Archive pour le Tag 'trahisons'

Trahisons politiques …. pour un petit portefeuille de ministre

 Trahisons politiques …. pour un petit portefeuille de ministre

 

Nombre de responsables de gauche comme de droite n’hésitent pas à renier les convictions molles qui constituaient leur valeur pour  se vendre au pouvoir en place. Ces espèces de mercenaires- qui ont transformé la politique en métier -du jour au lendemain condamnent les propos qu’ils ont pu tenir pendant des années voir des dizaines d’années. Et tout cela pour un minable petit portefeuille de ministre que  l’histoire évidemment oubliera rapidement.

Ce mercato politique dirigé par Macron lui-même revêt un caractère aussi lamentable que pathétique. Il démontre à quel point la classe politique est en général discréditée par des comportements proches de ceux des voyous. Certes ce ne sont pas à mettre dans le même sac, loin s’en faut. Il suffit cependant d’une poignée d’arrivistes pour porter atteinte à ceux qui ont pour mission d’incarner la démocratie. De ce point de vue, les petites manœuvres de Macron relèvent davantage des pratiques de la IVe République que du XXIe siècle.

Ce débauchage, un par un,va porter un nouveau coup terrible à la classe politique dont beaucoup n’affichent  en effet que des convictions très plastiques . Certes il n’est pas interdit de changer d’idée au cours d’une vie politique, voire de partis; mais à l’occasion d’un changement ministériel pour obtenir un maroquin , cela révèle les comportements de voyous et d’opportunistes ordinaires.

 

Mercato politique: Les lamentables trahisons pour un petit portefeuille de ministre

Mercato politique: Les lamentables trahisons pour un petit portefeuille de ministre

 

Nombre de responsables de gauche comme de droite n’hésitent pas à renier les convictions molles qui constituaient leur valeur pour  se vendre au pouvoir en place. Ces espèces de mercenaires- qui ont transformé la politique en métier -du jour au lendemain condamnent les propos qu’ils ont pu tenir pendant des années voir des dizaines d’années. Et tout cela pour un minable petit portefeuille de ministre que  l’histoire évidemment oubliera rapidement.

Ce mercato politique dirigé par Macron lui-même revêt un caractère aussi lamentable que pathétique. Il démontre à quel point la classe politique est en général discréditée par des comportements proches de ceux des voyous. Certes ce ne sont pas à mettre dans le même sac, loin s’en faut. Il suffit cependant d’une poignée d’arrivistes pour porter atteinte à ceux qui ont pour mission d’incarner la démocratie. De ce point de vue, les petites manœuvres de Macron relèvent davantage des pratiques de la IVe République que du XXIe siècle.

Ce débauchage, un par un,va porter un nouveau coup terrible à la classe politique dont beaucoup n’affichent  en effet que des convictions très plastiques . Certes il n’est pas interdit de changer d’idée au cours d’une vie politique, voire de partis; mais à l’occasion d’un changement ministériel pour obtenir un maroquin , cela révèle les comportements de voyous et d’opportunistes ordinaires.

 

 

Société-Mercato politique : le temps des trahisons

 

 

Société-Mercato politique : le temps des trahisons

Comme les clubs de football, les partis politiques sont agités par le mouvement de mercato qui opère des transferts entre les écuries politiques. Macron par exemple a décrochée républicain Woerth, pourtant le plus critique vis-à-vis de la gestion financière du président. Woerth sera sans doute récompensé par un marocain. Macron continue son travail de débauchage et nombre de nouveaux convertis espère être nommés ministre (Estrosi, le maire de Nice par exemple).

À gauche,  c’est aussi le moment des nouvelles conversions avec par exemple  l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, ne soutiendra aucun candidat de gauche. Or ce dernier avait été élu tête de liste des socialistes aux européennes . Dernière trahison au sein du PS,   celle de la super égocentrique et irresponsable Ségolène royale qui refuse de soutenir Hidalgo considérant que c’est elle qui devait représenter le parti socialiste (elle l’a affirmé à plusieurs reprises). À l’extrême droite aussi la trahison est de rigueur notamment au sein du Front National où les responsables sont démarchés par Zemmour.

