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La folie des « Insoumis » contre les sportifs Israéliens et les juifs

La folie des  »Insoumis » contre les sportifs Israéliens

 

Il est clair que les  » Insoumis » deviennent fous dans nombre de domaines politiques et sociétaux. L’appel à l’interdit des sportifs israéliens pour les JO constitue une faute d’une gravité exceptionnelle. Il place littéralement une pancarte dans le dos des sportifs Israéliens mais d’une façon plus générale dans le dos de toute la communauté israélienne et même Franco israélienne. Des esprits fragiles qui chaque jour commettent des attaques criminelles vont trouver la une légitimité supplémentaire à leur violence. D’une certaine manière, les  » insoumis » porteront une part de responsabilité dans les actes criminels antisémites qui répondent à cet appel.

Cette prise de position du parti de Mélenchon est particulièrement irresponsable. On se demande même si ce mouvement n’a pas décidé de se suicider en prenant systématiquement les positions les plus indignes et les plus extrêmes.

 

« Non, la délégation israélienne n’est pas la bienvenue à Paris. Les sportifs israéliens ne sont pas les bienvenus aux Jeux olympiques », a déclaré l’Insoumis, en incitant à se saisir de « l’échéance » pour se mobiliser contre l’état Israël en guerre dans la bande de Gaza contre le Hamas. Thomas Portes a été soutenu par son collègue Aymeric Caron qui a dénoncé une polémique « indigne »« Le drapeau israélien, entaché du sang des innocents de Gaza, ne devrait pas flotter à Paris cet été », a affirmé l’ancien journaliste.

Invité sur Europe 1/CNews, Manuel Bompard est venu à la rescousse de l’Insoumis Thomas Portes *, en pleine controverse autour des JO à quatre jours de la cérémonie d’ouverture. Le député de la 3e circonscription de Seine-Saint-Denis a affirmé lors d’une manifestation en soutien à la Palestine organisée samedi dernier que «les sportifs israéliens ne sont pas les bienvenus aux Jeux olympiques à Paris». Une «position [...] déjà défendue» par La France insoumise, a rétorqué Manuel Bompard, qui dénonce une «campagne de haine [...] inacceptable et insupportable» envers Thomas Portes.

Ce qui n’a pas empêché Manuel Bompard de renchérir ce lundi : «Il est légitime de considérer que le comité international olympique pourrait prendre à l’égard de la délégation israélienne les mêmes décisions qu’elle a prises à l’égard de la délégation russe». À l’instar de Thomas Portes, le député des Bouches-du-Rhône envisage les Jeux comme «un moyen de pression diplomatique» à l’égard de l’État hébreu, porté responsable d’«actions inacceptables» envers la population palestinienne.

La demande n’est pas nouvelle chez les mélenchonistes qui avaient adressé avec les écologistes un courrier au président du CIO en février dernier, exigeant «d’appliquer à Israël [...] les mêmes sanctions qu’à la Russie et à la Biélorussie».

 

 

* Thomas Portes ou le parcours d’un pro de la politique ( source Wikipédia)

 

En 2014, il est candidat aux élections municipales à Agen sur la liste de rassemblement de la gauche conduite par Emmanuel Eyssalet qui est battue par la droite au premier tour. Candidat aux élections départementales de 2015 en Lot-et-Garonne pour le PCF avec Karima Djemai, il réalise un score de 5,4 %.

En 2015, lors des élections régionales, il est candidat aux côtés d’Olivier Dartigolles, porte-parole du PCF, sur une liste de rassemblement de gauche. Candidat dans le Lot-et-Garonne, il est chargé de l’animation numérique de la campagne et des relations avec la presse sur la région Nouvelle-Aquitaine. La liste obtient 4,8 % des voix et ne peut pas fusionner au second tour.

À partir de 2018, il est chargé d’animer le collectif national des cheminots communistes dans le cadre d’une campagne intitulée « La bataille du rail ».

En 2018, il est membre de la direction fédérale du PCF et porte-parole de l’organisation pour le département.

De septembre 2019 à juillet 2020, il est chef de cabinet du maire de Champigny-sur-Marne Christian Fautré.

En juin 2021, il rejoint le parti Génération.s et en devient le porte-parole national lors de la convention du mouvement qui se tient le 5 décembre.

En 2021, dans le cadre de la primaire du Pôle écologiste, il est le porte-parole de Sandrine Rousseau (EELV) qu’il quitte en décembre 2021 après sa défaite pour soutenir Jean-Luc Mélenchon14, refusant de faire campagne pour Yannick Jadot dont les positions « ne sont pas celles d’une remise en cause des logiques libérales du système14. » Lors de la campagne présidentielle, il milite aux côtés d’Aurélie TrouvéÉric Coquerel ou encore Anthony Smith.

En 2022, Il est candidat aux élections législatives dans la troisième circonscription de la Seine-Saint-Denis sous l’étiquette de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale. Il est élu au second tour face au candidat de La République en marche Patrice Anato avec 53,96 % des voix15.

En 2024, il est rééélu au second tour face à Denis Cretin-Gielly, candidat du Rassemblement national.

Gaza :Les chars israéliens entrent dans le sud

Gaza :Les chars israéliens entrent dans le sud


L’armée israélienne et les chars ont pénétré dans le sud Où serait réfugié désormais les chefs du Hamas. Ils ont repris à la fin de la semaine dernière, quand le Hamas a rompu une trêve de sept jours au cours de laquelle 110 captifs, dont 86 Israéliens, ont pu être libérés. Environ 137 personnes enlevées lors de l’attaque du 7 octobre seraient encore détenues dans la bande de Gaza. Lundi, après d’intenses bombardements, les troupes israéliennes poursuivaient leur avancée vers Khan Younes, progressant lentement, puissamment et au prix de destructions massives. Mais cette fois, il n’y a presque plus d’échappatoire pour les centaines de milliers de civils réfugiés à Khan Younes ou Rajah, les deux grandes villes du sud de l’enclave palestinienne.

