de plaignants aussi bien devant des juridictions d’Etats qu’au niveau fédéral est d’environ 8.000 à fin juillet. Ces chiffres peuvent augmenter ou diminuer avec le temps mais le nombre n’est pas une indication du bien-fondé des procès

Sondage Environnement : le gouvernement pas à la hauteur pour 85%

Sondage Environnement : le  gouvernement pas à la hauteur pour 85%

L’action du gouvernement en matière d’environnement n’est pas à la hauteur des enjeux, pour 85% des Français, et le départ de Nicolas Hulot n’y changera rien pour deux tiers d’entre eux, selon un sondage Elabe pour BFMTV diffusé mercredi. Seules 15% des personnes interrogées jugent favorablement l’action de l’exécutif pour l’écologie. large majorité de sondés (65%) considère par ailleurs que la démission de Nicolas Hulot « ne va rien changer » à l’importance de l’environnement dans l’action du gouvernement, contre 30% qui pensent qu’elle en sortira affaiblie. Le pouvoir d’achat (37%) est devant la santé (31%) et les retraites (28%) la principale préoccupation des Français (trois réponses possibles). Plus généralement, les Français doutent de la capacité du chef de l’État à transformer le pays, mais les oppositions n’en profitent pas. Pour un Français sur deux (50%, +2 en deux mois), il n’en aura modifié que « quelques aspects » à la fin de son quinquennat. Pour 35% (+4), il « n’aura pas changé le pays » et ils ne sont que 15% (-5) à penser qu’il l’aura « transformé en profondeur». Pour un sondé sur deux en moyenne, les partis d’opposition ne feraient « ni mieux ni moins bien » s’ils étaient au pouvoir. Seules 20% des personnes interrogées pensent que La France insoumise, 17% le Rassemblement national, 15% Les Républicains et 10% le PS, feraient mieux.

Enquête réalisée en ligne les 28 et 29 août auprès de 1.011 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.

 

St Valentin : 85% des fleurs importées

St Valentin : 85% des fleurs importées

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La St valentin, l’occasion offrir des fleurs mais des fleurs surtout importées pour 85% ;  rien que pour la semaine de la Saint-Valentin les dépenses des Français s’élèvent à environ 30 millions d’euros.  Les importations de la filière agricole s’élèvent à près d’un milliard  d’euros quand les exportations à moins de 100 millions. Par exemple, les roses vendues proviennent à 82% des Pays-Bas. Le Kenya, la Colombie, la Belgique ou encore l’Equateur se répartissent le reste des importations.  Cette situation « est due dans un premier temps au type de fleurs qui peuvent être produites ou non en France commente Laurent Devaux, le directeur de l’Uniphor, un syndicat horticole.  Une évidence mais on comprend mal que la Hollande soit mieux placée sur le plan climatique ! La question est plutôt celles des charges. . Ensuite la production de fleurs est dépensière en énergie. Il est clair qu’avec les charges et le prix de l’énergie, le rendement devient très vite négatif. La concurrence internationale n’a pas forcément toutes ces contraintes. » Prévu pour favoriser les ventes françaises et accessible à tous, le label ne reçoit pas un vif accueil dans la profession. Car d’autres labels existent déjà: le label « Plante Bleue » qui prouve que l’entreprise respecte les contraintes du Grenelle de l’environnement, en faisant des efforts en matière de pesticides, d’utilisation d’eau et d’énergie, et le Label Rouge notamment pour les dahlias. Les horticulteurs peuvent aussi être soumis à la Charte Qualité Fleurs, une initiative des horticulteurs qui repose sur un dispositif certifié de traçabilité et d’évaluation de la qualité des fleurs.  »On est dubitatifs », commente Laurent Devaux, dénonçant la nécessité d’avoir obtenu le label « Plante Bleue » et de respecter cette charte pour tenter de recevoir le logo « Fleurs de France ». « On nous avait promis un logo accessible pour tous, regrette le directeur du syndicat horticole. Sauf qu’il faudra déjà être certifié, payer une inscription, faire des investissements si les productions ne sont pas aux normes.

Sondage- Moins de parlementaires : 85% des français pour

Sondage- Moins de parlementaires : 85% des français pour

Le lobby des parlementaires corpos- notamment celui du sénat -aura du mal à légitimer le maintien du nombre actuels (près de 1000 parlementaires actuellement). .À 85%, les Français interrogés sont en effet favorables à l’idée d’être consultés par référendum sur une réforme «visant à modifier le nombre de parlementaires, le nombre de mandats consécutifs qu’ils peuvent exercer et le mode de scrutin aux élections législatives».

