Archive pour le Tag 'Zelinsky « '

Biden sucre de plus en plus les fraises et confond Zelinsky et Poutine

Biden sucre de plus en plus les fraises et confond Zelinsky et Poutine

Un lapsus qui pourrait bien être mortel pour la candidature de Biden aux prochaines présidentielles. Au sommet de l’OTAN dans son discours il a en effet confondu Poutine et le chef de l’Ukraine.

 

Le chef d’État américain s’exprimait en marge du sommet du 75e anniversaire de l’Otan à Washington lorsqu’il a confondu le dirigeant russe avec son homologue ukrainien.
Joe Biden, qui joue désormais sa survie politique à chaque apparition publique, a fait jeudi une gaffe monumentale, avant même le début d’une conférence de presse jugée cruciale pour sa candidature à la présidentielle. S’exprimant à l’occasion du sommet de l’Otan à Washington, le démocrate de 81 ans a annoncé le «président Poutine» alors qu’il accueillait le chef d’État ukrainien Volodymyr Zelensky sur scène.

 

Politique- Zelinsky à l’Assemblée nationale : la moitié des députés absents

Politique- Zelinsky à l’Assemblée nationale : la moitié des députés absents

 

Le président Ukrainien a été reçu à l’Assemblée nationale. Il en a profité pour remercier la France pour son soutien. Malheureusement à peu près la moitié des députés étaient absents. Évidemment pour ne pas trop se mouiller vis-à-vis des électeurs dans ce conflit entre la Russie et l’Ukraine. Pas vraiment une attitude très responsable et très digne.

Le chef d’Etat ukrainien, en visite à Paris, s’est exprimé devant les députés et politiques français pendant 23 minutes. Il a estimé que l’Europe n’était « plus un continent de paix », qualifiant le président russe Vladimir Poutine « d’ennemi commun » de son pays et de l’Europe. « Cette bataille est à la croisée des chemins, c’est le moment où nous pouvons tous ensemble écrire l’histoire », a ajouté le président ukrainien.
Volodymyr Zelensky a également évoqué le sommet de paix pour l’Ukraine organisé en Suisse mi-juin. Un événément qui pourrait rapprocher Kiev de « la fin de la guerre ». Cette conférence internationale rassemblera plus d’une centaine de pays et d’organisations, mais pas la Russie.

« Nous n’avons pas le droit de perdre », a déclaré Volodymyr Zelensky, ajoutant : « Pouvons-nous gagner cette bataille ? Certainement ! Nous pouvons. L’Ukraine et donc l’Europe, et donc la France. »

Malheureusement environ la moitié des députés choisis la politique de la chaise vide : une attitude assez lamentable

Zelinsky à l’Assemblée nationale : la moitié des députés absents

Zelinsky à l’Assemblée nationale : la moitié des députés absents

 

Le président Ukrainien a été reçu à l’Assemblée nationale. Il en a profité pour remercier la France pour son soutien. Malheureusement à peu près la moitié des députés étaient absents. Évidemment pour ne pas trop se mouiller vis-à-vis des électeurs dans ce conflit entre la Russie et l’Ukraine. Pas vraiment une attitude très responsable et très digne.

Le chef d’Etat ukrainien, en visite à Paris, s’est exprimé devant les députés et politiques français pendant 23 minutes. Il a estimé que l’Europe n’était « plus un continent de paix », qualifiant le président russe Vladimir Poutine « d’ennemi commun » de son pays et de l’Europe. « Cette bataille est à la croisée des chemins, c’est le moment où nous pouvons tous ensemble écrire l’histoire », a ajouté le président ukrainien.
Volodymyr Zelensky a également évoqué le sommet de paix pour l’Ukraine organisé en Suisse mi-juin. Un événément qui pourrait rapprocher Kiev de « la fin de la guerre ». Cette conférence internationale rassemblera plus d’une centaine de pays et d’organisations, mais pas la Russie.

