Archive pour le Tag 'sans'

Même sans budget pas de “shutdown”

Même sans budget pas  de “shutdown”

Contrairement à ce qu’a affirmé bien maladroitement l’ancienne première ministre Élisabeth borne, il n’y a pas de risque de blocage (  » shutdown à l’américaine »)  des finances publiques même sans budget 2025. 

Yaël Braun-Pivet explique en effet que «le gouvernement peut présenter au parlement une loi spéciale pour prélever les impôts à partir du 1er janvier». Il est également en capacité de reconduire les dépenses pour payer les retraités et les fonctionnaires. Il n’y a donc «pas d’inquiétude majeure» à avoir. Dans la pratique on  reprendrait le budget de 2024 en l’appliquant par 12e chaque mois de 2025.

Stellantis: le patron Carlos Tavares viré sans ménagement

Stellantis: le patron Carlos Tavares viré sans ménagement 

Convoqué dimanche après-midi pour une réunion exceptionnelle, le conseil d’administration de Stellantis a annoncé le départ de son emblématique patron, Carlos Tavares. Une démission «avec effet immédiat» prise en accord avec le conseil, pour cause de « divergence de vues ».En cause, les erreurs stratégiques de Stellantis dans une conjoncture automobile mondiale déclinante

Le successeur de Carlos Tavares ne sera désigné qu’au cours du premier semestre 2025. Dans l’intervalle, John Elkann, président du conseil et chef de la famille Agnelli, qui est le premier actionnaire du groupe (14,2 % du capital via le holding Exor), assumera la direction d’un nouveau comité exécutif temporaire.

Foot PSG: Victoire sans éclat sur Toulouse

Foot PSG: Victoire sans éclat sur Toulouse

Victoire 3-0 du PSG sur Toulouse. Le Paris-SG conserve ses six points d’avance en tête au classement. Un Paris-SG qui n’a guère brillé mais s’est montré efficace, contrairement aux Toulousains, qui restaient sur trois victoires de rang. Le tout dans un stade aux tribunes clairsemées et sans le Collectif Ultras Paris, sanctionné après des chants inappropriés.

 

Foot ligue 1: Victoire sans briller du PSG sur Angers

Foot ligue 1: Victoire sans briller  du PSG sur Angers

 

Après avoir sombré face à Antoine Griezmann et l’Atlético en C1 (1-2), les Parisiens se vengent sur une très modeste équipe d’Angers ( 4-2). . Offensivement, les joueurs de Luis Enrique ont été plus efficaces que lors des dernières sorties. Face à un adversaire, certes, plus faible. Après la trêve internationale, Paris recevra Toulouse le 22 novembre prochain en Ligue 1, quatre jours avant un déplacement périlleux en Allemagne pour y affronter le Bayern Munich. Et il y a un monde entre le Bayern de Munich et Angers !

 

Foot PSG: 4 à 2 face à Strasbourg sans forcer

Foot PSG: 4 à 2 face à Strasbourg sans forcer

Malgré deux buts encaissés, les joueurs de Luis Enrique n’ont guère tremblé face à Strasbourg (4-2) samedi, au Parc des Princes, lors de la huitième journée de Ligue 1. Un match de bon niveau  deux équipes tournées vers l’offensive. Les visiteurs sont restés fidèles à leur philosophie. Le PSG avait simplement plus d’armes… Un Paris Saint-Germain qui reprend les commandes au classement de Ligue 1 à la différence de buts, devant l’ASM.

 

Sans papiers: Des menaces verbales de Retailleau mais peu d’action

Sans papiers: Des menaces verbales de Retailleau mais peu d’action

Finalement le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau en est réduit comme ses prédécesseurs à se contenter de mots pour masquer l’inaction des pouvoirs publics. Ainsi la dernière initiative du ministre vise-t-elle à durcir les règles de régularisation de sans-papiers. Le seul problème est de taille , cela ne changera rien à la présence de ces sans-papiers irrégulièrement sur le territoire puisqu’il est concrètement impossible sauf rare exceptions de les renvoyer dans leur pays d’origine.

