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Retraites: Laurent Berger , CFDT, déjà pour une troisième phase d’action

Retraites: Laurent Berger , CFDT, déjà pour une troisième phase d’action

Le leader de l’organisation réformiste CFDT réaffirme sa détermination à faire céder le gouvernement sur la question centrale des 64 ans. Pour lui, ce n’est pas le problème majeur car la question centrale est celle de l’emploi des seniors et des inégalités. Rappelons que la CFDT était pourtant favorable à une réforme plus large dite universelle mais beaucoup plus juste, plus efficace et plus progressive.

S’adressant à la Première ministre, le secrétaire général de la CFDT a déclaré : « Il faut écouter ce qui est en train de se passer ». Pour lui, « l’énorme mobilisation » du 19 janvier, qui a réuni plus d’un million de personnes dans les rues de France selon le ministère de l’Intérieur, est la preuve d’un « rejet de cet âge légal de départ à la retraite à 64 ans qui est, finalement, la base de toutes les inégalités, de toutes les injustices qu’on voit, jour après jour, émerger dans ce projet de réforme ».

« Autant de monde » « La Première ministre ne peut pas rester sourde à cette formidable mobilisation qui s’est créée le 19 [janvier, ndlr] », a-t-il martelé. Interrogé sur l’affluence attendue pour la journée de grève et de manifestations de mardi, Laurent Berger « pense qu’il y aura largement autant de monde » que lors de la précédente journée de contestation.
Laurent Berger souhaite une forte mobilisation ce mardi de façon à ce qu’elle devienne « un élément de rapport de force pour rediscuter » avec l’exécutif, même s’il estime que ce dernier doit « d’abord écouter ce mécontentement » autour du report de l’âge légal de départ à la retraite. D’ailleurs, pour le secrétaire général de la CFDT, le « sujet fondamental » de la réforme des retraites n’est pas la mesure d’âge, mais bien « l’emploi des seniors ».

Au-delà de la brutalité du gouvernement, la CFDT dénonce aussi la méthode Macron qui consiste à s’asseoir complètement sur les organisations et institutions intermédiaires pour imposer une sorte de volonté monarchique. Laurent Berger met aussi en garde le gouvernement sur les conséquences politiques de son entêtement. Le risque économique est également grand car le mouvement pourrait dévier dans des formes de révoltes corporatistes dures incluant aussi la jeunesse qui seraient alors difficilement maîtrisables.

«La population est très défavorable au projet, et cet avis tend à prendre de l’ampleur», affirme le leader du premier syndicat français, à trois jours d’une nouvelle journée de manifestations partout en France contre la réforme des retraites et le report de l’âge légal à 64 ans. Après les «mobilisations d’ampleur» du 19 janvier (1,12 million de participants selon la police, plus de 2 millions d’après les organisateurs), avec notamment «des gros cortèges dans des villes moyennes», le patron de la CFDT souligne que «l’opinion constitue un élément du rapport de force».

«Il faut que le gouvernement l’écoute, que le Parlement se préoccupe de ce qui se passe partout», ajoute-t-il, alors que le projet de loi sera examiné à l’Assemblée à partir de lundi. Ne pas tenir compte de ce contexte «serait une faute», prévient Laurent Berger, inquiet des conséquences «si le texte passait tel quel, sans aucune inflexion», au risque de générer du «ressentiment» et de favoriser l’extrême droite. «On n’a pas besoin de chaos démocratique», insiste-t-il.

Soucieux de «garder l’opinion» de son côté, il n’appuie pas la stratégie de blocage préconisée par d’autres organisations, jugeant que «le niveau d’efficacité syndicale ne se mesure pas au niveau d’emmerdements concrets pour les citoyens». Pas non plus favorable à une multiplication des journées d’action, car «de nombreux travailleurs ne peuvent pas tenir sur un rythme aussi intense», il estime qu’il «faut encore une ou deux démonstrations de force» pour que l’exécutif «prenne conscience du puissant rejet que son texte suscite».

Croissance : Troisième mois de recul de l’activité du secteur privé

Croissance : Troisième mois de recul de l’activité du secteur privé

S&P Global indique, ce mardi, que l’activité du secteur privé en France s’est contractée en janvier pour le troisième mois consécutif en raison d’une baisse de la production manufacturière.

Cette contraction reste toutefois « modeste », avec un indice « flash » à 49 points, contre 49,1 en décembre, précise l’agence dans cette première estimation. Pour rappel, un indice inférieur à 50 signale une contraction de l’activité, tandis qu’un indice supérieur à cette limite reflète une expansion.

Par ailleurs, selon les réponses du panel représentatif de 750 entreprises interrogées par S&P Global, « le volume des nouvelles affaires obtenues par les entreprises du secteur privé français a quant à lui diminué pour un sixième mois consécutif ». Ce recul est dû selon les répondants à la hausse des taux d’intérêt et au niveau élevé de l’inflation qui « ont incité les clients à réduire leurs dépenses.»