A contrario, seuls 15% plaident pour une validation par les parlementaires, via l’article 89. Toute réforme de la Constitution réclame un vote, à une majorité des trois cinquièmes des députés et sénateurs réunis en Congrès. À défaut, une consultation directe des Français est prévue par le texte fondamental. Une option périlleuse pour le pouvoir, qui prend le risque de voir son action globale sanctionnée par ce biais.

 

L’enquête Harris Interactive a été réalisée en ligne le 31 janvier auprès d’un échantillon de 1.065 personnes âgées de 18 ans et plus.

 

 

85% des emplois seront nouveaux en 2030

85% des emplois seront nouveaux en 2030

 

D’après des experts de l’«Institut pour le Futur» basé à Palo Alto, 85% des emplois en 2030 n’existent même pas encore aujourd’hui. De quoi relancer le débat complexe relatif au contenu du travail et à ses modalités d’exécution. Dès lors,  il semble bien difficile de spéculer sur ce qui restera comme  emplois. Cette étude rejoint d’autres qui estiment que plus de la moitié des produits fabriqués et vendus d’ici 15 à 20 ans sont aujourd’hui inconnus. Un seul exemple pour s’en persuader, la révolution extraordinaire de la consommation des biens support de l’information et de la télécommunication. Il y a une trentaine d’années personne n’imaginait que les ordinateurs, Smart forme et autres technologies de l’information envahiraient  les foyers mêmes dans les pays les moins développés. De la même manière bien difficile d’imaginer quelle place pour apprendre demain la télémédecine, le télétravail ou encore le télé apprentissage. Ce sont de nombreux métiers qui vont être concernés par cette  transformation progressive, impactés par le numérique et la robotisation, qui sera plus efficace que l’homme, même pour de nombreuses tâches intellectuelles. Selon les experts participants, nous entrons en effet dans la seconde phase du développement numérique. Après la première étape, qui est la simple imitation de la pensée logique, les prochaines années verront l’avènement d’une véritable intelligence cognitive, capable d’imaginer des solutions, d’interpréter des données, même imparfaites, comme le font les humains actuellement. La troisième phase, selon l’étude, sera tout bonnement l’apparition de l’«être humain virtuel», pour après 2030 néanmoins. Ce qui est donc en jeu, pour l’homme, c’est donc de se recentrer sur ce qu’il peut (encore) faire mieux que la machine. L’étude fait sur ce point un constat important: «la capacité à acquérir un nouveau savoir vaudra plus que le savoir déjà appris». On ne perfectionnera plus son art dans un métier, mais on perfectionnera sa capacité à être rapidement satisfaisant dans de nouveaux métiers. Selon un sondage réalisé par Dell auprès de 4000 décideurs de haut rang autour du monde: d’après lui, près de la moitié d’entre eux ne savent à quoi ressemblera leur industrie d’ici trois ans. Conséquence de cette incertitude, 45% d’entre eux craignent d’être «obsolètes» d’ici trois à cinq ans. Si ces décideurs se sentent menacés, qu’en est-il alors pour un simple employé du tertiaire, dont les responsabilités sont moins fortes et impliquent moins d’analyse ? Toutes ces interrogations doivent donc rendre très prudent sur le futur des emplois à la fois sur leur volume, leur contenu et leur modalité d’exécution.

Sondage 2017 : 85% contre Hollande

15 % c’est le potentiel électoral tout au plus pour Hollande puisque 85 % des Français ne souhaitent pas que l’actuel président de la république se représente en 2017. En effet plus de 8 Français sur 10 (85%) ne souhaitent pas que François Hollande soit candidat en 2017 à l’élection présidentielle, selon un sondage* Ifop à paraître dimanche dans Le Journal du Dimanche (JDD). Ce pourcentage était de 85% également en septembre 2014, de 78% un an plus tard et de 80% en avril 2016. Parmi les sympathisants du PS, 59% ne souhaitent pas que le chef de l’Etat se représente, 86% chez les sympathisants du Front de Gauche et 81% chez ceux d’EELV. Quelque 74% des personnes interrogées pensent néanmoins que François Hollande sera quand même candidat à sa propre succession, contre 26% d’un avis opposé. Parmi les sympathisants du PS, 82% pensent que le locataire de l’Elysée se représentera, 75% chez les sympathisants du Front de Gauche et 74% chez ceux d’EELV. A la question: « Seriez-vous prêt à voter pour telle personnalité si elle était candidate à l’élection présidentielle? », les sympathisants de gauche plébiscitent Jean-Luc Mélenchon (41%) devant François Hollande (36%), Manuel Valls (34%), Arnaud Montebourg (32%), Emmanuel Macron (28%), Benoît Hamon (25%) et Cécile Duflot (21%). François Hollande arrive en tête (46%) du classement de la personnalité que l’ensemble des Français souhaiteraient voir désignée comme candidate du PS à la présidentielle. Il devance Arnaud Montebourg (25%), Benoît Hamon (14%), Marie-Noëlle Lienemann (10%), François de Rugy (3%) et Jean-Luc Benhamias (2%). Du côté des Républicains, Alain Juppé arrive avec 37% en tête du classement des personnalités de droite et du centre que les Français souhaiteraient voir remporter la primaire de droite. Le maire de Bordeaux devance Nicolas Sarkozy (31%), Bruno Le Maire (13%), François Fillon (10%), Nathalie Kosciusko-Morizet (5%) et Jean-François Copé (1%).