Ne parlons pas de Taubira qui trahit la gauche pour la seconde fois

Bref la mode est à la trahison. Sans doute que les convictions n’étaient pas très solide et que les intérêts et des egos surdimensionnés prévalent sur tout le reste. Comment comprendre en effet que des responsables qui ont soutenu pendant des années une ligne politique, qui ont bénéficié d’ailleurs de ses retombées, découvrent subitement leur désaccord. Il s’agit évidemment d’opportunisme assez sordide le plus souvent qui ne fait qu’ajouter à l’image détestable de la politique et de ses responsables. On pourrait aussi s’interroger sur l’État psychiatrique de certaines personnalités dont les extravagances et les instabilités sont proportionnelles à leur absence de compétence.

 

 

 

L’ancienne ministre, invitée de BFM Story ce mercredi, a estimé que si elle était à la place d’Anne Hidalgo, elle arrêterait sa campagne au profit de celle de Mélenchon.

Le parti à la rose montre ses épines. Les propos tenus ce mercredi soir par Ségolène Royal sur Anne Hidalgo suscitent beaucoup d’agacement au Parti socialiste, et pour cause. Invitée de BFM Story sur notre antenne, l’ancienne ministre et ex-candidate à la présidentielle de 2007 a encouragé la maire de Paris à renoncer à la magistrature suprême au regard des faibles intentions de vote dont elle bénéficierait au premier tour.

« À sa place, j’arrêterais », a jugé Ségolène Royal, qualifiant de « triste » et de « désolante » pour la gauche la situation dans laquelle se trouve la candidate socialiste. Face à cette situation Ségolène Royal, voit Jean-Luc Mélenchon comme le « vote utile » à gauche pour cette présidentielle.

Quelques réactions de socialistes obtenues ce mercredi soir témoignent de l’agacement voire de l’agressivité de proches d’Anne Hidalgo à l’égard de Ségolène Royal.

« Les propos de la Ségolène Royal d’aujourd’hui auraient été condamnés par celle de 2007″, juge pour BFMTV le sénateur Rachid Temal, qui « regrette l’attitude » de l’ancienne ministre de l’Environnement. « Elle a toujours porté la question des femmes en politique et défendu la bienveillance. Pourquoi est-ce qu’elle ne se l’applique pas à elle-même? », s’interroge-t-il.

« Capable de dire une chose et une autre à 15 jours d’intervalle »

Patrick Mennucci est moins tendre avec l’ancienne candidate socialiste. L’ancien député qualifie ses propos de « complètement stupides », « mal placés » et même « malvenus ». « Jean-Luc Mélenchon est à l’opposé de ce qu’elle pense », estime l’ancien élu marseillais. Dans l’entourage de la candidate socialiste, on ne veut pas accorder une trop grande importance à ces propos.

« Ségolène Royal est capable de dire une chose et une autre à 15 jours d’intervalle », confie un proche d’Anne Hidalgo à BFMTV.

Un cadre du parti s’étonne également de sa sortie sur Jean-Luc Mélenchon. « L’alignement sur Pékin et sur Moscou, ce n’est pas la gauche », affirme-t-il, « C’est qui le bon à droite, alors, si on fait selon les sondages?

Mercato politique : le temps des trahisons, dernière en date celle de Ségolène Royal

 

Comme les clubs de football, les partis politiques sont agités par le mouvement de mercato qui opère des transferts entre les écuries politiques. Macron par exemple a décrochée républicain Woerth, pourtant le plus critique vis-à-vis de la gestion financière du président. Woerth sera sans doute récompensé par un marocain. Macron continue son travail de débauchage et nombre de nouveaux convertis espère être nommés ministre (Estrosi, le maire de Nice par exemple).

