Archive pour le Tag 'Zelinsky « '

Politique : Plan de paix Ukraine: Trump allié de Poutine contre Zelinsky

Politique : Plan de paix Ukraine: Trump allié de Poutine contre Zelinsky

Pour Trump, Zelinsky accepter le plan favorable à la Russie au motif principal qu’elle pourrait perdre encore davantage de son territoire et même la totalité. Un argument américain qui évidemment légitime l’invasion de l’Ukraine par Poutine. Un raisonnement inique qui prouve la complicité totale de Trump avec Poutine.

Le plan Trump laisse donc les causes de la guerre de côté, et exerce ses pressions presque uniquement sur la partie ukrainienne. « La Russie est prête à conclure un accord. Nous devons conclure un accord avec Zelensky. Je pensais qu’il serait plus facile de traiter avec Zelensky, mais c’est plus difficile », a déclaré Trump mercredi soir dans le Bureau ovale.

Notons quand même que jeudi matin, le président américain a cependant exprimé de façon inhabituelle son mécontentement envers la Russie après ses bombardements meurtriers de la nuit contre la capitale ukrainienne. « Je ne suis pas content des frappes russes sur Kyiv. Ce n’était pas nécessaire…

Plan de paix Ukraine: Trump allié de Poutine contre Zelinsky

Plan de paix Ukraine: Trump allié de Poutine contre Zelinsky

Pour Trump, Zelinsky accepter le plan favorable à la Russie au motif principal qu’elle pourrait perdre encore davantage de son territoire et même la totalité. Un argument américain qui évidemment légitime l’invasion de l’Ukraine par Poutine. Un raisonnement inique qui prouve la complicité totale de Trump avec Poutine.

Le plan Trump laisse donc les causes de la guerre de côté, et exerce ses pressions presque uniquement sur la partie ukrainienne. « La Russie est prête à conclure un accord. Nous devons conclure un accord avec Zelensky. Je pensais qu’il serait plus facile de traiter avec Zelensky, mais c’est plus difficile », a déclaré Trump mercredi soir dans le Bureau ovale.

Notons quand même que jeudi matin, le président américain a cependant exprimé de façon inhabituelle son mécontentement envers la Russie après ses bombardements meurtriers de la nuit contre la capitale ukrainienne. « Je ne suis pas content des frappes russes sur Kyiv. Ce n’était pas nécessaire…

Poutine veut toujours virer Zelinsky et mettre Ukraine en tutelle

Poutine veut toujours virer Zelinsky et mettre Ukraine en tutelle

Derrière le masque du pacifisme Poutine réitère les objectifs qui ont toujours été les siens concernant l’Ukraine. Ainsi il propose notamment à l’ONU de virer Zelinsky , de mettre le pays en tutelle afin de discuter de la paix et de nouvelles élections en Ukraine. On ne peut guère être plus clair. Des des propos complètement inadmissibles qui confirment le caractère guerrier et impérialiste de Poutine et sa vision de reconstruction d’une  » Russie historique ».

Autant dire que sur cette base la paix n’est pas pour demain et qu’on risque de s’enliser dans un conflit qui va durer d’autant que l’Europe qui progresse certes sur le concept de défense commune avance à petits pas compte tenu des différentes sensibilités.

On atteint évidemment avec intérêt les réactions pro Poutine des « insoumis » et de certains leaders de droite sur le retour et de l’extrême droite qui ne sont pas sans rappeler le positionnement de ces mêmes forces en faveur de l’envahisseur en 1939.

Zelinsky met en doute la volonté de paix de Poutine

Zelinsky met en doute la volonté de paix de Poutine

Zelensky, met en doute la volonté de paix de Poutine. Il trouve l’accord entre Poutine et le président américain très ambigu et très insuffisant.

Le président ukrainien-estime-que-les-conditions-posees-par-vladimir-poutine-montrent-que Poutine n’est pas preta-mettre fin a la guerre.

Après ces annonces, Volodymyr Zelensky, a considéré que les conditions posées par Vladimir Poutine montrent qu’il n’est pas prêt « à mettre fin » à la guerre. Il s’est exprimé lors d’une conférence de presse en ligne, depuis Helsinki, où il doit s’entretenir mercredi avec le président finlandais.