(Avec AFP)

Sondage pessimisme : la France en tête, 85%

Sondage pessimisme : la France en tête, 85%

Les Français toujours en tête du pessimisme. Des raisons à cela : L’état actuel de la situation économique et social et ses perspectives à court et moyen terme. Aussi et surtout l’absence totale d’offre politique crédible ou l’incompétence le dispute au manque de courage et au mensonge. Hollande, Sarkozy ou Lepen, de quoi effectivement être déprimé, ou la nullité qui tutoie  la démagogie et l’insignifiance intellectuelle. Le néant politique absolu ou les mots vidés de toute signification n’ont vocation qu’entretenir le bruit médiatique. Que ce soit aujourd’hui ou dans 12 mois, la situation économique ne va pas en s’améliorant, estiment les Français. Ils sont 85% à la juger mauvaise dans l’Hexagone. Seuls 19% pensent qu’elle va reprendre du poil de la bête sur l’année à venir. C’est tout de même 4% de plus que l’année dernière et 9% de plus qu’en 2013, mais moins qu’en 2012 où un cinquième des personnes interrogées croyait déceler une éclaircie à venir. Et contrairement à  l’Italie, l’Espagne et l’Allemagne, les jeunes sont plus pessimistes que les plus âgés. Les Français de 16-29 ans sont ainsi 16% à croire en une amélioration sensible dans l’année à venir, contre 24% des 50 ans et plus. Les chiffres peuvent leur donner raison. Après une décrue d’octobre 2012 à avril 2014, le chômage des jeunes en France n’a quasiment jamais cessé d’augmenter pour atteindre les 25,2% aujourd’hui. Si 81% des Espagnols estiment que la situation économique dans leur pays est mauvaise, un regain d’optimisme voit le jour, selon Pew Research Center. Au printemps 2012, les Espagnols n’étaient que 21% à estimer que l’économie dans leur pays s’améliorerait légèrement sur les 12 mois suivants. En 2014, ils étaient 32%. Ils sont désormais 40% à être de cet avis en 2015. L’Espagne devient ainsi le deuxième pays le plus optimiste pour l’avenir parmi les douze économies avancées, derrière Israël. Les 18-29 ans, particulièrement touchés par le chômage sont même 47% à penser que la situation financière de leurs enfants sera meilleure que celle de leurs parents. Lorsque l’on s’intéresse au taux de chômage, on constate pourtant qu’il atteint un pic de 26,94 % au premier trimestre 2013. A partir de cette période, il a régulièrement baissé pour atteindre  22,37% au deuxième trimestre 2015. Le pays a également renoué avec la croissance depuis 2014 avec un PIB en hausse de 1,4% après avoir chuté de 1,6% en 2012 et de 1,2% en 2013. La hausse du PIB est attendue entre 2 et 2,8% cette année. Les Allemands restent les plus confiants en ce qui concerne le niveau de leur économie. Ils sont 75% à le trouver bon. Mais ils ne sont pas plus optimistes sur l’évolution de l’économie de leur pays sur les 12 mois à venir. Ils sont 23% à penser qu’elle s’améliorera un peu, contre 25% l’année dernière et 24% en 2014. Idem pour ceux qui pensent qu’elle empirera (17 et 19% sur les trois dernières années). Mais l’optimisme pour les nouvelles générations est plus de rigueur qu’en France. Ainsi, 33% des 18-29 ans pensent que l’économie allemande évoluera positivement dans les 12 prochains mois. Le taux de chômage en Allemagne atteint 6,5%, selon les statistiques nationales. Et celui des jeunes baisse également, passé de 7,7% en janvier 2013 à 7,1% aujourd’hui, d’après Eurostat. Les Italiens  sont 22% à attendre des améliorations pour l’économie de leur pays sur l’année à venir. Si ce chiffre stagne quasiment par rapport à l’année dernière (23%), il est en augmentation par rapport à 2012 (18%). Les Italiens sont toutefois un peu moins nombreux  à voir une dégradation de la situation économique de leurs pays. Ils ne sont plus que 18% de cet avis en 2015 contre 20% l’année dernière et 29% en 2013. Mais ces derniers considèrent à 88% être dans une mauvaise situation économique, et sont les plus pessimistes des pays avancés sondés par le think tank. Il faut rappeler que le pays vient de sortir de sa plus longue période de récession depuis l’après guerre.

