Archive pour le Tag '1.7%'

Salaires 2017 : +1.7%

Salaires 2017 : +1.7%

Alors que l’inflation devrait tourner autour de 1%, les salaires pourraient connaître une croissance de +1,7%. selon la dernière enquête Mercer. Cette moyenne est légèrement supérieure à celle de 2016 (+1,51%). Sur l’année écoulée, les prix à la consommation (hors tabac) ont augmenté de 1,1%. Pendant ce temps, l’indice du salaire mensuel de base (SMB) dans le secteur privé gagnait 1,2%, selon les données définitives du ministère du Travail publiées vendredi portant sur les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé. L’étude du cabinet Mercer montre aussi que ce rattrapage de niveau de vie n’est pas le même pour tous. Les augmentations salariales sont moins «saupoudrées» que par le passé en France. Seules 17 % des entreprises sondées ont accordé des augmentations individuelles à leurs collaborateurs éligibles, des cadres pour la majeure partie d’entre eux. «Le contexte économique difficile a sensiblement accéléré l’adoption et l’implémentation d’une vraie démarche d’appréciation objective de la performance des collaborateurs et, par conséquent, d’une gestion différenciée de la politique de rémunération et notamment des augmentations du salaire de base», note Bruno Rocquemont. Ces augmentations sont à mettre en relation avec l’inflation.  Le rythme de l’inflation a accéléré en août en France, la hausse des prix à la consommation sur un an s’élevant à 0,9%, après +0,7% en juillet, a annoncé l’INSEE. L’inflation hors tabac atteint +0,8% en rythme annuel. En août, les prix des produits manufacturés ont rebondi de 1, 1% avec la fin des soldes d’été, leur baisse sur un an s’établissant à 0,7%. Les prix des services ont progressé de 0,3% en août et affichent une progression de 1,2% sur un an. Les prix de l’alimentation sont restés stables et progressent de 0,6% sur un an.

 

Croissance Zone euro: 1.7% mais bien trop molle

Croissance Zone euro: 1.7% mais bien trop molle

 

Une petite augmentation des prévisions de croissance pour la zone euro qui passe de  1,6 à 1,7%. C’est la grande faiblesse de la zone euro et sans doute la source aussi de l’essentiel des bouleversements sur le plan politique. La question centrale à savoir celle du chômage liée mécaniquement à la croissance n’a pas été résolue notamment parce que la France a toujours été incapable depuis 10 ans  de peser sur l’Allemagne pour mettre en place un plan de soutien économique au service des investissements, donc de l’activité et de l’emploi. Mais une croissance encore bien insuffisante pour faire diminuer de manière significative le chômage qui se situe à 10 % Par rapport à la période avril-juin, le produit intérieur brut (PIB) a bien augmenté de 0,3% au troisième trimestre, comme au deuxième, a précisé Eurostat, confirmant une première estimation donnée le 15 novembre. Mais, sur un an, la croissance a été revue en hausse de 0,1 point de pourcentage, à 1,7%. Et la croissance du deuxième trimestre 2016 par rapport à la même période de 2015 a fait l’objet d’une révision similaire, passant également de 1,6% à 1,7%. La consommation de ménages a été le plus important contributeur au PIB du troisième trimestre, apportant 0,2 point de pourcentage au chiffre définitif. Les stocks et les dépenses publiques ont chacun contribué à hauteur de 0,1 point de pourcentage. La contribution des exportations a été nulle tandis que les importations ont pesé à hauteur de 0,1 point. Contrairement au deuxième trimestre, quand les PIB français et finlandais avaient reculé de 0,1%, tous les pays ont été en croissance au troisième, la Slovénie, la Grèce et le Portugal affichant les meilleures performances. Dans l’Union européenne, la croissance a été de 0,4% sur le trimestre et de 1,9% sur un an.

Etats-Unis : croissance à seulement 1.7%

Etats-Unis : croissance à seulement 1.7%

Croissance de 1,7% aux Etats-Unis d’après le FMI cette année, et non plus de 2% comme il l’avait prédit en juin, en raison de l’accès de faiblesse observé durant le premier trimestre au cours duquel le PIB américain s’est contracté de 2,9% annuels.  Le FMI estime que la croissance devrait remonter à un taux de 3% à 3,5% pour le restant de l’année et demeurer à 3% en 2015 et 2016. Dans son rapport annuel sur les Etats-Unis, le FMI constate qu’en raison de cette situation pour la croissance, le pays risque de rester en deçà du plein emploi jusqu’en 2018. Avec le vieillissement de la population, poursuit le FMI, l’économie ne pourra dépasser 2% de croissance à plus long terme sans réformes d’ampleur, notamment de la fiscalité et de l’immigration, dans la formation et l’investissement dans les grands travaux et dans les aides sociales. Pour la première fois depuis plusieurs années, le Fonds se penche sur la question de la pauvreté outre-Atlantique, qui touche le quart des enfants américains, et il recommande en particulier d’augmenter le salaire minimum et de développer les crédits d’impôt pour les bas revenus. « Nous pensons vraiment que (la pauvreté) a un poids macroéconomique, a une importance certaine vis-à-vis de la croissance et de la pérennité sociale et économique des Etats-Unis », a dit à la presse Nigel Chalk, directeur adjoint du département de l’hémisphère occidental du FMI.

 




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