Si le président ukrainien s’est dit favorable à l’arrêt temporaire des frappes sur les installations énergétiques, il a demandé des « détails » de Washington. « Il est très intéressant de connaître les détails et ce qui est réellement propos », a déclaré M. Zelensky.

Cessez le feu: Zelinsky dénonce à juste titre l’intox de Poutine

Cessez le feu: Zelinsky dénonce à juste titre l’intox de Poutine


Le président ukrainien connaît bien la rhétorique russe quise caractérise par des mensonges permanents. Le président ukrainien a donc immédiatement réagi après l’intervention de Poutine qui a fait semblant de dire oui à plan de paix avec des conditions qui dans les faits passent par la suppression de l’Ukraine.( Pas de frontières , pas de défense, pas d’adhésion à l’union européenne, pas d’adhésion à l’OTAN, pas de force d’interposition notamment, et cerise sur le gâteau l’élimination de Zelinsky).

Si les choses devaient rester en l’état, c’est-à-dire sans pression significative des alliés, il est vraisemblable que la situation s’orienterait vers une guerre hybride larvée pouvant même s’étaler sur plusieurs années.

Il faut aussi bien comprendre l’intérêt du dictateur mafieux Poutine n’existe et n’existera que dans une situation de guerre qui maintient les militaires comme les civils sous la terreur. Une situation de paix serait susceptible de faire renaître une opposition, un semblant de démocratie aujourd’hui impossible avec la terreur partout. C’est aussi le moyen pour Poutine et ses affidés de piller les richesses du pays ( pétrole et gaz notamment) quand en moyenne le salaire dépasse à peine 500 € pour le russe moyen. Comment comprendre sinon que les oligarques russes devenus riches en quelques années puissent s’offrir les biens immobiliers les plus luxueux, les bateaux de croisière les plus riches ou encore les clubs de football les plus coûteux ?

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a donc dénoncé jeudi les «propos manipulateurs» de son homologue russe Vladimir Poutine sur la proposition américaine de cessez-le-feu, l’accusant de vouloir «faire traîner les choses» afin de poursuivre la guerre.

«Nous avons tous entendu les paroles très prévisibles et très manipulatrices de Poutine en réponse à l’idée» de cette trêve, a jutesment déclaré Zelensky dans son adresse quotidienne diffusée sur les réseaux sociaux, appelant à accroître la pression sur Moscou. Vladimir Poutine s’est dit jeudi favorable à un cessez-le-feu à condition que des «questions importantes» soient réglées.

Ukraine : 67 % pour Zelinsky

Rappelons que Trump avait notamment qualifié son homologue de « dictateur », l’accusant d’être un obstacle à la paix.

« Les Ukrainiens perçoivent la rhétorique de la nouvelle administration américaine comme une attaque contre l’ensemble de l’Ukraine et tous les Ukrainiens », déclare Anton Hrouchetsky, directeur exécutif de KIIS, dans un communiqué.

 

Minerais Ukraine. Zelinsky toujours prêt un accord juste

Minerais Ukraine. Zelinsky toujours prêt un accord juste

 

En dépit de la honteuse altercation de la part de Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’est redit prêt dimanche à signer l’accord sur les minerais négocié avec les États-Unis 

«Si nous avons accepté de signer l’accord sur les minéraux, alors nous sommes prêts à le signer», «nous sommes constructifs», a-t-il ajouté, après que Washington a laissé planer dimanche l’idée que le dirigeant ukrainien pourrait devoir partir s’il ne changeait pas de comportement !!! La manifestation évidente du nouvel impérialisme américain qui intervient sans état d’âme dans la gestion interne de pays étrangers. Finalement comme Poutine. Des interventions notamment qui ont aussi eu lieu en Allemagne et en Grande-Bretagne

Pour le président américain Donald Trump, il s’agit d’une compensation pour l’aide militaire et financière versée par les États-Unis depuis trois ans à Kiev face à l’invasion russe. Il ne comporte en revanche aucun engagement sur des garanties de sécurités américaines à l’Ukraine, réclamées par Kiev.Trump Trump réclamait au départ le remboursement de 500 milliards! En définitive l’Europe comme les États-Unis ont dépensé chacun de l’ordre de 100 milliards (mais sans exigence de remboursement de la part de l’Europe).

Malgré l’ingérence des États-Unis vis-à-vis du président ukrainien , Zelensky a reçu dimanche à Londres un soutien chaleureux de ses alliés lors d’un sommet auquel participait une quinzaine de dirigeants européens ainsi que le secrétaire général de l’Otan, Mark Rutte, et le Premier ministre canadien Justin Trudeau.