S&P Global relève aussi que « les performances des fabricants ont continué de peser fortement sur celles de l’ensemble de l’économie, le recul de la production manufacturière, amorcé à la mi-2022, s’étant en effet prolongé au cours du mois ». Le secteur manufacturier a été « confronté à de nouvelles difficultés d’approvisionnement, les délais de livraison ayant continué à s’allonger en janvier », selon les résultats de l’enquête.

Malgré ces difficultés, l’inflation des coûts ralentit pour l’ensemble du secteur privé et les perspectives d’activité se sont renforcées par rapport à décembre, relève Joe Hayes, économiste chez S&P Global.

Pour autant, malgré des perspectives plutôt bonnes à moyen terme, « de nombreuses entreprises s’attendent à un ralentissement économique de courte durée » avec une demande qui reste fragile et continue de « peser sur les performances économiques françaises », explique l’économiste.

Football Coupe du monde : un troisième match raté pour l’équipe de France

Football Coupe du monde : un troisième match raté pour l’équipe de France

Quand on se fie aux résultats, on peut se réjouir d’une grande partie de l’efficacité de l’équipe de France. Par contre dans le détail, il faut bien reconnaître que les trois derniers matchs, contre l’Angleterre, contre le Maroc puis en finale contre l’Argentine ont été largement ratés . Les observateurs en général n’ont retenu que le résultat mais la France a commencé à dériver sérieusement contre l’Angleterre. Pour parler clair, l’Angleterre et le Maroc ont dominé la France et méritaient la victoire. Il n’y pas eu de nouveau miracle contre une Argentine particulièrement motivée et on a certainement frôlé la débâcle. En cause souvent comme d’habitude l’extrême fragilité psychologique des Français quand les argentin, eux, ne se posaient aucune question comme en témoigne leur engagement. Aussi un management assez approximatif avec notamment le maintien d’un Dembélé complètement transparent pendant trois matchs alors que parallèlement les défenses adverses ont largement cadenassé Mbappé.

Les notes attribuées par BFM aux joueurs témoignent de la médiocrité moyenne de la prestation.

Hugo Lloris: 5
Il a encaissé trois buts mais sans lui, la note aurait été plus salée. Battu par Emiliano
Jules Koundé: 3
En difficulté face à un Angel Di Maria en feu. Souvent pris dans son dos. Légèrement mieux en deuxieme période.
Raphaël Varane: 3
Comme le reste de la défense, il a longtemps souffert. Incapable de sonner la révolte. Il n’a pas été le leader qu’il aurait dû être.
Dayot Upamecano: 3
A mis beaucoup de temps à rentré dans son match. A semblé manquer de rythme. Dans quelle mesure le virus les sequelles du virus l’ont handicapé ?
Théo Hernandez: 2
N’a pas eu le même rayonnement qu’à l’accoutumée. Sans doute gêné par son genou, il a cédé sa place à Eduardo Camavinga en deuxième période.
Aurélien Tchouaméni: 3,5
A souffert comme ses partenaires au milieu. A perdu beaucoup trop de duels. Pénalisant à ce niveau de compétition.
Adrien Rabiot: 4
Match très compliqué. Peu de duels remportés. Des interventions dans le mauvais tempo. Dominé dans l’envie en première période. Mieux en deuxième période.
Antoine Griezmann: 4
Toujours beaucoup de générosité dans l’effort. De la combativité. Mais totalement impuissant ce soir. Des ballons perdus et peu de créativité offensive.
Ousmane Dembélé: 2
A à peu près tout raté. Fébrile dans ses prises de balles. Fautif sur le (très très) léger contact avec Di Maria qui amène le penalty. L’ombre de lui même. Logiquement remplacé à la 40e par Kolo Muani.
Kylian Mbappé: 9
Il est arrêté sur la plupart des ballons qu’il touche. Parfaitement bloqué par la défense argentine. Première première frappe non cadrée à la 70e. Et puis le tour de magie est arrivé en deux minutes. Penalty et volée fantastique. Plein de sang froid sur son deuxième penalty.
Olivier Giroud: 3
Quasiment aucun ballon touché. De la présence dans les duels aériens mais sans réussite. Étonné de sa sortie pourtant logique à la 40e. Remplacé par Thuram.
Marcus Thuram: 4
Une entrée sans grand impact. N’a pas apporté suffisamment offensivement.
Randal Kolo Muani: 7
Très bonne entrée. A mis du pep’s au domaine offensif des Bleus. N’a pas eu peur de tenter, de prendre des initiatives. A provoqué le penalty grâce une bonne percée. Manque la balle de match au bout de la prolongation. Sa découverte du niveau international lors de ce Mondial devrait le faire grandir.
Kingsley Coman: 6,5
Une entrée dynamique. A apporté de la vitesse au jeu français qui en avait bien besoin.

