Les bourses au zénith et les économies près du rouge
C’est la contradiction majeure, les bourses en général n’ont ramenait été aussi euphoriques. Déjà par exemple en France on a distribués 56 milliards aux actionnaires dans un environnement économique et social compétemment déprimé ( +0 .4%pour le PIB,5 millions de chômeurs° ; d’une certaine manière plus la situation économique se dégrade te plus la bourse porte bien. En commente même 18.000 sur le Nikkei et le Dow Jones. 11.000 sur le DAX de Francfort. Nouveau record historique vendredi pour le S&P500, l’indice large de la Bourse de New York. Un CAC40 qui poursuit sa grimpée sur des plus hauts de quasiment 7 ans. Rien ne semble vouloir arrêter la progression des indices actions Les analystes se réjouissent. En faiat la sphère financière est complètement déconnectée de la sphère économique réelle. Un seul exemple, l’entreprise du CAC ont racheté pour plus de 10 milliards de leurs propres actions pour les faire remonter ! En faiat les liquidités inondent le marche et les banques consacrent leur imagination à spéculer pour satisfaire actionnaires et dirigeants velus et fous. Pourtant l’économie tourne au t’alenti même en Chine. Ne parlons pas de l’Europe étude la France en particulier. Contrairement à ce qu’on affaire la régulation du système bancaire n’a pas été réélise comme le prévoyait les accords après la crise de 2009. Il y a aussi le shadow banking qui échappe aussi régulateurs.ily a surtout des pseudo règles de solvabilité des banques dont les engagements réels sont très supérieure aux fonds propres exigés, ne parlons par des paradis fiscaux ( environ 25 000 milliards). Bref c’est la folie avec le risque d’une nouveau krach car les actions ( comme la monnaie) ne sont que des conventions qui doivent refléter une richesse, une valeur réelle. A écouter les analystes et autres marchands d’illusion, ça va montre encore, au ciel même « pour des raisons exogènes « , formule magiques pour dire des considérations externes non identifiées qu’on peut simplement appeler la spaculation.une spéculation à laquelle le banques françaises prennent leur part puisque le gouvernement a refusé de séparer activité de dépôts et activité investissement ( en faiat de spéculation). Ce n’est pas l’ancien Banquier Macron qui va changer la donne, il préfère s’attaquer à des enjeux fondamentaux comme la libéralisation de la carte professionnelle des guides-conférenciers et autres broutilles du même genre. Du coup la consommation stagne partout pas étonnant puisque 1% de la population possède 50% de la richesse mondiale .