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Enseignement : des notes gonflées par les professeurs pour faciliter l’accès à Parcours Sup

Enseignement : des notes  gonflées par les professeurs pour faciliter l’accès à ParcoursSup

 

On sait que le niveau de l’enseignement général  en France ne cesse de diminuer dans les classements internationaux. Mais cette détérioration pourrait aussi découler du douteux « Système Parcour Sup » qui prend en compte les notes des élèves dès janvier. Ce que révèle France Info.

 

Par peur de la mauvaise note qui ternirait leurs dossiers, certains sont même prêts à échapper aux interrogations les plus compliquées.  »On leur met tellement la pression, certains trouvent une stratégie pour éviter la mauvaise note qu’ils pressentent », explique Robin Müller, professeur d’histoire-géographie au lycée Sainte-Louise (Paris). Quand la mauvaise note tombe, les professeurs sont en première ligne face aux élèves qui tentent de négocier et face aux parents. Marie-Astrid Courtoux-Escolle, cheffe d’établissement du lycée Saint-Michel de Picpus (Paris), qui dispose de classes préparatoires, fait un constat : les moyennes augmentent ces dernières années.

Et paradoxalement plus les notes progressent et plus le niveau diminue ! Le ministre lui-même reconnaît la faiblesse de l’école française.

Le ministre lui-même reconnaît la faiblesse de l’école française.

Jusque-là le ministre de l’éducation nationale s’est fait très discret. Cette fois, il sort un peu du bois pour annoncer des « exigences » qui en fait ressemblent davantage à des recommandations qu’à des orientations fermes.

En effet le propos du ministre de l’éducation nationale n’est pas nouveau. Il ne fait que rabâcher ce qui est connu à savoir le manque de niveau du primaire pour entrer en secondaire, la crise du recrutement. Quant à l’exigence de l’égalité des chances c’est évidemment un slogan qui ne pourra pas être résolu tant qu’une masse d’élèves en retard des connaissances de base viendront abaisser le niveau général dans le collège unique.

Bref pas vraiment une révolution, pas même une évolution juste des mots surtout quand on prévoit d’appliquer ce qu’on qualifie de nouvelles orientations à partir du 1er janvier. Pap Ndiaye,Le ministre de l’éducation nationale, reconnaît les difficultés « concernent la crise du recrutement des professeurs » mais aussi « le niveau des élèves, dont les comparaisons internationales révèlent les lacunes préoccupantes. il Regrette que près « d’un Français sur deux ne fasse pas confiance à l’institution scolaire », le ministre évoque « la défiance générale, marquée par la montée en puissance du secteur privé et par le scepticisme exprimé d’une partie des parents ».

Le ministre a donc annoncé trois types de mesures pour 2023 . D’abord concernant les enseignements fondamentaux du CM1 à la 6e pour « faciliter le passage de l’école primaire au collège ». Ensuite
Pour faciliter « l’égalité des chances ». La troisième et dernière exigence portée par le gouvernement stipule une amélioration du fonctionnement de l’école, aussi bien dans le système de recrutement des enseignants, que dans les conditions d’accueil des élèves. Pour répondre à ses problématiques, le ministre de l’Éducation a indiqué qu’un « changement structurel » allait avoir lieu afin que les professeurs puissent notamment « mieux accompagner chaque élève ». Enfin, Pap Ndiaye a conclu sa tribune par le rappel d’un principe essentiel dans le système éducatif français : la laïcité. Un énième rappel sans beaucoup d’effet !

Inflation et livret A : les recommandations gonflées des experts de la BPCE

Inflation et livret A : les recommandations gonflées des experts de la BPCE

La France ne manque pas d’experts de tout poil qui analysent la situation économique et financière et font des propositions. On n’en trouve dans les organismes spécialisés privés, dans l’administration aussi dans les lobbys. Dernier exemple ,  ces experts de la BPCE (qui comprend la Caisse d’épargne) qui recommandent surtout de ne pas relever les taux d’intérêt du livret A. La même recommandation d’ailleurs que la plupart des banques. Une manière de donner une légitimité à une hausse ridicule de ses taux à 1 % désormais quand l’inflation atteint 5 % !
Selon les économistes de BPCE, un relèvement des taux d’intérêt ferait deux principales victimes.
Ces économistes estiment qu’un relèvement du taux de rémunération du placement préféré des Français comporte un « risque important d’engendrer des arbitrages violents entre actifs surtout au détriment de l’assurance-vie ». Ils redoutent aussi que cela pèse sur le financement du logement social.La vérité évidemment c’est que les les banques comme la Caisse d’épargne travaillent  avec les énormes dépôts sur les livrets A et qu’une rémunération des dépôts à 1 % quand l’inflation est de 5 % constitue pour eux une véritable aubaine.

Cette information est parue dans les Échos qui évidemment a oublié d’indiquer les liens financiers entre la BPCE et la Caisse d’épargne sans doute pour donner davantage de pertinence aux analyses des experts évoqués !




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