Chine: un troisième mandat de Xi Jinping plein d’incertitudes

Chine: un troisième mandat de Xi Jinping plein d’incertitudes

Sur le plan politique, le président chinois a encore renforcé ses pouvoirs et cadenassé un peu plus son pays. Reste que l’avenir n’est pas forcément assuré compte tenu des défis auxquels doit faire face la Chine.

Au plan politique, c’est une victoire sans précédent mais sur fond de démocratie évidemment de plus en plus douteuse. Le président chinois a été élu pour un troisième mandat, il pourra même aller au-delà et présider à vie du fait de la modification de la constitution. ! Bref le schéma classique des dictatures.

Le premier problème aura à résoudre le président chinois sera la relance économique en raison du net ralentissement interne tout autant que des les exportations.
L’invraisemblable politique sanitaire « zéro vide » a créé un désordre total dans l’économie. En effet cela a multiplié des fermetures partielles d’entreprise. Le contraire des politiques occidentales centrées sur l’utilisation du vaccin. Des politiques occidentales qui ont tendance aussi à se libérer de leur dépendance chinoise d’où les pressions sur la baisse des importations en provenance de la Chine.

Parallèlement la croissance intérieure a aussi été largement affectée par la situation sanitaire et des crises financières menacent en particulier dans le domaine immobilier

Si Xi Jinping a, ces dernières années, mis l’accent sur la consommation et la demande intérieure pour développer l’économie, le maintien des restrictions sanitaires en Chine met à mal cette stratégie.

« Compte tenu de l’ampleur des restrictions, il est peu probable que la consommation retrouve son niveau pré-Covid », estime l’économiste Dan Wang, de la banque chinoise Hang Seng. Les secteurs du tourisme, des transports et de la restauration sont ainsi particulièrement pénalisés.

Comme au plan international la croissance inscrit une tendance nettement baissière avec la perspective d’au moins la moitié du monde en récession, la demande à la Chine devrait aussi nettement ce réduire.

Présidentielle: une décomposition politique et un troisième tour dans la rue ?

Présidentielle:  une décomposition politique et un troisième tour dans la rue ?

«La campagne électorale ayant été assez évanescente, elle n’a pas servi de soupape ou de purge cathartique des tensions traversant le pays. Il est donc à craindre que celles-ci ne trouvent pas de débouchés dans l’hémicycle mais dans la rue.»

Pour le directeur du département Opinion de l’Ifop, Jérôme FOURQUET  auteur de La France sous nos yeux (Seuil) si le «front républicain» a de nouveau fonctionné, la réélection du président sortant repose sur des bases plus fragiles encore qu’en 2017. Interview dans le Figaro- 

LE FIGARO.- Emmanuel Macron a été réélu avec 58% des voix, loin devant Marine Le Pen. Le « front républicain » a-t-il encore une fois fonctionné ?

Jérôme FOURQUET.- Oui en partie. Les enquêtes des derniers jours indiquent que l’électorat de gauche dont les candidats ont été éliminés l’a pratiqué. 40% de l’électorat de Jean-Luc Mélenchon s’est ainsi reporté sur le président sortant et deux tiers de celui de Yannick Jadot. À droite, il a également marché mais dans des proportions un peu moins larges : la moitié de celui de Pécresse, contre ¼ qui s’est reporté sur Marine Le Pen. S’il est donc toujours pratiqué, ce front républicain a cependant perdu de son caractère automatique. Au sein de l’électorat Mélenchon, c’est la composante la plus âgée qui a été la plus rétive à le pratiquer, soit celle qui était déjà en âge de voter en 2002 lors du second tour Chirac/ Le Pen, et qui aurait donc dû le mettre en œuvre pour la troisième fois. …

«La campagne électorale ayant été assez évanescente, elle n’a pas servi de soupape ou de purge cathartique des tensions traversant le pays. Il est donc à craindre que celles-ci ne trouvent pas de débouchés dans l’hémicycle mais dans la rue.»

Situation Politique–déjà vers un troisième tour social ?

Situation Politique–déjà vers un troisième tour social ?

L’environnement économique, la situation sociale pourraient nourrir un troisième tour après l’élection présidentielle. L’heureux élu de l’élection ne pourra pas faire l’impasse sur le climat de détestation qui le concerne qu’il s’agisse de Macron ou de Le Pen.

De toute manière, ce candidat sera mal élu c’est-à-dire de manière assez minoritaire puisque de l’ordre de 40 % d’électeurs potentiels auront refusé de participer à cet exercice qui leur paraît vain.

Le motif du réveil sera sans doute davantage social que politique car la plupart des Français en tout cas une majorité (près de 70 %) ne croient pas que cette élection puisse changer de manière éducative la situation en France.