La France et le Royaume-Uni se sont dits prêts à mener une «coalition des bonnes volontés» afin de contribuer à la sécurité de l’Ukraine pour appuyer une future cessation des combats.

 

L’échange public surréaliste entre Trump, Vance et les Zelinsky

L’échange public  surréaliste entre Trump, Vance et les Zelinsky

 

Le JDD dévoile certains des échanges houleux entre Donald Trump, son vice-président JD Vance et Volodymyr Zelensky, ce vendredi 28 février, au cœur du Bureau ovale. Une passe d’armes qui symbolise le virage abrupt des relations entre Washington et Kiev.

 

 
Zelensky : « De quelle diplomatie parlez-vous, JD (Vance) ? Que voulez-vous dire ? »

 

Vance : « Je parle du type de diplomatie qui va mettre fin à la destruction de votre pays. M. le président, si je peux me permettre, je trouve qu’il est irrespectueux de votre part de venir dans le Bureau ovale et d’essayer de débattre de ça devant les médias américains. En ce moment même, vous forcez des conscrits à rejoindre la ligne de front parce que vous avez des problèmes d’effectifs. Vous devriez remercier le président (Trump). »

Zelensky : « Avez-vous déjà été en Ukraine pour voir nos problèmes ? Venez une fois. »

Vance : « J’ai vu et lu des choses et je sais ce qui se passe : vous y emmenez les gens pour une visite de propagande, monsieur le président. Est-ce que vous niez avoir des problèmes pour mobiliser dans votre armée ? Et pensez-vous que c’est irrespectueux de venir dans le Bureau ovale des États-Unis d’Amérique et d’attaquer le gouvernement qui tente d’empêcher la destruction de votre pays ? »

 

Zelensky : « Ça fait beaucoup de questions. Commençons par le commencement. D’abord, pendant une guerre, tout le monde a des problèmes, même vous. Vous avez un bel océan (qui vous sépare de l’Europe) et vous ne le sentez pas maintenant, mais vous allez le ressentir à l’avenir. (…) »

Trump : « Vous ne le savez pas. Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir. On essaie de résoudre un problème. Ne nous dites pas ce que nous allons ressentir. »

Zelensky : « Je ne vous dis pas… Je réponds… »

Vance : « C’est précisément ce que vous faites. »

Trump : « Vous n’êtes pas en position de nous dicter ce que nous allons ressentir. Nous allons nous sentir très bien et très forts. »

(Zelensky tente de l’interrompre.)

Trump : « Vous vous êtes mis dans une très mauvaise position. Vous n’avez pas les cartes en main, là. Avec nous, vous commencez à les avoir. »

Zelensky : « Je ne joue pas aux cartes. Je suis très sérieux, M. le président. Je suis le président d’un pays en guerre. »

Trump : « (…) Vous jouez avec la vie de millions de personnes. Vous jouez avec la troisième guerre mondiale. Vous jouez avec la troisième guerre mondiale. Et ce que vous faites est très irrespectueux envers ce pays qui vous a soutenu bien plus que ce que beaucoup disent qu’il aurait dû. »

Zelensky : « Je suis très respectueux. »

Vance : « Avez-vous seulement dit merci ? »

Zelensky : « De nombreuses fois. »

Vance : « Non, depuis le début de cette rencontre ? (…) Dites quelques mots de remerciement aux États-Unis d’Amérique et au président qui essaie de sauver votre pays. »

Zelensky : « Vous pensez que si vous parlez très fort… »

Trump : « Il ne parle pas fort. Votre pays est en grande difficulté. Non, non, vous avez beaucoup parlé. Votre pays est en grande difficulté. Vous ne gagnez pas. Vous avez une sacrée bonne chance de pouvoir vous en sortir, grâce à nous. »

Zelensky : « M. le président, nous restons forts. Depuis le tout début de la guerre, nous sommes seuls, et nous disons, j’ai dit, merci. »

Trump (en colère) : « Vous n’avez pas été seuls. Vous n’avez pas été seuls. On vous a déjà donné, par ce stupide président (Joe Biden), 350 milliards (de dollars) d’équipement militaire. Et vos hommes sont courageux mais ils ont eu notre équipement. Si vous ne l’aviez pas, cette guerre aurait été terminée en deux semaines. »