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau souhaite durcir les règles de régularisation de certains sans papiers, en revenant sur une circulaire en vigueur depuis 2012, a-t-il indiqué dans un entretien au Parisien  mercredi 9 octobre. «Je vais envoyer dans les semaines prochaines deux circulaires aux préfets», a dit le ministre qui les a reçus mardi en mettant l’accent sur l’immigration. «Une première qui précisera leur rôle de pilotage et la seconde qui remplacera la circulaire Valls», a-t-il détaillé en précisant: «Nous ne devons régulariser qu’au compte-goutte, sur la base de la réalité du travail et de vrais critères d’intégration.»

Barnier: Discours fleuve, soporifique…. mais sans épine

Barnier:  Discours fleuve, soporifique…. mais sans épine

 

Dans le chahut provoqué par les  » insoumis », Barnier, tel un maître d’école,  a déroulé sa leçon de politique générale. Il a couvert à peu près tous les sujets mais de manière le plus souvent assez floue en prenant bien soin d’éviter les épines pouvant blesser tel ou tel courant. Un discours interminable, relativement soporifique dont l’objet était surtout de ne pas rajouter des opposant aux opposants . Le premier ministre a réaffirmé la nécessité d’une fiscalité pour les plus fortunés et les grandes entreprises. Il a promis une augmentation du SMIC de 2 %. Il a aussi assuré sans doute un peu rapidement du retour sous les 3 % du déficit budgétaire avant 2030 avec un tiers de fiscalité et deux tiers d’ économies. Il a aussi réaffirmé l’impérative nécessité de respecter l’État de droit et a  suspendu le projet électoral de la Nouvelle-Calédonie. À noter sa volonté de relancer le logement avec un livret épargne dédié. Sur les retraites il se contentera de quelques aménagements.

Sur le plan financier Michel Barnier entend ramener le déficit à 5% en 2025 et atteindre l’objectif européen de 3% en 2029. Un changement de trajectoire, puisque le précédent gouvernement visait un retour sous les 3% d’ici à 2027. l’effort budgétaire proviendra « aux deux tiers » de la réduction des dépenses publiques. Sur le volet fiscal, le chef du gouvernement demande « une participation au redressement collectif aux grandes entreprises qui réalisent des profits importants ». Il entend également mettre en place « une contribution exceptionnelle » des « Français les plus fortunés ».

Sur les retraites , le Premier ministre a proposé aux partenaires sociaux de « réfléchir à des aménagements justes et raisonnables » de la réforme des retraites, notamment sur la « retraite progressive », « l’usure professionnelle », « l’égalité entre les femmes et les hommes face à la retraite ».

Il leur a aussi proposé de « négocier dès les prochaines semaines sur l’emploi des seniors, sur notre système d’indemnisation du chômage ».

Sur le scrutin proportionnel, Le premier ministre est ouvert à une réflexion et une action sans idéologie sur le scrutin proportionnel ». La proportionnelle est demandée par plusieurs formations politiques, notamment le Rassemblement national et le MoDem.

Pour la Nouvelle-Calédonie , le Premier ministre propose un report  De la réforme électorale « jusque fin 2025″

Michel Barnier a donné des gages sur le volet sociétal.

Par ailleurs, « nous allons simplifier au maximum les normes qui pèsent sur la construction de logements neufs ou la réhabilitation des logements anciens », afin de rendre disponibles davantage de logements, a-t-il promis. L’accès à la propriété sera facilité par « l’extension du prêt à taux zéro sur tout le territoire ».

Le Premier ministre a promis des forces de l’ordre « encore plus visibles et présentes sur la voie publique », notamment via la réduction du temps consacré aux « procédures administratives » et la création de nouvelles brigades de gendarmerie ( . L’ancien gouvernement avait proposé la création de gendarmerie « ambulatoire »!!). Il a également souhaité la « réduction des délais de jugement, particulièrement pour les mineurs », souhaitant « la création d’une procédure de comparution immédiate pour les mineurs délinquants de plus de 16 ans » et une réflexion sur l’excuse de minorité.

Afin que les peines soient « réellement exécutées », le Premier ministre souhaite « réviser les conditions d’octroi du sursis et limiter les possibilités de réduction de peine », ainsi qu’un recours « plus important aux travaux d’intérêt général, aux amendes administratives et aux amendes forfaitaires délictuelles ». Enfin, Michel Barnier a annoncé la création de places de prison et s’est dit favorable à « la création d’établissements nouveaux pour les courtes peines », notamment pour les « mineurs délinquants ».