« Nous n’avons pas le droit de perdre », a déclaré Volodymyr Zelensky, ajoutant : « Pouvons-nous gagner cette bataille ? Certainement ! Nous pouvons. L’Ukraine et donc l’Europe, et donc la France. »

Malheureusement environ la moitié des députés choisis la politique de la chaise vide : une attitude assez lamentable

Russie : Pourquoi les provocations de Dmitri Medvedev qui demande la liquidation de Zelinsky ?

Russie : Pourquoi les provocations de Dmitri Medvedev qui demande la liquidation de Zelinsky ?

La dernière provocation de Medvedev est de demander la liquidation de Zelinsky. Un papier de France Télévisions s’interroge sur les raisons des provocations réitérées de l’ancien président russe Medvedev. À juste titre le papier considère que l’ex chef d’État en rajoute en matière de radicalisation pour se rendre davantage crédible auprès d’un Poutine qui s’est toujours méfié de lui ( (Medvedev avait en effet tenté dans un premier temps de libéraliser un peu la Russie). En réalité, la rhétorique guerrière de Medvedev est surtout alimentée par sa démence liée à sa consommation totalement excessive d’alcool ( comme Eltsine). Ses facultés de discernement sont largement atteintes et en dépit de cela , il tente d’exister d’ailleurs dans une fonction tout à fait symbolique.

Il faut l’admettre : Dmitri Medvedev est un homme créatif. Depuis le début de la guerre en Ukraine, l’ancien président russe multiplie les déclarations choc sur l’actualité internationale, ce qui lui vaut l’attention des médias du monde entier. Peut-être parce que son style sied peu à un ancien locataire du Kremlin. Comme lorsqu’il compare le mandat d’arrêt international lancé contre Vladimir Poutine à du « papier toilette ». Ou lorsqu’il qualifie les dirigeants du G7 d’ »idiots », ironise sur un « quatrième Reich » des pays occidentaux, menace de lâcher une bombe nucléaire sur Londres ou encore de frapper la Cour pénale internationale avec un missile hypersonique. Quant à la Pologne, il la considère comme un « chien maléfique » prêt à « avaler les restes » de l’Ukraine.

Ses menaces sont d’ailleurs le plus souvent dirigées contre les « drogués nazis fous » et les « cafards » au pouvoir en Ukraine, un « régime nazi » à pourfendre. L’ancien locataire du Kremlin agrémente parfois sa logorrhée d’images, comme lorsqu’il publie sur Telegram un montage* présentant Volodymyr Zelensky sous les traits d’Adolf Hitler. A l’occasion, Dmitri Medvedev verse également dans le vocabulaire mystique. « Le but est d’arrêter le souverain suprême de l’enfer, quel que soit le nom qu’il utilise – Satan, Lucifer ou Iblis », lançait-il à l’automne, quand la thématique de la « désatanisation » de l’Ukraine était en vogue.

Avant le début de la guerre, il accusait déjà les dirigeants ukrainiens d’être « des gens faibles qui ne cherchent qu’à se remplir les poches », dans le journal Kommersant*. Peu après le début de l’invasion, il s’est offert un nouveau terrain de jeu en créant sa chaîne Telegram. Plus d’un million de personnes sont désormais abonnées aux publications de « Dimon », qui s’est progressivement imposé comme l’un « des politiciens les plus grossiers et radicaux de Russie », selon les mots* du journaliste indépendant Ivan Davydov, début novembre. Cinq mois plus tôt, l’intéressé avait justifié* ses coups de sang vulgaires adressés au pouvoir de Kiev.

« La réponse, c’est que je les déteste. Ce sont des salauds et des dégénérés. Ils veulent la mort de la Russie. Tant que je vivrai, je ferai tout pour les faire disparaître. »

Dmitri Medvedev n’a pas toujours eu les ailes d’un faucon. Au contraire, il a longtemps été considéré comme une figure politique modérée, par opposition à la ligne dure des siloviki de l’armée ou des services de sécurité.