Le motif central pourrait être cette inflation de l’ordre de 5 % en France, de 7,5% dans l’union européenne. Certes des augmentations vont être consenties mais elles seront loin de permettre une réévaluation correcte des revenus.

Le réveil social pourrait venir aussi du monde étudiant qui en ce moment manifeste à la fois contre Le Pen mais aussi contre Macron.

L’objectif : mobiliser massivement les étudiants à la veille des manifestations prévues dans toute la France ce samedi « contre l’extrême droite et ses idées ». Et exprimer une indignation plus large contre le duel du second tour entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron . « On est dans la rue pour faire barrage à l’extrême droite, confirme un étudiant lyonnais du secrétariat fédéral du syndicat Solidaires. Mais on ne veut pas non plus du programme d’Emmanuel Macron : on ne veut pas de la retraite à 65 ans, on ne veut pas des lois racistes et anti-immigration prévues… »

 Une mobilisation contre « l’aberration de de devoir faire un choix entre le président qui a mis en place Parcoursup, qui veut augmenter les frais d’inscription à la fac, qui a mis en place la loi asile immigration, qui est le responsable de répressions du mouvement social, qui veut allonger l’âge de départ à la retraite… et l’extrême droite », abonde Victor Mendez, président de l’Unef Nanterre.

Les deux syndicats étudiants ne veulent pas se prononcer sur une consigne de vote. D’autant qu’ils pointent la responsabilité des gouvernements précédents dans les scores de l’extrême droite. «

Politique–déjà vers un troisième tour social ?

Politique–déjà vers un troisième tour social ?

L’environnement économique, la situation sociale pourraient nourrir un troisième tour après l’élection présidentielle. L’heureux élu de l’élection ne pourra pas faire l’impasse sur le climat de détestation qui le concerne qu’il s’agisse de Macron ou de Le Pen.

De toute manière, ce candidat sera mal élu c’est-à-dire de manière assez minoritaire puisque de l’ordre de 40 % d’électeurs potentiels auront refusé de participer à cet exercice qui leur paraît vain.

Le motif du réveil sera sans doute davantage social que politique car la plupart des Français en tout cas une majorité (près de 70 %) ne croient pas que cette élection puisse changer de manière éducative la situation en France.

Le motif central pourrait être cette inflation de l’ordre de 5 % en France, de 7,5% dans l’union européenne. Certes des augmentations vont être consenties mais elles seront loin de permettre une réévaluation correcte des revenus.

Le réveil social pourrait venir aussi du monde étudiant qui en ce moment manifeste à la fois contre Le Pen mais aussi contre Macron.

L’objectif : mobiliser massivement les étudiants à la veille des manifestations prévues dans toute la France ce samedi « contre l’extrême droite et ses idées ». Et exprimer une indignation plus large contre le duel du second tour entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron . « On est dans la rue pour faire barrage à l’extrême droite, confirme un étudiant lyonnais du secrétariat fédéral du syndicat Solidaires. Mais on ne veut pas non plus du programme d’Emmanuel Macron : on ne veut pas de la retraite à 65 ans, on ne veut pas des lois racistes et anti-immigration prévues… »

 

Une mobilisation contre « l’aberration de de devoir faire un choix entre le président qui a mis en place Parcoursup, qui veut augmenter les frais d’inscription à la fac, qui a mis en place la loi asile immigration, qui est le responsable de répressions du mouvement social, qui veut allonger l’âge de départ à la retraite… et l’extrême droite », abonde Victor Mendez, président de l’Unef Nanterre.

Les deux syndicats étudiants ne veulent pas se prononcer sur une consigne de vote. D’autant qu’ils pointent la responsabilité des gouvernements précédents dans les scores de l’extrême droite. «

Risque d’ une troisième guerre mondiale ( Bayrou)

Risque d’ une troisième guerre mondiale ( Bayrou)

 

 

Pour Bayrou,  , une troisième guerre mondiale est désormais «une vraie menace», car «ce que Poutine a fait dénote un déséquilibre personnel, une dérive profonde d’un homme qui décide qu’après tout, il va abandonner tous les accords». La «guerre nucléaire» est elle aussi une possibilité réelle, alimentée par les «arsenaux nucléaires de première importance» que possèdent la Russie et les États-Unis.

Il ne s’agit pas pour autant de «tomber dans le piège» tendu par le Kremlin. «Le piège, c’est de dire, ou bien vous appuyez sur le bouton pour déclencher la bombe atomique, ou bien vous abandonnez l’Ukraine. La solution alternative, c’est le rapport de force avec d’autres armes que la bombe nucléaire. Et c’est ce qu’on est en train de faire avec les sanctions financières, avec des livraisons d’armes», a ainsi développé le Haut-commissaire au plan. Lequel a également salué le «bel exemple d’honneur» donné par le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui va «peut-être y perdre la vie» mais «a choisi» le sacrifice pour être «au service de son pays et de son peuple».