Concernant l’immigration, le Premier ministre envisage par ailleurs de conditionner davantage « l’octroi de visas à l’obtention de laissez-passer consulaires nécessaires aux reconduites à la frontière », en renégociant les accords avec les pays d’origine des migrants venant en France. Il souhaite enfin que la France puisse « rétablir des contrôles à ses propres frontières », dans le respect des règles européennes.

 

Raphaël Glucksmann pour une gauche sans Mélenchon

 Raphaël Glucksmann prépare d’ores et déjà l’opinion à une séparation avec Mélenchon lors de la prochaine dissolution de l’Assemblée nationale. Il  dénonce une «stratégie du tout ou rien, dictée par Jean-Luc Mélenchon dès 20h02 le soir du deuxième tour et appliquée par des gens tétanisés à l’idée de lui déplaire», qui «a produit le rien»«C’était voué à l’échec». Déplorant l’intransigeance des principaux leaders du NFP qui n’ont pas voulu négocier sur le programme dans la foulée de leur victoire relative, le parlementaire européen rappelle que la coalition «n’avait pas de majorité».

En cas de législatives en 2025, il assure être «prêt» et espère «faire émerger» d’ici là «une offre politique sociale, démocrate et écolo crédible et puissante»«Le but est d’esquisser un chemin en neuf mois, de fixer un cap clair sur le fond et sur la forme», précise Raphaël Glucksmann. Qui entend capitaliser sur sa notoriété grandissante pour «s’adresser à tous les Français, y compris ceux qui aujourd’hui ne peuvent plus saquer la gauche». La présidentielle de 2027 a beau être «loin» pour lui, il n’écarte pas l’hypothèse. Jusqu’à l’échéance, il cantonne son rôle à participer à «édifier une gauche démocratique assez forte intellectuellement et politiquement pour battre l’extrême droite.»

Ferroviaire : des trains sans conducteur (Alstom)

Ferroviaire : des trains sans conducteur (Alstom)

 

 

En lien avec l’Allemagne, Alstom étudie actuellement la faisabilité d’une conduite automatique- et où à distance- de tous les trains. Le problème n’est pas nouveau. Cette possibilité était déjà apparue  avant le lancement du TGV en France dans les années 80. Cette orientation technique n’avait pas été retenue pour des questions d’acceptabilité de la part de l’usager. Cette technologie de conduite autonome si des trains apparaît beaucoup plus prometteuse que la conduite de voitures automobiles du fait que les trains circulent en site propre et non en site partagé entre différentes activités économiques humaines.

Alstom et ses partenaires doivent encore achever les essais. La plupart sont aujourd’hui finis et Arte (nom du projet) entre dans sa dernière phase, à savoir des tests en circuit ouvert avec du trafic, avant la remise du rapport final aux autorités allemandes. Cela conclura ce projet de trois ans environ et amener le concept jusqu’à un stade de pré-industrialisation, ouvrant la voie pour Alstom à un projet industriel avec un opérateur et à une certification.

 

Pour Alstom, la force de ce projet vient de son adaptabilité. Si tout se déroule comme prévu, ce projet doit ouvrir la voie à la mise en place de la conduite autonome sur des trains existants, possiblement d’autres constructeurs, grâce à du rétrofit pour des montants relativement modestes – qui pourraient être de l’ordre de 50.000 euros par rame. Ce qui multiplie les possibilités d’utilisation par rapport à un système limité à des matériels neufs.

Surtout, ces trains autonomes pourront être mis sur le réseau ferré existant sans ajout de systèmes de signalisation spécifique.

 

Si ce développement a pris pied outre-Rhin, cela vient de la volonté de l’Allemagne d’accélérer les projets de numérisation.

 

Un gouvernement….sans nom

Un gouvernement….sans nom

 

À nouvelle conjoncture économique, nouvelle procédure pour constituer un gouvernement. Mais pour l’instant Michel Barnier s’est contenté d’indiquer que le futur gouvernement respectera le savant dosage politique avec 38 ministres. Restera à préciser les noms qui vraisemblablement font toujours l’objet de négociations avec Macron et les formations politiques parties prenantes.

Certes on a un peu avancé mais il faudra attendre au moins dimanche pour connaître notamment l’attribution des portefeuilles surtout les plus stratégiques comme l’économie, l’intérieur ou encore la justice. Il n’est pas du tout certain qu’on retrouve les plus qualifiés aux commandes des ministères. Il s’agirait plutôt de trouver ceux qui rencontreront le moins d’opposition si de la part de tous les partis à l’Assemblée nationale. Bref sans doute un gouvernement assez inodore et surtout baroque sans grand leader susceptible de concurrencer les autres prétendants à la prochaine élection présidentielle.