Champion universitaire d’haltérophilie, passionné de photographie, cet ancien professeur de droit et juriste a rencontré Vladimir Poutine dans les années 1990, dans l’entourage d’Anatoli Sobtchak, maire de Leningrad (redevenue quelques mois plus tard Saint-Pétersbourg). Dmitri Medvedev devient directeur de campagne du futur chef d’Etat lors de la présidentielle de 2000, puis son directeur de cabinet. A cette époque, il rejoint également le conseil de surveillance de la puissante compagnie Gazprom.

« Sa rhétorique, depuis le début de la guerre en Ukraine, surprend par sa violence, car elle est à l’opposé du personnage qui rencontrait Bill Gates et était bien vu par les élites occidentales. »

En 2008, Vladimir Poutine doit passer la main après deux mandats successifs à la tête de la Russie. Dmitri Medvedev prend la relève, sans grande marge de manœuvre. « Il porte l’héritage d’un courant libéral économique en perte de vitesse, mais qui existe encore », souligne Olga Gille-Belova, maîtresse de conférence en civilisation russe contemporaine à l’université de Bordeaux. Le président russe veut alors « réinitialiser » les relations avec les Etats-Unis de Barack Obama et vante les vertus d’une « modernisation », fondée sur l’innovation technologique. « Il tente aussi de proposer quelques mesures de libéralisation politique, et les grandes manifestations de 2011 et 2012 lui sont d’ailleurs reprochées, comme un effet indésirable de son discours. »

A cette époque, Dmitri Medvedev adule son iPhone offert par Bill Gates, visite les locaux de Twitter et confie son amour de jeunesse pour les groupes Led Zeppelin et Black Sabbath. Mais la modernisation russe reste en grande partie autoritaire, décidée par les élites. « Une blague circulait alors : Medvedev s’installe dans une belle voiture, très heureux, puis finit par demander où se trouve le volant. On lui répond qu’elle est entre des mains fiables », raconte la chercheuse Cécile Vaissié, professeure à l’université de Rennes. Après le retour de Vladimir Poutine au Kremlin, Dmitri Medvedev est nommé chef du gouvernement, et retrouve un rôle d’homme de paille.

En 2017, la fondation de l’opposant Alexeï Navalny révèle son immense patrimoine immobilier, dans une enquête sur la corruption des élites. « Il avait nié les accusations, mais avait dû faire profil bas après ces révélations », qui avaient provoqué des manifestations dans plusieurs villes du pays. On y brandissait un petit canard, en référence à la mare installée dans l’une de ses demeures cossues. « Ces années-là, il a perdu ce qui lui restait de crédibilité », analyse Cécile Vaissié. Beaucoup de photos* et de vidéos circulaient en ligne pour le ridiculiser. » Pour ne rien arranger, il a été surpris plusieurs fois en train de dormir, lors de cérémonies et d’allocutions officielles.

Trois ans plus tard, Dmitri Medvedev quitte la Maison Blanche de Moscou, résidence du Premier ministre et siège du gouvernement russe. « Certains ont interprété sa démission comme la fin de sa vie politique, et il semblait ne plus avoir aucun poids », relève Olga Gille-Belova.

Toujours à la tête du parti Russie unie, Dmitri Medvedev prend alors la vice-présidence du Conseil de sécurité, un poste créé pour lui. Son périmètre est plutôt flou, d’autant que le secrétaire Nikolai Patrouchev tient fermement les rênes du conseil consultatif. « Il est très difficile de connaître le rôle politique de Dmitri Medvedev aujourd’hui, poursuit la chercheuse, mais il est toujours présent dans l’entourage de Vladimir Poutine. »

Conflit Ukraine : « La faute à Zelinsky  » (Ségolène Royal s’excuse) !

Conflit  Ukraine  : « La faute à Zelinsky  » (Ségolène Royal s’excuse) !

Ségolène Royal, la folle du Poitou, ne sait plus quoi faire pour se singulariser et exister politiquement. Malheureusement pour elle , elle n’a pu décrocher le moindre poste au plan national et international en dépit de ces démarches très appuyées y compris auprès de Macron. L’ancienne ministre, invitée ce jeudi sur le plateau de BFMTV, a dénoncé une « propagande de guerre par la peur » de la part du président Volodymyr Zelensky. En clair elle a imputé au président ukrainien la responsabilité de la guerre et même des horreurs. Des propos qui ont soulevé de nombreuses protestations dans l’opinion. Du coup Ségolène s’excuse maintenant considérant qu’elle a été mal comprise. Pourtant c’est après de nombreuses questions de l’animateur de BFM qu’elle a considéré le président ukrainien comme le responsable du conflit en cours.