À gauche,  c’est aussi le moment des nouvelles conversions avec par exemple  l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, ne soutiendra aucun candidat de gauche. Or ce dernier avait été élu tête de liste des socialistes aux européennes . Dernière trahison au sein du PS,   celle de la super égocentrique et irresponsable Ségolène royale qui refuse de soutenir Hidalgo considérant que c’est elle qui devait représenter le parti socialiste (elle l’a affirmé à plusieurs reprises). À l’extrême droite aussi la trahison est de rigueur notamment au sein du Front National où les responsables sont démarchés par Zemmour.

Ne parlons pas de Taubira qui trahit la gauche pour la seconde fois

Bref la mode est à la trahison. Sans doute que les convictions n’étaient pas très solide et que les intérêts et des egos surdimensionnés prévalent sur tout le reste. Comment comprendre en effet que des responsables qui ont soutenu pendant des années une ligne politique, qui ont bénéficié d’ailleurs de ses retombées, découvrent subitement leur désaccord. Il s’agit évidemment d’opportunisme assez sordide le plus souvent qui ne fait qu’ajouter à l’image détestable de la politique et de ses responsables. On pourrait aussi s’interroger sur l’État psychiatrique de certaines personnalités dont les extravagances et les instabilités sont proportionnelles à leur absence de compétence.

 

 

 

L’ancienne ministre, invitée de BFM Story ce mercredi, a estimé que si elle était à la place d’Anne Hidalgo, elle arrêterait sa campagne au profit de celle de Mélenchon.

Le parti à la rose montre ses épines. Les propos tenus ce mercredi soir par Ségolène Royal sur Anne Hidalgo suscitent beaucoup d’agacement au Parti socialiste, et pour cause. Invitée de BFM Story sur notre antenne, l’ancienne ministre et ex-candidate à la présidentielle de 2007 a encouragé la maire de Paris à renoncer à la magistrature suprême au regard des faibles intentions de vote dont elle bénéficierait au premier tour.

« À sa place, j’arrêterais », a jugé Ségolène Royal, qualifiant de « triste » et de « désolante » pour la gauche la situation dans laquelle se trouve la candidate socialiste. Face à cette situation Ségolène Royal, voit Jean-Luc Mélenchon comme le « vote utile » à gauche pour cette présidentielle.

Quelques réactions de socialistes obtenues ce mercredi soir témoignent de l’agacement voire de l’agressivité de proches d’Anne Hidalgo à l’égard de Ségolène Royal.

« Les propos de la Ségolène Royal d’aujourd’hui auraient été condamnés par celle de 2007″, juge pour BFMTV le sénateur Rachid Temal, qui « regrette l’attitude » de l’ancienne ministre de l’Environnement. « Elle a toujours porté la question des femmes en politique et défendu la bienveillance. Pourquoi est-ce qu’elle ne se l’applique pas à elle-même? », s’interroge-t-il.

« Capable de dire une chose et une autre à 15 jours d’intervalle »

Patrick Mennucci est moins tendre avec l’ancienne candidate socialiste. L’ancien député qualifie ses propos de « complètement stupides », « mal placés » et même « malvenus ». « Jean-Luc Mélenchon est à l’opposé de ce qu’elle pense », estime l’ancien élu marseillais. Dans l’entourage de la candidate socialiste, on ne veut pas accorder une trop grande importance à ces propos.

« Ségolène Royal est capable de dire une chose et une autre à 15 jours d’intervalle », confie un proche d’Anne Hidalgo à BFMTV.

Un cadre du parti s’étonne également de sa sortie sur Jean-Luc Mélenchon. « L’alignement sur Pékin et sur Moscou, ce n’est pas la gauche », affirme-t-il, « C’est qui le bon à droite, alors, si on fait selon les sondages? »




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