Une rencontre s’est déroulée entre le premier ministre et le président de la république sur le principe même d’un gouvernement de 38 ministres mais visiblement sans accord encore définitif concernant les titulaires des portefeuilles ministériels.

De toute manière un gouvernement qui paraît très provisoire et qui aura même des difficultés à résister à l’examen du budget notamment sur la question de l’évolution de la fiscalité.

Nouveau gouvernement: sans insoumis mais avec le programme des insoumis !

Nouveau gouvernement:  sans insoumis mais avec le programme des insoumis !

C’est la dernière proposition piège de Mélenchon à Macron. La ficelle est un peu grosse mais elle va gêner le président de la république victime de son irresponsabilité avec la dissolution de l’assemblée nationale.

Mélenchon pour contrer les menaces de censure contre un gouvernement du NSP propose tout simplement l’absence des insoumis dans un éventuel gouvernement mais avec le programme des insoumis.

La vérité c’est que cette proposition va occuper le terrain médiatique pendant quelques jours mais qu’elle va se révéler rapidement incohérente en effet la plupart des forces du centre et de droite s’opposent surtout au programme du NFP incohérent, démagogique et non financé.

Il est donc vraisemblable qu’à la première proposition reprenant les orientations des insoumis un gouvernement du NFP serait sanctionné par motion de censure.

Lors de la première phase de consultation organisé par Macron, le centre et la droite avait concentré sur leurs attaques sur l’éventuelle présence des  insoumis dans le gouvernement. En réalité, c’est non seulement le programme des insoumis mais celui du NFP -sorte de copier coller- qui sont en cause.

Ce programme du NFP n’était d’ailleurs pas destiné à présenter des orientations gouvernementales. Il s’agissait surtout de promesses électorales pour empêcher le rassemblement national d’accéder au pouvoir. Et personne au NFP pensait que la question se poserait pour une  participation à un éventuel gouvernement. Aujourd’hui le NFP se trouve lui-même piégé en tout cas les socialistes responsables par un programme qui n’en est pas et qui  provoquera, après remise en cause,  de gros remous au sein de la gauche elle-même.

Un gouvernement sans insoumis mais avec le programme des insoumis

Un gouvernement sans insoumis mais avec le programme des insoumis !

C’est la dernière proposition piège de Mélenchon à Macron. La ficelle est un peu grosse mais elle va gêner le président de la république victime de son irresponsabilité avec la dissolution de l’assemblée nationale.

Mélenchon pour contrer les menaces de censure contre un gouvernement du NST propose tout simplement l’absence des insoumis dans un éventuel gouvernement mais avec le programme des insoumis.

La vérité c’est que cette proposition va occuper le terrain médiatique pendant quelques jours mais qu’elle va se révéler rapidement incohérente en effet la plupart des forces du centre et de droite s’opposent surtout au programme du NFP incohérent, démagogique et non financé.

Il est donc vraisemblable qu’à la première proposition reprenant les orientations des insoumis un gouvernement du NFP serait sanctionné par motion de censure.

Riner, le Roi du judo …. sans le Japon

Riner, le  Roi du judo …. sans le Japon

Teddy Riner à sauvé le titre très symbolique de la confrontation mixte par équipes. Une nouvelle vraie déception pour le Japon par ailleurs éliminé des finale individuelle. Le roi du judo a sauvé la mise grâce à ses deux matchs consécutifs en quelques minutes. Il est clair que le trop nouveau triomphe de Teddy Riner en fera un roi du judo dans l’histoire de ce sport. C’est en effet la troisième d’or  conquise par l’exceptionnel champion après celle de 2012 et 2016. L’autre événement aussi marquant est sans doute l’absence du Japon dans toutes les finales individuelles. La preuve de l’internationalisation de la discipline mais aussi de la crise sportive- autant qu’économique–que connaissent les nippons. Des nippons dans le développement économique est en cause avec le tassement de la croissance en Chine et qui a tendance à se replier sur lui-même avec en plus de graves problèmes financiers et une crise démographique.