Zelensky : « En trois jours. C’est ce que j’ai entendu de Poutine. »

Trump : « Ça va être très dur de négocier comme ça. »

Vance : « Dites juste merci. »

Zelensky : « Je l’ai dit de nombreuses fois. »

Trump : « Je pense que c’est bien que les Américains voient ce qu’il se passe. Je pense que c’est très important. C’est pour ça que je laisse ça se dérouler aussi longtemps. Vous devez être reconnaissant. Vous n’avez pas les cartes en main. Vous êtes enlisés. Vos citoyens meurent. Écoutez, vous êtes à court de soldats. Et après vous nous dites “Je ne veux pas de cessez-le-feu, je ne veux pas de cessez-le-feu, je veux ci et ça”. Écoutez, si vous pouvez obtenir un cessez-le-feu maintenant, je vous le dis, vous le prenez pour arrêter les balles et le massacre de vos troupes. »

Zelensky : « Bien sûr que nous voulons arrêter la guerre. Avec des garanties. »

Trump : « Vous dites que vous ne voulez pas de cessez-le-feu ? Moi, j’en veux un. Parce qu’on obtient un cessez-le-feu plus vite qu’un accord. »

Trump : « Il (Poutine) veut un accord. Je ne sais pas si vous voulez un accord. Je vous ai donné le pouvoir d’être un homme fort, et je ne pense pas que vous seriez un homme fort sans les États-Unis. Votre peuple est très courageux. Mais soit vous concluez un accord, soit nous vous laissons tomber. (…) Vous ne vous montrez pas du tout reconnaissant. Et ce n’est pas une bonne chose. Bon, je pense que nous en avons vu assez. Ça va faire un grand moment de télévision. »

Cette passe d’armes inédite, retransmise intégralement, laisse entrevoir un changement radical dans la position américaine. Donald Trump, en maître du jeu, n’a cessé de rappeler le poids de l’aide américaine, tout en mettant ouvertement la pression sur Volodymyr Zelensky pour qu’il accepte un compromis avec Vladimir Poutine. JD Vance, lui, n’a pas hésité à jouer un rôle de procureur, exigeant des remerciements explicites de la part du président ukrainien.

Cette séquence, à la fois brutale et spectaculaire, marque un tournant diplomatique. Loin des relations chaleureuses entretenues par Washington et Kiev sous Joe Biden, l’ère Trump-Vance semble imposer une realpolitik froide et calculatrice. Pour Volodymyr Zelensky, c’est un signal clair : l’appui américain n’est plus inconditionnel

Trump: une embuscade mèdiatique tendue à Zelinsky

Trump: une embuscade médiatique tendue à Zelinsky

 

Dans une relation diplomatique sur une question importante et délicat il n’est pas d’usage de faire une conférence avant la rencontre. C’est une fois la réunion terminée qu’une conférence commune ou séparée permet de rendre compte des travaux et des points de vue. Zelinsky est tombé dans l’odieux piège tendu par Trump et Vance dont l’objectif était seulement de ridiculiser le président ukrainien en public et surtout devant leurs partisans. Les Américains y compris ont moyennement apprécié la manœuvre. Dans un sondage 60 % du public américain ont  désavoué la forme de l’entretien et le comportement de Trump. Partout dans le monde la condamnation est nettement supérieure sauf évidemment dans les dictatures privées comme d’habitude d’information un peu objectives. Pour preuve Trump après ce spectacle incroyable a encore eu le mauvais goût de déclarer : « celà Fera encore une belle émission télévisée  »

 

 

Zelinsky ridiculisé et Humilié par Trump mais soutenu par l’Europe et ailleurs

Zelinsky ridiculisé et Humilié par Trump mais soutenu en France

 

Globalement la classe politique française apporte son soutien à zelinskyqui a véritablement été ridiculisé et humilié en public par un TRUMP reprenant la totalité des positions de Poutine.( (Extrait du journal le Figaro)

 Bon nombre de responsables politiques français se sont indignés vendredi de l’altercation entre Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky à la Maison-Blanche, et ont appelé l’Europe à faire bloc avec l’Ukraine.
Le premier ministre, François Bayrou, a jugé que le président ukrainien «était l’honneur de l’Europe» en «refusant de plier» devant son homologue américain. «Il nous reste à décider ce que nous, Européens, voulons être. Et si nous voulons être, tout court», a écrit le maire de Pau. «L’Ukraine n’a pas été battue. Elle est trahie», a réagi Édouard Philippe sur le réseau social X, estimant que l’exécutif américain était «en train d’humilier tout un peuple»«La France et l’Europe doivent être aux côtés de l’Ukraine, c’est notre avenir qui est en jeu», a-t-il poursuivi.

