Archive pour le Tag 'chars'

Gaza :Les chars israéliens entrent dans le sud

Gaza :Les chars israéliens entrent dans le sud


L’armée israélienne et les chars ont pénétré dans le sud Où serait réfugié désormais les chefs du Hamas. Ils ont repris à la fin de la semaine dernière, quand le Hamas a rompu une trêve de sept jours au cours de laquelle 110 captifs, dont 86 Israéliens, ont pu être libérés. Environ 137 personnes enlevées lors de l’attaque du 7 octobre seraient encore détenues dans la bande de Gaza. Lundi, après d’intenses bombardements, les troupes israéliennes poursuivaient leur avancée vers Khan Younes, progressant lentement, puissamment et au prix de destructions massives. Mais cette fois, il n’y a presque plus d’échappatoire pour les centaines de milliers de civils réfugiés à Khan Younes ou Rajah, les deux grandes villes du sud de l’enclave palestinienne.

Dimanche, des habitants de la ville ont reçu l’ordre d’évacuer leurs quartiers. Publiée par le service de communication en arabe de l’armée israélienne, une carte découpe la bande de Gaza en 2400 zones. «On sait tous dans laquelle on habite, on attend l’ordre d’évacuation», explique un habitant de la ville de Gaza réfugié dans l’hôpital al-Nasser. Des prospectus largués par avion indiquent, aux moyens de QR Codes, quels endroits sont concernés. Les messages sont également diffusés par le porte-parole de l’armée israélienne en arabe, sur les réseaux sociaux.

Des milliers de réfugiés sont arrivés dans le gouvernorat de Rajah, augmentant encore la pression humanitaire

L’agence des Nations unies
D’après l’Ocha, l’agence des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires, 20 % de la ville de Khan Younes, où vivaient jusqu’à dimanche 117.000 habitants et 50.000 réfugiés, sont concernés. Par ailleurs, des villes situées à l’est de Khan Younes ont également été désignées comme zones à évacuer: selon l’Ocha, 352.000 personnes y vivaient avant la guerre. «Des instructions accompagnant la carte appellent les résidents à se déplacer vers des quartiers de Rajah qui sont déjà surpeuplés», affirme l’Ocha, qui indique que «la quantité de déplacements résultant de cet ordre n’est pas claire.» «Par conséquent, précise l’agence des Nations unies, des milliers de réfugiés sont arrivés dans le gouvernorat de Rajah, augmentant encore la pression humanitaire.»

Boucliers humains
Au total, l’ONU estime que 1,8 million de personnes ont été déplacées dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre, ce qui représente environ 80 % de la population du territoire palestinien. Les centres de l’UNRWA accueillent environ 1,1 million de personnes, les autres ont trouvé refuge dans des écoles publiques, des hôpitaux ou chez des proches.

Interviewé lundi à ce sujet par la chaîne américaine CNN, le lieutenant-colonel Jonathan Conricus, un porte-parole de l’armée israélienne, a dénoncé l’usage des populations civiles «comme des boucliers humains» par le Hamas. «Il est très difficile pour nous de détruire le Hamas et de ne pas avoir de pertes civiles», a-t-il reconnu, expliquant que les ordres d’évacuation des civils «en dehors des zones où il va y avoir des combats» sont «la meilleure façon possible» de les limiter au maximum. Certes, reconnaît le militaire, la «zone humanitaire», où doivent se réfugier les civils, n’est pas «parfaite», mais il estime qu’elle reste «la meilleure solution à l’heure actuelle. Évacuez et nous vous dirons quand vous pourrez revenir dans votre quartier», conclut le militaire.

À lire aussiEmmanuel Macron souligne les limites et les dangers de l’intervention militaire israélienne face au Hamas

«Les gens nous demandent où ils doivent se mettre en sécurité, nous n’avons rien à leur dire», déplore sur X Thomas White. Directeur de l’UNRWA, l’agence des Nations unies en charge des réfugiés palestiniens, il dénonce «une nouvelle vague de déplacements», après celle lancée au début de la guerre par l’ordre d’évacuation de la partie nord de la bande de Gaza. «Les routes conduisant vers le sud sont encombrées de voitures et de carrioles à ânes sur lesquelles les gens ont entassé leurs maigres possessions», raconte Thomas White.

La situation humanitaire semble vouée à se dégrader inexorablement. Le retour des combats entraîne un nouvel afflux de blessés dans les hôpitaux. Malgré l’entrée de camions pendant la trêve, les ONG évoquent une augmentation des maux causés par la promiscuité et le manque d’hygiène: hépatite A, diarrhées chroniques, infections respiratoires, poux.