 

Une nouvelle forme de cohabitation sans majorité absolue à l’Assemblée serait une belle occasion pour notre nation

Une nouvelle forme de cohabitation sans majorité absolue à l’Assemblée serait une belle occasion pour notre nation 

 

Mieux qu’une coalition, un gouvernement dit « de minorité », conduit par une personnalité issue du Nouveau Front populaire, aurait l’avantage de respecter à la fois le résultat des urnes et l’esprit du front républicain, considère l’ancienne ministre socialiste. par Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la culture qui par parenthèse pourrait tenir le même raisonnement avec une personnalité à  Matignon ne provenant pas du « front républicain » ! Bref, le discours toujours aussi réducteur et sectaire d’une certaine gauche.

 

A l’issue des élections législatives, beaucoup s’interrogent sur la manière de gouverner une France où trois blocs importants et extrêmement différents, voire opposés, coexistent à l’Assemblée nationale. Il est d’abord important de souligner que la défaite, car c’est une défaite, du Rassemblement national (RN) est le fruit d’une mobilisation sans précédent du cœur le plus profond de l’électorat français. Ceux qui n’ont de cesse de revendiquer les opinions de « la France profonde » ne pourront plus feindre d’ignorer cette réalité : la France dans ses profondeurs s’est exprimée massivement contre l’extrême droite.Les électeurs et électrices de droite, de gauche, du centre se sont massivement rendus aux urnes pour dire qu’ils refusaient que le pays renie son histoire et tombe aux mains d’un parti d’extrême droite, fût-il engagé dans une stratégie de dissimulation de ses profondes racines idéologiques antirépublicaines.

Ce que les Françaises et les Français ont dit lors du second tour, c’est, au fond, que ce qui nous rassemble, à savoir l’attachement viscéral au fondement de la République, qui se traduit par la devise « Liberté, égalité, fraternité », où chaque mot est essentiel et indissociable des autres, est bien le socle réaffirmé de la communauté nationale.

Pourtant, ces derniers temps, cette adhésion semblait remise en cause par une fracturation, sociale, économique ou culturelle, que certains, avec le directeur du département opinion à l’IFOP, Jérôme Fourquet, ont appelé « l’archipélisation » de la société française. Le message des urnes de dimanche soir nous dit le contraire : avant tout, il est l’affirmation qu’il existe bien une indivisibilité des citoyens et citoyennes de notre pays face à la plus grande des menaces pour la démocratie. C’est donc le contraire de la fracturation, mais bien la réaffirmation d’une adhésion à notre contrat social.

Personne parmi les électeurs de gauche qui ont voté pour des candidats du groupe Ensemble, voire des Républicains, n’a omis les divergences d’analyse politique profondes qui nous séparent. De même, ceux à droite et au centre qui ont voté pour des candidats du Nouveau Front populaire n’ont pas remisé pour autant leur opposition aux grandes lignes de notre programme.

Iran: Élection du président sans doute sans grande surprise

Iran: Élection du président sans doute sans  grande surprise

 

Il n’y aura sans doute pas de grande surprise pour l’élection du nouveau président iranien d’une part parce que la participation est relativement faible  d’autre part parce que les candidats doivent recevoir la bénédiction des autorités politiques et religieuses. Elle pourrait toutefois donner une petite indication pour le remplacement le moment venu du guide suprême de la révolution islamique qui est âgée de 85 ans et qui dispose, lui , du véritable  pouvoir .

 

Les Iraniens sont appelés aux urnes vendredi pour une élection présidentielle organisée après le décès d’Ebrahim Raïssi dans un accident d’hélicoptère survenu le mois dernier.

Le résultat de l’élection ne devrait avoir que peu d’incidence en matière de politique mais pourrait influer sur la succession de l’ayatollah Ali Khamenei.

Le guide suprême de la Révolution islamique, âgé de 85, a appelé à une participation « maximale » afin d’enrayer une crise de légitimité alimentée par le mécontentement de la population face aux difficultés économiques et aux restrictions imposées aux libertés politiques et sociales.

La participation aux scrutins a reculé ces quatre dernières années en Iran, alors que les jeunes iraniens se révoltent contre les restrictions politiques et sociales.

Dans le système théocratique iranien, le président gère les affaires courantes du gouvernement tandis que les principales décisions reviennent au guide suprême de la révolution islamique, qui dispose par exemple du dernier mot sur le nucléaire et la politique étrangère.

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