François Hollande a lui qualifié la scène à la Maison-Blanche de «scène obscène de télé-réalité» et déclaré que la France et l’Europe devaient «décider au plus vite un nouveau plan d’aide pour l’Ukraine»«Si Donald Trump, dans le Bureau ovale, parlait, c’est Vladimir Poutine qui était son souffleur», a-t-il taclé. Son ancien premier ministre, Bernard Cazeneuve, a constaté que Zelensky a trouvé «l’invective et les vérités alternatives, l’abandon et la trahison» dans le bureau ovale. Les Américains devraient «avoir honte» ce soir, a écrit en anglais l’eurodéputé Raphaël Glucksmann, appelant dans un second message les Européens à «assumer seuls notre sécurité et l’aide à la résistance ukrainienne».

Les responsables de nombreux partis politiques français ont également rapidement réagi. «Ce soir, les États-Unis ont perdu le droit de se revendiquer comme les leaders du monde libre», a déclaré Gabriel Attal, secrétaire général du parti présidentiel Renaissance et ex-premier ministre. «Ce soir, ce rôle nous revient à nous, Européens.» «Ce qui se joue, c’est la défense du droit international, de la paix et de la liberté», a considéré la ministre de l’Éducation nationale Elisabeth Borne.

. La patronne des Écologistes Marine Tondelier a jugé que Donald Trump et son vice-président s’étaient comportés «avec Zelensky comme des brutes à la solde de Poutine»«L’Europe doit se réveiller: elle est seule», a-t-elle ajouté.

«En humiliant Zelensky, Trump prouve qu’il n’a rien à faire du soi-disant accord avec Macron», a pour sa part écrit le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon. «Les Européens découvrent comment les USA traitent l’Amérique du Sud et ses dirigeants depuis un siècle. Les atlantistes européens sont les coupables d’une capitulation sans condition sans issue!» Le secrétaire national du PCF Fabien Roussel s’est dit choqué par la «violence» de l’échange dans le Bureau ovale. «Le président américain se fiche de la paix et montre son vrai visage, celui d’un oligarque prêt à soumettre le monde aux appétits financiers des plus riches américains», a ajouté le maire communiste de Saint-Amand-les-Eaux.

À droite, le patron des députés Les Républicains Laurent Wauquiez a lui aussi estimé qu’il était «urgent que l’Europe se réveille». Valérie Pécresse, président de la région Île-de-France, avance que «le président Trump ne réussira pas à instaurer une paix durable en humiliant l’Ukraine et en oubliant qu’elle ne fait que se défendre contre l’impérialisme de Poutine»«Aujourd’hui, la Maison-Blanche a parlé comme le Kremlin», a-t-elle martelé.

 

Pour Poutine, « Trump a fait preuve de » retenue face à l’ordure Zelinsky !!!

Pour Poutine, « Trump a fait preuve de » retenue face à l’ordure Zelinsky !!!

 

En matière diplomatique concernant le conflit ukrainien on a peut-être encore pas tout à fait toucher le fond du caniveau mais c’est pas loin. Preuve le spectacle télévisé où Trump et Vance  se sont transformés en procureurs vis-à-vis de Zelinsky. Un piège sans doute très bien bien préparé surtout à destination de l’opinion américaine favorable à Trump. Évidemment Poutine pouvait boire du petit lait en constatant que Trump reprenait toutes les positions russes. Et pour bien faire comprendre à l’opinion internationale son sentiment Poutine en rajoute couche à sa manière de dictateur considérant que Trump a fait preuve de retenue face à Zelinsky. La nature des propos sont à l’image du personnage qui les prononce: honteux et sous la ceinture.