Bayrou a aussi dénoncé des «complices actifs» et «propagateurs de la propagande du dictateur russe».

Dans son viseur : Jean-Luc MélenchonÉric Zemmour et Marine Le Pen. Mais aussi l’ancien premier ministre et candidat en 2017, François Fillon, qui vient tout juste de démissionner de ses fonctions auprès d’un groupe privé russe. «Il y a cinq ans, François Fillon aurait pu être élu président de la République. Dans quelle serions-nous aujourd’hui ?», a fait mine de s’interroger François Bayrou.

 

Emploi : plus 0,4 % au troisième trimestre

Emploi : plus 0,4 % au troisième trimestre 

Au troisième trimestre 108.300 créations nettes d’emploi dans tout le territoire, soit une progression de 0,4 % par rapport au trimestre précédent, selon l’estimation définitive publiée mercredi par l’Insee.

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Néanmoins, cette nouvelle hausse de l’emploi salarié est nettement moins forte que celle exceptionnelle du deuxième trimestre, qui s’était soldé par 309.500 créations d’emploi, un bond de 1,5 %. L’emploi salarié se situe à 1 % au-dessus de son niveau de fin 2019, ce qui équivaut à 260 900 emplois supplémentaires.

 

Du côté des rémunérations, le salaire moyen par tête (SMPT) Le SMPT est désormais supérieur de 3,1 % à son niveau de fin 2019.

En comparaison, les prix à la consommation (hors tabac) de l’ensemble des ménages augmentent de 0,5 % ce trimestre et de 1,5 % par rapport à la fin 2019. . La masse salariale soumise à cotisations sociales poursuit elle aussi sa hausse au troisième trimestre 2021 : + 3,8 % après + 2,2 %.


COVID-19: une troisième dose pour tout le monde

COVID-19: une troisième dose pour tout le monde

Pour Lila Bouadma, membre du Conseil scientifique. « Il faut une dose de rappel pour tout le monde », met-elle en garde sur BFMTV ce dimanche soir.

Si « plus on est jeune, plus l’immunité perdure (…), on sait qu’il y a une décroissance de l’immunité constante dans tous les âges », rappelle la membre du Conseil scientifique qui appelle, pour cette raison, à une dose de rappel pour tous.

La réanimatrice à l’hôpital Bichat à Paris s’inquiète de la montée actuelle du taux de contaminations au coronavirus en France. « Le virus retrouve ses conditions idéales », indique-t-elle, évoquant « les températures, l’humidité » et les changements de mode de vie avec plus de rassemblements en intérieur.

Covid: L’urgence de la troisième dose pour tous

Covid: L’urgence de la troisième dose pour tous

 

L’épidémiologiste et directrice de recherche à l’Inserm, Vittoria Colizza, estime que l’injection d’une troisième dose de vaccin pourrait freiner la circulation du virus.(JDD)

 

 

 

C’est l’une des vigies de l’épidémie. Vittoria Colizza, directrice de recherche à l’Inserm (Institut Pierre Louis d’épidémiologie, Inserm/Sorbonne université), qui prépare de nouvelles modélisations, se montre favorable à l’injection d’une troisième dose de vaccin pour tous tout de suite.  »Il ne faut plus attendre, il n’y a plus de raison de prioriser telle catégorie d’âge! », explique-t-elle.
L’accélération de l’épidémie en France vous surprend-elle?
Non, la cinquième vague n’est pas inattendue. Les conditions hivernales de température et d’humidité favorisent la circulation et la transmission du virus. Nos comportements se tournent vers l’intérieur, où le risque de contamination par les aérosols est accru. La vague est bien là, même si elle est montée avec un peu de retard et de lenteur en France, en Italie et en Espagne au regard d’autres pays européens.

Comment l’expliquez-vous?
C’est lié à notre couverture vaccinale assez élevée, mais aussi aux conditions climatiques favorables du Sud par rapport aux pays du Nord, où la flambée a été très rapide. Un autre facteur, très important : le fait d’avoir conservé le passe tout l’été. Certains pays, comme le Danemark, ont tout misé sur la vaccination et ont abandonné les autres mesures sanitaires. En Grande-Bretagne, la situation est étrange, avec un taux d’incidence élevé mais constant, comme pour les autres indicateurs (hospitalisations et décès), alors que les mesures barrière sont levées. Mais une partie de la population continue à télétravailler.

Les moins de 12 ans, qui n’ont pas accès à la vaccination, constituent en ce moment un vaste bassin de population pour la circulation du virus.

Le nombre de cas reste-t-il une boussole pertinente?
Oui, il faut continuer à suivre l’incidence, avec les autres indicateurs, pour comprendre si l’écart entre la courbe du nombre de cas et celle des hospitalisations évolue. D’un côté, la vaccination va creuser l’écart ; de l’autre, la contagiosité accrue du virus va pousser en sens inverse. Même si le vaccin contribue à freiner l’épidémie, le variant Delta est deux fois plus transmissible que la souche de l’hiver dernier et il a une probabilité presque deux fois plus élevée de développer une forme grave de la maladie.