 

2017 : Non à une candidature de Hollande pour 85% des Français

2017 : Non à une candidature de Hollande pour 85% des Français

 

Petit a petit tous les sondages tendent vers les mêmes chiffres,  Hollande a tout au plus 15% de partisans chez les Français, Un rejet global de sa politique actuelle et maintenant surtout le souhait ne plus le revoir en 2017. Une situation historique ; Autant de Français estiment d’ailleurs qu’il sera dans l’incapacité de se représenter. Selon un sondage IFOP-JDD, 85% des Français ne souhaitent pas que le Président postule à un second mandat. Ce qui constituerait une première (excepté le cas de Georges Pompidou) dans l’histoire de la Ve République. Même les sympathisants socialistes (65%) ne souhaitent pas que François Hollande se représente. Le pronostic est plus serré. Il reste minoritaire puisque 55% des personnes pensent qu’il ne sera pas candidat en 2017. Seulement 16% jugent qu’il sera « certainement » sur la ligne de départ de la prochaine présidentielle. Que peut faire François Hollande après la folle semaine? Plus de trois Français sur dix Français lui conseillent de ne « rien » faire et d’attendre la fin de son mandat. Cela ressemble à de la résignation. La carte du remaniement n’est plus réclamée que par 11% des Français. Il faut dire que le gouvernement de Manuel Valls est en place depuis cinq mois et a déjà subi des replâtrages. La vraie surprise c’est la tentation de la dissolution qui passe en moins de trois mois de 17 à 23%. Avec sans surprise des pics au FN (46%) et à l’UMP (31%). Au rayon des reproches faits au Président, ce sont les promesses non tenues qui arrivent en tête (33%). Vient ensuite la façon dont François Hollande incarne la fonction présidentielle (24%) et le manque de résultats de la politique économique (19%).

 

Sondage Européennes: l’UE ne protège pas ses intérêts économiques pour 85%

Sondage Européennes: l’UE ne protège pas ses intérêts économiques pour 85%

Selon ce sondage Ipsos/Stéria) réalisé pour Le Monde, le Cevipof (Sciences Po) et Terra Nova, 32% affirment même être « tout à fait d’accord » avec cette idée et 53% « plutôt d’accord ». Pour 65%, l’UE « devrait rétablir des contrôles aux frontières entre les États membres » et, pour 63%, l’UE « est un gaspillage de l’argent des contribuables ».  73% des sondés pensent que « sur le principe, la monnaie unique (l’euro) est une bonne idée » et 72% que l’Union européenne « est une garantie pour la paix et la justice en Europe ». Mais une majorité assez étroite (54% contre 46%) estime que  »globalement, l’euro présente plus d’inconvénients que d’avantages pour la France ». Toutefois, une forte majorité (73%) souhaite que « la France reste dans la zone euro dans les années qui viennent », 27% prônant au contraire la sortie de l’euro et le retour au franc.  Une majorité de citoyens se sentent cependant « plus Français qu’Européen » et se disent favorables à un renforcement du pouvoir de décision national, même aux dépens de l’Union européenne. Selon cette enquête publié ce lundi 19 mai, 46% des sondés déclarent se sentir « plus Français qu’Européen ». 19% affirment même se sentir « seulement Français ». Ils ne sont que 32% à se dire « autant Français qu’Européen ». 2% se sentent « plus Européen que Français » et 1% « seulement Européen ». 43% des personnes interrogées pensent que « l’Union européenne est une menace pour notre identité nationale », 57% étant d’un avis contraire . 18% seulement sont d’accord pour que « à long terme », la Turquie fasse partie de l’UE, et 17% pour que l’UE puisse prélever des impôts. Enfin, 67% des sondés (soit 2 sur 3) jugent que, « pour faire face efficacement aux grands problèmes des années à venir », il faut « renforcer les pouvoirs de décision de notre pays, même si cela doit conduire à limiter ceux de l’Europe ».

 

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