Une attitude qui ne surprend pas les observateurs qui connaissent Ségolène Royal.

 « On ne peut pas lui faire confiance », Estime un conseiller ministériel. Avant qu’un membre du gouvernement ajoute : « Elle souffle le chaud et le froid en fonction des postes qu’elle vise. Tout est calculé en fonction de son propre intérêt. » Aujourd’hui, entre Ségolène et Macron « le lien est totalement rompu. »Du coup, elle multiplie les prises de position anachroniques voire fantaisistes et même scandaleuses. Elle considère en effet que la guerre en Ukraine est imputable aux provocations du président ukrainien. En clair ,elle se situe du côté de Poutine.

L’ancienne ministre, invitée ce jeudi sur le plateau de BFMTV, a dénoncé une « propagande de guerre par la peur » de la part du président Volodymyr Zelensky.

« La paix en Ukraine n’est pas rendue impossible par les victimes de l’invasion, mais par la volonté de conquête de Poutine! », a réagi sur Twitter le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.

« Les crimes de guerre sont documentés, le nier est une insulte aux assassinés, aux violées, aux torturés ! Dire le contraire est de la propagande ! », a-t-il poursuivi.

Dans un autre tweet, il a ajouté: « Elle dit que la dénonciation des crimes (dont elle doute) a un objet: entraver le processus de paix. Les agressés deviennent les bellicistes. Jusqu’à preuve du contraire les Ukrainiens sont les résistants dans une guerre qu’ils n’ont pas choisie », a-t-il critiqué.

Le député européen Raphaël Glucksmann (Place publique), a lui aussi dénoncé un « naufrage. Total ».

Guerre en Ukraine : « La faute à Zelinsky  » (Ségolène Royal déraille encore) !

Guerre en  Ukraine  : « La faute à Zelinsky  » (Ségolène Royal déraille encore) !

Ségolène Royal, la folle du Poitou, ne sait plus quoi faire pour se singulariser et exister politiquement. Malheureusement pour elle elle n’a pu décrocher le moindre poste au plan national et international en dépit de ces démarches très appuyées y compris auprès de Macron.

 

« On ne peut pas lui faire confiance », Estime un conseiller ministériel. Avant qu’un membre du gouvernement ajoute : « Elle souffle le chaud et le froid en fonction des postes qu’elle vise. Tout est calculé en fonction de son propre intérêt. » Aujourd’hui, entre Ségolène et Macron « le lien est totalement rompu. »Du coup, elle multiplie les prises de position anachroniques voire fantaisistes et même scandaleuses. Elle considère en effet que la guerre en Ukraine est imputable aux provocations du président ukrainien. En clair elle se situe du côté de Poutine.

L’ancienne ministre, invitée ce jeudi sur le plateau de BFMTV, a dénoncé une « propagande de guerre par la peur » de la part du président Volodymyr Zelensky.

« La paix en Ukraine n’est pas rendue impossible par les victimes de l’invasion, mais par la volonté de conquête de Poutine! », a réagi sur Twitter le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.

« Les crimes de guerre sont documentés, le nier est une insulte aux assassinés, aux violées, aux torturés ! Dire le contraire est de la propagande ! », a-t-il poursuivi.

Dans un autre tweet, il a ajouté: « Elle dit que la dénonciation des crimes (dont elle doute) a un objet: entraver le processus de paix. Les agressés deviennent les bellicistes. Jusqu’à preuve du contraire les Ukrainiens sont les résistants dans une guerre qu’ils n’ont pas choisie », a-t-il critiqué.

Le député européen Raphaël Glucksmann (Place publique), a lui aussi dénoncé un « naufrage. Total ».




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