Que disent vos dernières projections?
Nous sommes en train de mettre à jour nos modèles. C’est complexe car les variables sont nombreuses : la couverture vaccinale, son rythme, la troisième dose à introduire, et les premières estimations de la diminution au cours du temps de l’efficacité du vaccin contre l’infection… Notre équipe s’est concentrée sur l’école en réajustant nos modèles avec les caractéristiques du variant Delta et en intégrant les données du terrain pour comprendre la propagation en milieu scolaire.

Avec plus 4.000 classes fermées, l’école est-elle un moteur de la circulation du virus ?
En général, les chiffres sur la circulation virale dans les établissements sont sous-estimés. Les fermetures de classes ne représentent que ce qu’on voit, et on voit peu! La plupart du temps, les enfants sont asymptomatiques ou présentent des symptômes plus difficiles à reconnaître. Les moins de 12 ans, qui n’ont pas accès à la vaccination, constituent en ce moment un vaste bassin de population pour la circulation du virus. Grâce à nos modèles et en analysant les données de dépistage dans les établissements pendant la troisième vague, on a mis en évidence un fort niveau de transmission dans les écoles, qui contribue à la circulation virale en communauté. On a aussi prouvé que, lors de la troisième vague, les fermetures comme les vacances scolaires ont freiné l’épidémie. D’après les modèles, lorsqu’on teste de manière régulière à l’école, on réduit le nombre de jours de classe perdus en moyenne par élève ainsi que le nombre de cas. C’est une mesure préventive très forte.

 

Les hôpitaux risquent-ils la saturation ?
C’est la grande question. La dynamique et le niveau d’hospitalisation sont les indicateurs à surveiller pour mettre en place d’éventuelles nouvelles restrictions. Surtout avec la fatigue de près de deux ans de pandémie et une possible vague hivernale de grippe. Mais on ne peut pas apporter de réponse intuitive, il faut attendre les prochaines projections mathématiques. On s’attend à une vague importante de cas, comme on l’observe dans certains pays voisins. Le nombre d’hospitalisations va suivre, avec un écart plus important entre les deux courbes en fonction du niveau de vaccination.

L’Autriche reconfine, l’Allemagne prend des mesures drastiques. La France échappera-t-elle à de nouvelles restrictions?
Je ne peux pas dire quel sera l’impact sanitaire au moment du pic. Mais nous avons plusieurs outils pour éviter d’en arriver là et répondre à cette vague. À commencer par la troisième dose, le « booster ». D’un point de vue épidémique, il est urgent de l’exploiter, car ce rappel aide à « pousser » la protection contre l’infection. Développé contre la souche de Wuhan, le vaccin reste très efficace contre les formes graves après infection avec le variant Delta, ce n’était pas gagné. Il réduit aussi le risque d’être infecté et de développer des formes symptomatiques. Mais les résultats les plus récents nous montrent que cette efficacité contre l’infection est plus faible à cause du variant et diminue au cours du temps après la deuxième dose. D’où l’intérêt d’une troisième injection.

Vous prônez ce « booster » pour tous tout de suite?
Oui, il ne faut plus attendre, il n’y a plus de raison de prioriser telle catégorie d’âge! On n’a plus de problème d’approvisionnement ou d’administration comme au début de la campagne. Le « booster » agit en prévention : il va faire remonter l’efficacité vaccinale contre l’infection pour qu’une personne exposée au virus ait une probabilité bien plus faible d’être contaminée. On a besoin de réduire la circulation virale dans la population pour diminuer aussi les hospitalisations. Le rappel, c’est la mesure barrière qui, coordonnée avec une couverture vaccinale élargie, va freiner l’épidémie.

 

Avec 87% des plus de 12 ans vaccinés, a-t-on atteint un plafond de verre?
Le problème, c’est qu’on ne sait pas s’il s’agit d’ »irréductibles » opposants, s’ils procrastinent, s’ils n’ont pas accès au vaccin… Il faut aller chercher cette part de la population qui demeure non immunisée avec un risque d’hospitalisation et qui fait circuler le virus. Même si on n’en atteint qu’une fraction, ça peut avoir un impact. Car si l’efficacité vaccinale est très élevée contre les formes graves, elle n’est pas de 100%. Avec un très grand nombre de personnes infectées, mathématiquement, on déplorera plus d’hospitalisations.

Quelles sont les autres armes?
Les gestes barrière – même si on peut comprendre la lassitude des Français! On a encore quelques mois difficiles devant nous. On connaît ces règles désagréables, il faut les renforcer : ce sont des mesures de freinage très importantes qui en éviteront d’autres bien plus contraignantes. Conserver le masque, même avec le passe sanitaire, au théâtre, au cinéma, au restaurant jusqu’au repas. Aérer les locaux, c’est plus difficile en hiver mais très efficace et souvent oublié. Et bien sûr, le télétravail, un levier simple qui a un impact même en l’absence d’autre restriction.

Faut-il immuniser les enfants, comme Israël ou et les États-Unis?
L’Agence européenne évalue la sécurité du vaccin pour eux, car les études cliniques sont pour l’instant basées sur quelques milliers d’enfants. Les données en vie réelle vont vite arriver des États-Unis. Si cette vaccination se révèle sûre et efficace pour les enfants, elle concourra à ralentir la circulation virale dans l’ensemble de la population.

Société-Écriture inclusive et troisième genre : la mort de la langue française

Société-Écriture inclusive et troisième genre  : la mort  de la langue française

 

En entérinant l’écriture inclusive, le Petit Robert franchit un pas tout simplement pour s’engager dans la déconstruction de la langue française. Le troisième genre introduit  (« iel ») serait justifié par l’utilisation croissante qui en est faite. À ce compte-là il faudrait sans doute prioritairement légitimer tous le vocabulaire du RAP notoirement plus majoritaire que les préciosités langagières du wokisme.

Est-il nécessaire de rappeler que la France détient le triste privilège de figurer dans le bas des classements pour la maîtrise de la langue au plan international. On imagine ce que seront les résultats scolaires en cas d’inclusion officielle de la nouvelle écriture du troisième genre.

Le Robert a donc  annoncé mercredi avoir ajouté le pronom non genré « iel » à l’édition en ligne de son dictionnaire il y a quelques semaines, après que ses chercheurs ont constaté une utilisation croissante de ce pronom au cours des derniers mois.

La décision du Robert a suscité un vif débat dans la presse française et sur les réseaux sociaux, plusieurs responsables politiques s’opposant à ce terme.

Le gouvernement français s’oppose catégoriquement à cette idée et le ministère de l’Education a déjà résisté à de précédentes tentatives d’intégrer le langage inclusif dans le programme scolaire.

Le Robert définit le pronom « iel », contraction des pronoms « il » et « elle », comme un « pronom personnel sujet de la troisième personne du singulier et du pluriel, employé pour évoquer une personne quel que soit son genre ».

Covid-19: Pourquoi un passe sous condition d’une troisième dose pour les plus de 65 ans ?

Covid-19: Pourquoi un passe  sous condition d’une troisième dose pour les plus de 65 ans ?

 

Gérald Kierzek, médecin urgentiste et chroniqueur santé, fait part de sa perplexité dans le Figaro; Certes, il  approuve la troisième dose mais s’interroge sur la pertinence d’y associer la délivrance du passe.  (Extrait)

Gérald Kierzek est médecin urgentiste et chroniqueur santé, directeur médical de Doctissimo, et auteur notamment de Coronavirus, comment se protéger? (Éditions de l’Archipel, mars 2020).

 

Sur le fond ensuite, la nécessité d’un rappel vaccinal peut être discutée. En effet, elle se base sur des études de sérologies montrant que les plus de 65 ans voient leur taux d’anticorps baisser. Mais l’immunité est bien plus complexe qu’une simple mesure d’anticorps ! Quand les anticorps baissent, l’immunité cellulaire est là pour assurer aussi les défenses immunitaires et nous sommes médicalement incapables, en routine quotidienne, de connaître la durée de protection vaccinale. L’immunité naturelle est également une immunité forte, plus forte que celle octroyée par le vaccin comme le montrent beaucoup d’études, notamment parce qu’elle permet de développer une immunité muqueuse (anticorps IgA) au niveau ORL seule à même de stopper la circulation virale. Le vaccin n’empêche pas les contaminations car il ne confère pas cette immunité muqueuse ; il protège des formes sévères.

Il serait donc sûrement souhaitable de laisser circuler le virus chez les moins fragiles (pas de risque de formes graves et immunité naturelle solide) ainsi que chez les vaccinés sans faire de rappel. On pourrait même dire que le rebond de contaminations permet d’envisager de stopper la circulation virale et de mettre fin à l’épidémie ! Mais pour cela, il faut sortir du « mode panique » devant les courbes de tests positifs !

 

Alors que le nombre de contaminés augmente à nouveau, faut-il renforcer les gestes barrières comme l’a dit le président ?

Les gestes barrières basiques oui, les mesures restrictives non ! Je m’explique. Les gestes barrières comme le lavage des mains régulier ou les solutés hydroalcooliques quand le lavage des mains est impossible est raisonnable pour lutter contre tous les virus (Sars-Cov-2, grippe, gastro-entérites et autres). De même, l’aération des locaux, privés et publics est fondamentale. En revanche, le port du masque chez les enfants ou encore en extérieur n’a pas de sens. Il faut des mesures barrières tenables sur le long terme pour vivre avec ce virus et limiter les autres virus. Nous ne pouvons pas socialement, psychologiquement et même immunitairement vivre sous cloche.