Chars à l’Ukraine: Macron bredouille

Chars à l’Ukraine: Macron bredouille


Une nouvelle fois Macon bredouille sa politique étrangère dans le conflit ukrainien. Il faut d’abord se souvenir qu’à plusieurs reprises , il a affirmé que jamais la France n’enverrait de chars en Ukraine pour éviter d’être considéré par les Russes comme belligérant. Ensuite, le chef de l’État changeant une nouvelle fois de politique a autorisé l’envoi d’AMX, chars très légers.

Très récemment la plupart des grands pays occidentaux ont décidé de fournir les chars réclamés par le président zélinsky.

Pris au piège, Macon a alors déclaré que la question était à l’étude et que la fourniture de chars lourds français type Leclerc n’était pas exclue.
La preuve une nouvelle fois des relations ambiguës qu’entretient Macon avec Kiev d’une part et Moscou d’autre part.

L’autre problème est celui de l’extrême faiblesse des équipements français. Comme le disent avec une certaine pudeur les experts militaires : l’armée française est très complète mais cependant « échantillonnaire ». En clair, nous disposons d’une mini armée bien incapable de faire face à des attaques du type de celle subie en Ukraine. Témoin la retraite assez lamentable de la force Barkhane au Mali d’abord et maintenant au Burkina Faso.

Le dernier élémen,t c’est que la France qui manque déjà de chars Leclerc n’en fabrique plus et attend l’hypothétique char commun qui doit être construit avec l’Allemagne.

L’Europe fournira des chars à l’Ukraine


L’Europe fournira des chars à l’Ukraine


C’est décidé, l’Europe fournira donc des chars à l’Ukraine. Des équipements absolument indispensables pour faire face à la probable contre-attaque russe du printemps
.

Depuis le début de l’offensive russe, l’Ukraine a perdu plusieurs centaines d’engins. Selon des analystes cités par le magazine américain Forbes*, plus de 330 chars ukrainiens avaient déjà été détruits fin octobre – un bilan très difficile à vérifier de façon indépendante. Si l’Ukraine possède plusieurs milliers de chars (notamment des tanks récupérés après les combats), leur grand âge et leurs performances jugées médiocres constituent un handicap.

Kiev doit agir rapidement, car d’ici au printemps, « les 150 000 Russes conscrits l’automne dernier auront été entrainés et probablement intégrés dans des unités prêtes pour le combat », note ainsi CNN*. L’objectif de l’armée ukrainienne ne se borne pas à répondre à la Russie. L’envoi de chars occidentaux lui permettrait aussi de lancer une stratégie plus offensive.

Sous la pression des Occidentaux pour livrer ses chars Leopard 2, réclamés par Kiev, pour prendre l’avantage dans un conflit qui s’enlise, l’Allemagne est sur le point d’accéder à cette demande, ont indiqué mardi soir deux médias allemands. Pourtant, Berlin s’était d’abord montrée réticente, préférant attendre que les Etats-Unis se positionnent en premier sur le sujet.( ce qui devrait aussi être imminent)

Ce sera visiblement bientôt chose faite puisque l’administration Biden doit, elle aussi, accepter de livrer des chars Abrams contre les armées lancées par Vladimir Poutine chez son voisin, affirme de son côté le Wall Street Journal. Autant de fuites de presse simultanées qui laissent entrevoir un mouvement coordonné des Occidentaux. Il s’agit de donner définitivement l’avantage à l’armée ukrainienne qui tente de repousser la présence de l’armée russe sur son sol depuis près d’un an mais qui subit en même temps d’importants bombardements.

Le tournant de la guerre est donc peut-être proche. Le chancelier Olaf Scholz devrait donner son feu vert, probablement mercredi, à l’envoi de chars allemand Leopard 2 de type 2A6, affirme le Spiegel sur son site internet, sans citer de source. Il s’agit d’« au moins une compagnie », soit une dizaine de chars lourds au moins, ajoute ce média.

La chaîne d’information NTV, qui cite des sources proches du gouvernement, indique elle aussi que le chancelier allemand, sous pression depuis plusieurs semaines pour donner son accord, s’apprête à l’annoncer.

Politique-Chars à l’Ukraine: une éventualité non « escalatoire » pour Macron

Politique-Chars à l’Ukraine: une éventualité non « escalatoire » pour Macron

La démarche distriruptive de Macron touche maintenant le champ sémantique. En effet très gêné à propos de la question de fourniture de chars à l’Ukraine, il a répondu que c’était une éventualité non « escalatoire » . On atteint la le sommet de la langue de bois approximative. La vérité c’est que Macron ne veut pas se positionner sur ce sujet actuellement. Une frilosité constante chez lui à propos de l’Ukraine .

Lors d’une conférence de presse dimanche soir, aux côtés du chancelier allemand Olaf Scholz, Emmanuel Macron a déclaré que « rien n’est exclu » concernant la livraison de chars de combat lourds Leclerc à l’Ukraine, afin de la soutenir dans sa guerre contre la Russie.

« Pour ce qui est des Leclerc, j’ai demandé au ministre des Armées d’y travailler. Rien n’est exclu et cela s’apprécie en effet collectivement », a déclaré le président français.
Il a toutefois précisé que décision serait prise au regard de trois critères. Le premier, « que cela ne soit pas escalatoire », le deuxième, « que cela puisse apporter un soutien réel et efficace » à l’Ukraine, et le troisième, que cela n’affaiblisse pas « nos capacités propres de défense ».

Olaf Scholz a été interrogé de son côté sur les Leopard, ces chars de fabrication allemande et de renommée mondiale, réclamés par Kiev.

« La manière dont nous avons agi par le passé est toujours étroitement coordonnée avec nos amis et alliés et nous continuerons à agir en fonction de la situation concrète », a-t-il réagi.

Chars à l’Ukraine: une éventualité non « escalatoire » pour Macron

Chars à l’Ukraine: une éventualité non « escalatoire » pour Macron

La démarche distriruptive de Macon touche maintenant le champ sémantique. En effet très gêné à propos de la question de fourniture de chars à l’Ukraine, il a répondu que c’était une éventualité non « escalatoire » . On atteint la le sommet de la langue de bois approximative. La vérité c’est que Macron ne veut pas se positionner sur ce sujet actuellement. Une frilosité constante chez lui à propos de l’Ukraine .

Lors d’une conférence de presse dimanche soir, aux côtés du chancelier allemand Olaf Scholz, Emmanuel Macron a déclaré que « rien n’est exclu » concernant la livraison de chars de combat lourds Leclerc à l’Ukraine, afin de la soutenir dans sa guerre contre la Russie.

« Pour ce qui est des Leclerc, j’ai demandé au ministre des Armées d’y travailler. Rien n’est exclu et cela s’apprécie en effet collectivement », a déclaré le président français.
Il a toutefois précisé que décision serait prise au regard de trois critères. Le premier, « que cela ne soit pas escalatoire », le deuxième, « que cela puisse apporter un soutien réel et efficace » à l’Ukraine, et le troisième, que cela n’affaiblisse pas « nos capacités propres de défense ».

Olaf Scholz a été interrogé de son côté sur les Leopard, ces chars de fabrication allemande et de renommée mondiale, réclamés par Kiev.

« La manière dont nous avons agi par le passé est toujours étroitement coordonnée avec nos amis et alliés et nous continuerons à agir en fonction de la situation concrète », a-t-il réagi.

Castaner : des chars pour évacuer les ronds points ?

Castaner : des chars pour évacuer les ronds points ?

 

Depuis qu’il a enfilé son costume de ministre de l’intérieur, Castaner, l’ancien proche du milieu qui gagnait sa vie en jouant au poker,  fait régulièrement dans la provocation à défaut d’être en capacité de maîtriser l’ordre public. Évidemment Castaner mélange tout en reportant la responsabilité de tous les maux sur les gilets jaunes. Certes l’occupation des ronds points  ne peut être éternelle, elle affecte effectivement certains commerces dont le chiffre d’affaires est notamment lié aux fêtes de Noël. Ceci étant  les ¾ sinon davantage des ronds-points ont été maintenant abandonnés par les gilets jaunes qui attendent désormais le début de l’année pour juger des conditions d’application des promesses de Macron. La circulation n’est pratiquement plus bloquée pour les quelques ronds-points qui demeurent occupés.Il n’est pas utile de mobiliser des chars !  Castaner serait sans doute mieux de s’occuper de ses fonctionnaires qui semble-t-il ne lui font guère confiance ni pour veiller à l’ordre public ni pour leurs conditions sociales notamment salariales. Et Castaner de développer un discours type Pasqua ou Éric Ciotti. Je le dis clairement : ‘ça suffit !’” a-t-il déclaré à des journalistes. “Cela suffit pour la sécurité des ‘Gilets jaunes’ eux-mêmes, cela suffit pour la sécurité de nos concitoyens, cela suffit aussi pour la sécurité de nos forces de l’ordre.”Il a averti que les forces de l’ordre allaient continuer à dégager les ronds-points occupés par des “Gilets jaunes” qui y filtrent, voire y bloquent, la circulation. Sur un site de la police judiciaire qui surveille notamment les dérives des réseaux sociaux, il a admis que les “Gilets jaunes” étaient dans “une forme de défiance” à l’égard de toute parole officielle ou journalistique. “Et donc ils vivent, ils se repaissent de ‘fake news’, on l’a vu sur toute une série de sujets”, a-t-il poursuivi. “Quelquefois les ‘fake new’ amènent de la haine”, a-t-il ajouté. “Au fond, les ‘Gilets jaunes’ n’ont vécu ces dernières semaines médiatiquement qu’à travers la violence, pas forcément à travers leurs revendications parce qu’elles étaient très multiples, très difficiles à appréhender, que les porte-parole étaient très divers.