Dimanche, des habitants de la ville ont reçu l’ordre d’évacuer leurs quartiers. Publiée par le service de communication en arabe de l’armée israélienne, une carte découpe la bande de Gaza en 2400 zones. «On sait tous dans laquelle on habite, on attend l’ordre d’évacuation», explique un habitant de la ville de Gaza réfugié dans l’hôpital al-Nasser. Des prospectus largués par avion indiquent, aux moyens de QR Codes, quels endroits sont concernés. Les messages sont également diffusés par le porte-parole de l’armée israélienne en arabe, sur les réseaux sociaux.

Des milliers de réfugiés sont arrivés dans le gouvernorat de Rajah, augmentant encore la pression humanitaire

L’agence des Nations unies
D’après l’Ocha, l’agence des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires, 20 % de la ville de Khan Younes, où vivaient jusqu’à dimanche 117.000 habitants et 50.000 réfugiés, sont concernés. Par ailleurs, des villes situées à l’est de Khan Younes ont également été désignées comme zones à évacuer: selon l’Ocha, 352.000 personnes y vivaient avant la guerre. «Des instructions accompagnant la carte appellent les résidents à se déplacer vers des quartiers de Rajah qui sont déjà surpeuplés», affirme l’Ocha, qui indique que «la quantité de déplacements résultant de cet ordre n’est pas claire.» «Par conséquent, précise l’agence des Nations unies, des milliers de réfugiés sont arrivés dans le gouvernorat de Rajah, augmentant encore la pression humanitaire.»

Boucliers humains
Au total, l’ONU estime que 1,8 million de personnes ont été déplacées dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre, ce qui représente environ 80 % de la population du territoire palestinien. Les centres de l’UNRWA accueillent environ 1,1 million de personnes, les autres ont trouvé refuge dans des écoles publiques, des hôpitaux ou chez des proches.

Interviewé lundi à ce sujet par la chaîne américaine CNN, le lieutenant-colonel Jonathan Conricus, un porte-parole de l’armée israélienne, a dénoncé l’usage des populations civiles «comme des boucliers humains» par le Hamas. «Il est très difficile pour nous de détruire le Hamas et de ne pas avoir de pertes civiles», a-t-il reconnu, expliquant que les ordres d’évacuation des civils «en dehors des zones où il va y avoir des combats» sont «la meilleure façon possible» de les limiter au maximum. Certes, reconnaît le militaire, la «zone humanitaire», où doivent se réfugier les civils, n’est pas «parfaite», mais il estime qu’elle reste «la meilleure solution à l’heure actuelle. Évacuez et nous vous dirons quand vous pourrez revenir dans votre quartier», conclut le militaire.

À lire aussiEmmanuel Macron souligne les limites et les dangers de l’intervention militaire israélienne face au Hamas

«Les gens nous demandent où ils doivent se mettre en sécurité, nous n’avons rien à leur dire», déplore sur X Thomas White. Directeur de l’UNRWA, l’agence des Nations unies en charge des réfugiés palestiniens, il dénonce «une nouvelle vague de déplacements», après celle lancée au début de la guerre par l’ordre d’évacuation de la partie nord de la bande de Gaza. «Les routes conduisant vers le sud sont encombrées de voitures et de carrioles à ânes sur lesquelles les gens ont entassé leurs maigres possessions», raconte Thomas White.

La situation humanitaire semble vouée à se dégrader inexorablement. Le retour des combats entraîne un nouvel afflux de blessés dans les hôpitaux. Malgré l’entrée de camions pendant la trêve, les ONG évoquent une augmentation des maux causés par la promiscuité et le manque d’hygiène: hépatite A, diarrhées chroniques, infections respiratoires, poux.

Gaza : « Pas de cessez-le-feu sans libération des otages israéliens»

Gaza : « Pas de cessez-le-feu sans libération des otages israéliens»


Le Hamas se fait subir le supplice chinois au victimes enlevées et à leur famille en les libérant un par un. Pour l’instant quelques otages occidentaux. Des otages qui servent de parapluie et de monnaie d’échange pour la suite. À Israël refuse cette libération au compte-gouttes. C’est ce qu’affirme le premier ministre Benyamin Nétanyahou.

Le premier ministre Benyamin Netanyahou a cependant ouvert la porte à des pauses très temporaire pour des motifs humanitaires tout en réaffirmant qu’il n’y aura jamais de cessez-le-feu général sans libération des otages. une nouvelle fois rejeté l’idée d’un cessez-le-feu dans la bande de Gaza, sans libération des otages enlevés par le mouvement islamiste palestinien lors de son attaque contre Israël le 7 octobre qui a déclenché le conflit.

«Il n’y aura pas de cessez-le-feu, de cessez-le-feu général, à Gaza, sans la libération de nos otages», a-t-il dit. «En ce qui concerne (…) les petites pauses – une heure par-ci, une heure par-là – nous les avons déjà eues», a-t-il ajouté.

«Je suppose que nous allons examiner les circonstances pour permettre aux biens – aux biens humanitaires – d’entrer ou à nos otages de partir. Mais je ne pense pas qu’il y aura un cessez-le-feu général», a-t-il répété. «Cela entraverait nos efforts pour faire sortir nos otages, car la seule chose qui fonctionne sur ces criminels et sur le Hamas, c’est la pression militaire que nous exerçons», a-t-il encore dit.




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