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Jouyet la gaffe

Jouyet la gaffe

 

Décidemment Hollande a du mal à choisir r ses amis (comme Sarkozy) ;  ou bien certains sont inculpés de malversations ou bien ils se prennent les pieds dans le tapis médiatique. Ce qui est arrivé à Jouyet la gaffe qui n’en est pas à sa première bavure. Pas étonnant cet ancien fonctionnaire qui navigue entre la droite et la gauche se croit investi dune mission quasi divinine pour orienter la politique. Pas besoin d’être au PS (ou à l’UMP) , l’ENA ne suffit. Cela suffit pour commettre une grosse erreur de communication. Car même si effectivement Fillon a demandé de taper sur Sarkozy, il n’était pas très opportun pour un haut responsable de ce type d’aller bavasser ainsi avec deux journalistes. Résultat, c’est Sarkozy qui est recrédibilisé dans l’affaire alors que Fillon ne pesait pas lourd par rapport à 2017. Ces hauts fonctionnaires se croient  tellement investi d’une mission quasi divine qu’ils ne se rendent pas même compte de la gravité de leurs propos ; exemple quand Jouyet déclarait que  la BPI (banque pibloque investissement) n’est pas là pour sauver les canards boiteux ! L’enregistrement le confirme. Jean-Pierre Jouyet a bien raconté en septembre à deux journalistes du Monde que François Fillon lui avait demandé, au cours d’un déjeuner, d’accélérer les procédures judiciaires contre son rival Nicolas Sarkozy.  Suite au démenti initial du secrétaire général de l’Elysée – qui s’est depuis ravisé – les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme ont diffusé des extraits de l’entretien qu’ils avaient eu en septembre dernier avec lui, afin de prouver leur bonne foi.  Sur cette bande, Jean-Pierre Jouyet raconte que François Fillon, lors d’un déjeuner le 24 juin, lui a demandé que l’Élysée «tape vite» contre l’ancien président Sarkozy pour éviter son retour en accélérant les procédures judiciaires visant notamment ses comptes de campagne de 2012. Les deux enquêteurs, qui ont fait écouter cet extrait à trois médias (France 2, BFMTV et l’AFP) , précisent qu’ils étaient seuls avec Jean-Pierre Jouyet lors de cet entretien réalisé le 20 septembre à l’Élysée. Le numéro 2 de l’Élysée affirme avoir rapporté cette demande au président de la République, qui lui a répondu que c’était l’affaire de la justice. Jouyet ajoute qu’il partageait cet avis. Interrogés sur les circonstances de l’enregistrement, les deux journalistes assurent que Jean-Pierre Jouyet «savait que ses propos seraient publiés ultérieurement dans un livre», à paraître en 2017. Et pour l’ouvrage «Sarko s’est tuer» (Stock) paru ce lundi, «il nous avait demandé de ne pas citer ses propos entre guillemets, ce que nous avons respecté», ont-ils précisé. «C’est son démenti dimanche qui nous a contraints, pour prouver notre bonne foi, à publier quelques extraits du verbatim», ont-ils expliqué à l’AFP.  Lors de leur entretien à l’Elysée, Jean-Pierre Jouyet «ne mesurait pas du tout l’importance» de ses révélations, ont confié à l’AFP les deux journalistes, qui avaient déjà eu connaissance de la démarche de François Fillon par une autre source. «Jean-Pierre Jouyet n’est pas un politique comme les autres, relèvent-ils, c’est un haut fonctionnaire, c’est quelqu’un qui a gaffé toute sa vie dès qu’il a pris la parole publiquement. Il dit des choses qu’il ne devrait pas dire. Il est très mal à l’aise avec l’univers médiatique. Quand vous avez accès à lui en tant que journaliste, c’est en général bingo à chaque fois!» remarquent-ils. Extrapolant les éventuelles répercussions de leur enquête, ils ont même lancé: «Si on fait sauter le secrétaire général de l’Élysée, on le fait sauter. Si François Hollande, par nos révélations demain, doit démissionner, il démissionnera. Et si grâce à notre livre – c’est un vrai paradoxe car il s’appelle +Sarko s’est tuer+ – on fait élire Nicolas Sarkozy, c’est tant mieux pour lui!» «On n’a pas de parti pris, c’est l’info qui nous intéresse», ont-ils conclu.

Hollande : troisième gaffe géographique (Source Sipa Media )

Hollande : troisième gaffe géographique (Source Sipa Media )

 

 Troisième gaffe géographique de François Hollande en moins de deux mois. En déplacement jeudi à Ljubljana, en Slovénie, pour un sommet des pays des Balkans occidentaux, le président français a inventé un nouveau pays : la « Macédonie ». Il s’exprimait en français lors d’une conférence de presse (à 18’30 ») avec Borut Pahor, son homologue slovène, et évoquait le processus d’adhésion à l’Union européenne de Skopje. L’hôte de l’Élysée n’a pas paru s’émouvoir de son erreur et a poursuivi son propos, indiquant que la France était disposée à chercher « une solution » aux différends avec la Grèce qui bloquent l’intégration de la Macédoine dans l’Union européenne.  Le président avait commis un impair de ce type lors d’une conférence de presse en Tunisie, mais avait cette fois tenté de rattraper son erreur. Interrogé sur les événements en Égypte, il avait assuré prendre acte « de la situation en Tunisie. » « Pardon, je prends acte aussi de la situation en Tunisie qui celle-là permet d’engager la transition démocratique », avait-il ajouté. Mais la bourde la plus embarrassante est sans doute celle que François Hollande a commise à Tokyo le 7 juin dernier. Évoquant la tragédie de l’attaque d’un site gazier en Algérie dans laquelle dix Japonais avaient trouvé la mort, il a rappelé avoir présenté ses condoléances « au peuple chinois ».




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