Clash médiatique et politique invraisemblable entre Trump et Zelinsky

Clash médiatique et politique invraisemblable entre Trump et Zelinsky

Un spectacle d’abord invraisemblable en direct à la télé avec le président ukrainien en position d’accusé permanent sous le feu des critiques conjointes de Trump et de Vance. Deux procureurs qui n’ont cessé d’accuser et d’humilier Zelinsky. Résultat un échec total est assez lamentable sur le plan diplomatique et politique. Il faut dire que Trump avait sans doute préparé le piège par avance pour mettre le président ukrainien en contradiction avec l’opinion de ses partisans américains . Ce qu’a subi le président ukrainien était tellement intolérable qu’on voyait mal comment un accord quelconque pourrait sortir de cette rencontre. Pour simplifier Trump a chaussé les bottes de Poutine . Le conflit ne pourra donc que s’aggraver sans doute au préjudice de l’Ukraine privée vraisemblablement maintenant pour une partie du soutien américain. À moins que l’Europe ne réveille politiquement ; à commencer par  le terrain diplomatique au lieu de se satisfaire avec Trump  de rencontres individualisées de chaque petit État de l’Europe

Olaf Scholz défend Zelinsky

Olaf Scholz défend Zelinsky

Après les critiques acerbes de l’équipe de Donald Trump quant à la légitimité politique du chef de l’État ukrainien, le chancelier allemand a pris la défense de Zelinsky considérant même que c’est à l’Ukraine de décider du choix de ses orientations et de sa gouvernance. Une réponse en quelque sorte au plus excitéx de la bande de Trump qui suggéraient d’expédier Zelinsky en France. Trump lui-même avait traité Zelinsky de dictateur.

 

Olaf Scholz a donc riposté vendredi à Donald Trump, soulignant la souveraineté de l’Ukraine face à la Russie. C’est à l’Ukraine de «décider elle-même qui la gouverne», a lancé le chancelier allemand, lors d’un meeting électoral à Dortmund, dans l’ouest de l’Allemagne.

Il a de nouveau son soutien au président Volodymyr Zelensky. «Nous n’abandonnerons pas l’Ukraine, nous ne déciderons pas à sa place. Nous veillerons à ce que ce pays décide lui-même qui le gouverne», a-t-il ajouté. «Les frontières ne doivent pas être déplacées par la force», a continué Olaf Scholz, qui avait auparavant critiqué l’attitude du nouveau gouvernement américain, qui, selon lui, «ne fait que ce qui peut lui servir».

Politique–la France dénonce les honteuses attaques contre Zelinsky

Politique–la France dénonce les honteuses attaques contre Zelinsky

 

la France dénonce les honteuses attaques contre Zelinsky de la part de Trump», dont «on cherche la cohérence dans le temps», a dit la porte-parole du gouvernement français «Les déclarations d’hier sont dans cette lignée (..) Nous ne comprenons pas très bien la logique américaine», a-t-elle ajouté, Donald Trump ayant reproché ce mardi à Volodymyr Zelensky d’avoir commencé la guerre et d’être très impopulaire. Et même d’être un dictateur

Il réagissait à des critiques du président ukrainien qui reproche à Washington d’avoir entamé des discussions «sur l’Ukraine sans l’Ukraine» avec la Russie mardi à Ryad et réclame une place pour son pays et pour les Européens à la table des négociations.

 

En pleine effervescence diplomatique, les attaques russes se sont poursuivies ce mercredi en Ukraine, où une «grande» zone résidentielle de la ville portuaire d’Odessa, dans le sud du pays, s’est retrouvée sans chauffage ni électricité. L’armée russe pilonne depuis trois ans l’infrastructure énergétique et civile ukrainienne, en plus de bombarder des villes et villages de l’Ukraine.

Trump déraille en traitant Zelinsky de dictateur

Trump déraille en traitant Zelinsky de dictateur

 

Trump est évidemment mal placé pour évaluer le niveau de démocratie d’un pays lui qui a tenté de faire envahir le capitaole par ses partisans après sa défaite face à Biden. Pourtant il n’hésite pas à qualifier Zelinsky de dictateur au motif que les élections ont été reportées en Ukraine pour cause de guerre.. Cela confirme qu’il ne s’agit pas seulement d’un changement de position du président américain vis-à-vis de l’Ukraine mais tout simplement d’un ralliement à son adversaire Poutine. Et pour bien enfoncer le coup le présidente américaine considère que Zelinsky n’est plus soutenu que par 4 % de la population ukrainienne alors que   les sondages lui donnent encore 52 %. Bref des propos de gangster marchand de  chiens finalement très proches de la dialectique de Poutine.

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol