Vaccin Spoutnik : Merkel et Macron discutent avec Poutine
Face à la faillite de la campagne de vaccination organisée par l’union européenne Merkel et Macron se retournent vers Poutine pour envisager les conditions d’une collaboration afin d’utiliser le vaccin russe en complément des autres. Pour faire bonne figure. Merkel et Macron ont évoqué la question de la détention de l’opposant Navalny , de la situation en Ukraine, en Syrie et en Libye ainsi que le dossier nucléaire iranien. Des questions pas forcément liées mais qui visent à montrer que les occidentaux ne se rendent pas à Moscou à genoux pour sauver la campagne de vaccination.
Publié le
12 mai, 2018 dans
actu-économie politique et social.
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SNCF: Les syndicats réformistes discutent avec Borne qui n’a pas de pouvoir !
Il faut reconnaître que les syndicats réformiste ont bien du mérite à vouloir discuter avec Borne, ministre des transports qui certes écoute mais ne dispose d’aucune marge de manoeuvre pour négocier. La ministre des transports est limitée par son profil uniquement techno, elle ne veut surtout pas commettre d’imprudence qui fâcherait Macron ou le Premier ministre. Du coup, elle est incapable de négocier uen compromis. Le compromis se fera dans le cadre du parlement avec les amendements qu’ont adressé les syndicats réformistes. Pour parler clair, la ministre des transports, comme Pepy, l’actuel président de la SNCF ne sert à rien. Dommage car il y a évidemment des choses à faire avancer notamment comme le demande Laurent Berger de la CFDT à savoir la question de la dette, du financement des investissements et de la future convention collective pour le nouveaux entrants dans le champ ferroviaire. Cela prouve à l’évidence que la reforme a été particulièrement mal préparée par le gouvernement qui en en faisait d’ailleurs davantage une question idéologique qu’économique ; par exemple ce n’est pas le statut qui pose problème mais la productivité et le management sans parler des orientations contradictoires des différents gouvernements qui enfoncent financièrement l’entreprise. Le TGV bien sûr mais récemment Bruno Lemaire, le ministre des finances, qui commande 100 rames de TGV à Alstom Siemens (comme cadeau à mettre dans la corbeille de mariage des deux entreprises), sans financement bien entendu !