Les conséquences psychologiques du port du masque chez les enfants sont réelles et terribles, y compris à long terme, alors que son efficacité comme geste barrière plus qu’hypothétique. Trop d’hygiène tue l’hygiène sur le plan immunitaire. On le voit actuellement avec la recrudescence de la bronchiolite chez les enfants nés pendant les mesures de confinement. Leur système immunitaire n’a pas été confronté aux virus classiques liés à la vie en société (crèches, etc.) et est fragilisé.

 

Il est impératif de ne pas sombrer dans une folie hygiéniste dangereuse politiquement et médicalement. Là encore, il ne faut pas céder à la panique des chiffres.

Les contaminations vont augmenter inexorablement mais ne constituent pas une vague au sens de saturation hospitalière. Nous avons assisté en 2020 à des vagues de saturation des réanimations dans deux régions essentiellement (Grand Est et Ile de France) ; stricto sensu, nous ne pouvons plus parler de troisième, quatrième ou cinquième « vague » puisqu’il s’agit désormais de vague de tests positifs sans répercussion hospitalière.

La crise actuelle de l’hôpital, et j’allais dire même celle de 2020 soi-disant liée au COVID, est structurelle et liée au manque de lits et maintenant de personnels. Les patients COVID n’ont représenté que 2% de l’ensemble des patients hospitalisés au cours de l’année 2020 selon le rapport de l’Agence technique de l’information sur l’hospitalisation qui collecte et analyse toutes les données hospitalières ! Bien loin du fantasme collectif d’un hôpital rempli de patients COVID avec des personnes ne pouvant être prises en charge et « triées » pour entrer à l’hôpital.

E

Santé-Covid : passe et troisième dose anticonstitutionnels ?

  • Santé-Covid : passe et troisième dose anticonstitutionnels ? 
  •  Il se pourrait bien que l’orientation gouvernementale qui vise à rendre obligatoire pratiquement la troisième dose pour les plus de 65 ans ne soit pas considérée comme conforme à la constitution. En effet, on introduit la charte de discrimination par l’âge alors qu’aucune étude précise et fiable ne permet de démontrer le taux et le temps de couverture des vaccins. Tout dépend en fait beaucoup de l’état de santé des intéressés. Pour preuve actuellement même avec seulement deux doses, nombre de personnes de moins de 60 ans sont de plus en plus nerveuse nombreuse à fréquenter les services de réanimation. Il ne s’agit donc pas de la seule question de l’âge mais de l’état pathologique des malades. La troisième dose ne sera pas théoriquement obligatoire mais le deviendra de fait pour  obtenir un passe sanitaire en règle
  • «Une campagne (de rappel) a été lancée depuis la fin de l’été pour tous les plus de 65 ans et les plus fragiles, il nous faut aujourd’hui l’accélérer», a rappelé le chef de l’État lors d’une allocution télévisée. «À partir du 15 décembre, il vous faudra justifier d’un rappel pour prolonger la validité de votre passe sanitaire», a-t-il poursuivi.

Macron., qui se transforme en infirmière chefs’avance sur des terres inconnues pour lui qui par ailleurs ne sauraient relever de la responsabilité d’un chef d’État.

Covid-19 : passe et troisième dose anticonstitutionnels ?

  • Covid-19 : passe et troisième dose anticonstitutionnels ? 
  •  Il se pourrait bien que l’orientation gouvernementale qui vise à rendre obligatoire pratiquement la troisième dose pour les plus de 65 ans ne soit pas considérée comme conforme à la constitution. En effet, on introduit la charte de discrimination par l’âge alors qu’aucune étude précise et fiable ne permet de démontrer le taux et le temps de couverture des vaccins. Tout dépend en fait beaucoup de l’état de santé des intéressés. Pour preuve actuellement même avec seulement deux doses, nombre de personnes de moins de 60 ans sont de plus en plus nerveuse nombreuse à fréquenter les services de réanimation. Il ne s’agit donc pas de la seule question de l’âge mais de l’état pathologique des malades. La troisième dose ne sera pas théoriquement obligatoire mais le deviendra de fait pour  obtenir un passe sanitaire en règle
  • «Une campagne (de rappel) a été lancée depuis la fin de l’été pour tous les plus de 65 ans et les plus fragiles, il nous faut aujourd’hui l’accélérer», a rappelé le chef de l’État lors d’une allocution télévisée. «À partir du 15 décembre, il vous faudra justifier d’un rappel pour prolonger la validité de votre passe sanitaire», a-t-il poursuivi.

Macron. , qui se transforme en infirmière chef s’avance sur des terres inconnues pour lui qui par ailleurs ne sauraient relever de la responsabilité d’un chef d’État.

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